A propos d'influer sur la perception et les attitudes pour faire de la diversité un avantage (SPARDA)
|
|
- Sophie Faubert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 A propos d'influer sur la perception et les attitudes pour faire de la diversité un avantage (SPARDA) SPARDA est une initiative mise en œuvre par le Conseil de l Europe et financée en grande partie par le Fonds européen d intégration. Conformément à l Agenda européen pour l'intégration (2011), SPARDA répond à l objectif prioritaire d une intensification de l action au niveau local et à sa finalité globale d une intégration réussie des migrants grâce à des stratégies de communication locales. Sept villes partenaires ont été choisies comme "sites de démonstration" pour la mise en œuvre de campagnes de communication : Coimbra (Portugal), Had-Dingli (Malte), Limassol (Chypre), Patras (Grèce), Reggio Emilia (Italie), l Institut des Médias/ISCPA à Lyon (France) et le Consortium PACTEM Nord à Valence (Espagne). Le projet a débuté en janvier 2011 et se terminera en juin La conception du projet SPARDA (Influer sur la perception et les attitudes pour faire de la diversité un avantage) a été guidée par la conviction que la diversité peut être un atout et qu une communication adéquatement ciblée peut favoriser une perception positive de la diversité et donc son acceptation. La recherche en faveur d éléments de fait étayant ce projet est sous-tendue par l hypothèse selon laquelle les mentalités sont déterminantes en la matière. Les mentalités comptent, indubitablement, car il est possible de les traduire en actions et en comportements et, parfois même, de les structurer dans les politiques et les pratiques de façon tant positive que négative. Reste à prouver qu une opinion publique favorable peut influer de façon constructive sur le processus ; c est ce défi que SPARDA a entrepris de relever. Les villes du projet SPARDA Des laboratoires d idées sur la communication au sujet de la diversité Plus précisément, le projet vise à promouvoir au plan local une intégration réussie des migrants et des groupes issus de la diversité, au moyen de stratégies ciblées en matière de communication et de dialogue. Pour les autorités locales et leurs partenaires au sein des collectivités les médias, les responsables politiques et la société civile, ce projet se veut être une expérience de coopération basée sur la communication aux fins de la réalisation d objectifs en matière d intégration. Le partenariat, qui regroupe sept villes européennes, a été formé pour concevoir et tester des stratégies de communication en faveur du dialogue et de la diversité à l échelon local. Certes, la communication ne peut suffire à ces objectifs et des changements pratiques sont nécessaires au niveau des structures sociales, politiques et organisationnelles dans chaque pays. Mais elle peut contribuer à la sensibilisation et à la mobilisation des populations. Elle peut aussi être un outil majeur au service de l intégration, de la cohésion sociale et du dialogue entre les différentes communautés ethnoculturelles. En fait, la communication, du latin "communis", signifie partager ou faire quelque chose ensemble. Dans le projet SPARDA, l "expérience" de communication a pour théâtre des campagnes municipales orchestrées autour du message de la diversité conçue comme un atout. Le message véhiculé, s il prend diverses formes adaptées aux contextes des partenaires locaux, est toujours que la diversité est une réalité vécue, susceptible d avoir des effets bénéfiques pour les communautés.
