ÉVOLUTION DU MARCHÉ DE L'ÉNERGIE EN 2000
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- Claude Cartier
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1 ÉVOLUTION DU MARCHÉ DE L'ÉNERGIE EN L ENERGIE DANS LE MONDE En 2000, la consommation mondiale d énergie primaire s est établie à 8.752,4 millions de tep ( tonnes équivalent pétrole), soit une augmentation de 2,1% par rapport à Tableau 1: Consommation d énergie primaire (en millions de tep) % var.00/99 % du total Am. Nord 2.514, , ,8 +2,7 30,1 dont USA 2.170, , ,6 +2,5 26,0 Am.Latine 365,9 363,4 371,6 +2,3 4,2 Europe 1.806, , ,8 +1,1 20,8 Ex-URSS 892,6 899,8 917,5 +2,0 10,4 dont Russie 595,2 606,8 621,3 +2,4 7,1 Moyen- 363,8 375,0 387,2 +3,2 4,5 Orient Afrique 257,4 262,7 269,4 +2,6 3,1 Asie-Pacif , ,0 2351,1 +2,1 26,9 dont Chine 845,4 759,7 752,7-0,9 8,6 dont Japon 497,9 505,9 511,3 +1,1 5,8 Total 8.548, ,2 8752,4 +2,1 100,0 Source: BP/Amoco Cette croissance plus soutenue qu en 1999 résulte de la conjonction des tendances suivantes: - la croissance de la consommation d énergie en Amérique du Nord (+2,7%) et en Amérique latine (+2,3%). Aux Etats-Unis, la consommation a augmenté de 2,5% alors qu en Europe, elle ne s est élevée qu à 1,1%. Pour l'union européenne (Eur15), la consommation d'énergie primaire s'est accrue à un rythme moins rapide en ,8% (chiffres Eurostat). Il convient de noter l accroissement de la demande énergétique dans l ex-urss (+2,0%), confirmant ainsi la fin de la période de transition des marchés énergétiques des pays de cette zone et de la Russie en particulier (+2,4%); - l augmentation de la demande énergétique de l Asie-Pacifique de 2,1 %. Le Japon enregistre une hausse de 1,1% de sa consommation d énergie, tandis que celle de la Corée du sud augmente de 5,7%. La consommation énergétique de la Chine diminue de 0,9% mais avec une intensité moins forte qu en 1999; - la croissance de la demande énergétique en Afrique (+2,6%) et au Moyen-Orient
2 (+3,2%) dont les niveaux de consommation sont cependant très en deçà de ceux observés dans les autres régions du monde. 2 En termes de parts de marché, le pétrole reste le vecteur énergétique le plus consommé au plan mondial avec 40,0%, suivi par le charbon (25,0%) et le gaz naturel (24,7%). Le nucléaire ne représente que 7,6% du marché mondial et l hydroélectricité 2,7 %. Le tableau 2 montre l'évolution de ces parts de marché pour les années 1999 et Tableau 2: Parts de marché des sources d énergie (en %) Mtep % Mtep % Pétrole 3.469,1 40, ,6 40,0 Gaz naturel 2.065,2 24, ,0 24,7 Charbon 2.159,9 25, ,0 25,0 Nucléaire 651,5 7,6 668,6 7,6 Hydroélectricité 226,6 2,6 230,4 2,7 Total 8.572,2 100, ,4 100,0 Source:BP/Amoco La consommation de pétrole a augmenté de 1,0% en 2000 et celle de gaz naturel a connu une hausse plus importante de 4,8%. Pour le pétrole, cette augmentation est due essentiellement à la hausse de la consommation de la zone Asie - Pacifique (+2,8%), tandis que pour le gaz, elle s explique, en grande partie, par une hausse généralisée de la demande de ce produit à l échelle mondiale. Après trois années de baisse consécutive, la demande de charbon a connu une hausse au niveau mondial de 1,2%, chiffre à comparer à une évolution moyenne de 0,4% sur 10 ans. En revanche, la part du charbon dans la consommation primaire mondiale continue de diminuer pour atteindre 25,0 % en 2000 contre 25,2% en Le charbon a progressé de 3% en Europe de l Ouest, soit la plus forte augmentation depuis 10 ans. Cette reprise de la demande en charbon résulte notamment de prix plus compétitifs par rapport au pétrole et au gaz. La consommation d énergie nucléaire a poursuivi sa progression aux Etats-Unis (+3,4%), induisant une hausse globale de 2,6% au plan mondial. La contribution de l hydroélectricité, au plan mondial, a progressé de 1,7% en En Europe, la consommation d énergie hydraulique, fortement dépendante du climat, a augmenté de 3,7% (+1,9 Mtep), avec en tête la Norvège, l Espagne et la Suède. Les Amériques centrale et du Sud ont vu leur consommation d hydroélectricité augmenter fortement (+4,0%) en raison du niveau élevé de précipitations relevées en 2000 dans cette zone géographique.
