Séance 1 : Introduction aux théories et aux paradigmes

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Séance 1 : Introduction aux théories et aux paradigmes"

Transcription

1 Séance 1 : Introduction aux théories et aux paradigmes 1. Définition du terme «théorie» 1.1 Votre point de vue Proposez une définition générale. Donnez un exemple de théorie. Expliquez son intérêt, son apport.

2 1.2 Une définition Avoir un raisonnement théorique, abstrait, conceptuel, c est faire des liens entre des observations très diverses entre lesquelles il semble n y avoir aucun rapport. Pour passer de la théorie aux observations sur le terrain et vice-versa, il faut adopter, soit un raisonnement inductif, soit un raisonnement déductif. La démarche inductive signifie que l on commence par observer des faits particuliers puis que l on passe du particulier au général. On «extrapole». La démarche déductive consiste à partir de considérations qui s appliquent assez largement.on passe du général au particulier. Voir la formation des hypothèses.

3 Une démarche à dominante empirique met l accent sur l induction. L observation tient une place centrale. Une démarche à dominante théorique met l accent sur la déduction. La conceptualisation joue le rôle majeur. Mais le tout est-il si simple? Des désaccords persistent entre les points de vue... Ces désaccords constituent une caractéristique importante de la science en «train de se faire».

4 1.3 Trois points de vue Pour Karl Popper, la théorie représente un savoir objectif. La vérification des hypothèses constitue le moyen de s assurer du lien entre théorie et réalité. Le positivisme. Pour Paul Feyerabend, le monde n existe pas en dehors de la perception humaine qui est forcément subjective. Une théorie se compose d ensembles plus ou moins cohérents d énoncés idéologiques. Le relativisme. Pour Michel Foucault, la théorie repose à la fois sur l observation et sur les intérêts sociaux. Les théories et idées qui s imposent dans une société sont la plupart du temps en phase avec les intérêts dominants (rapports savoir - pouvoir).

5 2. Définition du terme «paradigme» 2.1 La définition de Thomas Kuhn Un paradigme correspond à une vision de la société, une façon de voir le monde («la paire de lunettes»). Un paradigme regroupe des chercheurs, des chercheuses qui partagent : (1) une même définition de leur objet de recherche, (2) des problématiques voisines, (3) des démarches méthodologiques proches, (4) un lieu partagé, réel ou virtuel. Un paradigme regroupe souvent plusieurs théories développées parfois par des écoles à différentes époques.

6 Une idée, voire une théorie considérée comme étant scientifique doit être considérée comme légitime au sein de la communauté des chercheurs. Un chercheur qui fait des recherches au sein d un paradigme est reconnu par ses pairs. Ses idées doivent être largement compatibles avec les idées développées antérieurement. Il y a alors développement cumulatif des sciences. Mais les idées, les théories s affrontent les unes les autres. Il est d ailleurs rare qu en sciences humaines et sociales, un paradigme s impose à long terme. La connaissance scientifique progresse à travers les controverses et peut-être grâce à elles.

7 2.2 Les paradigmes et les études en communication (1) une même définition de l objet de recherche : la communication, la culture, l information, un média, c est quoi? (2) des problématiques voisines : l importance de partager un questionnement. Exemples : Quel est l impact des films violents sur les enfants? Quelle influence la pornographie a-t-elle sur les jeunes? Comment peut-on voir que les rituels communicationnels sont liés à des structures sociales? Comment les places respectives des femmes et des hommes dans les émissions télévisées témoignent-elles de la structure du patriarcat?

8 Quelle place les adolescents accordent-ils aux ordinateurs et à Internet dans leur vie? Quels usages les gens font-ils de leurs téléphones mobiles pendant leurs périodes de travail? (3) des démarches méthodologiques proches : approches quantitative ou/et qualitative, étude de documents, analyses d entretiens, etc. Exemples : travail sur le contenus informationnels et culturels, travail sur les échanges d information au sein des réseaux sociaux, travail sur la réception d émissions télévisées, etc. (4) un lieu partagé, réel ou virtuel : une ville (Francfort, Palo Alto par exemple), l entreprise ou l université, etc.

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont

Plus en détail

Consolidation de fondamentaux

Consolidation de fondamentaux Consolidation de fondamentaux Introduction aux Sciences de l Information et de la Communication Consolidation - Stéphanie MARTY - 2009/2010 1 Consolidation de fondamentaux Démarche en sciences humaines

Plus en détail

Master européen en traduction spécialisée. Syllabus - USAL

Master européen en traduction spécialisée. Syllabus - USAL Master européen en traduction spécialisée Syllabus - USAL L Université de Salamanque propose une spécialisation en Traduction éditoriale et technique au cours du premier semestre TRADUCTION EDITORIALE

Plus en détail

«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner?

