Étude d'impact : Air - Évaluation des risques sanitaires Projet

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Étude d'impact : Air - Évaluation des risques sanitaires Projet"

Transcription

1 Dossier réalisé par KIETUDES 139 Rue des Arts ROUBAIX tél : fax : Étude d'impact : Air Évaluation des risques sanitaires Projet ZAC de l Ange Gardien QUESNOY SUR DEULE Janvier 2011

2 Sommaire 1. Rappels de l'état initial Polluants retenus pour l'évaluation des risques sanitaires Valeurs toxicologiques de référence Choix des populations cibles Évaluation des risques sanitaires Méthodologie Données d'entrées (hypothèses)... 3 a) Hypothèses de circulation... 3 b) Hypothèses d'émission pour les polluants issus de la circulation... 5 c) Hypothèses d'occupation des sols... 5 d) Hypothèses d'émission pour les polluants issus des bâtiments Résultats de la modélisation Évaluation de l exposition humaine... 6 a) Méthodologie... 6 b) Valeurs des paramètres à prendre en compte... 7 c) Formules pour le calcul des Doses Journalières d Exposition (DJE)... 8 d) Concentrations de polluants dans l air inhalé (C i )... 8 e) Calcul des DJE Caractérisation des risques... 9 a) Méthodologie... 9 b) Calcul du risque Conclusion Page 1 sur 11

3 1. Rappels de l'état initial 1.1. Polluants retenus pour l'évaluation des risques sanitaires le dioxyde de carbone (CO 2 ) le monoxyde de carbone (CO) le dioxyde de soufre (SO 2 ) les oxydes d'azote (NO X ) les composés organiques volatils (COV) les particules en suspension (PM) 1.2. Valeurs toxicologiques de référence Polluant [CAS] CO 2 [ ] CO [ ] SO 2 [ ] NOx [ ] PM Particules diesel Benzène [ ] Toluène [ ] Xylène [ ] Toxicité (chronique) CMR *? VTR par inhalation Légère modification du ph sanguin, augmentation de la ventilation pulmonaire, fatigue, manque de dynamisme Céphalées, asthénie ; atteintes cardiaques Irritations et encombrement des voies respiratoires (type pharyngite) Atteintes pulmonaires, irritations des yeux, du nez et de la gorge Inflammation du nez et des bronches, perturbation des processus cellulaires, toxicité cardiovasculaire Hémopathies malignes ou non malignes, syndromes neuroorganiques Syndrome psycho organique, perturbations sensorielles Syndrome psychoorganique Non classé Non classé Groupe 3 (IARC) Non classé Non classé Groupe 1 (IARC) Groupe 3 (IARC) Groupe 3 (IARC) Pas de VTR disponibles Pas de VTR disponibles MRL =0,01 ppm (30 µg/m 3 ) (ATDSR, 1998) VTR sans seuil non disponible REL = 0,25 ppm (470 µg/m 3 ) (OEHHA, 1999) Pas de VTR sans seuil RfC = 0,5 µg/m 3 (US-EPA, 2003) ERUi = 3, (µg/m 3 ) -1 (OMS, 1996) RfC = 30 µg/m 3 (US-EPA, 2003) ERUi = 2, (µg/m 3 ) -1 (USEPA, 1998) RfC = µg/m 3 (1,3 ppm) (US EPA, 2005) VTR sans seuil non disponible RfC = 100 µg/m 3 (US-EPA, 2003) Pas de VTR sans seuil * CMR : Cancérogène, Mutagène, Reprotoxique Substance retenue? Non: pas de VTR disponibles Non: pas de VTR disponibles Oui+ (substance toxique par inhalation) Oui+ (substance toxique par inhalation) Oui+ (substance toxique par inhalation) Oui+ (substance toxique par inhalation) Oui+ (substance toxique par inhalation) Oui+ (substance toxique par inhalation) Page 2 sur 11

