INTRODUCTION À LA THÉORIE DES ORGANISATIONS. L3 : support cours.gestion

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "INTRODUCTION À LA THÉORIE DES ORGANISATIONS. L3 : support cours.gestion"

Transcription

1 1 INTRODUCTION À LA THÉORIE DES ORGANISATIONS L3 : support cours.gestion Prenons des exemples d organisations : un hôpital, un ministère ou une entreprise. Pourquoi l étude de ces ensembles, i.e. la Théorie des organisations, relève t elle des sciences de gestion? Réponse à la M. Jourdain : parce que la théorie sert à gérer ces organisations (!!) Réponse de l économiste Coase (1937) : parce que le marché seul ne suffit pas à réguler l économie. Depuis son article fondateur, Coase a ouvert le questionnement de base de la théorie des organisations, en insistant sur le fait que l existence même des entreprises démontre les limites du marché. En partant de ce constat, les sciences de gestion ont cherché à l approfondir en se penchant sur ces alternatives au marché que sont les organisations. I] A la recherche d une définition La théorie des organisations n est pas une matière à proprement parler, elle fédère des théories et des pratiques d auteurs variés (universitaires, dirigeants ou praticiens). De même, elle emprunte ses analyses dans de nombreux domaines comme le management pur, mais aussi l économie, la sociologie ou la psychologie notamment. L extrême diversité des définitions Comme le souligne un des grands auteurs en la matière, Mintzberg, «notre monde est devenu une société faite d organisations». On finit par voir des organisations partout. Ainsi March, autre célèbre théoricien, base ses cours sur l étude d ouvrages de Shakespeare ou de Cervantès pour illustrer la généralité des acquis de la théorie des organisations.

2 2 Le revers de cette pluralité, est qu il existe autant d approches possibles que d auteurs. Il devient difficile de s accorder sur une définition. En effet chaque théoricien délimite son objet d étude selon sa problématique, les définitions de la théorie des organisations selon les auteurs sont parfois très différentes voire même contradictoires. Notre problème va être de fédérer ces approches : Prenons comme exemple, la définition que nous propose Schein (1970), psychologue : «une organisation c est la coordination rationnelle des activités d un certain nombre de personnes en vue de poursuivre des buts et des objectifs implicites communs par une division du travail et des fonctions et par une hiérarchie du travail et des responsabilités». Cette approche cherche à cerner avec précision ce qu est une organisation en insistant sur la coordination, les finalités, les aspects sociaux ou le pouvoir mais c est une définition difficile à manier car complexe et peu démonstrative. Vers une définition plus opérationnelle On peut proposer une autre définition comme contre-exemple de celle de Schein, ainsi selon Aldrich (1979), sociologue : «une organisation est un système d activité dirigé vers un but et maintenant sa frontière». C est une vision très opérationnelle des organisations, on insiste sur leurs finalités et leurs réalisations. Mais, on peut la considérer comme incomplète puisqu elle ne mentionne pas du tout les aspects sociaux et humains des organisations. La simplicité de la définition permet de l utiliser facilement mais elle privilégie une seule vision de l organisation : elle ne permettra pas de fédérer la théorie. Dès lors, on peut opter pour une vision radicale, celle de Weick (1979), psychologue : «l organisation n existe pas, c est un mythe». Seuls existent des évènements et leur causalité.

3 3 Cette vision volontairement provocatrice met parfaitement en valeur l aspect évolutif des organisations, ce sont des constructions permanentes ; il faudrait donc simplement conceptualiser les interactions humains qui s y déroulent pour les comprendre. Comme on constate tout de même la réalité des organisations (et qu il faut faire ce cours) il ne faut pas prendre cette définition au pied de la lettre, ce n est qu une réponse virulente à l approche mécaniste des organisations. C est pourquoi, comme de nombreux auteurs et en particulier Rojot le spécialiste de la matière en France on adopte la définition établie par Crozier & Friedberg (1977), sociologues : «l organisation est la réponse au problème de l action collective». L action collective traduit à la fois ce que sont les organisations et ce que font les organisations. Elles mettent en œuvre des pratiques, elles sont constituées de personnes Cette définition permet donc bien de fédérer les théories sans en négliger aucun aspect. II] A la recherche d une théorie Si tant de définitions ont pu être avancées, c est que les études, les méthodologies et les centres d intérêt qui sont à la base de la théorie sont variés. Une théorie générale? Ces regards portés sur l organisation dépendent du contexte ou du domaine de l étude ; par ailleurs aucun auteur n a jamais prétendu avoir étudié une organisation dans son ensemble. Même la plus petite organisation (une épicerie) ne peut être comprise de manière exhaustive. Ce problème est propre à la démarche scientifique dans le domaine social et humain. La aussi la question c est de savoir pourquoi on parle de Théorie des organisations au singulier. En effet, les bases de travail sont différentes, il n existe pas de modèle général comparable à la théorie néo-classique en économie, certains aspects de la théorie