3 2. NOUVELLES CONVENTIONS GENERALES UTILISEES LORS DE L ELABORATION DU BILAN ENERGETIQUE PRIMAIRE Le pouvoir calorifique d un combustible peut être supérieur (PCS) ou inférieur (PCI) selon qu il inclut ou non la chaleur latente de vaporisation résultant de la teneur en hydrogène et notamment, de la teneur en humidité du combustible. Dans la mesure où cette chaleur peut être récupérée (notamment dans le cas du gaz naturel), le pouvoir calorifique supérieur est susceptible d être utilisé. Dans le cas contraire, c est le pouvoir calorifique inférieur qui est pris comme base de référence. Les bilans publiés par l Administration de l Energie considéraient l ensemble des énergies en pouvoir calorifique inférieur (PCI), à l exception des combustibles gazeux qui étaient, quant à eux, exprimés en pouvoir calorifique supérieur (PCS). L Administration de l Energie s alignera dorénavant sur la convention généralement admise par les organismes internationaux (Eurostat, AIE) de ne considérer l ensemble des énergies du bilan primaire global que sur la base de leur pouvoir calorifique inférieur(pci). Les données reprises dans les publications de l Administration de l Energie seront exprimées à l avenir en PCI pour l ensemble des énergies du bilan primaire global. Cependant, pour assurer une cohérence avec les publications précédentes, l Administration publiera le facteur de conversion permettant d exprimer le gaz naturel en PCS. L énergie nucléaire était jusqu à présent comptabilisée au bilan primaire en équivalent de combustibles fossiles nécessaires pour produire dans les centrales thermiques classiques la quantité équivalente de la production nucléaire sur la base d un rendement global thermique égal à 38,5%. L Administration de l Energie, suivant en cela les conventions des organismes internationaux, comptabilisera à l avenir l énergie nucléaire sur la base du rendement réel des centrales nucléaires estimé à 33%. L électricité primaire composée de l électricité hydraulique, des énergies renouvelables et des mouvements avec l extérieur sera comptabilisée sur la base d un rendement réel équivalent à 100%. L électricité obtenue à partir des centrales de pompage ne sera plus comptabilisée en tant qu énergie primaire APERÇU GÉNÉRAL DE L ÉVOLUTION DU MARCHÉ ÉNERGÉTIQUE EN BELGIQUE
4 En 2000, la consommation apparente brute d'énergie primaire (non corrigée des variations climatiques) de la Belgique s'est élevée à 58,436 millions de tep (tonnes équivalent pétrole), soit une progression de 1,9% par rapport à Les principales tendances qui se dégagent de cette évolution au niveau des produits sont les suivantes : une très forte hausse de la consommation des combustibles solides (+12,0%) imputable surtout à une augmentation de la demande dans certains secteurs utilisateurs (centrales électriques et sidérurgie); une consommation pétrolière stable (légère progression de 0,3%), résultant de l augmentation de la demande dans certains secteurs de la consommation finale (industrie et usages non énergétiques); une diminution de l'énergie nucléaire (-1,8%) en raison d'un taux de disponibilité moins élevé (90,7%) qu en 1999 (93,3%) des centrales nucléaires; une quasi-stabilité de la consommation primaire de gaz naturel (+0,3%) en raison d'une évolution contrastée de la demande dans les principaux secteurs utilisateurs qui enregistrent une diminution dans les centrales électriques (-10,8%) ou les usages non énergétiques (-5,4%) et une augmentation dans l industrie (+10,2%) et le résidentiel (+1,5%). Le climat de l'année 2000 s est révélé, en termes de degrés-jours, plus clément que celui de l'année En effet, le nombre de degrés-jours (15/15) diminue sensiblement de 3,4% par rapport à Le degré-jour est un indicateur qui permet de caractériser la rigueur d'une saison de chauffe en un lieu donné. Cette diminution des degrés-jours qui se traduit en principe par une réduction du niveau de la consommation d'énergie du secteur résidentiel, a eu effectivement pour effet d'induire une telle évolution dans ce secteur. En effet, d'après les niveaux de consommation relevés en 2000, les usages domestiques ne comprenant ni le commerce, ni l agriculture, voient leur consommation diminuer globalement de 2,0%. En termes de parts de marché, seuls les combustibles solides voient leur part croître en 2000 qui passe de 13,0% en 1999 à 14,3 % en 2000.