4 1.3. Choix des populations cibles Les principales cibles de la pollution atmosphérique autour du site d'étude (dans un rayon de 2 km autour su site) sont les riverains (dont populations sensibles : bébés et personnes âgées), la halte garderie (bébés), les 5 écoles (enfants), et la maison de retraite (personnes âgées) voisines. 2. Évaluation des risques sanitaires 2.1. Méthodologie Afin d'estimer les risques sanitaires engendrés par la création de la zone d'activités de l Ange Gardien sur les populations cibles, une modélisation sera réalisée, tenant compte : d'une part, de l'augmentation de circulation sur les voies routières existantes, ainsi que sur les futures voies de circulation prévues par le projet d aménagement d'autre part, de la pollution due aux bâtiments qui seront construits sur le site (estimation réalisée par la société KIETUDES). Le logiciel utilisé pour ces modélisations est le logiciel IMMI de Wölfel (version 2009) qui calcule les dispersions selon un modèle gaussien. Les données de circulation proviennent d une estimation effectuée dans le cadre du dossier de la Loi sur l Eau Données d'entrées (hypothèses) a) Hypothèses de circulation L accès au site ou les départs engendreront un supplément de fréquentation des axes routiers limitrophes. A la page suivante figurent une cartographie des différents types d occupation de la zone, ainsi qu une cartographie du trafic prévisionnel engendré par la création de cette zone. Page 3 sur 11

5 Types d occupations de la zone Trafic prévisionnel sur la zone, en nombre de véhicules par jour Page 4 sur 11

6 Note importante : Les données ci-dessus correspondent à une moyenne de jour, ce qui permet par la suite de faire des calculs d exposition journalière. Aux heures de pointe, les rejets de polluants sont bien évidemment plus importants. b) Hypothèses d'émission pour les polluants issus de la circulation Les données quantitatives d'émissions de polluants dus aux véhicules sont issues de la base de données du logiciel. Celui-ci utilise la méthodologie COPERT pour le calcul des émissions dues au transport routier. La base de données COPERT comporte 11 substances : CH4 - Méthane CO - Monoxyde de carbone CO2 - Dioxyde de carbone COV - Composés organiques volatils Dioxines HAP - Hydrocarbures aromatiques polycycliques N2O - Protoxyde d'azote NH3 - Ammoniac NOX - Oxydes d'azote PM - Particules en suspension SO2 Dioxyde de soufre Les 6 polluants retenus pour l'évaluation des risques (cf. page 2) sont donc pris en compte dans la base de données du logiciel. c) Hypothèses d'occupation des sols Selon les hypothèses retenues lors de l'étude de l'organisation spatiale par les maîtres d'œuvre : La surface hors œuvre nette (SHON) max totale est de m², dont m² pour le logement. d) Hypothèses d'émission pour les polluants issus des bâtiments Le gaz naturel est l'un des moyens énergétiques les moins polluants. En effet, lorsque sa combustion est complète, il n'émet que de l'eau et du dioxyde de carbone : CH 4 + 2O 2 + 8N 2 --> CO 2 + 2H 2 O + 8N 2 Comme tous les combustibles fossiles, après combustion, il rejette du dioxyde de carbone : 55 kg par GJ de chaleur produite (contre 75 pour le pétrole brut, et 100 environ pour le charbon). La qualité environnementale, comprenant la gestion de l énergie dans les bâtiments, est une priorité du projet. L objectif est que tous les logements de l éco-quartier atteignent au moins les performances énergétiques du label BBC (Bâtiments Basse Consommation), et qu il y ait "au moins une opération de taille significative de logements passifs ou à énergie positive". Cela se traduit par une consommation de moins de 50 kwh ep /m² SHON/an pour les constructions neuves. Il est prévu également que les autres bâtiments respectent également les performances du label BBC, et que le quartier inclue "au moins un bâtiment à usage autre que l habitation en passif ou à énergie positive". La consommation maximale moyenne de 50 kwh, que nous avons retenu pour la modélisation, est donc une estimation majorante. Pour toute la SHON, on aurait alors une consommation de MWh/an. Les émissions dues au chauffage au gaz naturel peuvent être estimées comme suit : Substance Emission (g/m²/heure) CO2 1,1317 NOX 0, CO 0, NH4 0,00405 Page 5 sur 11

