Les pharmacies relèvent de nombreux défis
|
|
- Lucienne Bilodeau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les pharmacies relèvent de nombreux défis Guy Bertrand Julie Bleau Jean-François Bussières Jean Lebel Dominique Rousseau Objectifs de la rencontre Présenter les impacts de l automatisation de la préparation des médicaments sur l aménagement de la pharmacie. Faire un survol des nouvelles règles liées aux préparations stériles. Présenter des modèles d aménagement en lien avec ces nouvelles règles. 2 1
2 Pourquoi bien planifier 3 Plan de la rencontre Bloc 1: Préparation des médicamentsm Aménagements pour l emballage automatisé des médicaments Bloc 2:Préparations stériles Nouvelles règles pour les préparations stériles Aménagements des locaux servant à la préparation des médicaments dangereux Aménagement SCAS (service centralisé d additifs aux solutés) 4 2
3 Préparation automatisée Des appareils ensachent les médicaments Emballeuse automatique Ensacheuse manuelle Planifier les aménagements en conséquence, à toutes les étapes du processus 5 Multidose Au nom du patient Unidose Au nom du patient ou pas 3
4 Emballeuse automatique Ensacheuse manuelle 4
5 La réserve S ajoutent les rangements des médicaments pour les premières doses Rangement de médicaments emballés unitairement Réserve de pots Commun, injectables, gouttes Réfrigérateurs 10 5
6 Aires de préparation Premières doses Reservice 12 6
7 Premières doses A proximité de l aire de saisie et de validation Comptoir de travail Rangements des comprimés ensachés unitairement Prévoir des aires d attente en vue de la vérification Livraison 13 Guide ergonomie pharmacie 14 7
8 8
9 Reservice 17 Emballeuse: position, dégagements, chargement et plateau Proximité de la réserve de pots, des collègues Comptoir de travail pour tiroir Planifier la vérification contenantcontenu (Qui? Comment?) Ordinateurs + lecteur optique, balance Bruit Proximité de l aire de montage 9
10 10
11 11
12 Aire de montage Proximité des réserves Comptoir de travail Proximité de livraison/réception Dégagements pour manœuvrer les chariots 24 12
13 Photo chariot 13
14 Aire de réception/livraison Comptoir de travail pour inventaire, retours Aire de déballage Aire d attente pour chariots Proximité de la réserve de pots 27 14
15 15
16 Exemple d aménagement Hôtel-Dieu de Montmagny 31 HÔTEL-DIEU DE MONTMAGNY AGRANDISSEMENT PHARMACIE PHASE 1 ORGANIGRAMME 32 16
17 HÔTEL-DIEU DE MONTMAGNY AGRANDISSEMENT PHARMACIE PHASE 1 PLAN AVEC AMÉNAGEMENTS INTÉRIEURS 33 HÔTEL-DIEU DE MONTMAGNY AGRANDISSEMENT PHARMACIE PHASE 1 PLAN AVEC AMÉNAGEMENTS INTÉRIEURS 34 17
18 HÔTEL-DIEU DE MONTMAGNY AGRANDISSEMENT PHARMACIE PHASE 1 PLAN AVEC AMÉNAGEMENTS INTÉRIEURS 35 Bloc 2: Préparations stériles Médicaments dangereux + Oncologie Service centralisé d additifs aux solutés (SCAS) 36 18
19 Médicaments dangereux et oncologie Justification des changements NIOSH (2004) Constat d échec des mesures de sécurité, notamment envers les produits volatiles Liste de médicaments à considérer comme dangereux Contamination externe des produits à leur arrivée à l hôpital Réponse américaine USP-797 ASHP Guide ASSTSAS À venir: Ordre des pharmaciens 37 Médicaments dangereux Une ou plusieurs propriétés : cancérigène tératogène/toxique pour le développement toxique pour le système reproducteur toxique à faibles doses pour des organes génotoxique structure/activité similaire à MD connu (Selon NIOSH et ASHP) 38 19
20 Médicaments dangereux 136 méd. dans la liste NIOSH Agents antinéoplasiques (65 %) Agents antiviraux Hormones Agents immunosuppresseurs Quelques antibiotiques Mises à jour annuelles promises 39 Le circuit du médicament 40 20
