Commerce extérieur agroalimentaire français ( ) 1
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- Hugues Jean-Luc Poitras
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1 Les notes d alerte du CIHEAM N 89 3 Décembre 2012 Commerce extérieur agroalimentaire français ( ) 1 Thierry Pouch Direction économie des agricultures et des territoires, Chambres d agriculture, France L agroalimentaire français s est mis à dégager structurellement et durablement un excédent commercial seulement à partir de la deuxième moitié de la décennie Notre pays s est alors hissé aux premiers rangs dans la hiérarchie des exportateurs mondiaux. Auparavant, l économie française restait dépendante de pays extérieurs pour son approvisionnement alimentaire. Ce basculement n a donc été que progressif. Retour sur une dynamique aujourd hui entravée par l affirmation de nouveaux concurrents. Analyser l évolution sur longue période du commerce extérieur français dans sa globalité, c est toucher du doigt la précarité des performances à l exportation de l économie française dans son ensemble! Le déficit de l année 2011, -70 milliards d a été, de ce point de vue, le point culminant d une dérive de la compétitivité des produits français sur les marchés mondiaux. Comparativement à l Allemagne, l économie française n a qu à peu de reprises fait la preuve de sa capacité à supporter la concurrence internationale. Ces médiocres performances de l économie française à l exportation s inscrivent dans un contexte de rétrécissement des spécialisations internationales, imputable à l arrivée de nouveaux concurrents que l on appelle désormais les «pays émergents», ou encore et par commodité, BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud). Depuis plus de dix ans, la balance commerciale de la France est constamment déficitaire. 1 Cette note est extraite du n 1016 de la revue Chambres d'agriculture, avec l'aimable autorisation de sa rédaction 1
2 Quelques secteurs tirent toutefois leur épingle du jeu. C est le cas de l agroalimentaire qui, par contraste, dégage depuis une quarantaine d années un excédent structurel et manifestement durable. Cet excédent en 2011 s est fixé à 11 milliards d. Il semble donc opportun de se pencher sur le cas de l agroalimentaire, de comprendre pourquoi il s agit d un secteur certes concurrencé, mais qui demeure l un des fleurons de l appareil exportateur français. Au début des années 60, ce secteur accumulait plutôt des déficits. Le commerce extérieur français de produits agricoles et alimentaires, c est en réalité l histoire du basculement d une position déficitaire à celle où l excédent prédomine. Cela prouve que la spécialisation d une économie dans un ou des produits n est pas figée, qu elle évolue au gré des décisions et actions politiques prises et menées au moment opportun, afin qu elle puisse s imposer à terme comme un acteur de poids sur l échiquier économique mondial. La position de leader détenue par la France en matière de flux de produits agricoles et alimentaires est pourtant aujourd hui contestée par l affirmation de nouveaux concurrents, comme le Brésil, l Argentine, demain le Chili ou l Afrique du Sud. Cette situation incite les responsables économiques à se pencher sur les critères et la définition d une nouvelle stratégie visant à préserver, voire à conquérir de nouveaux marchés. Le cinquantenaire de la PAC et des Lois d orientation de fournit l occasion de retracer cette histoire et de suivre le cheminement de l agriculture française vers la performance à l exportation. Car si la PAC ne contient pas de visée exportatrice, le premier alinéa de l Article 1 de la Loi d Orientation de 1960 indique que cette Loi a pour but d accroître «la contribution de l agriculture au développement de l économie française et de la vie sociale nationale, en équilibrant la balance commerciale agricole globale du territoire national, compte tenu de l évolution des besoins, des vocations naturelles du pays, de sa place dans la Communauté et la Communauté économique européenne et de l aide à apporter aux pays en voie sous-développés» 2. Une lente internationalisation Grande puissance agricole dans l Europe communautaire en voie de formation, la France n en était pas moins au début des années 60 dépendante de l extérieur pour ses approvisionnements alimentaires. Si l on retient le taux de couverture comme indicateur de base des performances d un pays sur les marchés extérieurs, une mise en perspective historique indique que ce critère était particulièrement faible en 1959 pour les produits agricoles, 20,5% (y compris la sylviculture et la pêche), un peu moins faible pour les produits de la transformation (90,3%) (y compris les produits à base de tabac) (graphique 1). Toujours en 1959, le taux de couverture global (biens et services) de l économie française se situait aux alentours de 117 %. En 2011, la situation est inversée, preuve que la compétitivité de la France s est dégradée dans son ensemble, alors que le secteur agroalimentaire a progressivement gagné en efficacité 3. 2 Journal Officiel de la République française, 7 août 1960, page Le taux de couverture rapporte les exportations aux importations en pourcentage. Une économie dégageant un taux de couverture de plus de 100% est considérée comme performante à l exportation, et un taux de moins de 100% indique une économie peu compétitive. 2
3 Graphique 1 Le commerce extérieur de la France Commerce extérieur de la France Taux de couverture Produits agriculture, sylviculture et pêche 140 en %, base Industries agroalimentaires 118, Chambres d'agriculture - Études économiques source : INSEE, comptes nationaux Le secteur des produits agricoles parvient durant trois années à obtenir un taux de couverture supérieur à 100 %, entre 1971 et À partir de 1975, une dégradation passagère est observée, ce taux évoluant jusqu en 1979 entre 68 et 95,5%. Ce n est qu en 1980 que la France prend place dans la hiérarchie des nations les plus performantes en matière de commerce extérieur de produits bruts, puisque le taux de couverture ne redescendra plus en deçà des 100%. Concernant les produits transformés, le basculement au-dessus des 100 % remonte également de 1971, mais apparaît plus durable que dans le cas des produits bruts. Dans les deux cas, ce redressement du taux de couverture a été en partie imputable à la dévaluation du Franc de 1969, laquelle a stimulé les exportations de produits agroalimentaires. Les échanges des années 1977 et 1978 conduisent à un taux de couverture inférieur à 100%. Dès 1979, cet indicateur demeurera très au-dessus de l équilibre. Parmi les autres éléments explicatifs des succès des échanges français de produits agroalimentaires, figure d une part et bien évidemment l impact du marché commun et de la PAC en particulier, l offre française progressant selon un rythme soutenu, notamment en ce qui concerne les produits végétaux et, d autre part, sur les gains de productivité. De plus, la demande intérieure n a pas connu une croissance aussi dynamique que la production, occasionnant ainsi une élévation des niveaux des stocks. Cette situation a obligé peu à peu les Pouvoirs publics à rechercher des débouchés extérieurs, lesquels, s agissant des pays tiers, ont nécessité le recours au mécanisme des restitutions. Si la sécheresse de l été 1976 a entraîné une contraction brutale de l offre de produits agricoles et alimentaires et donc des exportations, ces dernières n en ont pas moins été multipliées par plus de six entre 1961 et Ce à quoi on assiste dans le cas français, ce n est ni plus ni moins qu une internationalisation du secteur agroalimentaire par le jeu des échanges de produits agricoles et alimentaires. La taux d internationalisation de la France en produits agroalimentaires est ainsi passé de 13,6 % en 1961 à 26,3 % en 1980, 33 % en 1990 et près de 36 % en 2011 (graphique 2). Ce processus était en phase avec le choix de l ouverture internationale opéré par les gouvernements successifs depuis
4 (les exportations totales de l économie française sont ainsi passées de 13,8 % à 27,7 % du PIB entre et selon l OCDE), le tournant décisif se situant en 1969, lorsque la décision de dévaluer la devise française fut une façon de préparer les secteurs d activité aux prémices de la mondialisation. Graphique 2 Taux d internationalisation 4 Taux d'internationalisation (secteur agricole) : 13,6 % 35,5 30 en % Chambres d'agriculture - Études économiques source : Agreste - calculs APCA débouchant sur la formation d excédents durables L évolution du solde commercial agroalimentaire est intéressante à observer, dans la mesure où elle permet de rappeler que la France n a pas toujours été excédentaire. Si cet excédent constitue aujourd hui une donnée de base de l économie française, il est important de rappeler que notre pays a accumulé les déficits commerciaux en produits agricoles et alimentaires entre 1961 et 1978, les soldes excédentaires obtenus de 1971 à 1975 ayant constitué les signes annonciateurs des excédents durables futurs (tableau 1 et graphique 3). La distinction dans le solde agroalimentaire français entre produits bruts et produits transformés montre, qu à partir de la fin des années70, les produits transformés dégagent un excédent toujours supérieur à celui obtenu sur les échanges de produits bruts. L écart se creuse sous l effet des réformes de la PAC engagées dès 1992, du fait de la diminution des prix, sauf en fin de période, puisque les exportations de céréales ont fortement contribué au redressement de l excédent en produits bruts dans un contexte de redressement des prix mondiaux (graphique 3). L évolution des échanges agroalimentaires livre une autre information. Il est frappant de constater que, depuis 1961, quatre produits ont systématiquement dégagé des excédents: les céréales et produits à base de céréales, le lait et produits laitiers, le sucre à l exception de 1967, les vins et boissons, sauf sur les années 1961 et Les fruits et légumes, les conserves de fruits et de légumes, ainsi que les huiles et corps gras et les produits de la pêche ont souvent, voire toujours, été des 4 Le taux d internationalisation, TI se calcule de la façon suivante. TI = TE = (1-TE)*TP en pourcentage, avec TE taux d exportation (exportation sur production en pourcentage), et TP taux de pénétration du marché intérieur (importations/demande intérieure)*100. 4
5 secteurs déficitaires. Une sorte d invariants structurels existerait ainsi dans la ventilation sectorielle des soldes commerciaux. Tableau 1 Evolution du solde commercial agroalimentaire français (en millions d ) Solde commercial agroalimentaire , Source : INSEE Sur le plan géographique, la progression des performances françaises est imputable à la PAC. Celle-ci a en effet largement contribué à l orientation de la spécialisation française en agroalimentaire, dans la mesure où l application du principe de la préférence communautaire a permis d écouler des parts de la production sur un marché communautaire jusque là lui aussi très déficitaire. Les parts de marché de la France sur l UE ont ainsi été multipliées par deux entre 1961 et À la fin des années 70, en raison de la saturation du marché européen, des perturbations monétaires dues au mécanisme des «montants compensatoires monétaires», et de l entrée massive de substituts aux céréales en provenance notamment des États-Unis, la croissance des exportations françaises sur intracommunautaire connaît un coup d arrêt. Il faut attendre les élargissements successifs de l UE puis l apparition d une demande mondiale hors UE pour que la France élargisse ses débouchés extérieurs et poursuive son ascension sur les marchés mondiaux 5. Graphique 3 Solde agroalimentaire de la France Solde agroalimentaire français 10 Produits transformés 8 7 en milliards d'euros Produits bruts 4, Chambres d'agriculture -Études économiques source : UBIFRANCE 5 Avec la préférence communautaire, le commerce agroalimentaire de la France avec ses anciennes colonies se tarit. De même, les États-Unis s effacent progressivement des premiers rangs des fournisseurs de la France et de l UE. Lire par exemple C. Monceau (1995), «Trente ans d échanges agroalimentaires français: », INSEE Résultats, économie générale, numéros , septembre. 5
6 Le secteur agroalimentaire français est considéré comme l un des plus performants de l économie nationale, au regard de l accumulation des excédents commerciaux réalisée depuis les années 70. Mais un excédent commercial ne traduit pas pour autant la robustesse de la compétitivité d un pays. Les Accords de Marrakech de 1994, acte fondateur de la mondialisation pour le secteur agricole, puis la montée en puissance de nouveaux concurrents ont malmené ces performances, au point que le positionnement de la France dans la hiérarchie des nations exportatrices de produits agricoles et alimentaires s est érodé (graphique 4) 6. Le recul s exprime avant tout sur le marché intracommunautaire, bien plus prononcé que sur les marchés tiers. Il faut y voir les conséquences de la stratégie allemande de se positionner sur les marchés des produits agricoles et alimentaires (viande porcine, de volaille, produits laitiers ). De près de 18 % de parts de marché sur l UE à la fin des années 90, la France est tombée à 13,7 % en De même, des pays membres de l UE comme l Allemagne ou l Espagne sont entrés en concurrence avec la France pour capter des parts de marché sur les pays tiers (viande bovine, de volaille, farines et boissons alcoolisées). Graphique 4 Part de chaque pays exportateur de produits agricoles