Les mots ont une signification commune et stable, laquelle nous permet de mettre en commun nos pensées et nos sentiments.
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- Marie-Laure Lheureux
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1 C O R R I G É Éléments d analyse NOTIONS EN JEU Le langage; la perception; l interprétation. THÈSE ADVERSE Les mots ont une signification commune et stable, laquelle nous permet de mettre en commun nos pensées et nos sentiments. PROCÉDÉS D ARGUMENTATION Thomas Hobbes part d une réflexion générale sur la nature du langage et la signification changeante des mots, pour l appliquer au cas particulier des termes moraux. DÉCOUPAGE DU TEXTE ET IDÉES PRINCIPALES m Dans la première partie du texte (du début à «différentes passions»), Hobbes expose sa thèse concernant la nature affective et subjective du langage. m Dans la seconde partie (de «C est pourquoi, lorsqu ils raisonnent» à la fin), il indique les conséquences de cette thèse, à savoir que, quand il est question de vices et de vertus, les hommes ne mettent pas la même chose sous les mêmes mots. L ambiguïté du langage implique donc, de fait, la relativité de la moralité. REMARQUES ET DIFFICULTÉS Le texte est clair. La difficulté est d en dégager l enjeu. La thèse paraît choquante: à chacun son langage, selon la couleur de ses affections. D où la question: comment fait-on pour s entendre?
2 THÈME, QUESTION, THÈSE m Thème: La nature du langage. m Question: Quelles sont la nature et l origine du langage? Est-il fiable? m Thèse: Les mots ont une signification changeante parce que leur usage dépend des «affections» des hommes soit de leur manière individuelle de percevoir les choses. CORRIGÉ PLAN Introduction 1 Les mots ont une signification changeante 2 En matière de moralité, les hommes ne mettent pas la même chose sous les mêmes mots Conclusion Corrigé (corrigé complet) Introduction 1 Les mots ont un caractère d universalité qui nous permet de communiquer nos pensées et impressions, en ayant le sentiment d être compris de notre interlocuteur. Pourtant, il arrive bien souvent que nous ne mettions pas les mêmes choses sous les mêmes mots: comme le dit Thomas Hobbes dans ce texte, l un appellera péjorativement «prodigalité» ce que l autre nomme positivement «magnificence». D où cela vient-il? Nos mots ne dépendent-ils, comme l affirme ici l auteur, que de nos impressions subjectives ou «affections»? Mais dans ce cas, comment pouvons-nous encore nous entendre sur ce que nous disons? 1. Les mots ont une signification changeante Dans la première partie du texte (du début à «différentes passions»), Hobbes expose sa thèse: la signification des mots change en fonction des affections que nous leur associons: «Les noms des choses, qui ont la propriété de nous affecter, c est-à-dire de celles qui nous procurent 1. Les titres en gras servent à guider la lecture et ne doivent pas figurer sur la copie.