«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner? «Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner? Congrès du CNGE Angers Novembre 2008 Sébastien Cadier*, Isabelle Aubin**, Pierre Barraine* *Département de médecine générale

Plus en détail

Chapitre 2 : Abstraction et Virtualisation

Chapitre 2 : Abstraction et Virtualisation Virtualisation et Cloud Computing Chapitre 2 : Abstraction et Virtualisation Objectifs Présenter la notion de niveaux d abstraction séparés par des interfaces bien définies Description des avantages et

Plus en détail

Projet : Ecole Compétences Entreprise ECONOMIE TECHNICIEN/TECHNICIENNE EN COMPTABILITE

Projet : Ecole Compétences Entreprise ECONOMIE TECHNICIEN/TECHNICIENNE EN COMPTABILITE Projet : Ecole Compétences Entreprise SECTEUR 7 ECONOMIE ORIENTATION D' ETUDES : TECHNICIEN/TECHNICIENNE EN COMPTABILITE Outils pédagogiques construits selon l approche FORMATION EN COURS DE par les compétences

Plus en détail

Gestion des données énergétiques GDE (EDM)

Gestion des données énergétiques GDE (EDM) Fiche produit Gestion des données énergétiques GDE (EDM) 1. Généralités Cette fiche produit fait partie intégrante du contrat. Les dispositifs de mesure utilisés pour la facturation de nos prestations

Plus en détail

Cloud Computing. Une feuille de route pour la France

Cloud Computing. Une feuille de route pour la France Cloud Computing Une feuille de route pour la France Le Cloud computing annonce la fin d une ère de l informatique - celle des systèmes d informations juxtaposés, de façon parfois chaotique au sein de

Plus en détail

La pratique du coaching en France. Baromètre 2010

La pratique du coaching en France. Baromètre 2010 SFCoach : crée du lien entre le monde du travail et les professionnels de l accompagnement La pratique du coaching en France Baromètre 2010 Fondée en 1996 22, Bd Sébastopol 75004 Paris Association 1901

Plus en détail

Formation à la systémique pour consultants et personnels RH

Formation à la systémique pour consultants et personnels RH J.A. Malarewicz Conseil Conseil, Formation, Supervision, Coaching S.A.S. au capital de 8OOO TVA : FR 36478450471 SIRET : 478 450471 00014 N formateur 11921445592 Région IdF 11 rue du Professeur Leroux

Plus en détail

La Carpa, outil d auto-régulation de la profession d avocat et de lutte contre le blanchiment d argent

La Carpa, outil d auto-régulation de la profession d avocat et de lutte contre le blanchiment d argent La Carpa, outil d auto-régulation de la profession d avocat et de lutte contre le blanchiment d argent Tout avocat peut être confronté, dans le cadre de son exercice professionnel, à la question du blanchiment

Plus en détail

ÊTRE ADOLESCENT, VIVRE, AIMER, SÉDUIRE À L ÈRE DU NUMÉRIQUE. ADOPTONS LE

ÊTRE ADOLESCENT, VIVRE, AIMER, SÉDUIRE À L ÈRE DU NUMÉRIQUE. ADOPTONS LE ÊTRE ADOLESCENT, VIVRE, AIMER, SÉDUIRE À L ÈRE DU NUMÉRIQUE. ADOPTONS LE SUR LE NET, J AI DES DROITS ET DES DEVOIRS. JE RÉFLÉCHIS AVANT DE CLIQUER. JE ME RESPECTE ET JE RESPECTE LES AUTRES. C EST MON VENGEANCE

Plus en détail

Ce que nous rencontrons dans les établissements privés : 1-Le réseau basique :

Ce que nous rencontrons dans les établissements privés : 1-Le réseau basique : Ce que nous rencontrons dans les établissements privés : 1-Le réseau basique : Il s agit d un réseau filaire partagé par l ensemble des acteurs de l établissement (administratifs, enseignants, élèves ).

Plus en détail

Règlement du concours 400 Coups «Selfie»

Règlement du concours 400 Coups «Selfie» Règlement du concours 400 Coups «Selfie» L agence culturelle de Wallonie picarde, Culture Wapi asbl, sise Rue de la Citadelle 124/29 à 7500 Tournai (ci-après «les organisateurs») organisent un concours

Plus en détail

Baromètre Bretagne Culture Diversité

Baromètre Bretagne Culture Diversité Baromètre Bretagne Culture Diversité SYNTHèSE DES RéSULTATS 2014 Baromètre Bretagne Culture Diversité Synthèse des résultats 2014 introduction L association Bretagne culture diversité/sevenadurioù a décidé

Plus en détail

Le coaching centré sur la solution

Le coaching centré sur la solution Le coaching centré sur la solution Hélène Blanchard Le coaching centré sur la solution La résolution du problème... sans le problème mais avec la synergie IOS/PNL Retrouvez tous nos ouvrages sur le site:

Plus en détail

MANUEL D UTILISATION DE LA SALLE DES MARCHES APPEL D OFFRES OUVERT ACCES ENTREPRISES. Version 8.2

MANUEL D UTILISATION DE LA SALLE DES MARCHES APPEL D OFFRES OUVERT ACCES ENTREPRISES. Version 8.2 MANUEL D UTILISATION DE LA SALLE DES MARCHES APPEL D OFFRES OUVERT ACCES ENTREPRISES Version 8.2 Vous allez utiliser les services en ligne de la plate forme de dématérialisation de la Salle des Marchés

Plus en détail

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il

Plus en détail

UE 4 Comptabilité et Audit. Le programme

UE 4 Comptabilité et Audit. Le programme UE 4 Comptabilité et Audit Le programme Légende : Modifications de l arrêté du 8 mars 2010 Suppressions de l arrêté du 8 mars 2010 Partie inchangée par rapport au programme antérieur 1. Information comptable

Plus en détail

La vie privée à l ère du numérique : approches philosophiques et informatiques

La vie privée à l ère du numérique : approches philosophiques et informatiques La vie privée à l ère du numérique : approches philosophiques et informatiques - Doctorant Encadrement : Christine Verdier, Philippe Saltel Aurelien.Faravelon@imag.fr 1 Plan Introduction : un monde de

Plus en détail

GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE

GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE 1 - LA DEFINITION DES OBJECTIFS DE LA SEQUENCE : - Ai-je bien identifié l objectif de la séquence? - Est-il clairement situé dans la progression générale

Plus en détail

Section 1. Actions de formation organisées ou agréées par l administration en vue de la préparation aux concours et examens professionnels

Section 1. Actions de formation organisées ou agréées par l administration en vue de la préparation aux concours et examens professionnels section temps de travail LES AUTORISATIONS D ABSENCE LIEES A LA FORMATION PROFESSIONNELLE TITRE I : LES TITULAIRES TROISIEME PARTIE : LES AUTORISATIONS D ABSENCE DEUXIEME CHAPITRE : LA FORMATION PROFESSIONNELLE

Plus en détail

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française

La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française Étude réalisée par le Centre de Recherche pour l'étude et l'observation des Conditions de Vie (CREDOC) pour

Plus en détail

TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut?

TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce document est traduit et librement adapté

Plus en détail

à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq

à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq e élevé Risque faible Risq à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq L e s I n d i c e s F u n d a t a é Risque Les Indices de faible risque

Plus en détail

Soutenance. Les enjeux de l attention. Elvire Fotso Fabien Lainé 30/06/10

Soutenance. Les enjeux de l attention. Elvire Fotso Fabien Lainé 30/06/10 Soutenance Les enjeux de l attention Elvire Fotso Fabien Lainé 30/06/10 Plan Contexte : notre étude Enjeux juridiques Attentes Buyer Attentes user Use case Matrice bilan 2 1. Contexte La société partenaire,

Plus en détail

V 8.2. Vous allez utiliser les services en ligne de la plate forme de dématérialisation de la Salle des Marchés achatpublic.com.

V 8.2. Vous allez utiliser les services en ligne de la plate forme de dématérialisation de la Salle des Marchés achatpublic.com. MANUEL D UTILISATION DE LA SALLE DES MARCHES ACCES ENTREPRISES V 8.2 APPEL D OFFRES RESTREINT Vous allez utiliser les services en ligne de la plate forme de dématérialisation de la Salle des Marchés achatpublic.com.

Plus en détail

Le coaching d entreprise. Réalisé par: Tarik KELLAF

Le coaching d entreprise. Réalisé par: Tarik KELLAF Le coaching d entreprise Réalisé par: Tarik KELLAF L intérêt du sujet L importance de la pratique du coaching au sein de l entreprise afin d orienter le personnel, booster sa motivation et mettre en place

Plus en détail

concevoir, mettre en œuvre et maintenir un réseau informatique

concevoir, mettre en œuvre et maintenir un réseau informatique Cisco Systems est le leader mondial en matériel réseau. Le programme Cisco Networking Academy permet d acquérir les connaissances nécessaires pour concevoir, mettre en œuvre et maintenir un réseau informatique.

Plus en détail

FINANCEMENT DE «PARTENAIRE PILOTE»

FINANCEMENT DE «PARTENAIRE PILOTE» Manuel de mise en œuvre de la communication pour le changement social et comportemental (CCSC) à destination des adolescents en milieu urbain en matière de santé sexuelle et reproductive (SSR) Organisation

Plus en détail

«Est-ce que mon enfant est à risques?» Sécurité sur la rue

«Est-ce que mon enfant est à risques?» Sécurité sur la rue «Est-ce que mon enfant est à risques?» Sécurité sur la rue 1. Est-ce que votre enfant sait ce qu est un inconnu? 2. Est-ce que votre enfant connaît la différence entre un bon et un mauvais inconnu? 3.

