Les rapaces nocturnes du Perche

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les rapaces nocturnes du Perche"

Transcription

1 Les rapaces nocturnes du Perche ATHENA 2015

2 Association pour les Terroirs, les Hommes et la NAture SOMMAIRE I. Des oiseaux bien équipés pour chasser la nuit Une ouïe ultra perfectionnée Une vue perçante même dans la pénombre Un plumage pour être silencieux... 4 II. Comportement Sociabilité Reproduction Migration... 7 III. Alimentation Régime alimentaire Méthodes de chasse Digestion... 8 IV. Espèces du Perche Hibou moyen duc Asio otus Chouette hulotte Strix aluco Effraie des clochers Tyto alba Chevêche d Athéna Athene noctua... 16

3 I. Des oiseaux bien équipés pour chasser la nuit L activité essentiellement crépusculaire-nocturne de ces oiseaux en a fait des rapaces particulièrement adapté pour chasser dans la pénombre ou même le noir complet, et pour être extrêmement discret. Cependant, certaines espèces peuvent chasser en bonne conditions à la lumière (la Chouette épervière, la Chevêchette) voir même ont souvent une activité diurne (le Hibou des marais, le Harfang des neiges). 1. Une ouïe ultra perfectionnée - Les rapaces nocturnes peuvent localiser très précisément les sons grâce aux différences de temps et d intensité des vibrations reçues entre l oreille droite et la gauche. Ils sont ultra - sensible à ces différences grâce à l important écartement entre les deux conduits auditifs, et pour les petites espèces une asymétrie entre les deux conduits (un plus haut que l autre). - Disque facial = zone concave constituées de plumes rigides, de formes particulières. Le disque facial permet d amplifier (jusqu à 10 fois) et de diriger les ondes sonores vers les conduits auditifs. L élasticité du disque facial permet par ailleurs aux rapaces nocturnes de manifester son humeur (cf. chapitre sur le comportement) 2. Une vue perçante même dans la pénombre - Leurs grands yeux leur permettent d exploiter au maximum la luminosité (même résiduelle).leur acuité visuelle est donc augmentée avec la luminosité (elles ne sont absolument pas aveugle le jour comme on peut parfois l entendre). L œil de la Chouette hulotte est par exemple 2,5 fois plus sensible { la lumière que celui de l Homme. Cette sensibilité peut fortement varier d une espèce à une autre en fonction de leur lieux de vie (milieux ouvert ou fermé) et leur période d activité (diurne-crépusculaire ou crépuscule-nocturne) ; ainsi certaines espèces voient moins bien que l Homme (la Chevêchette d Europe par exemple). Ils ont sur leur rétine des bâtonnets (ce qui leur permet de distinguer les contrastes) ; et pour certaines espèces des cônes (pour percevoir les couleurs ; lorsqu elles sont diurne/crépusculaire et/ou qu elles chassent des oiseaux comme la chevêchette ou la chevêche). - Les rapaces nocturnes sont presbytes : ils ont une mauvaise vue de près.

4 - Leurs yeux orientés vers l avant leur permettent une vision binoculaire jusqu { 60. Le grand écartement entre les deux yeux améliore la profondeur de champs tridimensionnelle (les petites espèces arrivent à la même qualité en effectuant des mouvements oscillants de la tête afin de voir l objet sous différents angles). - Des yeux fixes : les globes oculaires des rapaces nocturnes sont enchâssés dans un anneau osseux solidaire au crâne, ce qui empêche toute mobilité de l œil. Ils compensent avec une mobilité giratoire des vertèbres exceptionnelle : ils peuvent effectuer des rotations jusqu { Un plumage pour être silencieux - Il est essentiel pour les rapaces nocturnes d avoir un vol silencieux : pour ne pas alerter leur proie (ils n émettent d ailleurs pas d ultras sons qui seraient perceptibles par certains micromammifères) et pour ne pas émettre de sons parasites qui les gêneraient dans leur repérage. - La structure particulière de leur plume leur permet un vol silencieux : extension frangée des barbes en bordure, arrête dentelée sur une ou deux rémiges primaires externes, surface veloutée et duveteuse des vexilles (ensemble des barbes situées du même côté du rachis d'une plume d'oiseau, formant, du fait de la fixation de ces barbes entre elles par les crochets de leurs barbules, une nappe continue). C est surtout l effet cumulés de la structure de ces plumes qui amortie les bruissements d ailes. - Les tons et motifs sont à dominance cryptique, pour se confondre avec leur milieu quand dans la journée ils se reposent. Il n existe généralement pas de dimorphisme sexuel par rapport aux couleurs ou aux motifs (à part le harfang et le moyen-duc).

5 II. Comportement 1. Sociabilité - En journée, les rapaces nocturnes évitent au maximum de se faire remarquer, pour se reposer tranquillement sans être harceler par d autres oiseaux (plus l espèce est grande plus ce sera de gros oiseaux : passereaux pour la chevêche, corvidés voir buse pour le grand-duc). S ils se font attaquer ils auront tendance à prendre la fuite et trouver un refuge proche. Pour ne pas se faire repérer, ils restent immobiles et adopte une posture mimétique (allonge leur corps par exemple). S ils ne fuient pas ils vont adopter une attitude d intimidation en se gonflant (l opposé de celle de camouflage) Petit-duc scops le plus discret possible sur son arbre Différentes attitudes pour le Hibou moyen-duc - Le rôle des aigrettes était au début attribué à l intimidation, mais elles peuvent également avoir un rôle mimétique important. Nous les avions utilisées au début pour classer les espèces, mais c est en réalité un mauvais critère : la chevêche peut dresser de mini «oreilles», le hibou des marais en a de très petites, la chouette de tengmalm peut en avoir, etc. Grand-duc d Europe et ses grandes plumes érectiles Chevêchette et ses fausses oreilles pour se camoufler - Les rapaces nocturnes sont très peu sociaux : leurs contacts se limitent à ceux avec leur partenaire et leurs jeunes ; et ils tolèrent peu leurs congénères. Les espèces pour lesquelles les partenaires sont unis pour plusieurs saisons et/ou restent ensemble toute l année (Chevêche, hulotte, chevêchette) ont tendance à être plus agressives envers leurs congénères. Alors que les espèces (petit-duc, moyen-duc, hibou des marais, chouette de tengmalm) où les couples se forment juste pour une

