«La vie de parent au quotidien» Union Départementale des Associations Familiales de la Vienne

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1 Union Départementale des Associations Familiales de la Vienne 8 ème enquête de l Observatoire départementale de la Famille «La vie de parent au quotidien»

2 Sommaire Introduction... 3 Les difficultés supposées des parents dans l éducation de leurs enfants... 3 Les actions de soutien à la fonction parentale... 3 Les objectifs de l enquête (éléments d information recherchés)... 5 Mesure du degré d assurance des parents... 5 Représentation de la demande d aide... 5 Perception des structures et des actions de soutien à la fonction parentale... 5 La méthode... 7 Profil des personnes interrogées... 8 Redressement de l échantillon... 8 Données socio-démographiques... 9 Zone géographique... 9 Nombre d enfants Les variables cibles Mesure du degré d assurance des parents Sensibilisation des parents aux différents aspects liés à l éducation des enfants Définition de l éducation des enfants L éducation des enfants Evaluation du niveau de connaissance Evaluation du niveau de difficulté Attitudes privilégiées en cas de difficultés rencontrées Gestion des difficultés Recherche de conseil / d aide Evaluation du niveau d isolement Représentation de la demande d aide Perception des structures et des actions de soutien à la fonction parentale Opinions sur les actions de soutien à la fonction parentale Opinions sur les «Cours pour les parents» Connaissance et représentation des structures de soutien à la fonction parentale

3 Introduction Les difficultés supposées des parents dans l éducation de leurs enfants L apparition du terme «parentalité» coïncide avec l expression des difficultés réelles ou supposées que rencontrent les parents dans l exercice de l'éducation de leurs enfants. Si l on parle de parentalité, c est parce que la fonction, le rôle, la place, et les pratiques des parents posent problème. Le terme découle ainsi de l inquiétude massive des pouvoirs publics quant aux effets de l évolution de la société sur la famille : La diversification des modèles familiaux (familles nucléaires, familles monoparentales, familles recomposées) perturbe l exercice de la fonction parentale car les parents ne disposent pas toujours de cadre de référence naturel et ne peuvent pas toujours transmettre à leurs enfants les valeurs qu ils ont reçues de leurs propres parents. En particulier, les changements de situation rendent plus difficile la capacité des parents à assumer la continuité de leurs fonctions. L affirmation du primat de l individu, la reconnaissance de l individu au sein de la famille ont eu pour effet d accorder une place plus importante à la parole et au partage au sein de la famille. L éducation est désormais davantage construite sur des logiques de concertation et de négociation (valorisation des qualités d écoute et de proximité). Mais en donnant à l enfant une place nouvelle, en mettant davantage en avant le dialogue parents-enfants, ces évolutions ont participé à une confusion des places et des rôles au sein de la famille qui a considérablement altéré l autorité des parents d aujourd hui. En raison des difficultés rencontrées pour concilier vie familiale et vie professionnelle, les parents sont moins disponibles pour assurer les différentes tâches inhérentes à la fonction de parent. L idée selon laquelle les parents d aujourd hui ont plus de mal à assumer leur responsabilité parentale est ainsi communément répandue. Ce qui nous a suggéré cette première interrogation : Qu en pensent les premiers concernés? Le «malaise» est t-il si fort chez les parents? Les actions de soutien à la fonction parentale Afin de soutenir les parents dans l exercice de leurs responsabilités éducatives, la Conférence de la Famille 1998 a décidé de créer la Délégation Interministérielle à la Famille (DIF) pour mettre en place une politique d appui à la fonction éducative. L année d après, les Réseaux d Ecoute, d Appui et d Accompagnement à la Parentalité (REAAP) étaient créés. 3