4 4 sont ignorés par certains, magnifiés par d autres Ceci dit, c est assez courant quand l objet étudié est aussi large. Comme une organisation répond à l action collective cela va de la caserne de pompiers à la firme multinationale, il est logique que des divergences puissent apparaître dans les approches. Ainsi, si on reprend l analogie avec l économie, on constate que la théorie néoclassique fondée sur l équilibre général n explique pas tout et que d autres approches sont développées (économie institutionnaliste, théorie des contrats, rationalité limitée, économie cognitive ). Une théorie pluridisciplinaire et socio-économique La théorie des organisations constitue en fait une boîte à outils, proche de celle de l histoire de la pensée économique ou on peut également opposer les visions de Smith, philosophe écossais, à Quesnay, aristocrate français, ainsi que leurs démarches de travail ou leurs conclusions. Pourtant, il relève de la même approche car leur objet d étude est le même : la création de richesses et sa répartition dans une société. La théorie des organisations suit une logique identique : on étudie de manière différente les mêmes objets. Selon Callon & Latour, sociologues, c est l utilisation d un langage commun qui permet de réunir des compétences variées. Il faut opérer un processus de traduction qui tienne compte des acteurs de l organisation évoluant dans un réseau. Or c est l essence même de la théorie des organisations que de piocher ses analyses dans tous les domaines possibles, avec ou sans consentement. Ainsi de nombreuses études psychologiques ont été phagocytées alors qu elle ne traitait pas d organisations. C est l intérêt de la définition retenue qui permet de faire passer l action collective avant le formalisme organisationnel. III] A la recherche d une pratique Puisque les théories et les théoriciens de l organisation sont nombreux et variés, il existe une forte tentation de renverser l analyse et de se pencher sur ce que font les organisations pour tenter ensuite d établir des hypothèses et de les valider.

5 5 La demande sociale d une connaissance des organisations De plus, il existe une forte demande de théorie des organisations. Sa popularité tient à la variété des domaines où elle est requise : entreprises, syndicats, administrations D où un développement de l approche factuelle de l organisation : analyse d expériences puis tentative de généralisation. Mais la pratique ne résout aucunement le problème de la multiplicité des approches. Au contraire, les pratiques d organisation sont sans doute plus nombreuses encore que les théories. C est inhérent à l action collective qui est spécifique à l organisation étudiée, à ces ressources, au contexte économique Collecter des pratiques risque de n apporter aucun sens à l étude des organisations ; au mieux cela peut produire de bons ouvrages d histoire. De plus, que ce soit en matière de management d entreprise ou de gestion publique, les décideurs ne sont pas à la recherche de recettes ou de ficelles, ils doivent finalement s assurer de la survie de leur organisation pour que l action collective puisse se poursuivre. Mais le risque essentiel n est pas que la théorie des organisations soit une science des pratiques, une collection d expériences ou de récits En fait, elle l est en partie puisque certains de ses auteurs sont eux-mêmes de grands dirigeants comme Ford ou Sloan. Seulement si elle n était que ça, elle ne ferait pas l objet de tant de débats. Des effets de mode à une démarche d étude Enfin, le lien entre théorie et pratique reste un des points sensibles de la théorie pour une raison peu avouable : l effet de mode. En effet, de nombreuses pratiques deviennent incontournables, sont théorisées, se répandent partout dans le monde puis finissent par disparaître discréditées par leur inefficacité. Il est fréquent que des révolutions soient annoncées comme inéluctables : le mythe du grand soir est très développé en sciences sociales. D où une certaine gêne de la part des théoriciens des organisations : une nouvelle

6 6 théorie peut émerger et faire preuve de son efficacité sans avoir été reconnue, ce qui peut entraîner des pertes sociales élevées du fait de son faible rayonnement. Mais, il ne convient pas non plus de tout étudier sous prétexte qu une révolution organisationnelle est peut être cachée dans des analyses qui ont l air complètement vides. D où, généralement, une répartition entre les auteurs excessivement prudents et les auteurs exagérément optimistes. Plusieurs démarches d étude sont donc possibles : ð chronologique : identification des grandes formes d organisation selon les périodes, étude de leur évolution ð thématique : mise en valeur des grandes problématiques qui parcourent les organisations comme le pouvoir ou l autorité par exemple. ð gestionnaire : conduite des organisations pour décider et agir à partir d étude de cas dans une perspective concrète. Ici aussi, l étude des organisations va dépendre de ceux qui les observent : les méthodologies économique, sociologique ou psychologique possèdent de nombreuses différences. C est un élément qui doit guider toute l analyse des organisations, chaque théorie est fondée sur des contingences qu on ne peut isoler des hypothèses et résultats énoncés. Ce cours visera à résoudre la problématique suivante : comment faire émerger l unité des organisations malgré leur diversité? Références : AKRICH, Madeleine ; CALLON, Michel & LATOUR, Bruno dir. : Sociologie de la traduction Textes fondateurs, Presses de l Ecole des Mines, 2006 ALDRICH, Howard : Organizations and environnements, Stanford University Press, 1979 CALLON, Michel : Eléments pour une sociologie de la traduction, L Année Sociologique, 1986 COASE, Ronald : La nature de la firme, Revue Française d Economie, 1937 (trad. 1987) COASE, Ronald : L entreprise, le marché et le droit, Editions d Organisation, 2005 CROZIER, Michel & FRIEDBERG, Erhard : L acteur et le système, Seuil, 1977 FORD, Henry : Ma vie et mon œuvre, Payot, 1924 LATOUR, Bruno : Nous n avons jamais été modernes, La Découverte, 1991 MARCH, James & WEIL, Thierry : Le leadership dans les organisations, Presses de l Ecole des Mines, 2003

7 7 MINTZBERG, Henry : Le management: voyage au centre des organisations, Editions d Organisation, 2004 ROJOT, Jacques : Théorie des organisations, Eska, 2005 SCHEIN, Edgar : Organizationnal psychology, Pearson, 1970 SLOAN, Alfred : Mes années à la General Motors, Editions Hommes et Techniques, 1963 WEICK, Karl : The social psychology of organizing, McGraw-Hill, 1979

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL

LES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE COUTS QUALITE DELAIS LE RÔLE DU MANAGER ROLE DU MANAGER A ) ROLE DE GESTIONNAIRE FINALITE PRODUIRE. Ateindre les objectifs MOYENS GERER Organiser / Planifier / coordonner

Plus en détail

Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles?

Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 7 mai 2015 à 13:59 Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles? Introduction Regards croisés? car apports de la science économique (économie de la firme)

Plus en détail

Liste des ouvrages et revues

Liste des ouvrages et revues Liste des ouvrages et revues Quelques références d ouvrage (liste non exhaustive!). Il y aura aussi des sorties cette année scolaire. Ouvrage de synthèse 2 manuels de référence en stratégie Garrette, B.,

Plus en détail

L'INGENIERIE DE LA FORMATION, ENJEUX ET DEMARCHES

L'INGENIERIE DE LA FORMATION, ENJEUX ET DEMARCHES L'INGENIERIE DE LA FORMATION, ENJEUX ET DEMARCHES «Il n existe pas de tâches humbles dans une entreprise car toutes concourent à sa réussite» F. Mantione Liminaire : Cette présentation à caractère introductif

Plus en détail

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème

Problématique / Problématiser / Problématisation / Problème Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont

Plus en détail

1 Les différents courants de pensée de la théorie des organisations

1 Les différents courants de pensée de la théorie des organisations 1 Les différents courants de pensée de la théorie des organisations 1 Comment définir la théorie des organisations? Avec la seconde révolution industrielle, de grandes entreprises industrielles émergent,

Plus en détail

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.

Plus en détail

Économie, organisation, hôpital

Économie, organisation, hôpital Séminaire DREES «Les modes incitatifs de rémunération des soins» Première session mardi 29 novembre 2011 Schéma de l intervention de Jean Claude Moisdon Économie, organisation, hôpital 1) On part de la

Plus en détail

7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES

7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES CCPQ Rue A. Lavallée, 1 1080 Bruxelles Tél. : 02/690.85.28 Fax : 02/690.85.78 Email : ccpq@profor.be www.enseignement.be 7. ECONOMIE 7.3. COMMERCE GESTIONNAIRE DE TRES PETITES ENTREPRISES PROFIL DE FORMATION

Plus en détail

LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION

LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION Un texte d accompagnement au séminaire de la FORRES 2006 Guy Pelletier, Professeur Université de Sherbrooke Il n y a pas d ascension dans l exercice

Plus en détail

L INFIRMIÈRE CLINICIENNE SPÉCIALISÉE

L INFIRMIÈRE CLINICIENNE SPÉCIALISÉE Pour faciliter la lecture de ce document, les mots de genre féminin appliqués aux personnes désignent les femmes et les hommes, et vice-versa, si le contexte s y prête. L INFIRMIÈRE CLINICIENNE SPÉCIALISÉE

Plus en détail

Une stratégie d enseignement de la pensée critique

Une stratégie d enseignement de la pensée critique Une stratégie d enseignement de la pensée critique Jacques Boisvert Professeur de psychologie Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu La pensée critique fait partie des capacités à développer dans la formation

Plus en détail

Philosophie. Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés

Philosophie. Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés Institut Catholique de Paris Service Communication Fiche Filière / parcours Philosophie Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés Collection «Orientation à l ICP : Fiches

Plus en détail

CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE. Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs!

CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE. Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs! CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs! Conseils généraux : Entre 25 et 60 pages (hormis références, annexes, résumé) Format d un

Plus en détail

Dossier 2 : Une approche théorique des organisations

Dossier 2 : Une approche théorique des organisations Management des organisations et stratégies Dossier 2 : Une approche théorique des organisations Ce dossier ne prétend pas exposer de manière exhaustive l ensemble des théories qui ont réfléchi les problématiques

Plus en détail

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient

Plus en détail

Etude Benchmarking 2010 sur les formations existantes apparentées au métier de Business Developer en Innovation

Etude Benchmarking 2010 sur les formations existantes apparentées au métier de Business Developer en Innovation Un programme animé par Systematic et copiloté par Systematic, Opticsvalley et le réseau des Chambres de Commerce et d Industrie Paris-Ile-de-France Etude Benchmarking 2010 sur les formations existantes

Plus en détail

La France est-elle compétitive?

La France est-elle compétitive? La France est-elle compétitive? Cafés Géographiques de Montpellier Gilles Ardinat, professeur agrégé et docteur en Géographie, enseignant à l Université Paul Valéry, Montpellier III C est à l occasion

Plus en détail

La microéconomie est-elle utile?