6 saison sont plus tolérants. Certaines espèces se regroupent d ailleurs en hiver comme le Hibou moyen-duc. Les rapaces nocturnes sont en fait d autant plus tolérants qu ils sont mobiles : les individus agressifs envers leurs congénères sont ceux avec un territoire bien définie et durable.ils arrivent ainsi souvent qu un rapace nocturne considère comme une proie un autre rapace nocturne plus petit. 2. Reproduction - Séduction et parade nuptiale : cette étape n est pas évidente pour ces espèces qui doivent alors surmonter leur agressivité intraspécifique. La femelle généralement plus grande que le mâle reste agressives longtemps et les altercations ne sont pas rares malgré les tentatives du mâle pour temporiser la situation (offres de proies, appels, etc.). La femelle change soudainement de comportement passant de son chant territorial agressif à des cris de quémandage infantiles, puis elle cherche le contact physique du mâle, pour lui signifie qu elle est prête { s accoupler. La parade nuptiale est essentiellement constituée de chants et cris, d offres de proies, ainsi que des signaux optiques comme des vols de parades lents. Pour les couples formés depuis plusieurs années, cette phase n est plus réalisée comme le territoire est délimité depuis longtemps et que les individus se connaissent ; ils se reproduisent ainsi sans se faire remarquer. La période d appariement peut varier selon les espèces de quelques jours à plusieurs mois (d automne au printemps). - Préparation du nid : les rapaces nocturnes ne construisent pas de nid (ils ne vont pas chercher des éléments pour construire un édifice complexe). Ils aménagent des cavités ou des nids en tapissant le sol du nid pour qu il soit plus douillet par exemple. - Accouplement : il dure quelques secondes, mais peut être répétées plus souvent que nécessaire pour la fécondation et joue un rôle important dans le renforcement de l union du couple. Il s ensuit un moment de toilettage mutuel et caresses. -Pondaison : les œufs sont pondus à intervalles de 2 jours environ. L importance de la ponte est plus ou moins fluctuante (1 { 6 en moyenne) selon l espèce mais surtout la disponibilité alimentaire et de la condition physique de la femelle. En cas de très grande disponibilité alimentaire, certains individus répondent par une deuxième ponte, et exceptionnellement une troisième ; mais la normale reste une ponte par an. Pour tous les rapaces nocturnes, ce sont les femelles qui couvent pendant environ 28 jours. Les mâles rapportent les proies au nid. Lorsque les jeunes sont un peu plus grands (quand ils nécessitent moins d attention), la femelle se joint au mâle pour la chasse. Étant donné qu il y a un décalage de ponte, les naissances sont également décalées. Ce qui peut créer lors d importantes pontes, chez les effraies notamment, des différences de 2 à 3 semaines entre les frères et sœurs (cela entraine une forte compétition entre frère et sœur et parfois au cannibalisme). Les parents se retrouvent ainsi à gérer des petits qui ne savent pas encore avaler en entier une proie, d autres qui commencent { voler et d autres qui chassent quasiment bien! Certaines espèces (Chevêche, Chevêchette) évitent cela en ne couvant pas tout de suite les œufs pour réduire les différences de date d éclosion.

7 3. Migration Les rapaces nocturnes en France ne migrent pas. Les seuls grands déplacements ont lieu lors de la dispersion des jeunes. Cependant, les hiboux moyen-duc sont rejoints en hiver par leurs congénères de l Europe de l est et du nord, et il existe quelques individus d Effraie des clochers dans le nord-est de la France qui peuvent migrer en cas de manque de nourriture.

8 1. Régime alimentaire III. Alimentation Les rapaces nocturnes sont exclusivement carnivores. Ils peuvent consommer différentes proies en fonction de leur milieu de vie : micromammifères, chauves-souris, amphibiens, insectes, petits passereaux. Hydratation : 2. Méthodes de chasse La méthode de chasse des rapaces nocturnes est essentiellement innée, il y a très peu d apprentissage { travers les parents. - Déplacement : pour ceux qui chassent les rongeurs de façon purement acoustique (Effraie, moyenduc par exemple), il est impératif d avoir un vol silencieux. La plus part des rapaces nocturnes sont par ailleurs de bons marcheurs. Certains marchent, sautillent et bondissent pour attraper leur proie. - Prédation : ils pratiquent le guet ou la traque. - Pour les espèces forestières plutôt chasse { l affût, et elles traquent sur de courtes distances. - Pour les espèces en lisière de forêt (Hibou moyen-duc) elles pratiquent les deux techniques. - Les Effraies pratiquent la traque en bordure de forêt et prairie, et l affût en cas de mauvais temps (pour économiser l énergie). - Pour les espèces chassant en milieux ouverts : quête de proie en vol. 3. Digestion - Les rapaces nocturnes n ont pas de jabot 1, ils ne peuvent donc pas ingérer et garder en réserve les proies. Cependant, comme ce sont des animaux opportunistes, ils ont tendances à chasser même lorsqu ils n ont pas faim. Ils conservent alors leurs proies en excédents dans leur nid, { l entrée ou encore dans des cachettes. Leur capacité à retrouver ces cachettes malgré leur nombre, leur diversité et la transformation de leur environnement, traduit de bonnes capacités cognitives! - L estomac des rapaces nocturnes est simple et beaucoup moins acide que les oiseaux diurnes, ils ne peuvent donc pas digérer les os par exemple. Les restes non digestibles (os, poils, chitine, plumes, etc.) sont pressés en pelotes cylindriques et régurgités. Il se passe environ 12h entre la prise de nourriture et la régurgitation de pelote (ils régurgitent 1 pelote par repas). Ces rapaces peuvent cependant adapter ce laps de temps en fonction de la quantité de nourriture (beaucoup : régurgitation rapides, peu : régurgitation très lente, car les proies restent plus longtemps dans le gésier 2 ). Les pelotes des «vraies» chouette sont reconnaissables par une pellicule noire qui les recouvrent alors que celles des Effraies n en ont pas. 1 Jabot : Dilatation de l'œsophage des oiseaux, sans fonction digestive, mais où la nourriture est entreposée et d'où elle peut être régurgitée (Larousse, 2015). 2 Gésier : partie fortement musclé en amont de l estomac qui a pour but principal de broyer les aliments.

9 IV. Espèces du Perche 1. Hibou moyen duc Asio otus Origine de son nom : - Latin : otus en référence à otis qui signifie «hibou». Critères de reconnaissances - Grandes aigrettes érectiles - Disque facial blanc jaunâtre, cerné de noir. - Yeux : orangés - Plumage : dessus : brun jaunâtre marbré de sombre ; dessous : jaune roussâtre fortement rayé. - Taille : moyenne : hauteur = 35 cm; Envergure = 95 cm ; Poids = varie fortement au cours de l année, nidification : 400g, hivernage : mâle 250g, femelle 300g - Dimorphisme sexuel : femelles à dominante brun-roux, mâle généralement plus pâles, jaune, ocre à beige. Chant : Timbre grave et sourd - Période du chant : février - mars - Chant territorial du mal = suite de houh émis à intervalle de 2 à 5 secondes. - Parade nuptial : vol de parade où le mâle émet des bruits d ailes durs et claquant. Répartition et Effectif : Hibou le plus commun de nos régions - Toute l Eurasie, Amérique du Nord. Europe : surtout dans péninsule ibérique, France, Italie, Roumanie Ukraine. Population française en 2000 : à couples (absente dans les grands massifs forestiers et les zones de haute montagne), doit être bien moins actuellement. Sa densité est très variable et dépend fortement de l abondance de campagnols. - Déclin des effectifs dans zones de cultures intensives. Habitats : des plaines aux hautes montagnes. - Chasse : espaces semi-ouverts (prairies, bocages, etc.), forêt clairsemée parfois. - Reproduction : lisières plantées de conifères ; petits bois, haies ou arbre isolés. - Hivernation : zones d implantation humaine. Se regroupe. Alimentation et chasse - Spécialiste : campagnols et muridés, il peut se tourner vers les oiseaux en proie de remplacement. - Méthode de chasse : patrouille à bonne hauteur en boucle, ils localisent les micromammifères surtout { l ouïe. En forêt clairsemée, il alterne entre vol de patrouille et affût. Ils grimpent parfois aux arbres (notamment pour attraper des hannetons). Son vol n est pas complétement silencieux.

