1- HISTORIQUE DE LA REGLEMENTATION THERMIQUE
|
|
- Brigitte Boutin
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Réf. S.1.3 EB S1.3. LA THERMIQUE DU BATIMENT La Thermique 1- HISTORIQUE DE LA REGLEMENTATION THERMIQUE 1973 Choc pétrolier : le prix du pétrole augmente. Objectif national : limiter les dépenses énergétiques, les importations de pétrole ère réglementation thermique : limitation des déperditions au travers de l enveloppe ; on isole les murs et les toitures. (limitation des baies). Accords de Rio et Kyoto : volonté de réduire la production de gaz à effet de serre et de préserver les ressources énergétiques Nouvelle réglementation thermique «RT 2000» : - limitation des consommations d énergie, - prise en compte du confort d été - définition de performances thermiques minimales pour les constructions 2005 Mise à jour de la «RT 2000», création de la «RT 2005» - calcul d une consommation conventionnelle d énergie d un bâtiment prenant en compte le chauffage, la ventilation, la climatisation, la production d eau chaude sanitaire et l éclairage des locaux : C ep - intégration des énergies renouvelables - renforcement des exigences de confort d été et prise en compte de l inertie thermique. - valorisation des la conception bioclimatique (apports solaires, protections solaires, orientations ) La RT 2005 est applicable à tous les permis de construire déposés depuis le 1 er septembre RT L ISOLATION THERMIQUE TOUTE LA CHALEUR PRODUITE DANS UN LOCAL FINIT PAR S ECHAPPER VERS L EXTERIEUR LE ROLE DE L ISOLATION THERMIQUE EST DE RALENTIR LE PHENOMENE DE PERTE DE CHALEUR VERS L EXTERIEUR AFIN DE FAIRE DES ECONOMIES SUR LA PRODUCTION D ENERGIE ET D ASSURER LE CONFORT DES OCCUPANTS. 1/10
2 3 - DEFINITIONS PREALABLES La CHALEUR est une énergie crée par l agitation des particules d un corps. La TEMPERATURE (en degré Celsius «C» ou en Kelvin «K») représente l état d échauffement d un corps. T ( C) = T (K) 273,15 La QUANTITE DE CHALEUR Q est l énergie calorifique dégagée ou contenue par un corps. Exemple : le ciment réagit au moment de la prise du béton, on a une quantité de chaleur qui se dégage. Elle s exprime en joules (J). Le FLUX DE CHALEUR ϕ est la quantité de chaleur passant à travers un m² de paroi pendant une seconde. ϕ s exprime en W/m², il est compté positif du chaud vers le froid. ( 1W = 1J/s) ϕ 4 - MODE DE TRANSMISSION DE LA CHALEUR BILAN THERMIQUE DU CORPS HUMAIN ANALOGIE AVEC UNE PAROI 2/10
3 On distingue trois types d échanges de chaleur principaux : La CONDUCTION : c est le processus par lequel la chaleur se propage à l intérieur d un matériau (solide ou liquide). Il n y a pas de déplacement de matière. La CONVECTION : c est le mode de transfert de chaleur par déplacement de matière. Lorsque l air est en contact avec une surface plus chaude, il s échauffe, s élève et laisse place à de l air plus froid. Il s en suit un mouvement de l air appelé CONVECTION NATURELLE. Le RAYONNEMENT : c est un échange de chaleur par onde pas de contact entre les matériaux. Exemple : la chaleur du soleil. électromagnétique. Il n y a 5 - DEPERDITIONS SURFACIQUES : A TRAVERS LES PAROIS Les échanges de chaleur à travers une paroi s effectuent : dans la masse par conduction à travers la paroi ; superficiellement par convection et rayonnement sur les faces de la paroi. R si e R se RESISTANCES THERMIQUES SUPERFICIELLES : R si et R se Elles sont dues aux échanges thermiques de surface (intérieurs et extérieurs). On note R si la résistance thermique superficielle du parement intérieur de la paroi et R se la résistance thermique superficielle extérieure de la paroi. Ces résistances varient en fonction de la direction du flux : 3/10