Plus en détail

La Tête à Toto par Henri Bokilo

La Tête à Toto par Henri Bokilo La Tête à Toto par Henri Bokilo Fabriques de sociologie dyonisiennes - Rennes - juillet 2012 Les Fabriques de Saint-Denis (http://www.les-seminaires.eu/les-fabriques-de-sociologie-93/) associent des habitants,

Plus en détail

Rapport sommaire Chaîne d approvisionnement des solutions de réseaux (CASR) Webinaire sur la consultation avec les fournisseurs Division des Réseaux

Rapport sommaire Chaîne d approvisionnement des solutions de réseaux (CASR) Webinaire sur la consultation avec les fournisseurs Division des Réseaux Rapport sommaire Chaîne d approvisionnement des solutions de réseaux (CASR) Webinaire sur la consultation avec les fournisseurs Table des matières RÉSUMÉ... 3 BUT DE L ÉVÉNEMENT... 4 EXPOSÉS... 4 EXPOSÉ

Plus en détail

LES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS

LES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS ACTIVISION Coaching : un cursus de formation complet accrédité ICF pour acquérir les compétences et la posture du coach professionnel. Une formation professionnelle, pour des professionnels, par des professionnels.

Plus en détail

GLSE301 - TP séance 7 : Travail collaboratif à distance

GLSE301 - TP séance 7 : Travail collaboratif à distance Objectifs GLSE301 - TP séance 7 : Travail collaboratif à distance Découverte d'un système de partage de documents (textes mis en forme, tableaux issus de tableurs) entre plusieurs personnes qui sont amenées

Plus en détail

FICHE METIER. «Opérateur de prises de vue» Opérateur de prises de vue vidéo. Cadreur. Pointeur vidéo APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER

FICHE METIER. «Opérateur de prises de vue» Opérateur de prises de vue vidéo. Cadreur. Pointeur vidéo APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER Opérateur de prises de vue Version 1 «Opérateur de prises de vue» APPELLATION(S) DU METIER Opérateur de prises de vue vidéo Cadreur Pointeur vidéo DEFINITION DU METIER L'opérateur de prises de vue assure

Plus en détail

DESJARDINS SÉCURITÉ FINANCIÈRE, COMPAGNIE D ASSURANCE VIE, est partie à une entente avec la Ville aux fins de gérer le régime de retraite établi;

DESJARDINS SÉCURITÉ FINANCIÈRE, COMPAGNIE D ASSURANCE VIE, est partie à une entente avec la Ville aux fins de gérer le régime de retraite établi; VILLE DE SAINT-LAZARE MRC DE VAUDREUIL-SOULANGES PROVINCE DE QUÉBEC RÈGLEMENT NUMÉRO 755 AUTORISANT LA CONCLUSION D UN NOUVEAU CONTRAT AUX FINS DE GÉRER LES COTISATIONS DES EMPLOYÉS AU RÉGIME DE RETRAITE

Plus en détail

Méthodes de recherches et rédaction des mémoires

Méthodes de recherches et rédaction des mémoires 1 Méthodes de recherches et rédaction des mémoires Matériel de cours Institut des hautes études en administration publique (IDHEAP) Février 1999 Daniel Schneider TECFA, Faculté de Psychologie et des Sciences

Plus en détail

L érotisme des problèmes

L érotisme des problèmes L érotisme des problèmes Apprendre à philosopher au risque du désir «Tous les hommes ont naturellement le désir de savoir», écrit Aristote. Si seulement! L incipit de La Métaphysique ne saurait être un

Plus en détail

LICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE

LICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE LICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE Spécialité: Gestion Clientèle Particuliers Arrêté d habilitation : 20090979 REGLEMENT DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES 2013-2015 VU la loi 84-52 du 26 janvier

Plus en détail

TP Service HTTP Serveur Apache Linux Debian

TP Service HTTP Serveur Apache Linux Debian Compte rendu de Raphaël Boublil TP Service HTTP Serveur Apache Linux Debian Tout au long du tp, nous redémarrons le service apache constamment pour que les fi de configuration se remettent à jour - /etc/init.d/apache2

Plus en détail

Master Etudes françaises et francophones

Master Etudes françaises et francophones Master Etudes françaises et francophones 1. modèle scientifique et profilage des contenus de la filière / Présentation et spécificités de la filière Les études romanes à Leipzig sont considérées comme

Plus en détail

La virtualisation, si simple!

La virtualisation, si simple! La virtualisation, si simple! par Michel Guy Paiement Les mardi 15 juin 2010 & jeudi 17 juin 2010 Securecom Services Conseils inc. 507, Place D Armes, bureau 1160 Montréal, Québec H2Y 2W8 Tél: 514 544-0442

Plus en détail

Qu est-ce qu une problématique?

Qu est-ce qu une problématique? Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?

Plus en détail

T.D. N 1. 2 : Déterminer les deux côtés du cours de USD/EUR pour une marge sur le cours d équilibre, de : 21 : 4%; 22 : 320 points.

