Un bon mois de décembre pour Paris
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- Élisabeth Chaput
- il y a 6 ans
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1 Estimation des performances de janvier 2010, pour les 23 premiers jours : selon MKG Hospitality, le RevPAR décroît de 4,5 % du fait d une baisse des prix de 4,4 %. Le taux d occupation des hôtels reste stable par rapport à janvier. Sommaire Synthèse 1 Bilan de l année 1-2 Comparaison européenne 3 Arrivées hôtelières 4 Nuitées hôtelières 5 Taux d occupation dans l hôtellerie homologuée Tourisme d affaires 6 Note méthodologique 7 Prix moyen et RevPAR globaux Prix moyen et RevPAR par catégorie Hôtellerie par zones touristiques Trafic dans les Aéroports de Paris Cours de l euro par rapport au dollar américain et au yen Fréquentation culturelle 9 Tableau de bord Office du Tourisme et des Congrès de Paris Directeur de la publication : Paul Roll Réalisation : Natacha Ducatez Un bon mois de décembre pour Paris La tendance à la hausse amorcée en novembre (première hausse des arrivées hôtelières en 17 mois) se poursuit de manière plus significative en décembre : les arrivées sont en augmentation de 4,7 % ( arrivées supplémentaires). Elles atteignent ainsi les 1,3 millions. Les arrivées étrangères ont progressé de 2,7 % tandis que celles des français, toujours très présents à Paris pour les fêtes, ont cru de 6,6 %. Avec arrivées et près de 1,19 millions de nuitées, les touristes nationaux enregistrent des volumes jamais atteints depuis janvier Concernant les touristes étrangers, les italiens ont été les plus nombreux à séjourner dans l hôtellerie Depuis 2004, les indicateurs de l activité touristique parisienne n ont cessé de progresser. Après deux excellentes années (2007 et ) ayant enregistré des pics pour la plupart des indicateurs hôteliers, la crise financière mondiale a mis fin à cette croissance. En, le taux d occupation est en baisse de 4,2 points par rapport à. Il s établit à parisienne ( arrivées). Ils sont suivis des britanniques, des américains et des espagnols. Ces derniers affichent une hausse de 11,6 % de leurs arrivées. C est seulement la troisième croissance de l année pour ce marché qui fait partie de ceux qui ont le plus souffert de la crise. Toutes catégories confondues, le taux d occupation de l hôtellerie parisienne s établit à 71,8 % (+0,9 point par rapport à ), soit le même niveau qu en décembre Les prix moyens diminuent de 3,4 % et le RevPAR de 2,9 %, pour s établir à 99,2 euros. Cependant, ces données cachent des disparités selon la catégorie des établissements. Les taux d occupation sont Bilan de l année : Paris résiste à la crise en hausse pour les 2* et 3* (+3,6 pts et +0,2 pt) et leurs prix moyens sont quasistables ( 0,2 % et 0,7 %). Par conséquent, le RevPAR est en augmentation pour ces deux catégories d hôtels (+3,3 % et +0,8 %). Pour les établissements 4*, si la fréquentation reste quasistable (-0,7 point), la baisse des prix de 5,1 % fait chuter le RevPAR de 6,1 % par rapport à décembre. Les croissances enregistrées au mois de décembre permettent de terminer une année difficile sur une note positive. N oublions pas cependant que les mois de janvier et février sont traditionnellement ceux qui affichent les résultats les plus bas de l année. 73,5 %, se situant ainsi entre les niveaux de 2005 (71,4 %) et 2006 (75,2 %). Si les touristes sont venus moins nombreux (-4,1 % d arrivées hôtelières), la durée de séjour a très légèrement progressé (+0,7 %). Le nombre de nuitées diminue ainsi moins rapidement (-3,4 %) que celui des arrivées, et se rapproche du volume de 2006 (33,93 millions et 33,85 millions en ). Les prix moyens ont fortement augmenté entre 2006 et. En, avec la baisse de la fréquentation et les réductions de budgets, les prix ont diminué de 7,7 % pour s établir à 138,4. Le RevPAR, de 105,5, a diminué de 12,3 %. Un bilan plus détaillé vous est proposé en pages 2 et 3.