21 Principales recommandations Ventilation et qualité de l air Salle blanche: ISO 7, étanchéité Sas:ISO 8: étanchéité Entreposage: ISO 8 Déballage nettoyage: ventilation normale (légèrement négative) Utilisation d une hotte type II B-2 Les pressions 41 Principales recommandations Construction et facilité d entretien Coins arrondies des cloisons Peinture époxy Plainte à gorge Absence de lieu difficile à atteindre Le moins de surfaces horizontales possible Surfaces faciles à nettoyer et résistantes Locaux pour entretien ménager 42 21
22 Exemples de réalisation Grande pharmacie: Hôpital Sainte-Justine Petite pharmacie CSSS de la Matapédia, Centre hospitalier d Amqui CSSS Témiscouata, Hôpital Notre-Dame du Lac 43 Aménagement d un SCAS USP 797 SCAS vs Hémato-oncologie Le non stérile (travaux à l Ordre) Exemple d une grande pharmacie: Hôtel-Dieu de Lévis 44 22
23 Les conférenciers Guy Bertrand, ASSTSAS Julie Bleau, ASSTSAS Jean-François Bussières Pharmacien, chef de service Hôpital Sainte-Justine Jean Lebel Architecte, Les architectes Goulet et LeBel Dominique Rousseau, Pharmacienne, Hôtel-Dieu de Lévis Remerciements à Marilyne Ouellet (pharmacienne CSSS Matapédia) Geneviève Sozio (pharmacienne CSSS Témiscouata) Louis Leduc (architecte, Roberge et associés) , rue Sherbrooke Est, bureau 950 Montréal (Québec) H1V 3R , boul. Langelier Québec (Québec) G1K 5N info@asstsas.qc.ca 46 23
24 Réaménagement Pharmacie satellite Hémato-oncologieoncologie CHU Sainte-Justine Jean-Fran François Bussières, B. Pharm. M. Sc. MBA FCSHP Chef, département d de pharmacie et unité de recherche en pratique pharmaceutique CHU Sainte Justine Professeur titulaire de clinique Faculté de pharmacie Université de Montréal Objectif Illustrer le réamr aménagement de la pharmacie satellite au CHUSJ 1
25 Plan de match Contexte Profil des activités Quelques considérations pratiques Illustrations commentées es Perspectives Contexte Dr Baril Attention portée à l augmentation des cas de leucémies 1948 Clinique des tumeurs 1960 Service d hématologie avec Dr Albert Royer ère pharmacie satellite dans un petit local exigu 1995 Ouverture du Centre de cancérologie Charles- Bruneau et 2ème 2 satellite (40 mètres carrés) 2001 Agrandissement de la satellite (60 mètres carrés) 2007 Agrandissement du Centre et 3ème 3 satellite (125 mètres carrés) ) en tenant compte de l alerte NIOSH, du chapitre 797 USP et du guide de prévention sur les médicaments dangereux de l ASSTSAS 2
26 Auto-évaluation pilote 3 rencontres et publication conjointe pharmacie-soins infirmiers 20 heures 218 critères res cotés 30 % non conformes 37 % partiellement conformes 30 % conformes 3 % non applicable Pour chaque groupe de critères res,, un plan d action a été établi 70 actions Profil des activités En admissions / > 8000 jours-pr présence > préparations parations stériles x clientèle le hospitalisée > préparations parations stériles x clientèle le externe > préparations parations non stériles 45 greffe de moelle osseuse + prélèvements 4 pharmaciens 1 pharmacien à la production stérile 1 pharmacien à la production non stérile 1 pharmacien en clinique unité d hospitalisation 1 pharmacien en clinique unité de greffe 1 pharmacien en clinique ambulatoire à venir post-pénurie nurie 4,5 assistants-techniques techniques On passe de 3 zones à 8 zones 3
27 Considérations Projet,, plans et devis initiaux 2004 Révision avec les travaux du comité sur les Rx dangereux de l ASSTSAS - de 3 à 6 zones Impact des travaux du comité Ajout d une zone de déballage Recours à 1 vs 2 antichambre (s) Ventilation + vs et gradients de pression Considérations Principes directeurs Réduction importante des interruptions (p.ex( p.ex. Voicera md ) Élimination de la présence des pharmaciens en salle blanche (Numérisation des préparations parations) Circuit du médicament sans rebours (aménagement selon un flot de travail unidirectionnel) Réduction de la contamination microbienne et particulaire (Salle de classe ISO 7) Aménagement limitant la contamination environnementale (Numérisation des ordonnances) Capacité d accroître de 150 % le niveau d activités Ergonomie du travail (Mobilier( ajustable, écrans triples) 4
