Validation du consensus sur l intuition (gut feelings) par les enseignants cliniciens ambulatoires.
|
|
- Thibault Brousseau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Département de Médecine Générale de Brest Validation du consensus sur l intuition (gut feelings) par les enseignants cliniciens ambulatoires. Nolwenn Zanitti, Marie Barais, Pierre Barraine, Jean Yves Le Reste. adresse: Jean-Yves Le Reste. Département de médecine générale, Faculté de médecine de Brest. Rue Camille Desmoulins, Brest, France. lerestejy@aliceadsl.fr
2 Contexte Les MG sont souvent face à des situations cliniques complexes fréquemment en situation d incertitude. Parfois ils basent leur décision sur l intuition (gut feeling). Pour étudier ce phénomène, Stolper et al. ont fait plusieurs études préliminaires par focus group puis par procédure delphi avec des mg aux pays bas. Avec ces études ils ont conceptualisé ce sixième sens. Ce concept comporte un sens de l alarme, un sens de réassurance et plusieurs déterminants. Ce concept a été validé en France par le DUMG Brest auprès des enseignants associés de médecine générale français.
3 Question de recherche Quels sont les critères consensuels définissant l intuition chez les maitres de stages du département universitaire de médecine générale de Brest? Quelles différences existent avec ceux des experts français et néerlandais
4 Méthode Traduction aller retour des critères de départ Néerlandais vers le français Traduction aller par un généraliste français néerlandophone (contrôle effectué par le traducteur officiel de l université de Maastricht). Reformulation française du «Pluis niet Pluis» néerlandais en «ça colle, ça cloche». Traduction retour par un généraliste néerlandais francophone(contrôle effectué par l auteur initial E Stolper)
5 Méthode Procédure Delphi Échantillon randomisé de 28 enseignants cliniciens ambulatoires, respect du principe de variation maximale. Rétroactions anonymes, itératives, contrôlées et statistiques de groupe. Par e mail Echelles de Lickert de 1 à 9 avec rétroaction. Consensus si atteinte de 70 % de rang supérieur ou égal à 7.
6 Méthode Reformulation par l ensemble de l équipe de recherche (groupe de thèse) Réalisation d un codage ouvert phénoménologique, par deux chercheurs séparés, des critères néerlandais finaux, des critères des enseignants associés français finaux et des critères des ECA français finaux Comparaison des codes pour analyse des ressemblances et des différences entre les différentes populations.
7 Méthode Traduction aller retour des critères Hollandais validés (7) et des critères des ECA validés (9) par : Groupe de Maastricht, Groupe Français
8 Critères de départ Le sentiment «ça colle, ça cloche» du médecin généraliste est surtout de l ordre du degré d assurance du médecin concernant le pronostic des plaintes. Le sentiment «ça colle, ça cloche» n a pas grand-chose à voir avec la formulation d hypothèses de travail et de diagnostics. «Ça cloche» implique que le médecin généraliste se méfie de l état de santé du patient quand bien même il/elle ne dispose pas pour cela d arguments objectifs : il y a là quelque chose qui coince. «Ça cloche» signifie qu une ou autre forme d intervention semble nécessaire pour éviter à court terme de graves complications de santé. «Ça colle» signifie que le médecin généraliste se sent sûr de lui pour le pronostic, même si les arguments objectifs manquent: tout concorde. «Ça colle» implique que le médecin généraliste est suffisamment sûr de lui pour l instauration d un traitement. Peut-être désirez-vous formuler vous-même une proposition concernant la définition du «ça colle, ça cloche». Voulez-vous alors la rédiger cidessous?
9 28 participants Trois rondes pour arriver au consensus 9 critères finaux Résultats : Ronde 1
10 Résultats : Ronde 2 26 participants Reformulation en fonction des commentaires des participants Exemple proposition 1b : Le sentiment «ça cloche» confirme la crainte diagnostique du médecin généraliste.
11 Résultats : Ronde 3 26 participants Nouvelle proposition 9a : Le sentiment «ça cloche» est activé quand il existe une incohérence entre le tableau présenté et la connaissance qu a le médecin de son patient.