2 Bilan de l année Tableau de bord janvier-décembre Page 2 Bilan de l année Les américains de retour à Paris depuis le mois d avril En, les Etats-Unis retrouvent leur première place dans le top 10 des arrivées et des nuitées étrangères. Ils l avaient perdue en, ayant été le premier marché touché par la crise (baisse des arrivées dès juin 2007). Leur nombre d arrivées se stabilise par rapport à (-0,1 %). Par contre, grâce à une augmentation de la durée de séjour (+3,7 %, croissance la plus importante pour ), ce marché affiche une hausse de ses nuitées de 3,5 % (soit nuitées supplémentaires). Cette hausse ne profite pas à l ensemble de la région. Seule l hôtellerie parisienne affiche une hausse de ses nuitées américaines. Pour les hôtels franciliens (hors Paris), les arrivées tout comme les nuitées sont toujours en forte diminution. L hôtellerie parisienne a également profité d une croissance des touristes en provenance du continent américain (hors Etats-Unis) sur la fin de l année. Entre septembre et décembre, les arrivées de ces touristes ont progressé de 15,5 % par rapport à (soit arrivées supplémentaires). Les japonais ont eux aussi été touchés par la crise plusieurs mois avant les autres. Contrairement aux américains, ils continuent à être en décroissance dans les hôtels parisiens (-9,4 %). Cependant, ils sont venus plus nombreux dans l hôtellerie de la région (+40 %) et cette hausse compense la baisse parisienne : pour l ensemble de la région, les arrivées japonaises croissent de 3 % ( ) dans les établissements hôteliers. A Paris, seuls deux marchés affichent des hausses de leurs arrivées : la Belgique (+3,6 %) et les Pays-Bas (+5,6 %), respectivement au 7 e et 8 e rang du classement. Ces touristes sont de plus en plus nombreux chaque année : entre 2006 et, les arrivées ont augmenté de 16 % pour les belges et de 22 % pour les néerlandais. Les deux marchés les plus touchés par la crise sont le Royaume-Uni et l Espagne. Leurs arrivées baissent respectivement de 15,6 % et de 11,1 %. La durée de séjour des touristes espagnols reste malgré tout en progression (2,8 nuits soit une augmentation de 2,4 %). Les hôtels n ont pas tous été touchés de la même manière par la crise Pour les 0/1* : stabilisation des arrivées mais durées de séjour plus courtes Parmi les différentes catégories hôtelières, c est au sein des hôtels 0* et 1* que la baisse des arrivées s est fait le moins sentir (-0,7 %) et ce, grâce à la clientèle française, traditionnellement la plus représentée dans ces établissements. Les français se sont montrés encore plus nombreux qu en (+14,4 % d arrivées). Cette forte progression s explique en partie du fait de la crise qui a engendré un report des clients des 2* vers les hôtels plus économiques. Parallèlement, les clients étrangers choisissant habituellement ces catégories se sont montrés moins nombreux (-28 % d arrivées). Enfin, les séjours dans ce type d hôtels ayant été plus courts que les années précédentes, les nuitées et le taux d occupation en ont souffert ; les hôtels 0* étant les plus touchés par la baisse du taux d occupation (-7,7 points). Pour les 2* : le levier des prix Les établissements 2* ont mieux résisté que les catégories 3* et 4* au niveau des prix : ils enregistrent une hausse de 0,5 % sur l ensemble de l année, qui fait suite à une progression de 5,9 % en. Par conséquent, malgré la baisse des arrivées la plus élevée, ils enregistrent une baisse du RevPAR (-3,6 %) moins importante que celles des 3* et 4*. Pour les 3* et 4* : des baisses de prix qui n ont pas suffit à maintenir la fréquentation Grâce à une durée de séjour qui augmente légèrement dans les 3/4*, ces catégories affichent la baisse des nuitées la moins importante (-4,3 %). Malgré cela, ceux sont eux qui souffrent le plus de la crise au niveau économique. Les baisses de prix, assez importantes et pratiquées tout au long de l année, cumulées à la diminution de la fréquentation Arrivées et variation 09/08 Français Etrangers Ensemble Nuitées et variation 09/08 Français Etrangers Ensemble 0/1* 2* 3/4* ,4 % % ,7 % ,2 % ,8 % ,6 % ,3 % ,4 % ,4 % 0/1* 2* 3/4* ,5 % ,7 % ,3 % ont eu un impact important sur le RevPAR. Pour les 3*, il a diminué de 8,8 % et pour les 4* de 15,9 %. C est l hôtellerie 4* Luxe qui pâtit le plus de la crise : avec des ,8 % ,6 % ,7 % ,8 % ,7 % ,3 % Source : Insee baisses de la fréquentation et des prix parmi les plus importantes, son RevPAR diminue de 17,9 % par rapport à.