2 Des pratiques prometteuses : participation et communication avec la communauté au moyen des médias, de plateformes locales et d échange culturel Le projet SPARDA a démarré en janvier 2011 avec sept villes partenaires choisies comme «sites de démonstration» pour mettre en œuvre des campagnes de communication : Coimbra/Portugal, Had-Dingli/Malte, Limassol/Chypre, Patras/Grèce, Reggio Emilia/Italie, l Institut des Médias/ISCPA à Lyon/France et le Consortium PACTEM Nord à Valence/Espagne. Les partenaires SPARDA ont travaillé sans relâche pour passer de la conception de leurs stratégies de communication aux activités sur le terrain, et ce en un temps relativement court (18 mois). L objectif qui a motivé le projet, à savoir un changement notable des mentalités, est encore loin. Mais les progrès sont incontestables, comme en témoigne notamment la création d une base de données regroupant des idées et des connaissances, des relations et des activités à partir desquelles construire les futures stratégies de communication. Faute de pouvoir décrire toutes les activités de communication entreprises par les villes partenaires, une action spécifique a été choisie pour chacune d entre elles pour illustrer de façon significative les différents aspects du programme de communication depuis 2011 (date du lancement des activités locales). La description des sept stratégies et actions de communication témoigne de la diversité qui caractérise l espace matérialisé par le projet SPARDA. Les différences entre les villes sont réelles et significatives, mais la plupart des organisateurs ont montré leur préférence pour des modes de communication axés sur le dialogue et la participation. Dans la plupart des villes, la priorité a été donnée à la communication locale au moyen des médias (internet, presse, TV et radio) et à la sollicitation des partenaires pour promouvoir les diverses activités culturelles. La promotion culturelle a permis d encourager la population à travailler ensemble au profit du renforcement de la communauté, à prendre conscience de la valeur de la diversité et de l importance de la culture dans le processus d intégration. Les campagnes locales SPARDA, conçues pour accompagner le processus d intégration, entraient dans diverses catégories : depuis des stratégies strictement participatives en passant par des campagnes multimédias et des stratégies de communication basées sur des partenariats locaux, jusqu à des stratégies davantage axées sur les échanges culturels et la célébration de la diversité. Campagnes participatives La campagne menée à Reggio Emilia présentait une dimension participative marquée. Parmi ses objectifs figuraient la promotion de la cohésion sociale et l engagement des citoyens dans le développement de leur communauté. Avec pour fil conducteur l idée que la diversité est une question vitale, la campagne devait illustrer que tous les habitants de Reggio Emilia sont à la fois les membres de communautés diverses et les habitants d une seule et même ville. Le message de la campagne "Tutti sono diversi da tutti, per fortuna" (Nous sommes tous différents les uns des autres, fort heureusement) est que les citoyens ont tout intérêt à mettre à profit les effets bénéfiques des migrations, et notamment l inclusivité, la diversité et la sociabilité. L action multimédias de grande ampleur, porteuse du message de la participation et du dialogue à travers la ville tout au long de la campagne, était associée à diverses autres activités culturelles et sociales. La célébration de la Journée internationale des migrants (18 décembre) englobait une série d initiatives destinées à permettre aux citoyens de
3 s exprimer dans le cadre des discussions sur les migrants. Cet événement faisait partie d une campagne de trois mois sur le dialogue interculturel avec pour objectif d encourager les collaborations entre les acteurs municipaux, les associations locales, les citoyens, les artistes et les intellectuels. Par exemple, les laboratoires culinaires interculturels "Mondo tra i fornelli" (Le monde en cuisine), organisés par des femmes étrangères en collaboration avec des centres sociaux, sont ouverts aux femmes italiennes. Dans tous les événements, une attention toute particulière a été accordée à la participation des jeunes aux activités de la campagne, ainsi qu aux échanges intergénérationnels (jeunes et seniors) étant donné le rôle que jouent les anciens dans la préservation des valeurs et la transmission de messages positifs à la jeune génération. Permettre aux migrants de se faire entendre A Reggio Emilia, Patras et Limassol, les campagnes avaient été conçues pour favoriser la participation des migrants à un grand nombre d activités, sachant que les associer à la gestion des affaires publiques est un facteur clé de leur bonne intégration. En permettant aux migrants de s exprimer dans une campagne publique, les villes reconnaissaient de facto leurs droits à faire entendre leurs opinions, à peser sur le cours des choses et à demander des comptes aux institutions dont les décisions affectent leurs vies. Les partenaires ont organisé des activités qui ont offert aux migrants l occasion de raconter leur histoire et d exposer leur expérience "en direct" grâce à la "Bibliothèque vivante" (Limassol), mais aussi des conférences (Reggio Emilia) et des représentations de théâtre de rue (Patras). Dans la ville portuaire de Patras, un espace a été ouvert aux "sans-voix" comme les réfugiés au parcours douloureux, contraints de quitter leur pays natal pour se mettre à l abri des dangers. Parce que leur situation n est pas toujours bien comprise, les réfugiés se heurtent souvent à des attitudes hostiles de la part de populations mal informées. Pour expliquer de façon claire et concise les différences entre réfugiés, demandeurs d asile et migrants en situation irrégulière, les partenaires de la ville de Patras ont élaboré des supports de campagne qui ont été distribués dans les lieux publics, y compris les écoles. Communication avec la communauté au moyen des médias A Lyon, l Institut des médias (ISCPA) a conçu et mené une opération multimédias organisée autour de supports classiques (presse, radio, internet et médias sociaux/facebook) et d une campagne d affichage dans le métro associée à des activités de street marketing. Comme dans les exemples précédents, le but était de déclencher la participation active et volontaire des habitants grâce à la création de "la plus grande page internet du monde pour dire oui à la diversité" ( Les habitants désirant participer devaient télécharger un portrait d eux sur le site internet pour ainsi témoigner de leur attachement à la diversité et donc de leur refus de la discrimination ethnique et religieuse. Le point fort de la campagne menée à Lyon est l utilisation d un outil de communication convivial, moderne et universel, susceptible d être adapté à d autres villes. Son utilisation des réseaux sociaux et des techniques commerciales/de marketing donne une idée de son impact possible. Cette opération, ciblée clairement sur "la participation active et volontaire", vend un comportement anti-discrimination. La façon dont le public pense et se positionne au sujet de la discrimination pourrait façonner une image plus valorisante de la diversité et de l intégration.