5 La part du gaz naturel passe de 23,3% en 1999 à 22,9% en 2000, celle du pétrole varie de 41,2% en 1999 à 40,5% en 2000, tandis que celle du nucléaire régresse de 22,3% en 1999 à 21,5% en Tableau 3 : Consommation apparente brute d'énergie primaire 1999 en 1000 tep 2000 en 1000 tep Variation En % 00/99 Combustibles solides ,0 Pétrole ,3 Gaz naturel (2) (2) + 0,3 Energie nucléaire (2) (2) - 1,8 Autres (Electricité) (1) Total ,9 Source : M.A.E., Administration de l'energie (1) Le signe (-) exprime un solde exportateur, le signe (+) un solde importateur (2) PCI pour le gaz naturel et 33% pour le rendement primaire des centrales nucléaires Tableau 4 : Parts de marché des sources d'énergie (en %) en %
6 6 Combustibles solides 13,0 14,3 Pétrole 41,2 40,5 Gaz naturel 23,3 22,9 Energie nucléaire 22,3 21,5 Autres 0,2 0,8 Source : MAE, Administration de l'energie 3.1. Dépendance énergétique Le degré total de dépendance énergétique du pays qui est tombé de 93,8% en 1973 à 75,7% en 1985 pour passer ensuite à 85,4% en 1990 et à 86,1% en 1995, demeure relativement stable à 85,5% en Le degré de variation de la dépendance globale du pays reste essentiellement tributaire de la contribution de l énergie nucléaire au bilan primaire. La dépendance à l égard du pétrole est passée de 65,3% en 1973 à 44,2% en 1985 et de 47,2% en 1999 à 49,0% en Graphique 1: Degré de dépendance en % 100,0 90,0 80,0 70,0 60,0 50,0 40,0 30,0 20, Dépendance totale Dépendance pétrolière 3.2. Intensité énergétique primaire
7 7 Comme l indique le graphique 2, le taux de croissance de l'économie qui s'élève à 4,0% (PIB) en 2000 contre 2,5% en 1999, a progressé plus rapidement que celui de la consommation primaire d'énergie (+1,9%) montrant ainsi, surtout depuis 1985, un desserrement du lien entre croissance économique et consommation énergétique. L intensité énergétique primaire, calculée comme étant le rapport entre la consommation d énergie primaire et le PIB exprimé en volume (prix 1990), marque une rupture de tendance qui est observée depuis Graphique 2: Intensité énergétique (100=1980) Indice PIB Indice consommation primaire Indice intensité énergétique
8 8 Après avoir fortement baissé entre 1980 et 1985, l intensité énergétique n a cessé de croître jusqu en 1996 pour diminuer de manière régulière depuis lors. Le maintien d une telle tendance dans un environnement économique de croissance économique (+4,0% en 2000) semble indiquer une certaine permanence du desserrement du lien entre croissance économique et consommation énergétique. 4. LA CONSOMMATION FINALE D'ÉNERGIE La consommation finale d'énergie qui représente la consommation apparente brute d'énergie primaire après déduction des transformations et des pertes d'énergie a également enregistré une hausse de 2,7% en 2000 résultant d'évolutions sectorielles relativement contrastées. La consommation finale du secteur industriel comprenant la sidérurgie augmente de 8,2% entre 1999 et Hors sidérurgie, cette hausse s'établit à 7,7% alors que la sidérurgie seule enregistre une augmentation de 8,9%. Sur la période 1979/2000, le seul secteur de la sidérurgie a connu une diminution de 19,0% de sa consommation finale tandis que le secteur industriel considéré dans son ensemble, voyait sa consommation finale décroître de 0,8% pour la même période. Le secteur industriel hors sidérurgie voit sa consommation augmenter de 13,4% durant cette même période. Les changements structurels et technologiques ont indéniablement joué un rôle prépondérant dans cette évolution. Le secteur transport qui enregistre un léger tassement en 2000 avec une diminution de 0,2%, représente l un des secteurs où la consommation finale a enregistré la hausse la plus spectaculaire sur la période 1979/2000 (+61,9%). Le secteur résidentiel considéré, dans sa globalité, voit sa consommation finale diminuer assez nettement en 2000 de 3,0% compte tenu de la diminution des degrés-jours relevés en La consommation du secteur domestique diminue de 2,0% en 2000 et celle du tertiaire (commerce et services) est, quant à elle, en très légère hausse de 0,2%. Il convient de noter la baisse de la consommation finale dans l agriculture de 19,7%. Sur la période 1979/2000, la consommation finale du secteur résidentiel et équivalents diminue de 2,3%. Les usages non énergétiques qui constituent l'indicateur d'activité de l'industrie pétrochimique (naphta, gaz naturel) progressent fortement de 10,9% en Sur la période 1979/2000, cette progression s'élève à 92,3%.
9 Au niveau des parts de marché de la consommation finale, le pétrole avec 50,7% reste, en 2000, l'énergie dominante immédiatement suivi par le gaz 25,9%, l'électricité 15,4% et les combustibles solides 8,1%. Dans le secteur industriel, le pétrole avec 11,2% est très nettement distancé par le gaz naturel 40,4%, l'électricité 24,7% et les combustibles solides 23,7%. Quant au secteur résidentiel, le pétrole demeure toujours le premier combustible en termes de parts de marché avec 41,9% en 2000 suivi par le gaz naturel avec 34,6%, l'électricité avec 21,9% et les combustibles solides avec 1,5%. 9 Tableau 5 : Consommation finale d'énergie par secteur et par vecteur énergétique en % Vecteur énergétique Sidérurgie Autres industries Transport Résidentiel Usages non énergétiques Années Electricité 11,6 11,9 32,8 32,0 1,3 1,3 20,8 21,9 - - Gaz 27,7 28,0 46,9 47, ,0 34,6 14,7 12,6 Pétrole 0,9 4,0 15,1 15,2 98,7 98,7 44,8 41,9 85,3 87,4 Combustibles solides Source : M.A.E., Administration de l'energie 59,7 56,2 5,2 5, ,4 1,5 - - Le pétrole dont la part reste prépondérante dans la consommation finale totale du pays assure principalement la couverture des besoins des secteurs transport, résidentiel et usages non énergétiques. L'électricité et le gaz jouent en revanche un rôle majeur dans l'industrie et le résidentiel, alors que l'usage des combustibles solides reste essentiellement limité à la sidérurgie.
10 10 5. LA BALANCE COMMERCIALE DES PRODUITS ÉNERGÉTIQUES Les résultats de l'année 2000 indiquent une nette détérioration de près de 128 milliards BEF du solde de la balance commerciale des produits énergétiques par rapport à 1999 en raison principalement de la cotation élevée du Brent (+58,8% en moyenne par rapport à 1999). Ce niveau élevé de la cotation du Brent en 2000 n a été que modérément compensé par la relative baisse du cours du dollar en 2000 (-1,6% en moyenne par rapport à 1999). Le solde pour 2000 qui s'élève à 277,6 milliards, a été calculé sur la base d'une importation d'une valeur totale de quelque 559,8 milliards (+80,9% par rapport à 1999) et d'une exportation d'une valeur totale de quelque 282,2 milliards BEF (+76,7%). La croissance des exportations a contribué à ralentir le montant de la facture énergétique. La facture pétrolière est passée de 114 milliards en 1999 à près de 206 milliards en 2000 soit une augmentation de 92 milliards BEF. La facture gazière augmente également sensiblement en 2000 pour s'établir à 78 milliards BEF contre 43 milliards BEF en 1999, soit une croissance de 35 milliards BEF. Les importations de gaz doublent pratiquement en valeur en 2000 par rapport à 1999 et les exportations enregistrent un triplement de leur valeur en Les combustibles solides présentent un solde importateur qui s'établit à 17,6 milliards de BEF en 2000 contre 15,1 milliards de BEF en Le pétrole brut et les produits pétroliers représentent à eux seuls, en 2000, 68,3% de la facture énergétique totale du pays, le gaz et les combustibles solides voient leurs parts s'établir à 31,7%. Tableau 7 : Balance commerciale énergétique (UEBL) 10 6 BEF Import Export Import Export Combustibles solides Dont charbons et agglo Pétrole et prod pétroliers Pétrole brut Produits dérivés Gaz naturel et gaz d'usines Dont gaz naturel
11 11 Electricité Autres Total Solde Source : I.C.N. 6. LE MARCHÉ DE L'ÉLECTRICITÉ La production totale primaire d'électricité s'est élevée à GWh, soit une très légère baisse de 0,7% en Cette production a été assurée à raison de 57,4% par les unités nucléaires. Les centrales thermiques classiques ont fourni 40,6% de l'électricité produite (combustibles solides 15,4%, combustibles gazeux 22,8%, fuel liquide 1,0% et vapeur de récupération 1,4%), soit GWh. Le solde de la production, soit 2,0%, a été assuré par les centrales de pompage, l'énergie hydraulique et les renouvelables. La part des combustibles liquides dans la production d'électricité présente depuis de nombreuses années une tendance à la baisse. En effet, cette part qui est passée de 38,3% en 1968 à 52,7% en 1971, ne représente plus que 1,0% en Tableau 8 : Structure de la production d'électricité en % de la production totale Energie nucléaire 58,0 57,4 Combustibles solides (y compris la vapeur de récupération et les autres combustibles) 13,2 16,8 Total énergie nucléaire et combustibles 71,2 74,2
12 12 solides Combustibles gazeux 25,8 22,8 Combustibles liquides 1,2 1,0 Energie hydraulique et centrales de pompage 1,8 2,0 Source : M.A.E., Administration de l'energie La consommation finale d'énergie électrique a augmenté de 4,0% en Cette progression de la demande d'électricité a principalement été soutenue par la hausse enregistrée dans l industrie (+5,9%) et, dans une moindre mesure, par celle observée dans le résidentiel et équivalents (+2,1%). Au niveau industriel, la sidérurgie enregistre une hausse de 10,9%, la chimie progresse de 5,4%, l alimentation de 4,9% et la papeterie de 2,0%. La progression de la consommation dans l'industrie constatée en 1999, s'est poursuivie en 2000 mais à un rythme nettement plus soutenu en raison d'une croissance économique plus élevée (croissance du PIB +4,0% en 2000 contre +2,5% en 1999). Les usages domestiques qui recouvrent les consommations en basse tension enregistrent une hausse modérée de 1,1% en Le tertiaire connaît en revanche une croissance très forte de l ordre de 4,2%. Le secteur du transport voit sa consommation d'électricité poursuivre sa croissance de 2,8% en 2000, reflétant ainsi une certaine reprise du trafic ferroviaire Commerce de l'électricité Le volume total des échanges d'énergie électrique a atteint avec l'extérieur GWh en 2000 contre GWh en 1999, soit une hausse de 9,8%. Le degré d'ouverture du pays par rapport à l'énergie appelée se situe à 22,9%. Ce degré d'ouverture reste l'un des plus élevés de l'union européenne. Le tableau suivant reprend, pour les principaux pays de l'union européenne, le solde de ces échanges en le rapportant à la production primaire brute d'électricité. La France est le seul pays européen qui présente un solde exportateur très élevé de GWh, ce qui correspond à 14,7% de sa production brute d'électricité. Elle dispose par conséquent d'importantes capacités d'exportation susceptibles de répondre aux besoins des autres pays de l Union européenne.
13 13 Tableau 9 : Solde des échanges d'électricité dans l'union européenne 2000 Solde net des import. en GWh % par rapport à la prod. brute Solde net des export. en GWh % par rapport à la prod. brute Allemagne ,6 - - France ,7 Royaume-Uni ,6 - - Italie ,9 - - Pays-Bas ,4 - - Belgique ,9 - - Eur ,6 - - Source : Eurostat + calculs M.A.E., Administration de l'energie Les principaux pays importateurs de l'union européenne sont l'italie avec un solde importateur net de GWh soit 13,9% de sa production brute, suivie d'assez loin par les Pays-Bas avec un solde de GWh, soit 17,4% de sa production brute et le Royaume-Uni dont le solde s'élève à GWh, soit 3,6% de sa production brute. 7. LE MARCHÉ DU GAZ NATUREL La consommation finale totale de gaz naturel enregistre une augmentation assez nette de 4,7% en Cette tendance résulte de la hausse de l utilisation du gaz dans certains secteurs consommateurs, tels l industrie et les usages du secteur résidentiel et équivalents comprenant notamment le tertiaire. La consommation finale de gaz naturel dans l'industrie augmente fortement de 10,2% compte tenu de la croissance soutenue de notre économie en 2000 (+4,0% d'accroissement du PIB). Les ventes aux centrales électriques sont en baisse de 10,8% par rapport à l année dernière. Cette diminution est due à un usage plus intensif des combustibles solides momentanément plus compétitifs et à des achats plus importants d énergie électrique à l extérieur. L'utilisation du gaz naturel en tant que matière première connaît une diminution assez nette de 5,4% en La consommation finale du secteur domestique et équivalents enregistre en 2000 une hausse modérée de 1,5%. La hausse est surtout perceptible au niveau du tertiaire avec une croissance de 3,5%. En revanche, la consommation dans le secteur résidentiel demeure assez stable (+0,6%) en raison principalement de conditions climatiques favorables et des degrés-jours qui diminuent sensiblement de 3,0% en 2000.
14 14 Tableau 10 : Situation du marché du gaz naturel En 10 6 GJ (PCS) Var. en % Consommation finale totale 451,7 472,9 +4,7 Industrie 194,5 214,4 +10,2 Domestique et équiv. 221,7 225,0 +1,5 Usages non énerg. 35,4 33,5-5,4 Centrales électriques (1) 165,5 147,6-10,8 (1) y compris les autoproducteurs Source : M.A.E., Administration de l'energie L'approvisionnement gazier du pays est couvert par trois grands fournisseurs, à savoir : la Norvège avec 33,3%, les Pays-Bas avec 33,3% et l'algérie avec 26,8%. Les contrats conclus avec ces fournisseurs sont de type "Take or Pay" à long terme. L'Allemagne approvisionne également notre marché avec une part plus faible qui représente actuellement 2,0% de nos importations totales. Notre approvisionnement est également assuré par des achats à court terme par l intermédiaire de l Interconnector et du Hub de Zeebrugge pour un montant qui représente actuellement 4,6% de nos importations totales. Notre approvisionnement, basé principalement sur des contrats à long terme, sera à l avenir complété par des contrats à court terme en vue de réduire les coûts d acheminement du gaz en Belgique. 8. LE MARCHÉ DES COMBUSTIBLES SOLIDES La consommation intérieure primaire des combustibles solides enregistre une croissance assez nette de 12,0% en Ce résultat est surtout la conséquence de la hausse de la demande enregistrée au niveau du secteur de la transformation, à savoir : les cokeries (+5,3%) et les centrales électriques (+17,4%). Cette évolution de la demande intérieure a eu pour effet d accroître les importations de 6,2% en La consommation finale totale des combustibles solides augmente de 3,1% en 2000, la plupart des secteurs utilisateurs étant orientés à la hausse surtout dans l industrie en général où la demande s accroît globalement de 3,0%. La sidérurgie enregistre, quant à elle, une augmentation de 1,9%.
15 Les chiffres relatifs au secteur domestique (+5,4%) renforcent l'orientation générale à la hausse du marché des combustibles solides. La Belgique importe la quasi-totalité de sa consommation de houille. Les principaux fournisseurs restent l'australie (31,2%), l'afrique du Sud (27,8%) et les Etats-Unis (19,9%). Quant aux échanges intracommunautaires, c'est avec les pays limitrophes (Allemagne, Pays-Bas, France et le Royaume-Uni) qu'ils sont les plus élevés LE MARCHÉ PÉTROLIER La consommation primaire de pétrole est restée relativement stable sur le marché belge puisqu elle n a varié que de +0,3% en 2000 et ce, malgré l évolution positive du taux d utilisation des raffineries qui est passé de 87,8% en 1999 à 88,3% en Globalement, si la consommation finale totale de produits raffinés augmente légèrement de 1,1% par rapport à 1999, les usages non énergétiques qui mesurent l'importance des livraisons de matières premières pétrolières utilisées dans la pétrochimie enregistrent une nouvelle hausse en 2000 (+13,7%) en raison du maintien d une conjoncture soutenue dans ce secteur. La consommation finale du secteur industriel qui est en hausse de 20,6% en 2000 n a, quant à elle, pas été trop affectée par la forte hausse des prix du pétrole. Le secteur domestique et équivalents voit sa consommation finale diminuer sensiblement de 9,1%. La consommation des usages domestiques diminue de 6,4% en raison des conditions climatiques favorables et de la diminution des degrés-jours (-3,0%) constatée en La consommation finale du commerce baisse également de 6,3% en La consommation finale du secteur transport reste à un niveau quasi inchangé par rapport à 1999 (-0,2%). La part de consommation due à des usages «non substituables» (transports et usages non énergétiques) représente 61,2% de la consommation primaire de pétrole et 65,9% de sa consommation finale. Au niveau des produits, les carburants routiers enregistrent une très légère hausse de 0,9% en Les livraisons d'essence auto diminuent sensiblement de 6,2% alors que celles du gasoil routier augmentent de 5,4%. Cette évolution très contrastée résulte d'une diésélisation accrue du parc automobile et d une fiscalité qui reste très favorable au diesel.
16 Cette assertion doit cependant être nuancée car, selon la FEBIAC, la répartition du parc automobile par type de carburant s établit comme suit en 2000 : 58,8% de voitures à essence contre 54,8% en 1999 ; 39,9% de voitures diesel en 2000 contre 43,4% en Le gasoil routier représente, en 2000, 68,3% des livraisons totales de carburants routiers contre 65,7% en La part de l'essence auto s'élève à 30,4% en 2000 contre 32,9% en 1999, alors que le LPG ne représente que 1,3% de ces livraisons en 2000 (chiffre en légère diminution par rapport à 1999). En 2000, le GPL voit sa progression stoppée (-7,5%) tandis que les carburéacteurs enregistrent une baisse de l ordre de 1,9%. Le fuel résiduel voit ses livraisons diminuer de 18,2% en Le naphte principalement utilisé dans la pétrochimie en tant que matière première présente une progression importante de 15,6% en L'approvisionnement extra-communautaire en pétrole du pays est couvert à 38,1% par le Proche et Moyen-Orient (dont 26,0% par l'arabie Saoudite), 34,2% par la Norvège, 20,5% par l'europe Orientale (essentiellement la Russie) et 3,7% par le continent américain. L Afrique n intervient que pour 3,5% dans ces importations. Les pays de l'opep représentent 38,4% du total de nos importations extracommunautaires de pétrole brut contre 86,6% en 1979 et 43,4% en Tableau 11 : Structure des livraisons des principaux carburants en ktep /99 en % Essence auto ,2 Gasoil routier ,4 Carburéacteurs ,9 GPL ,5 Total ,9 Source : MAE, Administration de l'energie 10. L'ÉVOLUTION DES PRIX MOYENS A LA CONSOMMATION DES PRINCIPAUX PRODUITS ÉNERGÉTIQUES
