Couverture : Entrée principale de l Université Paris Descartes, rue de l École de Médecine.
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1 de l Université Paris Descartes Richesses & Patrimoine
2 Couverture : Entrée principale de l Université Paris Descartes, rue de l École de Médecine.
3 Richesses & Patrimoine de l Université Paris Descartes Textes de Sandrine Le Brize Direction du Patrimoine Université Paris Descartes Photographies de Sandrine Le Brize Conception graphique de Michel Tournier Service Pré-presse Université Paris Descartes Janvier 2009
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5 Raphaël Greffe Directeur du Patrimoine Janvier
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7 Sommaire 1. Les Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives Le Centre Universitaire des Saints-Pères La Faculté de Pharmacie La Faculté de Droit L Institut de Psychologie L IUT La Faculté de Chirurgie Dentaire La Faculté de Médecine ~ Les Cordeliers ~ Cochin ~ Necker Le Siège Remerciements Bibliographie
8 Sandrine Le Brize Historique : 1838 : Fondation du Collège de l Immaculée Conception : Hôpital militaire puis civil 1923 : Propriété de l Université de Paris 1930 : Inauguration du premier Institut d Éducation Physique à Paris L établissement se compose d un bâtiment principal, avec façade sur rue, de trois niveaux avec combles, d un gymnase d agrès, d un gymnase de sports collectifs et d une piste d athlétisme de 250 mètres.
9 1. Les Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives Paris 15 ème Inscription à l Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques du dortoir de l ancien Collège de l Immaculée Conception, derniers témoins existants d un ensemble religieux et éducatif prestigieux du XIX e siècle, par arrêté du 2 octobre L établissement propose des enseignements spécialisés, éducation et motricité, entrainement sportif, activité physique adaptée et santé, préparation aux concours. Ils sont enrichis par des services singuliers : un Laboratoire Action, Mouvement, Adaptation (L.A.M.A.), un laboratoire Motricité, Culture et Société, un laboratoire physiologie du muscle ainsi qu un centre technique documentaire. Avant la Révolution, un établissement de soins, la cure de Saint-Sulpice, occupait l emplacement de l UFR STAPS. La propriété ne comprenait qu une petite maison de campagne entourée d un grand jardin. Confisqué par l État en 1791, le domaine est racheté à la Restauration. Le nouveau propriétaire, Dupré, y établit une fabrique de cosmétiques et prépare plus particulièrement du blanc de céruse. En 1829, les locaux sont vendus à l abbé Poiloup qui donne une nouvelle vocation aux lieux; ce sera un collège de jeunes enfants. Jusqu en 1834, de gros travaux sont entrepris par l abbé. L architecte Lemarié fait élever cinq corps de bâtiments, aujourd hui disparus, et édifie une grande chapelle située 391, rue de Vaugirard, décorée d une fresque réalisée par le fils du peintre Fragonard. L abbé poursuit son projet et agrandit le domaine en achetant un terrain à proximité. En 1838, l établissement qui a pris le nom de collège de «l Immaculée Conception» occupe une place importante dans le monde scolaire et universitaire jusqu à la fin du règne de Louis-Philippe. A partir de 1848, en raison de dissensions dans le personnel, l établissement périclite. En mai 1852, les jésuites rachètent les douze hectares du domaine et redonnent au lieu une nouvelle prospérité. En 1869, ils font édifier les bâtiments actuels qui porteront le nom de «Pavillon Joly» du nom de l architecte. En 1870, un incendie ravage la chapelle. Les jésuites entreprennent les restaurations, profitent des travaux pour modifier les plans et y adossent un très grand parloir. La loi de séparation de l Église et de l État ruine leurs efforts. La congrégation religieuse se retire non sans avoir, dès 1880, créée une société civile dont le père du général De Gaulle fut le directeur adjoint. Son fils fréquenta le collège et fut le plus illustre de ses élèves. En 1900, il y fut inscrit en classe de cinquième et y étudia jusqu en 