LA MESSAGERIE DE L AMOUR
|
|
- Marie-Anne Robert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1
2
3 ÉDITO Vous considérez peut-être l amour comme un trésor à découvrir, à protéger, un phénomène puissant, extraordinaire, presque magique...rassurez-vous, la chimie et la biologie ne vous contrediront pas! L amour est une émotion complexe et, derrière les ressentis amoureux, se cache une multitude de molécules et de réactions chimiques. L exposition «La chimie de l amour» invite à faire un petit tour d horizon de ce qui se passe chez l humain amoureux, dans son corps, ses organes et ses cellules. Quel est «l équipement» nécessaire pour vivre la chimie de l amour? Qu est-ce que le coup de foudre? Peut-on contrôler le désir ou être dépendant au plaisir? Qu est-ce qui fait durer le sentiment amoureux? Quelles réactions permettent la maturation des gamètes, leur rencontre et la course à la vie? Des questions que les plus curieux se posent et qui sont aussi à la base de recherches en sciences de la vie et de la santé menées dans les laboratoires de l Inserm. Grâce à l essor des techniques de neuro-imagerie, les scientifiques cherchent à révéler les structures cérébrales impliquées dans la réponse émotionnelle. Il est ainsi possible de voir quelle(s) structure(s) du cerveau nous font avoir peur, être joyeux, mais aussi celles impliquées dans des émotions plus complexes, telles que l embarras, la compassion ou l empathie. Par ailleurs, les chercheurs de l Inserm travaillent aussi dans le domaine de l influence de l environnement sur notre santé et notamment sur la fertilité humaine. L objectif : comprendre les évolutions hormonales au cours de la vie, l impact de la nutrition ou de certaines substances chimiques pour mieux nous préserver et contrecarrer les effets perturbateurs potentiels. Enfin, la recherche contribue également à perfectionner et à développer les techniques de procréation médicalement assistée pour permettre à certains couples en désir d enfant de franchir les obstacles qu ils peuvent rencontrer. Pour accompagner l exposition, voici un petit guide qui vous donnera de plus amples informations sur les mécanismes complexes de l amour. Bonne lecture! Disc - Inserm 3
4 LA MESSAGERIE DE L AMOUR La plaque tournante de cette messagerie est l axe hypothalamohypophysaire qui assure le lien entre le cerveau et l ensemble des fonctions de notre corps. Hypothalamus L hypothalamus est la partie du cerveau qui reçoit et trie tous les signaux sur l état de notre corps et de notre environnement. À chaque instant, il est informé par exemple des quantités d énergie disponibles dans le corps, du niveau d hydratation, des infections, de l heure qu il est, de notre âge, du niveau de stress, du danger, de nos attentes... Il trie l ensemble de ces informations et régule les grandes fonctions de notre organisme et nos comportements. Il est ainsi impliqué dans la soif, la faim, la température, l activité sexuelle, l attachement, les émotions, etc. Hypophyse L hypophyse est une glande localisée à proximité immédiate de l hypothalamus qui lui envoie ses ordres. Elle sécrète alors les hormones spécifiques pour la transmission du message au reste du corps. Elle assure la communication entre le cerveau, les glandes et les organes, grâce aux nerfs, au sang et à la lymphe*. Rétrocontrôle Si la quantité d une hormone dans le sang est trop élevée, celle-ci enverra à l hypothalamus un signal d arrêt pour sa production et inversement si la quantité est trop faible. C est ce qu on appelle le rétrocontrôle. Le corps tente toujours de conserver un équilibre intérieur entre les différents paramètres physico-chimiques (taux de sucre, température, sel ) de l organisme. Ce processus est appelé homéostasie. *La lymphe C est un liquide filtré à partir du sang qui contient des globules blancs mais pas de globules rouges. Ce liquide baigne les organes et revient dans la circulation par l intermédiaire d un réseau : les vaisseaux lymphatiques. 4