28 Aménagement Clientèle et personnel soignant Illustrations commentées es Cliquez ICI 5
29 A- Zone de déballage 6
30 B Zone d entreposage 7
31 C-D-E Antichambres et salle blanche ISO 7 8
32 9
33 10
34 Pédale USB 11
35 Réaménagement de l oncologiel 12
36 F Zone de saisie et validation des ordonnances 13
37 14
38 G- Zone de préparations parations non stériles et gestion documentaire 15
39 16
40 H Zone professionnelle 17
41 Perspectives Le guide de l ASSTSAS est applicable et pratique Le réaménagement doit tenir compte de l environnement,, du circuit du médicament et des nouvelles technologies Le réaménagement doit assurer une prestation sécuritaire de soins et une organisation adéquate du travail compte tenu de la pénurie et des difficultés de rétention importantes en pharmacie hospitalière au Québec 18
42 Centre hospitalier d Amqui
43 Centre hospitalier d Amqui
44 Hôpital de Notre-Dame-du-Lac
45 Hôpital de Notre-Dame-du-Lac
46 Hôpital de Notre-Dame-du-Lac
47 Aménagement SCAS Hôtel-Dieu de Lévis Dominique Rousseau Pharmacienne Hôtel-Dieu de Lévis Aménagement SCAS Normes de référence Norme Ordre des Pharmaciens USP chapitre <797> Assurer la qualité des préparations stériles Minimiser la contamination par des particules > 0,5 μm 2 1
48 Qualité de l air Hotte(s) Classe ISO 5 Salle propre Classe ISO 7 Antichambre/ Classe ISO 8 Aire de soutien 3 AIRE DE SOUTIEN SAS SALLE BLANCHE ENTRETIEN
49 Salle propre/ salle blanche Système ventilation muni filtres HEPA Retours d air au bas des murs 30 changements air/hre Pression positive 5-12,5 Pa 5 Salle propre/salle blanche Équipements et matériel limités (hottes, chariots, comptoir, station de gants) Plafonds,murs, planchers lisses Étanches, non poreux, hydrophobes Sans cavités Résistants à la désinfection 6 3
50 Salle propre/salle blanche Jonctions plafonds-murs-planchers calfeutrées et courbées Surfaces extérieures de l éclairage scellées et lisses Aucune source d eau ou drain Surfaces de travail et matériel lisses Étanches, non poreux, hydrophobes Résistantes à la désinfection 7 SAS SAS SALLE BLANCHE SALLE BLANCHE
51 9 Sas/ zone d habillage Pièce fermée non requise Démarcation entre zone propre et souillée (virtuelle ou non) Séquence d habillage Couvre-chaussures, bonnet, masque Lavage des mains et avant-bras Jaquette Lavage mains (base d alcool) gants 10 5
52 Sas/ zone d habillage Porte automatique vers salle propre Évier avec contrôle genou ou pieds Séchoir automatique Miroir Rangement pour matériel habillage et nettoyage 11 SAS
53
54 Entretien Surfaces de travail Planchers Murs, plafonds, étagères quotidien quotidien aux mois Matériel d entretien dédié (microfibre synthétique) Conserver dans zone contrôlée Déballage des produits et désinfection dans l aire de soutien 15 Antichambre /aire de soutien Plafonds, murs, planchers Idem salle blanche Surfaces de travail lisses, nettoyables et résistantes à désinfection Passe-plats vitré Zone cléricale Local d entretien intégré (non classé) 16 8
55 AIRE DE SOUTIEN SAS AIRE DE SOUTIEN
56 AIRE DE SOUTIEN SAS
57 AIRE DE SOUTIEN SAS
58 AIRE DE SOUTIEN SAS AIRE DE SOUTIEN
59 AIRE DE SOUTIEN SAS SALLE BLANCHE ENTRETIEN SCAS HDL Questions? 26 13
Bio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailAUDIT 2009 des UCPC de Lorraine
AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine Nom de l'établissement Date Nombre de préparations / an : Date d'installation: Personnes présentes Nom / Prénom Fonction Signature Réseau Oncolor 2010 1 SOMMAIRE Page I
Plus en détailClassification des pièces. Toutes. Supérieur et de confinement. Intermédiaire, supérieur et de confinement.