T.D. N 1. 2 : Déterminer les deux côtés du cours de USD/EUR pour une marge sur le cours d équilibre, de : 21 : 4%; 22 : 320 points. UNIVERSITE FELIX HOUPHOUET-BOIGNY D ABIDJAN ANNEE UNIVERSITAIRE T.D. N 1 EXERCICE 1 : Lors d une séance de cotation au fixing, une salle des marchés a enregistré les ordres d achat et de vente suivants

Plus en détail

Organisation des enseignements au semestre 7

Organisation des enseignements au semestre 7 Organisation des enseignements au semestre 7 UE1 : Pratiques pédagogiques différenciées et adaptées aux besoins éducatifs particuliers (responsable : J. Divry) Transmettre des connaissances et des références

Plus en détail

L AUDIT DE L ETHIQUE DES AFFAIRES,

L AUDIT DE L ETHIQUE DES AFFAIRES, L AUDIT DE L ETHIQUE DES AFFAIRES, CROISEMENT DE L AUDIT SOCIAL ET DU CONTROLE INTERNE Michel JORAS CIRCEE Centre de recherche de l esce Enseignant chercheur à l Ecole Supérieure du Commerce Extérieur

Plus en détail

Votre santé, notre quotidien 2014/2015. www.essentissime.com

Votre santé, notre quotidien 2014/2015. www.essentissime.com Votre santé, notre quotidien 2014/2015 www.essentissime.com ESSENTISSIME TM (Limité à 15 jours) 100 % FR (Limité à 15 jours en psychiatrie) Plafond année 1 (*) 100 Plafond année 2 150 Plafond année 3 et

Plus en détail

Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick

Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick SONDAGE SUR L ATTITUDE DES PARENTS ENVERS L ÉDUCATION EN MATIÈRE DE SANTÉ SEXUELLE Nota : Vous pouvez transmettre ce sondage de

Plus en détail

FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles

FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

Contenu. N Pages. Formavision: Une approche pratique de la formation 2. Objectifs de la séance 3

Contenu. N Pages. Formavision: Une approche pratique de la formation 2. Objectifs de la séance 3 QUAND LE MANAGER DEVIENT "COACH"... GUIDE DE L'ANIMATEUR LA BOITE A OUTILS D U M A N A G E R Contenu Formavision: Une approche pratique de la formation 2 Objectifs de la séance 3 Les cinq étapes pour qu'un

Plus en détail

Rappel sur les bases de données

Rappel sur les bases de données Rappel sur les bases de données 1) Généralités 1.1 Base de données et système de gestion de base de donnés: définitions Une base de données est un ensemble de données stockées de manière structurée permettant

Plus en détail

Métriques, classements et politique scientifique des Etablissements

Métriques, classements et politique scientifique des Etablissements Métriques, classements et politique scientifique des Etablissements Michel Blanc Bayesté Leclaire Ecole polytechnique, Palaiseau Quelques références clés Rapport au Sénat sur le défi des classements dans

Plus en détail

MANDAT DU COMITÉ DE PLACEMENT DU FONDS DE PENSION BANQUE DU CANADA

MANDAT DU COMITÉ DE PLACEMENT DU FONDS DE PENSION BANQUE DU CANADA 24 septembre 2013 MANDAT DU COMITÉ DE PLACEMENT DU FONDS DE PENSION BANQUE DU CANADA 1. Introduction La Banque du Canada (la «Banque») est l administrateur du Régime de pension de la Banque du Canada (le

Plus en détail

Programme de formation de certification au Coaching PCM

Programme de formation de certification au Coaching PCM Programme de formation de certification au Coaching PCM Fruit de l intégration de référentiels éprouvés et reconnus dans le domaine de la relation humaine (PNL, Analyse Transactionnelle, Systémique, CNV,

Plus en détail

C NoVi Festival 2015 Règlement du concours

C NoVi Festival 2015 Règlement du concours C NoVi Festival 2015 Règlement du concours Le festival du court-métrage de prévention santé Le C NoVi Festival 3 ème édition du Festival du court-métrage de prévention I. Organisation L IREPS Réunion organise,

Plus en détail

ATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation

ATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation ATELIER PARISIEN D URBANISME Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation AVRIL 2015 Directrice de la publication : Dominique Alba Étude réalisée par : François Mohrt Sous la direction

Plus en détail

Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques

Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques POYET Françoise, (7095) Introduction Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques Depuis quelques années, on assiste à une stabilisation informatique des Technologies de l Information et de la

Plus en détail

Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF

Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF ASSISTANT DEPUTY MINISTER (FINANCE AND CORPORATE SERVICES) SOUS-MINISTRE ADJOINT (FINANCES ET SERVICES DU MINISTÈRE) Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF Allan Weldon!

