Profil actuel: 1991 MSc. Consultant en santé dentaire publique. Conseiller à la recherche collégiale 2005
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- Serge Goudreau
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1 Profil actuel: Consultant en santé dentaire publique Évolution professionnelle 1981 DMD Dentiste Libéral 1991 MSc. SDP Conseiller à la recherche collégiale 2005 Caries Recherche clinique PhD Enseignant en cariologie Chercheur, carie dentaire Actuellement Cariologiste Accès francophone Académique : Transfert en clinique Clinique : Résine infiltrant, Carifree, révélateur de plaque 2/temps, exprober, fluorures topiques inter-proximal, traiter la maladie avec les signes, réseau privé Formateur : Cette tournée et offre Performa 1
2 Site web Nouvel instrument Recherches : (Québec) Canada États-Unis Amérique du Sud Montréal, Brossard, Estrie, Nord, Québec Vancouver, Dalhousie Indianapolis Costa-Rica Europe Roumanie, Biélorussie, Latvia, France, Espagne, Croatie, Italie, Belgrade Réappropriation-carie Besoins sondés Exercice sur l évidence 2
3 Au sortir de cette formation, les participants auront : Une meilleure compréhension moderne de la carie dentaire Une vue plus actuelle des cause et risques Une connaissance accrue de la portée des signes précoces Une idée plus précises des besoins sondés Réalisé un parcours des besoins et pistes de solution Pratiqué la recherche factuelle Effectué une mise à jour sur la cariologie L hygiéniste dentaire a besoin: D être exposé à un autre paradigme d enseignement en cariologie D optimiser ces acquis en transfert en clinique De saisir l opportunité d un rôle majeur en dentisterie minimale En espérant avoir changer votre perception 3
4 «La façon dont nous considérons ou définissons une maladie ici, carie dentaire détermine nos choix et stratégies pour la prévenir ou la traiter opératoirement» (Fejerskov O., 1997) Et vous, qu en pensez-vous? Exercice pratique sur dent extraire Démo sur patient avec caméra intra-oral 4
5 (Selwitz et al.; 2007) : (Steinberg, 2000) La carie est maladie chronique, infectieuse, et transmissible (Berkowitz; 2003) Les symptômes de la Tuberculose Les signes peuvent être: Des lésions observables Les symptômes peuvent être: La toux, douleurs à la poitrine, sudation nocturne, la perte d appétit, fièvre, etc. 5
6 Il ya des milliers de fluctuations immunologiques qui se passent chaque jour dans le biofilm et qui ne peuvent être prévenues En conditions réunies, les fluctuations mènent à un processus carieux qui lui, peut être contrôlé afin de prévenir le développement de lésions carieuses Kidd et Federskov, 2009 (Berkowitz; 2003) Les signes cliniques de la maladie carieuse Causes mais suffisantes (Bokhout et al., 2000) Hôte Bactéries cariogéniques en quantité suffisante Sucres raffinés en quantité suffisante 6
7 Les conditions pour la caries et ses signes cliniques doivent non seulement être présentes mais en quantité suffisante. Facteurs Bacteries, Streptococci's Mutants (SM) Diète, sucres libres (NMES) Hôte, défauts d émail Risques de CPE et le seuil suffisant (Alaluusua et Renkonen, 1983; Wan et al., 2003; Marshal et al., 2005; Milgrom et al., 2000) Qualitatif (ex: être infecté vs. non) Pour les plus vieux et leurs responsables, (ex: SM 10 4 ) Qualitatif (ex: entre les repas vs. pas) Quantitatif (ex: 4 collation par jour); Qualitatif (ex: Les bébés pré-terme) Quantitatif (ex: Le nombre de dents présentes) Cause Cause Cause Risque Risque Risque 7
8 Protection Risques Environnement Salive Hôte Sufficient vulnerable host SSE F. Bactéries Sucres libressucres(nme S) Hygiène oral Diète Estimé des SM Fréquence (n) et Pourcentage (%) 10 3 UFC/m 6 (15.5.0%) 10 4 UFC/ml 9 (22.5%) 10 5 UFC/ml 16 (40.0%) 10 6 UFC/ml 9 (22.5%) La plaque dentaire formée: (Nomura et al., 2000) Contient plus de 350 types de bactéries quotidiennement, sur la surface dentaire Représente en nombre total dans une bouche, plus de bactéries qu il y a d humains sur la terre (.) Il nous est impossible par hygiène personnel de tout l enlever. NB: En pays industrialisés et chez les gens qui en moyenne une bonne hygiène dentaire, c est % des surfaces qui auront de la plaque. Kanchanakamol et al.,