3 Comparaison européenne Tableau de bord janvier-décembre Page 3 Comparaison européenne pour l année Paris affiche le taux d occupation le plus élevé après celui de Londres Selon MKG Hospitality, le taux d occupation moyen de l hôtellerie européenne est en diminution de 4,9 points. Il s établit à 61,6 %. L analyse des résultats de seize grandes villes européennes (dans dix pays) montre que la crise n a épargné personne : aucune des seize villes n affiche de variation positive par rapport à. Avec un taux d occupation de 76,3 %, l hôtellerie de chaînes parisienne enregistre la fréquentation la plus élevée après celle de Londres (81,4 %). Les trains Eurostar, reliant la France et la Belgique à la Grande- Bretagne, ont vu leur nombre de voyageurs augmenter de 1,2 % par rapport à, pour atteindre les 9,2 millions de voyageurs. La dévaluation de la livre sterling explique en partie le fort taux d occupation de l hôtellerie londonienne, tout comme le fait qu elle affiche la baisse de la fréquentation la plus faible : -0,5 pt. Pour la capitale française, cette baisse est de 4 pts. Avec un taux d occupation de 58,2 %, Madrid est la ville qui a le plus souffert de la baisse de la fréquentation (-7,7 pts). Les hôtels d Amsterdam et de Prague affichent aussi de fortes diminutions (-7,3 et 7,2 pts). Taux d'occupation et variation par rapport à Francfort Madrid Barcelone Prague Milan Genève Amsterdam Rome Munich Bruxelles Moscou Berlin Vienne Zurich Paris Intra Muros Londres -6,1 points -7,7 points -6,6 points -7,2 points -3,7 points -5,5 points -7,3 points -0,9 point -4 points -4,9 points -3,8 points -1,3 point -4,5 points -6,5 points -4 points -0,5 point 50% 55% 60% 65% 70% 75% 80% 85% Malgré un RevPAR en baisse de 12,3 %, l hôtellerie parisienne résiste mieux que la plupart des grandes villes En moyenne, en Europe, la baisse des prix est de 8 %. Douze des seize grandes villes ont diminué leurs prix plus fortement : les baisses sont comprises entre -8,7 % (pour Milan) et 35 % (pour Moscou). Paris, Berlin, Genève et Francfort enregistrent quant à elles des diminutions inférieures à -8 %. Quatre villes affichent un prix plus élevé que celui de Paris (138,4 ) : Rome, Londres, Moscou et Genève. Les hôtels de Moscou, avec le 2 e prix le plus élevé (174,7 ), sont ceux qui ont le plus diminué leurs prix. La baisse du taux d occupation n y est que de 3,8 points (et donc inférieure à la moyenne européenne), mais le RevPAR a été fortement affecté par cette baisse des prix. Il diminue de 38,5 %. A l exception de Londres et Berlin, toutes les villes enregistrent une baisse du Rev- PAR à deux chiffres. Elles sont comprises entre 12,3 % pour Paris et 38,5 % à Moscou. La capitale française, avec un RevPAR de 105,5, affiche donc une des baisses les plus faibles et un des RevPAR les plus élevés der- Prague Madrid Barcelone Francfort Berlin Bruxelles Zurich Munich Vienne Amsterdam Milan Rome Paris Intra Muros Montant des prix moyens et des RevPAR de l'hôtellerie de 16 grandes villes européennes pour l'année Genève Londres Moscou 42,50 rière