Plus en détail

La recherche en soins infirmiers

La recherche en soins infirmiers La recherche en soins infirmiers 2e module Le processus de recherche 1 re partie : le cadre conceptuel Margot Phaneuf, inf. PhD. Révision, 2013 1 Ces informations sont tirées d un didacticiel préparé pour

Plus en détail

Les outils de communication essentiels pour démarrer. Animé par : Virginie ROCHAT, Gérante - EBULLISTIK Aurélien PASQUIER, Dirigeant - SCENARII

Les outils de communication essentiels pour démarrer. Animé par : Virginie ROCHAT, Gérante - EBULLISTIK Aurélien PASQUIER, Dirigeant - SCENARII Les outils de communication essentiels pour démarrer Animé par : Virginie ROCHAT, Gérante - EBULLISTIK Aurélien PASQUIER, Dirigeant - SCENARII «On ne peut pas ne pas communiquer» Mais Paul WATZLAWICK (Ecole

Plus en détail

Évaluation et implémentation des langages

Évaluation et implémentation des langages Évaluation et implémentation des langages Les langages de programmation et le processus de programmation Critères de conception et d évaluation des langages de programmation Les fondations de l implémentation

Plus en détail

N 2564 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI

N 2564 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI N 2564 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 11 février 2015. PROPOSITION DE LOI tendant à développer l usage

Plus en détail

SCIENCES DE L ÉDUCATION

SCIENCES DE L ÉDUCATION UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance

Plus en détail

Une discipline scolaire

Une discipline scolaire Les éléments constitutifs d une discipline scolaire Selon Michel Develay, De l apprentissage à l enseignement, Paris ESF éditeur, 1992, 2004 6, p. 32, «une discipline scolaire peut être définie par objets

Plus en détail

Types de REA produites dans le cadre de la séquence pédagogique

Types de REA produites dans le cadre de la séquence pédagogique Scénario pédagogique APPRENDRE À ENSEIGNER AUTREMENT Description générale du scénario Titre Les bases de données relationnelles Résumé Dans le cadre d'un cours à distance, la visioconférence est une REA

Plus en détail

TABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28

TABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28 Ordonnance n 03-08 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003 relative à la protection des schémas de configuration des circuits intégrés TABLE DES MATIERES Articles Titre I : Dispositions

Plus en détail

Conseil d administration. Du 1 Avril 2011

Conseil d administration. Du 1 Avril 2011 Conseil d administration Du 1 Avril 2011 Vérification du quorum Nombre de membres : 24 Nombre de présents : 13 Quorum atteint au 13 ème membre présent Quorum atteint : Oui Début du conseil d administration

Plus en détail

Systèmes de recommandation de produits Projet CADI Composants Avancés pour la DIstribution

Systèmes de recommandation de produits Projet CADI Composants Avancés pour la DIstribution Journée DAPA du 26 mars 2009 Systèmes de recommandation de produits Projet CADI Composants Avancés pour la DIstribution Michel de Bollivier michel.debollivier@kxen.com Agenda Projet CADI La recommandation

Plus en détail

La DRH face aux défis du numérique. Enquête Solucom 2014

La DRH face aux défis du numérique. Enquête Solucom 2014 La DRH face aux défis du numérique Enquête Solucom 2014 L enquête Solucom 2014 À propos de l enquête Notre ambition : évaluer les impacts du numérique sur la fonction RH Mesurer, au sein des organisations,

Plus en détail

Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact

Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact Niveau / âge des participants Enfants (à partir de 12 ans), adolescents et adultes. Temps/durée d animation Environ ¼ d heure. Nombre d animateurs

Plus en détail

Photos et Droit à l image

Photos et Droit à l image Photos et Droit à l image 1) Le droit à l image (photos-vidéos) L atteinte au droit à l image n est pas caractérisée dès lors que la personne photographiée n est pas identifiable et que sa vie privée n

Plus en détail

RETOUR SUR LA RÉFORME DES ALLOCATIONS D INSERTION

RETOUR SUR LA RÉFORME DES ALLOCATIONS D INSERTION Annexe 2 (doc. IW/13/CM.08) RETOUR SUR LA RÉFORME DES ALLOCATIONS D INSERTION (an c i e n n e m e n t «a l l o c a t i o n s d a t t e n t e») D ici exactement 475 jours, le 1 er janvier 2015, 30.000 personnes

Plus en détail

PUBLICITÉ ET CRÉDIT À LA CONSOMMATION. Les modifications apportées par la Loi du 1 er juillet 2010

PUBLICITÉ ET CRÉDIT À LA CONSOMMATION. Les modifications apportées par la Loi du 1 er juillet 2010 PUBLICITÉ ET CRÉDIT À LA CONSOMMATION Les modifications apportées par la Loi du 1 er juillet 2010 La Directive «crédit à la consommation» du 23 avril 2008 a été transposée par la loi n 2010-737 du 1 er

Plus en détail

Avis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde»