5 Complexe hypothalamo-hypophysaire Hypothalamus Hypophyse Rétrocontrôle FSH & LH Hormones Ovaires chez la femme Testicules chez l homme Les hormones sexuelles Les organes reproducteurs de l homme et de la femme sont différents et ne sécrètent pas les mêmes hormones : les testicules sécrètent de la testostérone, les ovaires de la progestérone et des œstrogènes. Pourtant, dans les deux cas, l activité est régulée par l axe hypothalamo-hypophysaire via les deux mêmes messagers chimiques : l hormone folliculostimulante (FSH) et l hormone lutéinisante (LH). Le messager est le même chez l homme et chez la femme mais la réponse est différente car les cibles sont différentes. 5
6 L HISTOIRE D UNE RENCONTRE Notre corps émet naturellement certaines molécules qui en racontent long sur nous à qui pourra les capter et les interpréter! Parmi ces molécules, celles qui composent notre odeur et les phéromones. Des phéromones identifiées chez les humains Les phéromones sont des messagers chimiques très proches des hormones, à la différence qu elles sont sécrétées à l extérieur du corps. Elles sont notamment transportées par la salive, la transpiration, ou les urines. Elles permettent une communication chimique entre deux individus d une même espèce. Très actives, une petite quantité suffit, ce qui les rend difficiles à étudier! Peu de phéromones ont été identifiées chez les mammifères. Les phéromones sexuelles humaines sont l androsténol trouvée dans la transpiration des hommes, et les copulines présentes dans les sécrétions vaginales. Des effets troublants Un phénomène surprenant : quand des femmes vivent ensemble, elles ont leurs règles au même moment, leurs cycles ovariens se synchronisent. Ce serait une manifestation de l effet des phéromones, mais aucune substance n a pour le moment été identifiée. Ce que racontent nos odeurs Les odeurs jouent un rôle dans la séduction, elles «parlent» de nous à celui ou celle qui nous sent. Elles changent avec notre état de stress par exemple. Et ce n est pas tout, des études menées auprès de différents animaux dont l homme, permettent d élaborer une théorie : nous pourrions analyser des gènes de l autre en le sentant. Il se pourrait alors que cette lecture génétique favorise le rapprochement de partenaires dont les systèmes immunitaires seraient complémentaires. Organe voméro-nasal Chez les mammifères, l organe voméro-nasal est le récepteur des phéromones. Il est situé sous la surface du nez. Dans l espèce humaine, cet organe est présent mais ne semble pas fonctionnel : il est réduit et aucun nerf ne le relie au cerveau. C est pour cela que l action des phéromones chez l homme a longtemps été remise en question. Cependant, rien n est aussi simple. Il semblerait que des phéromones puissent agir autrement que sur cet organe, notamment au niveau des nerfs olfactifs, ce qui relance la recherche de leurs actions dans l espèce humaine. 6
7 Comparaison des organes voméro-nasaux de la souris et de l humain Bulbe olfactif Cavité nasale Organe voméro-nasal Épithélium olfactif Système nerveux central Cortex olfactif 7
8 DES ÉMOTIONS PLEIN LA TÊTE L approche scientifique des émotions est un domaine récent. Il a fallu dépasser leur caractère très subjectif, propre à chacun, pour trouver les moyens de proposer une approche expérimentale et commencer à définir les émotions sur des critères scientifiques. Les différentes composantes des émotions font aujourd hui l objet de recherches expérimentales. Des émotions qui se voient et se mesurent Il est possible de mesurer certaines réponses physiologiques périphériques des émotions comme par exemple un changement de la fréquence cardiaque, la tension artérielle, la température de la peau ou encore l augmentation de la conductance de la peau (sa capacité à laisser passer un courant électrique) qui signe une augmentation de la transpiration. Par ces moyens, les scientifiques cherchent à établir un profil de réponses physiologiques périphériques caractéristique de chaque émotion. Le cerveau émotionnel La multiplication des études par imagerie cérébrale a mis en évidence que l activation de certaines régions du cerveau dépend directement de la nature de l émotion. L évolution des techniques permet aux scientifiques de comprendre avec de plus en plus de précision quelles sont les structures cérébrales impliquées quand nous ressentons la joie, la peur, la tristesse mais aussi des émotions plus complexes comme l empathie, la