9 DHSRU/ Développement des signes associé à une : (Kidd et Federskov: 2009) Hiérarchie de l attaque préétablie Zone de rétention de la plaque Une modification de l équilibre du processus carieux en faveur de la déminéralisation Aujourd hui, la classification des lésions carieuses peut prendre cette forme Demain? (Pitts N., 2001) Parce qu on peut faire mieux! Diagnostic threshold determines what D 4 is recorded as lesions into pulp diseased or sound + clinically detectable D 3 lesions in dentine D3 Mislabelled "caries free" at the D 3 threshold + clinically detectable D 2 "cavities" limited to enamel + clinically detectable enamel D D3 + enamel= lesions with intact surfaces 1 + lesions detectable only with traditional diagnostic aids D1 + sub-clinical initial lesions in a dynamic state of progression/regression 9
10 Le c représente la lésion actuelle; le a et le o (pour caof) expriment l expérience passée Les systèmes modernes s attardent surtout à redéfinir le c Chronologiquement: (mes expérimentations) C 1-4 (indice sur la profondeur) C Nyvad (critère sur l activité et la profondeur) Cao ICDAS (système sur l activité et la sévérité (la profondeur et la magnitude) Éthiquement : Elle actualise le droit du patient à un traitement optimal (basé sur ses choix et sur les faits). Elle suit les avancées. Scientifiquement : Le processus carieux est dynamique et les signes cliniques, variables Cliniquement : Elle influence, l évaluation du risque, l interprétation du diagnostic et des effets de traitement, ainsi que la conduite de la gestion du patient (management) En Épidémiologie : Elle donne le portrait réel Warren et al enfants avec dentition primaire 40% des lésions initiales occlusal sont devenues cavitaires après 4 années 10
11 Véronneau 2010, ORCA Objectif: Évaluer la progression des lésions initiales entre l âge de 21 et 54 mois de 118 jeunes enfants Cris Pour bien interpréter les signes, ont doit très bien connaître la maladie Sur l évaluation du risque carieux: Facteurs potentiels de risque Oui/Non Faits Présence de signe initial sur surface lisse Présence de signe initial sur surfaces Présence de lésions cavitaires de l émail sur dents antérieures? Signes précoces Hiérarchie de l attaque? Profondeur de l attaque Signes de gravité Hiérarchie de l attaque Patient Suivi possible Suivi impossible Haut risque Bas Risque Patient Suivi possible Suivi impossible Haut risque Vernis F et hygiène Agent de scellement Bas Risque Contrôle de plaque par hygiène Vernis F et hygiène Patient Suivi possible Suivi impossible Haut risque Agent de Obturation scellement Bas Risque Contrôle de plaque par hygiène Agent de scellement 11
12 Permet de nuancer la profondeur des lésions : c 1-4 (Burt, 1999) c/c Signification clinique c 2 c 1 c 3 c 0 ou C 0 Aucune lésion observable c 1 ou C 1 c 2 ou C 2 Lésion carieuse initiale (décalcification) Pas perte de substance Perte de substance au niveau de l émail c 3 ou C 3 Cavitation dans la dentine c 4 ou C 4 Cavitation dans la pulpe Groupe/ c 3 aof BR MR HR Total Moy c 3 aof Moy C 1-4 aof N et % sans c 3 aof 421 (79.3%) 735 (45.1%) 508 (52.1%) (56.8%) N et % sans c 1-4 aof 257 (48.3%) 310 (19.0%) 99 (10.2%) 666 (21.2%) Le critère Nyvad: Il défini l évaluation de l activité de la lésion Il fût créé en fin des années 90 par la Dre Bente Nyvad Mon critère favori actuellement car il guide le résultat de traitement Utilise cet instrument pour l évaluation de l activité 12