1907, avant de poursuivre ses études en Belgique. Monseigneur Amette, archevêque de PARIS loue les bâtiments entre 1908 et 1911 et y installe le séminaire diocésain. Durant la guerre , le bâtiment devient un hôpital militaire avant de devenir l hôpital civil de Vaugirard. En 1923 et grâce aux initiatives du recteur Charlety, l université de Paris devient propriétaire du terrain. En application du décret du 9 juin 1928, le professeur Chailley-Bert et quelques enseignants de la Faculté de médecine de Paris occupent les lieux et inaugurent l Institut d Éducation Physique. Après Bordeaux et Nancy, Paris voit naître son premier institut. En 1930, l institut accueille cinquante stagiaires inscrits à une année de cours de perfectionnement en éducation physique. Cependant, les débuts de l institut sont relativement modestes. Les cours théoriques sont enseignés dans de petites salles attenantes à l école pratique de la Faculté de médecine, boulevard Jourdan. L enseignement pratique se déroule au lycée Henri IV puis au lycée Saint-Louis et enfin dans une école, rue du Jardinier. Malgré le manque d installations, des personnalités enthousiastes, le docteur Dufestel, le docteur Richard, Orgelet, inspecteur de l enseignement primaire, encadrent les élèves. Ce n est qu en 1930 que l institut s installe définitivement dans les locaux actuels. Cependant, un bail emphytéotique signé en 1927 avec le ministère de la santé, oblige l établissement à céder le troisième étage. Ainsi, un laboratoire d hydrologie et l agence du 9
10 l École libre de l Immaculée Conception, Paris. Vue des bâtiments en Gravure du Musée Carnavalet / médicament s installent sur 800 m². Les premiers travaux de mise en sécurité en 2002 permettront à l UFR de récupérer tout l étage. Dès les années 1930, l institut participe à la formation professionnelle des futurs professeurs d éducation physique et se spécialise dans la formation des médecins inspecteurs des écoles. Les cours dispensés visent à spécialiser ces médecins afin qu ils soient en mesure de sélectionner les sujets aptes à l éducation physique. L institut gagne de l importance au sein de la capitale et en 1937, le directeur fait appel à l architecte Mesnier afin de réaliser une entrée digne de ce nouveau statut. D inspiration très Art Déco, il désigne par ses entrelacs la destination sportive du lieu. Aux frontons, les motifs stylisés dessinent les sports qui font légion au sein de l institut. En 1938, l établissement propose un dispensaire et l année suivante des cours de gymnastique médicale s y développent. L institut présente de très bons résultats et une croissance constante. Ainsi l établissement et plus particulièrement le dispensaire reçoivent une aide significative en la personne du soussecrétaire d État à l éducation physique, le docteur Dezarnaulds. Parallèlement aux activités du dispensaire, un laboratoire de radiologie et d investigations biologiques permettant d effectuer les examens médicaux les plus complets, est créé. L institut de Paris délivre alors un certificat universitaire appelé «diplôme médical d éducation physique». En 1940, il se présente comme un centre d exception en France. En 1941, le professeur agrégé Chailley-Bert devient le directeur de l institut. Ce dernier propose au conseil d administration, devant l augmentation des demandes d inscription, la mise en place d un concours de recrutement. Cinquante filles et trente garçons sont sélectionnés sur la base d épreuves physiques : «course 60 m plat pour les filles, 100 m pour les garçons, saut en hauteur, lancer de poids, barres parallèles, grimper, exercices d assouplissement, natation, 33 m nage libre, départ plongé». Durant la guerre et malgré les difficultés, l institut continuera à fonctionner. Au lendemain de la guerre, il retrouve son activité normale sous la direction du professeur Olivier. Cette période trouble passée apporte à l institut un nouveau rayonnement : Jean Sarrailh, nouveau directeur de l Éducation générale, apporte une aide précieuse à l IREP (Institut Régional d Éducation Physique) de Paris en lui accordant d importantes subventions. Un certificat de biologie appliquée au sport et à l éducation physique se met en place dans les Facultés de médecine. Sandrine Le Brize 10