4 La création des REAAP allait notamment à l encontre de la thèse des parents démissionnaires pour reposer au contraire sur l idée que tout parent possède des capacités éducatives, et que chaque famille doit découvrir ses propres solutions éducatives en partageant l expérience d autres histoires familiales. La vocation des REAAP est ainsi d offrir aux parents un espace de discussion, d échange, sur les manières d exercer leur rôle, pour leur permettre de prendre confiance dans leurs capacités et de reconnaître leur savoir-faire d éducateurs. Les REAAP s opposent ainsi aux initiatives qui tendent à vouloir enseigner des compétences, des «conduites types» identiques à tous les parents, indépendamment de leur situation unique. Le rôle des professionnels n est pas d imposer des réponses toutes faites mais au contraire de faire du parent un partenaire actif pour lui faire prendre conscience de ses potentialités positives. (ne pas faire «à la place de» mais «faire avec») Les différentes formes d aide à la Parentalité représentent un acquis incontestable pour les familles. Pour autant, un bilan du dispositif des REAAP dressé par l IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales) en mars 2004 fait état de faiblesses en matière de pilotage politique et administratif qui donnent l impression qu il n existe pas d objectifs politiques précis, et que les dispositifs sont reconduits d année en année un peu mécaniquement. En outre, lors de la journée nationale des REAAP en 2005, M. Dominique de Legge, délégué interministériel à la famille, a fait remarquer qu un des défis futurs des REAAP était sans nul doute l appropriation des REAAP par les parents eux-mêmes. Partant de là, il peut être intéressant de disposer d éléments d information pour répondre aux interrogations suivantes : Dans quelle mesure les parents éprouvent-ils le besoin de parler avec d autres personnes de l éducation de leurs enfants? Ont-ils tendance à vouloir partager leurs préoccupations, leurs difficultés? Et si oui, avec qui? La logique des REAAP correspond t-elle à leur façon de concevoir le soutien à la fonction parentale? Pourquoi ne participent-ils pas plus souvent aux activités proposées dans le cadre des REAAP? 4

5 Les objectifs de l enquête (éléments d information recherchés) Pour tenter d apporter des éléments de réponse à ces différents questionnements, il nous a paru intéressant de recueillir trois éléments d information et surtout d étudier la relation entre eux : Mesure du degré d assurance des parents Les actions de soutien à la fonction parentale ont pour objectif de permettre aux parents d identifier leurs compétences, de mobiliser leurs ressources, de manière à leur faire prendre ou reprendre confiance en leurs capacités. Nous avons identifié trois causes principales pouvant être à l origine d une perte de confiance : le sentiment de ne pas être à la hauteur, le sentiment de vivre une situation spécifique, le sentiment d isolement. Le premier objectif de l enquête consistera donc à évaluer la proportion de parents pouvant éprouver ce type de sentiments : Combien de parents estiment manquer de connaissances pour élever leurs enfants? Combien de parents estiment que les difficultés auxquelles ils sont confrontés sont plus importantes que pour les autres parents? Combien de parents se sentent seuls? et sera étudié en lien avec le degré de sensibilisation des parents aux différents aspects liés à l éducation des enfants. Représentation de la demande d aide Un des aspects essentiels dans la propension des parents à se tourner vers des actions proposées par les REAAP, c est la manière dont ils perçoivent la demande d aide. Le second objectif de l enquête sera donc de savoir s il s agit d une démarche facile (acte naturel, spontané) ou si au contraire la demande d aide est assimilée à une incapacité d assumer sa responsabilité de parent. Perception des structures et des actions de soutien à la fonction parentale Pour tenter d identifier des leviers d actions possibles, il est nécessaire de savoir comment les parents perçoivent les activités des structures de soutien à la fonction parentale. Le 3ème objectif de l enquête cherchera à identifier les facteurs qui empêchent/dissuadent les parents de solliciter les structures de soutien à la fonction parentale. Combien n en connaissent pas l existence? 5

6 Combien estiment ne pas en avoir besoin? Combien considèrent qu elles s adressent à des parents en grande difficulté? Combien trouvent inutiles les actions proposées? Combien trouvent que les réponses individuelles sont préférables? Combien préfèrent des solutions «clés en main»? Combien les considèrent comme des lieux trop stigmatisants? L étude du lien entre la perception des activités des structures de soutien à la fonction parentale et la manière d appréhender les questions, les interrogations, les difficultés liées à l éducation des enfants doit ainsi permettre de repérer les ressources, les moyens, les actions susceptibles de retenir l attention des parents. Le but recherché étant ensuite de tenter de comprendre en quoi les actions des REAAP se rapprochent, ou au contraire s éloignent, des besoins des parents, afin d identifier des leviers d actions possibles. 6

7 La méthode Le questionnaire «La vie de parent au quotidien» a été élaboré par le Comité de Pilotage National de l Observatoire de la Famille. Celui-ci est composé de plusieurs administrateurs et salariés d UDAF et d URAF et d un coordinateur de l UNAF. L UDAF de la Vienne y est représentée Bruno VALLADE, Responsable Communication et en charge de l Observatoire de la Famille depuis sa création à l UDAF de la Vienne en questionnaires ont été distribués par voie postale, début décembre 2008, auprès de familles du département de la Vienne ayant des enfants mineurs. Les adresses des familles destinataires proviennent d un fichier loué auprès de Médiapost. Les adresses ont été sélectionnées aléatoirement sur l ensemble des communes du département. Les retours se sont étalés sur une période définie d un mois (du 1 er au 31 décembre 2008). Ainsi, 826 questionnaires ont été saisis informatiquement. 7