12 Résultats : synthèse
13 Résultats critères consensuels Le sentiment «ça colle» du médecin généraliste tient surtout à son assurance face à l évolution du tableau clinique. Le sentiment «ça cloche» confirme la crainte diagnostique du médecin généraliste. Le sentiment «ça colle, ça cloche» active le processus de formulation d hypothèse de travail et de diagnostic, il imprègne la pratique, conforte ou met en doute les orientations prises. «Ça cloche» implique que le médecin généraliste se méfie de l état de santé du patient quand bien même il/elle ne dispose pas pour cela d arguments objectifs : il y a là quelque chose qui coince. «Ça cloche» signifie qu une autre forme d intervention semble nécessaire pour éviter à court terme de graves complications de santé. «Ça colle» signifie que le médecin généraliste se sent suffisamment rassuré quant à l évolution de la maladie, même si les arguments objectifs manquent. Ceci doit être tempéré par la nécessité de rester vigilant. «Ça colle» implique que le médecin généraliste est suffisamment sûr de lui pour l instauration d un traitement. Le «ça cloche», quand la situation est illogique ou discordante, réactive une démarche d investigation. Le sentiment «ça cloche» est activé quand il existe une incohérence entre le tableau présenté et la connaissance qu a le médecin de son patient.
14 Comparaison des codages Importance de la connaissance du patient pour les ECA
15 Focus : sens de l alarme Exemple Critère 9a Le sentiment «ça cloche» est activé quand il existe une incohérence entre le tableau présenté et la connaissance qu a le médecin de son patient.
16 Focus : sens de réassurance Exemple Critère 5 «Ça colle» signifie que le médecin généraliste se sent suffisamment rassuré quant à l évolution de la maladie, même si les arguments objectifs manquent. Ceci doit être tempéré par la nécessité de rester vigilant.
17 Focus : synthèse Exemple : Critère 2 Le sentiment «ça colle, ça cloche» active le processus de formulation d hypothèse de travail et de diagnostic, il imprègne la pratique, conforte ou met en doute les orientations prises.
18 Synopsis Une notion nouvelle : la connaissance qu a le médecin de son patient est un paramètre important dans le déclenchement du sentiment d alerte. Les ECA insistent plus encore sur le fait que le «CCCC» est un guide dans les orientations prises. Ce concept agit comme une boussole dans le processus diagnostic. La notion d évolution du sentiment d alarme au cours du processus diagnostic décrit par les médecins généralistes universitaires, n est pas retrouvée chez les maîtres des stages français. Ce phénomène pourrait peut-être s expliquer par le fait que cette description est issue de médecins théorisant beaucoup plus? Les maîtres de stages français ont mis en exergue la notion de vigilance quant au sens de réassurance en insistant sur le fait qu elle n est que provisoire. Ce principe avait été déjà mentionné par les médecins généralistes universitaires français.
19 Limites Procédure Delphi : attention aux mail listes vous pouvez facilement faire un biais de contamination (utiliser le champs CCI) Apport des groupes de thèse (8 personnes) pour reformuler les critères et faire les synthèses.
20 CONCLUSION :Message à emporter La similarité entre les résultats des ECA français et des universitaires hollandais et français confirme, à nouveau, que le concept de sixième sens existe et qu il est bien défini (sens de l alarme, sens de réassurance et 9 critères pour la France)