11 Les installations sportives étant devenues impraticables dans Paris, l institut met à dispositions ses locaux, ses installations et son stade à des institutions. En 1951, la première chaire de biologie appliquée à l éducation physique est créée à l institut de Paris et confiée à Chaillet-Bert. Le premier préparateur de cette chaire est le docteur Talbot. Dans les années soixante, l établissement propose deux formations distinctes. La première d une durée de quatre ans conduit au professorat d éducation physique. La seconde formation, qui prépare au monitorat d éducation physique, s adresse aux étudiants recrutés après le diplôme national du brevet. A la fin de la seconde année d apprentissage, les étudiants passent un concours appelé «maîtrise d éducation physique». Quelques candidats s inscrivent également au concours de la ville de Paris et en cas d admission, sont nommés professeurs d éducation physique dans les écoles primaires. Sandrine Le Brize Le 21 novembre 1967, le professeur Plas, directeur de l institut, est nommé président de la Société française de médecine du sport. Il contribue par l importance de ses travaux de recherche, à la création en 1971 d un cours de médecine du sport dans l enseignement médical (4ème année du second cycle). La loi de 1968 dite «Edgar Faure» permet à l institut de devenir une unité d enseignement et de recherche, rattachée à l université Descartes. L UER sera désormais dirigée par un président qui sera obligatoirement un professeur des universités. Le conseil d administration de l UER propose à la signature du Ministre de l éducation nationale et du Ministre de la jeunesse et des sports, le nom d un professeur d éducation physique pour assurer la direction technique de la composante. En 1975, l UER obtient la création du DEUG STAPS, suivi en 1977 de la Licence, puis en 1981 de la Maîtrise et enfin en 1983 par l ouverture d un 3 ème cycle. 11
12 Depuis les années 1930, les installations (le bâtiment principal, les deux gymnases et la piste d athlétisme) sont pratiquement demeurées sans réhabilitation. Afin de répondre à l engouement pour les études STAPS, plusieurs projets de déménagement ont vu le jour dès le début des années La plus récente des études envisageait une construction à Gentilly. Face à ces départs probables, des travaux d entretien et de réaménagement n ont jamais été envisagés. L UFR souffrait de cette situation. Le contrat état région a décidé de réhabiliter le site par des opérations de mise en sécurité et de restructuration. Ainsi, depuis six années, l UFR STAPS est en travaux ou en cours d étude. L établissement a subi une profonde restructuration ; renaissance d une bibliothèque répondant aux besoins actuels, rénovation d un amphithéâtre et mise aux normes des installations d eau chaude et de chauffage. Des travaux de rénovation ont été réalisés sur la toiture du gymnase Watteau avec installation de trappes d évacuation des fumées. Des travaux d assainissement ont été conduits afin d évacuer les eaux pluviales des aires sportives et de la voie d accès des pompiers. La restructuration des lieux a obligé à déplacer cette voie et à la réinstaller en s assurant de sa conception très spécifique en cas d utilisation et de stationnement des véhicules des sapeurspompiers. Sandrine Le Brize Été 2007, une nouvelle piste d athlétisme a été livrée. A l origine, elle était recouverte de cendrée. Remise à neuf, la piste d athlétisme a été recouverte d un revêtement synthétique et enrichie d aires sportives. Du matériel adapté a été sélectionné dans la réalisation des espaces : saut à la perche, saut en hauteur, le lancer de poids et de disque. Des matelas de réception, un tapis-pointe de recouvrement, des bâches d intempéries, des barres de saut et une cage disque double hauteur en aluminium avec filets viennent compléter le dispositif. La zone piétonne et les espaces verts sont valorisés par des candélabres et du mobilier urbain. L UFR STAPS dispose d un gymnase d agrès dont l ossature aurait été dessinée par Gustave Eiffel ou son école sans pour autant apporter des preuves de cette origine. Couvert d un toit à la Mansart, les murs allient les montants en acier et la brique. Situé au 1er étage de l ancien Collège de l Immaculée Conception, il offre une luminosité hors paire qui lui vaut d être classé parmi les plus beaux gymnases de Paris. 12