7 2.3. Résultats de la modélisation Les sources d'émission (routes et chaudières au gaz) ont été incrémentées sur le logiciel IMMI. Les résultats de la modélisation sont présentés en annexes. Un tableau récapitulatif figure ci-dessous. Les cartes issues de la modélisation de dispersion, pour les polluants concernés par la présente étude (voir page 2), figurent en annexe du présent dossier. SYNTHESE DE LA MODELISATION DE DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES POLLUANTS Les chiffres présentés ci-après correspondent aux valeurs observées chez une population cible, aux concentrations les plus élevées : les travailleurs et les riverains de la nouvelle ZAC. Polluant Exposition des travailleurs et des riverains de la ZAC (µg/m 3 ) CO Monoxyde de carbone 58,69 CO 2 Dioxyde de carbone COV Composés organiques volatils benzène toluène xylènes 7,34 1,91 2,94 2,49 NO X Oxydes d'azote 7,67 PM Particules en suspension 0,92 SO 2 Dioxyde de soufre 0, Évaluation de l exposition humaine a) Méthodologie L évaluation de l exposition est établie selon la méthode conseillée par le guide du BRGM : Gestion des sites pollués version 0, Juin 2000, partie 05 : L évaluation détaillée des risques pour la santé. Par voie respiratoire, la Dose Journalière d Exposition (DJE) est généralement remplacée par la concentration inhalée (CI). Lorsque l on considère des expositions de longues durées, on s intéresse à la concentration moyenne inhalée par jour, retranscrite par la formule suivante : Avec : CI : concentration moyenne inhalée (mg/m 3 ou µg/m 3 ) Ci : concentration de polluant dans l air inhalé pendant la fraction de temps ti ti : fraction de temps d exposition à la concentration Ci pendant une journée T : durée d exposition (années) F : fréquence d exposition : nombre de jours d exposition par an (jours/an) Tm : période de temps sur laquelle l exposition est moyennée (jours) Page 6 sur 11

8 b) Valeurs des paramètres à prendre en compte ti On considère qu un riverain est exposé aux polluants tout au long de la journée. Cette supposition est majorante, car elle suppose que la personne reste à son domicile toute la journée, excluant les actifs travaillant à l extérieur de la ville. Riverains : t i = 1 Par ailleurs, on considère qu un travailleur est exposé aux polluants pendant 8 heures par jour : Travailleurs : t i = 0,33 T Concernant la durée d exposition, nous avons estimé que riverains et travailleurs seront exposés au site 40 ans ; en effet, une personne reste en moyenne 40 ans sur un même lieu résidentiel, et c est à peu près également la durée pendant laquelle nous travaillons dans une vie. T = 40 ans F Nous avons considéré que les riverains sont exposés 365 jours par an. Cette hypothèse se veut pessimiste, puisqu elle estime qu un riverain reste sur le site tous les jours de l année ; ce qui exclut les séjours hors de la ville (vacances, autres congés, week-ends et jours fériés ) Riverains : F = 365 jours/an En revanche, nous estimons que les travailleurs sont exposés 252 jours par an (nombre moyen de jours ouvrés par an selon l INSEE) : Travailleurs : F = 252 jours/an Tm Pour les effets avec seuil des polluants, les quantités administrées seront moyennées sur la durée d exposition : Riverains : T m = 40 * 365 = jours Travailleurs : T m = 40 * 252 = jours Pour les effets sans seuil des polluants, T m sera assimilé à la durée de la vie entière (prise conventionnellement égale à 70 ans, soit : Riverains et travailleurs : T m = 70 * 365 = jours Page 7 sur 11

9 c) Formules pour le calcul des Doses Journalières d Exposition (DJE) Effets avec seuil Riverains : soit CI = C i Travailleurs : soit CI = 0,33 * C i Effets sans seuil Riverains : soit CI = 0,57 * C i Travailleurs : soit CI = 0,13 * C i d) Concentrations de polluants dans l air inhalé (C i ) On utilise les valeurs les plus élevées constatées lors de la modélisation sur le logiciel IMMI. Ces valeurs sont reprises dans le tableau suivant. Polluant C i (µg/m 3 ) CO Monoxyde de carbone 58,69 CO 2 Dioxyde de carbone COV Composés organiques volatils benzène toluène xylènes 7,34 1,91 2,94 2,49 NO X Oxydes d'azote 7,67 PM Particules en suspension 0,92 SO 2 Dioxyde de soufre 0,23 Page 8 sur 11