Genève (117,6 ), Londres (117,7 ) et Moscou (118 ). Prague, Madrid et Amsterdam, en plus d enregistrer les plus fortes baisses du taux d occupation, sont aussi les villes qui ont le plus 105,50 118, fait diminuer leurs prix (en dehors de Moscou). Par conséquent, ceux sont les hôtels de ces trois villes qui affichent les plus fortes b a i s s e s d e R e v P A R (respectivement 27,2 %, -25,9 % et 24,1 %). Moyenne européenne : 58,20 pour le RevPAR 94,50 pour le prix moyen RevPAR Prix Moyen Un RevPAR de 105,5 à Paris
4 Arrivées hôtelières à Paris Tableau de bord janvier-décembre Page 4 Arrivées hôtelières (Données Insee) Des arrivées hôtelières en hausse de 4,7 % en décembre Arrivées hôtelières Décembre 2006 Décembre Décembre ETRANGERS ,7 % FRANCAIS ,6 % TOTAL ,7 % Top 10 des arrivées hôtelières étrangères Décembre 2006 Décembre Décembre 1. Italie ,5 % 2. Royaume-Uni ,4 % 3. Etats-Unis ,3 % 4. Espagne ,6 % 5. Japon ,2 % 6. Allemagne ,5 % 7. Belgique ,9 % 8. Pays-Bas ,9 % 9. Suisse ,8 % 10. Proche et Moyen-Orient ,8 % Autres étrangers ,3 % Les italiens ont été les étrangers les plus nombreux en décembre, dans l hôtellerie parisienne Arrivées hôtelières 2006 ETRANGERS ,5 % FRANCAIS ,4 % TOTAL ,1 % Top 10 des arrivées hôtelières étrangères Etats-Unis ,1 % 2. Royaume-Uni ,6 % 3. Italie ,6 % 4. Espagne ,1 % 5. Allemagne % 6. Japon ,4 % 7. Belgique ,6 % 8. Pays-Bas ,6 % 9. Suisse ,7 % 10. Proche et Moyen-Orient ,8 % Autres étrangers ,1 % Les britanniques et les espagnols sont ceux qui ont le plus souffert de la crise
5 Nuitées hôtelières à Paris Tableau de bord janvier-décembre Page 5 Nuitées hôtelières (Données Insee) En quatre ans, le volume des nuitées françaises n avait jamais été aussi élevé qu en décembre Nuitées hôtelières Décembre 2006 Décembre Décembre ETRANGERS ,6 % FRANCAIS ,2 % TOTAL ,1 % Top 10 des nuitées hôtelières étrangères Décembre 2006 Décembre Décembre 1. Italie ,8 % 2. Royaume-Uni ,8 % 3. Etats-Unis ,4 % 4. Espagne ,8 % 5. Japon ,2 % 6. Allemagne ,1 % 7. Belgique ,3 % 8. Pays-Bas ,6 % 9. Suisse ,2 % 10. Proche et Moyen-Orient ,2 % Autres étrangers ,6 % Les espagnols affichent la plus forte croissance des nuitées du mois de décembre (+13,8 %) Nuitées hôtelières 2006 ETRANGERS ,4 % FRANCAIS ,7 % TOTAL ,4 % Top 10 des nuitées hôtelières étrangères Etats-Unis ,5 % 2. Royaume-Uni ,6 % 3. Italie % 4. Espagne ,9 % 5. Allemagne ,9 % 6. Japon % 7. Proche et Moyen-Orient % 8. Pays-Bas ,7 % 9. Belgique % 10. Suisse ,5 % Autres étrangers ,6 % Grâce à la plus forte hausse de la durée de séjour (+4 %), les américains affichent une croissance des nuitées de 3,5 %