10 - Il peut stocker les proies en surplus. - Il lui arrive occasionnellement de boire. - Pelotes de réjection : forme de cylindre gris clair. Taille : 4,6 cm de long, 2,1 cm de diamètre. Reproduction - Maturité sexuelle : fin de la première année - Parade nuptiale : janvier-février - Ponte : fin février, mi-avril. Une seule ponte annuelle en général. Taille : 4 { 6 œufs, environ 2 jeunes { l envol. - Elevage des jeunes : { partir d avril - Monogames mais union saisonnière (parfois bigyne). - Uniquement la femelle couve (27 à 28 jours), le mâle chasse. - Les petits restent au nid 30 jours environ. Ils vols correctement à 5 semaines, et savent bien chasser à 10 semaines (au plus tôt), mais ils sont réellement autonome en terme de nourriture une semaine après (à 2 mois et demi). Ils se dispersent donc vers 2mois et demi, à plusieurs centaines de km du territoire de leur parent. - Taux de mortalité : 1 ère année = 52%, ensuite = 31% - Espérance de vie : 28 ans maximum. Territoire : Très peu territorial donc n a pas vraiment de territoire - Site de nidification tout de même marqué par le mâle, les congénères respectent cela, très peu d altercations : ils peuvent chanter { 30 mètres l un de l autre sans agressivité. - territoire de chasse : 2 à 3 km² Comportement - Repos : plus ou moins à couvert (parfois même à découvert). Rassemblement en hiver de plusieurs dizaines d individus dans un arbre. - Activité : crépusculaire et nocturne (parfois de jour). Il quitte son reposoir en hiver au début du crépuscule, en été 30min après le coucher du soleil. Pic d activité pendant 2 { 3h, puis pause vers minuit, puis second pic jusqu { l aube (5 { 6h de chasse par nuit). - Sociabilité : Très peu agressif et solitaire (sociabilité saisonnière : dortoir en hiver). Ils se tolèrent entre congénère mais ne vont quasiment jamais au contact, même entre conjoint. - Migration : ils semblent sédentaires en France, mais des individus d Europe centrale et septentrionale arrivent en novembre-décembre et repartent en février-mars (on les retrouve alors dans les dortoirs). Menaces - La cause de mortalité première est l impact avec des voitures ou des trains. - La population diminue dans les zones d intensification de l agriculture.

11 2. Chouette hulotte Strix aluco Origine de son nom : - Français : hulotte dérive du verbe ululare qui signifie pousser des cris stridents - Latin : Strix { l origine du mot sorcière et stryge (oiseau vampire dans la croyance populaire) Critères de reconnaissances - Grosse tête ronde - Yeux : tout noir - Plumage : variation du gris foncé au brun foncé au roux - Taille : assez grande : hauteur = cm; Envergure = 93cm (mâle), 98cm (femelle) ; Poids = mâle 440g, femelle 560g - Dimorphisme sexuel : mâle souvent plus petit. Chant : hululement très connus. - période d activité vocale : toute l année mais surtout entre septembre et décembre, pendant environ 20min (20min après le coucher du soleil) - voix : retentissante, mélodieuse, grinçante et inquiétante. Répartition et Effectif : rapace nocturne le plus répandu en Europe - Europe occidentale (avec Afrique du Nord-Ouest) et Europe orientale. Absente en Corse, Irlande, Islande, nord de la Scandinave et de la Fennoscandie. Population française en 2004 : couples = la plus grande population. - Effectif en diminution depuis 20ans. Habitats : Peu spécialisée : des plaines aux hautes montagnes. - Absente des zones dépourvues d arbres et des vastes cultures (car elle ne trouve pas de poste d affût). - Elle affectionne les boisements clairsemés, parc, jardins, bâtiments tranquille. Alimentation et chasse - Régime : généraliste, elle peut faire face aux fluctuations de populations de rongeurs facilement, en se rabattant sur les oiseaux si nécessaire. Proies : majoritairement mammifères et oiseaux (jusqu { 300g), un peu d amphibiens et d insectes. Elles s abreuvent régulièrement en hiver. - Méthode de chasse : en vol silencieux, { l affût (quand les proies abondent) et ceux sont même de bonnes grimpeuses! - Les proies en excédent sont mises de côté - Pelotes de réjection : taille = 4,8cm de long, 2,4cm de diamètre. Elles sont très dispersées, donc plus difficile à trouver en général.

12 Reproduction - Maturité sexuelle : un an - Parade nuptiale : phase territoriale culmine en automne. Activité nuptiale réduite en hiver. Parade au printemps. - Ponte : début mi-février, mars. Une seule ponte annuelle. Taille : 1 à 7 œufs. - Elevage des jeunes : à partir de mars avril - Strictement monogame et très fidèle à leur site de reproduction (elles ne le quittent pas) - Uniquement la femelle couve (28 à 29 jours), le mâle chasse. - Les petits restent au nid 30 à 32 jours. Ils vols correctement et savent chasser à semaines (3 mois et demi), mais les parents peuvent tolérer leur présence jusqu { la parade automnale. Ils se dispersent au moment de la parade automnale, en général ils restent à proximité du territoire parentale (6km maximum en général). - Taux de mortalité : 1 ère année = 50%, ensuite = 25% Territoire : 20 à 200 ha - Les territoires sont bien délimités, il n y a pas de chevauchements. Ils sont marqués tout au long de l année (chant et vol de patrouille). Comportement - Repos : bien { couvert (dans trous d arbre ou de bâtiment) - Activité : crépusculaire et nocturne. Elle quitte son reposoir, 20 min après le coucher du soleil. Deux phase : repos vers minuit (sauf quand les jeunes quémandes beaucoup), cesse 40min avant le lever du soleil (la chasse peut durer au-delà si besoin). - Sociabilité : très territoriale même envers les autres espèces de rapaces nocturnes, mais conjoints proches (même en dehors des périodes de reproduction : contacts vocaux, reposoirs séparé mais proche). - Migration : Menaces - Etant une espèce avec une grande polyvalence, elle est en bonne état de conservation. - La mortalité liée { l Homme dépend des lignes électriques, circulation routière et ferroviaire, pièges pour elles (poteaux creux, cheminée et puits d aération). Anecdotes - Les chouettes hulottes sont très territoriales, mais en grande volière elles peuvent se montrer tolérantes (une hiérarchie se met alors en place)

13 3. Effraie des clochers Tyto alba - Français : Effraie car elle a longtemps fait peur notamment à cause de son chant, des clochers car on la retrouve souvent dans ces bâtiments. - Latin : Tyto est l onomatopé de son cri, alba car elle est en partie blanche. Critères de reconnaissances - Disque facial blanc cassé en forme de cœur - Yeux : complétement noirs - Plumage : ventre blanc pur, ailes et dos roux et gris - Taille : hauteur = moyenne (33 à 39 cm) ; Envergure = 90 98cm ; Poids = mâle 315g, femelle 340g (beaucoup plus en période de ponte : 415g). - Dimorphisme sexuel : aucun. On les distingue uniquement par leur comportement en période de reproduction. Chant - Majeur activité de chant : février-mars (période d appariement) - Voix : Cris déchirants ; Danger : chuintement hostile ; En couple : ronronnements stridents d une grande portée, mais les sons diffèrent entre mâle et femelle ; Protection du territoire : appels stridents déchirants et trainants qui s amplifient - Le mâle chante souvent au départ du reposoir, en vol, en chasse. Répartition et Effectif - Présente dans une grande partie du monde (30 sous espèces). En Europe : à peu près partout sauf les pays d Europe du Nord et la zone nord Italie-sud suisse-autriche - En Europe : de nombreuses populations sont en déclin. - Conditions optimales : 10 à 30 couples / 100km². Actuellement (Europe centrale): 5 couples/100km². Gros des populations dans l Ouest et le Sud-Ouest de l Europe. En France : entre et couples. Les populations d Effraie sont très dépendantes de la disponibilité alimentaire, et peut ainsi fortement varié d une année { l autre. Habitats : plaines - Chasse : paysages cultivés ouverts ou semi-ouverts ; occasionnellement en zone boisée - Reproduction : clochers, grange - Hivernation : clochers, grange