10 e) Calcul des DJE PROJET CI avec seuil CI sans seuil Riverains Travailleurs Riverains Travailleurs Polluant Unité : µg/m 3 CO Monoxyde de carbone 58,69 19,37 33,45 7,63 CO 2 Dioxyde de carbone COV Composés organiques volatils benzène toluène xylènes 7,34 1,91 2,94 2,49 2,42 0,63 0,97 0,82 4,18 1,09 1,68 1,42 0,95 0,25 0,38 0,32 NO X Oxydes d'azote 7,67 2,53 4,37 1,00 PM Particules en suspension 0,92 0,30 0,52 0,12 SO 2 Dioxyde de soufre 0,23 0,08 0,13 0, Caractérisation des risques a) Méthodologie Le calcul des risques est fait selon la méthode préconisée par le BRGM, Gestion des sites pollués version 0, Juin 2000, partie 05 : L évaluation détaillée des risques pour la santé. Pour un effet sans seuil, un Excès de Risque Individuel (ERI) est calculé, en multipliant la concentration inhalée (CI) par l excès de risque unitaire par inhalation (ERUi) : L ERI représente la probabilité d occurrence que la cible a de développer l effet associé à la substance pendant sa vie, du fait de l exposition considérée. Aux faibles expositions, l hypothèse est faite d une relation linéaire entre l effet de l exposition, L ERUi est donc une constante. On considèrera la valeur de l ERI par rapport à la limite de 10-5 fixée par le BRGM, au-dessus de laquelle l excès de risque est considéré comme non acceptable. Pour les effets à seuil, la possibilité de survenue d un effet toxique chez la cible ne s exprime pas par le calcul d une probabilité. Cette possibilité de survenue est représentée par un Indice de Risque (IR) : Autrement dit : Lorsque cet indice est inférieur à 1, la survenue d un effet toxique apparaît peu probable, même pour les populations sensibles. Au-delà de 1, la possibilité d apparition d un effet toxique ne peut plus être exclue. Cette possibilité apparaît d une manière générale d autant plus forte que l IR augmente. Mais ce degré de vraisemblance n est pas linéaire par rapport à l IR. Page 9 sur 11

11 b) Calcul du risque PROJET CI avec seuil CI sans seuil Riverains Travailleurs Riverains Travailleurs Polluant Unité : µg/m 3 CO Monoxyde de carbone 58,69 19,37 33,45 7,63 CO 2 Dioxyde de carbone COV Composés organiques volatils benzène toluène xylènes 7,34 1,91 2,94 2,49 2,42 0,63 0,97 0,82 4,18 1,09 1,68 1,42 0,95 0,25 0,38 0,32 NO X Oxydes d'azote 7,67 2,53 4,37 1,00 PM Particules en suspension 0,92 0,30 0,52 0,12 SO 2 Dioxyde de soufre 0,23 0,08 0,13 0,03 PROJET IR (effets avec seuil) ERI (effets sans seuil) Riverains ZAC Riverains ZAC Polluant CO Monoxyde de carbone CO 2 Dioxyde de carbone COV Composés organiques volatils benzène toluène xylènes 0,0637 0,0006 0,0249 0,0210 0,0002 0,0082 2, , NO X Oxydes d'azote 0,0163 0,0054 PM Particules en suspension 1,84 0,60 1, , SO 2 Dioxyde de soufre 0,0077 0,0027 Possibilité de survenue d un effet toxique Pas de VTR disponible Page 10 sur 11