Commentaires spécifiques à certains points du formulaire de conformité. Dans la deuxième colonne, les classifications marquées en jaune sont celles pour lesquelles des changements ont été recommandés par
Plus en détailBOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes
1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon
Plus en détailMANIPULATION DES PRODUITS POTENTIELLEMENT DANGEREUX EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE
NUMÉRO 138 : MAI 2003 LINE FONTAINE, PHARMACIENNE INSPECTEURE-CONSEILLÈRE PROFESSIONNELLE MANIPULATION DES PRODUITS POTENTIELLEMENT DANGEREUX EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE La diversité et la quantité de médicaments
Plus en détailSecteur Protégé d Hématologie
INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailMARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS DE SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PRATICULIERES (CCTP)
MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS DE SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PRATICULIERES (CCTP) Pouvoir adjudicateur Institut d'etudes Politiques de Rennes Représentant du pouvoir adjudicateur Monsieur le
Plus en détailSystèmes de distribution robotique des médicaments d ordonnance
Systèmes de distribution robotique des médicaments d ordonnance Vos patients comptent sur vous, à titre de pharmacien, pour les conseiller en matière de médicaments. Le manque de temps peut compromettre
Plus en détailtraçabilité en milieu médical
traçabilité en milieu médical SOLUTIONS - EFFICACITÉ - SÉCURITÉ la traçabilité, pourquoi? Améliorer la sécurité du patient et la qualité des soins Améliorer la qualité des soins de santé est un enjeu majeur
Plus en détailGUIDE pour l aménagement sanitaire des établissements alimentaires. Centre québécois d inspection des aliments et de santé animale
GUIDE pour l aménagement sanitaire des établissements alimentaires Centre québécois d inspection des aliments et de santé animale La «marche en avant» consiste à éviter autant que possible le croisement
Plus en détailL alimentation. du patient. paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse
L alimentation du patient greffé de moelle osseuse Quelle nourriture? Quel contenant? Quel environnement de préparation paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse
Plus en détail5211 Entretien général d immeubles. Fiches descriptives. Reconnaissance des acquis et des compétences FP2009-12
Formation professionnelle et technique et formation continue Direction de la formation continue et du soutien 5211 Entretien général d immeubles Fiches descriptives Reconnaissance des acquis et des compétences
Plus en détailLa Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain. 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE
La Révolution Numérique Au Service De l'hôpital de demain 18-19 JUIN 2013 Strasbourg, FRANCE David Pronier Country Manager Europe du Sud Motion Computing Pascal Detemmerman CEO SwissEnov Sommaire La Mobilité
Plus en détailTRANSFERT DU CHU SAINTE-JUSTINE À L HÔPITAL MAISONNEUVE- ROSEMONT
TRANSFERT DU CHU SAINTE-JUSTINE À L HÔPITAL MAISONNEUVE- ROSEMONT Guide à l intention des parents Pour vous, pour la vie Bienvenue à l unité néonatale de l Hôpital Maisonneuve-Rosemont Dans les prochains
Plus en détailAMIGO Désinfecteur à chargement par le dessus
AMIGO Désinfecteur à chargement par le dessus with people in mind UN APPAREIL PERFORMANT À DOUBLE FONCTION Amigo est un désinfecteur à chargement par le dessus, extrêmement facile à utiliser avec un évier
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailSurveillance du climat pour le stockage de produits pharmaceutiques au moyen du testo Saveris.
