ONUCI RETRANSCRIPTION DU POINT DE PRESSE HEBDOMADAIRE DE L ONUCI. (Abidjan, 2 mars 2006)
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- Françoise Grondin
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1 NATIONS UNIES Opérations des Nations Unies en Côte d Ivoire UNITED NATIONS United Nations Operations In Côte d Ivoire ONUCI RETRANSCRIPTION DU POINT DE PRESSE HEBDOMADAIRE DE L ONUCI (Abidjan, 2 mars 2006) Hamadoun Toure: Mesdames, Messieurs bonjour. Bienvenue a cette conférence de presse hebdomadaire. Vous vous rappelez qu il y a a peu pres 15 jours, le 16 février exactement, monsieur Monteiro était avec nous, il est encore la aujourd hui. Je voudrais le remercier pour sa disponibilité.chaque fois que nous faisons appel a lui, il est la, s il est en Côte d Ivoire. Je voudrais lui donner rapidement la parole pour s adresser a vous et prendre vos questions. Monsieur Monteiro Antonio Monteiro : Merci Hamadoun, merci a tous d etre la! Je dois vous dire qu aujourd hui, j ai beaucoup hésité avant d accepter l invitation de venir vous parler a cette conférence de presse. Mais, je n ai pas pu résister au charme de Margherita Amodeo, ni a la pression d Hamadoun Touré. C est tres difficile, les deux ensemble sont tres convaincants. Aussi, je me suis interrogé, pour quoi ne pas venir meme si je n avais pas de nouveauté a vous annoncer comme le 16 dernier. Mais pour quoi ne pas venir et pour une fois saluer un événement positif. C est ce que je veux faire. Saluer la rencontre de Yamoussoukro. Saluer le fait que les signataires de Pretoria, finalement, aient entamé un dialogue en sol ivoirien, et c est vraiment un grand événement, cela
2 signifie l appropriation du processus de paix par les acteurs ivoiriens. Et je crois que pour cet évenement positif. L ONUCI a déja sorti un communiqué dans ce sens; mais je voudrais souligner combien je considere cet évenement important et combien je considere aussi qu il est un exemple qui vient du haut pour donner a toutes les couches de la population ivoirienne, l espoir! L espoir d un dialogue qui menera ce pays a une vraie paix. Je suis a votre disposition pour répondre a vos questions H T: Merci monsieur Monteiro. Nous allons commencer la série de question-réponse. Je voudrais donner la parole a Marc. Je vous prie de vous identifier en donnant votre nom et le nom de l organe pour lequel vous etes la. Merci Marc Yevou (Fraternité Matin): Monsieur Monteiro, vous etes le HRE.Vous avez été affecté ici en Cote d ivoire pour cette mission la et il s est posé en votre connaissance, vous connaissez bien le dossier, la question de la CEI, jusqu a ce que le week-end dernier, les différents leaders se retrouvent a Yamoussoukro pour trouver une solution. Ma question aujourd hui est de savoir, vous, en tant que responsable, Haut Représentant pour les Elections en Côte d ivoire, dans cette période de crise, est ce que vous n avez pas le sentiment d avoir raté votre mission au point de ne pas pouvoir résoudre le probleme de la Commission Electorale Independante (CEI) jusqu a ce que l on arrive a trouver une solution a Yamoussokro.En clair, dans quel état d esprit vous retrouvez-vous apres la réunion de Yamoussoukro? A M : Je dois vous dire que je me retrouve dans un état d esprit tres positif comme je viens de le dire. Et pour répondre concretement a votre
