CHAPITRE 2 L instabilité de la croissance - ELEVE CHAPITRE 2 L INSTABILITE DE LA CROISSANCE
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- Damien Marceau
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1 CHAPITRE 2 L INSTABILITE DE LA CROISSANCE Dans le chapitre précédent, nous avons vu les éléments liés à la façon de produire qui permettent la croissance économique. Si les quantités de facteurs pouvaient s'accroître de façon proportionnelle, et si la productivité augmentait régulièrement grâce aux innovations, alors la croissance serait un processus régulier. Or, ce n est pas le cas. La croissance connaît des fluctuations plus ou moins importantes. Comment les expliquer? Dans une première partie nous observerons et décrirons les variations de la croissance sur le long terme. Puis nous étudierons les 3 principaux schémas explicatifs des fluctuations de la croissance : chocs de demande, chocs d offre, et cycle de crédit. Enfin, nous analyserons les mécanismes cumulatifs susceptibles de mener à une dépression. I. Constat : la croissance est instable 1. La croissance, un phénomène récent à l échelle de l Histoire humaine a) On peut observer cette irrégularité au niveau mondial, avec des disparités entre zones géographiques b) Comment caractériser ces fluctuations? 2. La croissance, un phénomène irrégulier II. Les causes de l instabilité de la croissance 1. Les chocs de demande 2. Les chocs d offre 3. Le cycle de crédit III. Crises, mécanismes cumulatifs et chômage 1. La déflation par la dette 2. La crise de 2008 : causes et conséquences ACQUIS DE PREMIERE Inflation Chômage Demande globale NOTIONS A CONNAITRE NOTIONS NOUVELLES Fluctuations économiques Crise économique Désinflation Dépression Déflation EXEMPLES DE SUJETS EC1 Vous montrerez par quel mécanisme la déflation peut entraîner une augmentation du chômage. Présentez un des mécanismes expliquant les fluctuations économiques. Vous montrerez comment une dépression économique peut être source de déflation. EC3 Vous montrerez que les variations de la demande globale sont un facteur important des fluctuations économiques. Vous montrerez que différents mécanismes sont à l'origine des crises économiques. DISSERTATION Dans quelle mesure les variations de la demande expliquent-elles les fluctuations économiques? Les fluctuations économiques ne s'expliquent-elles que par les variations de la demande globale? Quels sont les déterminants des fluctuations économiques? 1
2 I. Constat : la croissance est instable La croissance est la hausse durable de la production (sur une longue période). Mais elle est irrégulière, instable : elle connaît des périodes d accélération et de ralentissement. 1. La croissance, un phénomène récent à l échelle de l Histoire humaine Doc 2 p La croissance, un phénomène irrégulier Elle connaît des fluctuations économiques = irrégularités de l évolution du PIB, càd ensemble des mouvements de ralentissement ou d accélération du rythme de la croissance économique, voire parfois de baisse du PIB. Les fluctuations peuvent aussi concerner d autres variables que le PIB. 1 p 22 2 p 22 a) On peut observer cette irrégularité au niveau mondial, avec des disparités entre zones géographiques b) Comment caractériser ces fluctuations? Lorsqu on observe les fluctuations, on peut distinguer différentes phases, qui durent plus ou moins longtemps : - Des phases d expansion - Des phases de ralentissement de la croissance, voire de récession ou même de dépression. - On a pu parfois observer une régularité dans ces fluctuations : certains économistes ont mis en évidence l existence de cycles économiques = fluctuations régulières et récurrentes dans l évolution de l activité économique, caractérisées par des phases de hausse et de baisse de la production. Un cycle comporte 4 phases : doc 1 p 48 1) Faites une phrase avec la donnée de ) Peut-on dire que le PIB a baissé suite au krach boursier de 2000? 3) Illustrez les quatre phases des fluctuations économiques à partir de données extraites du graphique. Plusieurs économistes et historiens ont mis en évidence des cycles, de périodicité différente : doc 1 p 50 Les cycles KONDRATIEFF : 2
