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2 COLLECTION IDÉES

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4 Maurice Duverger Introduction à la politique mf Gallimard

5 0 Éditions Gallimard, 1964.

6 A Odile.

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8 Avertissement

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10 Il était facile d'écrire une Introduction à la politique au xvme siècle. Il est facile de le faire aujourd'hui en U. R. S. S. C'est une tâche très difficile au contraire dans l'occident de 1964: parce qu'on n'y peut trouver une théorie d'ensemble de la politique, généralement admise, comme au temps de ^'Encyclopédie, comme dans le monde communiste. Une telle entreprise à donc le caractère d'un essai personnel. Elle se situe malgré tout dans une ligne commune à beaucoup de sociologues contemporains. Le problème n'est pas de bâtir une nouvelle théorie occidentale vis-à-vis de la théorie marxiste, mais de considérer les idées d'en face et les nôtres comme des vues relatives et partielles, qui doivent s'intégrer dans une synthèse globale. Edifier celle-ci sera une œuvre de longue haleine, qu'on ne prétend pas avoir accomplie dans ces quelques pages. Ceci n'est point une théorie de la politique, mais seulement l'esquisse d'une introduction à cette théorie. Son contenu, qui renferme beaucoup d'hypothèses, est moins important que son orientation générale.

11 Introduction à. la politique On s'est décidé à publier cette ébauche, parce qu'une tentative de ce genre intéresse tous les citoyens, en démocratie. Un des obstacles qui les empêchent d'exercer pleinement leurs droits, dans l'occident d'aujourd'hui, c'est qu'ils sont écartelés entre des problèmes politiques particuliers, qu'ils ne parviennent pas à situer dans un ensemble. L'abondance des informations sur toutes les questions va de pair avec une absence quasi complète de eue générale, qui permettrait seule de comprendre l'importance et la signification de chacune. Il est utile de contribuer à combler une lacune aussi fondamentale, même si cette contribution reste insuffisante. D'une telle insuffisance, l'auteur est conscient.

12 INTRODUCTION Les deux faces de Janus

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14 «Politique, s. f. 1 Science du gouvernement des États», disait Littré en «Politique, n. f. 1 Art et pratique du gouvernement des sociétés humaines», dit Robert en Le rapprochement de ces deux définitions, données à près d'un siècle de distance est intéressant. L'une et l'autre font du gouvernement l'objet de la politique. Mais on rapproche aujourd'hui du gouvernement des États celui des autres sociétés humaines le terme gouvernement désignant alors, dans toute communauté, le pouvoir organisé, les institutions de commandement et de contrainte. Les spécialistes discutent à ce propos. Quelques-uns considèrent toujours la politique comme la science de l'état, pouvoir organisé dans la communauté nationale le plus grand nombre y voit la science du pouvoir organisé dans toutes les communautés. La querelle a peu d'importance. En effet, même ceux qui définissent la politique comme la science du pouvoir en général reconnaissent qu'il atteint dans l'état sa forme la plus achevée, son organi-

15 Introduction à la politique sation la plus complète, et qu'on doit surtout l'étudier dans ce cadre dans les autres sociétés humaines, il reste embryonnaire. Cependant, la conception de la politique «science du pouvoir» a une supériorité fondamentale sur l'autre. Elle est plus opérationnelle, parce qu'elle permet seule la vérification de son hypothèse de base. En étudiant de façon comparative le pouvoir dans toutes les collectivités, on peut découvrir les différences entre le pouvoir dans l'état et le pouvoir dans les autres communautés, s'il y en a. Au contraire, en se bornant à étudier le pouvoir dans le seul cadre de l'état, sans comparaison avec les autres, on s'interdit de vérifier si la différence de nature qu'on a posée a priori existe ou n'existe pas. Certains suggèrent d'établir une frontière entre les petites et les grandes communautés. Dans les premières, la compétition pour le pouvoir oppose surtout des individus le pouvoir lui-même est faiblement organisé il correspond à peu près à la distinction élémentaire des «gouvernants» et des «gouvernés», des chefs et des membres. Dans les grandes communautés, au contraire, la lutte politique concerne des catégories sociales, des groupes intermédiaires constitués à l'intérieur de la société globale, aussi bien que des individus le pouvoir est une organisation structurée, hiérarchisée. Des sociologues limitent la politique à l'étude de ce pouvoir complexe, fonctionnant dans les grandes communautés, et en excluent l'analyse du leadership dans les petits groupes. Les deux phénomènes sont trop liés pour qu'on

16 Les deux faces de Janus puisse les étudier séparément. Dans les conseils des ministres, les commissions administratives, les comités directeurs des partis, à chaque échelon du gouvernement des grandes communautés, on trouve des petits groupes où la nature politique de l'autorité n'est pas contestable. Il faut plutôt distinguer deux niveaux d'analyse, celui de la «micropolitique», au plan des relations interindividuelles, fondées sur le contact personnel et celui de la «macropolitique», au plan des grands ensembles, où le contact personnel n'existe pas, où il est remplacé par des rapports médiatisés, par des relations administratives, ou par un contact théâtral, factice (la poignée de main du ministre, le discours télévisé du chef de l'état). La recherche doit être poursuivie simultanément aux deux niveaux. Le passage de l'un à l'autre, le changement d'échelle, pose d'ailleurs un problème important. Les définitions de Littré et de Robert diffèrent sur un autre point le premier fait de la politique une science, le second la considère seulement comme «art et pratique». A priori, l'inverse paraîtrait plus naturel. Aujourd'hui, la science politique est reconnue par presque toutes les Universités du monde. Elle a des chaires, des professeurs, des étudiants, des crédits de recherches. On publie chaque année plusieurs milliers de livres ou d'articles la concernant directement. Il y a un siècle, on commençait à peine à parler d'elle

17 Introduction à la politique c'est seulement entre 1859 et 1872 que Paul Janet a changé le titre de son grand ouvrage, Histoire de la philosophie politique dans ses rapports avec la morale, remplaçant «philosophie politique» par «science politique». Aucune institution universitaire ne relevait alors de celle-ci, qui n'avait pas de place officielle dans le Panthéon du savoir. L'évolution sémantique semble aller à rebours de l'évolution scientifique. Cependant, la première est conforme à la seconde. Littré écrivait dans cette fin du xixe siècle, où l'on croyait que la science permettrait d'étudier toutes les relations humaines, et pas seulement les phénomènes physiques ou biologiques, où s'entrevoyait l'avènement de l' «âge positif» annoncé par Auguste Comte. Le développement même des sciences sociales a conduit à restreindre ces ambitions. On dispose aujourd'hui de moyens d'investigation très perfectionnés et très nombreux, dans la vie sociale et politique. Mais on mesure mieux, du même coup, les limites de leur emploi, qui sont étroites. La politique est beaucoup plus scientifique en 1964 qu'au temps de Littré. Les hommes d'état peuvent utiliser et utilisent effectivement des statistiques, des sondages d'opinion, des techniques de manipulation des masses, des calculatrices électroniques, etc. Mais on sait maintenant que le secteur de cette politique scientifique est beaucoup plus petit que celui de la politique «art et pratique», basée sur des données imprécises, non mesurables, intuitives, irrationnelles.

18 Les deux faces de Janus Il est vain d'espérer que le premier puisse recouvrir entièrement le second, un jour, que la politique puisse devenir totalement scientifique. Les décisions politiques ne mettent pas seulement en jeu des données objectives, mais aussi des jugements de valeur sur l'homme et la société. Que ces jugements de valeur ne soient pas indépendants de la situation de ceux qui les formulent, qu'ils reflètent au contraire en partie leur classe sociale ou leurs intérêts personnels, cela ne change rien. La liberté n'est jamais une liberté d'indifférence elle s'exerce toujours à travers des conditionnements vécus. L'écart entre les fins proclamées et les fins réellement poursuivies, le camouflage des secondes par les premières, n'empêche pas que les choix politiques soient dominés par une finalité. La science politique a une grande importance parce qu'elle démasque les camouflages, parce qu'elle démystifie. Elle peut préciser les vrais termes des choix. Mais elle ne peut choisir. Dans la mesure où la politique repose ainsi sur des choix, sur des engagements, ses concepts sont relativisés. Ils se définissent par rapport à des systèmes de valeurs déterminés. Ils ne signifient pas la même chose dans chacun. On peut décrire l'image marxiste de la politique, l'image libérale, l'image conservatrice, l'image fasciste, etc. Mais il n'existe pas d'image totalement»«objectivede la politique, parce qu'il n'y a pas de politique totalement objective. La science politique peut séparer les éléments objectifs de ceux qui ne le sont pas, et faire ainsi la critique de chaque conception. Elle

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