17 Situation générale De manière générale, les prix moyens à la consommation des principaux produits pétroliers ont augmenté en 2000 principalement sous l'effet de la hausse des prix du pétrole brut ( Prix du Brent : +58,8%). En effet, le prix moyen du pétrole brut importé au sein de l UEBL (prix CIF) est passé de BEF/t en 1999 à BEF/t en Par rapport à 1999, cela représente un accroissement de 86,0% du prix de ce produit. En raison des mécanismes d indexation liés à l évolution des prix du pétrole brut, le prix moyen du gaz naturel importé est passé de 463 BEF/t en 1999 à 748 BEF/t en 2000, soit une croissance de 61,6%. Moins touché par l effet de cette hausse, le prix moyen des combustibles solides importés est passé de BEF/t en 1999 à BEF/t en 2000, ce qui représente une augmentation de 12,7%. Cette relative stabilité des prix des combustibles solides a joué un rôle non négligeable dans l accroissement de la demande pour ces produits au niveau notamment des centrales électriques. Les carburants routiers voient leur niveau de prix augmenter en 2000 dans des proportions assez nettes. En effet, le prix moyen du gasoil routier augmente de 23,6%, celui de l'essence super sans plomb (95) de 17,3% et de l'essence super sans plomb (98) de 18,1%. Le prix moyen du gasoil de chauffage subit une hausse spectaculaire de 66,9% en 2000 alors que celui du gaz naturel (tarif B de chauffage) n augmente que de 29,1%. En ce qui concerne l'électricité, le tarif normal a enregistré une augmentation moyenne de 2,8% en 2000 (il passe en effet de 5,98 F/kWh en 1999 à 6,15 F/kWh en 2000). Tableau 12 : Evolution des prix moyens à la consommation Var.00/99 Gasoil routier (F/L) 26,46 32,70 +23,6 Gasoil chauffage (F/L) 8,87 14,80 +66,9 Essence Super sans plomb 95(F/L) 37,15 43,58 +17,3 Essence Super sans plomb 98(F/L) 37,89 44,73 +18,1 Gaz naturel (tarif B) F/m 3 (1) 9,94 12,83 +29,1 Electr. Tarif normal F/kWh (2) 5,98 6,15 +2,8 Source : M.A.E., Administration de l'energie (1) Seuls le terme proportionnel et le tarif exprimé en F/m 3 sont donnés, à titre indicatif, pour un contenu énergétique de 35,169 MJ/m 3 ; (2) Uniquement le terme proportionnel Au niveau industriel, les prix moyens du fuel lourd (3% de S) enregistrent également une hausse importante en 2000 de l'ordre de 51,6% (voir tableau de l annexe statistique p.a/34).
18 Après avoir diminué en 1999, les prix moyens de vente de gaz naturel à l'industrie connaissent une augmentation de 40,4% en Les prix moyens "haute tension" de l'électricité qui ont diminué de 5,6% en 1999, ont poursuivi en 2000 la même tendance à la baisse mais de manière moins nette que l année dernière (-0,5%) Remarque importante Lors de toute comparaison entre les vecteurs énergétiques, le rendement thermique de l'installation de chauffage doit être pris en considération. Il y a également lieu d'inclure l'ensemble des éléments intervenant dans la formation des coûts énergétiques totaux du gaz, du gasoil et de l'électricité (frais d'exploitation et d'entretien). Il existe, en outre, des différences dans le coût d'investissement initial par type d'installation Facteur de conversion Pour convertir le gaz naturel PCI en PCS, il convient de multiplier le chiffre de consommation du gaz naturel PCI par le facteur 1,
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