Testo Solution Exemple d application Surveillance du climat pour le stockage de produits pharmaceutiques au moyen du testo Saveris. Les produits pharmaceutiques (peu importe qu il s agisse de substances
Plus en détailProjet de révision du rôle des assistants techniques en pharmacie (ATP) standards de pratique DU personnel technique et de soutien.
Projet de révision du rôle des assistants techniques en pharmacie (ATP) standards de pratique DU personnel technique et de soutien technique en pharmacie Table des matières Les Standards de pratique du
Plus en détail1. PRÉAMBULE 2. BUT 3. PRINCIPES DIRECTEURS CHUS MANUEL DES NORMES ET PRATIQUES DE GESTION SUJET : RECHERCHE NPG N 0 : 4221
CHUS MANUEL DES NORMES ET PRATIQUES DE GESTION SUJET : RECHERCHE NPG N 0 : 4221 OBJET : Politique d attribution des espaces au CRCELB APPROUVÉE PAR : COMITÉ DE DIRECTION ÉMISE LE : 6 novembre 1997 RÉVISÉE
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailT A B L E D E S M A T I È R E S
T A B L E D E S M A T I È R E S 1. ANALYSE DES BESOINS 2 2. ÉLABORATION DU CONCEPT 2.1 La posture assise ou debout 3 2.1.1 Donner priorité à une communication au même niveau 2.1.2 Déterminer le temps que
Plus en détailL ERGONOMIE AU POSTE DE TRAVAIL INFORMATISÉ
Pour ce faire, il faut disposer le poste de travail de sorte que la ligne de vision de l utilisateur à l écran soit parallèle aux fenêtres et aux luminaires et entre les rangées de luminaires (Figure E).
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailLa transformation des petits fruits et l'inspection des aliments. Présenté par Sylvie Bujold inspectrice des aliments, chef d équipe 2013-10-30
La transformation des petits fruits et l'inspection des aliments Présenté par Sylvie Bujold inspectrice des aliments, chef d équipe 2013-10-30 Plan de présentation Cadre légal Types et catégories de permis
Plus en détail1.2.1 Enlever et disposer, en tant que déchets de fientes de pigeon, tous les matériaux et les débris des surfaces situées dans la zone des travaux.
TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON TABLE DES MATIÈRES PAGE TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON... 1 1 GÉNÉRALITÉS... 1 1.1 CONDITIONS GÉNÉRALES ET TRAVAUX CONNEXES... 1 1.2 DESCRIPTION DES
Plus en détailListe de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs
Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9
Plus en détailMilieu, matières, matériels, méthodes : audits menés en industrie
38 dossier Retours d expérience Milieu, matières, matériels, méthodes : audits menés en industrie Par Sylvie Vandriessche, Aspec Les différents «M» du diagramme d Ishikawa correspondent à des domaines
Plus en détailPRÉPARATION DE PRODUITS STÉRILES NON DANGEREUX EN PHARMACIE. Norme 2014.01
PRÉPARATION DE PRODUITS STÉRILES NON DANGEREUX EN PHARMACIE Norme 2014.01 2 REMERCIEMENTS En plus d une grande expérience et d excellentes connaissances dans la pratique visée, le développement d une norme
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailComplément d information au Mémoire soutenant le développement des spécialités en pharmacie 19 novembre 2008
Complément d information au Mémoire soutenant le développement des spécialités en pharmacie 19 novembre 2008 Jean-François Bussières, pharmacien, président du comité sur les spécialités, Ordre des pharmaciens
Plus en détailSécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes
Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux Au Centre hospitalier de Valenciennes 1 Le centre hospitalier de Valenciennes MCO Psychiatrie SSR Soins de longue durée Maison de retraite
Plus en détailComment peut-il stériliser autant dans si peu d espace? Il cache bien son secret.