12 3. Conclusion Au regard des résultats précédents, les seules substances semblant présenter un risque pour la santé des riverains sur le site sont les particules en suspension (PM), dont les valeurs dépassent légèrement les valeurs limites préconisées par le BRGM (voir page 9). Les personnes travaillant sur la ZAC, exposées moins longuement dans la journée, ne sont pas concernées. Au niveau toxicologique, ce sont les particules diesel qui ont fait l objet des travaux les plus récents. Lors d expositions contrôlées chez l homme, on observe une réaction inflammatoire au niveau du nez et des bronches. Les particules diesel semblent impliquées dans le stress oxydant des cellules pulmonaires. Les particules diesel sont classées 2A par le CIRC, soit : "l agent (le mélange) est probablement cancérogène pour l homme". Cependant, même si ce risque ne peut être totalement écarté, il semble judicieux de relativiser ce résultat. Notamment, nous rappellerons que les hypothèses concernant l évaluation de l exposition des populations étaient toutes majorantes : Nous avons, en particulier, considéré que les riverains restaient toute la journée exposés aux polluants de la zone ; donc qu aucun ne travaille endehors de la ZAC de l Ange Gardien En outre, les valeurs d exposition délivrées par le logiciel correspondent aux concentration mesurées à l extérieur, ce qui impliquerait que les riverains soient constamment à l extérieur, près des voies de circulation. Nous avons également pris en considération les valeurs les plus élevées délivrées lors de la modélisation de l exposition par le logiciel IMMI, et en outre, nous avons considéré que ces valeurs étaient constantes tout au long de la journée, alors que les valeurs de trafic estimé correspondaient aux heures de pointe. Enfin, les valeurs toxicologiques de référence utilisées sont celles des particules diesel, les plus nocives pour la santé ; nous avons considéré que l ensemble des particules en suspension étaient des particules diesel, ce qui constitue également une hypothèse majorante. Pour conclure : L évaluation des risques sanitaires du projet, au vu de l ensemble des résultats du calcul de risque (voir page 10), ainsi que du caractère majorant de l ensemble des hypothèses de calcul (voir ci-dessus), ne démontre pas d impact significatif sur la santé des riverains, ni des travailleurs de la future zone d activités de l Ange Gardien, à Quesnoy sur Deûle. Page 11 sur 11

13

14

15

16

17

18

Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg

Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA

Plus en détail

Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)

Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre

Bilan des émissions de gaz à effet de serre Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de

Plus en détail

Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation

Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation Bulletin trimestriel - mai - juin Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation L équipe d Atmo Auvergne se compose de 12 personnes réparties dans les pôles : administration, études/communication,

Plus en détail

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.

Plus en détail

LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?

LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président

Plus en détail

l entretien des chaudières

l entretien des chaudières Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d

Plus en détail

Le Conseil Municipal,

Le Conseil Municipal, MF/EG SEANCE DU 13 FÉVRIER 2006 2006/6197 - INSTALLATION CLASSÉE POUR L'ENVIRONNEMENT SOUMISE À AUTORISATION - DEMANDE D'AUTORISATION PRÉSENTÉE PAR LA SOCIÉTÉ OMNITHERM EN VUE DE MODIFIER LES INSTALLATIONS

Plus en détail

Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON

Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...

Plus en détail

Chauffage au bois. à la qualité de l AIR. Vallée de l Arve

Chauffage au bois. à la qualité de l AIR. Vallée de l Arve Chauffage au bois ATTENTION à la qualité de l AIR Vallée de l Arve Tous acteurs de la qualité de l air! Sommaire Chauffage au bois, un enjeu important pour la qualité de l'air... 3 Le chauffage au bois,

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars

Plus en détail

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ 1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à

Plus en détail

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale

Plus en détail

III RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2

III RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2 FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée

Plus en détail

Prévention des intoxications Entretien des chaudières

Prévention des intoxications Entretien des chaudières Journée Information «Monoxyde de Carbone» 18 juin 2012 Clermont-Ferrand Prévention des intoxications Entretien des chaudières Textes réglementaires et pratiques des professionnels Ministère de l'écologie,

Plus en détail

ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN

ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère

Plus en détail

LIAISON A50 A57 TRAVERSEE

LIAISON A50 A57 TRAVERSEE LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine

Plus en détail

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour

Plus en détail

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour

Plus en détail

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur

Plus en détail

Intoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir

Intoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir Intoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir Dr Fariborz Livardjani Samu de l'environnement (Strasbourg) Dr Véronique Robe AIMT du Bas -Rhin Mai

Plus en détail

TechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr

TechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr Réf. : 090 510 082A V1 Valbonne Sophia Antipolis TechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr Zone d Aménagement Concertée (ZAC) des Clausonnes

Plus en détail

CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières

CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010

Plus en détail

DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)

DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références

Plus en détail

Contact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion.