21 Merci Des questions?
22 Critères Néerlandais Sentiment ça cloche CRITERE 1a Ca cloche signifie que le généraliste éprouve un sentiment de malaise provenant du fait qu il/elle est inquiet/inquiète quant à une possible issue défavorable. CRITERE 2 Le sentiment «ça cloche» active le processus diagnostique, à partir duquel sont formulées et prises en considération des hypothèses de travail pouvant impliquer un problème grave. CRITERE 3 «Ca cloche» implique que le généraliste se méfie de l état de santé du patient, bien qu il/ elle n ait pour cela pas encore suffisamment d éléments objectifs : il y a quelque chose qui cloche. CRITERE 4 «Ca cloche» signifie que, dans les moyens du possible, il est nécessaire de débuter une prise en charge particulière afin de prévenir de graves complications de santé. CRITERE 9 Un sentiment «ça cloche» diminue au fur et à mesure que le diagnostic et/ ou la prise en charge seront plus clairs. Sentiment «ça colle» CRITERE 5 «Ca colle» signifie que le généraliste se sent à l aise concernant la prise en charge du problème et de son issue, même s il/ si elle n est pas certain/e du diagnostic : tout colle. Ca cloche et ça colle CRITERE 8 : «Ca cloche» et «ça colle» forment un élément dynamique dans le processus diagnostique du généraliste.
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détail«Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches»
Synthèse de la table ronde 2- Giens XXI -octobre 2005 «Adaptation de la mise en œuvre des bonnes pratiques cliniques en fonction des caractéristiques de certaines recherches» Pierre-Henri.Bertoye, Soizic.Courcier-Duplantier,
Plus en détailCharte des Maîtres de Stage des Universités (MSU), en médecine générale
1 Charte des Maîtres de Stage des Universités (MSU), en médecine générale Préambule L objectif du stage de deuxième cycle en médecine générale est d appréhender les grands principes et les spécificités
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailAlarme domestique- Présentation
STI2D PROJET SIN Alarme domestique- Présentation Document réponses Séquence découverte Le fonctionnement du système d alarme domestique: (Démarche d investigation) Après avoir fait une présentation de
Plus en détailI. Démarches administratives et documents à produire
UCL - Guide administratif du médecin assistant candidat boursier (MACB) porteur d un diplôme de médecine ou de spécialisation obtenu dans un pays hors Union Européenne. Ce petit guide reprend des informations
Plus en détailLes grandes études de télémédecine en France
Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire
Plus en détailElaboration de scénarios pour la mise en place de la Géo-plateforme CIGAL
Elaboration de scénarios pour la mise en place de la Géo-plateforme CIGAL Réunion de lancement Xavier DUPASQUIER 15/12/2011 IETI Consultants 17 Bd des Etats-Unis - 71000 Mâcon Tel : (0)3 85 21 91 91 -
Plus en détailENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE?
ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? Les nouveaux programmes 2008 confirment que l observation, le questionnement, l expérimentation et l argumentation sont
Plus en détailRôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique
Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Pôle Qualité / Gestion des Risques 05 Janvier 2012 Plan La qualité d une recherche c est quoi? Bonnes Pratiques Cliniques (BPC) Responsabilités des
Plus en détail«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner?
«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner? Congrès du CNGE Angers Novembre 2008 Sébastien Cadier*, Isabelle Aubin**, Pierre Barraine* *Département de médecine générale
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailDocument d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité
Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette
Plus en détailÉTAT DES LIEUX. Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique
ÉTAT DES LIEUX Niveau de preuve et gradation des recommandations de bonne pratique Avril 2013 Les recommandations et leur synthèse sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service
Plus en détailLecture critique et pratique de la médecine
1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne
Plus en détailPascal LACHAISE Paul TORNER. Matthieu PICARD
La communication médecins/ pharmaciens/patients Enquête sur les attentes des différents acteurs. Quelles solutions pour améliorer la concertation médecin/pharmacien pour le bénéfice du patient? Pascal
Plus en détailCHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES
CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement
Plus en détailTarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB)
Tarifs de l hôpital universitaire pédiatrique de Bâle (UKBB) valable à partir du 1 er janvier 2014 1 Introduction... 2 2 Traitements ambulatoires... 3 2.1 Interventions chirurgicales... 3 2.2 Diagnostics
Plus en détailMaster ès Sciences en sciences infirmières
Master ès Sciences en sciences infirmières Master conjoint UNIVERSITE DE LAUSANNE Faculté de biologie et de médecine, Ecole de médecine et HAUTE ECOLE SPECIALISEE DE SUISSE OCCIDENTALE Domaine santé PLAN
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailSOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5
SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS
Plus en détailDIPLÔME UNIVERSITAIRE DE DENTISTERIE ESTHÉTIQUE
UNIVERSITAT DE LES VALLS FACULTÉ DE MÉDECINE DENTAIRE PRINCIPAUTÉ D'ANDORRE DIPLÔME UNIVERSITAIRE DE DENTISTERIE ESTHÉTIQUE Les diplômes de l Universitat de les Valls sont reconnus par l Union Européenne
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailLes données à caractère personnel
Les données à caractère personnel Loi n 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertésrefondue par la loi du 6 août 2004, prenant en compte les directives 95/46/CE du Parlement
Plus en détailEtude d impact de la mise en conformité des échanges électroniques entre dépôts de sang et EFS d Île-de-France. Présentation du 15 décembre 2012
Etude d impact de la mise en conformité des échanges électroniques entre dépôts de sang et EFS d Île-de-France Présentation du 15 décembre 2012 Dans un contexte d échanges électroniques multiples, impliquant
Plus en détailRéaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!