13 2. Le Centre Universitaire des Saints-Pères Paris 6 ème - 3 Décembre 1953 : Inauguration du bâtiment des Saints-Pères : Construction du bâtiment Jacob Le centre universitaire des Saints-Pères s organise selon trois entités : le bâtiment des Saints-Pères, le bâtiment Jacob et la cathédrale Saint-Wladimir. Historique : : Consécration de la chapelle de la Charité - 3 Décembre 1936 : Première coulée de béton du bâtiment des Saints-Pères à 1948 : Interruption des travaux Inscription aux Monuments Historiques de la cathédrale ukrainienne Saint-Wladimir (façades sur rue et sur cour, vantaux) par arrêté du 16 mars L établissement propose des enseignements spécialisés : biomédicale, mathématiques et informatique ou sciences humaines et sociales. Ils sont enrichis par des services singuliers : bibliothèque universitaire, école européenne de chirurgie, service du don des corps, laboratoire d éthique médicale et médecine légale. La création d une nouvelle Faculté de médecine située «rue des Saints-Pères» avait pour intention d accueillir les étudiants de première et deuxième année afin de désengorger ce qui deviendra l ancienne Faculté de médecine située au 12, rue de l école de Médecine. La démolition, en 1935, de l hôpital de la Charité transféré à Clichy, laisse un emplacement disponible dans le quartier des écoles. Le 3 Décembre 1936, Gustave Roussy, doyen de la Faculté, grand savant et grand administrateur, assiste à la première coulée de béton. Actuellement, il ne subsiste de l hôpital que la chapelle devenue ukrainienne sous le nom de cathédrale Saint-Wladimir et l ancien couvent des sœurs de la Charité, rue du Vieux Colombier qui est occupé par la caserne des pompiers. A peine née, la Faculté est déjà menacée. Les travaux interrompus en 1940, ne reprirent qu en L ossature constitua un lieu de dépôts d engins de guerre et de terrain de jeux aux enfants du quartier. Quant aux habitants, ils se réfugièrent dans ses sous-sols lors des bombardements. A la libération, les lieux sont occupés par les Forces Françaises Libres qui remplacent les troupes allemandes. En 1945, la réquisition est levée mais une explosion se produit dans les sous-sols. La responsabilité des Armées est évidente mais le dédommagement de l université sera incomplet ( F contre F de dégâts). 13
14 Le déminage de la Faculté sera assuré par une équipe spécialisée. Malheureusement ce travail devait s avérer incomplet puisque le 4 juin 1951, soit presque à l achèvement du chantier, une explosion heureusement sans gravité eut lieu près d un feu de popote d ouvriers, pourtant entouré de briques comme le recommandait la sécurité. Primitivement, les bâtiments devaient aller jusqu à la rue de Rennes qui devait être prolongée et dont la réalisation fut abandonnée. Le bâtiment actuel ne représente que la moitié des bâtiments projetés. De plus, l édifice s élevant sur neuf niveaux, il est classé en immeuble de grande hauteur, communément appelé «IGH». Cette situation n est due qu à une amputation du terrain par la ville de Paris, pour agrandir une école voisine. Le projet primitif ne comportait que cinq étages sur le terrain total de l ancien hôpital. Le bâtiment des Saints-Pères La Faculté est inaugurée le 3 Décembre 1953 par le Président de la République Vincent Auriol. La conception du bâtiment des Saints-Pères qui est le cœur du centre universitaire a été réalisée selon les vœux de Gustave ROUSSY, en collaboration avec l architecte Louis Madeline. Le doyen de l université désirait que les «maîtres» et les élèves ne vivent plus à l étroit dans des installations désuètes et peu dignes d une Faculté justement fière de son prestige. Il souhaitait