6 Taux d occupation hôtelier et tourisme d affaires Tableau de bord janvier-décembre Page 6 Taux d occupation dans l hôtellerie homologuée parisienne (Données Insee) Un taux d occupation en légère hausse au mois de décembre (+0,9 point) pour la première fois de l année 100% 95% 90% 85% 80% 75% 70% 65% 60% 55% 50% Evolution mensuelle du taux d'occupation hôtelier à Paris En décembre, les hôtels 1*, 2* et 3* affichent des croissances de leurs taux d occupation 2006 Janv - Déc. 0* 1* 2* 3* 4* et 4*L TCC ,4 71,4 74,9 76,5 73,5 75, ,6 77,9 76,1 77,8 73,3 67,2 76,6 73,8 70,8 73,5 NB : Entre novembre et, le parc hôtelier parisien a perdu 2 hôtels et 98 chambres classées (Source : Préfecture). Décembre 0* 1* 2* 3* 4* et 4*L TCC ,8 70,9 71, ,6 71,8 76,6 66,9 72,1 71,6 68,5 70,9 71,5 71,8 75,7 71,8 67,6 71,8 Tourisme d affaires dans l hôtellerie homologuée parisienne (Données Insee) Part de la clientèle d'affaires dans l'hôtellerie parisienne A ce jour, l Insee n est pas en mesure de nous fournir la proportion de touristes d affaires dans l hôtellerie parisienne pour le mois de novembre. 60% 50% 40% 30% 20% 10% 47% 46% 45% 44% 45% 50% 28% 22% 52% 51% 40% 0% 2006
7 Prix moyen et RevPAR hôtelier à Paris Tableau de bord janvier-décembre Page 7 Note méthodologique Prix moyen et RevPAR globaux (Données MKG) Insee et MKG : des bases de données différentes Baisse du RevPAR de 2,9 % en décembre Le parc hôtelier parisien est constitué de plus de hôtels, dont plus de 80 % sont des indépendants. L enquête de fréquentation hôtelière de l Insee s appuie sur un échantillon représentatif de cette structure en interrogeant chaque mois plus de 800 hôtels homologués, dont 78 % d indépendants. Cette enquête nous fournit les arrivées et les nuitées dans l hôtellerie, pour les principales nationalités, ainsi que les taux d occupation globaux par catégorie. Les hôtels sondés par l Insee couvrent entre 50 % et 55 % de l offre en chambres. Depuis 2006, l Observatoire économique du tourisme parisien a mis en place, avec MKG Hospitality, un dispositif de suivi complémentaire à celui de l enquête Insee. Ce dispositif nous apporte des données hôtelières que l enquête Insee ne fournit pas : les prix moyens, les RevPAR et les taux d occupation par zones touristiques. Cependant, la base de données MKG reflète moins précisément la structure hôtelière globale parisienne. En effet, elle ne suit l activité que de 350 hôtels représentant, en nombre de chambres, 48,2 % de l offre hôtelière globale parisienne. Mais surtout, cette base s appuie sur les résultats hôteliers des chaînes parisiennes et fort peu sur les hôtels indépendants. L échantillon représente, en nombre de chambres, 96,5 % de l offre hôtelière de chaînes parisiennes. La quasi totalité des grandes enseignes internationales sont intégrées dans le panel Evolution mensuelle des prix moyen et RevPAR globaux à Paris en et, en euros 142,1 92,9 126,4 81,5 134,2 131,6 134,8 104,5 95,3 106,3 137,4 164,4 131,9 119,1 105,9 85,5 147,9 149,4 124,6 125,8 Prix moyen Prix moyen RevPAR RevPAR 09/08 Prix moyen 138,4-7,7 % RevPAR 105,5-12,3 % 142,4 106,5 133,4 99,2 Prix moyen et RevPAR par catégorie (Données MKG Hospitality) En décembre, hausse du RevPAR pour les hôtels 2* et 3* 250 Prix moyens et RevPAR par catégorie de décembre et évolution (%) par rapport à décembre Janv - Déc. Prix moyen RevPAR ,0 65,2 106,2 81,3 201,8-0,2 % -0,7 % -5,1 % 139,1 +3,3% +0,8 % -6,1 % 2* 3* 4* 2* Var. 09/08 3* Var. 09/08 4* Var. 09/08 81,1 +0,5 % 106,9-6,3 % 211,4-9,7 % 66,4-3,6 % 82,2-8,8 % 152,9-15,9 % Prix m oyen RevPAR