Contact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion. FICHE SIGNALÉTIQUE 995-01 Canutec 1-613-996-6666 (24 heures) 1. PRODUIT CHIMIQUE ET FOURNISSEUR Identification du produit : 995-01 Nom du produit : Graisse montage pneu Famille chimique : Mélange Fournisseur/Fabricant

Plus en détail

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du

Plus en détail

Ensemble nous aurons l air meilleur!

Ensemble nous aurons l air meilleur! Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour

Plus en détail

Ne brûlons plus nos déchets verts à l air libre!

Ne brûlons plus nos déchets verts à l air libre! En savoir QUIZZ + Plan de Protection de l Atmosphère des Bouches-du-Rhône 1 2 3 4 J ai le droit de brûler mes déchets de tonte de pelouse en petite quantité dans ma cour non exposée à la route. Mes déchets

Plus en détail

La prévention des intoxications dans les silos à fourrage

La prévention des intoxications dans les silos à fourrage La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration

Plus en détail

Rencontre des savoirs. L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?

Rencontre des savoirs. L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable? Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement et des réseaux Rencontre des savoirs Bron 14 mai 2013 L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?

Plus en détail

Surveiller la qualité de l air avec les élèves

Surveiller la qualité de l air avec les élèves Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,

Plus en détail

Incitations financières véhicules 2014

Incitations financières véhicules 2014 Marque : Consommation de carburant C02 inférieures ou égales à 100 g/km de 101 à 120 g/km VOITURE Énergie : Essence Les déplacements Comprendre Incitations financières véhicules 2014 Pour des véhicules

Plus en détail

ENJEUX MAJEURS DU PROJET

ENJEUX MAJEURS DU PROJET Construction et exploitation de la centrale thermique diésel Ouaga III au Burkina Faso Auteur : Samuel YONKEU, Burkina Faso Chef d Unité Thématique d Enseignement et de Recherche, Institut International

Plus en détail

Table des matières. Date 31/01/2007 Remplace la version du 11/01/2006. Auteur et mise à jour Approuvé Type de document CBP monitoring de l air et MPP

Table des matières. Date 31/01/2007 Remplace la version du 11/01/2006. Auteur et mise à jour Approuvé Type de document CBP monitoring de l air et MPP Procére : Code de bonnes pratiques pour indivielle dans le cadre de travaux Table des matières 1 Objectif... 1 2 Champ d application... 1 3 Références... 1 4 Définitions... 1 5 Procére... 1 5.1 Introction...

Plus en détail

Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles

Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Description du projet Parmi les activités liées à la santé qui sont menées à l Unité d Emissions et de Santé

Plus en détail

la climatisation automobile

la climatisation automobile Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous

Plus en détail

Depuis les années 1930, la production mondiale

Depuis les années 1930, la production mondiale PRÉVENTION Cancers et substances chimiques Depuis les années 1930, la production mondiale de produits chimiques a été multipliée par 400. Parmi les 100000 substances chimiques recensées dans l Union européenne

Plus en détail

Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès

Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants

Plus en détail

Le réchauffement climatique, c'est quoi?

Le réchauffement climatique, c'est quoi? LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre

Plus en détail

Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?

Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée

Plus en détail

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99. FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise

Plus en détail

L ENERGIE CORRECTION

L ENERGIE CORRECTION Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que

Plus en détail

Épreuve collaborative

Épreuve collaborative Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail

Prescriptions Techniques

Prescriptions Techniques Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution

Plus en détail

Quelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France

Quelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le

Plus en détail

Diagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS)

Diagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS) Diagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS) 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : INRS, Association loi 1901 Code NAF : 7219Z Code SIREN

Plus en détail

Qu'est-ce que la biométhanisation?

