LA CRISE I. DEFINITION II. POURQUOI DES CRISES? III. QUELLE CRISE? IV. POUR QUI LA CRISE? V. LES REMEDES INTRICATION DES CRISES NOTRE COMBAT

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1 LA CRISE I. DEFINITION II. POURQUOI DES CRISES? III. QUELLE CRISE? IV. POUR QUI LA CRISE? V. LES REMEDES VI. II. III. INTRICATION DES CRISES NOTRE COMBAT CONCLUSION

2 La crise est-elle inhérente au système capitaliste ou est-elle volontairement crée par nos dirigeants politiques? I. DEFINITIONS GREC ET LATIN : désigne «la phase décisive d une maladie» Le paroxysme de souffrance Une rupture d équilibre Signifiant à la fois : extrême tension et ouverture vers un autre possible Confirmé par le double idéogramme chinois : DANGER/ OPPORTUNITE Nous avons là, les 2 parties de la thématique de la soirée AUJOURD HUI : dégradation brutale de la situation économique C-a-d rupture d équilibre entre production et / consommation Caractérisé par - affaiblissement de la demande - des faillites - le chômage Peut prendre 2 formes - récession forme légère - dépression forme + profonde Donc aujourd hui Crise du système économique que nous organisons depuis des siècles Surtout depuis le virage NEOL et la financiarisation qui l accompagne Crise structurelle de SURACCUMALATION d un cycle du CAPITALISME II. POURQUOI DES CRISES? Depuis le 19è siècle : les crises économiques sont récurrentes et à échéances variables A cause des théories néoclassiques sur lesquelles repose le système qui nous gouverne. qui sont pour la plupart fausses en tout cas régulièrement démenties par les faits Par ex. la «loi des débouchés»: «il ne peut y avoir de déséquilibre entre l offre et la demande globales» donc la surproduction n est pas possible! donc la crise n est pas possible! La crise n est donc ni pensable, ni pensée!

3 Si les déséquilibres persistent la faute est extérieure au système! A cause des blocages empêchant les prix de jouer leur rôle rééquilibrant comme: législations contraignantes, salaire minimum, État interventionniste ou guerre et décisions arbitraires (ex: prix du pétrole) III. QUELLE CRISE? Crise des politiques économiques depuis le 20è siècle. De + en + difficile, voire impossible d accumuler du capital une croissance économique perpétuelle - sur le long terme et sur une base en voie de dégradation ou d épuisement -et par une force de travail dont l exploitation s aggrave Se traduit par Chute subite de l activité économique (chômage ) Crises bancaires monétaires, boursières crise financière qui vient s inscrire dans cette dynamique longue. Aujourd hui double problème - incapacité de porter un soulagement conjoncturel au marasme général alors que le choix de l austérité semble irrévocable - Les gouvernements placés devant une situation inédite. car la crise est profondément structurelle mêlant contradictions sociales et écologiques. IV. POUR QUI LA CRISE? -Pour nous! Pas pour les propriétaires de capitaux! Car il faut améliorer la rentabilité Toutes les méthodes de gestion des entreprises ont été tendues vers un seul objectif : rendre de la valeur aux actionnaires! Pour cela mise du crédit bancaire au service d un système financier destiné à verser la valeur aux actionnaires - Pour nous : se traduit par décrochage des salaires par rapport à la productivité du travail Dévalorisation de la force du travail

4 provoque une surproduction générale (secteurs industriels) «un chômage endémique «une grande précarité destruction progressive des systèmes collectifs de protections sociales privatisation des SP «des connaissances «des principales ressources naturelles + appropriation de la terre des pays du sud = inégalités croissantes et régression sociale Quand les classes possédantes s enrichissent toujours plus! V. LES REMEDES -Côté capitaliste pour surmonter la crise modifier le partage salaires/profit à son avantage c-a-d coûts de production pour le taux de profit en laissant le chômage en la productivité du travail 1970 le capitalisme réussit à sortir de la crise grâce au néolibéralisme -REMEDES PROPOSES par le Capitalisme - Davantage de libéralisme et de flexibilité - Privatisation des Biens Communs de l'humanité Nouvel horizon d un capitalisme cherchant la sortie de la crise. -REMEDES DE NOS GOUVERNEMENTS - Fuite en avant libérale Politique d austérité budgétaire à n en plus finir Conséquences dévastatrices qui aggravent encore plus la situation! crée une rupture sociale d ampleur en s attaquant aux protections et régulations collectives. Tout cela à cause de la froide logique du capitalisme : n ont de légitimité que les activités humaines rapportant du profit, le + élevé possible!

5 VI. INTRICATION DES CRISES - Le capitalisme (fin 20è début 21è s) a ruiné les 2 piliers sur lesquels il repose : 1. L exploitation de la force de travail 2. L exploitation de la nature Donc crise à double faces :sociale / écologique - nécessité de relier les 2 questions. Les dommages sociaux et écologiques frappent en 1 er les populations les + démunies. - La crise écologique est majeure (pas périphérique), elle participe du mode de développement actuel, elle se situe au cœur de celui-ci qui est fondé sur le productivisme et ses contradictions. c est une impasse. Tout développement qui poursuit un but d expansion infinie apparaît de plus en plus nettement, depuis la moitié du 20è s. - Formes et manifestations Épuisement progressif des ressources naturelles Multiples pollutions Dégradation-érosion des sols Désertification- déforestation Réduction de la biodiversité Effet de serre + Réchauffement climatique - origines : activités humaines menées en vue de satisfaire -non pas les besoins -mais les exigences de rentabilité des capitaux investis Sans égards pour l équilibre permettant, à la vie de se reproduire! D où le débat au sein de la problématique écologique 1. La critique écologique dépasserait elle la critique du capitalisme? 2. Ou doit-elle être intégrée à celle-ci? Le mouvement ouvrier serait considéré comme secondaire au regard des impératifs écologiques Voire même antagoniste. Ex : -nucléaire défense d emploi -Mouvement syndical ne réclame que salaire, pouvoir d achat donc + de croissance notre réponse : la critique écologique est la critique du système productiviste capitaliste La crise écologique et la crise sociale ne peuvent être dissociées Il faut que la critique écologique prenne en compte la dimension sociale et que le mouvement social se fonde sur la dimension écologique. et articuler nos combats de façon convergente.

6 EN RESUME La crise désigne l éclatement des contradictions et les mécanismes visant à la résoudre du point de vue de la rentabilité du capitall aggravent sur le plan social et écologique. Donc il n existe qu une seule crise inhérente au système. VII. Car NOTRE COMBAT Pour le définir et envisager l alternative il nous fallait bien comprendre la nature de la crise sociale et écologique Il ne peut y avoir de vie sociale qui n accorde une importance centrale à l environnement dans lequel elle se déroule. Tentons l alternative avant que le système ne s écroule tout seul! Car il détruit les conditions même de sa reproduction - Il nous faut partir de cette intrication écologique/sociale pour définir ce que sera le «progrès humain» et non plus la croissance. Et répondre à la question : que faisons-nous sur cette terre et comment organiser la société? - Il s agit d une remise en cause fondamentale de notre système écologique. - Il faut comprendre cela pour que nos luttes ne soient pas antagonistes VIII CONCLUSION Dans le mot «crise» on a vu que le 2è aspect était un rebondissement porteur de changement c est celui, qu il nous appartient de définir et de construire ensemble. Pour répondre, donc, à la question posée : - la crise est inhérente au système capitaliste et nos dirigeants politiques s en servent! pour faire passer les contre- réformes visant à démanteler les acquis sociaux et déchiqueter le droit du travail ils utilisent la crise, avec l arme de la dette pour faire passer les politiques d austérité qui servent leurs intérêts Et ouvrent un boulevard à la marchandisation dans tous les domaines ce dont a besoin le système

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