4 D autres partenaires ont également utilisé les médias (Reggio Emilia, Coimbra), mais la campagne de Lyon est intéressante pour avoir été orchestrée par des professionnels de la communication et des étudiants de cette filière ; l efficacité de cette campagne strictement médiatique mériterait de faire l objet d une analyse plus pointue. Recours à des partenariats locaux pour la communication Le Consortium PACTEM Nord est une plateforme locale mise en place pour développer le cadre d action du Pacte territorial pour l emploi dans L Horta Nord de Valence. Ce partenariat compte 23 municipalités, 2 syndicats et associations d entreprises, dont l objectif partagé est de promouvoir la formation de partenariats et de soutenir l inclusion sociale et l intégration sur le marché du travail des citoyens. Le projet local SPARDA visait à mettre à profit sans attendre l expérience du partenariat PACTEM Nord en initiant une campagne de communication locale dans l objectif spécifique de sensibiliser l ensemble de ses partenaires aux bénéfices économiques de la diversité, tout en promouvant le développement d une main-d œuvre caractérisée par une diversité forte. En octobre 2011, le Consortium PACTEM Nord a célébré la troisième édition du Prix Pactem Nord pour la responsabilité partagée sur le territoire. L objectif de ce Prix est de mettre en avant les pratiques responsables de divers acteurs sur le terrain au moyen de la reconnaissance formelle de leurs efforts et de leur engagement. La catégorie "Gestion de la diversité SPARDA", introduite par le partenaire, vise à rendre hommage au travail réalisé par des entreprises individuelles, des associations à but non lucratif et des administrations publiques ayant introduit des pratiques concluantes et efficaces qui démontrent la valeur de la diversité. En outre, une foire internationale de la diversité a été organisée pour promouvoir une célébration supra-municipale de la diversité, avec la participation de 23 municipalités, entreprises, magasins et associations. La foire a également accueilli plusieurs événements, dont une exposition sur le commerce équitable et un forum d associations de femmes. Chacune de ces actions, organisée dans son espace propre autour d un programme spécifique, a séduit de nombreux participants, relayant ainsi l appel de la campagne en faveur de la diversité. Echange culturel et célébration de la diversité La plupart des partenaires ont prévu des activités culturelles dans leurs campagnes de communication, mais rares ont été ceux qui ont choisi l échange culturel comme média principal. A l origine de ces campagnes se trouvait probablement le souhait des collectivités locales de promouvoir la communication interculturelle dans des environnements essentiellement monoculturels et de faciliter les échanges entre des personnes d horizons culturels parfois différents. Dans le cas de Limassol et Dingli, les migrants ne sont pas considérés comme des résidents permanents de leur ville ou ne le sont pas, de fait et leur interaction avec les collectivités locales est parfois réduite, en tous cas conditionnée à leur statut de résident (touristes, travailleurs invités, employés d entreprises internationales). L objectif des campagnes à Dingli et Limassol était de renforcer les compétences interculturelles des résidents locaux et de favoriser le dialogue interculturel et la compréhension interculturelle grâce à des expositions d art et de photos, des projections cinématographiques, des festivals culinaires et de musique, des foires commerciales et professionnelles, et des activités éducatives pour les jeunes et les enfants. A Dingli, la participation était une dimension importante de la campagne, l objectif étant d intensifier l engagement des résidents dans les projets collaboratifs, au-delà des sphères locale et familiale et grâce à des activités volontaires avec les communautés de migrants. Ainsi,
5 le jumelage de groupes d intérêt de Dingli (théâtre, scouts, éclaireuses) avec des groupes des communautés de migrants a favorisé la participation. Les leçons apprises à ce jour Les sept partenaires de SPARDA ont tous initié plusieurs projets de différentes natures pour encourager le dialogue et renforcer la communication entre les communautés. Certains des projets cherchaient à impulser directement la constitution de partenariats locaux afin de multiplier l impact des stratégies de communication. Quelques projets locaux semblent avoir favorisé le développement d une vision de la communication et de messages sur la diversité et la communication, contribuant ainsi à l amélioration des compétences des municipalités. Pour autant, l efficacité de ces campagnes, du point de vue de leur impact sur les futures stratégies et l opinion publique, doit encore être mesurée et analysée, et cela grâce à des enquêtes, les résultats des discussions de groupes et l évaluation des projets qui est en cours. Néanmoins, quelques observations sont d ores et déjà possibles. Tous les partenaires ont rencontré des difficultés dans la conduite des projets SPARDA ne serait-ce que pour expliquer les objectifs SPARDA à des partenaires enclins à penser davantage en termes de résultats immédiats plutôt que d initiatives sur le long terme pour induire des changements de nature sociale (et institutionnelle). Il faut du temps pour favoriser parmi la population l'acquisition d'une expérience et le développement d une confiance envers les politiques locales, en particulier dans des domaines sensibles comme les migrations et la gestion de la diversité. Nombre de partenaires ont appris "sur le tas" ce qu implique véritablement la communication sur la diversité. La plupart ont compris que la pertinence de cette communication dépend de la compréhension du sens de la diversité dans un contexte local spécifique et de la façon dont les municipalités conçoivent le processus de gestion de la diversité. La mise en œuvre du projet a également clairement indiqué que le processus d intégration exige une solide approche tactique qui inclut une stratégie de communication. Cela requiert aussi une vision de l avenir, qui doit répondre à la question suivante : si nous devons vivre au sein de communautés à forte diversité, que faut-il pour que ces communautés "vivent ensemble dans la dignité"? Et, dans ce schéma, en quoi la communication pourrait-elle être d une aide quelconque? Lilia Kolombet Manager SPARDA
AFFICHEZ VOUS POUR LA DIVERSITÉ! Journalisme & Communication
AFFICHEZ VOUS POUR LA DIVERSITÉ! Journalisme & Communication UNE INITIATIVE DU CONSEIL DE L EUROPE FINANCEE PAR LA COMMISSION EUROPEENNE - En mai 2011, dans le cadre des ses actions contre les discriminations
Plus en détailSaint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.
Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailLes contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial
Note conceptuelle Forum Social Mondial 2015 - Tables rondes Les contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial
Plus en détailL action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse
L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La
Plus en détailCHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag
Plus en détailSECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants
POLITIQUE POLITIQUE D ÉDUCATION INTERCULTURELLE DATE : 26 mars 2014 SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants DESTINATAIRES : À toute la communauté
Plus en détailL IMMIGRATION AU SEIN DE L UE
L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE Source: Eurostat, 2014, sauf indication contraire Les données se rapportent aux ressortissants de pays tiers, dont le lieu de résidence habituel se trouvait dans un pays hors
Plus en détailRÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE
, chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy
Plus en détailMusées et paysages culturels
La Charte de Sienne Musées et paysages culturels Proposée par l ICOM Italie le 7 juillet 2014 à la Conférence internationale de Sienne 1. Le paysage italien Le paysage italien est le pays que nous habitons,
Plus en détail2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?
Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers
Plus en détailPlan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture
Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret
Plus en détailCompétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe
Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction
Plus en détailLe fonds de dotation. Titre. www.artisandumonde.org
Le fonds de dotation d Artisans du Monde Faire un don Pour construire un monde plus juste au Nord comme au Sud Titre Crédit photo : Ellas Cuentan www.artisandumonde.org 1 Fonds de dotation d Artisans du
Plus en détailCités et Gouvernements Locaux Unis - Commission de culture. Conseils sur la mise en œuvre locale de l'agenda 21 de la culture
Cités et Gouvernements Locaux Unis - Commission de culture Conseils sur la mise en œuvre locale de l'agenda 21 de la culture Conseils sur la mise en œuvre locale de l Agenda 21 de la culture Document approuvé
Plus en détailLes Principes fondamentaux
Les Principes fondamentaux DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE Christoph von Toggenburg/CICR Les Principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du
Plus en détailpas de santé sans ressources humaines
Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième
Plus en détailCHARTE BUDGET PARTICIPATIF
CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes
Plus en détailFiche de projet pour les institutions publiques
POLITIQUE SCIENTIFIQUE FEDERALE rue de la Science 8 B-1000 BRUXELLES Tél. 02 238 34 11 Fax 02 230 59 12 www.belspo.be Fiche de projet pour les institutions publiques Cette fiche est remplie par une institution
Plus en détailPOLITIQUE INTERCULTURELLE
POLITIQUE INTERCULTURELLE Adoptée à la 269 e réunion du conseil d administration du 21 septembre 2009 Politique interculturelle Préambule Le Collège de Maisonneuve évolue dans un contexte interculturel
Plus en détailIntroduction en sciences de la communication: les grands secteurs de la communication
PETER STOCKINGER, PU Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO) Introduction en sciences de la communication: les grands secteurs de la communication (Cours ICL 2A 01 c) Communication,
Plus en détailIntervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***
Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention
Plus en détailLES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF
LES OUTILS EUROPÉENS DE PROTECTION SOCIALE EN BREF La présente publication est soutenue financièrement par le programme de l Union européenne pour l emploi et la solidarité sociale PROGRESS (2007-2013)
Plus en détailCadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités
Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session
Plus en détailDECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailLa Qualité de Vie au Travail, Pourquoi aujourd hui? C est quoi? Pour faire quoi? Comment? Jeudi 5 février 2015 Rencontre Prévention - STSM
La Qualité de Vie au Travail, Pourquoi aujourd hui? C est quoi? Pour faire quoi? Comment? Jeudi 5 février 2015 Rencontre Prévention - STSM Organisation générale Une association paritaire Un conseil d administration
Plus en détailContribution des industries créatives
RÉSUMÉ - Septembre 2014 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes de PIB et d emploi Évolution 2008-2011 2 Contribution des industries créatives à l économie de l UE en termes
Plus en détailCONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A
CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,
Plus en détailConférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé
Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres
Plus en détailPLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE
PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE Version du 23 avril 2008 1 Sommaire 1. RAPPEL DU CONTEXTE_ 3 2. PILOTAGE ET PERIMETRE DU PLAN
Plus en détailLettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017
UNION INTERPARLEMENTAIRE INTER-PARLIAMENTARY UNION 5, CHEMIN DU POMMIER CASE POSTALE 330 1218 LE GRAND-SACONNEX / GENÈVE (SUISSE) Lettre de mission Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours
Plus en détailDIRECTIVES DE CANDIDATURE 2014 WWW.INTERCULTURALINNOVATION.ORG A PARTNERSHIP BETWEEN UNITED NATIONS ALLIANCE OF CIVILIZATIONS & BMW GROUP
DIRECTIVES DE CANDIDATURE 2014 WWW.INTERCULTURALINNOVATION.ORG A PARTNERSHIP BETWEEN UNITED NATIONS ALLIANCE OF CIVILIZATIONS & BMW GROUP THE INTERCULTURAL INNOVATION AWARD DIRECTIVES DE CANDIDATURE 2014
Plus en détailConseil économique et social
Nations Unies ECE/CECI/2015/4 Conseil économique et social Distr. générale 30 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de la coopération et de l intégration économiques
Plus en détailQu est-ce que le dialogue