culpabilité, etc. Si les émotions de base semblent plutôt localisées, il reste du chemin à parcourir avant de connaître la signature cérébrale de chacune de nos émotions. Système nerveux Le système nerveux est composé du système nerveux central qui comprend l encéphale et la moelle épinière, et du système nerveux périphérique qui assure les fonctions motrices et le transport de l information entre les organes et le système nerveux central. Le système nerveux périphérique est associé à la physiologie des émotions. Il commande les modifications physiologiques adaptatives en cas d urgences comme l accélération du rythme cardiaque et de la respiration, la dilatation des pupilles, la transpiration, etc. 8
9 Installation dans l IRM 3 Teslas d un volontaire sain pour un examen, dans le cadre d un protocole de recherche. Centre d Investigation Clinique Innovation Technologique, CIC IT, du Centre Hospitalier Universitaire de Nancy. Inserm/Patrice Latron Regarder un cerveau qui s active Quand une partie de notre corps est en pleine activité, elle consomme de l énergie et le flux sanguin augmente localement pour lui apporter sucre et oxygène. C est le cas aussi dans notre cerveau! L imagerie par résonnance magnétique (IRM) est sensible aux propriétés magnétiques des molécules qui composent notre corps. Il s avère que l hémoglobine, la molécule qui transporte l oxygène dans le sang, change de caractéristiques magnétiques une fois que l oxygène a été consommé ce qui permet de visualiser et de mesurer l activité en cours dans les zones qui travaillent et consomment de l oxygène. 9
10 LA BALANCE DU DÉSIR Des études en laboratoire notamment chez le rat ainsi que l imagerie médicale chez l homme ont permis d identifier les structures cérébrales impliquées dans le renforcement et le plaisir. Leur fonctionnement et surtout leurs dysfonctionnements sont au coeur des recherches sur l addiction. Une expérience historique chez le rat En 1954, deux neurobiologistes américains implantent dans le cerveau de rats des électrodes qui permettent à tout moment de stimuler localement les structures nerveuses. Chaque rat est placé dans une cage où il peut se déplacer librement. Le passage dans une zone précise déclenche la stimulation de l électrode. Très vite les rats restent à cet endroit et s auto-stimulent en continu, négligeant toute autre activité comme se déplacer pour aller manger ou boire. Ce comportement est caractéristique de la dépendance. Cette expérience mit en évidence un «centre du plaisir» qui implique la dopamine comme neurotransmetteur. Une série d expériences complémentaires sur d autres zones du cerveau ont permis de révéler les structures cérébrales impliquées dans le plaisir, le circuit dit de renforcement aussi appelé circuit de la récompense. Au cœur : l aire tegmental ventrale et le noyau accumbens. Une expérience sur l humain Une expérience d imagerie par résonnance magnétique conduite sur des hommes et des femmes éperdument amoureux a permis de révéler l activation spécifique de certaines zones du cerveau en réaction à la présentation de la photo de l être aimé et uniquement de lui! Ces zones sont précisément celles du circuit de renforcement. 10
11 Un équilibre fragile Les structures cérébrales impliquées dans le plaisir et le renforcement reçoivent des signaux multiples d autres zones du cerveau avant de déclencher ou non la libération de la dopamine. Elles recueillent des informations de la mémoire, de l hypothalamus sur l état et les besoins du corps, de l amygdale sur le niveau de risque, des perceptions sensorielles de l environnement, etc. Cet équilibre est fragile et si ce réseau est très utile pour l apprentissage de ce qui est bénéfique ou dangereux pour l organisme, il peut aussi «s emballer» ou être «détourné» et conduire aux dépendances. Un cerveau «accro» Si l amour utilise les circuits de renforcement, l addiction aussi! Certains scientifiques qualifient d ailleurs l amour de drogue douce Quand le cerveau devient dépendant il provoque une envie répétée et irrépressible de l objet de la dépendance, objet qui agit justement sur les circuits du plaisir. De nombreuses activités et substances qui stimulent ces circuits sont addictives