dans les exportations mondiales Part de chaque pays exportateur de produits agricoles dans les exportations mondiales en % France Allemagne Pays-Bas 6, Brésil Chambres d'agriculture - Etudes économiques source : OMC Le durcissement du jeu concurrentiel en agroalimentaire depuis la fin des années 1990 ne doit pas pour autant occasionner d inquiétudes excessives. L excédent de la balance commerciale, qui diminuait depuis 1997, s est fortement redressé, notamment en La France détient des atouts qui sont à peu près les mêmes depuis un demi siècle. En céréales, les exportations de la France vers la zone ANMO (Moyen orient et Afrique du Nord) en 2011 illustre le rôle qu elle peut et doit jouer dans le processus d approvisionnement de certaines populations (6 % de la population mondiale, cette zone représente 14 % de la consommation mondiale de blé, et absorbe à elle seule un tiers des importations mondiales) 7. La région ANMO est donc très dépendante de l extérieur pour sa nourriture. Elle forme une zone de haute sismicité alimentaire, vis-à-vis de laquelle il est impératif de s engager, ne serait-ce qu en relançant le processus euro-méditerranéen. 6 Sur le cas de l industrie, le lecteur curieux pourra consulter N. Holcblat et J.-L. Tavernier (1989), «Entre 1979 et 1986, la France a perdu des parts de marché industriel», Économie et Statistique, numéro , Janvier- Février, p Il y eut toutefois un rétablissement à partir du milieu des années 1990, avec la désinflation compétitive, puis une rechute à partir des années ANMO: Afrique du Nord et Moyen-Orient. 6
7 Sans cet engagement, la zone risque de s enliser dans une instabilité politico-économique chronique. Plus largement, l UE se doit de réfléchir à ce qu elle entend faire avec la PAC 8. Ensuite, l élévation des niveaux de vie dans certaines régions du monde doit pousser les acteurs du secteur agricole et alimentaire à scruter la dynamique des marchés et à ajuster leur offre aux demandes locales y compris en termes de prix, le taux de change de l euro pouvant contribuer à améliorer la compétitivité-prix des produits, et à monter en gamme lorsque cela s impose. La progression fulgurante des ventes françaises de vins en Chine depuis 2000 est une illustration (les exportations sont passées de à 1,2 millions d hectolitres entre 2006 et 2011). Elle peut s étendre aux produits laitiers, dans la mesure où la demande mondiale s accroît, notamment en Chine, pays où les scandales sanitaires ont été nombreux ces dernières années. Une nouvelle ère s ouvre pour l agriculture française. «Créées en 1924, les Chambres d agriculture constituent aujourd hui un réseau au service du développement des agricultures et des territoires. Elles accompagnent, notamment les agriculteurs, sur les aspects techniques, économiques, environnementaux et administratifs et contribuent au dynamisme économique des territoires en lien avec les pouvoirs publics et les collectivités locales. Fortes de leur légitimité de terrain, des élus professionnels qui les administrent, de près de collaborateurs, les Chambres d agriculture sont des établissements publics qui représentent l ensemble des acteurs du monde agricole, rural et forestier». 8 Pour la France, l importance des débouchés extérieurs pour les céréales doit être régulièrement rappelée. Lire A. Renaud (2012), «Les exportations, un débouché majeur pour les céréales», Agreste Primeur, numéro 286, juillet. 7
8 Le CIHEAM a été créé, à l initiative conjointe de l OCDE et du Conseil de l Europe, le 21 mai C est une organisation intergouvernementale qui réunit aujourd hui treize Etats membres du bassin méditerranéen (Albanie, Algérie, Egypte, Espagne, France, Grèce, Italie, Liban, Malte, Maroc, Portugal, Tunisie et Turquie). Le CIHEAM se structure autour d un secrétariat général situé à Paris et de quatre Instituts agronomiques méditerranéens (Bari, Chania, Montpellier et Saragosse). Avec au cœur de son activité trois missions fondamentales (formation, recherche, coopération), le CIHEAM s est progressivement imposé comme une référence dans ses domaines d activité : l agriculture, l alimentation et le développement des territoires ruraux en Méditerranée. A propos de l Observatoire du CIHEAM L Observatoire méditerranéen du CIHEAM est un instrument d analyse et de débat sur l agriculture, le monde rural et l alimentation en Méditerranée. Les propos tenus dans cette note engagent la responsabilité des auteurs, et en aucun cas celle du CIHEAM.
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