3 question, je n ai pas du tout le sentiment d avoir raté ma mission en Côte d Ivoire! Au contraire, je crois que j ai réussi l objectif qui était le mien des le départ. Vous vous référez a la conférence de presse du 16 février. C était une autre chose. C était le moments de constater que nous aurions pu faire mieux! Moi-meme, en certains moments, j ai voulu accélérer un peu les choses. Mais finalement, j ai toujours dit et j ai souligné qu il n y a pas de solutions imposées, qu il y a surtout dans le cas de la Côte d ivoire, une détermination claire : l organisation des élections appartient a la Côte d ivoire, elle n appartient pas a la communauté internationale. Mon mandat comme HRE, est un mandat d arbitre, de «certifieur». Ce n est pas pour me substituer aux ivoiriens. Et quand vous dites, et parfois je veux vous répondre parce que votre question implique ça dans la presse en disant ah voila la décision du 16 février n était pas une décision. Au contraire, elle était une décision et j ai aussi constate que j avait échoué, et c est cela le mot que j avais employé, en définissant la tentative de mettre tout le monde d accord, mais apres, j ai pris mes responsabilités. La premiere, c était un arbitrage, c était une décision, c était la validation d une élection, et la deuxieme, c était une recommandation précisément dans le sens de dire que les acteurs ivoiriens, le Premier ministre et le chef de l état en premier lieu, devaient se mettre d accord pour montrer qu ils sont capables d organiser les élections. Et voila pourquoi, ma réponse, je suis content, je suis tres satisfait parce qu ils ont montré que les Ivoiriens sont bien capables d organiser les élections dans ce pays. Kristian Kara( Le Patriote) : M Monteiro, le bureau de monsieur Mambé a été validé. Concretement aujourd hui, peut on savoir combien de postes il reste a pourvoir au sein de son bureau. Et
4 deuxiemement, avec la création d un quatrieme vice-président, et sachant que les postes au sein du bureau sont des postes électifs, comment est ce que tout cela va se passer? Parce qu il n est pas dit clairement a quelle partie revient ce poste. Concretement, comment tout cela va se passer? A Monteiro : Laissez moi d abord attirer votre attention pour dire une chose. Tout le monde ici en Côte d Ivoire a une tendance a personnaliser les choses. Le bureau n est pas le bureau de monsieur Mambé. M.Mambé est le président du bureau d une commission centrale. C est cela, je vous rappelle, que j ai validé, pas monsieur Mambé. La commission centrale de la CEI appartient au peuple ivoirien et n appartient pas a un tel ou a un autre. Répondant a votre question, en effet, ce qui c est passé a Yamoussoukro, c est la validation de mon arbitrage de l élection, qui est confirme d ailleurs par le groupe de médiation et puis par le GTI et le Conseil de Sécurité des Nations Unies. Ce qui montre qu il y a une unanimité au niveau international. Je répete, de l Afrique du Sud aux Etats-unis, de la Chine a l Angleterre, de la France a l Union Africaine, tout le monde a endossé mon arbitrage. Donc il n y a pas les uns d un cote et les autres de l autre. Tout le monde a fait l unanimité. Ce que les leaders, les signataires de Pretoria ont fait a Yamoussoukro c est en conformité avec les accords qu ils ont signés. Deuxiemement, ils ont fait le compromis politique que, moi meme j aurais voulu avoir faire quand j ai consulté et négocié avec les partis politiques. Alors ce qu ils n ont pas fait a ce moment, et je soupçonnais parce que c était du au fait qu ils ne parlaient pas entre eux ils l ont fait quand ils se sont retrouvés autour d une table. Je l avais recommandé dans ma décision, parce que j étais presque sur apres avoir parlé avec tout le monde, qu ils allaient