ardemment «de pouvoir laisser aux générations qui montent Un précieux patrimoine : une Faculté de Médecine à la Charité». En 1958, la Faculté dispose de huit chaires d enseignement: physique médicale, physico-chimie médicale, radiologie médicale, chimie médicale, physiologie, histologie, embryologie et anatomie. Ce sont des chaires d enseignement théorique et pratique, pourvues désormais d amphithéâtres confortables, de nombreuses salles de travaux pratiques et de laboratoires modernes. Ces divers départements sont aérés, ventilés, chauffés, éclairés grâce à des installations originales. La centrale électrique et un important service de chauffage ont pris place dans les sous-sols et leur visite fait l admiration de tous les ingénieurs. L équipement électrique est conçu pour obtenir une sécurité maximale et une grande simplicité d exploitation. Dans l éventualité d une panne grave de la sous-station Rennes dont dépend la Faculté ou du réseau l alimentant, un groupe électrogène de secours a été installé. De cette manière, les opérations d arrêt de travail et d évacuation des étudiants peuvent s effectuer sans difficulté. Il en résulte une grande sécurité pour les travaux de recherche qui peuvent être poursuivis aussi longtemps qu il est souhaitable sans qu aucune interruption ne soit à craindre. L éclairage général a été étudié pour obtenir des taux d éclairement correspondant aux types de travail. Du matériel adapté a été installé, en particulier dans les amphithéâtres où les pupitres disposent d un éclairage réduit et les salles de dissection où au contraire la lumière est vive évitant ainsi les ombres. Dans ce dernier cas, les étudiants sont placés dans des conditions analogues à celles qu ils retrouveront plus tard dans les salles d opérations. Toutes les salles de conférence, amphithéâtres et salles de cours, ont été étudiés pour que la parole de l orateur reste en tous points parfaitement audible et intelligible. Le grand amphithéâtre Binet de mille places constitue un des succès de cette nouvelle Faculté. La chaire était équipée de toutes les commandes électriques et mécaniques de la salle et deux appareils dits «Diareflet» remplaçaient le tableau noir. Ceux-ci permettaient au conférencier, sans tourner le dos à l auditoire, d écrire des notes que des tablettes réfléchissaient sur un grand écran. Ce procédé novateur a été remplacé par un «Banc Titre». Une caméra rotative numérise ou filme le document, l objet et diffuse la copie sur un écran par le biais d un signal vidéo. Egalement pour des raisons de sécurité, les lampes individuelles qui garnissaient les tables des étudiants ont été enlevées. Enfin, le centre universitaire recèle une autre richesse. L architecte Jean Prouvé a collaboré à la naissance de l établissement en dessinant l amphithéâtre Claude Bernard. Refusant tout artifice et toute mise en scène, le mobilier porte sa signature si personnelle, l alliance du bois et du métal. Les murs en pavés de verre répondent à l étalonnage des bancs d étude où les lignes horizontales, verticales et obliques contrôlent l espace. Jean Prouvé a beaucoup travaillé en série et a apporté quelques variantes à ses 14
15 réalisations. Les autres amphithéâtres portent une certaine trace de sa portée créatrice sans pour autant les attester de sa main. Le dessein de Gustave Roussy fut pleinement abouti puisqu en 1958, le doyen Binet la considère comme une des plus belles Facultés médicales du monde : «cette Maison neuve, moderne, embellie par des artistes éminents qui ont su l orner de médaillons nombreux et d une porte pleine d allégories». Quarante-cinq sculptures, situées sous le premier étage, agrémentent les façades. Toutes inspirées par les disciplines enseignées, le corps médical ou les avancées scientifiques, elles ont été traitées par des artistes reconnus, anciens élèves de l école des Beaux-arts et presque tous lauréats du prix de Rome. L entrée principale n est pas moins singulière. Étudiants et chercheurs sont accueillis par une porte monumentale, la «Porte de la Science», porte de bronze, haute de 7,80 m et large de 4 m qui se compose de deux grands vantaux mobiles et d un tympan. Bien loin des froides allégories, les thèmes choisis par le sculpteur Paul Landowski ont été traités de manière très humaine. Les vantaux sont divisés en trois grands bas- reliefs séparés par deux bas-reliefs plus petits. Les deux grands bas-reliefs de la base représentent l apparition de la vie. Au centre, des combats et des accouplements d animaux marins, reptiles, oiseaux et mammifères s articulent dans un tumulte de formes. L homme et la femme apparaissent jaillissant de la végétation qui les entoure. Sandrine Le Brize Sandrine Le Brize La Renaissance, Alphonse Terroir, Prix de Rome Les deux grands bas-reliefs centraux représentent le couple humain devant le mystère de la vie et l énigme de la mort. Dans ce chaos, gravitent les mythes qui tentent d expliquer les miracles du monde vivant : Déméter, déesse mère de toutes les religions s offrant au Dieu créateur, apparait entre l homme et la femme jouant avec leur enfant. Sortant des flots, Vénus apporte la coupe sacrée de la vie. Sur le vantail droit, un groupe épouvanté rencontre pour la première fois la mort. Emportés par les démons, les hommes apparaissent aux damnés sous le regard du Dieu des enfers, tandis que, de sa main, Dieu appelle à lui les élus. Dans la partie supérieure, à droite, Jason cueille la pomme d or sur l arbre de la Science. En face, Héraclès vainqueur des Enfers ramène Alceste sur la terre. Les petits bas-reliefs traduisent les malédictions. A droite, Adam et Eve sont chassés du paradis. A gauche, Pandore, par son imprudence, répand le malheur sur la terre. Autour d elle, les trois Parques déroulent le fil des destinées humaines. Enfin dans le dernier bandeau de séparation, les motifs évoquent les rédemptions. Apollon, le héros, 15
16 affronte les forces du mal. A droite, le centaure Chiron tue le taureau monstrueux qui dévastait la terre. Les Néréides recueillent le sang et le porte à Prométhée qui enchainé préconise de le mélanger à l eau de mer. Ce mélange ainsi formé est à l origine de la légende du premier médicament. Sur le tympan, tout en ronde-bosse, Asclépios, dieu de la Médecine, domine la composition. Il est représenté sous l aspect de l un de ces médecins qui allaient de ville en ville porter la science. La couleuvre sortant de terre lui apporte la première plante médicinale. D un côté la légende de la naissance d Asclépios, fils d Apollon et de Coronis, fille de roi mais mortelle. Brûlée aux rayons du soleil, Apollon retire de son sein l enfant demi-dieu qu il confie au Centaure Chiron. A l opposé, la mort d Asclépios répond à la vie. Il avait osé ressusciter un mortel malgré la défense de Jupiter ; pour le punir, Jupiter le foudroie. La mort voilée l emporte. Aux pieds d Asclépios, en longue frise, se presse la foule des suppliants. Depuis les temps les plus reculés, ils crient leur désespoir et demandent la guérison aux savants et aux dieux. Le bâtiment Jacob Construit dans les années 1970, il communique à tous ses niveaux avec le bâtiment des Saints-Pères. Ce bâtiment, rectangulaire et tout en béton, est complètement enclavé dans la parcelle. S élevant sur six niveaux, sa destination était exclusivement réservée aux travaux dirigés. La cathédrale Saint-Wladimir Sandrine Le Brize Démolie en 1613 selon les vœux de Marie de Médicis, la chapelle s élèvait sur les ruines d une chapelle primitive de style gothique datée du XII e siècle. En 1620, la Reine de France inaugure la chapelle destinée à l hôpital Saint-Jean-Baptiste ou hôpital de la Charité. L église est redessinée en 1731 par Robert de Cotte et Cholat sur un plan en croix latine. Le 6 avril 1795, les trois comités, des travaux publics, des secours et d instruction décident d attribuer la chapelle de l hôpital de la Charité à la clinique interne et celle de l ancien archevêché, qui jouxte l Hôtel-Dieu, à la clinique externe. C est finalement au printemps 1799 que l école de médecine clinique s établit à l hôpital de la Charité même si le directeur Thouret déplore l absence de malades. Les premiers projets d agrandissement de la chapelle sont présentés dès le 25 novembre L architecte de l assistance publique Nicolas-Marie Clavereau réorganise le bâtiment pour y installer un amphithéâtre et des salles de clinique. Lors de ces travaux, la façade est modifiée. L étage à ordre ionique est remplacé par un mur percé de trois arcatures et l entrée imposante est encadrée de deux reliefs représentant un faisceau de licteurs, symbole éminemment républicain. Les états de proposition d acomptes indiquent que les sculpteurs Antoine et Augustin-Félix Fortin ont perçu chacun livres pour les travaux réalisés. Il semblerait que le premier, ornemaniste, ait exécuté le décor architectural intérieur et que le second ait proposé le décor de la façade ainsi que le tympan où trône le personnage assis d Asclépios. A l intérieur, il y régnait une atmosphère de basilique romaine. Un plafond à caissons qui a disparu couvrait au rez-de-chaussée, la nef et ses deux galeries latérales. L absence d éclairage direct rendait ce 16
17 promenoir fort sombre, ce qui contribuait à inviter les élèves au silence comme le souhaitait l architecte. Ce dernier, pour accentuer le caractère moral de l architecture, souhaitait porter sur les colonnes des inscriptions relatant les nouvelles découvertes en médecine et les cures extraordinaires, constituant ainsi des sujets constants de méditation et d instruction pour les élèves. Ce promenoir conduisait à l amphithéâtre qui occupait l ancien chœur de la chapelle. Il en était séparé par un escalier monumental qui s inscrivait dans le volume entier de l ancienne croisée du transept. Cet escalier permettait d accéder au sommet des gradins de l amphithéâtre et desservait les salles du premier étage. En effet, la nef était divisée en deux niveaux affectés aux salles des malades avec un plancher intermédiaire supporté par des colonnes ioniques. En cours d étude, l architecte modifia le plan en hémicycle de l amphithéâtre pour proposer un plan parfaitement circulaire. Ce lieu remplissait une double fonction : une salle de conférence clinique et plus traditionnellement, une salle de démonstration anatomique. L amphithéâtre était pourvu en son centre d une table de dissection avec un écoulement pour le sang. Les autopsies y étaient effectuées puisque c était la seule salle aménagée en cette fin. Les gradins furent disposés de cette manière de façon à ce que le plus grand nombre d élèves puissent voir de près les gestes de l opérateur. En 1805, les chapelles latérales et méridionales abritaient encore les préparations anatomiques ou les instruments de chirurgie. Ces chapelles ont été détruites. Le bras droit du transept portait le nom de salle de pathologie, les collections de pièces anatomiques y étaient rassemblées. En 1935, la chapelle demeure un des derniers souvenirs de l hôpital de la Charité. La grande salle du rez-de-chaussée a été occupée par les salles de malades ou des infirmeries jusqu à la fin de l année Rendue au culte, elle fut attribuée et reconnue comme église catholique de rite byzantin-ukrainien. Le 9 mai 1943, l église est consacrée sous la présidence de Mgr Chaptal, Sandrine Le Brize Intérieur de l École de Médecine, rue des Saints-Pères, par CLAREVEAU, Architecte. La salle des morts se situait dans le prolongement de l actuel presbytère occupant ainsi une partie du square Chevtchenko. 17
18 évêque de Paris. Aujourd hui, elle porte le nom de cathédrale ukrainienne Saint-Wladimir le Grand, nom du prince qui fit baptiser son peuple de la Rous de Kiev en 988. Actuellement, ses sous-sols servent de réserves à l université et des logements occupent le premier étage. Au rez-dechaussée, le bâtiment est occupé par l église ukrainienne et son presbytère. L amphithéâtre Laennec se situe toujours dans le chœur de la chapelle. Les étudiants y accédaient par un unique passage depuis le premier étage du bâtiment des Saints- Pères. La nef et l amphithéâtre ne possèdent plus de communications. Cependant on y retrouve la même harmonie esthétique. L amphithéâtre se distingue par une décoration sobre et des banquettes en bois sans dossier pouvant