3 Aujourd hui, ces analyses semblent mises à mal par les tendances de ces dernières décennies. D autres grilles de lecture doivent être utilisées pour expliquer les crises. II. Les causes de l instabilité de la croissance Nous allons maintenant présenter les différentes explications des fluctuations économiques : les chocs (de demande et d offre) et des causes financières liées au cycle du crédit. Choc : évènement aléatoire, inattendu, non anticipé, dont la propagation perturbe l activité économique, et génère des fluctuations. RAPPEL : le fonctionnement du marché sous forme de représentation graphique : SAVOIR-FAIRE 12 p Les chocs de demande Un choc de demande est un évènement provoquant une hausse ou une baisse de la D globale, et donc une perturbation de l activité éco, dc une irrégularité de la croissance. Ces chocs peuvent être : - Positifs : s ils provoquent une hausse de la demande (dc déplacement de la courbe vers la D), qui peuvent impulser une phase d expansion - Négatif : baisse de la D (déplacement vers la G), qui peuvent conduire à une récession Demande globale = demande provenant de l ensemble des agents : - Des entreprises = - Des ménages = - Des administrations = - De l extérieur = Rappel : Equilibre Emplois-Ressources : RESSOURCES (OFFRE) EMPLOIS (DEMANDE) PIB + M = VS * PIB = VS PIB = VS *Il faut ajouter la variation des stocks : si les entreprises reconstituent leurs stocks, cela contribue positivement à la croissance, et inversement : si les entreprises destockent, cela contribue négativement puisque les stocks sont utilisés pour satisfaire une partie de la D. Un déplacement de la courbe de D peut donc être un évènement qui affecte l une ou l autre de ces composantes de la D. Doc 1 p 56 + Q On peut mesurer la contribution de ces différentes composantes de la D à la croissance : d une année à l autre, l évolution du PIB, autrement dit la croissance économique, peut être expliquée par l évolution de chacune des composantes du PIB. 3
4 Q1) Faire une phrase avec 2,3, puis avec 1,3, et -0,9. Q2) Faire l exercice 3 p 57 La vision keynésienne de la demande : doc 2 p 56 Pour J.M. Keynes ( ) la croissance économique dépend avant tout de la demande anticipée (qu il appelle demande effective) par les entreprises. Si les entreprises prévoient une demande importante, remplissent leurs carnets de commande, alors la production sera élevée et de nouveaux emplois seront créés. Inversement si le moral des entrepreneurs est bas, si les entreprises ont peu confiance dans l avenir, elles ne produiront pas ou peu et ne créeront pas d emplois, ce qui alimentera le chômage. D où, pour Keynes, la nécessité pour l Etat de soutenir la demande en cas de ralentissement économique, par des politiques budgétaires et monétaires de relance. 2. Les chocs d Offre Un choc d offre est un évènement entraînant une modification des conditions de P : variation des coûts de P (prix des matières premières, hausse des salaires, des taxes, variations de la Pté ). Un choc d offre entraîne donc une perturbation imprévue de l activité économique liée à une variation de la situation économique des offreurs. Ces chocs peuvent être : - Positifs si produire devient moins coûteux, ce qui permet une hausse de la P (déplacement de la courbe vers la D) - Négatifs si produire devient plus coûteux, ce qui entraîne une baisse de l O (déplacement de la courbe vers la G) Doc 1 p 54 REMARQUE : L offre et la demande étant étroitement liées, un choc d offre aura des répercussions sur la D et vice versa. Il s agit de savoir qui est touché en premier : offreurs ou demandeurs? cf. hausse de l investissement provoquée par subventions => hausse de l O (car plus de capacités de P ) et de la D! OU chocs pétroliers : 1 er effet = hausse des coûts de P donc choc d offre (négatif), d où hausse des prix, donc baisse de la C. Ainsi, les effets des chocs d offre et de demande peuvent être cumulatifs (mais pas toujours : une baisse des impôts des entreprises (choc d offre positif) n entraînera une hausse de la D que si les entreprises anticipent une bonne conjoncture, et décident d investir! cf. doc 4 p 57 EXEMPLES : Choc d offre Choc de demande Positif Négatif Positif Négatif Revalorisation du SMIC au-delà de l inflation Hausse du chômage Une innovation de procédé permet de réduire les coûts de production Réduction des cotisations sociales patronales Hausse du prix du pétrole Hausse de l impôt sur les sociétés 4
5 Organisation des Jeux Olympiques Hausse de la TVA Hausse du taux d intérêt du crédit bancaire Construction d aéroports et de lignes TGV Une forte récession chez les «clients» étrangers Un cyclone qui entraîne un accident nucléaire majeur Hausse de l épargne de précaution Hausse des dépenses de consommation due aux fêtes de fin d année Le Pacte de responsabilité : choc d offre positif ou choc de demande négatif? Le 14 janvier dernier, le président de la Répubique lançait l idée d un pacte de responsabilité. Il s agissait d alléger les «charges» pesant sur les entreprises en allant au-delà des 20 milliards d euros déjà actés fin 2012 avec le crédit d impôt compétitivité emploi (Cice). Cela devait permettre de regonfler leurs marges très déprimées. En échange de quoi, le gouvernement escomptait que les entreprises se remettent à investir et à embaucher. Au final, le curseur de ces allègements s est établi à 41 milliards d euros par an pour les entreprises d ici à Pour faire bonne mesure, le gouvernement a cependant ajouté 6 milliards d allègement d impôts à destination des ménages et rebaptisé l ensemble «pacte de responsabilité et de solidarité». Comme parallèlement, la France s est engagée à limiter son déficit budgétaire, ce pacte est accompagné d une réduction de 50 milliards d euros par an des dépenses publiques d ici à Des mesures qui viennent s ajouter à celles, déjà prises en 2013, pour financer le Cice. Dans la mesure où les autres pays européens, et notamment les pays en crise, se sont lancés dans une course au moins-disant social, la France a certes perdu en compétitivité-coût 1. Mais compte tenu de l impact récessif sur la demande intérieure de la baisse programmée des dépenses publiques, il y a peu de chances que ce pacte contribue réellement au redressement de l économie française et européenne : faute de demande, les entreprises ne devraient guère investir et embaucher. Dans ces conditions, ce pacte risque surtout de prolonger et d aggraver la stagnation actuelle. Guillaume Duval. Alternatives économiques. Hors série n 102. Les chiffres de l économie Capacité à offrir un prix plus bas que ses concurrents. La logique du pacte de responsabilité repose sur ce qu on appelle le «théorème de Schmidt», du nom de l ancien chancelier allemand Helmut Schmidt qui avait affirmé en 1974 «les profits d aujourd hui sont les investissements de demain et les emplois d après-demain». Or, cet enchaînement, qui paraît de bon sens, ne résiste pas à l épreuve des faits : la remontée rapide des marges des entreprises après 1983 n a pas entraîné à l époque un redressement durable de l investissement, tandis qu a contrario leur baisse sensible depuis 2007 n a pas pour l instant eu pour conséquence une chute de l investissement. Les liens de causalité sont nettement plus complexes et incluent notamment la question de la demande et du niveau des taux d intérêt. Alternatives économiques. Hors série n 102. Les chiffres de l économie
6 Q1) En quoi consiste le pacte de responsabilité? Représentez les deux mécanismes censés produire un choc d offre positif sous forme de deux schémas d implication (A B C ) en partant de la mesure initiale et en finissant par son effet sur la croissance. Voici les expressions à utiliser : Réduction des cotisations sociales pour les entreprises (à utiliser dans les deux schémas) hausse de l investissement et des embauches hausse de la compétitivité-coût baisse des prix hausse des exportations stimulation de la croissance (à utiliser dans les deux schémas) meilleure santé financière baisse du coût du travail (à utiliser dans les deux schémas) hausse des profits baisse des coûts de production (à utiliser dans les deux schémas) Q2) Pourquoi la baisse des coûts de production peut être sans effet sur la compétitivité? Q3) Expliquez le titre du document. 3. Le cycle de crédit - doc 3 p 59 La théorie du cycle de crédit met en évidence le lien entre comportement des banques et activité économique, en mettant en évidence des différences de comportement selon la phase du cycle (ascendante et descendante), qui génèrent des chocs de demande et entraînent ou amplifient l instabilité économique. En période d expansion : (1) Dans un premier tps, lorsque la situation éco. est saine, rassurante les agents sont optimistes, confiants donc les banques prêtent facilement, les ménages souhaitent consommer, les entreprises investissent : davantage de crédits sont accordés, ce qui stimule la D, et renforce donc la croissance et l optimisme général. (2) MINSKY (dans les années 1980) a mis en évidence : Le problème est que les agents ont des comportements de plus en plus risqués : les banques prêtent y compris à des agents non solvables, pour des projets peu sûrs, les comportements spéculatifs se développent. Ce phénomène est amplifié si les taux d intérêts sont bas. (3) L inflation se développe. RAPPEL : Inflation = Désinflation = Déflation = L inflation se développe à cause de 2 mécanismes : o Inflation par la D : hausse de la D, donc hausse des prix (cf. mécanismes de marché) o Inflation monétaire : hausse des crédits => hausse de la monnaie en circulation => hausse des prix pour rééquilibrer (4) Comme l inflation se développe, et que des agents à risque ont emprunté, les agents perçoivent une augmentation des risques, et anticipent les difficultés : des anticipations négatives se développent. (5) Les banques (Centrales et commerciales) les taux d intérêt et accordent de crédits Augmentation du coût du crédit donc baisse des crédits demandés + baisse des crédits accordés car méfiance => baisse de la C et de l I => baisse de la D => baisse de l emploi => baisse des revenus =>>baisse de la P En période de récession et d anticipations pessimistes, les banques durcissent les conditions d accès au crédit, réduisent l offre de crédit car elles craignent les défauts de remboursement. Cette baisse du crédit nuit à l investissement et à la C, donc à la D et à la croissance. 6
7 Ainsi, le cycle du crédit agit sur la croissance par l intermédiaire de ses effets sur la D globale. Le cycle du crédit provoque ou renforce l instabilité de la croissance. Cette instabilité est endogène puisqu elle est due au comportement des agents. Cf. doc 4 p 59 (schéma) III. Les conséquences des crises : mécanismes cumulatifs et chômage Nous allons maintenant analyser les phénomènes cumulatifs susceptibles d engendrer déflation et dépression, càd les enchaînements qui peuvent mener à la déflation et/ou à une situation de baisse du PIB accompagnée de chômage. 1. La déflation par la dette Irving FISHER (US, ) a analysé la crise des années 1930, et a montré que l endettement peut entraîner la déflation, et renforcer la récession ou dépression. Dans les années 1920 : fort endettement («les années folles»), période de boom économique : développement de comportements spéculatifs, jusqu à perte de confiance et surendettement => vente brutale d actifs : le krach de Ces ventes massives font baisser les prix, ce qui accroît la valeur de la dette car : - - Or, dans le même temps, les revenus diminuent car la D baisse, les entreprises vendent moins (baisse du CA), donc licencient. Pour les agents, le poids des dettes augmente par rapport aux revenus. Ainsi, tandis que les frais financiers intérêts et remboursements augmentent, les revenus diminuent. Ce que les agents économiques doivent rembourser aux banques représente donc une part grandissante de leurs revenus. En conséquence, de plus en plus d'entreprises et de ménages sont dans l'incapacité d'y faire face. Cf. DIAPO 1 + doc 3 p Les causes et conséquences de la crise de 2008 Quelles sont les racines de la crise de 2008? Comment s est-elle déclenchée? Pourquoi connaît-on encore aujourd hui une période de chômage et de risque de déflation? a) Le déclenchement de la crise : crise immobilière et financière Film docu Le krach du siècle (M6) + questionnaire DIAPO b) D une crise financière à une crise économique : répercussions sur la sphère réelle La crise financière a entraîné des mécanismes cumulatifs : DIAPO 4 à 9 - La panique financière a entraîné une contraction de la demande + un resserrement du crédit qui accentue cette baisse de la D => baisse de la P => faillites =>chômage. On parle même de nouveau de chômage de masse = terminologie apparue dans les années 1970 suite au choc pétrolier, puis réutilisé dans les années 1990, puis 2010 : situation d augmentation forte et rapide du nombre de chômeurs, qui créé une instabilité sociale. Le taux de chômage est élevé (10% au moins en France, contre 7,5% en 2008), particulièrement chez certaines catégories de personnes (25% chez les moins de 25 ans). - Dans l urgence, pour contrer la crise de 2008, les Etats ont mis en place des plans de relance : politiques budgétaires de hausse des dépenses pour injecter des revenus dans l économie (aides aux entreprises, aux ménages, aux banques), et politique monétaire expansive (baisse des taux d intérêt). MAIS les Etats ont fait face à une dette grandissante => crise de la dette, qui a justifié l arrêt des plans de relance et les mesures d austérité. Problème : la croissance n était pas repartie, et les mesures d austérité ont eu un impact négatif sur la D, donc la croissance et l emploi. - La récession s accompagne aussi de ralentissement de la hausse des prix (désinflation), et de crainte de déflation. c) La peur de la déflation Vidéo DME + activité d) Comment s en sortir? 7
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