L Institut de l entreprise encourage les entreprises à participer au financement des universités et de la recherche françaises
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- Marie Thomas
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1 L Institut de l entreprise encourage les entreprises à participer au financement des universités et de la recherche françaises Paris, le 5 octobre 2011 L Institut de l entreprise publie un rapport sur le rôle du secteur privé dans le financement de l enseignement supérieur. En s appuyant sur une analyse comparative (France/Etats- Unis/Grande-Bretagne) et sur une enquête auprès de dirigeants d entreprise, Pierre-André Chiappori affirme que le retard préoccupant accumulé par la France en matière d enseignement supérieur et de recherche est la conséquence d un indéniable sous-financement, qui tient moins à l importance de l effort public qu à l insuffisante participation du secteur privé. Ainsi, le rapport propose de rompre avec la vision étatique de l enseignement supérieur et d encourager la contribution des acteurs privés ménages et entreprises à l effort de financement. La renaissance d une recherche compétitive en France doit, en effet, représenter un impératif national. Redéfinir l équilibre public-privé dans le financement de l université en France En France, l enseignement supérieur et la recherche relèvent des fonctions régaliennes de l État. Toute contribution financière des entreprises à un établissement d enseignement supérieur soulève inévitablement des inquiétudes relatives à une éventuelle «marchandisation du savoir». Dans le dernier rapport de l Institut de l entreprise, «Financement de l enseignement supérieur, quel rôle pour les entreprises?», Pierre-André Chiappori, Professeur d économie à l université de Columbia, encourage vivement la France à sortir de cette vison étatique de l enseignement supérieur qui impose de lourdes contraintes. Pour le professeur, «la recherche française prend un retard préoccupant : un effort important et immédiat est indispensable et l État ne pourra être la source unique, ni même principale, de cet effort». En s appuyant sur les exemples américain et britannique, mais tenant compte des contraintes culturelles françaises, le professeur Chiappori dessine les conditions d un nouvel équilibre public-privé dans le financement de l enseignement supérieur français et recommande de l ouvrir plus largement aux fonds privés. Encourager le développement de fonds privés dans le financement de l enseignement supérieur Parmi ses recommandations pour développer les financements d origine privés, le professeur Chiappori propose de professionnaliser la levée de fonds au sein des universités, d améliorer leur gouvernance, de lever les tabous des frais d inscription et d encourager plus largement les partenariats entre les entreprises et les universités. Sur ce dernier point, il appelle à une prise de conscience urgente des entreprises sur le rôle qu elles ont à jouer dans le rayonnement et la performance des universités françaises. «A l heure actuelle, peu de dirigeants d entreprise perçoivent cette urgence, principalement parce qu ils connaissent mal le système universitaire, ayant été formés, pour la plupart, dans les grandes écoles», déplore l auteur du rapport. Faire renaitre la recherche française, un impératif national La faiblesse de la recherche française dans un certain nombre de secteurs clés fait peser un danger considérable sur l avenir à long terme de l économie nationale. La renaissance de la recherche française doit donc devenir un impératif national. Dans ce cadre, si la contribution des entreprises peut s avérer déterminante, c est moins dans son aspect quantitatif les quelques centaines de millions d euros qui pourraient être raisonnablement être levés chaque année auprès des entreprises doivent être mis en regard du budget total de l enseignement supérieur (plus de 25 milliards d euros) que dans son aspect qualitatif, à condition que les moyens financiers issus du secteur privé soient concentrés sur une poignée «d établissements d excellence», qui seraient ainsi mis en concurrence. Contact presse : Julie Micheli - Tél.: jmicheli@idep.net
2 Fiche 1 Les chiffres clés : étude comparative France / Etats-Unis / Grande-Bretagne Le Classement de Shanghai : budget par étudiant des dix premières universités selon le classement de Shanghai Ces budgets par étudiants américains sont à mettre en parallèle avec les budgets par étudiants en France. En effet, rapportée au nombre d étudiants, la dépense intérieure d éducation (DIE) représente une moyenne annuelle de en Elle varie sensiblement selon les filières, allant de par an pour un étudiant en université publique à pour un élève en classe préparatoire aux grandes écoles. Prix et récompenses scientifiques : répartition internationale Sur les quatre-vingt-dix-sept lauréats du prix Nobel dans les matières scientifiques (physique, chimie, médecine, économie) des dix dernières années, soixante-six étaient en poste dans une institution américaine contre dix au Royaume-Uni et quatre en France. Près de la moitié des Nobels «américains» sont nés hors des Etats-Unis, ce qui montre bien le pouvoir d attraction des talents qu exercent les grandes universités américaines. Même en mathématiques, spécialité française par excellence, la liste des lauréats de la médaille Fields depuis 1994 comprend, par nationalité, six Français et six Russes contre un américain. Mais si l on retient le pays d exercice actuel, le classement deviens Etats-Unis sept, France six. Source : L Archicube, Vol.9, décembre 2010, p 137 Publications scientifiques mondiales En 2008, la part de la France dans les publications est de 4,2%, contre 5,7% pour l Allemagne et le Royaume-Uni et 24% pour les Etats-Unis. L indice d impact n est que de 1,01 pour les publications françaises, contre 1,20 pour les publications allemandes, 1,26 pour les britanniques et 1,47 pour les américaines (source : observatoire des sciences et des techniques : Pour plus d information voir rapport «Financement de l enseignement supérieur : quel rôle pour les entreprises?» p. 7-14, p 66 et p 74
3 Fiche 2 Financement de l enseignement supérieur : quelques éléments de comparaison internationale Part du secteur public et du privé dans le financement de l enseignement supérieur pour différents pays de l OCDE Pour plus d information voir rapport «Financement de l enseignement supérieur : quel rôle pour les entreprises?» p Les pays d Europe continentale, et particulièrement la France, se distinguent par une part publique très élevée et une participation faible du secteur privé - hors frais de scolarité à l inverse du monde anglo-saxon. Comparaison du budget par étudiant du Massachussetts Institute of Technology et de l'université Pierre et Marie Curie, 2010 Note : le budget par étudiant de l'umpc intègre le budget de recherche des unités CNRS et Inserm qui lui sont rattachées Source : site internet du Massachussetts Institute of Technology ( présentation du budget de l Université Pierre et Marie Curie devant l ANRT ( 6-L.Buisson_PrixF2010.pdf) Le budget par étudiant des meilleures universités celles qui comptent en termes de recherche est souvent plus de dix fois supérieur outre-atlantique. Une différence de cet ordre de grandeur condamne dans la plupart des cas les universités françaises à jouer les seconds rôles. Pour plus d information voir rapport «Financement de l enseignement supérieur : quel rôle pour les entreprises?» p. 57
4 Fiche 3 Financement de l enseignement supérieur : l équilibre public-privé dans les pays anglo-saxons Evolution du financement de l enseignement supérieur au Royaume-Uni (% du financement total) Le financement public «direct» (attribué en fonction des performances des universités) ne représente actuellement qu un tiers du total (moins de 55% si on inclut le financement indirect que constitue l aide publique aux ménages). Il est de 85% en France. Suite au désengagement partiel de l Etat britannique, le financement à la charge des ménages atteint 35% soit près de cinq fois le taux de contribution des ménages en France. Le financement par d autres sources privées (notamment les entreprises) reste faible. Le financement des universités aux Etats-Unis Universités publiques Bac+4, 2007 Universités privées Bac+4, 2007 Universités privées, forte recherche Bac+4, 2007 L enseignement supérieur des Etats-Unis présente une grande diversité d institutions, une concentration des moyens de recherche sur une poignée d établissements de très haut niveau et une variabilité des budgets. La part du financement public est toujours limitée. Les frais de scolarité représentent environ 20% du budget dans les universités publiques et près du double dans les universités privées, à l exception des plus actives sur le front de la recherche. Le financement privé pour l essentiel issu de particuliers et non d entreprises joue un rôle important, particulièrement dans les universités d élite. Il prend à la fois la forme de dons directs à l université et celle de subventions de recherche accordées par des fondations privées. Pour plus d information voir : «Financement de l enseignement supérieur : quel rôle pour les entreprises?» p
5 Fiche 4 Les collectes de fonds privés dans l enseignement supérieur aux Etats-Unis Les levées de fonds dans quatre premières universités du classement de Shanghai Harvard University : 597,0 M$ ont été levés durant l année 2010 (Total gifts 2010) un chiffre stable par rapport à 2009 (597,1 M$ ; -0,0 %) mais en baisse par rapport à 2008 (690,1 M$ ; -13,5 %) UC Berkeley : L université publique californienne a moins de revenus des dons : elle a reçu 61,8 M$ en dons (Campus foundation private gifts) en 2010 (+6,2 %) la part des dons dans le budget de l université est assez largement devancée par les montants que représentent les frais d inscription, et par les financements notamment de l État fédéral. Stanford University : En 2010, Stanford University recevait 598,9 M$ en dons un chiffre en assez forte baisse par rapport aux 640,1 M$ reçus en 2009 (-6,4 %), et assez largement en-deçà du pic de 911,2 M$ obtenu en 2006 (-34,3 %). M.I.T. : L année 2010 a été marquée, pour le M.I.T., par des levées de fonds (Private support) totalisant 321 M$ (-3,0 %). Pour plus d information voir rapport «Financement de l enseignement supérieur : quel rôle pour les entreprises?» p Evolutions des dons annuels aux Etats-Unis par type de donateurs et par affectation Pour plus d information voir : «Financement de l enseignement supérieur : quel rôle pour les entreprises?» p. 101
6 Fiche 5 La collecte de fonds en France les bonnes pratiques Les fondations d universités Plus d information voir rapport «Financement de l enseignement supérieur : quel rôle pour les entreprises?» p. 78 Afin d apparaître comme des acteurs crédibles dans leurs politiques de levées de fonds, les fondations d universités doivent adopter une gouvernance lisible et des objectifs précis. Certaines fondations d université, en adoptant de bonnes pratiques, transposables à d autres acteurs, ont déjà réussi à lever un niveau significatif de fonds. Les fonds mis en place par les entreprises : focus sur le Fonds AXA pour la recherche Fonds AXA pour la recherche : 100 millions d euros sur cinq ans Encourager la recherche visant à comprendre et à prévenir les risques majeurs. Finance des institutions atteignant «un haut niveau d excellence et dont le réseau est international» afin qu elles puissent «attirer et retenir les meilleurs scientifiques d aujourd hui et de demain». Financer des projets transdisciplinaires «de pointe et hautement innovants». Autonomie du conseil scientifique du fond pour la sélection des projets, ce qui permet d en crédibiliser la gouvernance afin d inciter les meilleurs scientifiques à candidater. Depuis 2008 : 221 projets ont été soutenus dans 19 pays pour un montant de 47 millions d euros Les initiatives de recherche pouvant être portées par les institutions sont : La création d une chaire de recherche AXA «permettant au bénéficiaire d associer travaux de recherche et enseignements» La mise en place d un projet par un chercheur déjà en poste dans une université L attribution de bourses postdoctorales, d une durée de deux ans Plus d information voir voir rapport : ««Financement de de l enseignement supérieur : : quel rôle rôle pour pour les les entreprises?» p.?» 90 p. 90
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