TEST DE LECTURE SUR LES INFECTIONS URINAIRES REPONSES AUX QUESTIONS ET EXPLICATIONS DES REPONSES

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1 TEST DE LECTURE SUR LES INFECTIONS URINAIRES REPONSES AUX QUESTIONS ET EXPLICATIONS DES REPONSES 1) Une infection urinaire n est pas considérée comme simple chez : a. Le diabétique b. L immunodéprimé c. Le jeune enfant d. L insuffisant cardiaque e. La femme enceinte Le diabétique, par la présence de sucre dans ses urines, est plus à risque d un développement bactérien important et persistant au sein de l arbre urinaire. L immunodéprimé est moins à même de combattre une infection et nécessite donc une prescription rapide d antibiotiques. Une pyélonéphrite chez une femme enceinte est à l origine d accouchements prématurés. Il est indispensable de la traiter efficacement. 2) Le traitement de référence d une cystite aigüe simple est : a. L amoxicilline en traitement monodose b. La céfixime sur 10 jours c. La fosfomycine-trométamol en monodose d. La nitrufurantoïne pendant 5 jours e. La ceftriaxone en IM pendant 3 jours L amoxicilline en traitement monodose n est pas utilisée dans les infections urinaires mais en prophylaxie de l endocardite bactérienne (avant un geste dentaire par exemple). La céfixime sur 10 jours est le traitement de référence d une cystite aiguë compliquée. La nitrofurantoïne est à utiliser en dernier recours, en raison des effets indésirables graves hépatiques et pulmonaires qu elle peut engendrer. La ceftriaxone en IM est utilisée dans le traitement d une pyélonéphrite aiguë.

2 3) Les plantes que l on peut conseiller traditionnellement pour traiter une infection urinaire en attendant la consultation médicale sont : a. La cranberry b. L harpagophytum c. La busserole d. La bruyère e. La bardane Le cranberry ne sera conseillé qu en prévention car il n a pas fait la preuve aujourd hui de son efficacité dans le traitement d une infection urinaire. La bruyère et la busserole sont deux antiseptiques urinaires, la bruyère est de plus dotée d un effet diurétique. Elles peuvent donc être conseillées. 4) Concernant la bandelette urinaire : a. Elle se fait sur une urine ayant séjourné au moins 1 heure dans la vessie b. Elle est à plonger dans un récipient stérile c. Une toilette périnéale n est pas nécessaire au préalable d. La lecture est immédiate e. Il ne faut pas toucher les zones réactives avec les doigts Mode d emploi d une bandelette urinaire : «Utiliser une bandelette qui a été conservée dans son flacon d origine, avec le desséchant. Attention à ne pas toucher les zones réactives de la bandelette. L examen se fait sur de l urine ayant séjourné au moins 4 heures dans la vessie, sur le deuxième jet urinaire, dans un récipient propre et sec mais non stérile. Une toilette périnéale préalable n est pas nécessaire. Plonger et retirer immédiatement la BU dans l urine, tapoter la tranche de la bandelette et attendre 1 à 2 minutes (selon les tests) pour la lecture, qui doit se faire de manière horizontale.»

3 5) Les facteurs de gravité d une infection urinaire sont : a. Une douleur lombaire b. Une hématurie c. Une fièvre à plus de 38 C d. Une urine trouble e. Des pertes vaginales Une douleur lombaire ainsi qu une fièvre à plus de 38 C sont des signes évocateurs d une pyélonéphrite, qui nécessite une prise en charge rapide. La présence de sang dans les urines n est pas rare en cas d infection urinaire et ne constitue pas un signe de gravité. La turbidité de l urine est liée à la présence de globules blancs, normale en cas d infection urinaire. La présence de pertes vaginales oriente le diagnostic plutôt vers une infection d ordre 6) Un traitement monodose de Monuril : a. Est le traitement de référence pour toute cystite aigüe b. Doit être gardé minimum 2 heures dans la vessie pour être efficace c. Peut être pris indifféremment de l alimentation d. Doit être renouvelé en cas de persistance des symptômes dans les 24 heures e. Peut être donné pour une pyélonéphrite chez une patiente sans facteur de risque Monuril est le traitement de référence uniquement d une cystite aiguë simple. C est un sachet monodose à prendre à jeun ou 2 à 3 heures avant le repas. Les concentrations maximales de fosfomycine-trométamol étant obtenues 2 à 4 heures après la prise, il est capital de garder l antibiotique dans la vessie durant cette période. Il ne doit en aucun cas être renouvelé pour un même épisode de cystite. En cas de persistance des symptômes au-delà de 3 jours après le traitement, la consultation médicale s impose.