8 Profil des personnes interrogées Sur un envoi de 3000 questionnaires, 826 nous ont été retournés (soit 27,5%). Afin de donner une portée départementale à cette analyse, nous en avons effectué un redressement. Celui-ci consiste à attribuer à chaque individu un poids destiné à contrebalancer l effet de la sur-représentation ou de la sous-représentation de certains groupes dans l échantillon. Redressement de l échantillon 3 critères de quotas ont servi à mesurer l écart entre notre échantillon et les données théoriques attribuées par l INSEE sur le département de la Vienne : le type de famille, l âge de la personne de référence du ménage et la Catégorie Socio Professionnelle de la personne de référence du ménage. Après vérification de la correspondance entre la répartition de l échantillon sur les critères de quotas et la répartition théorique, nous avons effectué un redressement de notre échantillon afin de corriger les écarts constatés entre les deux populations. 8

9 Plusieurs éléments ressortent de ce redressement : Les familles monoparentales ont été nombreuses à répondre à cette enquête (18%). L âge de la personne de référence est proche des données recensées sur le département. Les professions intermédiaires étaient en sous représentation. Le panel, une fois redressé atteint 809 individus, soit 17 dont le poids est passé à 0. Ces derniers ne seront donc pas analysés. Cet échantillon représentatif des familles de la Vienne a une précision de plus ou moins 3,5 %. L intervalle de confiance est donc tout à fait correct. Données socio-démographiques Zone géographique La répartition géographique des personnes ayant répondu à l enquête s étale sur l ensemble du département. Les zones peu peuplées à l origine se retrouvent naturellement dans le résultat. 48% des familles interrogées vivent en zone rurale et 41% en zone urbaine. 10% des personnes n ont pas communiqué leur commune d habitation (soit 82 personnes). 9

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11 Nombre d enfants 1683 enfants sont concernés par cette enquête. 55% des familles interrogées ont 2 enfants, 22% ont 1 enfant et 24% ont 3 enfants ou plus. La moyenne est de 2,1 enfants par famille. Cette moyenne est légèrement moins importante quand il s agit d une famille monoparentale : 1,8 enfant. Les variables cibles Il s agit des variables qui, à priori, paraissent les plus pertinentes pour mettre en avant des différences dans les réponses des personnes interrogés. Ainsi, nous avons retenu 4 variables socio-démographiques : Le nombre d enfants : un, deux, trois ou plus L âge de l enfant le plus âgé : moins de 6 ans, 6 à 10 ans, 11 à 14 ans, plus de 15 ans. La Catégorie Socio Professionnelle de la personne de référence du ménage : CSP +, Profession Intermédiaire, CSP -, Sans activité professionnelle Type de famille : En couple, Famille monoparentale Nombre d enfants : Effectif Pourcentage Un % Deux % Trois ou plus % Age de l enfant le plus âgé : Effectif Pourcentage Moins de 6 ans % De 6 à 10 ans % De 11 à 14 ans % Plus de 15 ans % CSP de la personne de référence du ménage : Effectif Pourcentage CSP % Profession intermédiaire % CSP % Sans activité professionnelle 41 5% 11

12 Type de famille : Effectif Pourcentage En couple % Famille monoparentale 82 10% Nous avons également défini trois indicateurs : Parents se posant souvent des questions par rapport à l éducation des enfants Parents estimant manquer de connaissance Opinion des parents sur les difficultés rencontrées dans l éducation des enfants par rapport aux autres parents : moins de difficultés, plus de difficultés, ni plus ni moins de difficultés Parents se posant souvent des questions par rapport à l éducation des enfants : Effectif Pourcentage Oui % Non % Parents estimant manquer de connaissance : Effectif Pourcentage Oui % Non % Opinion des parents sur les difficultés rencontrées dans l éducation des enfants par rapport aux autres parents : Effectif Pourcentage Plus de difficultés que vous % Moins de difficultés que vous 78 10% Ni plus, ni moins de difficultés que vous % 12