et peuvent conduire sous certaines conditions à la dépendance. C est le cas des drogues mais aussi, d activités plus ordinaires comme manger, jouer ou faire du sport. Le renforcement Le renforcement, c est un processus qui conduit à encourager la répétition d un comportement. Deux possibilités : le renforcement positif et le renforcement négatif. Prenons l exemple de nos deux amoureux : dès qu ils se retrouvent, dès qu ils se voient, s entendent, pensent l un à l autre, leurs cerveaux sont inondés de dopamine et ils ressentent du bien-être. C est un renforcement positif, leurs cerveaux les encouragent à se revoir. Inversement, quand ils se séparent, s éloignent l un de l autre une sensation désagréable, un manque les envahit. Quand ils se retrouvent la douleur disparaît. C est le renforcement négatif. Leurs cerveaux les encourageront à éviter cette situation désagréable ou à répéter ce qu il faut pour l arrêter. 11
12 UN LIEN SE TISSE Pour comprendre la neurobiologie de l amour il faut comprendre les cheminements complexes du cerveau humain. L étude du fonctionnement du cerveau d autres mammifères peut être une source d informations et d inspirations pour des protocoles de recherche. Le campagnol, star du labo! La compréhension scientifique de l attachement dans le couple doit beaucoup à ces petits rongeurs! L observation de la différence de comportements en couple de deux variétés de campagnol a poussé les scientifiques à rechercher les bases cérébrales d une union «à vie». Les campagnols des plaines comptent parmi le faible pourcentage de mammifères qualifiés de monogames, alors que leurs cousins, les campagnols des montagnes changent fréquemment de partenaire. Les études ont montré que chez les femelles campagnols l activation d une zone précise du cerveau par l ocytocine jouait un rôle important dans l établissement d un couple stable. Chez le mâle campagnol, le messager a une composition chimique très légèrement différente, c est la vasopressine, également stockée dans l hypophyse. L ocytocine en injections Différentes expériences ont révélé le rôle de l ocytocine dans le lien mère-enfant. Les rates par exemple ont tendance à repousser les petits qui ne sont pas les leur. L injection d ocytocine dans leurs cerveaux induit immédiatement un comportement maternel envers des petits «inconnus». Cela fonctionne aussi chez des mammifères plus gros comme les brebis pourtant réputées pour leur rejet farouche des petits d une autre. Mieux, cela fonctionne dans l autre sens aussi : l injection dans le cerveau d une substance qui empêche la stimulation par l ocytocine supprime le comportement maternel. 12
13 ET PARFOIS... Dans l espèce humaine, la fonction de reproduction est régulée par l axe hypothalamo-hypophysaire et par les organes reproducteurs, les testicules chez l homme et les ovaires chez la femme. Les hormones sécrétées par l hypophyse (FSH et LH) régulent le cycle de maturation des cellules de la reproduction chez l homme comme chez la femme et stimulent la production des hormones sexuelles. Ces cycles sont différents chez la femme et chez l homme. Un cycle mensuel chez la femme er jour RÈGLES Endomètre Si l ovule Ovaire 28 est fécondé, il s implante pour la durée de la grossesse. 27 Si non, l endomètre n est Follicule* plus utile, il se détruit : ce sont les règles. Follicule* 26 Ovule L endomètre s est épaissi pour accueillir l ovule *Un follicule ovarien est un amas de cellules contenant l ovule en formation MATURATION DU FOLLICULE PRÉPARATION DE LA NIDATION L ovule se déplace jusque dans la cavité utérine Expulsion de l ovule Ovulation au 14 e jour 13
14 Un cycle continu chez l homme Un spermatozoïde est mature en 64 jours et chaque jour on en compte plusieurs millions. Tube séminifère DIVISION CELLULAIRE 1 er jour Testicule MATURATION DES SPERMATOZOIDES Cellule de Sertoli DIFFERENCIATION 14