4 7) La cranberry ne doit pas être associée à : a. Un bêta-bloquant b. Un traitement par antivitamines K c. Un traitement hormonal substitutif d. Une statine e. Un contraceptif oral oestro-progestatif L interaction cranberry-avk (augmentation possible de l INR) est la seule identifiée à ce jour. 8) Concernant les cystites récidivantes : a. Ce sont des cystites compliquées b. Une fluoro-quinolone peut être donnée pour 2 épisodes ayant lieu à 2 mois d intervalle c. Un traitement antibiotique prophylactique doit être systématiquement mis en place afin d éviter une éventuelle atteinte rénale d. Chaque épisode doit être traité comme un épisode de cystite aigüe simple e. Chaque épisode nécessite un traitement d au minimum 10 jours Les cystites récidivantes ne sont pas qualifiées de compliquées, sauf si elles surviennent chez des personnes à risque (diabétique, immunodéprimée, femme enceinte, personne présentant une malformation de l arbre urinaire ). Dans le cas contraire, chaque épisode se traite comme un épisode de cystite aiguë simple, par un traitement court. La résistance aux fluoro-quinolones étant préoccupante, la prescription en est désormais plus encadrée : «les fluoro-quinolones en traitement probabiliste dans les infections urinaires ne sont données que lors d un épisode non grave, si le patient n a pas eu de traitement par cette famille d antibiotiques dans les 6 mois précédents, quelqu en ait été l indication, et s il n y pas de suspicion d infection nosocomiale.» Des cystites à répétition n entraînent pas d atteinte rénale puisqu elles touchent seulement la vessie. Les cas où un traitement prophylactique est nécessaire sont rares.

5 9) Pour faire un ECBU de bonne qualité : a. Il faut recueillir les urines ayant séjourné au moins 4 heures dans la vessie b. Le récipient utilisé doit être ouvert uniquement au moment du recueil c. Le recueil doit se faire sur le deuxième jet urinaire d. L urine collectée peut se conserver 24 heures à température ambiante e. L urine collectée et non placée au froid doit être apportée dans les 2 heures au laboratoire «Réalisation de l ECBU : De préférence sur les urines du matin ou sur des urines ayant séjourné au moins 4h dans la vessie, avant le début de l antibiothérapie et après une toilette préalable avec un antiseptique (Dakin pur par exemple). Prélèvement des urines du milieu du jet dans un flacon stérile. L urine recueillie peut se conserver 2 heures à température ambiante et pendant 24 heures à 4 C.» 10) Les conseils hygiéno-diététiques que l on peut prodiguer sont : a. Changer au minimum toutes les 6 heures de protection en cas d incontinence b. Utiliser un produit d hygiène intime alcalin (GynHydralin par exemple) c. Régulariser les troubles digestifs le cas échéant par des produits adaptés d. Boire au minimum 1,5 l / jour et uriner régulièrement e. Augmenter sa consommation d épices qui permettent une bonne acidification des urines Les protections à usage unique en cas d incontinence peuvent constituer un lit intéressant pour E.coli et nécessitent donc d être changées régulièrement, au minimum toutes les 6 heures. Le produit d hygiène intime adapté sera à ph acide et non alcalin, qui est au contraire favorable au développement bactérien. Constipation, diarrhées peuvent être à l origine d infections urinaires répétées. Il est alors opportun de conseiller un laxatif doux ou un antidiarrhéique. Une quantité suffisante de boisson quotidienne permet un rinçage efficace de la vessie. Les épices sont irritantes pour la vessie et peuvent entraîner des symptômes similaires à ceux d une cystite aiguë. Elles sont donc à éviter. Retrouvez aussi ce document dans votre Espace Personnel, onglet «Mes documents».

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