13 Mesure du degré d assurance des parents Il s agit du premier objectif de notre enquête. La première partie du questionnaire était construite de manière à interroger les personnes sur leur perception et sur leur expérience du rôle de parent. De la même manière que le questionnaire et progressivement, nous allons donc nous intéresser dans un premier temps aux questions que se posent les parents sur l exercice de leur responsabilité parentale pour ensuite mesurer ce qu ils pensent de leurs connaissances et évaluer leur niveau d isolement. Sensibilisation des parents aux différents aspects liés à l éducation des enfants Définition de l éducation des enfants Une première série de questions interrogeait les parents sur la perception qu ils ont de l éducation des enfants. Quatre modalités étaient proposées et leurs choix devaient tenir compte des relations, du comportement ou des réactions qu ils avaient avec leur(s) enfant(s). Au-delà des aspects positifs du rôle de parent, nous souhaitions commencer à mesurer la confiance des parents dans l exercice de leur responsabilité parentale. De cette première série de questions, on constate que l éducation des enfants est un sujet qui suscite beaucoup d interrogations (90%), beaucoup d inquiétude (87%), beaucoup de stress (66%) et enfin beaucoup de difficultés (63%) pour l ensemble des parents. Plusieurs critères viennent affiner ces premiers résultats. En effet, la situation familiale et l âge des enfants interviennent sur la perception qu ont les parents de l éducation des enfants. Si les avis se rejoignent concernant les interrogations et les inquiétudes qu engendre l éducation des enfants (quels que soient la situation familiale et l âge des enfants), des différences sont très nettes sur le sentiment de difficultés ou de stress. 77% des familles monoparentales s accordent à dire que l éducation des enfants représente beaucoup de difficultés contre 61% pour les familles en couple. Le constat est le même concernant ces familles qui estiment qu éduquer un enfant constitue beaucoup de stress (75% contre 65% pour les familles en couple). 13

14 Concernant l âge des enfants, les sentiments de difficultés ou de stress sont accentués à partir du moment ou l aîné atteint les 6 ans. L éducation des jeunes enfants (moins de 6 ans) est moins ressentie comme une difficulté ou comme du stress par les parents. Néanmoins, lorsque la personne vit seule avec son (ses) enfant(s), estimer rencontrer beaucoup de difficultés et beaucoup de stress sont des sentiments qui reviennent plus souvent. 14

15 En ligne : L éducation des enfants, c est beaucoup de difficultés En colonne : Age de l enfant le plus âgé De 15 à De 11 à De 6 à 10 Moins de Total plus de 18 ans 14 ans ans 6 ans D accord 64% 67% 65% 55% 63% Pas d accord 36% 33% 35% 45% 37% En ligne : L éducation des enfants, c est beaucoup de stress En colonne : Age de l enfant le plus âgé De 15 à plus de 18 ans De 11 à 14 ans De 6 à 10 ans Moins de 6 ans Total D accord 67% 70% 72% 52% 66% Pas d accord 33% 30% 28% 48% 34% En ligne : L éducation des enfants, c est beaucoup de difficultés En colonne : Age de l enfant le plus âgé Familles De 15 à De 11 à De 6 à 10 Moins de Total monoparentales plus de 18 ans 14 ans ans 6 ans D accord 83% 71% 79% 73% 78% Pas d accord 17% 29% 21% 27% 22% En ligne : L éducation des enfants, c est beaucoup de stress En colonne : Age de l enfant le plus âgé Familles monoparentales De 15 à plus de 18 ans De 11 à 14 ans De 6 à 10 ans Moins de 6 ans Total D accord 76% 77% 78% 69% 76% Pas d accord 24% 23% 22% 31% 24% L éducation des enfants Une seconde série de questions visait à savoir si les parents interrogés étaient amenés à se poser des questions relatives à des domaines liés à l éducation des enfants : à savoir sur la santé / l hygiène, sur les comportements de leur(s) enfant(s), sur la façon d épauler leur(s) enfant(s), sur la façon de se comporter avec leur(s) enfant(s). 15

16 La grande majorité des parents se pose des questions sur tous les sujets qui étaient proposés dans le questionnaire. Même si plus de la moitié des parents (57%) se posent souvent des questions dans le domaine de la santé et l hygiène des enfants, ce sont les autres domaines qui sont les plus sollicités (le comportement de vos enfants - 77%, la façon d épauler vos enfants - 77%, la façon de vous comporter avec vos enfants - 74%). Nous avons procédé à un regroupement concernant cette série de questions de la manière suivante : lorsqu une personne a répondu au moins une fois «très souvent» à une modalité ou au moins deux fois «assez souvent» à deux modalités, nous considérons que cette personne se pose souvent des questions par rapport à l éducation de ses enfants. Cette nouvelle variable est importante pour le reste de l analyse, puisqu elle nous permet de séparer les personnes qui ont tendance à se poser souvent des questions par rapport à l éducation des enfants et les autres qui ne se posent pas souvent des questions. En souhaitant en connaître plus sur cette population qui s interroge souvent sur l éducation des enfants, nous avons croisé cet élément par rapport à la situation familiale, 16