8 Hôtellerie par zones touristiques Tableau de bord janvier-décembre Page 8 Taux d occupation hôteliers par zone touristique au mois de décembre (Données MKG Hospitality) Un taux d occupation en hausse pour 4 zones sur 11 à Paris 72,9 % -0,1 pt 69,2 % -1,4 pt 73,7 % +3 pts 77,7 % +2,4 pts 65,7 % -2,4 pts 73,1 % -1,3 pt 80,8 % -2,5 pts 77,9 % +7,3 pts 81,1 % -0,6 pt 67,5 % -5,9 pts 81,5 % +2,7 pts 76,3 % -4 pts Taux d occupation hôtelier de décembre par rapport à décembre Prix moyens et RevPAR hôteliers par zone touristique au mois de décembre (Données MKG Hospitality) Une hausse du RevPAR de 10,4 % pour la zone Notre-Dame - Quartier Latin Zones touristiques - Décembre Prix moyen (en euros) RevPAR (en euros) Champs Elysées - Louvre 294,6-5 % 203,9-6,8 % Montmartre - Pigalle - Trinité 80,8-1,3 % 58,9-1,5 % La Villette - Belleville - Canal Saint Martin 77,8-1,4 % 60,4 +1,8 % République - Bastille 89,7-0,4 % 72,8-1,2 % Bercy - Tolbiac - Bois de Vincennes 101,4-0,5 % 82,7 +3 % Saint-Germain-des-Prés - Montparnasse 124,4-4,6 % 90,9-6,4 % Tour Eiffel - Trocadéro 118,2-2,4 % 79,8-10,2 % Passy - Bois de Boulogne 152,6-5 % 100,2-8,4 % Opéra - Grands Magasins % 145,9 +3,1 % Les Halles - le Marais 162,7-0,7 % 131,5-3,6 % Notre Dame - Quartier Latin 114,1 stable 88,9 +10,4 % Les zones qui affichent une hausse du RevPAR sont celles qui ont vu leur taux d occupation augmenter
9 Aéroport, cours de l euro et fréquentation culturelle Tableau de bord janvier-décembre Page 9 Trafic dans les Aéroports de Paris (Données ADP) Trafic des passagers des vols internationaux (hors transit) dans les aéroports de Paris - Données brutes, en milliers de passagers 2006 A ce jour, ADP n est pas en mesure de nous fournir la fréquentation des passagers internationaux (hors transit) pour le mois de décembre. CONTACT Tableau de bord Observatoire économique du tourisme parisien Natacha Ducatez Office du Tourisme et des Congrès de Paris 25, rue des Pyramides Paris Téléphone : Télécopie : observatoire@parisinfo.com Cours de l euro par rapport au dollar américain et au yen (Données Banque de France) Cours de l'euro contre le dollar US - moyenne mensuelle Cours de l'euro contre le yen japonais - moyenne mensuelle 1,70 1,60 1,50 1,40 1,30 1,20 1,10 1,00 0,90 0,80 Janvier 2010 : 1 = 1,43 USD Janvier 2010 : 1 = 130,3 JPY Fréquentation culturelle (Données des musées et monuments) Sur l ensemble de l année, la Cité des Sciences et le musée du Quai Branly ont vu leur fréquentation augmenter par rapport à Principaux sites Décembre 2006 Décembre Décembre Var. déc. 09/08 Janv. - Déc. Var. Janv. - Déc. 09/08 Tour Eiffel % Centre Pompidou ND* Cité des Sciences ,8 % Musée d Orsay ,9 % Arc de Triomphe ,8 % Musée du Quai Branly ,1 % TOTAL ND* ,7 % -3,5 % +0,5 % -0,1 % -2,5 % +6 % -2,1 % * Le Centre Pompidou a été fermé pour mouvement social du 22 novembre au 17 décembre. La comparaison avec n est donc pas possible puisqu elle ne porte pas sur le même nombre de jours.
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