La microéconomie est-elle utile? La microéconomie est-elle utile? Les manuels de microéconomie comportent généralement des centaines de pages, pleines de courbes et de formules mathématiques. Une proportion importante des articles publiés

Plus en détail

La recherche en train de se faire: les cahiers de recherche en ligne. Aboubekeur ZINEDDINE

La recherche en train de se faire: les cahiers de recherche en ligne. Aboubekeur ZINEDDINE Table Ronde : L'ACTIVITÉ DE PUBLICATION DU JEUNE CHERCHEUR La recherche en train de se faire: les cahiers de recherche en ligne 13 décembre 2013 Bibliothèque de Paris MINES ParisTech Aboubekeur ZINEDDINE

Plus en détail

Compte bancaire ou assurance vie? 5. Amortissement direct ou indirect?

Compte bancaire ou assurance vie? 5. Amortissement direct ou indirect? 92 LE GUIDE FINANCIER DU PROPRIÉTAIRE Compte bancaire ou assurance vie? La décision de prendre un compte bancaire dépendra du profil du client et de ses besoins. Par exemple, si l emprunteur est célibataire

Plus en détail

«PRATICIEN DU CHANGEMENT & PROFESSIONNEL DE LA RELATION»

«PRATICIEN DU CHANGEMENT & PROFESSIONNEL DE LA RELATION» «PRATICIEN DU CHANGEMENT & PROFESSIONNEL DE LA RELATION» PROMO 7 La formation au coaching QUI SOMMES-NOUS? Nous sommes des coachs professionnels, hommes et femmes, témoins et acteurs de l évolution des

Plus en détail

PROFESSEUR ENCADRANT: M. Abdellatif CHAKOR

PROFESSEUR ENCADRANT: M. Abdellatif CHAKOR UNIVERSITE MOHAMMED V -Agdal Rabat- École Doctorale de Gestion Exposé en GESTION ET ORGANISATION DES ENTREPRISES sous le thème: PROFESSEUR ENCADRANT: M. Abdellatif CHAKOR REALISE PAR : Meriama EDA-AIF

Plus en détail

Considérations sur la crise et le marché intérieur 1

Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.

Plus en détail

CONNAISSANCES DE GESTION DE BASE

CONNAISSANCES DE GESTION DE BASE MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION CONNAISSANCES

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie

www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,

Plus en détail

Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales

Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales Après dix ans de recherche, huit docteurs en Sciences Humaines ont conçu une méthode innovante au service du savoir-être et

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Communication publique et politique

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Communication publique et politique www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Communication publique et politique Un peu d histoire Cette formation qui existe depuis une quinzaine d années est devenue un master

Plus en détail

Compte bancaire ou assurance vie?

Compte bancaire ou assurance vie? 92 LE GUIDE FINANCIER DU PROPRIÉTAIRE Compte bancaire ou assurance vie? La décision de prendre un compte bancaire ou une assurance vie mixte dépendra du profil du client et de ses besoins en couverture

Plus en détail

OASIS www.oasis-open.org/committees/xacml/docs/docs.shtml Date de publication

OASIS www.oasis-open.org/committees/xacml/docs/docs.shtml Date de publication Statut du Committee Working Draft document Titre XACML Language Proposal, version 0.8 (XACML : XML Access Control Markup Language) Langage de balisage du contrôle d'accès Mot clé Attestation et sécurité

Plus en détail

Certification Appreciative Inquiry Accompagnement des Transformations dans les Organisations

Certification Appreciative Inquiry Accompagnement des Transformations dans les Organisations Certification Appreciative Inquiry Accompagnement des Transformations dans les Organisations Ce programme a été conçu par les professeurs de la Weatherhead School of Management de la Case Western Reserve

Plus en détail

Principe et règles d audit

Principe et règles d audit CHAPITRE 2 Principe et règles d audit 2.1. Principe d audit Le principe et les règles d audit suivent logiquement l exposé précédent. D abord, comme dans toute branche de l activité d une entreprise, l

Plus en détail

1 Chapitre Chapitre. Le coaching QU EST-CE QUE C EST?

1 Chapitre Chapitre. Le coaching QU EST-CE QUE C EST? 1 Chapitre Chapitre Le coaching «Ils jouent un jeu. Ils jouent à ne pas jouer un jeu. Si je leur montre que je le vois, je briserai les règles et ils me puniront. Je dois jouer leur jeu, qui consiste à

Plus en détail

- Articles dans des Revues à comité de lecture (classées AERES) / Articles in refeered reviews

- Articles dans des Revues à comité de lecture (classées AERES) / Articles in refeered reviews Thomas ZEROUAL Profil - Enseignant Chercheur en SUPPLY CHAIN MANAGEMENT. - Thèmes de recherche : service, innovation et durabilité dans les transports. - DOCTEUR en Sciences Economiques : «Les politiques

Plus en détail

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules

Plus en détail

Retour d expérience. Le rôle du Business Analyst chez Orange. Nadia Magarino & Christophe Dufour 29 avril 2015

Retour d expérience. Le rôle du Business Analyst chez Orange. Nadia Magarino & Christophe Dufour 29 avril 2015 Retour d expérience Le rôle du Business Analyst chez Orange Nadia Magarino & Christophe Dufour 29 avril 2015 Plus de 161 000 salariés à votre service mobile entreprises internet et fixe Plus de 161 000

Plus en détail

Évaluation en vue de l accréditation. Programme Master Européen en Médiation de l Institut Universitaire Kurt Bösch

