Dégradation thermo-mécanique à 750 C : cas de la résistance au feu de matériaux composites sandwichs à âme combustible
|
|
- Monique Lemieux
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dégradation thermo-mécanique à 750 C : cas de la résistance au feu de matériaux composites sandwichs à âme combustible Vincent Legrand, G. Rizk, K. Khalil, P. Casari, F. Jacquemin Institut de Recherche en Génie Civil et Mécanique (GeM) Équipe État Mécanique et Microstructure des Matériaux (E3M) Vincent.legrand@univ-nantes.fr
2 Dégradation thermo-mécanique à 750 C : cas de la résistance au feu de matériaux composites sandwichs à âme combustible Mr Georgio RIZK (doctorant, Université de Nantes Université Libanaise) Pr Khaled KHALIL (Laboratoire MMC, Université Libanaise) Pr Pascal CASARI (GeM, Université de Nantes) Pr Frédéric JACQUEMIN (GeM, Université de Nantes) Dr Vincent LEGRAND (GeM, Université de Nantes)
3 Dégradation thermo-mécanique à 750 C : cas de la résistance au feu de matériaux composites sandwichs à âme combustible Sommaire Contexte de l él étude Mesures expérimentales de tenue au feu Modélisation de la dégradation d haute température Conclusions et perspectives
4 1. Contexte de l étude
5 Les matériaux composites Industrie éolienne Pâle d éolienne en composites sandwich (source : Siemens) Industrie automobile Habitacle de la BMW-i3 en composite (source : BMW) Industries navale et aéronautique Structure d aile d A350 XWB en composite à fibres de carbone (Source: Airbus) Inconvénients Vieillissement hygroscopique Tenue à la chaleur modérée Résistance mécanique modérée Tenue au feu + Durabilité hygro-mécanique 1
6 Les matériaux composites : tenue au feu Effets de la température sur la dégradation d d un d composite Processus : Thermique Physique Chimique Mécanique Essais de tenue au feu normalisé à 50 kw.m -2 (~ 750 C) 2
7 Les matériaux composites : tenue au feu Modèle thermique [Florio et et al., 1991] Flux de gaz Conduction thermique Transfert d énergie thermique par convection dû aux gaz volatiles Expansion thermique Décomposition de la matrice - Cinétique de pyrolyse (perte de masse) - Combustion du charbon - Production de gaz - Variation de pression - Influence du taux d oxygène - Flux de gaz - Porosité - Perméabilité - Influence du point de saturation des fibres et de l évaporation de l eau (eau libre et eau de liaison) en fonction de la température - Conduction - Convection - Rayonnement - Expansion thermique - Contraintes de compression et de tension - etc Verrous scientifiques Interdépendance des processus de dégradation thermique physique - chimique Variation des paramètres en fonction des paramètres temps température 3
8 Objectifs de l étude Évaluer la résistance au feu de matériaux composites sandwichs Identifier et quantifier les phénomènes physiques mis en jeu Mesures expérimentales Modélisation / Simulation Propriétés hygroscopiques Propriétés thermiques Propriétés thermo-mécaniques Matériau composite stratifié Matériau composite sandwich Validation du modèle thermique Confrontation expérience - modèle Mesurer Modéliser Prédire Optimiser 4
9 2. Mesures expérimentales de tenue au feu
10 Matériau sandwich à âme combustible Balsa / verre - polyester Balsa / carbone - polyester Durabilité thermo-mécanique in situ Mousse PMI / verre - polyester 5 Matériaux utilisés dans de nombreux secteurs (éolien, naval, aéronautique, automobile ) Essais sur des échantillons de dimensions réduites (150 x 150 mm²) mais les propriétés et les temps caractéristiques de durabilité thermo-mécanique sont représentatifs de structures entières
11 Matériau sandwich à âme combustible Évaluer la résistance au feu de matériaux composites sandwichs Identifier et quantifier les phénomènes physiques mis en jeu Reprise en eau ATG DSC MEB Micro-tomographie Tenue au feu Durabilité thermo-mécanique post-combustion et in situ DMA 6
12 Matériau sandwich à âme combustible 2 cm Âme en matériau naturel balsa 80 cm Peaux en résine polyester renforcée de fibres de verres 80 cm Matériau utilisé dans l industrie navale Impact de l humidité (immersion) Tenue en température (incendie réglementation stricte) Sollicitation mécanique Conditions extrêmes d utilisation 7
13 Propriétés hygroscopiques Propriétés s thermiques Propriétés s mécaniquesm Propriétés hygroscopiques Reprise en eau en immersion à 40ºC 4 ans 1 mois Reprise en eau faible limitée par les peaux Reprise en eau très importante Effet de la taille et du type d échantillon sur la cinétique de reprise en eau Quel est l impact l de l humiditl humidité sur la cinétique de dégradation d thermique? 8 Legrand et al., Comp. Struct. 2015
14 Propriétés s hygroscopiques Propriétés thermiques Propriétés s mécaniquesm Propriétés thermiques : mesures ATG Analyse thermogravimétrique trique : Comprendre l effet de l humidité sur la cinétique de dégradation Déterminer les mécanismes structuraux mis en jeu balsa 9 TranVan et al., Polym. Degrad. Stab Brandt et al., Green Chem. 2013
15 Propriétés s hygroscopiques Propriétés thermiques Propriétés s mécaniquesm Propriétés thermiques : mesures ATG Analyse thermogravimétrique trique : Comprendre l effet de l humidité sur la cinétique de dégradation Déterminer les mécanismes structuraux mis en jeu Cinétique de dégradation dα dt = α = k β m m E a.exp. RT m m f et ( 1 α) n T max E a = 104(2) kj.mol -1 k 0 = 4.1(1) 10 7 s -1 -dα/ α/dt (10 2 K -1 ) 1,2 0,8 0,4 Cellulose (557 K) Hemicellulose (507 K) Balsa sec R² = 0,991 Lignin (644 K) n = 1.13(6) 0, Temperature (K) 10 TranVan et al., Polym. Degrad. Stab. 2014
16 Propriétés s hygroscopiques Propriétés thermiques Propriétés s mécaniquesm Propriétés thermiques : mesures ATG Analyse thermogravimétrique trique : Comprendre l effet de l humidité sur la cinétique de dégradation Déterminer les mécanismes structuraux mis en jeu Cinétique de dégradation dα dt = α = k β m m E a.exp. RT m m Production de gaz f et ( 1 α) n T max Balsa + h 0.183CO CO CH +.005H H O goudron + CH + 3 COOH Hemicellulose h acide acétique +ξ CH Cellulose + h + acide acétique 3 COOH H 2O +ξ 4 charbon -dα/ α/dt (10 2 K -1 ) 1,2 0,8 0,4 Cellulose (557 K) Hemicellulose (507 K) Balsa sec R² = 0,991 Lignin (644 K) 0, Temperature (K) 11 ξ produits de décomposition TranVan et al., Polym. Degrad. Stab. 2014
17 Propriétés s hygroscopiques Propriétés thermiques Propriétés s mécaniquesm Propriétés thermiques : mesures ATG Analyse thermogravimétrique trique : Comprendre l effet de l humidité sur la cinétique de dégradation Déterminer les mécanismes structuraux mis en jeu Cinétique de dégradation dα dt = α = k β m m E a.exp. RT m m f et ( 1 α) n T max Hémicellulose fort caractère hydrophile 700% Renforcement de la structure Production de gaz Balsa + h 0.183CO CO CH +.005H H O goudron + CH Cellulose + h + acide acétique 3 COOH H 2O +ξ 4 charbon CH + 3 COOH Hemicellulose h acide acétique +ξ Dégradation des chaînes retardée Retard à la dégradation de la cellulose 12 ξ produits de décomposition TranVan et al., Polym. Degrad. Stab. 2014
18 Propriétés s hygroscopiques Propriétés thermiques Propriétés s mécaniquesm Propriétés thermiques : mesures ATG ΔT = 41 K Energie d activation E a = 104(2) kj.mol -1 (balsa sec) E a = 130(3) kj.mol -1 (balsa humide) Dégradation retardée due au renforcement des chaînes de polymères Forte influence de l hydratation du matériau sur la cinétique de dégradation thermique Quel est l impact l de l humiditl humidité sur la cinétique de dégradation thermique? Essais de tenue au feu 13 TranVan et al., Polym. Degrad. Stab. 2014
19 Propriétés s hygroscopiques Propriétés thermiques Propriétés s mécaniquesm Propriétés thermiques : mesures cône calorimètre Tenue au feu : analyse de la dégradation d thermique Comprendre l effet de l humidité sur les propriétés thermo-mécaniques Cône radiatif Porte échantillon balance Essais de tenue au feu au cône calorimètre effectués à 750ºC (= 50 kw.m -2 ) 14
20 Propriétés s hygroscopiques Propriétés thermiques Propriétés s mécaniquesm Propriétés thermiques : mesures cône calorimètre Tenue au feu : analyse de la dégradation d thermique Mesure de la perte de masse en fonction des constituants du matériau Mesure du temps de combustion 100 Composite sandwich sec Fraction massique (%) Temps de combustion (s) 13 min Perte de masse continue avec une dégradation thermique très rapide (~ 300 s) La peau supérieure est pyrolysée en < 60 s 15
21 Propriétés s hygroscopiques Propriétés s thermiques Propriétés mécaniques Propriétés mécaniques post-combustion Durabilité hygro-mécanique post-combustion : mesures par flexion 3 points Comportement du matériau vieilli lors d une sollicitation mécanique Composite sandwich sec Composite sandwich humide Mettre en évidence l effet du temps de combustion sur les propriétés mécaniques résiduelles du matériau composite sandwich Mettre en évidence l effet de la teneur en eau sur la résistance du matériau composite sandwich 16
22 Propriétés s hygroscopiques Propriétés s thermiques Propriétés mécaniques Propriétés thermo-mécaniques in situ Développement d un d dispositif d essai d mécanique m compatible avec les essais de tenue au feu au cône calorimètre Effet d un couplage thermo-mécanique in situ : temps de combustion, flambage du matériau, validation de la tenue mécanique d un matériau à haute température Mesures in situ à 750 C Simulations numériques (T = 750 C ; t = 30 s) Sandwich Peau du sandwich Validation du modèle thermique : nécessité d une confrontation expérience - modèle 17 Mesurer Modéliser Prédire Optimiser
23 3. Modélisation du comportement thermique
24 Simulation numérique du comportement thermique Tenue au feu du matériau composite sandwich à 50 kw.m -2 Peau seule : variation rapide et brutale de la température dégradation instantanée ~ 100s (temps caractéristique : perte de masse et chute du module d Young) limites du modèle : influence de phénomènes physiques non pris en compte (dégagement gazeux, variation de la porosité, de la pression, du taux d O 2 ) 18
25 Simulation numérique du comportement thermique Tenue au feu du matériau composite sandwich à 50 kw.m -2 Matériau sandwich : variation de la température en fonction du temps et de l épaisseur? 19
26 Simulation numérique du comportement thermique Tenue au feu du matériau composite sandwich à 50 kw.m -2 Matériau sandwich : variation de la température en fonction du temps et de l épaisseur 20
27 Conclusions et Perspectives Analyser et modéliser les effets thermiques / physiques / chimiques en lien avec la tenue au feu Mesures expérimentales Simulation Durabilité thermo-mécanique en conditions extrêmes?? Tenue au feu Essais mécaniques post-combustion et in situ Simulations numériques Perspectives Mieux appréhender le couplage entre les paramètres dans la modélisation Limites du modèle paramètres non pris en compte (dégagement de gaz, porosité, pression ) Développement de mesures / modélisations thermo-mécaniques in situ Remerciements Projet FUI : CLIMAT+ Programme Hubert-Curien de coopération France Liban : CEDRE
28 Dégradation thermo-mécanique à 750 C : cas de la résistance au feu de matériaux composites sandwichs à âme combustible Vincent Legrand, G. Rizk, K. Khalil, P. Casari, F. Jacquemin Institut de Recherche en Génie Civil et Mécanique (GeM) Équipe État Mécanique et Microstructure des Matériaux (E3M) Merci de votre attention vincent.legrand@univ-nantes.fr
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailUne conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Economies d'énergies dans les procédés agro-alimentaires : l'optimisation coût/qualité, un équilibre pas si facile à maîtriser Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailNormes au feu des applications électrotechniques et électroniques :
Normes au feu des applications électrotechniques et électroniques : Conséquences sur les mécanismes d ignifugation retenus Innov Days : Les plastiques ignifugés 7 Novembre 2013, Lyon Jean-Marie MALDJIAN
Plus en détailTous les produits de la gamme SAF offrent des résistances :
Fiche Technique Strengths Are Flex La gamme SAF est basée sur une technologie et des polymères méthacrylates brevetés. Ces adhésifs de nouvelle génération permettent d adhérer sur de nombreux supports
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailDéfi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK
Des traitements thermiques de matériaux lithiques du paléolithique destinés à faciliter leur taille, aux prétraitements adaptés à leur usage en stockage thermique haute température. Contexte «Stockage»
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailwww.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances?
www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? 1 Contexte L effet de serre un phénomène naturel Contexte Le changement climatique en chiffres 2 Contexte Contexte Le climat en 2100
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailSIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE
SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation
Plus en détailN09 Viaduc de Chillon
Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI
Plus en détailVade-mecum Règles Pratiques
Vade-mecum Règles Pratiques En matière de sécurité incendie conformément à la réglementation belge Arrêté royal (normes de base 994-997 - 2003-2007 - 2009) Et nouvelles annexes, 2, 3, 4 et 6 approuvées
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailPrévenir les risques industriels grâce à l'émission acoustique...
Contrôle non destructif par émission acoustique appliqué au domaine des matériaux et des structures Prévenir les risques industriels grâce à l'émission acoustique... Anticiper et détecter les défauts de
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailLa prévention des intoxications dans les silos à fourrage
La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration
Plus en détailPROTECTION DEs MAINs ET DEs BRAs INfORMATIONs TEChNIquEs
Les accidents qui touchent les mains sont la première cause d accidents avec arrêt de tra- tuer tous les gestes de notre quotidien et sont également un outil essentiel dans notre travail. Préservons-les,
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailConseils en Ingénierie mécanique
Conseils en Ingénierie mécanique contact@solsi-cad.fr +33 (0)3 87 60 34 49 CONCEVOIR OPTIMISER Metz INNOVER VALIDER Historique 1985 1992 1996 2003 2013 2014 Solsi : Calculs des Structures - FEA Création
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailProjet ANR. Bruno Capra - OXAND. 04/06/2015 CEOS.fr - Journée de restitution (Paris) B. CAPRA
Projet ANR Bruno Capra - OXAND MEFISTO : Maîtrise durable de la fissuration des infrastructures en bétons Contexte Problématique des Maîtres d Ouvrages Evaluation et prédiction de la performance des ouvrages
Plus en détailLES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.
les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans
Plus en détailPage : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol :
Page : 1 de 6 Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Référence article 058.01.250: VX18 Référence article 058.01.251: VX20 Référence article 058.01.252: VX30 Chaudière spéciale à gazéification
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailPROPRIÉTÉS TECHNIQUES DU SYSTÈME NEOWEB
TECHNIQUES DU SYSTÈME NEOWEB Propriétés techniques Neoweb V 2.5 SYSTÈME DE CONFINEMENT CELLULAIRE 3D CLASSIFICATION POLYMÈRE TYPE Neoloy Technologie de pointe nano-composite MÉCANIQUES DU SYSTÈME Module
Plus en détailSophie Guézo Alexandra Junay
Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences
Plus en détailEtude de l influence d une agression thermique sur les propriétés mécaniques résiduelles de matériaux composites
Etude de l influence d une agression thermique sur les propriétés mécaniques résiduelles de matériaux composites M. Ropital, T. Rogaume, D. Halm Institut Pprime, UPR 3346 CNRS, ISAE-ENSMA, Université de
Plus en détailL opération étudiée : le SDEF
L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailDalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton
Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Basé sur l expérience, piloté par l innovation L activation du noyau de béton : un système bien conçu, économe et durable. Construire selon ce principe,
Plus en détailRt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats
6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.