Le secret. 2 Comment peut-il stériliser autant dans si peu d espace? Il cache bien son secret. Le Getinge Quadro est un stérilisateur de table totalement révolutionnaire, conçu pour traiter davantage d
Plus en détailétude de cas Intégration de la solution VMware VIEW CSSS de Charlevoix
étude de cas Intégration de la solution VMware VIEW CSSS de Charlevoix Intégration de la solution VMware VIEW au CSSS de Charlevoix Mise en situation Comme beaucoup d établissements et d organismes du
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailGrâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE
la Grâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE Filiale du Groupe Suez Environnement et Leader en France,
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailagissons ensemble Octobre 2013 Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs
Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs Octobre 2013 Scénarios impliquant un produit toxique : Ammoniac La Brasserie Labatt du Canada, Montréal (Québec) Partenaire
Plus en détailLa politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins
La politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins Eléments pour une note de politique Introduction Les médicaments prennent une place de plus en plus importante
Plus en détailEdition et intégration de logiciels médicaux. Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS. Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25
Edition et intégration de logiciels médicaux Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25 LOGICIEL AXILA Le dossier médical informatisé pour les
Plus en détailMairie de Lérouville République Française Département de la Meuse
Mairie de Lérouville République Française Département de la Meuse REGLEMENT INTERIEUR 2015 D UTILISATION DES SALLES COMMUNALES DE LEROUVILLE Adopté par le Conseil Municipal par délibération n 58 du 16
Plus en détailAccueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale. Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA
Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA PLAN Introduction Réglementation Circuit du personnel Procédure de Formation Accueil
Plus en détailLe parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique
Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailBONNES PRATIQUES DE PHARMACIE HOSPITALIERE
MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE MINISTERE DELEGUE A LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS BONNES PRATIQUES DE PHARMACIE HOSPITALIERE 1 ère édition juin 2001 SOMMAIRE
Plus en détailStandard de qualité pour le Service de la pharmacie oncologique QuapoS 4
Standard de qualité pour le Service de la pharmacie oncologique QuapoS 4 2008 1/17 1. Personnel 1.1. Personnes qui manipulent des cytostatiques Les groupes de personnes amenées à manipuler des cytostatiques
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailParties communes et services
Parties communes et services Ergonomie pratique en 128 points CHECKPOINT 95 Mettre des vestiaires et des sanitaires à la disposition des employés pour garantir un bon niveau d'hygiène et de propreté. POURQUOI
Plus en détail"Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse"
"Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse" Journées Franco-Suisses de Pharmacie Hospitalière 23 avril 2015, Mâcon Dr Vera Jordan-von Gunten Pharmacien d hôpital,
Plus en détailBRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES
Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et
Plus en détailCommunauté de Communes du Pays de Livarot
Rue des Frères Lumière 14120 MONDEVILLE 02 31 35 64 35 02 31 35 64 36 Email : contact@inea-be.com Communauté de Communes du Pays de Livarot Aménagement de l ancienne usine Leroy en un Pôle de Santé Libéral
Plus en détailCollaboration MRS (MRPA) - Pharmacie
Collaboration MRS (MRPA) - Pharmacie 5 mars 2015 Laurent Lamard Sales Manager Care Pharmacien Tom Claes BU Manager Corilus Pharma Pharmacien Hugues Florquin Agenda Le cadre de la TUH Comment démarrer?
Plus en détailSimulation en aviation
Hôpitaux Universitaires de Genève Intérêt de la simulation en pharmacotechnie Pr Pascal BONNABRY Pharmacien-chef JFSPH 23 avril 2015 Etre les premiers pour vous Simulation en aviation 2 1 Simulation en
Plus en détailGESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck
GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de
Plus en détailSommaire ... PRESENTATION ... AGENCEMENT ... CLOISONS - PORTES ... ECLAIRAGE - DÉCORATION ... REVÊTEMENT ... RÉSINE DE SYNTHÈSE ...
d e n t a i r e e t m é d i c a l d e n t a i r e e t m é d i c a l Sommaire 4 5 6 7 8 9... PRESENTATION... AGENCEMENT... CLOISONS - PORTES 10 11... ECLAIRAGE - DÉCORATION 12 13... REVÊTEMENT 14 15...
