Prévention et Secours Civiques de Niveau I
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- Christelle Chabot
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1 Prévention et Secours Civiques de Niveau I Version 2010 édité par la Direction de la Défense et de la Sécurité Civiles.
2 PREVENTION ET SECOURS CIVIQUES DE NIVEAU 1 La Protection L alerte La victime s étouffe La victime saigne abondamment La victime est inconsciente La victime ne respire plus La victime se plaint d un malaise La victime se plaint après un traumatisme, une plaie, une brûlure édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 2
3 DEGAGEMENT D URGENCE LA PROTECTION Un dégagement d urgence est une manœuvre exceptionnelle qui ne doit être utilisée que pour soustraire une victime à un danger vital, immédiat non contrôlable et réel. Deux techniques Dégagement d urgence, traction par les chevilles Dégagement d urgence, traction par les poignets AUTRES SITUATIONS édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 3
4 Si l on est en voiture Allumer ses feux de détresse dès que l on est en vue d un accident et ralentir. Garer son véhicule, si possible après le lieu de l accident, sur la bande d arrêt d urgence si elle existe. Veiller à faire descendre immédiatement tous les occupants de son véhicule et les mettre en sécurité sur le bas-côté, derrière les glissières de sécurité, si elles existent. Et dans tous les cas Baliser de part et d autre de l accident à 150 ou 200 m, pour éviter tout sur accident (gilets de haute visibilité, triangle de pré-signalisation, lampe électrique, linge blanc, feux de détresse du véhicule ), avec l aide de témoins éventuels (fig. 1.3). Interdire toute approche si un danger persiste (transport de matières dangereuses). Couper le contact du véhicule accidenté et ne pas fumer Protection pour : 1 Risque toxique Retenir sa respiration. La durée de du dégagement d urgence ne doit pas excéder 30 secondes..2 Risque d incendie Se protéger au maximum avec ses vêtements, se couvrir le visage et les mains..3 Risque d explosion par fuite de gaz Ne pas provoquer d étincelle (interrupteur, sonnerie, lampe de poche )..4 Risque électrique Couper le courant avant de toucher la victime. 5 Protection des populations en cas d alerte Le signal national d alerte est émis par des sirènes. Il faut immédiatement : Se mettre à l abri: portes et fenêtres fermées ; Ecouter la radio Ne se déplacer Ne pas fumer, Ne pas téléphoner Lorsque le danger est écarté, le signal national de fin d alerte consiste à un son continu d une durée de 30 secondes. édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 4
5 Supprimer le Protéger e Surveiller Alerter édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 5
6 L ALERTE Chaque citoyen peut être le premier maillon de la chaîne de secours. Le secouriste protège. alerte. fait les premiers gestes. Services de secours adapté Le 15 : le SAMU - centre 15 pour tout problème urgent de santé. Le 18 : les SAPEURS-POMPIERS pour tout problème de secours, accident, incendie. Le 17 : la POLICE ou la GENDARMERIE pour tout problème de sécurité ou d ordre public. Le 112 : numéro d appel unique des urgences sur le territoire européen, Le 115 : le SAMU social pour toute personne qui présente une détresse sociale. LE MESSAGE D ALERTE Numéro d appel Si nécessaire, donnez votre nom. Nature du problème Maladie ou accident. Risques éventuels Incendie, explosion, effondrement, produit chimique Localisation Adresse, lieu précis. Nombre De personnes concernées. Etat apparent (gravité) de chaque victime. Premières mesures prises et gestes effectués Attendre les instructions avant de raccrocher édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 6
7 Alerter ou faire alerter Décider d alerter les secours Observer la situation et localiser l évènement Transmettre les informations Message d alerte Secourir ou continuer à secourir édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 7
8 Signes : LA VICTIME S ÉTOUFFE la victime ne peut plus parler ne peut pas tousser, ne peut plus respirer, s agite n émet aucun bruit, porte les mains à la gorge, la bouche ouverte le visage rouge puis violacé Le secouriste demande : «Est-ce que tu t étouffes?» Obstruction totale des voies aériennes chez l adulte 5 claques dans le dos : entre les deux omoplates, avec le plat de la main, de façon vigoureuse Pour provoquer un réflexe de toux, débloquer et expulser le corps étranger qui obstrue les voies aériennes 5 compressions abdominales : méthode de Heimlich Penchée en avant, derrière la victime contre son dos pour créer une surpression brusque sous diaphragmatique, en utilisant l air contenu dans les poumons pour expulser le corps étranger par un effet de piston. Placer le poing fermé entre le nombril et le bas du sternum. Empaumer le poing fermé avec l autre main pour avoir plus de force. Tirer brusquement vers l arrière et vers le haut le poing toujours en contact avec la victime. Vérifier l efficacité du geste - expulsion du corps étranger - apparition d efforts de toux - reprise de la respiration Alerter le 15 pour avis médical édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 8
9 Obstruction totale des voies aériennes chez le nourrisson 5 claques dans le dos 5 compressions thoraciques Obstruction partielle des voies aériennes La victime a du mal à respirer, avec parfois un bruit surajouté fait des efforts de toux, peut parler Ne pas pratiquer les techniques de désobstruction décrites ci-dessus. Laisser la victime dans la position où elle se sent le mieux. Demander un avis médical au 15. Surveiller attentivement la respiration de la victime édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 9
10 LA VICTIME SAIGNE ABONDAMMENT édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 10
11 La victime présente un saignement abondant, visible à l œil nu par le sauveteur. La perte abondante ou prolongée de sang conduit à une détresse qui menace immédiatement ou à court terme la vie d une victime. Allonger la victime en position horizontale Appuyer sur la plaie avec un linge propre, un sac plastique pour se protéger. Alerter le 15, rassurer, surveiller. Compression de l endroit qui saigne Appui direct sur l endroit qui saigne Si je dois me libérer, je fais un tampon relais (tampon propre de papier ou tissus maintenu par un lien large suffisamment serré pour éviter la reprise du saignement) La victime présente un saignement de nez Faire asseoir. Faire pencher la tête en avant. Appuyer avec le doigt dix minutes sur la narine qui saigne. Alerter le 15 si le saignement ne s arrête pas. édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 11
12 édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 12
13 LA VICTIME EST INCONSCIENTE La victime inconsciente ne répond pas aux questions, ne réagit pas mais respire. Laissée sur le dos, elle est exposée aux risques d asphyxie : 1. par la chute de la langue en arrière 2. par l écoulement dans les voies respiratoires de liquides présents dans la gorge. Placer la victime en position latérale de sécurité (P.L.S) Apprécier l état de conscience par des questions simples : «Qu est-ce qui s est passé?» «Quel est votre nom?» par des ordres simples «Ouvrez les yeux, serrez-moi la main» Pas de réponses, pas de réactions = inconscience desserrer : col, cravate, ceinture Appeler à l aide si le secouriste est seul Libérer les voies aériennes Pour permettre le passage de l air vers les poumons pour éviter l asphyxie liée à la «chute» de la langue Faire remonter le menton et basculer douce ment la tête en arrière pour dégager la langue de l arrière gorge Mettre deux doigt sous le menton, l autre main sur le front et basculer la tête en arrière Mettre une main sur le front Mettre deux doigt sous le menton, édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 13
14 Apprécier la respiration - avec les yeux : le thorax se soulève-t-il, l abdomen bouge-t-il? -avec la joue : perçoit-on un souffle? -avec l oreille : entend-on des bruits respiratoires? Maintenir la tête basculée en arrière, se pencher au dessus du visage de la victime. Placer la victime en position latérale de sécurité (PLS) si elle respire 1. Mise en place du bras édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 14
15 Se placer à genoux, à côté du tronc Placer doucement le bras de la victime à 90 de la victime. du côté où on se trouve, paume de la main vers le haut. 2. Mise en place de la main sur l oreille. Saisir l autre bras de la victime, placer le dos de sa main contre son oreille (côté sauveteur) et la maintenir. édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 15
16 3. Positionner la jambe opposée Avec l autre main, attraper la jambe du côté opposé à soi et plier le genou qui sert de levier pour la rotation. 4. Retournement sur le côté Pour effectuer la rotation, se reculer et appuyer sur le genou, jusqu à ce qu il soit contre le sol. 5. Dégagement de la main du sauveteur Stabiliser la position dégager doucement sa propre main de dessous la tête de la victime. tirer le genou au sol pour fléchir la cuisse à 90. Ouvrir la bouche pour faciliter l écoulement de la salive et des vomissements édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 16
17 6. Positionnement de la jambe d appui POSITION FINALE CAS PARTICULIERS 1. Le nouveau-né et l enfant Conduite à tenir identique à celle de l adulte. 2. La femme enceinte P.L.S. sur le côté gauche (éviter toute compression de certains vaisseaux de l abdomen). 3. Le traumatisé P.L.S. sur le côté atteint (lésions thoraciques, membre). 4. Victime couchée sur le ventre Après avoir constaté l inconscience Mettre la victime sur le dos, libérer les voies aériennes et apprécier la respiration édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 17
18 5 Victime inconsciente avec des convulsions Ecarter les objets qui peuvent blesser la victime A la fin des convulsions : libérer les voies aériennes, apprécier la respiration avant de l installer en PLS (Faire) alerter édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 18
19 a général de l action de Schém La victime ne respire pas édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 19
20 La victime ne parle pas, ne réagit pas à un ordre simple, aucun mouvement de la poitrine ou de l abdomen n est visible et aucun bruit ou souffle n est perçu (absence de signes de vie). La «chaîne de survie» : alerte RCP défibrillation - soins médicaux précoces I] Réanimation cardio pulmonaire (RCP) adulte et enfant de + de 1 à 8 ans Conduite à tenir 1. Réaliser la protection. 2. Apprécier l état de conscience. 3. Libérer les voies aériennes. La victime est inconsciente : appeler à l aide 4. Apprécier la respiration. La victime ne respire pas 5. Alerter ou faire alerter et demander un DAE ( défibrillateur automatisé externe). 6. Pratiquer une réanimation cardio pulmonaire. RCP Adulte 30 compressions thoraciques édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 20
21 Localiser la zone d appui sur le sternum(poitrine dénudée) Repérer son talon de main et le placer au centre de la poitrine. L appui doit se faire sur le sternum (strictement sur la ligne médiane, jamais sur les côtes). Placer l autre main au dessus de la première La victime est allongée sur le dos, sur un plan dur o Compressions sternales verticales de 4 à 5 cm o Relâchement du thorax entre chaque compression Fréquence des compressions 100/minute Ventilation artificielle : 2 insufflations Bouche à bouche Insuffler sans fuite, progressivement et lentement édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 21
22 Alternance : 30 compressions / 2 insufflations Enfant de 1 à 8 ans Le plus souvent, la cause de l arrêt du fonctionnement du cœur est respiratoire Commencer par 5 insufflations et en l absence de réaction 5 cycles de 30 compressions / 2 insufflations bouche à bouche bouche à nez La victime est allongée sur le dos et sur un plan dur. édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 22
23 Compression thoracique chez l enfant Fréquence des compressions : 100 compressions par minute Alternance : 30 compressions / 2 insufflations Défibrillation Le défibrillateur automatisé externe (DAE) doit rester allumé et en place En aucun cas, le sauveteur ne doit retirer les électrodes de la poitrine de la victime et/ou éteindre le défibrillateur automatisé externe. édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 23
24 Cas particulier avec le DAE Conduites à tenir La victime est allongée sur un sol mouillé Déplacer la victime pour l allonger sur une surface sèche La victime est allongée sur une surface en métal Déplacer la victime ou glisser un tissu ou couverture sous elle La victime présente un timbre auto collant médicamenteux Retirer le timbre et essuyer la zone avant de coller les électrodes La victime présente une cicatrice ou un boîtier sous la peau sous la clavicule Coller les électrodes à environ 1cm sous la bosse perçue Le DAE détecte un mouvement au cours de l analyse ou du choc Après collage et connection des électrodes l appareil demande à être connecté Vérifier les signes de vie, ne pas toucher la victime au cours de l analyse ou lors de la délivrance du choc Vérifier le collage et la connection des électrodes et du câble et vérifier la date de péremption des électrodes édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 24
25 II] Réanimation cardio pulmonaire (RCP) nourrisson (0-1 an) Le plus souvent, la cause de l arrêt du fonctionnement du cœur est respiratoire Commencer par 5 insufflations. En l absence de réaction 5 cycles de 30 compressions / 2 insufflations Bouche à bouche-et-nez, insufflation La victime est allongée sur le dos et sur un plan dur Compression thoracique chez le nourrisson Fréquence des compressions : 100 compressions par minute Alternance : 30 compressions / 2 insufflations Le DAE n est jamais utilisé chez un nourrisson. édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 25
26 édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 26
27 Arrêt cardiaque chez l enfant (1 à 8 ans) édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 27
28 Arrêt cardiaque chez le nourrisson édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 28
29 Plaie Plaie, brûlure traumatisme La gravité et la conduite à tenir dépend de sa localisation (cou, œil, thorax, abdomen ) et de son aspect.. Plaie grave Quelle que soit la plaie grave, allonger la victime Plaie au thorax Mettre en position demi-assise Plaie de l abdomen Mettre en position Cuisses et genoux fléchis Plaie de l œil - allonger la victime, tête calée, yeux fermés, sans bouger. Dans tous les cas : - Alerter, couvrir, rassurer. - Ne jamais retirer un corps étranger. - Signaler toute aggravation. édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 29
30 Plaie simple Conduite à tenir : - Nettoyer la plaie à l eau et au savon. - Protéger par un pansement. - S assurer de la vaccination antitétanique. - Si une plaie est rouge, chaude douloureuse, gonflée : demander un avis médical Attention : des maladies peuvent être transmises par le sang en cas de plaie Dans ce cas il convient de : se protéger par le port de gant, se laver les mains et les désinfecter (eau de javel, dakin). édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 30
31 Brûlure Lésion de la peau due à la chaleur, certaines substances chimiques, le frottement ou à des radiations. Observer : - l étendue - la profondeur - la localisation Brûlure simple Les signes : Evaluation de la surface de la brûlure - rougeur - cloque d une surface inférieure à celle de la moitié de la paume de la main de la victime Brûlure grave Les signes : - cloques multiples - destruction profonde - localisation ( articulation, orifice naturel, face..) - rougeur étendue de la peau chez l enfant d une surface supérieure à celle de la moitié de la paume de la main de la victime Conduite à tenir - supprimer la cause - refroidir la brûlure le plus tôt possible en laissant ruisseler l eau sans pression sur la surface brûlée pendant au moins 5 minutes pour une brûlure simple ou jusqu à avis médical pour une brûlure grave - retirer les vêtements de la victime sauf ceux qui adhèrent à la peau - brûlure grave : alerter et surveiller Arrosage à l eau froide édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 31
32 Cas particuliers Brûlure par produit chimique Brûlure par projection sur la peau et les vêtements - retirer les vêtements imbibés - arroser abondamment à grande eau jusqu à l arrivée des secours Brûlure par projection dans l œil - rincer abondamment à l eau Brûlure par ingestion - ne pas faire vomir, ne pas donner à boire - surveiller, parler - garder l emballage du produit Brûlure électrique C est une brûlure grave provoquant des lésions internes - allonger la victime Brûlure par inhalation - position demi-assise Alerter les secours médicalisés en cas de brûlures graves. édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 32
33 Les traumatismes La victime se plaint après un traumatisme : Dos, tête, nuque Conduite à tenir : - ne pas mobiliser la victime - maintenir la tête en permanence dans la position où elle se trouve Conseiller fermement à la victime d éviter tout mouvement en particulier de la tête - alerter le 15 et signaler toute aggravation Membre inférieur et supérieur Conduite à tenir : - ne pas mobiliser le membre atteint - couvrir la victime s il est à l extérieur - alerter le 15 et signaler toute aggravation Traumatisme crânien Conduite à tenir : - allonger la victime - alerter le 15 - surveiller la victime en lui parlant régulièrement - signaler toute aggravation au 15 Signes de gravité ou d aggravation : - somnolence ou agitation - vomissements ou nausées - maux de tête - écoulement de sang ou de liquide clair par le nez ou les oreilles - non mémoire de l accident édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 33
34 Le malaise La victime est consciente et présente des signes visibles de malaise. Un malaise est une sensation pénible traduisant un trouble du fonctionnement de l organisme, sans pouvoir en identifier l origine. Cette sensation, parfois répétitive, peut être fugace ou durable et ou de survenue brutale ou progressive. Conduite à tenir 1. Observer les signes de malaise douleur dans la poitrine sueurs, pâleur, froid Difficultés à respirer Signes inhabituels (paralysie, perte de la vision, difficultés de langage, mal de tête, perte de l équilibre) 2. Mettre la victime au repos en position allongée En cas de gêne respiratoire : position demi-assise, desserrer col ceinture, tout vêtement gênant la respiration 3. Interroger la victime «Depuis combien de temps?» «Est-ce la première fois?» «Avez-vous déjà été hospitalisé ou gravement malade?» «Prenez-vous des médicaments?» 4. Alerter le 15. Prendre un avis médical en transmettant de façon précise l âge de la victime 5. Surveiller la victime. Cas particulier La victime réclame un médicament ou du sucre : aider à prendre le médicament ou le sucre. édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 34
35 édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 35
36 édité par la Direction de la Défense et de Sécurité Civiles. 36
37 Prévention et Secours Civiques de Niveau I édité par la Direction de la Défense et de la Sécurité Civiles. 37
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