Plus en détailMOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN
MOTO ELECTRIQUE MISE EN SITUATION La moto électrique STRADA EVO 1 est fabriquée par une société SUISSE, située à LUGANO. Moyen de transport alternatif, peut-être la solution pour concilier contraintes
Plus en détailMesure des caractéristiques des combustibles bois
Mesure des caractéristiques des combustibles bois ADEME Critt Bois Fibois CTBA JUILLET 2001 SOMMAIRE AVANT PROPOS page 4 1 - LA PRISE D ECHANTILLON page 6 1.1 - Division et/ou mélange du prélèvement accompagnée
Plus en détailNOTICE D EMPLOI SLT-TR
Tel.: +33 (0) 972 3537 17 Fax: +33 (0) 972 3537 18 info@pce-france.fr NOTICE D EMPLOI SLT-TR Symbole d avertissement Attention: Ne pas exposer le terminal d entrée à une tension de surcharge ou au courant.
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailpossibilités et limites des logiciels existants
possibilités et limites des logiciels existants Dominique Groleau CERMA, UMR CNRS 1563, Ecole d Architecture de Nantes Journée thématique SFT- IBPSA, Outils de simulation thermo-aéraulique du bâtiment.
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailMODÉLISATION NUMÉRIQUE DANS LE BÂTIMENT
MODÉLISATION NUMÉRIQUE DANS LE BÂTIMENT Perrenoud, Pléiades et Design Builder Francesco Formica Grontmij BEFS SOMMAIRE I. Périmètre II. Entrées : acquisition et temps de mise en œuvre III. Sorties : résultats
Plus en détailARCHIVES DIPLOMATIQUES PRESERVATION ET CONSERVATION
PRESERVATION ET CONSERVATION 1. Anticiper les dégradations Prévenir : tel est le maître-mot qui doit dicter nos actions lorsqu il faut préserver l état matériel d un document et allonger ainsi sa durée
Plus en détailAdhésif structural pour le collage de renforts
Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détail5 Applications. Isolation intérieure des murs de fondation. ISOFOIL est un panneau isolant rigide laminé d un pare-vapeur d aluminium réfléchissant.
FICHE TECHNIQUE 120-1.4 07.21.13.13 1 Nom du produit ISOFOIL 2 Manufacturier ISOFOIL est fabriqué par Groupe Isolofoam, entreprise québécoise et important manufacturier de produits isolants depuis plus
Plus en détailSLIM-Line. efficaces & durables. Solutions pour étiquettes efficaces & durables. Papier Thermo Top SLIM. Papier non couché SLIM. Papier couché SLIM
SLIM-Line efficaces & durables Solutions pour étiquettes efficaces & durables Papier Thermo Top SLIM Papier non couché SLIM Papier couché SLIM Etiquettes effic Solutions pour étiquettes SLIM-Line le nouveau
Plus en détailPROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES
PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES Destinés essentiellement à protéger contre les salissures, les vêtements de travail permettent également de valoriser l image des entreprises (personnalisation
Plus en détailCentre Universitaire LA CITADELLE 220, avenue de l Université B.P 5526 59379 DUNKERQUE CEDEX 1 GUIDE DES ETUDES LICENCE PROFESSIONNELLE
Centre Universitaire LA CITADELLE 220, avenue de l Université B.P 5526 59379 DUNKERQUE CEDEX 1 GUIDE DES ETUDES LICENCE PROFESSIONNELLE Chimie Industrielle (anciennement : Industries chimiques et pharmaceutiques)
Plus en détailSEIRICH : Système d évaluation et d information sur les
SEIRICH : Système d évaluation et d information sur les risques chimiques en milieu professionnel R. Vincent, N.Bertrand, L. Capitaine, F. Clerc, F. Marc, S. Malard, F. Lekhchine, N. Schmitt, N.Toulemonde,
Plus en détailAuscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers
Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade
Plus en détailOn peut être «lourd» et agile!
éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailLE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation:
1 www.cetime.ind.tn LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: met à votre disposition des compétences et des moyens techniques pour vous assister dans vos démarches d innovation et d
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailGRR EEM Réseau Matériaux
GRR EEM Réseau LOMC GPM AMME LECAP SMS PBS ESITPA 100n m CRISMAT CIMAP... CRT A&S UMS = Le Havre + Caen IRMA = Rouen + Caen METSA = Rouen + Caen LABEX = Rouen + Caen 1 Réseau 2013 : 7 Laboratoires et CRT
Plus en détailThermal Value Excellence
Thermal Value Excellence Systèmes de détermination du point de goutte Excellence DP70 DP90 Points de goutte et de ramollissement Simple, normalisé, avec enregistrement vidéo Détermination du point de goutte
Plus en détailGIRAFE ENERGIES RENOUVELABLES MATERIAUX RENOUVELABLES LA SYNERGIE PARFAITE
GIRAFE ENERGIES RENOUVELABLES MATERIAUX RENOUVELABLES LA SYNERGIE PARFAITE Résumé La Girafe est un Carport hybride prêt pour fournir de l électricité à votre véhicule ou à votre maison juste en capturant
Plus en détailMatériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles
Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailRemeha ZentaSOL. La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement
Remeha ZentaSOL La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement ZentaSOL Système de chauffe-eau solaire Remeha ZentaSOL L'énergie solaire est la source de chaleur la plus écologique et
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailLe partenaire de votre innovation technologique
w w w.. s y n e r r v v i a i a. f. r f r Quelques chiffres Création en 2002 Association loi 1901 20 salariés 17 Ingénieurs et techniciens experts dans leurs domaines et présents dans les centres de compétences
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailNormes CE Equipements de Protection Individuelle
E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (CCTP)
Institut National de la Recherche Agronomique Etablissement Public à caractère Scientifique et Technologique Centre INRA de LILLE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (CCTP) Réalisation, Fourniture
Plus en détailLes Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles
Don t let the market leave without you Our know-how makes your success Les Fibres naturelles pour les architectes - La réaction au feu des matériaux à base de fibres naturelles Mardi 27 Mai 2014 - Namur
Plus en détailCOFFRETS EXTINCTEURS. Gamme tertiaire / esthétique. Coffret IRYS : le design au service de la sécurité. Caractéristiques :
Extinction - Extincteurs COFFRETS EXTINCTEURS Dans tous les lieux où l extincteur peut être exposé à des intempéries, soumis à des milieux agressifs ou utilisation abusive, les coffrets et les housses
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailRéseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château
Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr
Plus en détailNOUVEAU PAPIER GRAND FORMAT POUR TRACEURS JET D ENCRE ET PPC
NOUVEAU PAPIER GRAND FORMAT POUR TRACEURS JET D ENCRE ET PPC Blanc, lisse et respectueux de l environnement sans émission de CO 2 Ce nouveau papier 100% recyclé ne génère aucune émission de C0 2 et est
Plus en détailPlan d actions Bilan Carbone. Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions
Plan d actions Bilan Carbone Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions Patrimoine et services communaux Territoire d Uccle 1) Energie 8 2) Déplacements de personnes 5 3) Transport de marchandise
Plus en détailEmmanuel.rousseau@institutoptique.fr
E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr
Plus en détailChapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383
Chapitre Contenu Page 14 383 14 Principes De par ses propriétés particulières, le béton s est installé comme matériau dans tous les domaines de la construction. Partenaire important et fiable, il est
Plus en détailACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS
ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS
Plus en détailLe nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques
Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations
Plus en détailAIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES
Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation
Plus en détailBROSSES ANTISTATIQUES GUIDE TECHNIQUE
BROSSES ANTISTATIQUES GUIDE TECHNIQUE BROSSES ANTISTATIQUES BROSSES ANTISTATIQUES Les brosses de Mersen sont constituées de milliers de fibres carbone Rigilor ou inox, tout particulièrement efficaces pour
Plus en détailMise en Forme des Matériaux Polymères Polymer Processing. Philippe Cassagnau
Mise en Forme des Matériaux Polymères Polymer Processing Philippe Cassagnau Que dit Internet? http://mediamef.utt.fr Mise en forme des polymères: Approche thermomécanique de la plasturgie ANTEC, the plastic
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailProgramme consultant expert (PCE)
Programme consultant expert (PCE) Bénéficiez par le biais du PCE de l expertise d un consultant sénior et/ou d un jeune chercheur expérimenté Ce programme s adresse aux entreprises de la filière chimie
Plus en détailLORS DE L UTILISATION DE LA CHAUSSEE POUR DES MANIFESTATIONS PROVISOIRES À L INTERIEUR DES LOCALITES
RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES LORS DE L UTILISATION DE LA CHAUSSEE POUR DES MANIFESTATIONS PROVISOIRES À L INTERIEUR DES LOCALITES 1. Base Les prescriptions de protection
Plus en détailLes composites thermoplastiques
Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailCerea. Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique
Cerea Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique Laboratoire commun École des Ponts ParisTech / EDF R&D Université Paris-Est Le Cerea : une cinquantaine de chercheurs sur trois
Plus en détailwww.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E
www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates
Plus en détailSoudal Panel System SPS. La force extrême derrière vos panneaux de façade. www.soudal.com SOUDAL PANEL SYSTEM. Soudal Panel System 1 SPS SOUDAL PANEL
www.soudal.com Soudal Panel System La force extrême derrière vos panneaux de façade WINDOW Soudal Panel System 1 Soudal Panel System () Qu est-ce que le? Les panneaux de façade existent dans tous les modèles
Plus en détailCM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation
CM2E 2014 Colloque Martinique Energie Environnement Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation M. Torrijos, Laboratoire de Biotechnologie de l Environnement, INRA-LBE,
Plus en détailFormulaire de déclaration de chantier pour l assurance garantie Euracor-Protect.
Formulaire de déclaration de chantier pour l assurance garantie Euracor-Protect. Après signature par le courtier mandataire de l assureur Euracor Gougnard ce forlulaire à valeur d accord provisoire de
Plus en détailSuivi d une réaction lente par chromatographie
TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence
Plus en détailSYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire
SYSTEM O Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire CONCEPTION, CHOIX DES MATÉRIAUX ET MAINTENANCE : La sécurité des réseaux passe par une bonne conception,
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailManuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques
Titre : TTLV100 - Choc thermique dans un tuyau avec condit[...] Date : 02/03/2010 Page : 1/10 Manuel de Validation Fascicule V4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Document : V4.25.100
Plus en détailQuantité de mouvement et moment cinétique
6 Quantité de mouvement et moment cinétique v7 p = mv L = r p 1 Impulsion et quantité de mouvement Une force F agit sur un corps de masse m, pendant un temps Δt. La vitesse du corps varie de Δv = v f -
Plus en détailRobert Guichet. Conférence DERBI Juin 2008
Robert Guichet Conférence DERBI Juin 2008 Plan de l exposé 1) Introduction le bâtiment et l énergie les enjeux 2) Le projet Monitoring THPE les partenaires la réglementation l indicateur de performance
Plus en détailSondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques
Sondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques Technologie à 2 ou à 4 électrodes Large plage de mesure 0,05 S/cm... 500 ms/cm process, matériaux, état de surface adaptés aux applications
Plus en détail