Diagnostic Métiers-formations Image et productions numériques

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1 Diagnostic Métiers-formations Image et productions numériques 2 ème édition des «Ateliers pour la formation et la qualification» 10 mars 2011 * Présentation du secteur Périmètre d études retenu en termes d activités Ce sont les activités qui relèvent de la création, de la conception, de la diffusion, de la production et de la conservation des images sous quelque forme qu elles soient. Elles sont transversales (on les retrouve par exemple dans l aéronautique, l imagerie médicale ), donc nous nous limiterons à celles relevant de «l image-spectacle», dans le sens du Pôle audiovisuel cinéma multimédia du Nord Parisien. Un secteur multiforme et en évolution Le développement de nouveaux marchés stratégiques (le numérique, le multimédia, les jeux en ligne, les applications mobiles ) nécessite de s intéresser également aux activités relevant des technologies de l information et de la communication. Ainsi, «l'image et les productions numériques» recouvrent: le cinéma et audiovisuel (fiction télévisée, flux et publicité) ; les jeux vidéos ; les applications de la mobilité numérique (services mobiles et logiciels embarqués sur mobiles) ; le Web et le graphisme. Pour rappel, les filières présentées ici ne recoupent qu en partie les activités identifiées par Cap Digital, à savoir le jeu vidéo, le design numérique, la culture presse media, l image son et interactivité, les services et usages mobiles la robotique et objets communicants, l éducation et la formation numérique, l ingénierie des Connaissances, les logiciels libres. En 2008, les entreprises adhérentes à l'afdas (qui représentent entre 38% et 58% des entreprises de la filière audiovisuelle), font état de salariés travaillant des les secteurs de la diffusion télévisuelle ( salariés), la production audiovisuelle et cinématographique ( salariés), les industries techniques ( salariés) et la production et diffusion radio (9 875 salariés). 1

2 Emploi dans la filière audiovisuel par activité Industries techniques (11 145) Production audiovisuelle / cinématograph. (11 998) Production et diffusion radio (9 875) Diffusion TV (22 038) Donnéesemploi 2008 de l'afdas (qui représente entre 38et 50% de la filière Le secteur du jeu vidéo en Ile-de France représente emplois, soit 60% de l emploi national de la filière. Le secteur des applications de la mobilité numérique compte salariés en 2010 chez les éditeurs et les SSII et si l'on considère les effectifs des entreprises utilisatrices. Une grande variété de métiers Certains métiers, liés aux activités traditionnelles de l image, sont commun à plusieurs filières. Création d image (y.c. design numérique) Production Traitement d image Postproduction Caméraman Dessinateur d animation Opérateur compositing Directeur de modélisation Intervalliste Anim. retouche tps réel Opérateur traçage, scan, colorisation Métiers effets spéciaux Directeur lay out Directeur rendu/éclairage Assistant OPV Chef opérateur Métiers de l infographie Animateur 2D/3D Stéréographe Storyboarder Régisseur lumière Régisseur Poursuiteur Electricien de spectacles Graphiste video Chef machiniste Machiniste Accessoiriste Responsable artistique Scénariste Producteur audiovisuel Réalisateur audiovisuel Assistant de réalisation Tech. prod. audiovisuel Tech. exploit. audiovisuel Responsable scan Etalonneur Assistant de postprod. Métiers des effets spéciaux Projectionniste Monteur vidéo Assistant monteur Chargé de postprod. Directeur de postprod. Ingénieur des systèmes et technique de l audiovisuel Prise de son Chef opérateur son Opérateur son Opérateur audiovisuel Dir. production du son Ingénieur du son Technicien du son Assistant son Technicien restauration numérique Traitement du son Assistant postprod 2

3 D autres métiers sont spécifiques aux filières émergentes. Jeu Vidéo Web Logiciels embarqués sur mobiles Services mobiles multimédia multimédia Ingénieur PFS Game designer Level designer Scénariste de jeu video Animateur 2D/3D Storyboarder Traducteur Testeur Character designer Directeur Artistique Infographiste Ingénieur R&D Programmeur Animateur after effects Adaptateur Ingénieur de développement informatique Architecte base de données Intégrateur Respet Technicien d exploitation informatique Architecte Web Architecte logiciel Analyste programmeur Webmaster technique Consultant MOA Administrateur de base de données Ingénieur d exploitation informatique Ingénieur informatique mobile Technicien informatique mobile Chargé d études Ingénieur de développement informatique Ingénieur télécom et réseaux Technicien télécom et réseaux Ingénieur terminaux Technicien informatique mobile Architecte réseau télécom Métiers des sytsèmes d information Des métiers hautement qualifiés Structure des qualifications des salariés dans les métiers spécifiques à l'image 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100% Arts, spectacles et activités récréatives Edition, audiovisuel et diffusion Télécom Activités informatiques et services d'information Total Cadres et prof intellectuelles Techniciens et assimilés Employés agents de maîtrise Ouvriers qualifiés Ouvriers non qualifiés Données: DADS

4 Les besoins en compétences d aujourd hui et demain Des nouvelles filières en fort développement Globalement, l emploi francilien dans les secteurs de l'édition, l'audiovisuel et la diffusion, des télécommunications et de l'informatique progresse entre 2000 et 2009 (+ 12 %), et beaucoup plus vite en Seine-Saint-Denis (+ 41%). On observe cependant en Ile-de-France une baisse sensible des postes dans l édition et l audiovisuel ( emplois) mais cette destruction est ralentie en Seine- Saint-Denis, compte tenu du dynamisme de la production sur le territoire. Si l'emploi dans la filière audiovisuelle connaît une évolution négative (-0.34% entre 2007 et 2008 selon l'afdas), le secteur de la diffusion TV est lui dynamique (+13,1%). Une forte croissance de l'emploi est à prévoir: dans le secteur du jeu vidéo, bientôt numéro 1 du secteur du divertissement; dans les activités informatiques en général, si l'évolution observée depuis les années 2000 se poursuit ( emplois en Ile-de-France sur la période , dont +144% en Seine- Saint-Denis); dans le secteur des applications de la mobilité numérique qui annonce des perspectives de croissance d'ici 5 ans de 7,5% pour les services informatiques et de 4,7% pour les logiciels, du fait de la généralisation des smartphones, induisant des perspectives de recrutement de personnes dans les 5 prochaines années. Les spécificités de l'emploi dans le secteur La problématique est celle de la diversité des statuts (permanents, intermittents, stagiaires ) au sein des différents segments d activités. Dans le secteur la production de films d animation par exemple, les intermittents (artistes, cadres et non cadres) représentent en moyenne 84% des effectifs totaux des entreprises et même si l'emploi a augmenté de 46% entre 2004 et 2007, cette évolution est portée essentiellement par le personnel intermittent. (Etude Audiens) Cette organisation impacte les modalités de recrutement des entreprises. Fonctionnant dans une logique de projet, elles sont soit amenées à recruter du personnel essentiellement pour des durées déterminées, soit à recruter des stagiaires, nombreux sur le marché du fait de l'organisation du système de formation qui se rapproche de celui de l alternance. Si le recrutement de débutants est aisé pour les entreprises, celui des personnels opérationnels ou détenant des compétences spécifiques peut être lui plus délicat. La révolution numérique dans les industries techniques, l animation et l audiovisuel Le développement des technologies numériques induit une restructuration des métiers variable: des métiers techniques (le chef opérateur, l étalonneur ) devront à terme s adapter à l univers et aux outils du numérique ; des métiers sont voués à disparaître, car liés aux technologies analogiques ou argentiques ; des «nouveaux métiers» issus directement de ces nouvelles technologies apparaissent: créateurs d'images de synthèse et d'effets spéciaux numériques, responsables des rushes numériques, techniciens VOD... S il est assez difficile d identifier avec précision les contours de ces métiers, plus encore dans le domaine du cinéma que de la vidéo, et de quantifier les 4

5 emplois qui y sont associés, il apparaît que ces emplois émergeants requièrent une forte exigence de technicité. des métiers qui, sans être directement en contact avec les nouvelles technologies, seront indirectement modifiés (par exemple les décorateurs et maquilleurs à la télévision). Des métiers d ores et déjà en tension Dans le secteur de l'animation, les évolutions technologiques induisent un besoin d'élargissement des compétences sur de nombreux métiers, et par conséquent des tensions sur les personnels formés, notamment dans l'accompagnement de la production (directeur de production, assistant de production et chargé de production). De plus, les mesures d incitation à la localisation des dépenses de fabrication, et les mesures territoriales de soutien à la production ont entraîné une augmentation significative des besoins en animateurs aguerris aux technologies numériques, 2D comme 3D. Les studios indiquent un manque cruel d animateurs, d autant que la concurrence mondiale sur le secteur de l animation renforce les exigences en termes de compétences attendues. Face à cette situation, les studios ont tendance à développer des politiques de recrutement international. Enfin, les studios investissent en termes de recherche et développement pour améliorer leur productivité et la qualité des images et se maintenir sur le marché concurrentiel. La conséquence est un développement des exigences en termes de compétences en matière d imagerie numérique, et donc un besoin accru en ingénieurs dans les studios de postproduction et d'effets visuels. Le secteur du jeu vidéo étant en développement, on peut faire l'hypothèse que des tensions apparaitront sur les métiers spécifiques. Dans le secteur des applications de la mobilité numérique, compte tenu de son développement, des tensions devraient apparaître dans les métiers qui concentrent les effectifs les plus nombreux: la conception (7 400 salariés aujourd'hui), l'intégration (8 500) et l'assistance (9 200). L offre de formation Panorama de l offre de formation L'offre de formation aux métiers de l'audiovisuel et du cinéma est particulièrement abondante en France avec plus de 500 cursus hors filières générales (dispensés dans 381 établissements), concentrés à 70% au sein d'établissements privés de qualité variable. L'ile-de-France représente 40% de l'offre nationale, la Seine-Saint-Denis est considérée comme l un des Pôle régionaux de formation sur les métiers de l image. Parmi les filières existantes, 4 domaines de formation concentrent près de 60% de l ensemble des cursus proposés: Graphisme/Animation/Images de synthèse (21%), Communication (15%), Journalisme (13%), Réalisation (9%). Spécificité de cette filière : seulement la moitié des cursus de formation initiale et continue sont validés par un diplôme ou un titre professionnel. Près du tiers des cursus de formation initiale donnent lieu à une certification de niveau II ou I, 13% à une certification de niveau III et moins de 4% 5

6 à une certification de niveau IV et V. Les autres donnent lieu à une validation non officiellement reconnue (au répertoire national des certifications professionnelles). Dans certains domaines, les formations non diplômantes prédominent : Montage, post production, effets numériques (71%) Image, lumière (70%) Graphisme, animation, image de synthèse (55%) Réalisation (52%) Dans le secteur des applications de la mobilité numérique, le nombre de formations spécifiques est relativement faible (4 licences systèmes informatiques et logiciels, 3 licences réseaux et télécommunications, 5 masters professionnels et 2 masters spécialisés). Certains masters professionnels ont un lien plus ou moins direct avec le secteur et les écoles d'ingénieurs offrent également des débouchés, mais des carences dans les contenus trop généralistes de ces formations sont repérées. Caractéristiques du système de formation La spécificité de la plupart des métiers, et par conséquent des formations, est de combiner une haute technicité et des dispositions artistiques, d'où une sélection rigoureuse des écoles prestigieuses, avec une très bonne insertion dans l emploi des étudiants à l issue de la formation. Nombreux sont les titulaires du baccalauréat qui suivent une ou deux années de préparation à l'entrée de ces écoles. Une étude de janvier 2009 pour l Observatoire prospectif des métiers et des qualifications dans l audiovisuel sur les établissements de formation dans le secteur de l animation fait ressortir les caractéristiques suivantes: une sélection permanente en cours de cursus ; un maque de cohérence globale de l'offre, rendant difficile la construction de parcours ; une absence de consensus sur la durée et les contenus de formation ; des conditions de recrutement, des coûts de scolarité, des contenus et des méthodes de formation variables ; des diplômes et des titres dépourvus parfois de signification pratique pour les entreprises. Il existe un décalage en terme de temporalité entre un secteur évoluant très vite, notamment du fait de «l hyper-évolution technologique», et la création de contenus de formations et de diplômes reconnus par l Education Nationale. Dans le même temps, les établissements privés développent des certifications en lien avec les branches professionnelles et les entreprises de plus en plus exigeantes en termes de compétences attendues. Enfin, les formations nécessitent des investissements importants en terme de matériel, de surcroît rendu rapidement obsolète, ce qui freine le développement de formations nouvelles pourtant nécessaires. Pistes d évolution du système de formation dans les métiers du son (régie, spectacle vivant), des formations infra BTS ou intégrant davantage de polyvalence pourraient être développées pour répondre aux problématiques des petites entreprises ; même si la plupart des métiers sont accessibles avec un niveau bac minimum, certains recrutent à une niveau infra-bac et pour lesquel l offre de formation est peu développée 6

7 l offre de formation dans l option Production et Maintenance du BTS audiovisuel est aujourd hui insuffisante : les étudiants de cette filière sont souvent «débauchés» par les entreprises durant leur cursus ; le développement de nouveaux métiers à haute technicité (créateur d images de synthèse, d effets spéciaux numériques, d animation 3D, intégrateur, développeur et capteur de mouvements, créateur et développeur de jeux vidéo, superviseurs d effets spéciaux, etc.) implique l ouverture de nouvelles formations supérieures ; globalement, l introduction de l'informatique appliqué aux pratiques professionnelles de l audiovisuel semble un axe principal de développement des contenus des formations à définir. Le contenu du BTS audiovisuel, ainsi que les autres formations relatives aux métiers de la production sont aujourd'hui en question ; face au développement du secteur de la mobilité numérique, il pourrait être opportun de renforcer le nombre de formations spécifique et/ou d'adapter les formations relatives aux télécommunications et certaines formations d'ingénieurs ; l offre de formation en BTS Informatique et Réseaux pourrait également être développée Pistes de travail L'ensemble de ces pistes de travail devront être mises en perspectives avec les résultats à venir de l'étude conduite par la communauté d'agglomération de Plaine Commune sur les conditions d'émergence d'un cluster de la création sur le territoire de la Plaine Saint-Denis et celle de l Observatoire de la Vie de la Filière Image du Pôle Audiovisuel Cinéma Multimédia du Nord Parisien. Concernant les métiers relevant de l informatique et les métiers émergents Un travail d étude plus approfondi pourrait être entrepris afin de compléter l analyse documentaire, notamment dans l objectif de mettre en évidence la relation emploi-formation sur ces métiers et le repérage précis des formations correspondantes. Il pourrait alors servir de communication permettant de mieux faire connaître ce secteur de la filière. La question du développement ou de l ajustement des contenus de formation lié au développement du numérique pourrait faire l objet d un travail de concertation et de mise en cohérence de l ensemble des parties prenantes : organismes de formation, branches professionnelles et entreprises. L'introduction massive de l'informatique appliquée et la part importante de dimension culturelle dans nombre des métiers concernés renvoient à la nécessité de mobiliser dans ces métiers des jeunes avec une formation générale conséquente. Aussi, les conclusions de l étude concernant la nécessité d une élévation du niveau de qualification des séquano-dionysiens et de leur orientation vers la voie générale prennent ici tout leur sens. Concernant les métiers et l offre de formation dans le secteur du cinéma et de l audiovisuel Face à la profusion de diplômes, titres, formations professionnelles le besoin d'un travail autour des diplômes et des formations reconnues apparaît nécessaire. Au-delà des initiatives menées pour rendre lisible l offre existante, l'education Nationale pourrait s associer aux branches professionnelles pour faire valoir la reconnaissance des diplômes. 7

8 Afin de permettre aux jeunes et à leur famille de faire des choix en matière d orientation, à côté des initiatives visant à rendre lisible l offre de formation, les spécificités du secteur pourraient être mises en avant : le fait qu intégrer le statut d intermittent (au-delà de celles liées aux dispositions règlementaires) nécessite des qualités et des compétences spécifiques, telles qu intégrer un réseau, savoir «se vendre» qui peuvent être difficile à capitaliser ; les critères et les modalités de recrutement des entreprises. Afin de permettre aux séquano-dionysiens aux formations existantes de la filière et de favoriser la construction de parcours aboutissant à une qualification reconnue par les entreprises du secteur : les formations proposées requièrent à la fois des compétences artistiques et techniques mais également un «background culturel»; ainsi, des formations «préparatoires» pourraient être développées au sein des établissements pour les jeunes souhaitant s orienter sur ses métiers ; des expérimentations pourraient être développées au sein des établissements pour une nouvelle approche de l acquisition d un socle culturel solide en partant notamment des intérêts culturels des jeunes. le développement de la culture à l image pourrait également être travaillé à partir des nombreuses initiatives de sensibilisation à la culture déployées sur le département ; organiser des coopérations entre établissements, entreprises et professionnels pour permettre aux jeunes de mieux appréhender les métiers et leur réalité ; l offre de formation publique pourrait être renforcée autour d un pôle public de l image (lycée de Suger, école, Universités de Paris VIII et Paris XIII, Ecole nationale Louis et Lumière) pour limiter les discriminations liées aux frais de scolarité des formations privées Plus généralement, le lien avec les entreprises de la filière et les établissements de formation mérite d être renforcé. Par ailleurs, le rôle des entreprises pourrait être réaffirmé : - dans la diffusion de l information sur les métiers : les métiers évoluant très vite, les entreprises pourraient davantage être sollicitées pour une meilleure connaissance de leurs contenus, des compétences attendues, de l environnement de travail ; par ailleurs, il apparaît pertinent de renforcer les coopérations avec les établissements du secondaire pour informer les jeunes sur ces aspects. L implication des collectivités accueillant des entreprises de la filière sur leur territoire pourrait renforcer ce lien avec les établissements. - dans la communication autour de leurs besoins en recrutement ; - dans la participation à l offre de formation : les entreprises étant très impliquées dans la définition de l offre et des contenus de formation pourraient être sollicitées pour une participation financière afin de développer des plateaux techniques sur le territoire ; les collaborations avec l Education Nationale pourraient être renforcées afin de réorganiser l offre de formation : l Education nationale interviendrait dans la construction d une offre basée sur un socle de compétence commun aux différents métiers et des formations professionnelles pourraient prendre le relais afin de spécialiser les étudiants L offre de formation en Seine-Saint-Denis pourrait être renforcée autour d un pôle image en développant une offre de formation correspondant aux métiers émergents dans les secteurs des jeux vidéo, des applications mobiles et aux métiers de l'informatique. Sources documentaires et statistiques Cap Digital. Etude DRTEFP/INSEE/OREF - mars

9 Etude relative à l anticipation des besoins en compétences et en formation Cap Digital. Cabinet Amnyos juin 2010 Etude sur l impact du cinéma numérique et de la HD sur les qualifications, les compétences et les emplois. Commission Supérieure Technique de l Image et du Son Guide des formations aux métiers du cinéma et de l audiovisuel. Académie de Créteil, GRETA BIP93 Les industries créatives en Ile-de-France. Institut d Aménagement Urbain mars 2010 Les métiers de production du jeu vidéo, Référentiel de compétences. Capital Games- ARACT Ile-de-France Les PME des poles de compétitivité. INSEE Ile-de-France A la page n 310 décembre 2008 Réalisation d un appui technique concernant les emplois de la filière image en Ile-de-France impactés par la mutation numérique. Cabinet Circé Consultant, Institut MCVA Septembre 2009 Référentiel métier DigiTalents Cap Digital Statistiques entreprises et formation dans le secteur de l audiovisuel AFDAS 2008 Synthèse de l étude OPIIEC Mobilité numérique Cabinets IDC et Akting Octobre 2010 Organismes consultés Cap Digital Communauté d Agglomération de Plaine Commune Direction de la Culture du Patrimoine du Sport et des Loisirs du Conseil général de Seine- Saint-Denis Le Pôle Audiovisuel Cinéma Multimédia du Nord parisien Site internet Observatoire prospectif des métiers et des qualifications de l audiovisuel 9