13 Activité tend à être: Sur site avec plaque cumulée D aspect crayeux, mat, opaque (perte de lustre) Après assèchement, les prismes de l émail sont visibles Quand l émail apparaît blanchâtre/jaune clair et que la dentine apparaît brunâtre Plus nettement démarquée Ressenti (sonde) rugueux et microporeux pour l émail et mou ou tannée (cuir) pour la dentine Le matériel qui suit s est inspiré de la traduction du document français d ICDAS préparé par les Dres Orliaguet, Dailliez et Tubert-Jeannin de l UFR de Clermont-Ferrant. Grand merci pour leur permission. Pour plus de détails, voir CODE DESCRIPTION 0 Face saine 1 Premiers changements visuels de l émail (visibles uniquement après séchage prolongé ou confinés aux puits et fissures). 2 Changements visuels nets de l émail. 3 Rupture localisée de l émail sans signe visuel d atteinte dentinaire. 4 Zone sombre dans la dentine sous-jacente visible à travers l émail. 5 Cavité franche avec dentine exposée. 6 Cavité extensive avec dentine exposée
14 Nous avons à ce moment que: La définition de la carie doit emprunter une modèle plus médical L interprétation des signes cliniques doit emprunter une compréhension plus biologique L hygiéniste dentaire doit se ressourcer sur des bases factuelles Jacques Véronneau, DMD, PhD 14
15 Hypothèse Principale Écart prévu Écart obtenu Échantillon vs. l évidence 35 % (65-100) 68 % (±6) (32-100) Résultats et Hypothèse 2: Nous avions présumé en Hypothèse deux que les répondants exposés à de la formation continue au cours de la dernière année vs. ceux non exposés: Hypothèse2 Écart prévu Écart obtenu Exposé FC vs. non Exposé 20% (55-75%) 1% (±1) (32-33%) Nous avions présumé en Hypothèse trois que les HD gradués depuis plus de 5 ans vs. ceux gradués depuis moins que 5 ans: Hypothèse3 Écart prévu Écart obtenu Gradués récents vs. Autres 20 % (60-80) 2 % (±2) (31-33) 15
16 Nous avions présumé en Hypothèse quatre d un écart entre les gradués et les étudiants: Hypothèse 4 Gradués vs. Étudiants * Gradués Écart prévu 15 % (65-75) Écart obtenu 7 % (±6) (*33-26) Résultats et Hypothèse cinq Nous avions présumé en Hypothèse cinq d un écart entre les HD du secteur privé vs. celles du réseau publique: Hypothèse 5 Écart prévu Écart obtenu Privé vs. Publique 20 % (60-80) 3% (±6) (*36-33) Format du sondage: Question:..? Offre de réponses: Fortement en accord (FA) - en accord (A) - En désaccord (D) - Fortement en désaccord (FD) NB: Pas important bonne ou fausse réponse, mais tendance selon FA + A ou FD + D 16
17 Description de l échantillon sur sondage caries (Hypothèse Principale): - Total de 587 participants (dont 571 utilisables) sur 849 sondés (67 %) - Représentativité aléatoire (552) des membres: 330 parmi membres (7.1 %) - Représentation ciblée des étudiants: 241 sur 297 (81.2 %) Échantillon Gradués du privé Gradués du publique Étudiants de 3ième Tendance (%) Tous 11.0 Besoin en Formation Continue (FC); - Tendance à avoir la même perception dominante - 89 % des répondants semblent avoir besoin d une sensibilisation aux rôles des bactéries cariogènes dans le processus carieux, notamment de façon crucial en petite enfance 17
18 acquisition SM caof 4-ans valeur p (Qualitative) Non 0.3 Oui, entre et 4 ans Oui, à deux ansd 10.6 p <0.005 p < JV1 Résultats fréquences: (basé sur 571 participants) Question 19 : Pour appuyer l effet attendu d un produit à utiliser dans la prévention de la carie, vous aurez tendance à vous fier d abord à une approche de dentisterie factuelle qui repose sur les avis issus de groupes d experts et de rapports de cas. Échantillon Gradués privé Gradués publique Tendance (%) Étudiants 6.8 Tous
19 Slide 52 JV1 Jacques Veronneau;
20 Par équipe de 5 : Référer à la courte description surligné en jaune Identifier les principaux biais potentiels et/ou améliorations souhaitables en regard de la question de recherche à résoudre Vous avez 10 minutes On corrige ensuite En dentisterie factuelle, il existe 4 niveaux (1-4: qualité du niveau de preuve) et 5 niveaux de recommandations (A E) selon l évidence. Rationnel scientifique: Marhino et al a rapporté que pour évaluer l effet d un produit (FP), on doit rechercher prioritairement (ordre décroissant) 1- les revues systématiques d essais cliniques randomisés (ECR); sinon 2- au moins un ECR; sinon 3- au moins une étude quasi expérimentale (non aléatoire mais avec groupe contrôle); sinon 4- Étude transverse et histoires de cas. Les groupes d expert viennent derniers. Est-ce que la salive repose directement sur la surface dentaire? NON: La salive est séparée de la surface dentaire par une mince pellicule (théorie de la pellicule acquise ou du bioflim) 60 % pense que Oui! Échantillon Tendance (%) Gradués privé 42.0 Gradués publique 39.0 Étudiants 37.4 Tous 40.3 Fejerskov et Kidd, 2003 (Livre, seconde édition) 19
21 Possible d enlever complètement toute la plaque suite à nettoyage professionnel et à un bon brossage? Non: Impossible de déloger toute la plaque (un nettoyage personnel enlève entre 40 et 60% de la plaque et un nettoyage professionnel, en enlève temporairement, environ 30% de plus 70 % pense que Oui! Échantillon Tendance (%) Gradués privé 34.0 Gradués 29.0 publique Étudiants 23.4 Tous 28.9 Ukna et al., 1994 Conseil à tous le besoin d un examen et nettoyage aux 6 mois selon l évidence actuelle? Non: Devrait être basé sur le risque carieux individuel 84 % pense que Oui! Échantillon Tendance (%) Gradués privé 12.0 Gradués 25.0 publique Étudiants 18.3 Tous 16.1 Revue Cochrane (2007) Le bénéfice optimal de prise de radio. se fait vers l âge de 8 / 9 ans et, ensuite, entre 12 et 14 ans à une fréquence différente selon le risque d activité carieuse identifié. Oui, les radiographies devraient évaluer les surfaces inter proximales postérieures (hiérarchie) 1 ou 2 ans après leur éruption (période la plus à risque). 76 % pense que Oui! Échantillon Tendance (%) Gradués privé 20.1 Gradués 31.7 publique Étudiants 47.2 Tous 33.0 Guide actuel (Espelid et al., 2005) européen 20
22 La carie diminue chez les enfants à HR? Non (42%) Enfants traités sous AG plus sensibilisé après? *Non (42%) L expérience carieuse passée toujours gage de risque futur? Non (32%) L éducation dentaire traditionnel a un impact sur la maladie (lésions) Non (8%) Échantillon Tendance (%) Gradués privé 5.2 Gradués publique 29.3 Étudiants 6.8 Tous 8.1 Les lésions cavitaires dans la dentine peuvent passer du stade actif à inactif? Oui, (24%) Une bonne hygiène buccale, sans égard aux fluorures, aide à prévenir la carie dentaire? Non, (10%) Quel fluorure topique utilisez-vous dans le contrôle ou la prévention de la carie? Vernis (27%) Le mode d action prédominant des fluorures: épaisseur ou disponibilité? 30% Échantillon Tendance (%) Échantillon Tendance (%) Gradués privé 33.1 Gradués 44.0 publique Étudiants 25.1 Tous 30.5 Gradués privé 26.4 Gradués 14.6 publique Étudiants 32.8 Tous 27.8 La fréquence/quantité totale quotidienne de sucres raffinés consommés sont dépendantes? Oui, 32% Démontré que la quantité de bactéries cariogènes acquise avant l âge de deux ans risque accru? Oui, 48% Est-ce que les traitements curatifs participent à diminuer à long terme, les bactéries cariogènes? Oui, 48% Les agents de scellement ont démontré leur efficacité à stabiliser les caries de l émail et de la dentine? Oui, 48% Échantillon Tendance (%) Gradués 41.3 privé Gradués 58.5 publique Étudiants 37.4 Tous
23 Peu de variations inter groupe de répondants Blocs regroupés qui définissent un écart considérable par rapport au factuel L HD est apprécié: les patients qui viennent la voir, la prenne comme source principale d informations (Brown, 1996) L OHDQ et leur présidente, Mme Johanne Côté pour le partenariat de la première heure et le courage d adresser ces besoins. Merci au membre du comité de travail: Agathe, Lucie et Olivier. Merci à Sunstar et sa représentante au Québec, Mme Francine Gagnon, pour leur soutien Merci aux consultants Martin, Denis, Jean- François, Danielle et les autres qui se reconnaîtront jacques.veronneau@mcgill.ca 22
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