14 Alimentation et chasse - Spécialisé dans la chasse aux petits vertébrés : micromammifères, oiseaux, batraciens ; les proportions varient énormément en fonction du milieu. L eau contenue dans ses proies lui suffit en général largement. - Méthode de chasse : patrouille avec un vol battu entrecoupé de planés 1 à 4m au-dessus du sol ; ou se met { l affût (surtout en hiver). Elles peuvent chasse dans le l obscurité totale grâce { leur ouïe ultra-précise. - Il leur arrive de stocker leur surplus de proies, { n importe quelle saison. - Pelotes de réjection : les seules recouvertes d un film de salive (aspect laqué noirâtre quand elles sont fraîches) ; taille : 4cm de long, 2,5cm de diamètre. 1 ou 2/24h. Reproduction - Maturité sexuelle : avant la fin de leur première année - Essentiellement monogame, parfois polygame - Début de la ponte : avril ; Taille de ponte : 4 à 7 œufs, 4-5 jeunes en moyennes survivent. Une seule ponte par an ; sauf si abondance de proie il peut y en avoir 2 (3 exceptionnellement) jours avant la ponte, le mâle et la femelle sont dans le site de nidification la journée, blottis l un contre l autre. Dès que la ponte est complète : le mâle reprend sa distance (retournent à leur reposoir) - Les deux conjoints aménagent le nid (trous d arbre, nid de corvidés, etc.) - Seule la femelle couve (incubation de 30 à 34 jours), et ne quitte pas le nid pendant cette période. Le mâle lui rapporte { manger. Une fois les œufs éclos, la femelle participe aussi au ravitaillement puis s occupe de moins en moins des petits. - Dès deux semaines, les petits peuvent avaler des proies entières. - Cannibalisme fréquent des grands sur les petits frères - Les petits partent du nid vers l âge d un mois et demi, mais ne vole pas encore (ils font de grand sauts), pour se nourrir, ils se dirigent vers leurs parents. A 3mois ils font leurs premiers essais de vol, c est { ce moment qu ils se dispersent : 20 à 25km autours du nid (parfois des centaines de km). - Taux de mortalité : fortement variable, 1 ère année = 68%, 2 ème année = 50%, ensuite = 48% - Age maximum : 22 ans. Territoire -période de reproduction : 180ha - hors période de reproduction : 390ha Comportement - Discrète, elles cherchent le couvert et la tranquillité. Pour ne pas être dérangée, elles sont très fortes en camouflage! - Dans la journée : reste des heures bien droites et sans bouger sur leur reposoir (endroit abrité du vent et { l obscurité : arbres à feuilles persistantes, combles, greniers, etc.). Le soir : elles font leurs toilettes (enduisent leur bec de la graisse sécrétée par leur glande uropygienne pour imprégner le plumage), puis partent chasser, en moyenne 1h après le coucher du soleil.

15 -Sociabilité : essentiellement solitaire. Mode de vie territorial (pour le site de nidification) : les mâles peuvent s affronter ; mais territoires de chasses peuvent se chevaucher. Polygynie assez fréquente : le mâle va voir une autre femelle une fois que la première couve. Polyandrie plus rare. - Apprentissage des jeunes : à partir de la 10 ème semaine, les adultes entrainent les petits à chasser en leur lâchant des proies en vol. - Migration : Menaces Elles souffrent du manque de site de nidification (clocher bouché) et de la diminution de qualité de l habitat depuis l intensification de l agriculture (diminution des proies, perte du bocage, pesticides, etc.), mais est aussi très touchée par le trafic routier. Anecdotes - Origine de son nom : elle occupe souvent les clochers des églises, son chant peut être effrayant. - Dans un milieu qu elles connaissent bien, elles peuvent se déplacer rapidement en pleine obscurité, grâce à leur très bonne mémoire spatiale. - Une fois mise sur le dos, elle ferme les yeux et s immobilise (akinésie, réaction de mort simulée?)

16 4. Chevêche d Athéna Athene noctua Origine de son nom : - Français :Chevêche, d Athéna car c est le symbole de la déesse grecque de la sagesse et de l intelligence (hommage { l'acuité visuelle et intellectuelle de la déesse mais aussi à son côté ambivalent de sagesse et de férocité) - Latin : Athena pour les mêmes raisons qu en français, noctua pour la déesse Minerve, équivalente romaine d Athéna. Critères de reconnaissances - Front bas et calotte aplatie - Yeux : iris jaune - Plumage : brun terre sur le dessus, calotte avec de petites taches blanches, reste du corps avec grosses taches blanches ; dessous : blanc jaunâtre avec larges rayures brunes. - Taille : petite : hauteur = 21 à 23 cm; Envergure = cm ; Poids = mâle 180g, femelle 200g - Dimorphisme sexuel : aucun Chant : puissant, mélodieux, flûtée et éraillée, rauque et ronflant. Répertoire vocal riche et diversifié. - activité vocale à partir de janvier (parade territoriale) - cris d alarme : caquètements aigues - chante territorial (du mâle) : gouhk étirés ; pour la femelle, les syllabes sont plus courtes et plus grave. Répartition et Effectif - Toute l Europe occidentale Eurasie, Asie, Afrique du Nord. Europe : surtout dans péninsule ibérique, France, Italie, Roumanie Ukraine. Population française en 1998 : à couples (absente dans les grands massifs forestiers et les zones de haute montagne), doit être bien moins actuellement. Sa densité dépend fortement de la présence de cavités ad hoc. - Depuis ces dernières décennies : très forte déclinaison des populations. Habitats : espaces avec végétation clairsemée ou basse - Chasse : pâtures rases - Reproduction : cavités dans bâtiments (clochers, grange, étable, etc.) et creux dans vieux arbres - Hivernation : clochers, grange Alimentation et chasse - Saison chaude : insectes et lombrics ; en moindre quantité : amphibiens, reptiles, micromammifères, passereaux - Saison hivernale : essentiellement lombrics ; micromammifères, passereaux