3 CORRIGÉ du plaisir ou du déplaisir, ont, dans la conversation courante des hommes, une signification changeante.» Le mot «maison», par exemple, évoque la famille et la sécurité pour l un, l enfermement pour l autre. Depuis l enfance, les mots renvoient à des expériences différentes. Pour cette raison, ils ont pour chacun une résonance particulière, et, du même coup, la propriété de nous procurer «du plaisir ou du déplaisir». Ainsi Thomas Hobbes définit-il «l affection»: ce qui «affecte» ou produit un effet positif ou négatif plaisir ou douleur sur nos sens et notre esprit, ce qui nous «impressionne», comme le dira David Hume plus tard. Les «noms des choses» qui ont cette propriété ont donc «une signification changeante parce que tous les hommes ne sont pas affectés [de la même façon] par la même chose, ni le même homme à des moments différents». Non seulement, comme on l a vu avec l exemple de la maison, leur sens varie d un homme à l autre, mais encore il se peut qu un mot associé à une expérience pénible dans l enfance prenne une connotation positive avec le temps, et inversement. Dans la seconde phrase du texte, Hobbes développe et justifie cette idée («en effet») : «Étant donné en effet que tous les noms sont donnés pour signifier nos représentations et que toutes nos affections ne sont rien d autre que des représentations, lorsque nous avons des représentations différentes des mêmes choses, nous ne pouvons pas facilement éviter de leur donner des noms différents.» Tout d abord, les noms signifient nos «représentations», c est-à-dire l idée que nous nous faisons des choses. Or l idée elle-même désigne l affection, soit la manière dont notre esprit est affecté par la chose, la manière dont il la reçoit. Il s agit donc ici d une conception empiriste, très proche de celle que Hume fera plus tard: nos représentations ne sont rien d autre que la manière dont notre esprit reçoit passivement les données fournies par les sens externes et internes sensations d un côté, sentiments et croyances de l autre. Or, comme nous nous faisons une idée différente des mêmes choses, nous leur donnons des noms différents. La «représentation» n a-t-elle donc jamais aucun caractère général? La réponse nous est donnée par Hobbes dans la phrase suivante: «Car même si la nature de ce que nous nous représentons est la même [ ].» Cette restriction indique que les mots conservent, en dépit des affections variables dont nous les chargeons, un caractère de généralité. C est même de la généralisation d expériences particulières que naît le mot,
4 comme convention. Tout le monde sait, par expérience, qu une maison a un toit, quatre murs, et sert à abriter les hommes des intempéries. Personne n ira confondre une maison et une cage. Or s il en est ainsi, c est que nos représentations des choses ou affections ont elles-mêmes des caractères communs, comme le mot dont elles sont indissociables. Pourtant, malgré la nature identique des choses que nous nous représentons, «il reste que la diversité des façons que nous avons de la recueillir ( ) donne à chaque chose une teinture de nos différentes passions». Nous percevons («recueillons») diversement ces idées générales en fonction de nos «passions». Le verbe «recueillir» renvoie ici à une passivité, ce que renforce le terme de passion. Les passions désignent en effet les phénomènes passifs de l âme, tout ce qui nous fait «pâtir», ce que nous subissons du fait de la «constitution de nos corps et des préventions de notre pensée». Par notre constitution sensorielle propre, nous percevons les choses de manière singulière, comme agréables ou désagréables. Nous aimons, par exemple, les épinards qu un autre a en horreur. Par nos «préventions» ou préjugés, nous sommes «prévenus» sur les choses, nous en jugeons avant même d en avoir fait l expérience ou d avoir les moyens rationnels de formuler sur elles un jugement. La prévention est bien en ce sens, comme l affirme Descartes, un jugement antérieur au jugement ce pour quoi elle est inaperçue: s il m était donné de connaître l origine de mes préventions sur les choses, je cesserais d en pré-juger, précisément. CORRIGÉ L idée est donc ici la suivante: sous l influence de nos préjugés et de nos goûts, lesquels sont variables, nous donnons à chaque chose et, partant, à chaque mot et représentation des choses la couleur de nos différentes passions. Et cela «même si la nature de ce que nous nous représentons est la même» en dépit des caractères généraux que nous reconnaissons à la chose, par conséquent. 2. En matière de moralité, les hommes ne mettent pas la même chose sous les mêmes mots Dans la seconde partie (de «C est pourquoi, lorsqu ils raisonnent» à la fin), Hobbes indique les conséquences de sa thèse: «C est pourquoi, lorsqu ils raisonnent, les hommes doivent prendre garde aux mots ( ) des vertus et des vices». Lorsque nous raisonnons, c est-à-dire lorsque nous enchaînons des propositions selon un ordre logique, que nous les déduisons les unes