Réaliser la fiche de lecture du document distribué en suivant les différentes étapes de la méthodologie (consulter le support du TD!) 1. Réaliser la note sur l auteur (bien lire le document, utiliser Internet)
Plus en détailUn métier en évolution pour répondre aux nouvelles. Face à ces évolutions, un nouveau métier
Les métiers de la pharmacovigilance Des métiers en évolution dans une industrie de haute technologie et d'innovation Une mission d'évaluation et de gestion des risques liés à l'utilisation des médicaments
Plus en détailRecherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines
18. Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines KARILA LAURENT - APPRENTISSAGE DE L EXERCICE MÉDICAL + Objectifs
Plus en détailChapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Introduction
Plus en détailMaster Sales Analysis. Analyse et développement des compétences de vente
Master Sales Analysis Analyse et développement des compétences de vente L'essentiel L essentiel à propos du système MSA 360 Description résumée du système MSA 360 Le système Master Sales Analysis (MSA)
Plus en détailSAISIE DES NOTES DE BAS DE PAGE et BIBLIOGRAPHIE MEMO RÉSUMÉ. Norme AFNOR Z 44-005 NF ISO 690. Dernière édition : octobre 2011
SAISIE DES NOTES DE BAS DE PAGE et BIBLIOGRAPHIE MEMO RÉSUMÉ Norme AFNOR Z 44-005 NF ISO 690 Dernière édition : octobre 2011 Texte mis à jour le 29 janvier 2014 MM. DAUTHIER dauthier@univ-tln.fr 1 Notes
Plus en détailDIU de Cardiologie Interventionnelle Année universitaire 2014-2015. Note d information 1 septembre 2014 Enseignement 2 année
DIU de Cardiologie Interventionnelle Année universitaire 2014-2015 Note d information 1 septembre 2014 Enseignement 2 année Modalités d'inscription Pré-inscription en deuxième année La pré-inscription
Plus en détailGuide de l année-recherche
Guide de l année-recherche Destiné aux Internes de Médecine Générale Mars 2011 Mis à jour Octobre 2013 Co signé en octobre 2013 par : Page 2 sur 20 SOMMAIRE I. Introduction 5 II. Définition de l année-recherche
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDemande de résumés! 71 e conférence clinique et scientifique annuelle Du 9 au 12 juin 2015 Québec (Québec) Centre des congrès de Québec
Demande de résumés! 71 e conférence clinique et scientifique annuelle Du 9 au 12 juin 2015 Québec (Québec) Centre des congrès de Québec La Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC), l
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailAnnonce. Beyrouth, le 4/6/2013. La Doyenne. Nina SAADALLAH. UNIVERSITE LIBNAISE Faculté de Santé Publique Décanat
UNIVERSITE LIBNAISE Faculté de Santé Publique Décanat Annonce La Doyenne de la Faculté de Santé Publique annonce le début du dépôt des dossiers de candidature pour les différents Masters Professionnels
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailDépartement de l Hérault
Du diagnostic à l opérationnel, quelles priorités? Le cas des collèges de l Hérault Jean-Pierre Quentin, directeur d exploitation du pôle éducation Patrimoine Conseil général de l Hérault mai 2009 AUDIT
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailQuestionnaire général (court)
1 sur 6 29/12/2014 10:00 Questionnaire général (court) Il peut bien entendu être diffusé à des professionnels de votre connaissance pouvant être s par le projet. Les informations renseignées ont vocation
Plus en détailContenu de l action de formation BTS Management des Unités Commerciales