Qu'est-ce que la biométhanisation? Qu'est-ce que la biométhanisation? La biométhanisation consiste en une série d'opérations de dégradations biologiques de matières organiques qui se produisent en l'absence d'oxygène. Les produits résultants

Plus en détail

Drôme Service Nettoyage (DSN)

Drôme Service Nettoyage (DSN) Drôme Service Nettoyage (DSN) Bilan des émissions des Gaz 1/25 à Effet de Serre Conformément à L article 75 de la loi n -788 du 12 juillet portant engagement national pour l environnement (ENE) *** 21/12/2012

Plus en détail

L énergie. chapitre 3

L énergie. chapitre 3 L énergie Jusqu'à présent dans notre société, c est surtout la dimension économique de l énergie qui a eu la priorité, négligeant la dimension environnementale. L utilisation rationnelle de l énergie (en

Plus en détail

Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques :

Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : ANNEXE 7 Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : 1 carte est fournie pour l effet toxique : Carte N 1 «Taux

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A. Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1

BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A. Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1 BILAN GAZ A EFFET DE SERRE THALES S.A Réf : DENV/CG/sbs/12/171//COU Page 1 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 2. PRESENTATION DE THALES SA... 3 2.1. Informations relatives à la personne morale... 3 2.2. Personne

Plus en détail

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les

Plus en détail

L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge

L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge 1. Sécurité d approvisionnement Le taux de dépendance énergétique de la Belgique est plus important que la moyenne européenne. Ainsi en 2011, le taux

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES)

Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) BEGES TABLE DES MATIÈRES 1- INTRODUCTION 2 1-1 - OBJET 2 1-2 - LE CADRE REGLEMENTAIRE 2 1-3 - CONTENU DU RAPPORT 3 1-4 - DEFINITIONS 3 2- BILAN DES EMISSIONS

Plus en détail

Jean-Yves RICHARD ADEME

Jean-Yves RICHARD ADEME «Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement

Plus en détail

Bilan thermique et social simplifié

Bilan thermique et social simplifié Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement 34 Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 32 quai de Rouen 59 100 ROUBAIX Informations

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS

Plus en détail

Réseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château

Réseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr

Plus en détail

HUMI-BLOCK - TOUPRET

HUMI-BLOCK - TOUPRET FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET

Plus en détail

Bilan thermique et social simplifié

Bilan thermique et social simplifié Bilan thermique et social simplifié Fiche descriptive logement Maître d Ouvrage d Insertion : Pact Métropole Nord 25 rue de Lille 59 057 Roubaix Adresse logement : 72 rue de Rome 59 100 Roubaix Informations

Plus en détail

Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique

Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique Florent PERRIN Responsable région Rhône Alpes CleanTuesday Rhône-Alpes Juin 2010 CONTEXTE ENVIRONNEMENTAL Le GIEC a confirmé que

Plus en détail

France Telecom SA. Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012

France Telecom SA. Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012 France Telecom SA Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : France Telecom SA Code NAF : 6110Z / Télécommunications filaires

Plus en détail

BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011

BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2

Plus en détail

Le développement durable clé en main

Le développement durable clé en main Le développement durable clé en main Le développement durable au cœur de la stratégie d Assa Abloy 2 de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1

Plus en détail

Réduction de la pollution d un moteur diesel

Réduction de la pollution d un moteur diesel AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel

Plus en détail

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

Bilan d'émissions de GES

Bilan d'émissions de GES 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : Code NAF : Code SIREN : Adresse : Nespresso France 1, Boulevard Pasteur 75015 PARIS Bilan d'émissions de GES Nespresso France SA Nombre de

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit TRANSOIL 140 Page 1/6 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Non concerné 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA

Plus en détail

BDL2, BDL3 Enviro Liner Part A. Dominion Sure Seal FICHE SIGNALÉTIQUE. % (p/p) Numéro CAS. TLV de l' ACGIH 28182-81-2 70-100 Non disponible