Avis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde» Commission Planification Séance du 24 mai 2012 Délibération n DL/CB/12-XX Avis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde» Le comité de bassin délibérant

Plus en détail

MASTER 2 INFORMATION, COMMUNICATION PARCOURS COMMUNICATIONS NUMÉRIQUES ET ORGANISATIONS

MASTER 2 INFORMATION, COMMUNICATION PARCOURS COMMUNICATIONS NUMÉRIQUES ET ORGANISATIONS MASTER 2 INFORMATION, COMMUNICATION PARCOURS COMMUNICATIONS NUMÉRIQUES ET ORGANISATIONS RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master Domaine ministériel : Sciences humaines et sociales Mention : Information,

Plus en détail

Introduction à la méthodologie de la recherche

Introduction à la méthodologie de la recherche MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape

Plus en détail

Notoriété et perception de l IAE

Notoriété et perception de l IAE Sondage grand public Notoriété et perception de l IAE Avril 2009 Sondage AVISE réalisé par Opinionway pour le compte de la Caisse des dépôts, le CNAR IAE, le CNIAE et la DGEFP. Méthodologie L échantillon

Plus en détail

CHARTE D UTILISATION DES MATERIELS, DE L INTERNET, DES RESEAUX ET DES SERVICES MULTIMEDIAS DANS LE CADRE EDUCATIF DE L ETABLISSEMENT SCOLAIRE

CHARTE D UTILISATION DES MATERIELS, DE L INTERNET, DES RESEAUX ET DES SERVICES MULTIMEDIAS DANS LE CADRE EDUCATIF DE L ETABLISSEMENT SCOLAIRE CHARTE D UTILISATION DES MATERIELS, DE L INTERNET, DES RESEAUX ET DES SERVICES MULTIMEDIAS DANS LE CADRE EDUCATIF DE L ETABLISSEMENT SCOLAIRE ENTRE : L établissement scolaire Jean Baptiste de la Salle,

Plus en détail

Roland VANDERMEEREN, Conseiller d Etat honoraire, avocat au barreau de Paris (cabinet Gide Loyrette Nouel)

Roland VANDERMEEREN, Conseiller d Etat honoraire, avocat au barreau de Paris (cabinet Gide Loyrette Nouel) Commentaires 27 Nouvelle réforme de l urbanisme commercial MCC n os 87000 s. 14 Roland VANDERMEEREN, Conseiller d Etat honoraire, avocat au barreau de Paris (cabinet Gide Loyrette Nouel) 1. La loi 2014-626

Plus en détail

InFlow (Information Flow) : un modèle d application pour la maîtrise de l information appliquée

InFlow (Information Flow) : un modèle d application pour la maîtrise de l information appliquée InFlow (Information Flow) : un modèle d application pour la maîtrise de l information appliquée Synthèse du modèle Sarah McNicol ESRI, Manchester Metropolitan University, UK s.mcnicol@mmu.ac.uk Traduction

Plus en détail

Ministère délégué à la Sécurité sociale, aux Personnes âgées, aux Personnes handicapées et à la Famille Dossier de presse

Ministère délégué à la Sécurité sociale, aux Personnes âgées, aux Personnes handicapées et à la Famille Dossier de presse Ministère délégué à la Sécurité sociale, aux Personnes âgées, aux Personnes handicapées et à la Famille Dossier de presse Les logiciels de contrôle parental mercredi 26 avril 2006 Ministère délégué à la

Plus en détail

LE PLAISIR D APPRENDRE POUR APPRENDRE

LE PLAISIR D APPRENDRE POUR APPRENDRE Ville-École-Intégration, n 119, décembre 1999 LE PLAISIR D APPRENDRE POUR APPRENDRE Jean-Pierre ARCHAMBAULT (*) Les TICE favorisent le travail collectif et aident au travail individuel, ont l attrait de

Plus en détail

Ordonnance sur l engagement d entreprises de sécurité privées par la Confédération

Ordonnance sur l engagement d entreprises de sécurité privées par la Confédération Ordonnance sur l engagement d entreprises de sécurité privées par la Confédération (Ordonnance sur l engagement d entreprises de sécurité, OESS) du 31 octobre 2007 Le Conseil fédéral suisse, vu l art.

Plus en détail

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE Un problème de recherche est l écart qui existe entre ce que nous savons et ce que nous voudrions savoir à propos d un phénomène donné. Tout problème de recherche

Plus en détail

Des compétences numériques à la littératie numérique

Des compétences numériques à la littératie numérique Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2014 10, juin 2014 www.ftu.be/ep Des compétences numériques à la littératie numérique Quels enjeux derrière l évolution de ces

Plus en détail

LE DISCOURS RAPPORTÉ

LE DISCOURS RAPPORTÉ LE DISCOURS RAPPORTÉ Le discours rapporté Le discours rapporté direct et indirect On parle de discours rapporté quand une personne rapporte les paroles d une autre personne ou bien ses propres paroles.

Plus en détail

Conférence. 4 février 2013 www.didac-tic.org Daniel Allgöwer, enseignant au CPNV

Conférence. 4 février 2013 www.didac-tic.org Daniel Allgöwer, enseignant au CPNV Conférence 4 février 2013 www.didac-tic.org Daniel Allgöwer, enseignant au CPNV Sommaire Présenter la spécificité des tablettes Quelques exemples de possibilités pédagogiques Quelques directions pour le

Plus en détail

Formation Conseil - Recrutement

Formation Conseil - Recrutement Gobbelsrode 42, 3220 HOLSBEEK. Tél: 016/62.35.22 info@amvr.be www.amvr.be Formation Conseil - Recrutement Formation Points de départ : Notre objectif principal est de contribuer au succès de votre entreprise.

Plus en détail

ANNEXE 1 RECOMMANDATIONS DEONTOLOGIQUES APPLICABLES AUX SERVICES SMS+ / MMS+

ANNEXE 1 RECOMMANDATIONS DEONTOLOGIQUES APPLICABLES AUX SERVICES SMS+ / MMS+ ANNEXE 1 RECOMMANDATIONS DEONTOLOGIQUES APPLICABLES AUX SERVICES SMS+ / MMS+ Outre les présentes règles déontologiques, l Editeur de service par SMS/MMS, ci-après l Editeur, s'engage à respecter l ensemble

Plus en détail

Organiser, plannifier

Organiser, plannifier Dossier HABITAT - Organiser, plannifier Organiser, plannifier 010-011 Les métiers et l organisation Situation de départ : Les travaux de la maison vont commencer, qui doit intervenir en premier, comment

Plus en détail

MATH0062-1 ELEMENTS DU CALCUL DES PROBABILITES

MATH0062-1 ELEMENTS DU CALCUL DES PROBABILITES MATH0062-1 ELEMENTS DU CALCUL DES PROBABILITES REPETITIONS et PROJETS : INTRODUCTION F. Van Lishout (Février 2015) Pourquoi ce cours? Sciences appliquées Modélisation parfaite vs monde réel Comment réussir

Plus en détail

Microsoft Excel : tables de données

Microsoft Excel : tables de données UNIVERSITE DE LA SORBONNE NOUVELLE - PARIS 3 Année universitaire 2000-2001 2ème SESSION SLMD2 Informatique Les explications sur la réalisation des exercices seront fournies sous forme de fichiers informatiques.

Plus en détail

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège

Plus en détail

Morphosyntaxe de l'interrogation en conversation spontanée : modélisation et évaluations

Morphosyntaxe de l'interrogation en conversation spontanée : modélisation et évaluations U Université dumaine Faculté des Lettres, Langues et Sciences humaines Morphosyntaxe de l'interrogation en conversation spontanée : modélisation et évaluations Carole Lailler 1 L interrogation : une modalité

Plus en détail

La formation hybride : une continuité naturelle de formations en présentiel qui utilisent les technopédagogies?

La formation hybride : une continuité naturelle de formations en présentiel qui utilisent les technopédagogies? La formation hybride : une continuité naturelle de formations en présentiel qui utilisent les technopédagogies? Pascale Blanc, Directrice de la (GTI) 6 ème colloque du CIRTA 16 novembre 2009 HEC Montréal

Plus en détail

Appel à projets. Numérique éducatif DOSSIER DE CANDIDATURE. Création d un Cours en ligne ouvert et massif (CLOM, en anglais MOOC)

Appel à projets. Numérique éducatif DOSSIER DE CANDIDATURE. Création d un Cours en ligne ouvert et massif (CLOM, en anglais MOOC) Appel à projets Numérique éducatif 2014 2015 DOSSIER DE CANDIDATURE Création d un Cours en ligne ouvert et massif (CLOM, en anglais MOOC) 1. CONTEXTE Les cours en ligne ouverts et massifs (CLOMs, en anglais

Plus en détail

MASTER PROFESSIONNEL

MASTER PROFESSIONNEL Année 2010/2011 Domaine LETTRES ET SCIENCES HUMAINES MASTER PROFESSIONNEL (cohabilitation des Universités BORDEAUX 1, BORDEAUX 2, BORDEAUX 3 et Sciences-Po Bordeaux) Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET MEDIATIONS

Plus en détail

S T A T U T S. l'association des Conseils en Brevets dans l'industrie Suisse (ACBIS) (du 23 novembre 1974 dans la version du 4 mai 2012)

S T A T U T S. l'association des Conseils en Brevets dans l'industrie Suisse (ACBIS) (du 23 novembre 1974 dans la version du 4 mai 2012) S T A T U T S de l' () (du 23 novembre 1974 dans la version du 4 mai 2012) I. Nom, siège, buts Article 1 Sous la dénomination «'» (), respectivement «" (VIPS), appelée ci-après «l Association", est constituée

Plus en détail