Évaluation en vue de l accréditation. Programme Master Européen en Médiation de l Institut Universitaire Kurt Bösch Évaluation en vue de l accréditation Programme Master Européen en Médiation de l Institut Universitaire Kurt Bösch Rapport final du Comité de visite de l OAQ 30 août 2005 I - Description du processus d

Plus en détail

LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal

LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal Orlando G. Cerocchi LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal :: INTRODUCTION :: OBJECTIF DU PROGRAMME :: FESTIVALS ET ÉVÉNEMENTS TOURISTIQUES ADMISSIBLES :: CHAMPS

Plus en détail

IMPUTATION DES BÉNÉFICES À UN ÉTABLISSEMENT STABLE EFFECTUANT DES TRANSACTIONS COMMERCIALES PAR VOIE ÉLECTRONIQUE

IMPUTATION DES BÉNÉFICES À UN ÉTABLISSEMENT STABLE EFFECTUANT DES TRANSACTIONS COMMERCIALES PAR VOIE ÉLECTRONIQUE COMMERCE ELECTRONIQUE ET IMPOTS @ OCDE IMPUTATION DES BÉNÉFICES À UN ÉTABLISSEMENT STABLE EFFECTUANT DES TRANSACTIONS COMMERCIALES PAR VOIE ÉLECTRONIQUE UN DOCUMENT DE TRAVAIL DU GROUPE TECHNIQUE CONSULTATIF

Plus en détail

UE 13 Contrôle de gestion. Responsables : Henri Bouquin, Professeur Stéphanie Thiéry-Dubuisson, Maître de Conférences

UE 13 Contrôle de gestion. Responsables : Henri Bouquin, Professeur Stéphanie Thiéry-Dubuisson, Maître de Conférences UE 13 Contrôle de gestion Responsables : Henri Bouquin, Professeur Stéphanie Thiéry-Dubuisson, Maître de Conférences www.crefige.dauphine.fr polycopié de TD Ouvrage de référence : Henri BOUQUIN, Comptabilité

Plus en détail

Préparer la formation

Préparer la formation Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte

Plus en détail

Le processus du développement économique

Le processus du développement économique DOUGLASS C. NORTH Prix Nobel d économie Le processus du développement économique Présentation de Claude Ménard Traduit de l anglais par Michel Le Séac h, 2005 ISBN : 2-7081-3397-7 13 Où allons-nous? Le

Plus en détail

Contenu. Statistiques. Définition: l analphabétisme fonctionnel

Contenu. Statistiques. Définition: l analphabétisme fonctionnel Contenu!! L analphabétisme en Allemagne: qui est touché?! L analphabétisme en Allemagne: les cours! L alphabétisation des migrants! La formation élémentaire en Allemagne: développement! La qualification

Plus en détail

Résumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc. Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader

Résumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc. Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader Résumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader Institut Ludwig Boltzmann de sociologie de la santé et de la médecine Avril 2001 Introduction

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET

ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET 1 ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET Introduction L Internet a révolutionné notre façon d échanger des idées, des informations et des marchandises. Tout naturellement, cette technique

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. Accompagnant le document

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. Accompagnant le document COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 19.12.2011 SEC(2011) 1611 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT Accompagnant le document Proposition de règlement du Parlement

Plus en détail

Qu est-ce que la virtualisation?

Qu est-ce que la virtualisation? I Qu est-ce que la virtualisation? L actuel et le virtuel Considérons pour commencer l opposition facile et trompeuse entre réel et virtuel. Dans l usage courant, le mot virtuel s emploie souvent pour

Plus en détail

Argumentaire pour la facilitation des échanges dans la pratique. Andrew Grainger

Argumentaire pour la facilitation des échanges dans la pratique. Andrew Grainger Argumentaire pour la facilitation des échanges dans la pratique Andrew Grainger Nottingham University Business School andrew.grainger@nottingham.ac.uk Page: 1 Incitants politiques génériques 1. Modernisation

Plus en détail

CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO

CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO Avril 2014 SOMMAIRE INTRODUCTION 3 INTEGRITE DANS LA CONDUITE DES AFFAIRES 4 DROITS DE L HOMME - DROITS FONDAMENTAUX AU TRAVAIL 5 Elimination de toute forme de travail

Plus en détail

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ INSTITUT DE MANAGEMENT PUBLIC ET GOUVERNANCE TERRITORIALE 21 RUE GASTON DE SAPORTA 13100 AIX EN PROVENCE DIPLOME UNIVERSITAIRE (DU) ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ OBJECTIFS Faire comprendre

Plus en détail

ANALYSE DU BESOIN. L ANALYSE FONCTIONNELLE par Jean-Marie VIRELY & all (ENS Cachan) Cette présentation décrit l outil «Analyse du Besoin».