17 - Méthode de chasse : { l affût et au sol ; pillage des nids d oiseaux. - Seules les grosses proies peuvent être entreposées (tout au long de l année). - Pelotes de réjection : assez mince ; en été caractérisée par reste de chitine de coléoptères. Taille : 3,3cm de long, 1,3cm de diamètre. Reproduction - Maturité sexuelle : fin de la première année - Parade nuptiale : fin février à mi-avril - Ponte : mi-avril à mi-mai. Une seule ponte annuelle. Taille : 3 { 5 œufs. - Elevage des jeunes : à partir de mai - Conjoints généralement unis pour la vie - Uniquement la femelle couve (24 à 28 jours), le mâle chasse. - Les petits restent au nid 30 à 35 jours. Ils vols correctement et savent chasser à 5 semaines, mais ils sont réellement autonome en terme de nourriture à 9-10 semaines (2 mois et demi). Ils se dispersent au plus tard à 14 semaines (3 mois et demi), à moins de 10km du nid en général. - Taux de mortalité : 1 ère année = 65%, ensuite = 30% - Espérance de vie : 16 ans environ Territoire : assez réduit, 1 à 2 ha lui suffisent pour couvrir ses besoins alimentaires - mâle adulte établis de longue date, déjà reproduit : 1,6 à 17 ha. Variation au cours de l année : période estivale : 5ha, période hivernale : 17ha - nouveaux arrivants : 3,1 à 37 ha. Période estivale : 13ha, période hivernale : 30ha. - Les territoires sont bien délimités, il n y a pas de chevauchements. Ils sont marqués (chant et vol de patrouille) tout au long de l année. Comportement - Repos : endroit tranquille, abrité avec point de vue dégagé (ouverture dans mur par exemple). - Activité : crépusculaire et nocturne. Elle quitte son reposoir, 15-35min après le coucher du soleil. Pic d activité : 1h après le coucher du soleil, et pendant 2h : chant, chasse, parade. - Elle est assez nerveuse, énergique ; peu farouche mais toujours sur le qui-vive. - Sociabilité : Agressif entre congénères, mais doux entre conjoints (même en dehors des périodes de nidification). - Migration : Menaces.- Destruction de son habitat : intensification de l agriculture, pesticides et abatage des vieux arbres. Importantes collisions avec les voitures également. Anecdotes - Dans l Antiquité, elle était considérée comme l oiseau de la sagesse et était l emblème de la déesse Athéna. - Vol assez bruyant { cause de ses rémiges courtes et rigides, et son battement d aile puissant. - Etant très territoriales, les mettre en volière peut très mal se terminer.

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...

SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps

Plus en détail

Sarcelle d été. Anas querquedula

Sarcelle d été. Anas querquedula Sarcelle d été Anas querquedula Neil Fifer Sarcelles d été Hong Kong. R.P de Chine Principaux caractères spécifiques La sarcelle d été est un canard de petite taille, un peu plus massif que la sarcelle

Plus en détail

Les jours de la semaine

Les jours de la semaine Les jours de la semaine Les jours de la semaine S enfilent un à un Comme les billes d un grand collier Dans un ordre, ils se suivent Chaque jour se ressemble Chaque jour est différent Mais on ne peut les

Plus en détail

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis

Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.

Plus en détail

Birdline internet Manuel de l utilisateur

Birdline internet Manuel de l utilisateur Birdline internet Manuel de l utilisateur Consultation des données Photographies Galerie photos Situation géographique Informations sur l observateur Partenaires et Observateurs [? ] Effectuer une recherche

Plus en détail

La grenouille vit à côté d'un petit coin d'eau, par exemple : mare, étang, lac, ruisseau. Les têtards

La grenouille vit à côté d'un petit coin d'eau, par exemple : mare, étang, lac, ruisseau. Les têtards Carte d'identité : Description Que mange-t-elle? Taille La grenouille mesure entre 4 et 5 cm. La grenouille avale ses proies. La grenouille a la peau nue. Elle possède quatre pattes. La grenouille nage

Plus en détail

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille

Plus en détail

La reconnaissez- vous?

La reconnaissez- vous? La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès

Plus en détail

EN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés...

EN QUÊTE DU MONDE. Les nids de fourmis rousses. Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... Présentation de la vidéo... 2 Générique... 2 description... 2 Principaux thèmes abordés... 2 Contenus... 3 niveaux, disciplines, compétences... 3 notions... 4 Vocabulaire... 4 découpage du film... 5 Suggestions

Plus en détail

L extermination des coquerelles

L extermination des coquerelles L extermination des coquerelles De la façon la moins toxique Guide pratique pour se débarrasser des coquerelles dans les maisons et appartements AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL : Au cœur de l habitation

Plus en détail

Bien voir pour bien conduire

Bien voir pour bien conduire Bien voir pour bien conduire Bien voir pour sa sécurité Que signifie avoir une bonne vue? Voir bien donne plus d assurance sur la route. Diverses études récentes prouvent qu une bonne vue et une perception

Plus en détail

Cahier d enquête. Suspect N 5. Reproduction interdite

Cahier d enquête. Suspect N 5. Reproduction interdite Cahier d enquête Suspect N 5 Reproduction interdite 1ère étape : dé découvrez votre suspect Le Gypaè Gypaète barbu À l aide du plan, trouvez le Gypaète barbu dans les expositions. Le Gypaète barbu est

Plus en détail

Compréhension de lecture

Compréhension de lecture o Coche pour indiquer si les phrases sont es ou o Paul et Virginie sont assis sur des fauteuils très confortables. o Virginie a une robe à pois. o Paul boit un café fumant dans une tasse rouge. o Virginie

Plus en détail

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.

L eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie. 1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les

Plus en détail

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche

Plus en détail

La fourmi. Biologie et protection

La fourmi. Biologie et protection Direction de l'aménagement, de l'environnement et des constructions DAEC Raumplanungs-, Umwelt- und Baudirektion RUBD Bureau de la protection de la nature et du paysage Büro für Natur- und Landschaftsschutz

Plus en détail

V3 - LE PASSE COMPOSE

V3 - LE PASSE COMPOSE CM1 V.3 LE PASSE COMPOSE DE L INDICATIF Il s agit de mettre en évidence la conjugaison des verbes en «er», en «ir-iss» des verbes être, avoir, faire, prendre, aller, pouvoir. On mettra en évidence le fait

Plus en détail

Introduction. Description. Cet oiseau :

Introduction. Description. Cet oiseau : Introduction Cet oiseau : est capable de se souvenir pendant 28 jours au moins de l'endroit où elle a caché de la nourriture abaisse la température de son corps la nuit de 10 à 12 oc plus bas que celle

Plus en détail

Niveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus

Niveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes

Plus en détail

RENCONTRES EFFRAYANTES

RENCONTRES EFFRAYANTES RENCONTRES EFFRAYANTES Vampire ou loup-garou? Un frisson me saisit soudain, non pas un frisson de froid, mais un étrange frisson d angoisse. Je hâtai le pas, inquiet d être seul dans ce bois, apeuré sans

Plus en détail

Unité 4 : En forme? Comment est ton visage?

Unité 4 : En forme? Comment est ton visage? Unité 4 : En forme? Leçon 1 Comment est ton visage? 53 Écoute, relie et colorie. 1. un œil vert 2. un nez rouge 3. des cheveux noirs 4. des yeux bleus 5. des oreilles roses 6. une bouche violette Lis et

Plus en détail

Unité 6. Qu est ce que tu prends au petit au petit déjeuner?

Unité 6. Qu est ce que tu prends au petit au petit déjeuner? L'amitié Unité 6 Qu est ce que tu prends au petit au petit déjeuner? 1) Ecoute la maîtresse et coche 2) Complète avec : un jus d orange de la confiture un chocolat du beurre du thé un gâteau du café des

Plus en détail

7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.

7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous

Plus en détail

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT: Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les panneaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,

Plus en détail

ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer

ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer NIVEAU DISCIPLINE CAPACITÉ COMPÉTENCE MOTS CLÉS ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer 1. TITRE : TRIER

Plus en détail

Il était une fois Une forêt mystérieuse!!! Parcourez cette forêt, explorez la Franche-Comté, partez à la rencontre de ses paysages et de ses

Il était une fois Une forêt mystérieuse!!! Parcourez cette forêt, explorez la Franche-Comté, partez à la rencontre de ses paysages et de ses Il était une fois Une forêt mystérieuse!!! Parcourez cette forêt, explorez la Franche-Comté, partez à la rencontre de ses paysages et de ses richesses. Du massif Vosgien aux plateaux du Jura, en passant

Plus en détail

SOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions

SOMMAIRE CYCLE 1. Des jeux tout prêts. Des activités à préparer. Les solutions CYCLE 1 SOMMAIRE Des jeux tout prêts Colorie les animaux Le pelage des animaux Mères et petits Les modes de locomotion Animaux mélangés Plumes, poils et écailles Ranger les familles par ordre de taille

Plus en détail

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE

P.L.U. Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Commune du Département de l'oise P.L.U Plan Local d'urbanisme PRESCRIPTION D'ISOLEMENT ACOUSTIQUE AU VOISINAGE DES INFRASTRUCTURES TERRESTRES DOCUMENT OPPOSABLE Document Établi le 20 septembre 2013 Le

Plus en détail

Les livrets découverte de la faune du Nord Les chauves-souris

Les livrets découverte de la faune du Nord Les chauves-souris Les livrets découverte de la faune du Nord Les chauves-souris Sommaire L éditorial Page 03 Pages 04-07 Pages 08-13 Pages 14-15 Page 16 Pages 17-18 Page 19 Pages 20-21 Pages 22-23 L éditorial Qu est-ce

Plus en détail

AMELIORER SES COMPETENCES LINGUISTIQUES les prépositions de lieu

AMELIORER SES COMPETENCES LINGUISTIQUES les prépositions de lieu AMELIORER SES COMPETENCES LINGUISTIQUES les prépositions de lieu JEUX : Jeu des paires Quelles différences? E.P.S. : - jeu Jacques a dit - Chasse au trésor - Mise en place d un parcours ÉCOUTER, MEMORISER

Plus en détail

Sport et alpha ANNEXES

Sport et alpha ANNEXES Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant

Plus en détail

Nos mondes imaginaires. mes caractéristiques physiques

Nos mondes imaginaires. mes caractéristiques physiques Nos mondes imaginaires Mon personnage : mes caractéristiques physiques Objectifs : Tu vas apprendre à parler des caractéristiques physiques pour décrire le physique de ton personnage du monde imaginaire

Plus en détail

PRÉPARATION AU TEST! CULTURE INTERNATIONAL CLUB

PRÉPARATION AU TEST! CULTURE INTERNATIONAL CLUB Niveau 2 - Mots treize quatorze quinze seize dix-sept dix-huit dix-neuf vingt vingt-et-un vingt-deux vingt-trois vingt-quatre vingt-cinq vingt-six vingt-sept vingt-huit vingt-neuf trente quarante cinquante

Plus en détail

LOCAUX COMMUNS CREATION D'UNE PEPINIERE D'ENTREPRISES ESQUISSE N 2 RDC R+1 R+2 R+3 TOTAL Accueil 47 473 m2 Bureau administration 15 Local repro/archives 12 Petite salle de réunion 35 Salle de conférence

Plus en détail

La petite poule qui voulait voir la mer

La petite poule qui voulait voir la mer La petite poule qui voulait voir la mer Ecris les mots suivants au bon endroit : le titre l auteur - l illustration - l illustrateur - l éditeur Exercices couverture Décris la première de couverture. Que

Plus en détail

C ÉTAIT IL Y A TRÈS LONGTEMPS QUAND LE COCHON D INDE N AVAIT PAS ENCORE SES POILS.

C ÉTAIT IL Y A TRÈS LONGTEMPS QUAND LE COCHON D INDE N AVAIT PAS ENCORE SES POILS. C ÉTAIT IL Y A TRÈS LONGTEMPS QUAND LE COCHON D INDE N AVAIT PAS ENCORE SES POILS. MAIS UN JOUR IL PARTIT PLUS AU NORD POUR DÉCOUVRIR LE MONDE. IL MARCHAIT, MARCHAIT, MARCHAIT SANS S ARRÊTER.IL COMMENÇA

Plus en détail

SOYETTE, LE PETIT VER A SOIE

SOYETTE, LE PETIT VER A SOIE SOYETTE, LE PETIT VER A SOIE Le tout petit œuf. La toute petite chenille Le tout petit œuf vu à la loupe Il était une fois un tout petit œuf, pondu là. Un tout petit œuf, petit comme un grain de poussière.

Plus en détail

Monitoring des nicheurs et hôtes de passage rares: directives pour une collaboration efficace

Monitoring des nicheurs et hôtes de passage rares: directives pour une collaboration efficace Monitoring des nicheurs et hôtes de passage rares: directives pour une collaboration efficace Description du projet Le programme de «Monitoring des nicheurs et hôtes de passage rares» (appelé aussi «SI»

Plus en détail

L ombre commun dans le canton de Vaud

L ombre commun dans le canton de Vaud Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557

Plus en détail

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:

Plus en détail

Tout au long de l année

Tout au long de l année Objectifs Familiariser les élèves avec le relevé d informations sur un journal de bord. Apprendre aux élèves à utiliser des instruments d observation scientifiques. Réaliser des dessins d observations

Plus en détail

Est-ce important si elle ne peut pas le faire?

Est-ce important si elle ne peut pas le faire? ELLE ADORE SE PERCHER DANS LES ARBRES Est-ce important si elle ne peut pas le faire? Se percher dans les arbres n est que l un des plaisirs de la poule pondeuse. Elle descend d un oiseau des bois de petite

Plus en détail

Préparation Physique CPLM Gabriel Currat 1/7

Préparation Physique CPLM Gabriel Currat 1/7 1/7 Avant la compétition Détends-toi, le soir avant la compétition, avec de la relaxation (voir fiche en annexe) Le matin mange un petit déjeuner équilibré: Fruits, Laitage, Pain ou céréales (ex: crème

Plus en détail

LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES

LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o

Plus en détail

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que

Plus en détail

Surligne les phrases si elles sont justes :

Surligne les phrases si elles sont justes : 1) L escargot a besoin de chaleur. Entoure : L escargot est un : 2) Il sort de sa coquille quand l atmosphère est sèche. VERTEBRE - INVERTEBRE 3) Sans coquille, l escargot meurt. OISEAU REPTILE - MOLLUSQUE

Plus en détail

CORRIGES Plan de la séance

CORRIGES Plan de la séance CORRIGES Plan de la séance 1. Corriges Compréhension écrite 2. Corriges Compréhension orale 3. Corriges Syntaxe 4. Corriges Vocabulaire 5. Corriges Conjugaison 6. Corriges Lecture d'élargissement 7. Corriges

Plus en détail

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA

Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura

Plus en détail

BipBatlula, monitoring autonome en haute fréquence

BipBatlula, monitoring autonome en haute fréquence BipBatlula, monitoring autonome en haute fréquence Premiers essais 2009 Observateurs : Fabien Berhault Arnaud Le Houédec Chloé Thomas Rédacteur : Arnaud Le Houédec Présentation du matériel Le matériel

Plus en détail

LUXOMAT Exemples d implantation pour électriciens et bureau d études

LUXOMAT Exemples d implantation pour électriciens et bureau d études B.E.G. LUXOMAT d implantation LUXOMAT d implantation pour électriciens et bureau d études Indexe Profitez des nombreuses années d expérience de B.E.G. pour planifier et installer avec succès et en toute

Plus en détail

ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES

ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES Textes de référence : Champ d application : Code de la Construction et de

Plus en détail

Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.*

Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* *Application de l arrêté du 21 mars 2007, de l arrêté du 1er août 2006 et de

Plus en détail

Une promenade en forêt par Inner Health Studio. Enregistré avec la permission de l entreprise.