15 Les phases hormonales de la vie Régulée par nos hormones, notre fertilité évolue avec l âge. Tout commence par la puberté. C est une étape du développement humain marquant la transition de l enfance à l adolescence, autrement dit le passage à la fertilité. Nous grandissons plus rapidement et notre morphologie, nos organes reproducteurs et d autres caractéristiques comme la pilosité, se développent grâce aux hormones : FSH et LH. Puis avec l âge, la fertilité diminue. Chez la femme, ce changement est appelé ménopause : c est l arrêt des règles, de l ovulation et de la sécrétion des hormones sexuelles par les ovaires. Chez l homme aussi la sécrétion de l hormone sexuelle par les testicules diminue avec l âge mais le phénomène est plus progressif et parfois partiel. C est l andropause. L influence de l environnement Les facteurs environnementaux tels que l alimentation, le stress, l hygiène de vie, le tabac, la pollution et les produits chimiques auxquels nous sommes exposés, peuvent modifier la synthèse hormonale, et donc la fertilité ou l âge de la puberté. Les scientifiques constatent ainsi que la puberté survient de plus en plus tôt au cours de ces dernières décennies. Cette évolution pourrait être due à des produits toxiques tels que les phtalates, le bisphénol A ou le paraben, présents dans de nombreux objets de consommation courante. À l inverse, les vitamines E et B6 ainsi que les sels minéraux tels que le Zinc ou le Sélénium, ont des effets bénéfiques sur la production des gamètes. Chez la femme, la vitamine B9 ou acide folique, joue également un rôle important pour favoriser les divisions cellulaires lors des premières étapes du développement du fœtus. Les techniques de procréation médicalement assistée (PMA) La science est aujourd hui en mesure d aider les couples à concevoir un enfant. L insémination artificielle est utilisée lorsque les spermatozoïdes n arrivent pas passer le col de l utérus ou à pénétrer l ovule. Le médecin injecte alors les spermatozoïdes directement dans l utérus le jour de l ovulation. La fécondation in vitro ou FIV est une technique proposée en cas d anomalie des trompes, par exemple. Hors de l utérus, des ovules et des spermatozoïdes sont mis en présence et se rencontrent naturellement, avant d être réimplantés. Enfin, l ICSI (intracytoplasmic sperm injection) est une technique employée quand il existe des anomalies graves du sperme. Le spermatozoïde est alors micro-injecté directement dans l ovule. 15
16 De la fécondation à la nidation Embryon 4 cellules au 2e jour Embryon au 5e jour Nidation au 7e jour Fécondation Ovule Trompe Cavité utérine Ovaire Endomètre 16
17 Les premières étapes de la fécondation Si l ovule est fécondé par le spermatozoïde, il est appelé embryon. Des cellules de petite taille s y amassent et il se déplace dans la trompe. Tout en se déplaçant vers la cavité utérine, les cellules se divisent en 2, puis 4, 8, 16 : c est la segmentation. Au moins six jours après la fécondation, la membrane qui entoure l œuf se rompt et les cellules sortent, entrant en contact avec la muqueuse de l utérus appelée aussi l endomètre. S il est bien préparé grâce aux stimulations hormonales, les cellules s implantent dans les tissus : c est la nidation. Oeuf humain âgé de deux jours après fécondation in vitro. L oeuf qui a une taille de 0,1 mm possède quatre cellules résultant de la deuxième division après la fécondation. On peut voir des spermatozoïdes morts restés collés à la périphérie de l oeuf. Inserm/Jacques Testart 17
18 Exposition et livret accompagnateur conçus et réalisés par la Direction de l information scientifique et de la communication de l Inserm Directrice adjointe : Catherine d Astier, direction de la communication Commissaire de l exposition : Elodie Cheyrou, responsable des événements Chef de projet : Anaïs Petit Création graphique : Frédérique Koulikoff Conseil scientifique : Sylvie Berthoz, psychologue et chercheur Inserm ; Anne Jouvenceau, chargée de mission de l Institut thématique «Neurosciences, sciences cognitives, neurologie, psychiatrie» (Aviesan) ; Christine Lemaitre, chargée de mission des Instituts thématiques «Biologie cellulaire, développement et évolution» et «Génétique, génomique et bio-informatique» (Aviesan) Conception et rédaction : Direction artistique et conception graphique de l exposition : Bénédicte Roland Inserm/DISC, Direction de l information scientifique et de la communication, septembre , rue de Tolbiac Paris Cedex 13
19
20 101, rue de Tolbiac Paris Cedex 13 tél
Mais pourquoi je ne suis pas enceinte?
Mais pourquoi je ne suis pas? On a beau vouloir très fort un bébé, la nature ne nous obéit pas toujours au doigt et à l œil Ce qu il faut savoir pour être au top de sa fertilité et tomber plus facilement!...
Plus en détailConsensus Scientifique sur. les. Champs statiques
page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les
Plus en détailGUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS
GUIDE D INFORMATION À L INTENTION DES RÉCIPIENDAIRES DE DON D OVULES DES RÉPONSES À VOS QUESTIONS Cette brochure a été conçue dans le but de répondre à vos questions et vous aider à prendre une décision
Plus en détailFécondation in vitro avec don d ovocytes
Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com
Plus en détailLE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport
LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LES FEMMES ET LE SPORT LES FEMMES ONT LE CŒUR MOINS SENSIBLE Moins de maladie cardiovasculaire protection hormonale sauf tabac + pilule LES
Plus en détailLe sens du goût. Une infinité de saveurs.
Le sens du goût. Que serait le goût sans la vue, la mémoire, la senteur, le plaisir? Lorsqu on parle du goût, on ne pense pas toujours à l ensemble des sensations qui permettent d identifier ce que l on
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailMa vie Mon plan. Cette brochure appartient à :
Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailLa maladie de Huntington, une maladie du cerveau
Actualités à propos de la recherche sur la maladie de Huntington. Expliqué simplement. Écrit par des scientifiques. Pour la communauté mondiale HD. La greffe de moelle osseuse dans la maladie de Huntington
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailPréface. Les étudiants de l Association des Médecins et Pharmaciens du Coeur (AMPC)
Préface Notre association regroupe les énergies bénévoles d étudiants en médecine et en pharmacie, avec pour objectif d aider et accompagner enfants, adolescents et jeunes adultes confrontés à la maladie.
Plus en détailL endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes
L endométriose une maladie gynécologique évolutive, souvent méconnue Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes intéressées Groupe d experts de l endométriose de la Société d
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailAUTOUR DE LA MISE BAS
AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailC EST QUOI LE STRESS?
C EST QUOI LE STRESS? Une réaction d adaptation «Le stress est la réponse non spécifique de l organisme à toute demande d adaptation qui lui est faite». Hans Selye Une réaction d adaptation Par exemple,
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPREPARATION A LA PARENTALITE RYTHMES ET BESOINS DU NOUVEAU-NE. «Un bébé a besoin de tendresse, de chaleur, de contact et de lait»
Version 1- Nov. 2012 OBSTETRIQUE Fiche d information N 3 Page 1/8 Validation PREPARATION A LA PARENTALITE RYTHMES ET BESOINS DU NOUVEAU-NE Document 3-3 Condition «Un bébé a besoin de tendresse, de chaleur,
Plus en détailVivez votre féminité sans souffrir.
Vivez votre féminité sans souffrir. PERDOFEMINA (lysinate d ibuprofène) est un médicament pour les adultes et les enfants à partir de 12 ans. Pas d utilisation prolongée sans avis médical. Ne pas administrer
Plus en détailPourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors?
Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? elle va pour cela créer des éléments chargées de transmettre un message à son corps (les hormones) : la «relaxine»
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailTraiter la Fausse Couche avec des pilules: ce que vous devez savoir
Traiter la Fausse Couche avec des pilules: ce que vous devez savoir Ce pamphlet contient des informations générales que vous devriez connaître avant de traiter une fausse couche avec du misoprostol. Quand
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailComment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:
La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit
Plus en détailExploration et Prise en charge d un couple infertile
Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailComprendre la mort cérébrale
Comprendre la mort cérébrale Imprimeur de la Reine pour l Ontario, 2010. Adaptation et reproduction autorisées. 1 Comprendre la mort cérébrale Il est difficile d imaginer une expérience plus douloureuse
Plus en détailAssistance médicale à la procréation. Informations pour les couples donneurs. Le don. d embryons
Assistance médicale à la procréation Informations pour les couples donneurs Le don d embryons Sommaire Le don d embryons, qu est-ce que c est? 2 Qui peut en bénéfi cier? Qui peut donner les embryons et
Plus en détailinfo ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane
Roaccutane isotrétinoïne Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane info ROACCUTANE RM SM MANAGEMENT Programme de prévention de la grossesse SOMMAIRE 3.
Plus en détailLes vers marins. Deux embranchements représentent les vers marins de nos côtes littorales: les vers plats (plathelminthes) et les vers segmentés
Les vers marins A partir des vers marins, les animaux se complexifient dans l organisation de leur tissus. Nous avons vu qu avec les coraux, les organismes possédaient deux feuillets séparés d une gelée.
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailPOURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS?
POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? Pourquoi vivons-nous des émotions? Voilà une excellente question! Avez-vous pensé: «Les émotions nous rendent humains» ou : «Elles nous permettent de sentir ce qui
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailLes cyberaddictions. Daniele Zullino Médecin chef de service Privatdocent Faculté de Médecine UNIGE. Service d addictologie
Les cyberaddictions Daniele Zullino Médecin chef de service Privatdocent Faculté de Médecine UNIGE Centre collaborateur OMS pour la recherche sur les addictions Agenda C est quoi une addiction? L addiction
Plus en détailBienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons
Bienvenue à la Clinique de Fertilité de Mons Le centre hospitalier Ambroise Paré collabore depuis de nombreuses années avec les Cliniques Universitaires de Bruxelles Hôpital Erasme pour vous permettre
Plus en détailBouger, c est bon pour la santé!
Bouger, c est bon pour la santé! Tous concernés! De quoi s agit-il? Il s agit de toute activité physique, dès lors que nous bougeons. Ainsi tous les pas comptent, comme ceux que nous faisons chez nous
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailLoin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière
Loin de mes yeux Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière expérience une dimension unique. Voici un guide tout simple, une carte routière pour vous montrer les chemins
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailLe système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE -
1 Le système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE - Par Isabelle Simonetto, Dr en Neurosciences Introduction Le yoga considère depuis toujours le ventre, et plus particulièrement l estomac
Plus en détailSERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE
1 TABLE DES MATIERES 1. Un petit mot d introduction 2. En quoi consiste le don d ovocyte? 3. A qui s adresse le don d'ovocyte? 4. Les différents types de don d ovocyte A. Le don anonyme B. Le don dirigé
Plus en détailCancer et sexualité au féminin. Une brochure de la Ligue contre le cancer pour les femmes atteintes de cancer et leur partenaire
Cancer et sexualité au féminin Une brochure de la Ligue contre le cancer pour les femmes atteintes de cancer et leur partenaire Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse 40 case
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détail> Présentation du programme... 3. > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4
2 SOMMAIRE > Présentation du programme... 3 > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4 > L Équilibre, où en êtes-vous? : Prévenir les chutes et apprendre à se relever
Plus en détailLes jeunes non mariés
Les jeunes non mariés et les grossesses non désirées Introduction Il est important de veiller à ce que les jeunes non mariés disposent d informations et de services de contraception. Les grossesses non
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLa contribution des pères au développement de leur enfant
Activité 1 La contribution des pères au développement de leur enfant Le père: Un rôle en évolution Théorie de l évolution Question de survie! Homme Animaux Christine Gervais, Ph. D., Professeur au département
Plus en détailL assistance médicale à la procréation en France en 2010. Dossier de presse
L assistance médicale à la procréation en France en 2010 Dossier de presse Mars 2010 1 SOMMAIRE Communiqué de synthèse page 3 PARTIE I AMP : ce qu il faut retenir page 5 Fiche 1 - L AMP : une réponse possible
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailCOUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS
COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS Introduction Christine Reynaert et Pierre Collart ont tous deux activement participé à l ouverture de centres spécialisés dans le traitement de troubles sexuels (voir analyse
Plus en détailSéquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI
Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailDiabète de type 1: Informations destinées aux enseignants
Diabète de type 1: Informations destinées aux enseignants Le diabète chez les jeunes Le diabète de type 1 est une maladie très difficile à affronter, surtout quand on est jeune. Malheureusement, si quelque
Plus en détailSTRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES
Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailCOMMENT SURMONTER SON ANXIÉTÉ
COMMENT SURMONTER SON ANXIÉTÉ L ANXIÉTÉ ET LA RÉPONSE «FUITE OU LUTTE» Que signifie le terme «anxiété»? Si vous avez répondu en employant des termes tels que tendu(e), nerveux, anxieux/euse, craintif/ve,
Plus en détailDEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps
DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS 1. Définition 2. Spécificité des adolescents Nicolas DOMBROWSKI, Agrégé EPS, 2010 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailL INSUFFISANCE CARDIAQUE
L INSUFFISANCE CARDIAQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance cardiaque n ait encore
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailCadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7
Cadre complet de mieux-être en milieu travail Présenté par : Marilyn Babineau, Réseau de santé Horizon Isabelle Duguay, Réseau de santé Vitalité Le 7 novembre 2012 Cadre de mieux-être en Le cadre de notre
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détailJe vais être maman. et je fume encore!? J ai décidé d arrêter de fumer. Pour ma santé et pour celle de mon enfant.
Je vais être maman et je fume encore!? J ai décidé d arrêter de fumer. Pour ma santé et pour celle de mon enfant. Ligue suisse contre le cancer, Ligue pulmonaire suisse, Association suisse pour la prévention
Plus en détailLe VIH-sida, qu est-ce que c est?
LES DROITS DE l ENFANT FICHE THÉMATIQUE Le VIH-sida, qu est-ce que c est? UNICEF/ NYHQ2010-2622 / Roger LeMoyne Chaque jour dans le monde, plus de 7 000 nouvelles personnes sont infectées par le VIH, 80
Plus en détailTable des matières. Première partie : Énergie et Polarité... 23 REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE...
Table des matières su REMERCIEMENTS... 11 NOTE DE L AUTEURE... 13 COMMENT UTILISER CE GUIDE... 15 À QUI S ADRESSE CE LIVRE... 17 INTRODUCTION... 19 Première partie : Énergie et Polarité... 23 CHAPITRE
Plus en détailINFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE
Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées
Plus en détailIST et SIDA : s'informer pour se protéger!
IST et SIDA : s'informer pour se protéger! Tous concernés! De quoi s agit-il? Les Infections Sexuellement Transmissibles (IST) sont des infections dues à des virus, des bactéries, des parasites ou des
Plus en détailPlan de la présentation Introduction présentation La réalité virtuelle pour le jeu pathologique
Le monde virtuel au service de la prévention de la rechute du jeu pathologique Stéphane Bouchard, Ph.D., Lucie Laniel, Lynda Poirier Isabelle e Cyr, Josée Dostie, Geneviève e emorency oe cyet Cathy Tétreault
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailEVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE
EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE Cette évaluation doit être systématique, quelle que soit l activité de l entreprise, même s il n y a pas d exposition a priori du fait des activités de travail. L'objectif
Plus en détailDEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE
Ecole d Application STURM Janvier-Février 2012 CM2 Salle 2 Mme DOUILLY DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE Sujet proposé par les élèves et choisi par la majorité. 1 ère séance : définitions et explications Réflexion
Plus en détailComment Réussir sa vie par la PNL
1 Comment Réussir sa vie par la PNL Condensé de la conférence de Didier Pénissard 1 Ce compte-rendu à été réalisé par Françoise (membre du club) et au nom du groupe, je la remercie chaleureusement Nous
Plus en détail