ANALYSE DU BESOIN. L ANALYSE FONCTIONNELLE par Jean-Marie VIRELY & all (ENS Cachan) Cette présentation décrit l outil «Analyse du Besoin». -- Cette présentation décrit l outil «Analyse du Besoin». AA-GC-CL-JMV Page mis à jour le oct 00 L'objectif L'Analyse du Besoin est une méthode qui permet de caractériser le besoin exprimé -- L objet est

Plus en détail

BAZAR URBAIN - le singulier et le collectif

BAZAR URBAIN - le singulier et le collectif STRABIC.FR / SAISONS / COLLECTIFS / + BAZAR URBAIN le singulier et le collectif Écrit et illustré par BazarUrbain. publié le 24 avril 2014 BazarUrbain est un collectif pluridisciplinaire qui intervient

Plus en détail

Fiche métier : Le Community Manager

Fiche métier : Le Community Manager Fiche métier : Le Community Manager Le métier de Community Manager, en quoi cela consiste? 1) Un métier neuf La notion de community management étant relativement récente, il n en existe pas de véritable

Plus en détail

Master Ressources Humaines

Master Ressources Humaines 1 - Objectifs de formation du Master Le Master comprend deux années : Première année : Seconde année : La première année est dédiée à l acquisition des connaissances fondamentales en gestion des ressources

Plus en détail

Après la crise et si le meilleur était à venir?

Après la crise et si le meilleur était à venir? Colloque AGRICA mercredi 24 juin 2009 Après la crise et si le meilleur était à venir? VOS NOTES ANIMATION DES DEBATS Nathalie LEVY Journaliste-présentatrice, Nathalie Lévy présente en direct «Info 360»

Plus en détail

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934)

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) 3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) Psychologue russe contemporain de Piaget, a également élaboré une théorie interactionniste de l'apprentissage, sage, mais qui insiste sur tout sur la

Plus en détail

Objet: Traitement fiscal des sociétés exerçant des transactions de financement intra-groupe

Objet: Traitement fiscal des sociétés exerçant des transactions de financement intra-groupe Circulaire du directeur des contributions L.I.R. n 164/2 du 28 janvier 2011 L.I.R. n 164/2 Objet: Traitement fiscal des sociétés exerçant des transactions de financement intra-groupe 1. Définitions Par

Plus en détail

Catégorie économique Enseignement supérieur de type court

Catégorie économique Enseignement supérieur de type court Catégorie économique Enseignement supérieur de type court 1. Définition des cursus Sigle Cycle Durée Titre d'accès Baccalauréat en assurances B-ASSUR 1 3 ans 180 CESS Baccalauréat en comptabilité Option

Plus en détail

Structure typique d un protocole de recherche. Préparé par Johanne Desrosiers dans le cadre d une formation au réseau FORMSAV

Structure typique d un protocole de recherche. Préparé par Johanne Desrosiers dans le cadre d une formation au réseau FORMSAV Structure typique d un protocole de recherche Préparé par Johanne Desrosiers dans le cadre d une formation au réseau FORMSAV Introduction Planification et développement d une proposition de recherche Étape

Plus en détail

La pharmacie en ligne, enjeux juridiques! Me Gérard CHEMLA!!

La pharmacie en ligne, enjeux juridiques! Me Gérard CHEMLA!! La pharmacie en ligne, enjeux juridiques Me Gérard CHEMLA Sommaire 1. Les règles posées par l arrêt DocMorris" 2. Sont mise en œuvre en Europe" 3. Mais la France reste sourde à l évolution" 4. Jusqu à

Plus en détail

La protection de vos données personnelles

La protection de vos données personnelles LES MINI-GUIDES BANCAIRES Repère n 15 La protection de vos données personnelles FEDERATION BANCAIRE FRANCAISE novembre 2004 Qu est-ce que la loi Informatique et Libertés? La loi Informatique et Libertés

Plus en détail

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL

REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL REGLES INTERNES AU TRANSFERT DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL L important développement à l international du groupe OVH et de ses filiales, conduit à l adoption des présentes règles internes en matière

Plus en détail

Conseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017

Conseil régional. Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Conseil régional Plan d action régional Outaouais 2014-2017 Dans ce tableau, la numérotation est utilisée afin de faciliter le suivi de la présentation. Légende Palier N signifie national R signifie régional

Plus en détail

RESPONSABILITE ET ASSURANCES

RESPONSABILITE ET ASSURANCES RESPONSABILITE ET ASSURANCES 1 CHAPITRES Pages 1 RESPONSABILITE CIVILE 3 2 RESPONSABILITE PENALE 4 3 DIRIGEANTS D ASSOCIATION ET RESPONSABILITE 4 4 OBLIGATION D INFORMATION DES ASSOCIATIONS SUR LES ASSURANCES

Plus en détail

Critique des conditions de la durabilité: application aux indices de dév...

Critique des conditions de la durabilité: application aux indices de dév... 1 sur 5 25/10/2007 4:04 Critique des conditions de la durabilité: application aux indices de développement durable. Bruno Kestemont Mémoire de DEA Version révisée, 2004 IGEAT-ULB Sous la direction du Prof

Plus en détail

Comprendre le financement des placements par emprunt. Prêts placement

Comprendre le financement des placements par emprunt. Prêts placement Comprendre le financement des placements par emprunt Prêts placement Comprendre le financement des placements par emprunt Le financement des placements par emprunt consiste simplement à emprunter pour

Plus en détail

Université de Mons UMONS Institut d Administration Scolaire. Direction Générale des Enseignements

Université de Mons UMONS Institut d Administration Scolaire. Direction Générale des Enseignements Ce fascicule a été réalisé dans le cadre d une recherche-action commanditée par la Province de Hainaut intitulée «Implémentation de l approche orientante au sein de l enseignement secondaire provincial».

Plus en détail

L ASSURANCE EN LIGNE. Etat des lieux et prospective

L ASSURANCE EN LIGNE. Etat des lieux et prospective L ASSURANCE EN LIGNE Etat des lieux et prospective www.audirep.fr Restitution des résultats d une étude menée par Internet sur un échantillon de 908 ménages représentatifs de la population française AUDIREP

Plus en détail

Esprit critique et dérives psychologique

Esprit critique et dérives psychologique Esprit critique et dérives psychologique L'esprit critique et l'autodéfense intellectuelle... Psy : clés d interprétation de notre environnement La construction et la transmission du savoir recouvre des

Plus en détail

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.

Plus en détail

GUIDE DE CONSOLIDATION D ÉQUIPE POUR LES ÉQUIPES DE SOINS PRIMAIRES DE L ONTARIO

GUIDE DE CONSOLIDATION D ÉQUIPE POUR LES ÉQUIPES DE SOINS PRIMAIRES DE L ONTARIO GUIDE DE CONSOLIDATION D ÉQUIPE POUR LES ÉQUIPES DE SOINS PRIMAIRES DE L ONTARIO Janvier Module 2009 10 : Gérer les conflits Modifié en décembre 2010 Révisé en décembre 2012 Révisé en décembre 2012 1 Objectif

Plus en détail

L e m o t d u p r é s i d e n t

L e m o t d u p r é s i d e n t Hi ver 2015 L e m o t d u p r é s i d e n t Au nom de mes collègues du Conseil d administration de l ACGL, je vous souhaite une belle et heureuse année 2015. C est avec enthousiasme que notre association

Plus en détail

COMPTE-RENDU DE LA CONSULTATION PUBLIQUE ARRONDISSEMENT DE BROMPTON RÉVISION DU SCHÉMA DE COUVERTURE DE RISQUES EN SÉCURITÉ INCENDIE

COMPTE-RENDU DE LA CONSULTATION PUBLIQUE ARRONDISSEMENT DE BROMPTON RÉVISION DU SCHÉMA DE COUVERTURE DE RISQUES EN SÉCURITÉ INCENDIE COMPTE-RENDU DE LA CONSULTATION PUBLIQUE ARRONDISSEMENT DE BROMPTON RÉVISION DU SCHÉMA DE COUVERTURE DE RISQUES EN SÉCURITÉ INCENDIE 13 JUIN 2012 19 h BUREAU D ARRONDISSEMENT DE BROMPTON SONT PRÉSENTS

Plus en détail

Dans le champ médico-social, l approche systémique est trop souvent synonyme

Dans le champ médico-social, l approche systémique est trop souvent synonyme L approche systémique, clé du changement L approche systémique, son originalité et sa méthode dans le travail psychosocial Dans le champ médico-social, l approche systémique est trop souvent synonyme de

Plus en détail

Transformez votre relation au monde!

Transformez votre relation au monde! Transformez votre relation au monde! Formations certifiantes PNL QUEST interactive 2013-2014 Qu est-ce que la PNL? La PNL (Programmation Neuro-linguistique) est une discipline développée dans les années

Plus en détail

2009 et DUBAR C., TRIPIER P., Sociologie des professions, Collection U, Armand Colin,, 2 éd., 2009

2009 et DUBAR C., TRIPIER P., Sociologie des professions, Collection U, Armand Colin,, 2 éd., 2009 L apport de la sociologie des professions 1 à une définition positive des professions libérales. Il est très difficile de trouver une définition «positive» des professions libérales, souvent les professions

Plus en détail

GOUVERNANCE DES IDENTITES ET DES ACCES ORIENTEE METIER : IMPORTANCE DE CETTE NOUVELLE APPROCHE

GOUVERNANCE DES IDENTITES ET DES ACCES ORIENTEE METIER : IMPORTANCE DE CETTE NOUVELLE APPROCHE GOUVERNANCE DES IDENTITES ET DES ACCES ORIENTEE METIER : IMPORTANCE DE CETTE NOUVELLE APPROCHE RÉSUMÉ Depuis des années, les responsables de la sécurité de l information et les responsables opérationnels

Plus en détail

A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES

A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition

Plus en détail

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement

Plus en détail

Master Etudes françaises et francophones

Master Etudes françaises et francophones Master Etudes françaises et francophones 1. modèle scientifique et profilage des contenus de la filière / Présentation et spécificités de la filière Les études romanes à Leipzig sont considérées comme

Plus en détail

La légalité du «marketing viral»

La légalité du «marketing viral» SERVICE PUBLIC FÉDÉRAL ÉCONOMIE, PME, CLASSES MOYENNES ET ÉNERGIE Direction générale Régulation et Organisation du Marché Cellule Economie électronique La légalité du «marketing viral» Septembre 2005 1

Plus en détail

ECAP : Le niveau Accréditation du programme d études des comptables généraux accrédités

ECAP : Le niveau Accréditation du programme d études des comptables généraux accrédités ECAP : Le niveau Accréditation du programme d études des comptables généraux accrédités Les connaissances comptables et financières, le professionnalisme et le leadership pour les besoins d aujourd hui

Plus en détail

TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut?

TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce document est traduit et librement adapté

Plus en détail

Baloise Assistance Accessible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7

Baloise Assistance Accessible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 Baloise Assistance Accessible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 Avec Baloise Insurance, votre monde est en sécurité. En tant que client Baloise Insurance, vous avez déjà un certain privilège puisqu en cas

Plus en détail

INTRODUCTION A L ANALYSE ORGANISATIONNELLE

INTRODUCTION A L ANALYSE ORGANISATIONNELLE INTRODUCTION A L ANALYSE ORGANISATIONNELLE Objectifs du module : Identifier et analyser les différentes configurations de l entreprise. Mettre en évidence le lien entre structure organisationnelle et formation.

Plus en détail

Les sites de presse en ligne et le moteur Google

Les sites de presse en ligne et le moteur Google Les sites de presse en ligne et le moteur Google Guillaume Sire 6 février 2014 Post-doctorant Ecole des Médias et du Numérique de la Sorbonne Plan! 1) Introduction! 2) Problématique! 3) Méthodologie! 4)

Plus en détail

Normaliser l investissement des fonds de pension: processus historiques aux USA, 1960-1990

Normaliser l investissement des fonds de pension: processus historiques aux USA, 1960-1990 Normaliser l investissement des fonds de pension: processus historiques aux USA, 1960-1990 Sabine Montagne IRISSO- Université Paris-Dauphine sabine.montagne@dauphine.fr Colloque Les normes de la finance.

Plus en détail

À destination des acteurs & des professionnels du Tourisme d Affaires

À destination des acteurs & des professionnels du Tourisme d Affaires ME MEN TO À destination des acteurs & des professionnels du Tourisme d Affaires ÉDITO Luc Doublet, Président Christine Batteux, Vice-Présidente du Conseil Régional, Chargée du Tourisme Avec 5,8 milliards

Plus en détail

LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE

LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE CETTE RECHERCHE A ETE FINANCEE PAR Le Ministère des Affaires Sociales et de l'emploi, Direction Générale de la Santé,Sous- Direction

Plus en détail

Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen)

Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen) 20 ème Congrès du CIRIEC International Buenos Aires, octobre 2014 Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen) 1 Hétérodoxie versus

Plus en détail

Pascal Engel. Si l une des marques de l époque moderne a été le désenchantement. vis à vis des valeurs, et en particulier vis à vis des valeurs de la

Pascal Engel. Si l une des marques de l époque moderne a été le désenchantement. vis à vis des valeurs, et en particulier vis à vis des valeurs de la 1 EST-IL RATIONNEL D ÊTRE RATIONNEL? Pascal Engel In Grand dictionnaire de philosophie Larousse, 2003 Si l une des marques de l époque moderne a été le désenchantement vis à vis des valeurs, et en particulier

Plus en détail

Diapo 1. Objet de l atelier. Classe visée. Travail en co-disciplinarité (identité et origine académique des IEN)

Diapo 1. Objet de l atelier. Classe visée. Travail en co-disciplinarité (identité et origine académique des IEN) COMMENTAIRE Séminaire national Réforme de la série Gestion-administration Lyon 10 et 11 mai 2012 Vendredi matin Martine DECONINCK (IEN EG), Michèle SENDRE (IEN L), Isabelle VALLOT (IEN EG) Diapo 1. Objet

Plus en détail

MERCREDI 28 MAI 18H30 A 20H30 UNIVERSITÉ PARIS DAUPHINE SALLE RAYMOND ARON COLLOQUE : LA TELEVISION TELLE QUE NOUS LA CONNAISSONS EST-ELLE MORTE?

MERCREDI 28 MAI 18H30 A 20H30 UNIVERSITÉ PARIS DAUPHINE SALLE RAYMOND ARON COLLOQUE : LA TELEVISION TELLE QUE NOUS LA CONNAISSONS EST-ELLE MORTE? MERCREDI 28 MAI 18H30 A 20H30 UNIVERSITÉ PARIS DAUPHINE SALLE RAYMOND ARON COLLOQUE : LA TELEVISION TELLE QUE NOUS LA CONNAISSONS EST-ELLE MORTE? Dans le cadre des Soirées Numériques de Dauphine, le Master

Plus en détail

Déclaration ministérielle sur l assurance de la qualité des programmes d enseignement menant à des grades au Canada

Déclaration ministérielle sur l assurance de la qualité des programmes d enseignement menant à des grades au Canada Déclaration ministérielle sur l assurance de la qualité des programmes d enseignement menant à des grades au Canada 2007 Déclaration ministérielle sur l assurance de la qualité des programmes d enseignement

Plus en détail

La demande Du consommateur. Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal

La demande Du consommateur. Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal La demande Du consommateur Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal Plan du cours Préambule : Rationalité du consommateur I II III IV V La contrainte budgétaire Les préférences Le choix optimal

Plus en détail

SECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES

SECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES SECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES Manuel Murgia Page 1 19/08/2006 LES FONDEMENTS DU MANAGEMENT

Plus en détail

FORMATION Coach & Team. Promotion CT26 - Lyon

FORMATION Coach & Team. Promotion CT26 - Lyon FORMATION Coach & Team Promotion CT26 - Lyon JBS est une école de coaching animée par des enseignants et des superviseurs de coachs, tous intervenants en entreprise et didacticiens, ayant eu un parcours

Plus en détail

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015

Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 1 LA REDACTION DU RAPPORT DE STAGE Le mémoire ne doit pas consister à reprendre tels quels des documents internes de l entreprise ou

Plus en détail