Une promenade en forêt par Inner Health Studio. Enregistré avec la permission de l entreprise. Une promenade en forêt par Inner Health Studio. Enregistré avec la permission de l entreprise. Adoptez une position confortable, soit assise, soit couchée. Sentez votre corps se détendre à mesure qu une

Plus en détail

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré

Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Identification des principaux lépidoptères ravageurs du maïs sucré Rencontre du groupe RAP Maïs sucré, 3 avril 2013 Jean-Philippe Légaré, M. Sc., biologiste-entomologiste, Laboratoire de diagnostic en

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

LES PERTES DE RENDEMENT PEUVENT ÊTRE ÉVITÉES

LES PERTES DE RENDEMENT PEUVENT ÊTRE ÉVITÉES MONITORING À DISTANCE LES INSTALLATIONS PHOTOVOLTAÏQUES LIVRENT DES RENDEMENTS OPTIMAUX UNIQUEMENT SI ELLES FONCTIONNENT CORRECTEMENT. LES DÉFAUTS TECHNIQUES OU LES PANNES DUES À L USURE NE PEUVENT PAS

Plus en détail

Commission Polydog Règlement de compétition SportPlaisir Catalogue des disciplines catégorie adresse niveau B

Commission Polydog Règlement de compétition SportPlaisir Catalogue des disciplines catégorie adresse niveau B 1 FAIRE UNE PIROUETTE SUR UNE PALETTE Description des installations Une estrade plane (palette) est placée au sol à environ 7 pas du point de départ. Pour le CCh, une ligne de démarcation est tracée un

Plus en détail

DRACULA (RESURRECTION)

DRACULA (RESURRECTION) DRACULA (RESURRECTION) SOLUTION - Page 1 - MONDE 1 : LE COL DE BORGO Le Cimetière Prendre la pioche posée au fond vers la cabane à outils. Déposer la pioche sur la fosse du dragon où se voient des volutes

Plus en détail

Granulés anti-limaces : pas sans risques!

Granulés anti-limaces : pas sans risques! Granulés anti-limaces : pas sans risques! Conseils pratiques pour une utilisation et un stockage corrects et sans danger pour vos animaux domestiques Comment utiliser et stocker sans danger les granulés

Plus en détail

La petite poule qui voulait voir la mer

La petite poule qui voulait voir la mer Découverte Complète la carte d identité du livre. Titre du livre Nom de l auteur Nom de l illustrateur Editeur Que voit- on sur la 1 ère page de couverture? C est l histoire q d un poisson q d une souris

Plus en détail

Demande d autorisation de faire du commerce d animaux

Demande d autorisation de faire du commerce d animaux Demande d autorisation de faire du commerce d animaux 1 Autorité et auteur de la demande 1.1 Adresse du service cantonal de la protection des animaux (adresse d envoi): 1.2 Nom et adresse de la personne

Plus en détail

NOM équipement. Notice accessibilité pour les établissements recevant du public

NOM équipement. Notice accessibilité pour les établissements recevant du public NOM équipement Notice accessibilité pour les établissements recevant du public Textes de référence : Loi n 2005-102 du 11 février 2005 Décret n 2006-555 du 17 mai 2006 Arrêté du 1er Règles en vigueur considérées

Plus en détail

Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! français. Guide anti-poux

Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! français. Guide anti-poux Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! Zone libérée des poux français Guide anti-poux Double efficacité: Elimine les poux Endommage la membrane chitineuse des lentes empêchant ainsi l éclosion de

Plus en détail

ESSOURCES PÉDAGOGIQUES

ESSOURCES PÉDAGOGIQUES 2015 MATERNELLES CYCLE I / PS - MS ESSOURCES PÉDAGOGIQUES Introduction Je découvre par les sens MODULES À DÉCOUVRIR PENDANT LA VISITE La Cité des enfants de Vulcania est un lieu d éveil, de découvertes

Plus en détail

LA MARE : APPORTS THEORIQUES

LA MARE : APPORTS THEORIQUES LA MARE : APPORTS THEORIQUES LES ETRES VIVANTS DE LA MARE 1 - LES ANIMAUX Vertébrés et des invertébrés peuplent les mares de la Guadeloupe. Les plus faciles à rencontrer et à reconnaître sont les suivants.

Plus en détail

Découvrez ce que votre enfant peut voir

Découvrez ce que votre enfant peut voir 23 Chapitre 4 Découvrez ce que votre enfant peut voir De nombreux enfants qui ont des problèmes de vue ne sont pas totalement aveugles. Ils peuvent voir un peu. Certains enfants peuvent voir la différence

Plus en détail

Un monstre Rode. Un orage s annonce

Un monstre Rode. Un orage s annonce Un orage s annonce Un monstre Rode Les nuages noirs s accumulent dans le ciel des grondements annonciateurs d orage ébranlent l horizon. Est-ce l Ouros, est ce un autre vent porteur de malédictions inédites?

Plus en détail

& Que choisir. favoriser le bien-être

& Que choisir. favoriser le bien-être Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider

Plus en détail

limicoles Les Reconnaître les principales espèces de nos zones humides

limicoles Les Reconnaître les principales espèces de nos zones humides Les Oiseaux limicoles Reconnaître les principales espèces de nos zones humides Dour ha Stêroù Breizh Centre Régional d Initiation à la Rivière - 22810 Belle-Isle-en-Terre - Tél : 02 96 43 08 39 http://educatif.eau-et-rivieres.asso.fr/

Plus en détail

Subordonnée circonstancielle de cause, de conséquence et de but

Subordonnée circonstancielle de cause, de conséquence et de but DE MATÉRIEL CONSÉQUENCE POUR ET DE BUTALLOPHONES 1 Notion de phrase Subordonnée circonstancielle de cause, de conséquence et de but 1 LA SUBORDONNÉE CIRCONSTANCIELLE DE CAUSE La subordonnée circonstancielle

Plus en détail

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193

Plus en détail

Le système de détection d intrusion

Le système de détection d intrusion .com Le système de détection d intrusion Protégez vos proches Sécurisez vos biens Gardez un oeil sur votre habitation La solution de sécurisation... pour votre habitat Une installation réalisée par un

Plus en détail

UNE TECHNIQUE ÉPROUVÉE : LE ZONE SYSTEM

UNE TECHNIQUE ÉPROUVÉE : LE ZONE SYSTEM 3 Sur le terrain Info Les appareils photo équipés de deux logements pour cartes mémoire (SDHC et CompactFlash, par exemple) permettent de stocker les photos en Raw sur une carte mémoire et les photos en

Plus en détail

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES

GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES CRIME EN EAUX PROFONDES LE MOBILE DU CRIME ET LE COMPLICE Parce qu on pêche trop, trop loin, trop profond, nos océans sont en train de mourir, tout spécialement

Plus en détail

ENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE

ENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE ENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE ETAPE 1 LE PLAN DE TRAVAIL 1.a Repères Repères Mettez en place provisoirement le plan de travail et tracez au crayon effaçable deux repères qui correspondent

Plus en détail

Activités Bureau des Guides

Activités Bureau des Guides Activités Bureau des Guides au départ du CENTRE DE DEPAYSEMENT ET DE PLEIN AIR DE MARBEHAN 1 Table des Matières Introduction I. Faune II. Habitats III. Wildcraft & Orientation IV. Coin des Artistes V.