5 CORRIGÉ des autres en vue de parvenir à une vérité commune, recevable par tous, nous devons «prendre garde», car: «au-delà de la signification que nous imaginons leur être propre», les mots ont une signification renvoyant à «la nature» de celui qui parle, c est-à-dire à ce qui le constitue en propre, sa manière de sentir et de penser, ainsi qu à (sa) «disposition et à (son) intérêt». Selon qu il est heureux ou triste par exemple, et selon l intérêt qu il met à défendre une vérité plutôt qu une autre, celui qui parle n attachera pas aux mots la même signification. Il va de soi que le mot «perte» n aura pas le même sens pour celui qui fait le deuil d un parent proche que pour celui qui vit la période la plus heureuse de sa vie. Or n y a-t-il pas des raisonnements où la nature, la disposition et l intérêt de celui qui parle sont plus évidemment en jeu? Dans la phrase suivante, Hobbes répond positivement à cette question en évoquant le cas des termes moraux: «tels sont les noms des vertus et des vices». Il est plus facile de ne pas faire entrer sa nature, sa disposition et son intérêt, dans un raisonnement mathématique que dans des considérations morales sur ce qu il convient de faire et de ne pas faire, ce qui est bien ou mal au regard de l action, par conséquent. Hobbes introduirait-il ici l idée d une relativité de la moralité elle-même, derrière celle des mots derrière le caractère changeant des mots? Suit une illustration de cette idée par des exemples: «car un homme appelle sagesse ce qu un autre appelle crainte; et l un appelle cruauté ce qu un autre appelle justice». L homme modéré dans ses sentiments peut passer pour un lâche à l égard de ses propres passions. De même, une action punitive servant à réparer un tort sera désignée comme «cruelle» d un point de vue individuel et affectif. «L un prodigalité ce qu un autre appelle magnificence» : l un jugera dépensier l homme riche qu un autre trouvera généreux. Enfin, «l un gravité ce qu un autre appelle stupidité»: l un qualifiera de «grave» l attitude sérieuse d une personne devant les contrariétés, tandis qu un autre la trouvera stupide, qui estimera qu il faut conserver en toutes circonstances la distance de l ironie. «Les métaphores et les figures du discours ne le peuvent pas davantage». Dans cette phrase, Hobbes semble répondre à une objection implicite: l ambiguïté des termes qui peuvent signifier une chose ou une autre n est-elle pas déjà évidente dans le cas des métaphores ou, plus généralement, celui des figures de rhétorique? Toute allégorie, par exemple, fait partie, parmi les figures du discours, des figures d analogie. Elle peut recevoir, comme telle, diverses inter-
6 prétations. Et cependant, personne ne se méprendra sur les sens possibles de l allégorie, personne ne prendra une interprétation pour une autre car cette multiplicité de sens, ce «caractère changeant» est clairement «affiché» par la figure du discours: il fait partie de sa nature. Le nom commun, au contraire, affiche son univocité. Conclusion Le problème traité dans le texte est le suivant: d un côté, la signification des mots dépend de la nature des représentations auxquelles ils renvoient. En ce sens, elle est commune à tous (une maison a quatre murs et un toit, dans l exemple précédemment donné). D un autre côté, la signification du mot est déterminée par nos passions. Comme telle, elle varie d un individu à l autre. Le but de la philosophie serait justement d en préciser le sens, de les vider de leur contenu subjectif, afin que les hommes s entendent sur ce qu ils disent. Cela est particulièrement nécessaire dans le domaine de la moralité, où il s agit d énoncer ce qu il est bon ou pas de faire. Dans ce domaine en effet, la signification des mots est souvent dépourvue de toute objectivité, car nos passions et la nécessité de les contrôler sont précisément en jeu. Pour cette raison, on ne juge pas aussi facilement de la nature des vices et des vertus que de celle d une équation. Le texte s arrête à ce constat et la solution proposée par Hobbes n y apparaît pas. Pourtant, si ce qui est vice pour l un est vertu pour l autre, il n y a plus ni vices ni vertus. Il reste que tout le monde s accordera à considérer comme vice le fait de voler, et s il n en est pas ainsi pour le voleur, ce n est pas parce que son «affection» s oppose à celle des autres, mais bien parce qu il oppose un intérêt personnel à une exigence universelle. À l issue du commentaire de ce texte, il semble nécessaire d affirmer la nécessité de chercher une signification commune aux mots désignant les vices et les vertus. Tel est l un des buts de la philosophie morale. CORRIGÉ Ouvertures LECTURE Thomas Hobbes, Léviathan, Sirey.
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