4 5.2 - RESISTANCES THERMIQUES PAR CONDUCTION DES MATERIAUX HOMOGENES Un matériau est dit homogène lorsqu il est constitué d une seule matière. Thermiquement, il est alors caractérisé par sa CONDUCTIVITE THERMIQUE notée λ [W/m C] ou [W/m K] λ caractérise l aptitude d un matériau à se laisser traverser par la chaleur. Pour un matériau homogène de conductivité λ et d épaisseur e : Quelques valeurs de λ : R C = e λ 2 m m C ( = ) W W m C Matériaux λ (W/m K) Béton de granulats lourds 1,75 Laine minérale de verre VA5 0,035 Polystyrène expansé DM 0,041 Acier 50,00 Remarque : plus λ est petit, moins le matériau ne se laisse traverser par la chaleur et plus R c est grand, donc plus le matériau est isolant RESISTANCES THERMIQUES PAR CONDUCTION DES MATERIAUX HETEROGENES Un matériau est dit hétérogène lorsqu il est constitué de plusieurs matières de caractéristiques différentes ou de matériaux composites. Le fabricant donne directement la valeur de la résistance thermique utile notée : R u [m² C/W] ou [m² K/W] exemples : composant R u (m²k/w) composant brique creuse (é : 20 cm) 0.50 doublage de mur (plâtre + polystyrène) blocs creux (é : 20 cm) 0.23 blocs pleins (é : 20 cm) 0.12 R u (m²k/w) 2.15 remarque : plus R est grand, plus le matériau est isolant RESISTANCE THERMIQUE TOTALE D UNE PAROI La résistance thermique totale (R T ) d une paroi est égale à : R T = R si + R se + Σ (e / λ) + Σ R u (m 2.K/W) R T s exprime en : m 2.K/W ou m 2. C/W Remarque : plus R est grand plus la paroi est isolante. 4/10
5 Application 1 : Soit le mur de façade vu en coupe ci-dessous : Int. Ext. Description façade : - Enduit de plâtre: 1 cm - Laine de verre : 9 cm - Béton 20 cm - Enduit de ciment 1,5 cm Données générales: T int = 18 C Text = - 5 C Données thermique : - Rsi =.. m² C/W - Rse =. m² C/W - λ plâtre = 0,35 W/m C - λ ciment = 1,15 W/m C - λ béton =. W /m C - λ laine de verre = 0,038 W /m C Déterminer la résistance thermique R T de cette façade : Nature Epaisseur (m) Conductivité λ (W/mK) Résistance R (m²k/w) R T = 5/10
6 5.5 - COEFFICIENT DE TRANSMISSION SURFACIQUE U Définition : c est le flux de chaleur passant dans une paroi de 1 m² pour une différence de 1 C entre deux ambiances séparées par cette paroi. Il est noté : U [W/m² C] ou [W/m² K] U = 1 R T Il caractérise l aptitude du matériau à se laisser traverser par la chaleur. Application 2 : Quel est le coefficient de transmission surfacique du mur de façade précédent? (cf. Application 1) DENSITE DE FLUX DE CHALEUR et FLUX TOTAL DE CHALEUR Le flux de chaleur φ est constant à travers la paroi. INTERIEUR T i CHAUD Tsi ϕ T se EXTERIEUR FROID T e T i : Température intérieure T si : Température surface intérieure T e : Température extérieure T se : Température surface extérieure Expression de la densité de flux total de chaleur entre l intérieur et l extérieur : loi de Fourrier (Ti ) ϕ U(Ti ) = = U T R = [W/m²] T Expression du flux total de chaleur à travers une paroi de surface A : A.(Ti ) Φ U.A.(Ti ) = = U.A. T R = [W] T 6/10
7 Application 3 : Quel est le flux de chaleur traversant le mur de façade précédent? (cf. Application 1 & 2) ETUDE DE LA VARIATION DE TEMPERATURE A TRAVERS UNE PAROI Si il y a un flux de chaleur c est qu il y a un différentiel de température d un coté à l autre de la paroi. Nous allons donc déterminer comment varie la température dans une paroi. La température va donc variée de l intérieur vers l extérieur si (Ti > Te) On aura donc un répartition de température à chaque interface de matériaux comme suit : SENS DU FLUX T Int. T Ext. Ti C Tsi C T 2 C Tse C Te C T 1 C T 3 C D après la formule du flux de chaleur, ϕ = ( Ti ) U( Ti ) = R Et comme le flux de chaleur est constant, on a aussi au niveau de la surface de la paroi intérieure : On va donc chercher Tsi : ( T T ) = ϕ = i si ϕ donc, * Rsi = Ti Tsi Rsi si i si ( T i Tsi ) R ϕ soit T = T ϕ * R on connaît Ti ;ϕ ; et Rsi : on peut donc calculer Tsi. si T Tsi =. C 7/10
8 Le flux de chaleur étant constant, on a aussi à l interface plaque de plâtre isolant : ϕ = ( s T i 1 T ) R plâtre En suivant le même raisonnement que précédemment, on obtient : T 1 T si ϕ * R plâtre = = T 1 =. C Continuer le calcul jusqu à Te. 8/10
9 On va maintenant tracer la variation de température sur la paroi. DIAGRAMME DE VARIATION DE LA TEMPERATURE DANS LA FACADE 18 C + 20 C 15 C 10 C 5 C 0 C -5 C -5 C + 9/10
10 6 - DEPERDITIONS LINEIQUES : LES PONTS THERMIQUES Un pont thermique est une zone ponctuelle ou linéaire qui, dans l enveloppe d un bâtiment, présente une moindre résistance thermique (jonction de deux parois par exemple). Les ponts thermiques constituent un point froid où l humidité peut se condenser. Exemples : jonctions plancher murs jonctions entre murs jonctions parois menuiseries Les déperditions thermiques à travers 1 ml de liaison entre deux parois, au niveau d un pont thermique sont caractérisées par un coefficient de transmission linéique Ψ (en W/mK). On peut alors définir le flux total perdu au niveau d un pont thermique par : Φ = ψ. L.(Ti ) avec L : longueur de pont thermique considéré 10/10
Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)
Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS
Plus en détailEtude et amélioration du comportement thermique d une habitation
Etude et amélioration du comportement thermique d une habitation menée avec ARCHIWIZARD Contexte de l étude Mr et Mme LE LOUSTIC viennent d acquérir une maison se situant à Hennebont (56). Peu de travaux
Plus en détailCours de Structures en béton
Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur
Plus en détailMur Hybride, bien plus qu un simple mur
Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Correction des ponts thermiques Maçonnerie de type a RT 2012 Mur Hybride R = 1,45 Pose rapide Porotherm GF R20 Th+ Mur Hybride énergie économie écologie émotion
Plus en détailL HABITAT. Technologie 5ème
L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,
Plus en détailEtanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42
Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS
ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS
Plus en détailL opération étudiée : le SDEF
L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3
Plus en détailMaison Modèle BIG BOX Altersmith
Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.
Plus en détailRt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats
6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.
Plus en détailDe La Terre Au Soleil
De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,
Plus en détailPourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments
Thème Pourquoi isoler? Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Les indications, illustrations, informations
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailPLOMBIERS CHAUFFAGISTES ECO ARTISAN
PLOMBIERS CHAUFFAGISTES Le monde change, votre métier aussi. Aujourd hui vos clients n ont qu un mot à la bouche : ECONOMIES D ENERGIE. Écoutez-les! Pour la performance environnementale et économique de
Plus en détailDIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE
DATE : 14/02/2011 N AFFAIRE : 003387/2255629/1/1 ANNEE DE CONSTRUCTION : NON COMMUNIQUE SURFACE UTILE : 489.44 TYPE DE BATIMENT : IMMEUBLE D HABITATION + BUREAUX TYPE D ACTIVITES : ADMINISTRATION - BUREAUX
Plus en détailLibre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse
Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY
Plus en détailContrôle thermographique Tarifs et prestations :
20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations
Plus en détailSystème d énergie solaire et de gain énergétique
Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailFormation Bâtiment Durable :
Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et
Plus en détailParc Valentine Vallée Verte
Le Bourbon 10.300 m² de bureaux neufs à louer Parc Valentine Vallée Verte un parc d affaires unique Au cœur d un parc d affaires unique Choisissez pour votre entreprise des bureaux dans un bâtiment historique
Plus en détailJ O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E
J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception
Plus en détailREGLES TH-U POUR LES BÂTIMENTS EXISTANTS
REGLES TH-U POUR LES BÂTIMENTS EXISTANTS ENTERINE PAR LA COMMISSION Th-Bât le 28/03/2008 RT existant Page 1/2 Règles Th-U Ex Fascicule 1/5 : Coefficient U bât Version entérinée RT existant Page 2/2 Table
Plus en détailISOLER LA TOITURE INCLINÉE
Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS D ÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LA TOITURE INCLINÉE
Plus en détailRetours d expériences: le suivi de bureaux. Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est
Retours d expériences: le suivi de bureaux Christophe Schmauch Pierrick Nussbaumer CETE de l Est Sommaire 2 L opération étudiée Visite de chantier Instrumentation Explication des consommations Analyse
Plus en détailPrise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010
Prise en compte des nœuds constructifs dans la PEB Formation développée dans le cadre de PATHB2010 PROGRAMME DE FORMATION Dans le cadre du PROJET PAThB2010 Practical Approach for Thermal Bridges 2010 AVEC
Plus en détail5 Applications. Isolation intérieure des murs de fondation. ISOFOIL est un panneau isolant rigide laminé d un pare-vapeur d aluminium réfléchissant.
FICHE TECHNIQUE 120-1.4 07.21.13.13 1 Nom du produit ISOFOIL 2 Manufacturier ISOFOIL est fabriqué par Groupe Isolofoam, entreprise québécoise et important manufacturier de produits isolants depuis plus
Plus en détailA. Toitures terrasses support d étanchéité 154
> Guide de choix... 152 A. Toitures terrasses support d étanchéité 154 B. Combles et rampants 157 www.placo.fr 151 Guid Isolation du Bâti 4. Isolation des toitures Guide de choix Isolation des toitures
Plus en détailCommunauté de Communes des 4B Sud-Charente
Communauté de Communes des 4B Sud-Charente Suivi-animation du PIG Intervention auprès des artisans 10 décembre 2013 SOMMAIRE 1. Qui est URBANiS et quel est son rôle? 2. Qu est-ce qu un PIG? 3. Les types
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailEfficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar
Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et
Plus en détailMaison QUATRE FAçades
Maison QUATRE FAçades Bruxelles Lieu : Woluwé-Saint-Lambert Typologie : Maison quatre façades DATE DE CONSTRUCTION : 1945-1946 DATE DE RENOVATION : 2008 -... Surface chauffee : 147 m² BESOIN DE CHAUFFAGE
Plus en détailISOLER LES MURS PAR L EXTÉRIEUR
Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS DÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LES MURS PAR
Plus en détail«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux. Date d édition : Janvier 2014
«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux Date d édition : Janvier 2014 Ce document présente la liste des qualifications et certifications«rge» classées par domaine
Plus en détailISOLATION EN SOUS FACE DES PLANCHERS BAS
P R O G R A M M E D A C C O M P A G N E M E N T D E S P R O F E S S I O N N E L S www.reglesdelart-grenelle-environnement-2012.fr RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES ISOLATION EN SOUS FACE DES PLANCHERS BAS
Plus en détailCentre de Développement des Energies Renouvelables Caractéristiques techniques des Chauffe-eau eau solaires M. Mohamed El Haouari Directeur du Développement et de la Planification Rappels de thermique
Plus en détailB2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction
B2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction B2.1.- Caractéristiques d absorption B2.1.1.- Coefficients d absorption de surfaces couvertes par différents éléments Maçonnerie et enduits
Plus en détailComment optimiser la performance énergétique de son logement?
Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies
Plus en détailAcoustique et thermique
Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!
Plus en détailQue nous enseigne la base de données PAE?
Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu
Plus en détailT. BONNARDOT 17/12/2010
CYTHELIA Conseil & Expertise La Maison ZEN 350, route de la traverse 73 000 MONTAGNOLE Tel +33 (0) 4 79 25 31 75 www.cythelia.fr SARL au capital de 140 000 - RCS Chambéry B 393 290 937 - APE 7219 Z RT
Plus en détailPRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES
PRÉGYMÉTALTM Mise en œuvre Caractéristiques techniques pages 90 à 9 PRINCIPES DE POSE A POINTS SINGULIERS 7 A 0 ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES TRAÇAGE ET POSE DES RAILS CONTRE-CLOISONS
Plus en détailTransposition de l article 4 de la directive 2012/27/UE
Direction de l habitat, de l urbanisme et des paysages Transposition de l article 4 de la directive 2012/27/UE Stratégie à long terme pour mobiliser les investissements dans la rénovation du parc national
Plus en détailDROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire
DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire Principe de fonctionnement Les Capteurs Les ballons Les organes de sécurité Les besoins L ensoleillement dimensionnement Comment
Plus en détailfioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs
fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs Fiche conseil Édition décembre 212 Sommaire P 2 : Obligations P 3 : Démarches volontaires P 4 : Les points clés d une rénovation réussie
Plus en détailUn bâti en tuffeau pour aujourd hui
P a r c naturel régional Loire-Anjou-Touraine Les fiches techniques du Parc Patrimoine bâti Un bâti en tuffeau pour aujourd hui Réhabilitation d une ancienne grange en gîte touristique Localisation : Gîte
Plus en détailLes solutions support d enduit mince avec isolation
Les solutions support d enduit avec isolation Th38 SE Th38 SE FM+ Dimensions : Th38 SE : 1200 x 600 x épaisseurs 20 à 300 mm Th38 SE FM+ : 500 x 500 x épaisseurs 60 à 120 mm (autres dimensions sur consultation)
Plus en détail«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux. Date d édition : 1 septembre 2014
«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux Ce document présente : Date d édition : 1 septembre 2014 Les qualifications et certifications «RGE»
Plus en détailsolutions et confort d été Inertie thermique Logements Paris École de chimie Bibliothèque et archives municipales Montpellier p.
solutions B É T O N Inertie thermique et confort d été UNE TROP FORTE CHALEUR À L INTÉRIEUR D UNE HABITATION EST UN Logements Paris FACTEUR D INCONFORT IMPORTANT.SI CELA EST SOUVENT VÉCU COMME UNE FATALITÉ,
Plus en détailRécapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13
Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4
Plus en détailDoublages thermo-acoustiques Placostil
01 Doublages sur ossature métallique Placostil Doublages thermo-acoustiques Placostil Description Les doublages Placostil renforcent les caractéristiques thermiques et acoustiques des parois auxquelles
Plus en détailAmanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA
Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Cet Audit de l existant a été effectué suite à la visite du 17/02/2014. Il prend en considération tous les points ayant un rattachement à la thermique
Plus en détailGUIDE CONCILIER EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE ET ACOUSTIQUE DANS LE BÂTIMENT
GUIDE CONCILIER EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE ET ACOUSTIQUE DANS LE BÂTIMENT Avec le soutien de la DGALN Référence Y09 12 0000494 SOMMAIRE 1 INTRODUCTION... 4 2 LES EXIGENCES À ATTEINDRE EN THERMIQUE ET EN ACOUSTIQUE...
Plus en détailPDS (Plaque de Distance de Sécurité)
PDS (Plaque de Distance de Sécurité) La plaque de distance de sécurité est prévue pour respecter la distance règlementaire entre le conduit et son environnement direct. Elle peut être utilisée pour toutes
Plus en détailLA RENOVATION ENERGETIQUE. atelier o
LA RENOVATION ENERGETIQUE LA RENOVATION ENERGETIQUE 1. DIAGNOSTIC Pourquoi rénover? Que faut-il rénover? Comment s y prendre? 2. SOLUTIONS Remplacement du chauffage Capteurs solaires Isolation de l enveloppe
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailEditorial. Daniel BEGUIN
Editorial Bien que cette question soit moins souvent évoquée que la pollution industrielle ou les émissions de gaz carbonique liées aux véhicules, la construction d une maison peut représenter un enjeu
Plus en détailfermacell combiné avec un chauffage au sol Version juin 2013
fermacell combiné avec un chauffage au sol Version juin 2013 2 Systèmes de chauffage au sol Le chauffage au sol est sans doute le type de chauffage le plus répandu de nos jours. Par rapport aux radiateurs,
Plus en détail«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux 16/01/2014
«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux 16/01/2014 Ce document présente la liste des qualifications et certifications «RGE» classées par domaine de travaux liés
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailRépertoire de simulations en Maison Individuelle. Solutions gaz. Toujours à vos côtés. Solutions électriques. Solutions RT 2012.
Solutions RT 2012 Répertoire de simulations en Maison Individuelle Solutions RT 2012 Toujours à vos côtés Saunier Duval Toujours à vos côtés Répertoire de simulations régionales RT 2012 en Maison Individuelle
Plus en détailisolons mieux. Parlons peu Multimax 30 Les solutions gain de place pour toute la maison L isolation de toute la maison
Parlons peu isolons mieux. Multimax 0 Les solutions gain de place pour toute la maison L isolation de toute la maison En rénovation, Multimax 0 permet d optimiser efficacité thermique et espace habitable
Plus en détailDESCRIPTIF DE VENTE. LES BUISSONNETS rue de l'eglise 36 - Rixensart
DESCRIPTIF DE VENTE LES BUISSONNETS rue de l'eglise 36 - Rixensart La société Osmosis Development S.A. vous propose une résidence de charme de 4 logements neufs :! A côté du Château de Rixensart! Construction
Plus en détailRéunion départementale d information
Réunion départementale d information 1 1 ORIENTATIONS ET GRANDS PRINCIPES Un objectif ambitieux, à mi-chemin des performances attendues pour 2020 De nouvelles orientations et des exigences renforcées Une
Plus en détailIsoler son logement. Pour réduire les dépenses d énergie et améliorer le confort d un logement existant
Isoler son logement Pour réduire les dépenses d énergie et améliorer le confort d un logement existant Édition : juillet 2015 sommaire glossaire introduction De nombreuses raisons d isoler votre maison....
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailIsoler son logement. Pour réduire les dépenses d énergie et améliorer le confort d un logement existant
Isoler son logement Pour réduire les dépenses d énergie et améliorer le confort d un logement existant Édition : juillet 2014 sommaire glossaire introduction De nombreuses raisons d isoler votre maison....
Plus en détail1.3 RT 2012 du neuf à l existant 13 1.3.1 La RT dans le neuf 13 1.3.2 Le label HPE rénovation et le BBC Rénovation 13
PETIT GUIDE REGLEMENTAIRE ET TECHNIQUE DE LA RENOVATION ENERGETIQUE EN COPROPRIETE JANVIER 2012 Sommaire 1 Obligations réglementaires aujourd hui et pour demain 5 1.1 Les grandes lignes du Grenelle de
Plus en détailNe jetez plus votre argent par les balcons!
Ne jetez plus votre argent par les balcons! 1 Bâtissez un patrimoine durable avec le réflexe Schöck. Edito L'augmentation des prix de l'énergie, l'impact environnemental et la règlementation thermique
Plus en détailProtection thermique d été. Facteurs d influence et méthodologie de planification.
Protection thermique d été. Facteurs d influence et méthodologie de planification. La protection thermique d été prend de l importance. L homme a pris conscience que notre train de vie actuel est en partie
Plus en détailDes solutions acoustiques simples et efficaces pour tout le logement
Des solutions acoustiques simples et efficaces pour tout le logement L acoustique : une attente majeure pour les Français. Le bruit concerne tout le monde, il est omniprésent dans votre vie. Les bruits
Plus en détailSommaire. La nouvelle norme NBN S 01-400-1. Critères acoustiques pour les immeubles d habitation. 2 e édition (janvier 2008)
La nouvelle norme NBN S 01-400-1 Critères s pour les immeubles d habitation Supplément à CSTC-Contact N 13 1 er trimestre 2007 CENTRE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE DE LA CONSTRUCTION Sommaire La nouvelle norme
Plus en détailDuo Tech System Mur, révolutionnez vos chantiers.
Duo Tech System Mur, révolutionnez vos chantiers. Sommaire Placoplatre : L innovation au cœur des enjeux. Découvrez notre dernière révolution technologique : Duo' Tech System Mur. La révolution de la contre-cloison
Plus en détailComment aborder l Optimisation énergétique de salles anciennes et hétérogènes?
Comment aborder l Optimisation énergétique de salles anciennes et hétérogènes? Témoignage de Hervé MAGNIER Aéroports de Paris Membre du CRIP Groupe de travail Data center Un environnement technique peu
Plus en détailEnergie solaire www.euroclima.fr
Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des
Plus en détailBilan thermique et social simplifié
Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement 34 Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 32 quai de Rouen 59 100 ROUBAIX Informations
Plus en détailDalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton
Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Basé sur l expérience, piloté par l innovation L activation du noyau de béton : un système bien conçu, économe et durable. Construire selon ce principe,
Plus en détailIMMEUBLES COLLECTIFS DE LOGEMENTS CONSTRUITS ENTRE 1949 ET 1974
DÉPARTEMENT ÉNERGIE SANTÉ ENVIRONNEMENT Division Energie Pôle Performance Energétique des bâtiments DÉPARTEMENT ECONOMIE ET SCIENCES HUMAINES Laboratoire Services Process Innovations ESE/DE/PEB-12.039RR
Plus en détailClassement des locaux en fonction de l exposition à l humidité des parois et nomenclature des supports pour revêtements muraux intérieurs
Commission chargée de formuler des Avis Techniques Groupe spécialisé n 9 Groupe spécialisé n 12 Groupe spécialisé n 13 Cloisons et contre-murs en plâtre Revêtements de sol et produits connexes Revêtements
Plus en détailBilan thermique et social simplifié
Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 72 rue de Rome 59 100 Roubaix Informations
Plus en détailEn MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies
En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES Quercy Energies Le réseau EIE en Midi-Pyrénées 4 premiers EIE créés en novembre 2001, toute la région est couverte en 2007 avec 11 CIE dans 9 EIE En MIDI- PYRENEES
Plus en détailDiagnostic de performance énergétique logement (6.2)
Diagnostic de performance énergétique logement (6.2) N :... 2014-09-3370 Valable jusqu au :... 29/09/2024 Type de bâtiment :... Habitation (parties privatives d immeuble collectif) Année de construction
Plus en détailOptimisation énergétique du Domaine des Hocquettes Suresnes
Optimisation énergétique du Domaine des Hocquettes Suresnes Rapport final d étude énergétique BATIMENT C Affaire n 1IF92510074 Mai 2011 SAUNIER & Associés 205 avenue Georges Clemenceau F-92024 NANTERRE
Plus en détailAvec SAMSE et ses partenaires. Cetii. Les valeurs à connaitre
Coordination du lot transversal d étanchéité à l air : l ingénierie concourante Quelques astuces chantier : Chaque interface entre les lots ou interruption de la continuité d étanchéité, doivent être recueillis
Plus en détailNOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL
1 NOTICE DE RENSEIGNEMENTS CONCERNANT LES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU CODE DU TRAVAIL NOM DE L ETABLISSEMENT : Atelier 1 menuiserie, Ateliers 2, 3 et 4 non connu à ce jour NATURE DE L EXPLOITATION : Ateliers
Plus en détailen Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts...
Le Chauffage Individuel en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts... www.ale-lyon.org >> Quel est le meilleur système de chauffage chez moi? Il n y a pas de réponse unique, chaque logement et chaque
Plus en détailISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée
En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS Entreprise certifiée PEFC/10-31-2030 PROMOUVOIR LA GESTION DURABLE DE LA FORÊT UNE ISOLATION
Plus en détailwww.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances?
www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? 1 Contexte L effet de serre un phénomène naturel Contexte Le changement climatique en chiffres 2 Contexte Contexte Le climat en 2100
Plus en détailArrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative
Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un
Plus en détailConseils techniques. L'isolant doit disposer de numéros de certification ACERMI et CE en cours de validité. R 5,5m²K/w
Conseils techniques Pour bénéficier du «Micro crédit régional 0 % Energie verte en Poitou-Charentes», le programme impose l utilisation de matériaux répondant à des niveaux de performances minimales. Pour
Plus en détailListe et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE
À jour au 1 er janvier 2015 Liste et caractéristiques des équipements et matériaux éligibles au CITE Nature des dépenses Matériaux d isolation thermique des parois vitrées Matériaux d isolation thermique
Plus en détailEkoconstruct / Catalogue 2014. ek construct
Ekoconstruct / Catalogue 2014 ek construct 1 Nos engagements Nos engagements Une entreprise familiale avec un savoir faire Une société tournée vers le développement durable Une construction rapide et personnalisée
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DE L ÉNERGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE Arrêté du 13 juin 2008 relatif à la performance énergétique
Plus en détailComprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012)
Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Sommaire 1 Un engagement fort du Grenelle de l environnement 1 Calendrier et champ d application 2 Les nouveautés 3 Les exigences 9 Les quatre niveaux
Plus en détailA unique sol ution for yo ur i
TM > Catalogue de produits L unique solution pour vos besoins en isolation A unique sol ution for yo ur i Des produits isolants pour l ensemble de la construction SECTION 07 01 > STYRO RAIL TM LA COMPAGNIE
Plus en détailN 5 SUPERSTRUCTURE. Enveloppe Seconde œuvre. Arezou MONSHIZADE MOBat
N 5 SUPERSTRUCTURE Enveloppe Seconde œuvre Arezou MONSHIZADE MOBat SUPERSTRUCTURE: Eléments constructifs SUPERSTRUCTURE Murs et baies Plancher Toiture Couverture +Seconde oeuvre INFRASTRUCTURE Sol Semelles
Plus en détailLes dossiers...de VivArmor. La construction écologique
2011 Les dossiers......de VivArmor La construction écologique Dossier Environnement La construction écologique par Jérémy ALLAIN Beaucoup d entre nous s emploient à tenter de réduire leur impact sur la
Plus en détailGuide d utilisation. Partie VIII - Module DPE
Guide d utilisation Partie VIII - Module DPE Sommaire 1 OBJET DU DIAGNOSTIC... 4 1.1 Préambule... 4 1.2 Définitions... 5 1.3 Applications... 6 1.3.1 Définition... 6 1.3.2 Index des types de DPE... 6 1.3.3
Plus en détail