17 l âge de l enfant le plus âgé, le nombre d enfant et la Catégorie Socio Professionnelle de la personne de référence du ménage. Aucun de ces critères n est significatif. Il semble donc que les parents soient égaux face aux interrogations qu ils se posent par rapport à l éducation de leurs enfants. Evaluation du niveau de connaissance Les personnes devaient se positionner par rapport à leur expérience et notamment mesurer leur niveau de connaissance dans les domaines suivants : sur la santé / l hygiène, sur les comportements de leur(s) enfant(s), sur la façon d épauler leur(s) enfant(s), sur la façon de se comporter avec leur(s) enfant(s). Les résultats ci-dessous ne mesurent pas les connaissances réelles des personnes interrogées, ils nous indiquent ce que les personnes pensent de leurs connaissances. A ce sujet, les parents ne sont que 15% à penser manquer de connaissance pour garantir la santé / l hygiène de leur(s) enfant(s). En ce qui concerne les autres sujets, la moitié des parents pense manquer de connaissance. Les graphiques ci-dessous illustrent ce propos. 17

18 De la même manière que pour la série de questions précédente, nous avons procédé à un regroupement de modalités : lorsqu une personne a répondu au moins une fois «très souvent» à une modalité ou au moins deux fois «assez souvent» à deux modalités, nous considérons que cette personne a le sentiment de manquer souvent de connaissance pour élever ses enfants. Il s agit d un sentiment qui est partagé équitablement. L ensemble des personnes interrogées pensant manquer de connaissances représente 49%. Le sentiment de manquer de connaissances est amplifié dès lors que la personne vit seule. Les graphiques ci-dessous illustrent ce propos. En revanche, le nombre d enfants, l âge des enfants ou encore la catégorie socio professionnelle ne semblent pas être des éléments qui influent sur le sentiment de manquer de connaissances. A l aide de cette nouvelle variable, nous pouvons à présent mettre en relation les personnes qui se posent souvent des questions sur l éducation des enfants et les personnes qui estiment manquer de connaissances en la matière. 18

19 Parmi les personnes se posant souvent des questions sur l éducation des enfants, 56% estiment manquer de connaissances. En revanche, les parents ne se posant pas souvent des questions sur l éducation des enfants ne sont plus que 12% à estimer manquer de connaissances. Evaluation du niveau de difficulté Pour évaluer le niveau de difficulté que peuvent rencontrer les parents dans l éducation de leurs enfants, l enquête est réalisée de façon à positionner la personne par rapport aux autres. De cette manière, nous pouvons mesurer si les parents ont le sentiment de vivre une situation particulière (difficultés rencontrées plus importantes que pour les autres parents). Une première série de questions visait à savoir si les parents partagent des conversations concernant leurs enfants avec d autres parents. Si c est le cas, est-ce qu ils abordent dans ces conversations les difficultés qu ils rencontrent avec leurs enfants? On remarque dans un premier temps que «les enfants» sont un sujet qui est abordé par la plupart des parents (82% parlent souvent de sujets concernant les enfants avec d autres parents). 88% de ces parents parlent souvent des difficultés qu ils rencontrent les uns les autres dans l éducation des enfants (72% de la totalité des parents interrogés). Seulement 11% d entre eux parlent rarement des difficultés qu ils rencontrent avec leurs enfants (9% de la totalité des répondants). Lorsque les parents doivent se positionner par rapport aux autres, nous obtenons les résultats suivants : Par rapport à l éducation des enfants, avezvous le sentiment que les autres parents rencontrent : Non répondants 33 Beaucoup plus de difficultés 49 6% que vous Un peu plus de difficultés que % vous Un peu moins de difficultés 65 8% que vous Beaucoup moins de difficultés 13 2% que vous Ni plus ni moins de difficultés % que vous Total répondants % Après regroupement des modalités (1 et 2) et (3 et 4) en 2 modalités distinctes : Par rapport à l éducation des enfants, avezvous le sentiment que les autres parents rencontrent : Plus de difficultés que vous 31% Moins de difficultés que vous 10% Ni plus ni moins de difficultés 59% que vous Dans notre enquête, seulement 10% des personnes interrogées ont le sentiment que les autres parents rencontrent moins de difficultés qu eux, 31% l inverse, et enfin, la majorité des personnes (soit 59%) estiment vivre les mêmes difficultés que les autres parents. Que 19

20 les personnes parlent de sujets concernant les enfants avec d autres parents ou qu ils n abordent pas ce type de conversation, ce constat varie très peu. Chez les parents qui se posent souvent des questions par rapport à l éducation des enfants, 28% ont le sentiment que les autres parents rencontrent plus de difficultés qu eux, 11% moins de difficultés et 62% ni plus, ni moins de difficultés. En revanche, lorsque les parents se posent rarement des questions, 45% ont le sentiment que les autres parents rencontrent plus de difficultés qu eux, 2% moins de difficultés et 53% ni plus, ni moins de difficultés. En ligne : Par rapport à l éducation des enfants, avez-vous le sentiment que les autres parents rencontrent : En colonne : Parents se posant souvent des questions par rapport à l éducation des enfants Oui Non Plus de difficultés que vous 28% 45% Moins de difficultés que vous 11% 2% Ni plus ni moins de difficultés que vous 60% 53% Parmi les parents estimant manquer de connaissances, 23% d entre eux estiment que les autres parents rencontrent plus de difficultés qu eux, 16% moins de difficultés qu eux et 61% ni plus, ni moins de difficultés qu eux. Lorsque les parents estiment ne pas manquer de connaissances, ils sont 39% à penser que les autres parents rencontrent plus de difficultés qu eux, 4% moins de difficulté qu eux et 57% ni plus, ni moins de difficultés qu eux. En ligne : Par rapport à l éducation des enfants, avez-vous le sentiment que les autres parents rencontrent : En colonne : Parents estimant manquer de connaissance Oui Non Plus de difficultés que vous 23% 39% Moins de difficultés que vous 16% 4% Ni plus ni moins de difficultés que vous 61% 57% 18% des familles monoparentales estiment que les autres parents rencontrent moins de difficultés qu elles. 20

21 Attitudes privilégiées en cas de difficultés rencontrées Gestion des difficultés La très grande majorité des parents sait gérer la situation lorsqu elle rencontre des difficultés par rapport à l éducation de ses enfants (97% des personnes interrogées). 23% des parents interrogés manifestent le besoin d aller chercher un conseil et une aide et seulement 5% des parents ne savent pas quoi faire lorsqu ils sont confrontés à une difficulté par rapport à l éducation des enfants. Si 97% des familles monoparentales savent gérer des situations difficiles par rapport à l éducation des enfants, au même titre que les couples (98%), elles sont plus nombreuses à rechercher un conseil et une aide (42% contre 20%). Egalement, 12% d entre elles ne savent pas souvent quoi faire face à une situation difficile (4% pour les couples). Ces chiffres sont à considérer avec précaution compte tenu du nombre de répondants (82 familles monoparentales), néanmoins, ils illustrent une tendance. 21

22 Recherche de conseil / d aide A la question «En général, auprès de qui cherchez-vous un conseil et une aide?», la famille (63%) et les amis (66%) sont les ressources les plus souvent citées en matière de conseil ou d aide. Les intervenants extérieurs (les associations, les professionnels de la santé, du social, de l éducation ) sont sollicités par 44% des parents interrogés. 9% des parents ne cherchent pas à obtenir un conseil et une aide et 3% ne savent pas où chercher. Enfin, 3% des personnes trouvent des réponses dans leurs lectures ou encore sur Internet. Les parents qui cherchent un conseil et une aide auprès d intervenants extérieurs sollicitent également la famille (58%) ainsi que les amis et connaissances (65%). Concernant les familles monoparentales, elles sont légèrement plus nombreuses que les couples, en proportion, à solliciter la famille (75%), les amis (68%) et les intervenants extérieurs (47%). 4% de ces familles ne cherchent pas à obtenir un conseil et une aide et enfin, seulement 2% ne savent pas où chercher un conseil et une aide. En ligne : Auprès de qui cherchez-vous un conseil / une aide? En colonne : Situation familiale En couple Famille monoparentale Famille 61% 75% Amis, connaissances 65% 68% Intervenants extérieurs (les associations, les 44% 47% professionnels de la santé, du social, de l éducation ) Vous ne cherchez pas à obtenir un conseil / une aide 10% 4% Vous ne savez pas où chercher un conseil / une aide 3% 2% Autres 3% 1% Les parents qui estiment manquer de connaissances par rapport à l éducation des enfants, sollicitent, d une façon plus importante, les amis (73%), la famille (65%) et les intervenants extérieurs (50%). 22

23 En ligne : Auprès de qui cherchez-vous un conseil / une aide? En colonne : parents estimant manquer de connaissance Oui Non Famille 65% 60% Amis, connaissances 73% 58% Intervenants extérieurs (les associations, les 50% 38% professionnels de la santé, du social, de l éducation ) Vous ne cherchez pas à obtenir un conseil / une aide 6% 12% Vous ne savez pas où chercher un conseil / une aide 4% 1% Autres 3% 3% Evaluation du niveau d isolement On remarque, avec les séries de résultats précédemment étudiées, que très peu de personnes sont isolées par rapport à l aide dont elles ont besoin concernant l éducation des enfants. En effet, 83% des parents parlent souvent de sujets concernant les enfants, avec d autres parents. Aussi, parmi ces parents, seulement 12% d entre eux ne parlent pas des difficultés qu ils rencontrent les uns les autres dans l éducation de leurs enfants. La minorité des parents interrogés (5%) ne savent pas quoi faire lorsqu ils rencontrent des difficultés par rapport à l éducation de leurs enfants. Enfin, seulement 3% des parents ne savent pas où chercher un conseil et une aide lorsqu ils en ont besoin. 23

24 Représentation de la demande d aide 71% des parents interrogés estiment que solliciter un conseil et une aide auprès d intervenants extérieurs serait une démarche facile. Cette démarche semble plus ou moins difficile à entreprendre en fonction de la Catégorie Socio Professionnelle. Le graphique ci-dessous illustre la difficulté de solliciter un conseil et une aide par rapport au type de CSP à laquelle la personne de référence du ménage appartient : CSP + : Agriculteur Artisan, commerçant, chef d entreprise Profession libérale Cadre, Ingénieur, professeur. Profession Intermédiaire, Technicien, Instituteur. CSP - : Employé, Ouvrier Les employés et ouvriers semblent rencontrer plus de difficultés à solliciter un conseil et une aide auprès d intervenants extérieurs. Chercher un conseil et une aide auprès d intervenants extérieurs c est aussi reconnaître l utilité d un appui extérieur (49%) ou encore souhaiter être accompagné (41%). Cette démarche est rarement considérée comme une incapacité d assumer sa responsabilité (incapacité à gérer la situation 8% ou fuir ses responsabilités 1%). Concernant cette partie de l étude, nous avons effectué un regroupement des modalités suivantes : Perception positive Perception négative Un parent qui reconnait l utilité d un appui extérieur Un parent qui souhaite être accompagné Un parent qui n est pas capable de gérer lui-même la situation Un parent qui fuit ses responsabilités 24

25 On remarque que les parents qui ne se posent pas souvent des questions par rapport à l éducation des enfants ont une perception plus souvent négative de la recherche d aide à l extérieur par rapport aux parents qui se posent souvent des questions. En ligne : Selon vous, un parent qui cherche un conseil / une aide auprès d intervenants extérieurs, c est : En colonne : Parents se posant souvent des questions par rapport à l éducation des enfants. Oui Non Perception positive 92% 81% Perception négative 8% 19% Les parents qui estiment manquer de connaissances ont, à l inverse, une vision très positive de la recherche de conseil et d aide apportés par des intervenants extérieurs (94%). Il n y a pas de relation entre la Catégorie Socio Professionnelle et la perception qu ont les personnes de la recherche d un conseil ou d une aide extérieure. 25

26 Perception des structures et des actions de soutien à la fonction parentale Opinions sur les actions de soutien à la fonction parentale Les groupes de paroles et les conférences-débats sont des actions collectives qui semblent adaptés d après les parents (58% pour les groupes de parole et 65% pour les conférencesdébats). A noter que de nombreuses personnes n ont pas répondu à la question. 28% des familles sont sans opinion ou n ont pas communiqué leur avis sur les groupes de paroles (elles sont 23% concernant les conférences-débats). En dehors des actions collectives, les entretiens individuels recueillent l avis favorable des parents. En effet, la très grande majorité des parents qui se sont exprimés sur cette question (97%) estiment que les entretiens individuels sont adaptés pour conseiller et aider les parents dans l éducation de leurs enfants. L intérêt d une réponse individuelle recueille plus de répondants dès lors que les parents sont confrontés à des difficultés dans l éducation de leurs enfants (Cf graphique cidessous). La réponse collective ne semble pas adaptée pour les parents rencontrant des difficultés dans l éducation de leurs enfants. 26

27 Opinions sur les «Cours pour les parents» Les cours des parents sont des formations qui se proposent d apprendre en plusieurs leçons un certain nombre de lignes directrices sur la manière d assurer sa fonction de parent. Un tiers des parents ne se sont pas exprimés sur cette question (32%). 13% des personnes considèrent cette action tout à fait adaptée pour conseiller et aider les parents dans l éducation de leurs enfants, 37% la considèrent plutôt adaptée. 11% des personnes trouve cette action plutôt pas adaptée et 7% pas du tout adaptée. Comparés aux autres dispositifs, les cours pour les parents rencontrent moins de succès. Groupes de paroles : ce type d activité vous paraît-il adapté pour conseiller / aider les parents dans l éducation de leurs enfants? Adapté 57% Pas adapté 14% Sans opinion 29% Conférences débats : ce type d activité vous paraît-il adapté pour conseiller / aider les parents dans l éducation de leurs enfants? Adapté 65% Pas adapté 11% Sans opinion 23% Entretiens individuels : ce type d activité vous paraît-il adapté pour conseiller / aider les parents dans l éducation de leurs enfants? Adapté 78% Pas adapté 3% Sans opinion 19% Cours pour les parents : ce type d activité vous paraît-il adapté pour conseiller / aider les parents dans l éducation de leurs enfants? Adapté 51% Pas adapté 16% Sans opinion 32% 27

28 Connaissance et représentation des structures de soutien à la fonction parentale Dans notre enquête, 79% des parents ne connaissent pas de «structures de soutien à la fonction parentale». Celles-ci sont très légèrement plus connues des personnes habitant en zone urbaine (24% contre 19% en zone rurale). Ces structures sont également plus connues des CSP + (Agriculteur Artisan, commerçant, chef d entreprise Profession libérale Cadre, Ingénieur, professeur) et des professions intermédiaires (Technicien, instituteurs ) que des CSP (Employé, ouvrier). En ligne : Connaissez-vous des structures de soutien à la fonction parentale? En colonne : CSP de la personne de référence du ménage CSP + Professions CSP - intermédiaires Oui 28% 26% 19% Non 72% 74% 81% Seulement 4% d entre eux ont déjà assisté à au moins trois de ces actions et 9% rarement (moins de 3 séances). Parmi les personnes qui ont rarement (moins de 3 fois) ou jamais participé à des activités organisées par des «structures de soutien à la fonction parentale», les raisons invoquées sont les suivantes : (plusieurs réponses étaient possibles à cette question) : 28

29 Après regroupement des modalités, les parents ne se rendent pas aux actions de soutien à la parentalité pour les raisons suivantes : méconnaissance (54%), manque de temps (32%), opposition de principe (30%), pas de besoin (26%). Si des actions de soutien à la parentalité devaient être organisées dans un lieu précis, c est à l école qu elles remporteraient le plus de succès (72%) puis la mairie (48%). Organiser ce type d activité dans un café n inciterait davantage que 13% des parents à y aller. Si des activités comme les groupes de parole, les conférences-débats ou les ateliers parents-enfants étaient organisées dans les lieux suivants, est-ce que cela vous inciterait davantage à y participer? Oui Non Mairie 48% 52% Ecole 72% 28% Club de sport 17% 83% Centre social 35% 65% Espace culturel 40% 60% Café 13% 87% Associations 48% 52% La présence de spécialistes lors de ces rencontres est bien perçue par les parents. En effet, la présence de psychologues et de médecins spécialistes inciteraient davantage 68% des personnes à y participer. Si des activités comme les groupes de parole, les conférences-débats ou les ateliers parents-enfants étaient animées par les personnes suivantes, est-ce que cela vous inciterait davantage à y participer? Oui Non Psychologue 68% 32% Médecin spécialiste 50% 50% Médecin généraliste 68% 32% Educateur 64% 36% Assistant social 38% 62% Enseignant 51% 49% Parent 52% 48% Dans la Vienne, Le REAAP (Réseau d Ecoute, d Appui et d Accompagnement des Parents) couvre le département avec 26 structures proposant des actions de soutien à la fonction parentale. D autres actions locales existent sans pour autant être référencées REAAP. A l heure actuelle, nous n en avons pas effectué un recensement. 29

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