recevoir à peine quatre-vingts auditeurs. La décoration directoire s affirme très nettement par une jolie frise en palmettes sculptées, couronnée par une corniche à modillons. Des motifs à la «grecque» et des filets grenat viennent souligner cet espace intimiste. A l entrée de l amphithéâtre s élève un buste de Laennec et une plaque de marbre retrouvée dans l ancien hôpital et qui porte cette inscription : Sandrine Le Brize En septembre 1802, Laennec suivit les leçons De En Corvisart septembre dans 1802, cet amphithéâtre. Laennec suivit les Professeur leçons. De de Corvisart clinique le dans 18 mars cet amphithéâtre. 1823, Laennec Professeur y donna de clinique son enseignement le 18 mars 1823, jusqu en Laennec Mai y donna 1826, son époque enseignement de son départ jusqu en pour Mai Kerlouarnec 1826, époque où de il mourut son dépar le 13 pour août Kerlouarnec où il mourut le 13 août Le vaisseau de la cathédrale présente les mêmes motifs que l amphithéâtre bien que le jaune tendre soit remplacé par le grenat. Il se compose d une nef assez large et de simples bas-côtés séparés par des colonnes ioniques sans cannelures supportant un entablement. De chaque côté, quatre fenêtres en plein cintre éclairent les allées. Deux niches recevant des icônes de la Vierge mènent vers l iconostase, œuvre de Mazurek, datée de Celle-ci est valorisée par un puits de lumière assez large, couvert par une toiture pyramidale en verre qui surplombait l escalier majestueux dont il ne reste plus aucune trace. 18
19 Sandrine Le Brize Façade de la cathédrale ukrainienne Saint-Wladimir Le Grand, rue des Saints-Pères, datée de la fin du XVIII e siècle. Un fort encrassement avait été constaté sur la façade de la chapelle, surtout dans la partie basse. De nombreuses pierres portaient des traces de sel, d autres s effritaient ou étaient cassées au niveau de la corniche. Au printemps 2004, les travaux ont été exécutés par des entreprises spécialisées dans le traitement de la pierre. Toute la mission des parties sculptées, caissons, faisceaux et surtout la sculpture d Asclépios ou d Esculape (chez les Romains,) a été confiée à un restaurateur. La réparation ou le remplacement de blocs de pierres étaient devenus indispensables. L assemblage des pierres à l aide de mortier ainsi que la pose d une patine d harmonisation au lait de chaux ont constitué la plus grosse partie des travaux. Le nettoyage à l eau ou avec adjonction de produit chimique a été choisi selon la nature de la pierre. Des travaux de couverture ont également été menés afin d éviter les infiltrations d eau et permettre une meilleure évacuation des eaux pluviales. Le grand portail a été changé et repeint selon la teinte des anciennes écailles. Conçu avant 1939 et bien que réalisé dans les années 1950, le centre universitaire des Saints-Pères est un témoignage monumental de l art officiel. L empreinte de Jean Prouvé, architecte et designer parmi les plus côtés du XX e siècle, et la participation de quinze sculpteurs très représentatifs de cette époque ne peut que valoriser cet ensemble unique dans la capitale. 19
20 Sandrine Le Brize L établissement propose des disciplines spécialisées, pharmacie et sciences biologiques et chimiques. Historique : 1257 : Installation des Chartreux à l emplacement actuel de la Faculté de pharmacie 1578 : Fondation de la «Maison de la charité chrétienne», par Nicolas Houel, maître apothicaire, rue de l Arbalète 1624 : La communauté des apothicaires de Paris hérite de la Fondation de Nicolas Houel 1630 : Construction d un nouveau bâtiment abritant la corporation des apothicaires, rue de l Arbalète 1777 : Naissance du Collège de pharmacie 1803 : Création de l École de pharmacie en application de la loi de Germinal 1875 : Attribution des terrains de la nouvelle École de pharmacie, avenue de l Observatoire 1882 : Inauguration de l École de pharmacie 1920 : Création de la Faculté de pharmacie en reconnaissance des services rendus durant la guerre 1914/ : Naissance de la Faculté des sciences pharmaceutiques et biologiques
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