Plus en détail

Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact

Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact Niveau / âge des participants Enfants (à partir de 12 ans), adolescents et adultes. Temps/durée d animation Environ ¼ d heure. Nombre d animateurs

Plus en détail

Science et technologie : Le truc de Newton

Science et technologie : Le truc de Newton Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie

Plus en détail

Unité 1. Au jour le jour

Unité 1. Au jour le jour Unité 1 Au jour le jour PARTIE 1 A Le français pratique Activité 1 Les parties du corps Identifiez les parties du corps puis faites correspondre les expressions 1 4 a Je mange b Je cours 2 5 c Je joue

Plus en détail

PASS ARAN. Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m

PASS ARAN. Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m PASS ARAN Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m Maison du Valier 950m 0h Tél 05 61 01 01 01 Suivre vers le Nord le GR 10 (balisage rouge et blanc) qui remonte au parking pour

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

Le carnaval des oiseaux

Le carnaval des oiseaux Le carnaval des oiseaux Marie-Jane Pinettes et Jacques Laban Juillet 2001 1 Le carnaval des oiseaux A Camille, Margot et Théo 2 LE CARNAVAL DES OISEAUX Il y a longtemps, mais très, très longtemps, tous

Plus en détail

OLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL

OLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL OLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL «Oliver l enfant qui entendait mal» est dédié à mon frère, Patrick, qui est malentendant, à la famille, aux amis, et aux professionnels, qui s impliquèrent pour l aider.

Plus en détail

les cinq étapes pour calculer les jours d avance

les cinq étapes pour calculer les jours d avance À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule

Plus en détail

Document d Objectifs des sites Natura 2000 FR 9110108 et FR 9101435 «Basse Plaine de l Aude» Table des Annexes

Document d Objectifs des sites Natura 2000 FR 9110108 et FR 9101435 «Basse Plaine de l Aude» Table des Annexes Table des Annexes Annexe I : Procédure de désignation des sites Natura 2000 (ZPS et SIC). Annexe II : Composition du comité de pilotage. Annexe III : Exemple de cahier de pâturage tournant Manade. Annexe

Plus en détail

Héron. branché NOUVEAUTÉ CET AUTOMNE! 22 octobre au 2 novembre

Héron. branché NOUVEAUTÉ CET AUTOMNE! 22 octobre au 2 novembre Le petit Héron branché Infolettre pour les professionnels de l éducation www.heritagestbernard.qc.ca Volume 3 Numéro 3 AUTOMNE 2012 NOUVEAUTÉ CET AUTOMNE! 22 octobre au 2 novembre Le À lire dans cette

Plus en détail

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire

Plus en détail

Narrateur : Paillasson le cochon Auteur : Protection mondiale des animaux de ferme (PMAF)

Narrateur : Paillasson le cochon Auteur : Protection mondiale des animaux de ferme (PMAF) Les animaux et nous Ils vivent autour de toi, te tiennent compagnie ou produisent ce que tu manges mais est-ce que tu les connais? Narrateur : Paillasson le cochon Auteur : Protection mondiale des animaux

Plus en détail

A l heure de Pâques Equipe rouge : Les «monsieur et madame» branchés

A l heure de Pâques Equipe rouge : Les «monsieur et madame» branchés A l heure de Pâques Equipe rouge : Les «monsieur et madame» branchés Temps de Préparation : 2 h environ RECAPITULATIF Monsieur moustache : Œuf noir pulvérisé au flocage noir, moustache pâte amande orange

Plus en détail

Loin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière

Loin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière Loin de mes yeux Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière expérience une dimension unique. Voici un guide tout simple, une carte routière pour vous montrer les chemins

Plus en détail

CONSTRUCTION DE LA CIBLE

CONSTRUCTION DE LA CIBLE CONSTRUCTION DE LA CIBLE TACHES Jeux sur cibles fixes N 1 Remplir sa maison Posséder les plus de ballon que l adversaire. Au signal de l éducateur, chaque joueur part en course chercher un ballon dans

Plus en détail

NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP

NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP 1 1 Quel classement pour les ERP? Le classement

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. Exposition temporaire «Très toucher»

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. Exposition temporaire «Très toucher» COMMUNIQUÉ DE PRESSE Exposition temporaire «Très toucher» Du 7 juillet au 7 décembre 2012 à L Arche des Métiers L ARCHE DES MÉTIERS - CCSTI de l Ardèche Place des Tanneurs BP 55-07160 LE CHEYLARD Tél.

Plus en détail

Présentation des équipements d accessibilité dans les gares et les trains

Présentation des équipements d accessibilité dans les gares et les trains Présentation des équipements d accessibilité dans les gares et les trains Octobre 2010 Accessibilité : une démarche «associée» 3 Les solutions d accessibilités mises en place dans les gares et les trains

Plus en détail

2. Les auxiliaires de culture

2. Les auxiliaires de culture III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs

Plus en détail

Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966

Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant

Plus en détail

Discovering Hidden Value

Discovering Hidden Value Discovering Hidden Value A la découverte de la valeur cachée Consultation pour les Opérations de Forage Proposées en Offshore Marocain 2013 Qui est Cairn Energy? Cairn est une société de pétrole et de

Plus en détail

En rouge et noir. 4,50 juin 2011 - n 1326 M 01054-1326 BEL : 4,50 FRANCE METRO : 4,50 - ANT/GUY : 5 - REU : 4,50 - BEL : 4,50 - ESP : 3,80

En rouge et noir. 4,50 juin 2011 - n 1326 M 01054-1326 BEL : 4,50 FRANCE METRO : 4,50 - ANT/GUY : 5 - REU : 4,50 - BEL : 4,50 - ESP : 3,80 Zoom 4,50 juin 2011 - n 1326 FRANCE METRO : 4,50 - ANT/GUY : 5 - REU : 4,50 - BEL : 4,50 - ESP : 3,80 GR : 3,80 - ITA : 4,60 - LUX : 2,60 - MAROC : 25 dh - NL : 5 En rouge et noir M 01054-1326 BEL : 4,50

Plus en détail

Symboles de nos cartes

Symboles de nos cartes 2011 Cartes nationales de la Suisse Symboles de nos cartes Supplément illustré de la légende des signes conventionnels des cartes nationales (CN) de la Suisse Schweizerische Eidgenossenschaft Confédération

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail