Texte de Kant. Thème : Le devoir et le bonheur
|
|
- Marie-Claire Paradis
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Texte de Kant. Thème : Le devoir et le bonheur PLAN Introduction Étude ordonnée 1 La conscience que nous avons de nos intentions nous fait croire en la moralité de nos actions A L introspection peut mener à la conclusion que nous avons bien agi B Le devoir moral doit être le principe de l action morale 2 L introspection est incapable de déceler les mobiles pathologiques qui peuvent se cacher derrière le motif plus noble du devoir A Notre volonté, qui doit être autonome pour être bonne, peut être déterminée en réalité par des intérêts égoïstes B Soutenir qu on est sûr d avoir agi moralement relève au mieux de l erreur, au pire de la mauvaise foi 3 La valeur morale d une action n est jamais assurée puisqu elle réside dans l intention qui est inconnaissable A La morale n est pas la prudence B L intention morale n est pas la «bonne intention», celle-ci témoignant toujours de la recherche de l intérêt égoïste C Le choix dans la détermination de notre volonté est un choix intelligible : on ne peut mesurer objectivement la moralité d une action Conclusion Introduction «Je peux avoir bonne conscience, j ai fait une bonne action» : quand on se fait ce genre de réflexion, lorsque l on estime avoir fait sa «B.A.», c est que l on considère que l on a fait son devoir, autrement dit que l on a fait ce qu il fallait faire. Il reste à savoir si cette obligation que l on estime avoir remplie est bien l obligation morale, ou si au contraire il ne s agit pas d un désir de confort moral, qui procède non plus du devoir mais bien plutôt de l intérêt égoïste. En effet, la cause de notre action pourrait bien résider dans la crainte du remords ou encore dans le désir de la satisfaction de soi et l auto-glorification, voire dans l orgueil.
2 Dans ce texte, Kant examine la possibilité, pour le sujet, de connaître les véritables mobiles de ses actions : si j ai le sentiment d avoir bien agi, si je n ai conscience d aucune cause autre que le devoir comme principe de mon action, puis-je alors en déduire qu effectivement j ai agi par devoir? 1. La conscience que nous avons de nos intentions nous fait croire en la moralité de nos actions A. L introspection peut mener à la conclusion que nous avons bien agi Kant commence par montrer qu il est matériellement et logiquement possible de croire que nous avons bien agi. «Il arrive parfois sans doute» qu une introspection «scrupuleuse» nous laisse penser que nous avons agi par devoir. Un seul mobile susceptible de nous «pousser» à agir se présente à notre conscience : «le principe moral du devoir». Le devoir, autrement dit l obligation interne, nous paraît être à la fois la loi, la règle et le fondement de notre action «principe» a pour étymologie princeps, «premier»). La métaphore mécanique qu utilise Kant («puissant», «pousser à») montre déjà qu il semble y avoir un jeu de poids-contrepoids entre plusieurs mobiles d action possibles. En ayant conscience d avoir renoncé au mobile égoïste au profit du devoir nous estimons que nous avons effectué une «bonne action» ou un «grand sacrifice». B. Le devoir moral doit être le principe de l action morale Mais qu il soit possible que nous ayons la conviction subjective d avoir agi par devoir ne permet pas d en déduire que notre action était effectivement et réellement morale. Les expressions «bonne action» et «grand sacrifice» elles-mêmes sous-entendent déjà que l on n est pas loin de la satisfaction et de l amour-propre : on se glorifie de notre grandeur morale et de notre aptitude à renoncer à l égoïsme. Or pour qu une action soit morale, elle doit être accomplie par devoir, c est-à-dire par obéissance à la loi morale en nous (dictée par la raison pure), et doit trouver en elle son unique motif. Dès lors qu un «sentiment» ou un mobile sensible s y trouve mêlés, la volonté qui doit être pure pour être morale devient «hétéronome».
3 2. L introspection est incapable de déceler les mobiles pathologiques qui peuvent se cacher derrière le motif plus noble du devoir A. Notre volonté qui doit être autonome pour être bonne peut être déterminée en réalité par des intérêts égoïstes Pour Kant, il faut reconnaître que la conscience subjective d autonomie de la volonté ne peut assurer l effectivité de cette autonomie. Le jugement que nous portons nous-mêmes sur nos actions ne peut être objectif. Si la loi morale rationnelle exige que le devoir soit la «cause déterminante de la volonté», nous sommes incapables de savoir s il en a été la «vraie» cause effective et réelle. Autrement dit, nous avons conscience de ce que doit être l action morale, mais nous ne pouvons pas savoir si de fait notre action est morale. Ainsi, nous pouvons croire avoir agi moralement alors même que notre volonté a été déterminée par une «impulsion de l amour-propre» masquée à notre conscience immédiate. B. Soutenir qu on est sûr d avoir agi moralement relève au mieux de l erreur, au pire de la mauvaise foi C est donc «faussement» que nous invoquons la stricte obéissance au principe moral du devoir, mobile rationnel «plus noble» que l impulsion ou le désir sensibles. Le terme «faussement» peut s entendre ici en deux sens : nous nous «flattons» d obéir au devoir soit parce que nous nous trompons en considérant comme objective ce qui n est qu une conviction subjective, soit par «fausseté» et par mauvaise foi lorsque nous cherchons à (nous) masquer notre intérêt égoïste. Quoi qu il en soit, que nous le voulions ou non, nous ne pouvons pas percer à jour nos intentions véritables. Même en toute bonne foi nous ne pouvons pas avoir conscience des «mobiles secrets» qui sont, dans les faits, le «moteur» de notre action. 3. La valeur morale d une action n est jamais assurée puisqu elle réside dans l intention qui est inconnaissable A. La morale n est pas la prudence En effet, le mobile subjectif de nos actions n est pas observable : «on ne le voit pas». On peut constater le résultat de notre action, on peut réfléchir aux moyens de la réaliser, on peut mesurer son efficacité, mais l intention morale reste à jamais inconnaissable et incertaine. Or en
4 matière de morale, le critère de la moralité est précisément la bonne intention et non l efficacité de l action. En ceci la morale se distingue de la prudence : la bonne action n est pas (seulement) l action habile et bien réalisée (dans laquelle les moyens employés sont adaptés à la fin recherchée). B. L intention morale n est pas la «bonne intention», celle-ci témoignant toujours de la recherche de l intérêt égoïste Si l intention est l «essentiel» «quand il s agit de valeur morale», il serait tentant d en déduire que «c est l intention qui compte». Cependant la prétendue «bonne intention» à laquelle on se réfère souvent relève en réalité du simple alibi ; on tente de s autoriser par là à employer les moyens les plus immoraux sous couvert de moralité. Ainsi, en appeler à une soi-disant «bonne intention» revient à soutenir que la fin justifie les moyens. De plus, cette «fausse» moralité prend pour principe la recherche du bien-être d autrui : le mobile de notre action est ici de «faire plaisir». Or il est évident que ce que l on recherche, au fond, c est toujours notre propre intérêt égoïste, dans la mesure où l on sera satisfait d être à l origine du bien-être d autrui. Notre action n aura donc pas été accomplie par pur devoir moral. C. Le choix dans la détermination de notre volonté est un choix intelligible : on ne peut mesurer objectivement la moralité d une action Par conséquent, il est immoral d affirmer avec certitude que notre intention, «principe intérieur de nos actions», est morale. Cette certitude est, en outre, impossible : le choix de la détermination de notre volonté par le devoir, ou au contraire par un intérêt égoïste, relève du libre arbitre. En tant qu il est un choix libre, on ne peut prétendre le connaître. Conclusion Ainsi la conscience d avoir agi par devoir n est pas une garantie de l objectivité de l action morale. Vouloir se prévaloir d avoir accompli une bonne action relève toujours de l amour-propre. Mais même en dehors de toute recherche du confort moral la certitude de l action morale reste pour nous impossible, car nous ne sommes pas aptes à «sonder les cœurs», pas même le nôtre. Cependant l impossibilité de mesurer la valeur morale de nos actions ne doit pas nous conduire à désespérer de la possibilité de la moralité. L homme étant un «être raisonnable et fini», la moralité reste certes une tâche, mais la présence de la loi morale en lui atteste de l existence de l exigence morale : elle n est pas une illusion ni un «mirage».
5 Ouvertures LECTURES Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs, Hatier, coll. «Les classiques de la philosophie». Kant, Critique de la raison pratique, PUF, coll. «Quadrige».
Les obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DU REDRESSEMENT PRODUCTIF PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES, INNOVATION ET ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Ordonnance n o 2014-329 du 12 mars 2014 relative à l
Plus en détailMéthode universitaire du commentaire de texte
Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent
Plus en détailEmplacement de la photo d ouverture du domaine
FORMATION INITIATEUR Emplacement de la photo d ouverture du domaine Commission pédagogique de la Direction Technique Nationale 28/11/03 Une dimension morale «Être responsable» c est accepter et subir,
Plus en détailPeut-on tout échanger?
Peut-on tout échanger? Eric Delassus To cite this version: Eric Delassus. Peut-on tout échanger?. 2011. HAL Id: hal-00653580 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00653580 Submitted on 19
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailI. Une nouvelle loi anti-discrimination
Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre
Plus en détailPlan et résumé de l intervention de Jean-Philippe Dunand
Faculté de droit Prof. Jean-Philippe Dunand Prof. Pascal Mahon Avenue du 1 er -Mars 26 CH-2000 Neuchâtel Tél. ++41 32 718.12.00 Fax ++41 32 718.12.01 Centre d étude des relations de travail (CERT) Neuchâtel,
Plus en détailCODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS
CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS Référence : Type de politique : Références juridiques : Autres références : INTRODUCTION Gouvernance autonome Code des professions, Code civil du Québec
Plus en détailPROTECTION DES DROITS DU TRADUCTEUR ET DE L INTERPRETE
PROTECTION DES DROITS DU TRADUCTEUR ET DE L INTERPRETE Le traducteur ou l interprète non salarié doit en permanence veiller à la préservation de ses droits tant dans l établissement de sa relation avec
Plus en détailPRET DE LISEUSES EN BIBLIOTHEQUE Les principaux enseignements de l expérimentation
PRET DE LISEUSES EN BIBLIOTHEQUE Les principaux enseignements de l expérimentation CARACTERISTIQUES DU PROJET DE PRET DE LISEUSES Les partenaires : la BDY, bibliothèques des Yvelines, le MOTif, observatoire
Plus en détailQuand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est
Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est une émotion à la fois si commune et si unique que la langue française
Plus en détailRèglement relatif aux sanctions et à la procédure de sanction
Règlement relatif aux sanctions et à la procédure de sanction (dans la version du 24 décembre 2012) La commission de l'organisme d'autorégulation de l'association Suisse des Sociétés de Leasing (OAR /
Plus en détailLa culture L épreuve du Bac
L épreuve du Bac Synthèse des concepts rencontrés dans les textes... 80 Sujets de dissertation... 81 Méthode d analyse d un sujet de dissertation... 82 Sujet 1 Méthode d analyse d un texte : texte de Freud...
Plus en détailConvention de «management fees»: qu en est-il aujourd hui?
81 rue du pré Catelan 59110 La Madeleine Tél : 03 20 39 33 47 Fax : 03 20 63 92 21 lille@valoxy.fr www.valoxy.fr Convention de «management fees»: qu en est-il aujourd hui? Attention aux prestations de
Plus en détailvotre courtier d assurances ou agent bancaire AXA
votre courtier d assurances ou agent bancaire AXA Pour plus d informations sur les conditions de happy generation et de confort auto d AXA, consultez votre courtier d assurances ou agent bancaire AXA ou
Plus en détailFonctions homographiques
Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie
Plus en détailRapport d'activité 2010
Ton infirmière à la maison Association Neuchâteloise de Soins Pédiatriques à Domicile Rapport d'activité 2010 L'infirmière responsable M.-L. Bourquin 10 ans plus tard Une magnifique fête a marqué la décennie
Plus en détailMUSIQUE ET POINTS DE VENTE FOCUS SALONS DE COIFFURE
1 Date Titre présentation MUSIQUE ET POINTS DE VENTE FOCUS SALONS DE COIFFURE Service études et prospective, Direction des ressources et de la stratégie, Juliette Delfaud Octobre 2014 www.sacem.fr SOMMAIRE
Plus en détailSEPR - Pierre Casadéi Lean Oser le participatif pour repenser l organisation
Pour repenser son organisation au sortir d'un plan de départs volontaires, l'industriel SEPR a "osé" solliciter la participation de ses salariés. Avec succès. Réflexions de Pierre Casadei, Directeur des
Plus en détailNOTIONS DE PROBABILITÉS
NOTIONS DE PROBABILITÉS Sommaire 1. Expérience aléatoire... 1 2. Espace échantillonnal... 2 3. Événement... 2 4. Calcul des probabilités... 3 4.1. Ensemble fondamental... 3 4.2. Calcul de la probabilité...
Plus en détailLes 100 plus belles façons. François Gagol
Les 100 plus belles façons d'aimer François Gagol Les 100 plus belles façons d Aimer François Gagol François Gagol, 2003. Toute reproduction ou publication, même partielle, de cet ouvrage est interdite
Plus en détailENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES
ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES N 202 AOUT 2003 SOMMAIRE 1. PRESENTATION p.3 2. SYNTHESE DE L ENQUETE p.4 3. LES REPONSES DES VILLES ET AGGLOMERATIONS
Plus en détailN 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI
N 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 DOUZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 25 mai 2005. PROPOSITION DE LOI abrogeant l article 434-7-2 du code
Plus en détailCODE PROFESSIONNEL. déontologie. Code de déontologie sur les bases de données comportementales
déontologie Code de déontologie sur les bases de données comportementales 1 Code de déontologie sur les bases de données comportementales Préambule Les bases de données comportementales constituées principalement
Plus en détailLes responsabilités des professionnels de santé
Chapitre 5 : UE6 - Le Droit pharmaceutique Les responsabilités des professionnels de santé Martine DELETRAZ-DELPORTE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailResponsabilité pénale de l association
Responsabilité pénale de l association Infractions limitativement définies : Le code pénal prévoit la responsabilité pénale des personnes morales à raison des infractions réalisées pour leur compte et
Plus en détailVersion 2. Comment arriver à générer les 80 000 Euro de chiffre d affaire autorisés par le statut Autoentrepreneur avec une facilité déconcertante.
Comment démarrer avec le Statut Auto-Entrepreneur? Version 2 Comment arriver à générer les 80 000 Euro de chiffre d affaire autorisés par le statut Autoentrepreneur avec une facilité déconcertante. En
Plus en détailRESPONSABILITE ET ASSURANCES
RESPONSABILITE ET ASSURANCES 1 CHAPITRES Pages 1 RESPONSABILITE CIVILE 3 2 RESPONSABILITE PENALE 4 3 DIRIGEANTS D ASSOCIATION ET RESPONSABILITE 4 4 OBLIGATION D INFORMATION DES ASSOCIATIONS SUR LES ASSURANCES
Plus en détailAvoir confiance en soi
Sarah Famery Avoir confiance en soi Nouvelle édition Groupe Eyrolles, 1999, 2001, 2004, ISBN 2-7081-3537-6 Chapitre 2 Mettez-vous en situation et faites votre autodiagnostic L expression du manque de confiance
Plus en détailTABLE DES MATIERES. Section 1 : Retrait... 20-22 Section 2 : Renonciation... 23-25 Section 3 : Nullité... 26-28
Ordonnance n 03-08 du 19 Joumada El Oula 1424 correspondant au 19 juillet 2003 relative à la protection des schémas de configuration des circuits intégrés TABLE DES MATIERES Articles Titre I : Dispositions
Plus en détailLes allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins
études résultats et N 603 octobre 2007 Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins Une enquête a été effectuée par la DREES au deuxième trimestre 2006 auprès de personnes
Plus en détailBaccalauréat ES/L Métropole La Réunion 13 septembre 2013 Corrigé
Baccalauréat S/L Métropole La Réunion 13 septembre 2013 Corrigé A. P. M.. P. XRCIC 1 Commun à tous les candidats Partie A 1. L arbre de probabilité correspondant aux données du problème est : 0,3 0,6 H
Plus en détailChapitre 4 Quelles sont les principales défaillances du marché?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 12 octobre 2014 à 18:25 Chapitre 4 Quelles sont les principales défaillances du marché? Introduction Dans la réalité les marchés peuvent être défaillants dans le
Plus en détailBIEN PROTÉGER. Mes données bancaires et mes moyens de paiement
BIEN PROTÉGER Mes données bancaires et mes moyens de paiement 2 En matière bancaire comme dans tous les domaines, la sécurité et la vigilance sont primordiales. Des systèmes de protection sont mis en place
Plus en détailParis, le 14 décembre 2011. AFF : SMAI / publications concours N/réf. : 2011/071/PR. Madame la Présidente,
Mme Maria J. ESTEBAN Présidente Société de Mathématiques Appliquées et Industrielles Institut Henri Poincaré 11, rue Pierre et Maire Curie 75231 PARIS Cedex 05 Paris, le 14 décembre 2011 AFF : SMAI / publications
Plus en détailLe rôle du syndic. Introduction
Le rôle du syndic Introduction Le syndic constitue un concept nouveau dans la société marocaine. Il est apparu avec l apparition de la copropriété. Celle ci a été régie pendant longtemps par le Dahir de
Plus en détailAVIS FORMEL DU CONSEIL D ETAT. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les membres de la commission, * * *
CONSEIL D ETAT Château cantonal 1014 Lausanne Commission thématique de la modernisation du parlement Secrétariat général du Grand Conseil Place du Château 6 1014 Lausanne Réf. : PM/15007041 Lausanne, le
Plus en détailEnquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires
Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Pierre-Yves GOMEZ Professeur EMLYON Directeur de l Institut Français de Gouvernement des Entreprises (IFGE)
Plus en détailPour votre génération, le meilleur reste à venir
Pour votre génération, le meilleur reste à venir Votre génération? Une génération qui a osé rêver et fait vivre au monde de mémorables instants. Vous faites partie de la Happy Generation. Chez AXA, nous
Plus en détailLES ASSURANCES SOCIALES CONDITIONS QUE DOIT REMPLIR UNE RÉGLEMENTATION COMMUNE A TOUTE LA FRANCE PAR M. LE COLONEL DE VILLE, MEMBRE TITULAIRE.
LES ASSURANCES SOCIALES CONDITIONS QUE DOIT REMPLIR UNE RÉGLEMENTATION COMMUNE A TOUTE LA FRANCE PAR M. LE COLONEL DE VILLE, MEMBRE TITULAIRE. Parmi les nombreuses questions que soulève la réintégration
Plus en détailLE CONTENU DES MODALITÉS DE SERVICE
LE CONTENU DES MODALITÉS DE SERVICE Suite à l examen des modalités de service élaborées par différentes entreprises offrant des services de téléphonie cellulaire, l Union des consommateurs a constaté que
Plus en détailLoi fédérale contre la concurrence déloyale (LCD) du 19 décembre 1986
Loi fédérale contre la concurrence déloyale (LCD) du 19 décembre 1986 (État le 10 décembre 2002) 241 TABLE DES MATIÈRES Articles Chapitre premier : But... 1 er Chapitre 2 : Section 1 : Section 2 : Section
Plus en détailNature et formes du don : résumé
Nature et formes du don : résumé Par Gildas RICHARD La réflexion méthodique sur la notion de don a été, jusqu à présent, l apanage presque exclusif de deux grands types de discours : D une part, le discours
Plus en détailB - La lecture du bilan
8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé
Plus en détailAVONS-NOUS DES DEVOIRS MORAUX ENVERS NOUS-MÊMES OU SEULEMENT ENVERS AUTRUI?
AVONS-NOUS DES DEVOIRS MORAUX ENVERS NOUS-MÊMES OU SEULEMENT ENVERS AUTRUI? L idée d asymétrie morale Mon point de départ, c est l idée qu il existe une asymétrie morale entre le rapport de soi à soi et
Plus en détailPOLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE
BELAC 2-003 Rev 1-2014 POLITIQUE ET LIGNES DIRECTRICES EN MATIERE DE TRACABILITE DES RESULTATS DE MESURE Les versions des documents du système de management de BELAC telles que disponibles sur le site
Plus en détailLEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE
ordre des optométristes du québec LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE VOIR QUI AU
Plus en détailMontréal, le 1 er août 2014. M e François Giroux McCarthy Tétrault S.E.N.C.R.L 1000, rue de la Gauchetière Ouest Bureau 2500 Montréal (Québec) H3B 0A2
Montréal, le 1 er août 2014 M. M e François Giroux McCarthy Tétrault S.E.N.C.R.L 1000, rue de la Gauchetière Ouest Bureau 2500 Montréal (Québec) H3B 0A2 Objet : Plainte de M. à l endroit de la CIBC N/Réf.
Plus en détailAUTORISATION PARENTALE RAPPELS JURIDIQUES
FFVoile Ligue Ile de France Formation Arbitres Régionaux Formalités avant course Autorisation Parentale AUTORISATION PARENTALE RAPPELS JURIDIQUES Le mineur est la personne de moins de dix-huit ans révolus
Plus en détail22 Nous Reconnaissons la force du pardon
22 Nous Reconnaissons la force du pardon 23 Par le rite pénitentiel, les chrétiens se tournent vers Dieu pour lui demander son pardon. Dieu nous reçoit tels que nous sommes et nous pardonne pour que nous
Plus en détailComment s exerce l autorisation parentale de sortie de l enfant du territoire national ou l opposition à cette sortie?
Comment s exerce l autorisation parentale de sortie de l enfant du territoire national ou l opposition à cette sortie? En cas d autorité parentale exclusive, c est la liberté ; le parent la détenant pouvant
Plus en détailVu la Loi n 1.165 du 23 décembre 1993 relative à la protection des informations nominatives, modifiée ;
DELIBERATION N 2015-04 DU 28 JANVIER 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AUTORISATION A LA MISE EN ŒUVRE DU TRAITEMENT AUTOMATISE D INFORMATIONS NOMINATIVES AYANT POUR
Plus en détailC est aussi simple que cela. Les prestations du Help Point
Une aide rapide en 126 points En cas de sinistre, 126 Help Points sont à votre disposition dans toute la Suisse. Vous y obtiendrez de l aide rapidement et sans formalités. 26 sites Help Point 100 partenaires
Plus en détailConditions générales de vente (Produits et Prestations de services)
Conditions générales de vente (Produits et Prestations de services) ARTICLE PREMIER - Champ d application Les présentes Conditions Générales de Vente s appliquent à toutes les ventes et prestations de
Plus en détailwww.habefast.ch contact@habefast.ch Agence web en Suisse romande CH-1260 Nyon 022 362 25 70
1 By Agence web en Suisse romande 2 Qu est ce qu est le SEO? Le référencement naturel ou SEO (Search Engine Optimisation) est une pratique qui, comme son nom l indique, permet d optimiser un site web pour
Plus en détailANNEXE À LA DELIBERATION N 2013-INSO-008. Règlement intérieur du dispositif départemental Carte jeune. Sommaire
ANNEXE À LA DELIBERATION N 2013-INSO-008 Règlement intérieur du dispositif départemental Carte jeune Sommaire Préambule... 3 1 Composition de la Carte jeune :... 3 1.1 Un porte-monnaie électronique...
Plus en détailINFORM OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE JUSTE COMBINAISON
2 2002 INFORM INFORMATIONS FINANCIÈRES ESSENTIELLES POUR LES CAISSES DE PENSION OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE
Plus en détailPROVINCE DE QUÉBEC MRC DE MEMPHRÉMAGOG MUNICIPALITÉ DE STUKELY-SUD
PROVINCE DE QUÉBEC MRC DE MEMPHRÉMAGOG MUNICIPALITÉ DE STUKELY-SUD RÈGLEMENT NUMÉRO 187-2011 POUR ABROGER LES RÈGLEMENTS 2006-113 ET 182-2010 ET LEURS AMENDEMENTS CONCERNANT LA POLITIQUE DE LOCATION DE
Plus en détailLe futur doit s ancrer dans l histoire
Conférence de presse du 3 septembre 2013 Le texte prononcé fait foi. Le futur doit s ancrer dans l histoire Patrick Odier, Président du Conseil d administration, Association suisse des banquiers Mesdames,
Plus en détailLES CRÉANCES ET LES DETTES
LES CRÉANCES ET LES DETTES Règles générales d évaluation Définition d un actif et d un passif ACTIFS Tout élément de patrimoine ayant une valeur économique positive pour l entité est considéré comme un
Plus en détailARBITRAGE DE GRIEF EN VERTU DU CODE DU TRAVAIL DU QUÉBEC (L.R.Q., c. C-27) CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR
ARBITRAGE DE GRIEF EN VERTU DU CODE DU TRAVAIL DU QUÉBEC (L.R.Q., c. C-27) ENTRE : SYNDICAT DES INFIRMIERS ET INFIRMIÈRES DU CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR ET : ET : CENTRE HOSPITALIER LE GARDEUR JULIENNE
Plus en détailConvention «Heurt de véhicules» TABLE DES MATIERES
«Heurt de véhicules» 470 1 er avril 1994 TABLE DES MATIERES A. Liste des entreprises adhérentes B. Texte de la convention C. Définitions D. Principes et modalités d application E. Fixation des dommages
Plus en détailStratégie de la surveillance des assurances en Suisse
Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse 1. Base juridique...2 2. Tâches principales...2 3. Conditions d accomplissement des tâches principales...2 3.1. Culture de la responsabilité...3 3.2.
Plus en détailPrincipes directeurs régissant le règlement uniforme des litiges relatifs aux noms de domaine
Principes directeurs régissant le règlement uniforme des litiges relatifs aux noms de domaine Principes directeurs adoptés le 26 août 1999 Documents d application approuvés le 24 octobre 1999 Traduction
Plus en détailPROTÉGER ET CONSOLIDER LA RÉPUTATION DE LA SOCIÉTÉ
IV L éthique dans vos relations d affaires Nos activités sont tributaires de la qualité des relations que nous entretenons avec les clients, la collectivité, diverses organisations et nos partenaires.
Plus en détailLa responsabilité pénale dans l entreprise
La responsabilité pénale dans l entreprise PLATO Le Lieu : CCI Granville. 1 Plan de l intervention Déterminer les zones de risques pénales dans l entreprise. Qui peut voir sa responsabilité pénale engagée?
Plus en détailLa délégation de pouvoirs
La délégation de pouvoirs DELEGATIONS DE POUVOIR Secteur Pharmaceutique Paris, 27 septembre 2006 Introduction: définition, contexte et rappel des principes généraux Délégation de pouvoirs et notions voisines
Plus en détailPOURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? Masson Alexis - www.epistheo.com
POURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? 1 Pourquoi Dieu permet-il le mal? Brève initiation au problème du mal MASSON Alexis Philosophie de la Religion www.epistheo.com 2 Première Partie UN SERIEUX PROBLEME 3 1
Plus en détailTHÉORIE ET PRATIQUE DE L AUDIT INTERNE
Jacques RENARD THÉORIE ET PRATIQUE DE L AUDIT INTERNE Préface de Louis GALLOIS Président de la SNCF Prix IFACI 1995 du meilleur ouvrage sur l audit interne Cinquième édition, 1994, 1997, 2000, 2002, 2004
Plus en détailA - Nomenclature des préjudices de la victime directe
ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant
Plus en détailLE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE.
LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. Synthèse des travaux réalisés 1. Problématique La question D7 du plan d exécution du Programme National de Recherches
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires
Marché de service CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES Transports sanitaires - Etablissement contractant : CENTRE HOSPITALIER 858 rue des Drs. Devillers 02120 GUISE 03.23.51.55.55 03.23.51.55.35 Procédure
Plus en détailPrimaire. analyse a priori. Lucie Passaplan et Sébastien Toninato 1
Primaire l ESCALIER Une activité sur les multiples et diviseurs en fin de primaire Lucie Passaplan et Sébastien Toninato 1 Dans le but d observer les stratégies usitées dans la résolution d un problème
Plus en détailFaut-il tout démontrer?
Faut-il tout démontrer? Introduction et énoncé du problème L acte de démontrer consiste à mettre en ordre logique, à disposer de façon rationnelle et déductive des propositions afin d assurer que la conclusion
Plus en détailPOUR CONFIRMER LA SOUSCRIPTION DE VOTRE CONTRAT, TRES VITE! AUTO
Contact : www.direct-assurance.fr Tél. : 09 70 80 80 02 (Appel local selon opérateurs) Proposition de contrat auto n 5 629 624 566 Référence courrier : L20/30J Identifiant client : 1 654 178 466 MADAME
Plus en détailTravail en groupe Apprendre la coopération
Travail en groupe Apprendre la coopération Travailler en groupe, en atelier peut répondre à de nombreux objectifs qui peuvent être très différents les uns des autres. Nous insisterons ici sur les pratiques
Plus en détailALLOCATIONS POUR FRAIS D'EMPLOI
2041 GP N 50688#14 DOCUMENT POUR REMPLIR LA DÉCLARATION DES REVENUS DE 2012 Ce document n'a qu'une valeur indicative. Il ne se substitue pas à la documentation officielle de l'administration. ALLOCATIONS
Plus en détailPeut-on assimiler le vivant à une machine?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN Peut-on assimiler le vivant à une machine? Introduction Assimiler quelque chose à, c est traiter comme semblable à, c est regarder comme semblable. L assimilation
Plus en détailIntroduction à l analyse de concept. Cogmaster - Quinzaine de rentrée
Introduction à l analyse de concept Cogmaster - Quinzaine de rentrée L art de la distinction Une partie de la philosophie consiste à faire des distinctions pour éviter que soient confondues des entités
Plus en détailQU ARRIVERA-T-IL APRÈS L ESSOR DU CRÉDIT EN CHINE?
JUIN 2013 QU ARRIVERA-T-IL APRÈS L ESSOR DU CRÉDIT EN CHINE? L économie de la Chine a fait preuve d une résistance enviable tout au long de la crise financière mondiale, surpassant le reste du monde. Ce
Plus en détailDROIT ET RÉGLEMENTATIONS DE LA PLACE FINANCIÈRE
DROIT ET RÉGLEMENTATIONS DE LA PLACE FINANCIÈRE Révision des Directives de l ASB concernant le mandat de gestion de fortune La nouvelle version des Directives de l ASB concernant le mandat de gestion de
Plus en détailGuide d accompagnement. Suite
Guide d accompagnement Suite 1 Délai de livraison Votre délai de livraison débute à compter du jour où nous avons validé votre dossier et l avons transmis au concessionnaire. La date de démarrage de ce
Plus en détailLoi 12 Fautes et Incorrections (Partie 1 Fautes)
Loi 12 Fautes et Incorrections (Partie 1 Fautes) Sujets 2 Fautes Conditions de base pour une faute Direct Indirect Inadvertance, imprudence, excès de combativité Charger un adversaire Tenir un adversaire
Plus en détailLignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6
Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.
Plus en détailLOI N 2006-01 portant Code des Postes
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,
Plus en détailbonnes raisons pour ne pas se syndiquer
10 bonnes raisons pour ne pas se syndiquer 1 LES SYNDICATS, C EST RINGARD! Si vous pensez que les syndicats ne sont pas adaptés aux problèmes de notre époque, alors il ne tient qu à vous pour que ça change.
Plus en détailLes noms de domaine : un enjeu fondamental pour les administrations
Les noms de domaine : un enjeu fondamental pour les administrations Les noms de domaine : un enjeu fondamental pour les administrations Service public fédéral Economie, P.M.E., Classes moyennes et Energie
Plus en détailAccord Cosmopolite sur la Guerre et la Paix
Concours Philosopher Accord Cosmopolite sur la Guerre et la Paix Par Deppy04 2000 mots «Je suis vautré sur le canapé à regarder sur la chaîne câblée une émission de mode. [ ] Une fois de plus j entends
Plus en détailManque de reconnaissance. Manque de contrôle
CONTRE-VALEURS 7 octobre 2014 Les contre-valeurs représentent ce que l on cherche à fuir. Elles nous motivent négativement en ce sens où elles incarnent des situations que nous évitons ou que nous cherchons
Plus en détailLa location de son entreprise
La location de son entreprise La location-gérance permet à un dirigeant d une entreprise de mettre en location son entreprise. La location-gérance se fait pour un temps défini et permet au bailleur de
Plus en détailChapitre 2 LE CAS PRATIQUE
Chapitre 2 LE CAS PRATIQUE Demande de conseil. Le cas pratique est un exercice juridique qui, à l instar d une personne se trouvant en situation de litige avec autrui, demande conseil. C est un exercice
Plus en détailATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE
ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE Présidence : Martine Behar-Touchais, professeur à l Université Paris Descartes (Paris V) Les clauses abusives à l épreuve de la
Plus en détailCHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM
CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM SOMMAIRE I. OBJET DE LA CHARTE ETHIQUE GROUPE... 1 II. DROITS FONDAMENTAUX... 1 1. Respect des conventions internationales... 1 2. Discrimination et harcèlement...
Plus en détailDROIT D AUTEUR & BASES DE DONNÉES
DROIT D AUTEUR & BASES DE DONNÉES Un mémento incontournable pour tous les utilisateurs du web soucieux de protéger leurs bases de données Le droit français accorde aux bases de données un système original
Plus en détailDispositions relatives aux services bancaires en ligne valables dès le 1er janvier 2013
1. Objet et champ d application 1.1 Les dispositions suivantes règlent les services bancaires en ligne de la bank zweiplus sa (ci-après «services bancaires en ligne»). 1.2 Elles s appliquent au client
Plus en détailComment Dieu s adresse-t-il à moi?
Leçon 6 Comment Dieu s adresse-t-il à moi?... A vrai dire, je ne L ai jamais entendu. «Partez, partez, sortez de là! Ne touchez à rien d impur!» La voix se fait insistante ; elle a une note d autorité
Plus en détailConscient de ces enjeux vitaux pour l entreprise, Vae Solis Corporate met tout en œuvre pour agir en conformité avec les plus hautes normes éthiques.
Charte éthique et anti-corruption 1. Préface d Arnaud Dupui-Castérès, président et fondateur de Vae Solis Corporate «L'intégrité est une condition essentielle dans la conduite des affaires et soutient
Plus en détailPour un principe matérialiste fort. Jean-Paul Baquiast
Pour un principe matérialiste fort Jean-Paul Baquiast Plan détaillé :. Pour un matérialisme fort Le retour en force du dogmatisme religieux Nécessité d un renouvellement du matérialisme Que sont les nouvelles
Plus en détail