Plus en détailCentre Hospitalier de Béziers
Centre Hospitalier de Béziers Edito Établissement public de santé, le Centre Hospitalier de Béziers est l hôpital de référence du bassin de santé Ouest-Hérault de plus de 200 000 habitants. Sa taille et
Plus en détailRapport d hygiène pour le département du service d ambulance
Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Dans le cadre des exigences de qualité posées, l on aimerait savoir dans quelle mesure le nettoyage et la désinfection des ambulances suffisent
Plus en détailBonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire
1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détailDISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL
DISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL Ces dispositions s appliquent spécifiquement aux établissements fabriquant ou distribuant des
Plus en détailCOMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE
COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE Client : JEAN CUISTOT TRAITEUR 31 RUE DE L 'OCEAN 17510 CHIVES jeancuistot.traiteur@club-internet.fr Tél. 05 46 33 64 21 Date de l'examen : 28-oct-2013 Technicien :
Plus en détailLe déneigement des véhicules lourds. transport
Le déneigement des véhicules lourds transport TABLE DES MATIÈRES L élimination du danger à la source : éviter le travail en hauteur!...p. 5 En hauteur, mais en toute sécurité! Utiliser des moyens collectifs
Plus en détailLa formation dans tous ses états. Programme et méthode de formation continue sur la
La formation dans tous ses états Programme et méthode de formation continue sur la «Préparation des médicaments anticancéreux» Répond à (Art R 950-4 al 1 du Code du Travail) Par qui, Comment et Pourquoi.
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailPrévention des chutes
Notre mission Dispensateur de services de première ligne et de services spécialisés, le CSSS du Suroît a la responsabilité de maintenir et d améliorer la santé et le bien-être de la population de son territoire
Plus en détailGETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE
GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE 2 Getinge Clean Management System GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM (CMS) UN PROCESSUS OPTIMISÉ, UNE SOLUTION UNIQUE Getinge peut vous
Plus en détailManutentions manuelles Statistique nationale / Ile de France 1992
Unité d Ergonomie Faculté de Médecine Pitié-Salpêtrière 91, bd de l Hôpital 75 634 Paris cedex 13 www.ergonomie.chups.jussieu.fr DIPLÔME D ERGONOMIE ET DE PHYSIOLOGIE DU TRAVAIL option1 Ergonomie du travail
Plus en détailP R É F E T D É L É G U É D E S A I N T - B A R T H É L E M Y E T D E S A I N T - M A R T I N **********
P R É F E T D É L É G U É D E S A I N T - B A R T H É L E M Y E T D E S A I N T - M A R T I N APPEL D OFFRES OUVERT Marché à procédure adaptée Art. 28 du CMP Marché N : PREF 2012 01 Marché de travaux ACTE
Plus en détailCENTRE SPATIAL JOHN H. CHAPMAN ST-HUBERT
Programme d hygiène et salubrité des locaux à usage alimentaire CENTRE PATIAL OHN H. CHAPAN T-HUBERT AVRIL 2012 TABLE DE ATIÈRE PARTIE 1. RAPPEL DE BONNE PRATIQUE DE BAE PARTIE 2. PROFIL DE ALUBRITÉ PAR
Plus en détailHygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009
Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage Jeudi 28 mai 2009 Alain LEFEBVRE - Cadre supérieur de santé Hygiéniste 1 Le bio nettoyage
Plus en détailLOT N 2 - MENUISERIES EXTERIEURES INTERIEURES et FAUX PLAFONDS
LOT N 2 - MENUISERIES EXTERIEURES INTERIEURES et FAUX PLAFONDS 4.A. OBJET DES TRAVAUX Les travaux prévus au présent lot concernent tous les ouvrages de Menuiseries extérieures, intérieures et de faux plafonds,
Plus en détailÉvaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration
Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d admini istration Mai 2012 1 Le programme de maîtrise en administration des affaires, cheminement coopératif (MBA Coop) de la Faculté d administration
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailRÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS
RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS ACTIVITÉS Capacités COMPÉTENCES C1 Préparation des activités Réalisation d activités Relations avec les clients, avec
Plus en détailUniversité Saint-Joseph
Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part
Plus en détailmedical your storage solution for medication vanas engineering
Optimisation de la gestion des médicaments dans les hôpitaux via les armoires à médicaments commandées électroniquement. your storage solution for medication industry automotive medical vanasoft logistic
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailDossier de presse 2013
Dossier de presse 2013 Contact presse : Nathalie Philippe 04 70 07 67 66 06 22 69 23 89 n.philippe@cepisoft.net C EP I 1 b i s ru e G a s p a rd M o n g e - 3 7 2 7 0 M o n t l o u i s s u r L o i re -
Plus en détailLES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE
LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si
Plus en détailLave-bassins à thermo-désinfection pour hôpitaux et cliniques
Lave-bassins à thermo-désinfection pour hôpitaux et cliniques For the Environmentally conscious Lave-bassins à thermo-désinfection pour hôpitaux et cliniques Steelco continue à accroître sa réputation
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailCONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX
CONSULTATION PROPRETE DES LOCAUX Exécution de prestations de nettoyage de locaux administratifs situés : - site n 1 : 24 rue des Ingrains 36022 CHATEAUROUX - site n 2 : 10 rue d Olmor 36400 LA CHATRE Critères
Plus en détailPROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES
PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES Janvier 2009 TABLE DES MATIÈRES Page Préambule 3 1. Dotation en personnel 4 1.1 Compétences du personnel 4 1.2 Fonctions
Plus en détailStation informatique. Station informatique
STATION informatique Rousseau vous présente ici tout un éventail de produits et accessoires pour compléter et agrémenter votre station informatique. Désormais présents dans tous les services, les ordinateurs
Plus en détailAUDIT BLOC OPERATOIRE
AUDIT BLOC OPERATOIRE Forum Octobre 2006 G.Bossuat, inf, HPCI, CHUV 1 Rappel théorique Audit vient du mot latin «audire», écouter. L audit, est un processus méthodique, indépendant et documenté permettant
Plus en détailLes infractions au. Code criminel PERMIS DE CONDUIRE
Les infractions au Code criminel PERMIS DE CONDUIRE Les infractions au Code criminel PERMIS DE CONDUIRE Le Code criminel et la conduite d un véhicule routier Certains comportements ou certaines actions
Plus en détailContexte de la chimiothérapie à domicile
Marie LAFFETAS / Stéphanie COUDERT Toulouse Le 05 octobre 2012 Contexte de la chimiothérapie à domicile Problématique et objectifs Méthode et résultats de l étude Discussion et conclusion 2 1 Développement
Plus en détailRisques et dispositifs médicaux. «Responsabilités encourues» Isabelle Lucas-Baloup. 12, 13 et 14 octobre 2010
Risques et dispositifs médicaux «Responsabilités encourues» 1 Le circuit du dispositif médical Responsabilité D.M. approche systématique approche du produit implique analyse des missions et responsabilités
Plus en détailTABLE RONDE MISE EN PLACE DE RECOURS EFFECTIFS VISANT A CONTESTER LES CONDITIONS DE DETENTION
TABLE RONDE MISE EN PLACE DE RECOURS EFFECTIFS VISANT A CONTESTER LES CONDITIONS DE DETENTION organisée dans le cadre du projet financé par le Fonds fiduciaire «droits de l homme» (HRTF) Conseil de l Europe,
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailFORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques
FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES Promouvoir les soins pharmaceutiques PRÉSENTATION DE LA FORMATION Contexte Le métier du pharmacien est en pleine évolution. Un concept qui va
Plus en détailUne pandémie d influenza...
Une pandémie d influenza... Que feriez-vous avec seulement le 2/3 de vos effectifs? Ordre du jour Pandémie influenza Dr. Lucie-Andrée Roy, Santé publique Annick Bouchard, M.Sc.Env., Centre de sécurité
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque
PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer
Plus en détailÉnoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada
POLITIQUE DE L AMC Énoncé de position sur les pénuries de médicaments d ordonnance au Canada Les pénuries de plus en plus graves de médicaments d ordonnance des dernières années et les ruptures de stocks
Plus en détailHepatex CR. Le panneau à flux laminaire de référence
Hepatex CR Le panneau à flux laminaire de référence Hepatex CR Le panneau à flux laminaire de référence APPLICATIONS Conditionnement de l'air Energie Salle Propre Industriel Données clés u Efficacité de
Plus en détail