Après avoir interviewé sur le dialogue interculturel la Directrice Générale de l Éducation et de la Culture de la Commission européenne 1, Diasporiques/Cultures en mouvement a recueilli l avis complémentaire
Plus en détailAnnexe 1 L Agenda politique d Istikshaf
This project is funded by The European Union Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Istikshaf: explorer la mobilité Agenda politique régional pour la mobilité
Plus en détailL AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises
Communiqué de presse L AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises Objectif : Aider les managers à gérer la diversité religieuse au quotidien Alors que la question de l expression religieuse
Plus en détailSTRATÉGIE DU CONSEIL DE L EUROPE pour l égalité entre les femmes et les hommes 2014-2017
STRATÉGIE DU CONSEIL DE L EUROPE pour l égalité entre les femmes et les hommes 2014-2017 STRATÉGIE DU CONSEIL DE L EUROPE pour l égalité entre les femmes et les hommes 2014-2017 Conseil de l Europe Edition
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION K I W A N I S M A U S UNE INITIATIVE DU KIWANIS CLUB LUXEMBOURG REV. 1.6 OCT 2014 1. LA KIWANIS MAUS EN QUELQUES MOTS Le projet Kiwanis Maus 1 a comme objectif d aider le personnel
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailPlanification stratégique 2012-2015
DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du
Plus en détailLa promotion de la pluralité linguistique dans l usage des nouvelles technologies de l information et de la communication
Intervention de M. Khamsing Sayakone, Président de la section Lao de l APF à la 32 ème session de l APF (30juin-3 juillet 2006, Rabat, Maroc) (31 La promotion de la pluralité linguistique dans l usage
Plus en détailANALYSE QUALITATIVE RESTREINTE
Uniquement disponible sur le site web du CELV: http//www.ecml.at Document de référence 3: ANALYSE QUALITATIVE RESTREINTE Objet et méthode: Nous avons voulu comprendre au-delà des réponses au questionnaire
Plus en détailBonsoir, Mesdames et Messieurs,
Bonsoir, Mesdames et Messieurs, Tout d abord je souhaiterais remercier les organisateurs de ce symposium, la Division de la Population des Nations Unies et la Fondation Roselli, pour leur invitation de
Plus en détailÉtapes suivantes du plan d action du Manitoba
Juillet 2005 Pour aller de l avant : L apprentissage et la garde des jeunes enfants Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Introduction En novembre 1999, le gouvernement du Manitoba a confirmé son
Plus en détailSynthèse du questionnaire en ligne
èmes Rencontres Régionales pour la Biodiversité VENDREDI SEPTEMBRE 0 Université de Caen Basse-Normandie Amphithéâtre Oresme Vers un observatoire régional de la biodiversité en Basse-Normandie Synthèse
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailMaster Etudes françaises et francophones
Master Etudes françaises et francophones 1. modèle scientifique et profilage des contenus de la filière / Présentation et spécificités de la filière Les études romanes à Leipzig sont considérées comme
Plus en détailLE PREMIER MAGAZINE GRATUIT INTERCULTUREL
LE PREMIER MAGAZINE GRATUIT INTERCULTUREL l actualité prend des couleurs Afriscope, un média citoyen pour communiquer Afriscope n 17 - septembre / octobre 2010 L SPkCIA E QUE FAIR E ANTENAIR S DU CINQU
Plus en détaille QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise
POUR Enrichir le QuEbec Mesures pour renforcer l action du Québec en matière d intégration des immigrants Affirmer les valeurs communes de la société québécoise Affirmer les valeurs communes de la société
Plus en détailRECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE
RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées
Plus en détailConclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable
COSEIL DE L'UIO EUROPÉEE Conclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable Conseil ÉDUCATIO, JEUESSE, CULTURE ET SPORT Bruxelles, 21 mai 2014 Le Conseil
Plus en détailNormes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes. En vigueur à compter du 1 er janvier 2014
Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er janvier 2014 Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er
Plus en détailNPT/CONF.2010/PC.III/WP.39
Comité préparatoire de la Conférence des Parties chargée d examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2010 NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 15 mai 2009 Français Original : anglais Troisième
Plus en détailBELGIQUE. Septième session de la Conférence des Etats Parties à la Convention relative aux Droits des Personnes handicapées
BELGIQUE Septième session de la Conférence des Etats Parties à la Convention relative aux Droits des Personnes handicapées Ouverture de la Conférence DECLARATION DE S.E. Mme BENEDICTE FRANKINET AMBASSADEUR
Plus en détail3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.
Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.
Plus en détailModification de la Réforme du classement des Offices de Tourisme
Réunion des Présidents d Offices de Tourisme Bourges - Lundi 4 juillet 2011 Nouveaux critères de classement I - Introduction - modalités d application Extrait du Flash Infotourisme N 53-28 juin 2011 FNOTSI
Plus en détailRecommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin
Comité des Parties de la Convention du Conseil de l'europe sur la lutte contre la traite des êtres humains Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la
Plus en détailCHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013
1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de
Plus en détailEUROPE-INTERNATIONAL. Isabelle Compagnie Chef du Service International Union des Villes et Communes de Wallonie
Les communes sur la scène européenne Après vous avoir présenté le programme citoyen "L Europe pour les citoyens" dans le Mouvement communal de mai 2007, nous vous présentons, ci-dessous, l ensemble des
Plus en détailCONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale. IDCC : 218. ORGANISMES DE SÉCURITÉ SOCIALE (8 février 1957) ACCORD DU 21 MARS 2011
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective nationale IDCC : 218. ORGANISMES DE SÉCURITÉ SOCIALE (8 février 1957) ACCORD DU 21 MARS 2011 RELATIF À LA
Plus en détail25 PROPOSITIONS POUR UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE AU XXI ÈME SIÈCLE
25 PROPOSITIONS POUR UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE AU XXI ÈME SIÈCLE Fidèle aux exigences de Liberté, d Égalité et de Fraternité qui le fondent, le Grand Orient de France a pour principe essentiel la liberté absolue
Plus en détailCODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO
CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO Avril 2014 SOMMAIRE INTRODUCTION 3 INTEGRITE DANS LA CONDUITE DES AFFAIRES 4 DROITS DE L HOMME - DROITS FONDAMENTAUX AU TRAVAIL 5 Elimination de toute forme de travail
Plus en détailDéclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée
Déclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée Introduction Dans l Union européenne, le secteur de la sécurité
Plus en détailPOLITIQUE D INTÉGRATION SCOLAIRE ET D ÉDUCATION INTERCULTURELLE
RÈGLEMENTS POLITIQUES PROCÉDURES POLITIQUE D INTÉGRATION SCOLAIRE ET D ÉDUCATION INTERCULTURELLE PRÉAMBULE Adoptée par le conseil d'administration le 19 juin 2013 Depuis plus de quarante ans, le Québec,
Plus en détailCompagnie Méditerranéenne d Analyse et d Intelligence Stratégique
Compagnie Méditerranéenne d Analyse et d Intelligence Stratégique CMAIS - L intelligence au service de l informa on Veille Conseil Stratégie E-Réputaon Communicaon Geson des risques www.cmais-strat.com
Plus en détailL AUTO-ÉVALUATION HAP : KIT METHODOLOGIQUE PARTIE 2 : OUTILS D AUTO-ÉVALUATION
L AUTO-ÉVALUATION HAP : KIT METHODOLOGIQUE PARTIE 2 : OUTILS D AUTO-ÉVALUATION À L USAGE DES ORGANISATIONS HUMANITAIRES ET DE DEVELOPPEMENT REALISANT UNE AUTO-EVALUATION SUR LA BASE DE LA NORME HAP 2010
Plus en détailRECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI
CRI(2011)37 RECOMMANDATION DE POLITIQUE GÉNÉRALE N 13 DE L ECRI SUR LA LUTTE CONTRE L ANTI-TSIGANISME ET LES DISCRIMINATIONS ENVERS LES ROMS ADOPTÉE LE 24 JUIN 2011 Strasbourg, Septembre 2011 Publication
Plus en détail3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212)
3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212) Le Ministère apporte un soutien financier aux commissions scolaires pour favoriser le développement de l éducation interculturelle.
Plus en détailÉtude publique sur Montréal, métropole culturelle
Étude publique sur Montréal, métropole culturelle Présentation de Jean-Robert Choquet Directeur Direction du développement culturel Service du développement culturel, de la qualité du milieu de vie et
Plus en détailH orizon E urope. Une formation européene pour créer son activité autrement
H orizon E urope Une formation européene pour créer son activité autrement Guide de formation Contact : Benoit MIDA-BRIOT, chargé de mission Europe-International Tél : 07.81.40.07.43 benoit@dynamiquesplurielles.eu
Plus en détailManifeste. pour l éducation au développement. www.acodev.be. Pour une autre citoyenneté ouverte aux questions de solidarité internationale
Manifeste pour l éducation au développement Pour une autre citoyenneté ouverte aux questions de solidarité internationale Document réalisé par les ONG actives au sein du Groupe sectoriel Éducation au développement
Plus en détailLA CHARTE EUROPÉENNE POUR L ÉGALITÉ des femmes et des hommes dans la vie locale
[ [ LA CHARTE EUROPÉENNE POUR L ÉGALITÉ des femmes et des hommes dans la vie locale Présentée aux états généraux du CCRE, Innsbruck, mai 2006 Rédigée par le CCRE dans le cadre du V e programme d action
Plus en détailMis à jour le 15 juin 2015 AGENDA 2015
AGENDA 2015 Activités de la plateforme d accueil pour l intégration des étrangers Cycle de formation à destination des migrants d octobre 2014 à juin 2015 : «Bienvenue à Tournai» Pour informer et accompagner
Plus en détailPRESENTATION DE L ASSOCIATION
PRESENTATION DE L ASSOCIATION «Pour que l Esprit de Service soit la signature de l Excellence de Service à la française» Association Esprit de Service France L association Esprit de Service France L association
Plus en détailPolitique et Standards Santé, Sécurité et Environnement
Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu
Plus en détailGestion commerciale LCA.8Z. Information : (514) 376-1620, poste 419
Gestion LCA.8Z Information : (514) 376-1620, poste 419 Programme de formation Type de sanction Attestation d études collégiales permettant de cumuler 35 unités 1/3. Buts généraux du programme Ce programme
Plus en détailSystèmes d information novateurs pour les transports en commun
O9 P o l i c y A d v i C E n ot e s CIVITAS Initiative est une action européenne qui aide les villes à mettre en œuvre une politique intégrée de transport durable, propre et efficace. Les leçons apprises
Plus en détailPACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE
PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE Préambule PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE La réussite éducative se définit comme la recherche du développement harmonieux de l enfant et du jeune. Elle est plus large
Plus en détailLES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ
LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ POURQUOI UNE RÉFORME? Améliorer l État de santé de la population Plus d Équité, Une meilleure couverture, Et La maîtrise des coûts! THÈMES PRIORITAIRES
Plus en détailSéminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?
Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie
Plus en détailNote de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013
Note de recommandation Médecins du Monde Concertation sur la Réforme de l Asile Octobre 2013 Introduction Cette note de contribution est rédigée dans le cadre de la concertation sur la Réforme de l Asile,
Plus en détailGroupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement
Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE
Plus en détailDes compétences numériques à la littératie numérique
Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2014 10, juin 2014 www.ftu.be/ep Des compétences numériques à la littératie numérique Quels enjeux derrière l évolution de ces
Plus en détailService de presse 15 20 novembre 2014
Service de presse 15 20 novembre 2014 40 ans après la ratification de la Convention européenne des droits de l homme (CEDH) Les droits fondamentaux remis en question Isabelle Bindschedler Un soutien pour
Plus en détailNATIONS UNIES. Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques
NATIONS UNIES Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques www2.ohchr.org/english/issues/minorities Droits des minorités Introduction
Plus en détailAtelier Campagne Marketing social
Atelier Campagne Marketing social Vous devez mettre sur pied, au cours de ce bref atelier, une campagne de marketing social. Vous devrez aussi justifier vos activités de communication. Le nom d une organisation
Plus en détailAu profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics
DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE
Plus en détailGuide pratique des réseaux sociaux professionnels virtuels. Des conseils pour tirer le meilleur parti de ces communautés en ligne
Guide pratique des réseaux sociaux professionnels virtuels Des conseils pour tirer le meilleur parti de ces communautés en ligne 1 Sommaire 3 Introduction 4-6 Faites votre choix Une fiche d identité des
Plus en détailCharte des valeurs NIEDAX GROUP - Code de Conduite -
Charte des valeurs NIEDAX GROUP - Code de Conduite - Version 1.0 Principes et lignes directrices des entreprises de NIEDAX GROUP pour un management socialement responsable Page 1 sur 7 Charte des valeurs
Plus en détailAnnée internationale de la jeunesse. 12 août 2010-11 août 2011. asdf. Dialogue et compréhension mutuelle. Nations Unies
Année internationale de la jeunesse 12 août 2010-11 août 2011 Dialogue et compréhension mutuelle asdf Nations Unies «Nous devons nous engager sans réserve pour que les jeunes aient accès à l éducation,
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailMOBILISEZ VOS COLLABORATEURS POUR UNE JOURNEE DE VOLONTARIAT SOLIDAIRE
MOBILISEZ VOS COLLABORATEURS POUR UNE JOURNEE DE VOLONTARIAT SOLIDAIRE 1 Unis-Cité vous propose de concevoir, organiser et animer des Journées d Action Solidaire pour vos salariés Fédérez vos salariés
Plus en détailAppel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne
Appel à projets Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Date limite : mercredi 25 février 2015 à 12h 1. Contexte La loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine
Plus en détailPlan Stratégique 2008-2013
Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite
Plus en détailConseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat
Conseil Municipal des Enfants à Thionville Livret de l électeur et du candidat Elections du vendredi 18 novembre 2011 Mot du Maire Le Conseil Municipal des Enfants fait sa rentrée. Il joue un rôle essentiel
Plus en détail«Changer de point de vue sur l informatique de santé» nationale à destination des professionnels de santé
«Changer de point de vue sur l informatique de santé» L ASIP Santé lance une campagne de communication L ASIP Santé lance une campagne de communication nationale à destination des professionnels de santé
Plus en détail