5 comprendre qu ils fallaient aller aux élections d une façon positive et avec des regles. Pour répondre a votre autre question. Le Premier ministre a déja annoncé qu il y aura maintenant une réunion avec touts les partis signataires de Linas-Marcoussis, toutes les parties représentes a la commission centrale. Je serai a cette réunion moi aussi! Il y a cette question que, vous aviez posée. Concretement, on va répondre a votre question apres cette réunion, parce que, la réunion aura lieu précisément pour appliquer les décisions prises a Yamoussoukro. Mais c est évident qu il va y avoir un compromis politique déja, parce qu ils ont arreté déja et c est public, on a la création d une 4e vice présidence, cela va dans le sens, et le communique est tres clair, de l équilibre de la commission. C est une question que j ai toujours défendues, l équilibre dans la commission. Il faut respecter Pretoria, il faut respecter ce que on a signé, il faut respecter l accord. Mais apres, en l appliquant et dans le respect de l accord, on peut faire les arrangements nécessaires pour qu on arrive a travailler d une façon indépendante, d une façon impartiale, d une façon neutre. Cette commission centrale de la CEI n est pas la pour plaire a un parti ou a un autre. Elle est la pour conduire le pays a des élections libres, transparentes et ouvertes a tous. Cela veut dire que les gens doivent avoir l assurance, tout le monde, tous les partis politiques de ce pays, toutes les Ivoiriennes et Ivoiriens, que les opérations électorales ne seront pas manipulées par quelqu un, mais qu elles sont réalisées dans l intéret d élections libres. Le Haut Représentant a un mandat La résolution 1603 lui donne un rôle de supervision, de certification et d arbitrage. Ce n est pas Pretoria, c est la résolution 1603 prise sous chapitre 7 que le fait. Le HRE est la pour garantir que l impartialité, la neutralité de l action de la commission
6 centrale est assurée. Personne ne va pouvoir manipuler cette commission parce que si on le fait, la communauté internationale ne sanctionnera pas les décisions prises. Mais ce n est pas la communauté internationale, ce n est pas le HRE, ce n est pas l ONUCI qui vont faire le travail. Le l organisation de élections incombe aux Ivoiriens. Et toutes les opérations sont liées. Que ça soit le désarmement, que ça soit l identification, que ça soit le redéploiement de l administration, elles sont des opérations nécessaires et essentielles, pour qu on arrive a des élections libres. K Maras (Nord sud Quotidien) : Je voudrais savoir est ce que le départ du HRE est toujours d actualité? A M : Ah mon départ! Oui je vais partir parce que j ai fini la partie de mon mandat. C est une décision qui avait été prise depuis longtemps. J étais venu pour un temps déterminé. J ai meme élargi un peu, disons j ai prolongé mon travail, parce que j ai toujours cru et je continue a croire que les élections sont possibles en Côte d ivoire et qu il faut aider les Ivoiriens a faire ce qu ils sont entrain de faire, a s entendre euxmemes. On va y arriver! Je vais partir, je ne sais pas encore la date exacte, mais je vais partir d ici pour d autres fonctions qui m ont été confiées par mon gouvernement. Déless Goué (Le Front) : Vous venez de répondre brievement a ma question, mais je voudrais revenir la dessus. A propos de l organisation des élections, est ce que, apres la validation de la CEI, croyez-vous a l organisation pratique des élections. Vous avez été envoyé pour une mission, vous valider la CEI et vous vous en allé. Est-ce que vous croyez en l organisation pratique de ces élections?
7 A M : Oui, la réponse est tout a fait positive. Le premier pas, le premier pilier, c est créer les structures pour l organisation des élections Cette structure est la CEI. Parce que selon la loi la CEI est le seul organe responsable pour l organisation des élections. Voila le premier acte. Apres, il y a toute une série d opérations qui sont nécessaires pour arriver au bout, qui sont les élections. Le bureau du HRE, va continuer! Je pars mais je vais etre remplacé. C est la personne qui part, mais l institution continue. Il y aura un remplaçant qui sera désigné par le Secrétaire Général des Nations Unies et par le Conseil de Sécurité apres mon départ. Cela montre que nous croyons aux élections. A Yamoussoukro d ailleurs il y pas été réaffirme que les élections sont le moyen de la sortie de la crise. Pour moi c est évident. Vous les gens de la presse, vous écrivaient dans les journaux, «le peuple dit», «le peuple demande» le peuple, non! Pour connaître sa volonté, il faut aller aux élections. Il faut que le peuple dit ce qui il veut! Qu il décide! C est pas nous qui décidons! Ce n est pas moi qui parle au nom du peuple. Je n ai pas été élu, ni les journaux, ni les commentateurs. C est le peuple qui doit décider. Alors, il faut aller aux élections pour donner aux ivoiriennes et aux ivoiriens le droit de choisir ce qu ils veulent, par qui veulent ils etre gouvernés comme dans n importe quel pays normal au monde. Ange Aboua (Reuters) : Ce que j aimerais savoir, c est de façon pratique et concrete, comment vont se dérouler les opérations d identification dans les zones rebelles ou, pratiquement il n existe plus d état civil. Je pense qu il va etre fastidieux de reconstruire tout ce qui a été détruit. J aimerais savoir comment la CEI compte s y prendre pour recenser toutes les populations dans ces zones la et faire la part des choses entre les populations autochtones et
8 allogenes. Et aussi, ce que j aimerais savoir, c est de façon pratique et concrete, combien de temps peuvent durer ces opérations d identification, de redéploiement de l administration pour que l on puisse avoir des élections a temps en octobre prochain, parce que jusqu ici, il y a beaucoup de beaux discours, on est pret a aller aux élections, cela va se faire, mais rien sur le terrain A. M : Vous avez posé une question qui est tres pertinente. L identification est au cour du processus électorale et de la crise. L identification électorale est absolument nécessaire pour qu on arrive a des listes électorales acceptables pour tout le monde. Si on veut arriver a des élections ouvertes a tous comme dit la résolution du Conseil de sécurité, il faut s assurer que tout le monde a l opportunité, le droit et meme le devoir de son pays, de s inscrire sur les listes électorales. Et pour s inscrire, il faut que les gens soient identifié électoralement et cela doit se faire de la meme façon que ce soit a Assinie ou a Korhogo. La Côte d Ivoire est un Etat unitaire, c est l administration de l Etat qui doit etre partout. Les cartes d identités électorales sont données par les agents de l Etat accrédités par une telle mission. Il faut l uniformité, il faut le redéploiement de l administration sur tout le territoire parce que les opérations vont se faire partout de la meme façon. Sinon on ne certifiera pas les listes dans les différents endroits. Il y a un deuxieme probleme qui a été abordé a Yamoussoukro et que je défends. Techniquement, il est possible de faire en meme temps l identification électorale et profiter des memes machines pour donner des documents d identité a des gens qui n en ont pas. Techniquement il est possible de le faire et on va le faire et je pense que c est une décision sage qui a été prise a Yamoussoukro.
9 Vous posez la question du temps. Le minimum qu on a calculé pour cette opération est de 6 mois. Pour cela comme j ai déja mentionné dans mon communiqué du 16 février, il faut aller vite. Il fallait déja commencer début mars. On est a 8 mois des élections, on a du temps, mais si on perds du temps, on risque de ne pas respecter l échéance du 30 octobre. Le plus important pour moi c est le fonctionnement de la CEI. Tout de suite, presque de maniere simultanée, il faut commencer les autres opérations nécessaires et que vous avez mentionnées. Pour l identification il nous faut le redéploiement de l administration, en meme temps il faut la sécurité partout le territoire. Sécurité signifie désarmement pour qu on ait le contrôle des armes. Tout cela est lié et j espere qu on commencera maintenant. Il n y a aucune justification pour que toutes opérations ne commencent pas tout de suite, des lors que tous les leaders a Yamoussoukro sont convenus d aller de l avant. Une autre chose qui m a plu a Yamoussoukro, c est que s il y aura des difficultés les leaders pourront se réunir de nouveau entre eux pour éviter les blocages et cela est tres intéressant. Question : Excusez -moi M. le Haut Représentant de revenir sur la CEI, vous avez raison, la CEI est la pierre angulaire du processus électoral en Côte d Ivoire, et on a vu qu il y a eu un rebondissement en ce qui concerne la CEI, mais qui est tres favorable puisque les 5 grands leaders ont endossé des partis politique votre arbitrage. Mais il y a énormément d interrogations. Et vous aviez dit a juste titre qu il faut attendre aussi que le Premier ministre rencontre les différents protagonistes pour suffisamment baliser le terrain. Mais il y a des préalables et c est en cela que je voudrais poser ma question. Est-ce que le vice-président est un poste nouveau, on sait
10 qu il y a eu des accords internationaux, Pretoria etc. Mais quand il y a une situation de blocage, il faut multiplier les solutions. D ou le recours a un vice-président. Est-ce que ce vice-président va faire partie des 31 commissaires que l on sait ou est ce que ce sera une tierce personne de la société civile ou quelqu un d autre pour régler le compromis? Est-ce qu alors c est un décret qui va etre pris, dans ce cas par qui? Le chef du gouvernement ou le président de la république? A.M : Vous avez posé deux questions. Pretoria définit la composition du bureau en disant qu il y a douze membres dont dix seront les représentants des partis politiques. Et les deux autres sont le représentant du Président de la République et le représentant du Président de l Assemblée National. On a pratiquement le bureau défini. On sait qui est le représentant du Président de la République, celui de l Assemblée Nationale et sept des dix représentants des partis politiques. Pretoria ne dit pas combien de vice presidents, combien de ceci ou de cela... Cela est en effet contenu dans le décret du président de la république du 15 juillet. Quand on arrivera a faire la composition finale il faudra adapter la commission centrale aux nouvelles conditions. Dans mon communiqué du 16 février, il est clairement dit qu il faut s adapter a l objectif précis qui est de mener le pays aux élections a la fin du mois d octobre. A la réunion a laquelle participera le Premier ministre, les partis politiques, la Commission Centrale et moi-meme pour définir le bureau et le nouveau reglement intérieur. Cette commission est transitoire, elle finit apres les élections. Apres, vous retournerez a la vie normale, a une commission électorale désignés pour 6 ans ou 5. Je pense que le quatrieme vice-président sera un des 31 commissaires. On
11 ne va pas changer. En revanche ce qui peut changer c est qu un des commissaires doivent etre remplace, car il est maintenant un Ministre. Mais cela est une question du gouvernement, pas du haut représentant. Mais je crois et je suis sur que le quatrieme vice-président va sortir des 31 commissaires qui ont preté serment. Deless Goue (Le front): monsieur Monteiro, il y a un autre probleme, le ministere de la sécurité et celui de l administration territoriale avaient chacun un représentant. Aujourd hui, ces deux ministeres ont été regroupés. Est-ce a dire que les deux représentants continueront de siéger ou alors, y aura t il un seul représentant pour les deux ministeres. A M: C est une bonne question mais elle est pour le gouvernement. En effet dans la commission qui a preté serment, il y a les représentants des deux ministeres: le ministere de l administration territoriale et le ministere de la sécurité. Chacun avait son représentant. Maintenant ces deux ministeres sont regroupés dans un seul ministere qui est celui de l intérieur. Mais le ministere de l intérieur a les deux activités séparées. Alors c est au gouvernement de prendre la décision de maintenir les commissaires pour garder le nombre qui a été défini ou de le changer. Mais la décision doit etre prise dans les prochains jours, car tout cela doit se faire rapidement. Ibrahim Diakite (ONUCI FM): Vous aviez parlé d identification et je crois qu a ce sujet tout est clair. L identification a son chronogramme, le recensement des électeurs aussi a son chronogramme. On n a pas bien compris la relation entre les deux. Est-ce que cela ne va pas amener a agir un peu sur les délais?
12 A.M: Non, je ne le crois pas. Pour l identification, il nous faut deux choses. Les moyens humains et les moyens financiers. Heureusement que les moyens financiers sont plus ou moins assurés. Quant aux moyens humains, la Côte d Ivoire en est capable, c est heureusement un pays avec des ressources humaines remarquables. Il y a un probleme qui a été abordé a la réunion de Yamoussoukro et qui a mon avis est tres important : les audiences foraines. Il y a tant de personnes dans ce pays sans papiers qu il va falloir donner la possibilités a tout le monde de se presenter aux audiences foraines pour les obtenir. On a bien remarqué déja dans les opérations qui ont commencé dans certaines parties du pays, que tres peu de monde se présentait parce que les gens ne veulent pas payer 7 000, ou FCFA pour un papier dont ils ne savent meme pas s il est important. Ils ne savent pas s il y aura des élections, si le document est valable ou non, les gens se méfient. En plus, c était une somme d argent tres importante. Parce que je crois qu a Yamoussoukro les leaders ont pris la décision qu il fallait prendre, de le faire devenir un acte gratuit. Mais il faudra trouver du financement international. Cela correspond a une chute importante des recettes de l Etat, de quelques millions et il va falloir que la communauté internationale intervienne. On va se battre pour cela et je suis sur qu on trouvera les moyens nécessaires. Apres ils iront aux inscriptions électorales et la meme machine peut techniquement. Donner la carte électorale et donner la carte d identité. Comme vous le savez, c est le gouvernement qui doit définir ces documents. Le gouvernement antérieur ne l a pas fait meme s il avait tout préparé, moi j avais. Mais c est le gouvernement de Charles Konan Banny qui va définir toutes ces matieres avec la CEI, en tout cas, la partie dont la CEI est responsable
13 H. T: Merci infiniment M. Monteiro de votre disponibilité, nous allons vous libérer et prendre des questions militaires. Je voudrais juste vous dire que M. Schori est en ce moment a New York pour assister a des reunions sur la Côte d ivoire, comme je vous l avais annoncé la semaine derniere. Mon Colonel, il y a des questions pour vous. Deless goue (Le Front): Colonel El Khadir, l actualité sur le terrain, c est l affaire de Boueneu, a l Ouest du pays a Zouan-Houhin. Hier, sur ONUCI FM, j ai écouté le gouverneur militaire de l ouest, le Colonel Guie Globo qui contestait le fait que Bouene ne soit pas dans la zone de confiance, et que Boueune est dans la zone gouvernementale. Il s est étonné du fait que Licorne faisait régulierement des incursions a Boueune. Vous etes bien placé pour nous situer le cas de Boueune. Colonel Omar El Khadir: Mesdames et messieurs bonjour. Merci pour la question. Je tiens a vous dire une chose. Les forces impartiales que ce soit l ONUCI ou Licorne sont avant tout des forces impartiales, ceci dit, les deux forces ont le droit d etre sur tout le territoire ivoirien. Aussi bien en zone gouvernementale qu en zone Nord. Vous parlez d incursion de la force Licorne, je ne pense pas que cela soit vrai. Nous regrettons ce qui s est passé dans l Ouest. Nous sommes a un moment tres important, un moment crucial. Il y a eu une avancée tres importante suite a la réunion de Yamoussoukro et je crois que tous, nous devons assister le gouvernement de réconciliation nationale dans ses avancées et aller de l avant. Il est temps d oublier les querelles, les confrontations, c est plus important pour l intéret supreme. Merci H. T: Mesdames et messieurs, merci. Merci encore une fois monsieur Monteiro et a jeudi prochain.
14 Pour toute information supplémentaire, priere de contacter: Hamadoun Touré, Porte-parole, Tél. : ; Portable : ; Fax : hamadoun@un.org Margherita Amodeo, Directrice de l Information, Tél. : ; Portable : amodeo@un.org -
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