Contenu de l action de formation BTS Management des Unités Commerciales La fonction commerciale a évolué vers une personnalisation de l offre et de la relation client ainsi qu au développement des services
Plus en détail~AISSE D'EPARGNE D'ALSACE
~AISSE D'EPARGNE D'ALSACE DEFINITION D'EMPLOI: Gestionnaire de Clientèle Patrimoniale Code emploi: Filière d'activité: Métier: Rôle: Ventes et Services -- Gestionnaire de Clientèle Spécialiste Clients
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailL ANALYSE COUT-EFFICACITE
L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue
Plus en détail1. QU'EST CE QUE LE TABLEAU DE BORD D UN PROJET?
1. QU'EST CE QUE LE TABLEAU DE BORD D UN PROJET?... 1 2. LES TABLEAUX DE BORD, OUTILS DE PILOTAGE... 2 3. LES TABLEAUX DE BORD : OUTILS DE DIALOGUE A L'INTERIEUR DE L'ORGANISATION... 3 4. LA PRESENTATION
Plus en détailProtocole institutionnel d assurance de la qualité. Université d Ottawa
Protocole institutionnel d assurance de la qualité Université d Ottawa le 28 juin 2011 Table des matières 1. INTRODUCTION...1 1.1 Autorités...1 1.2 Personne-ressource...1 1.3 Définitions...1 1.4 Évaluation
Plus en détailPERFECTIONNEMENT ENTRETIEN COMMERCIAL : INTEGRER LA PRESTATION SERVICES RH A SON ARGUMENTAIRE
312-PERFENCORH-v280213 PERFECTIONNEMENT ENTRETIEN COMMERCIAL : INTEGRER LA PRESTATION SERVICES RH A SON ARGUMENTAIRE OBJECTIF FINAL Se positionner en tant que partenaire RH auprès de ses clients OBJECTIFS
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailIntégration des paramètres de maintenance dans la conception du Health Monitoring. Saintis Laurent Laboratoire LASQUO (futur LARIS)
2ème Colloque National de la Performance Industrielle LA MAINTENANCE A DISTANCE & E-MAINTENANCE Intégration des paramètres de maintenance dans la conception du Health Monitoring Saintis Laurent Laboratoire
Plus en détailAudit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir
Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Chef de projet Hémato-Onco CHRU Tours Vice Présidente CPP Région Ouest1 Le contexte juridique Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du
Plus en détailDisparités entre les cantons dans tous les domaines examinés
Office fédéral de la statistique Bundesamt für Statistik Ufficio federale di statistica Uffizi federal da statistica Swiss Federal Statistical Office EMBARGO: 02.05.2005, 11:00 COMMUNIQUÉ DE PRESSE MEDIENMITTEILUNG
Plus en détailBrevet de technicien supérieur MAINTENANCE INDUSTRIELLE
Brevet de technicien supérieur MAINTENANCE INDUSTRIELLE MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE l ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE Direction de l enseignement supérieur Service des contrats et
Plus en détail- Biométrique par badge code - Visualisation en directe - Positionnement sur des alarmes - Image haute résolution de jour comme de nuit
Réseaux intelligent - Système d analyse de scène - Déclenchement de signal automatique ou manuel - Surveillance périphérique et périmétrique - Biométrique par badge code - Visualisation en directe - Positionnement
Plus en détailEDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL
EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,
Plus en détailLe nouveau programme en quelques mots :
Le nouveau programme en quelques mots : Généralités Le programme est constituéde trois thèmes qui doivent tous être traités. L ordre de traitement des trois thèmes est libre, tout en respectant une introduction
Plus en détailInnovations Majeures de la Version 4
Innovations Majeures de la Version 4 Un nouvel environnement SIG avec de puissants outils graphiques. De nouveaux moteurs hydrologiques et hydrauliques plus sûrs et plus performants. De nouveaux modes
Plus en détailAnnée 2007-2008. Faculté de droit de l Université Jean Moulin Lyon 3
Année 2007-2008 Faculté de droit de l Université Jean Moulin Lyon 3 Master : Droit public Master 2 : Droit public Carrières publiques Directeur : M. Mickaël KARPENSCHIF 1- Objectifs pédagogiques et scientifiques
Plus en détailLe rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative
Le rétablissement de la pleine citoyenneté par la recherche-action participative BULLETINS DU PIRAP Volume 1, numéro 11 : Février 2013 Programme d'aide et d'accompagnement social : Le PIRAP comme PAAS-
Plus en détailMarquage CE et dispositifs médicaux
Marquage CE et dispositifs médicaux Références officielles Trois principales directives européennes réglementent la mise sur le marché et la mise en service des dispositifs médicaux : la directive 90/385/CEE
Plus en détail14 Adopter une attitude professionnelle
14 Adopter une attitude professionnelle Pour mener à bien votre projet et instaurer des relations constructives le groupe doit adopter une attitude professionnelle et se montrer : 1. Mobilisé tous les
Plus en détailAnnée universitaire 2011-2012
Association Institut de Psychosomatique Pierre Marty IPSO Pierre Marty Centre d enseignement et de formation CEFP Année universitaire 2011-2012 20 rue Bellier Dedouvre - 75013 Paris Secrétariat : 06 85
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailCécile MAUNIER. Maître de Conférences Sciences de Gestion Responsable pédagogique - Master 1 Marketing, Vente TITRES UNIVERSITAIRES
Cécile MAUNIER Maître de Conférences Sciences de Gestion Responsable pédagogique - Master 1 Marketing, Vente IAE REUNION 24 avenue de la Victoire CS 92003 Saint Denis Cedex 09 ( : 02 62 47 99 01 E- mail
Plus en détailUn poste à votre mesure!
Titre du poste : INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) Direction : Direction des soins infirmiers Statut : Temps complet - 35 heures/semaine Quart : Jour LIBELLÉ DU TITRE D EMPLOI Personne
Plus en détailCertif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration
Certif icat Exécutif en Management etaction Publique Certificate of Advanced Studies (CAS) in Public Administration Formation destinée aux cadres des secteurs public et parapublic - L ESSENTIEL EN BREF
Plus en détailBILAN MSPU du Véron 12 rue des roches 37420 Avoine
BILAN MSPU du Véron 12 rue des roches 37420 Avoine Bilan 2012/2013. Synthèse des actions Préambule : Compte tenu de la taille de la MSPU du Véron, du nombre d acteurs impliqués, les échanges interprofessionnels
Plus en détailBaccalauréat professionnel. Maintenance des Équipements Industriels
Baccalauréat professionnel Maintenance des Équipements Industriels 2005 SOMMAIRE DES ANNEXES DE L ARRÊTÉ DE CRÉATION DU DIPLÔME ANNEXE I : RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME I a. Référentiel des activités professionnelles...7
Plus en détailRNV3P Recherche de pathologies émergentes
EPSP Ecole Doctorale Ingénierie Santé Cognition Environnement RNV3P Recherche de pathologies émergentes V Bonneterre, L Faisandier, DJ Bicout, R De Gaudemaris pour les membres du RNV3P Laboratoire Environnement
Plus en détailApproche centrée e sur le patient
Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur
Plus en détailmédicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.
DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de
Plus en détailEn face du commanditaire, on met un chef de projet qui connait le domaine (banque, administration, etc.)
Atelier «Science du projet» séance 4 8 novembre 2008 Compte rendu 1. Sébastien Larribe : la méthode AGILE, méthode de gestion de projet Sébastien Larribe part de l hypothèse que des méthodes de conception,
Plus en détailGuide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé
Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé en vue de l obtention du titre de "Conseiller ère diplômé e en orientation professionnelle, universitaire et de carrière" par la validation
Plus en détailPour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients
Pour le Développement d une Relation Durable avec nos Clients Prestation de Certification CERTIFICATION-D D-Indice 7 Applicable le 09//009 CERTIFICATION D Indice 7 Page /7 GLOBAL sas 8, rue du séminaire
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailProtection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes
Protection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes Avner Levin * * Professeur agrégé et directeur, Privacy and Cyber
Plus en détailUnity Real Time 2.0 Service Pack 2 update
Unity Real Time 2.0 Service Pack 2 update Configuration des Objectifs Analytiques La nouvelle version permet, en un écran, de configurer un lot, un panel ou un instrument. Le menu est accessible au moyen
Plus en détailCertification des Etablissements de Santé en France
Certification des Etablissements de Santé en France Pouvait-on faire sans elle en France? Peut-elle faire mieux? Les enjeux et les perspectives de la procédure 2014 Plan de l intervention 1. Partie 1 :
Plus en détailCadre de référence. Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal
Cadre de référence Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal Révisé en février 2015 1 TABLE DES MATIÈRES Abréviations utilisées. 3 Mise en contexte. 4 Buts et objectifs.
Plus en détailAGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION
AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION NOVEMBRE 2010 PRÉAMBULE L agrément des programmes constitue un exercice important qui permet non
Plus en détailSONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014
1 SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 Document d information Le 2 décembre 2014. Le Sondage national des médecins est un important projet de recherche continu qui permet de recueillir les opinions de médecins,
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailContenu de l action de formation BTS BANQUE - option A Marché des particuliers
Contenu de l action de formation BTS BANQUE - option A Marché des particuliers Le BTS Banque a été mis en place face à la demande insistante de l Association française des banques pour faire face aux très
Plus en détailPréparer un état de l art
Préparer un état de l art Khalil DRIRA LAAS-CNRS, Toulouse Unité de recherche ReDCAD École Nationale d ingénieurs de Sfax Étude de l état de l art? Une étude ciblée, approfondie et critique des travaux
Plus en détailEvaluation des stages hospitaliers par les étudiants en médecine
Evaluation des stages hospitaliers par les étudiants en médecine A partir du lundi 28 octobre, vous devrez évaluer votre stage d externe du premier trimestre effectué entre le 01/08/2013 et le 27/10/201.
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailMinistère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant
Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier Annexe VI Portfolio de l étudiant Nom et prénom de l étudiant : Institut de formation en soins : Date d entrée dans la formation : Nom et prénom
Plus en détailEducation Thérapeutique (ETP)
Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline
Plus en détailKits d administration IV de fluide normothermique Level 1. Mesure corrective de sécurité urgente: retrait du marché
Smiths Medical Schweiz AG Ringwiesenstraße 2 CH-8600 Dübendorf Tel.: +41 (0) 43 388 62-00 Fax: +41 (0) 43 388 62-11 www.smiths-medical.com Smiths Medical Schweiz AG Ringwiesenstraße 2 CH-8600 Dübendorf
Plus en détailGestion des Incidents SSI
Gestion des Incidents SSI S. Choplin D. Lazure Architectures Sécurisées Master 2 ISRI/MIAGE/2IBS Université de Picardie J. Verne Références CLUSIF Gestion des incidents de sécurité du système d information
Plus en détailSyndicat National des Internes en Odontologie
Syndicat National des Internes en Odontologie Président en charge du Présents : Compte-rendu de la réunon du 19 mars 2014 avec les coordonnateurs des DES Mr le Professeur Robert GARCIA (Président de la
Plus en détailL impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU
L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,
Plus en détailKen Bell s Sommaire des Abréviations
Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire
Plus en détail