BDL2, BDL3 Enviro Liner Part A. Dominion Sure Seal FICHE SIGNALÉTIQUE. % (p/p) Numéro CAS. TLV de l' ACGIH 28182-81-2 70-100 Non disponible FICHE SIGNALÉTIQUE 1. PRODUIT CHIMIQUE ET IDENTIFICATION DE L'ENTREPRISE Adresse du fournisseur/distributeur : Dominion Sure Seal Group of Companies 6175, chemin Danville, Mississauga (Ontario) Canada,

Plus en détail

FICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ

FICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ FICHE DE DONNEES DE SECURITE (Règlement (CE) n 1907/2006) Version 2.6 (02/12/2009) - Page 1/6 FICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ 1 - IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Identification

Plus en détail

Pourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.

Pourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé. Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour

Plus en détail

DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS

DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS DÉVELOPPER LE GAZ NATUREL DANS LES TRANSPORTS Les enjeux pour la transition énergétique Didier Lebout, Strategy and Development Director Gazprom Marketing and Trading France Deauville, 28 juin 2013 Dans

Plus en détail

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS

Plus en détail

Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air.

Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air. Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air. Bilan des études d impact sanitaires de la pollution atmosphérique urbaine réalisées Ce document a été réalisé

Plus en détail

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie

Plus en détail

CONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION

CONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION CONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION Concept H 2 : L idée est de produire, de stocker et d assurer 100% des besoins énergétiques d un immeuble résidentiel sans aucun rejet de CO 2 et sans frais énergétiques.

Plus en détail

DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES

DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES Avec le soleil et la chaleur de l été, c est aussi les épisodes de pollution à l ozone qui reviennent. Le dossier ci-dessous propose de répondre aux 12 questions

Plus en détail

Inventaire des émissions des opérations terrestres et maritimes au Port de Montréal

Inventaire des émissions des opérations terrestres et maritimes au Port de Montréal Rapport Final: Inventaire des émissions des opérations terrestres et maritimes au Port de Montréal Préparé pour: Transports Canada Région du Québec Preparé par: SNC-Lavalin Environnement Inc. Le 31 mars,

Plus en détail

Bulletin de veille sanitaire octobre 2012

Bulletin de veille sanitaire octobre 2012 CELLULE DE L INVS EN RÉGION BRETAGNE Bulletin de veille sanitaire octobre 01 Les intoxications au monoxyde de carbone survenues en Bretagne en 011 Page 1 Introduction Page Matériel et méthode Le système

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP

BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP Sommaire 1/ DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE CONCERNÉE 2 2/ ANNÉE DE REPORTING DE L EXERCICE ET L ANNÉE DE RÉFÉRENCE 3 Utilisation d énergie sur

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

Evaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur

Evaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur Air intérieur Evaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur Décembre 2008 Programme 2008 C. MARCHAND PREAMBULE Le Laboratoire Central de Surveillance

Plus en détail

Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09

Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09 Présentation d µgaztox_dist Rev22_06_09 1 INTERFACE UTILISATEUR Affichage message d alarme Affichage des alarmes VME et VLE Affichage de la mesure Affichage des niveaux d alarme instantanées (haute et

Plus en détail

Cancer et environnement

Cancer et environnement PATHOLOGIES Cancer et environnement Le cancer est une maladie caractérisée par une prolifération importante et anarchique de cellules anormales qui ont la capacité d envahir et de détruire les tissus sains

Plus en détail

Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques

Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations

Plus en détail

"ÉMISSIONS TRADING" ET CONTROLE DES REJETS DE POLLUANTS ATMOSPHERIQUES ISSUES DE CENTRALES THERMIQUES * SYNTHESE

ÉMISSIONS TRADING ET CONTROLE DES REJETS DE POLLUANTS ATMOSPHERIQUES ISSUES DE CENTRALES THERMIQUES * SYNTHESE "ÉMISSIONS TRADING" ET CONTROLE DES REJETS DE POLLUANTS ATMOSPHERIQUES ISSUES DE CENTRALES THERMIQUES * SYNTHESE Afin de faire face aux dégâts engendrés ces dernières années par les polluants "acides",

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail