Textiles Circuit et traitement du linge. Dr L. Simon
|
|
- Élise Larrivée
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Textiles Circuit et traitement du linge Dr L. Simon
2 Linge utilisé à l hôpital Catégories de linge : selon le repassage Linge plat Grand plat : drap, couvre-lits, alèses Petit plat : serviettes de bain, taies, gants de toilette Après lavage, ce linge passe en calandre ou sur presse.
3 Linge utilisé à l hôpital Catégories de linge : selon le repassage Linge en forme Pour le malade : pyjamas, chemises de nuit Pour le personnel : blouses, tuniques, pantalons. Remarque : le linge de bloc (plat ou en forme) rejoindra le service de stérilisation.
4 Nature des textiles utilisés en milieu hospitalier a. Fibres naturelles d origine animale : laine et soie d origine végétale : coton, lin, jute b. Fibres artificielles cellulose (décomposition du bois), rayonne, viscose C. Fibres synthétiques dérivées du pétrole : nylon, polyester-coton (tergal, dacron)
5 Polyester Polyester-coton draps ou tenues du personnel Avantages : Supportent la montée en température Faciles à lisser Coût de blanchissage plus faible que 100% coton Textiles micro-poreux Étanches aux aérosols liquides et solides, mais perméables aux gaz Deux familles : Micro-filaments = microfibres de polyester Laminés = membranes microporeuses en polytétrafluoroéthylène enserrée entre deux couches de polyester ex : Rotecho, Compel, Gore-Tex
6 Nature des textiles utilisés en milieu hospitalier d. Non tissé Déchets textiles ou de viscose Taux d absorption de l humidité faible Imperméabilité aux liquides supérieure aux tissés = textiles «barrière» Nombreuses applications au bloc opératoire pour prévenir les AES Diminuant le taux d IPO
7 Étude de MOYLAN (1980) 2 hôpitaux utilisaient alternativement pour les champs et les casaques opératoires, par période de 6 semaines et durant 18 mois soit du non-tissé soit du coton Sur 2000 interventions de chirurgie propre 4,4% d IPO pour le coton 2,0% pour le non-tissé (les deux groupes étaient-ils comparables pour les facteurs de risques de l IPO?)
8 Étude de GARRIBALDI (1986) Étude mieux standardisée Comparant polyester-coton à du non-tissé Sur 500 interventions de classe I ou II Comptage des colonies recueillies sur un patch de tissu appliqué sur la plaie en fin d intervention Pas de différence significative quant à la contamination du site opératoire
9 Étude de SHEIBEL (1991) Danemark (46 interventions) Médiane (UFC/m3) Procédure Polyestercoton Non tissé Réduction Ouverture instruments 118,8 31,3 74% Incision 168,8 44,0 74% Section os 156,0 62,3 60% Insertion prothèse 168,8 56,3 67% Fermeture 156,3 81,0 48% Moyenne 158,8 60,3 62%
10 Études de LIPPERT en chirurgie cardiaque et de WHYTE Rôle important de la forme des vêtements Aérobiocontamination fortement diminuée si vêtements en non-tissé Fermés d une pièce serrés aux cols, poignets et chevilles
11 Qualité requise pour les textiles Paramètres : sécurité, confort, asepsie et économie. Sécurité : du patient et du chirurgien patient chirurgien liquides liquides gaz Performances de textiles barrières essais de l Institut Textile de France
12 Qualité requise pour les textiles coton microfilaments laminés Tailles des pores 150 microns 1 micron 0.2 micron Densité en fibres/cm² Confort : drapabilité moins bonne avec les nontissés. Asepsie : par stérilisation à la vapeur d eau. Coût : comparaison tissés (microporeux ou non) et non-tissés sont difficiles.
13 Linge sale à l hôpital Souillé par : la flore du patient : flore cutanéo-muqueuse, flore fécale, flore rhino-pharyngée les matières organiques : sang, sécrétions, selles, urines Substrat pour les micro-organismes : Bactéries : Staphylocoques, Entérobactéries Virus : HIV, hépatite B et C... LINGE SALE = DANGER
14 Linge sale à l hôpital Quels risques? Risque de surinfection pour le malade Risque d infection pour le personnel : conjonctivites, affections respiratoires, cutanées, digestives.
15 Rôle du linge dans la survenue d infections nosocomiales Très peu de travaux Linge du personnel soignant Allen a décrit une épidémie liée à la transmission de Staphylococcus aureus résistant à la méticilline au domicile d une infirmière Maîtrise de l épidémie en agissant sur deux facteurs : nettoyage méticuleux du domicile désinfection thermique du linge.
16 Rôle du linge dans la survenue d infections nosocomiales Tenues médicales Étude de Wong D. sur la contamination des blouses blanches médicales Poignets et poches sont les parties les plus contaminées. Le niveau de contamination varie avec le type d activité et la spécialité (contamination plus fréquente dans les spécialités chirurgicales que médicales). 25% des blouses étaient contaminées par Staphylococcus aureus Risques liés au transfert de germes multirésistans par les blouses : étude de BOYCE J.M. 65% des infirmières ont leur tenue contaminée par Staphylococcus aureus résistant à la méticilline (SARM) après avoir réalisé des soins à des malades colonisés ou infectés par ce germe
17 Rôle du linge dans la survenue d infections nosocomiales Les blouses blanches sont une source potentielle de contamination croisée : Il faut donc en changer fréquemment Utiliser le cas échéant les tabliers à usage unique Les blouses à manches courtes doivent être préférées à celles à manches longues A quand les blouses sans poches!!
18 Rôle du linge dans la survenue d infections nosocomiales Linge du patient Oreillers de plumes = source d infection nosocomiale à Acinetobacter (étude de A. WEERNINK) 2 cas de méningites post-opératoires à Bacillus cereus ont eu pour origine du linge lavé (étude de D. BARRIE) cycle de lavage comportant une phase de chaleur et un traitement chimique insuffisant pour détruire des bactéries sporulées multiplication de Bacillus cereus liée à l utilisation de linge humide stocké dans des emballages plastiques à une température élevée
19 Rôle du linge dans la survenue d infections nosocomiales Diffusion des germes multi-résistants par le linge des patients Étude de Yamaguchi E et al Infections de patients à Enterococcus faecium résistant à la Vancomycine Germes retrouvés sur un certain nombre de surfaces proches des patients et notamment sur le linge
20 Rôle du linge dans la survenue d infections nosocomiales Contamination du linge «propre» en blanchisserie 2 cas décrits d infections nosocomiales liées à l utilisation du linge propre (Tissot-Guerraz F.) 1 entérocolite nécrosante dans une maternité parisienne due à un portage de Staphylococcus aureus dans la gorge d un agent de la blanchisserie 1 apparition de pustules staphylocociques chez des nouveaux-nés due à des couches contaminées par les mains et le rhino-pharynx d un agent de la blanchisserie
21 Circuit hospitalier du linge Objectif : fournir aux services utilisateurs du linge propre et non contaminé, voire stérile dans certains cas. Problème : les textiles se contaminent très facilement. 3 étapes clés dans le circuit du linge : décontamination du linge souillé stockage transport du linge propre
22 Circuit hospitalier du linge : étapes Linge sale Pré-tri dans les services Acheminement Tri dans la blanchisserie Utilisation Stockage dans les services Acheminement Traitement adapté Linge propre
23 Pré-tri : étape indispensable Linge séparé en 2, 3, voire 4 catégories selon les hôpitaux mis dans des sacs de couleur Problème : souvent le linge sale est déposé sur le sol avant la mise en sac Contamination Choix du sac de linge : propriété = imperméabilité nature = synthétique, nylon, polyester-coton, coton hydrosoluble
24 Pré-tri : étape indispensable Stockage de linge sale dans les services de soins Local conçu à cet usage, nettoyé quotidiennement Entreposage des sacs = 24 heures maximum pour empêcher une multiplication bactérienne
25 Acheminement vers la Blanchisserie Évacuation du linge par camions ou bennes désinfectés quotidiennement avec un détergent-désinfectant de surface Le transport du linge propre et du sale soit se faire séparément
26 Traitement du linge à la blanchisserie Données réglementaires : article 112, titre VI règlement sanitaire départemental Désinfection préalable du linge des malades atteints de maladies infectieuses à déclaration obligatoire (ex : SIDA, gangrène gazeuse), avant tout traitement 2 attitudes : Traiter le linge le plus près possible du malade Traiter le linge dans une zone réservée de la blanchisserie (Hôpitaux de Strasbourg et Nancy : étuve à formol)
27 Le tri en Blanchisserie Arrivée du linge sale éloignée du chargement du linge propre Conception ancienne : linge trié selon la nature du textile ou les techniques de repassage puis linge introduit dans laveuse-essoreuse ou dans tunnel de lavage Avantages : Optimise le tri du linge mal fait en amont (problème de discipline dans les services) Récupération des objets hétéroclites Inconvénients : Risques de contamination lors de la manipulation Perte de temps
28 Le tri en Blanchisserie Conception moderne : pas de tri de linge, pas d ouverture des sacs Dans les services, sacs de couleurs différentes pour chaque famille de linge Avantages : Inconvénients: ex: 11 catégories de linge au CHU de Tours famille du grand plat =60% du tonnage Pas de manipulation contaminante Gain de temps Processus dépendant de la qualité du tri réalisé en amont dans les services Objets hétéroclites solution = scanner (2% des sacs concernés)
29 Cycle de lavage Principe : thermodésinfection en milieu alcalin Laveuse essoreuse Chargement Libération du linge 15 min Prélavage Lavage (15 ) Rinçages Essorage 1 h Déchargement 15 min 1 cycle complet = 1 h 30 Traitement de 180 kg de coton ou 120 kg de polyester
30 Cycle de lavage Tunnel : composé de plusieurs modules exemple : tunnel Senking 13 modules (2 min 25 par module) adjonction de lessive dans les 3 premiers modules adjonction de javel dans les compartiments 10,11,12 : 450 ml/50 kg de linge adjonction de bisulfite de Na : 140 ml/50 kg de linge adjonction d acide acétique pour neutraliser les résidus de lessive Avantage des tunnels : Eau usée du dernier rinçage sert à mouiller le ligne en entrée Économie d énergie
31 Cycle de lavage Thermodésinfection à pratiquer = cycle de SINNER Température de lavage proche de 60 Détergent ou détergent-désinfectant lors du lavage Lessives classiques puis javellisation (incompatibilité avec chlorhexidine taches) Lessives à base de peroxyde Associations aldéhydes tensio actifs Ammoniums quaternaires Linge contaminé Adjonction de désinfectant rémanent dans le dernier rinçage : intolérance chez les malades (?) Nature : ammonium quaternaires
32 Le linge propre Dernières étapes de la blanchisserie Séchage et repassage : Ex : calandrage à 180 C pendant une seconde (action U.H.T.) Amélioration de la qualité microbiologique du linge Emballage : Linge propre manipulé le moins possible (tapis roulant, plieuses automatiques) Protégé de l environnement par un houssage ou emballage sous film plastique.
33 Acheminement du linge propre dans les services S effectue sur le principe des armoires de dotation Problème double : définir pour chaque service la dotation optimum en linge qui évolue avec les isolements septiques Risque : sous dotation travailler en flux tendu pour éviter les problèmes de stockage dans les services Risque : sur-dotation
34 CONCLUSION Évolution dans la nature des textiles utilisés : le coton-polyester fait place à du textile micropreux ou à du non-tissé. Le non-tissé à usage unique soulage les blanchisseries mais engendre un coût d élimination important. Évolution dans le traitement du linge en blanchisserie : technique du «no-touch» oblige les services à modifier leur gestion du linge. Technique éprouvée de désinfection du linge.
Les Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailLA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012
LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 SOMMAIRE La norme RABC, qu est-ce que c est? Les grandes lignes La blanchisserie et la Fonction linge - incidences sur l application de la méthode Les
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailHygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009
Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage Jeudi 28 mai 2009 Alain LEFEBVRE - Cadre supérieur de santé Hygiéniste 1 Le bio nettoyage
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailL ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE
LUTTE CONTRE L INFECTION EN PERIODE PERI-OPERATOIRE mars 2010 L ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE F. DUBOURDIEU Unité d Hygiène Hospitalière Hôpitaux Civils de Colmar Sommaire
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailFICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL
LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations
Plus en détailWWW.CLEVERCARE.INFO LAVAGE
WWW.CLEVERCARE.INFO LAVAGE Le symbole du cuvier indique si le lavage domestique est possible à la main et en machine. Le nombre à l intérieur de ce symbole indique la température de lavage maximale en
Plus en détailAnnexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité
Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailNiveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007
Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes
Plus en détailLAVAGE À LA MAIN Recommandé pour les pièces imprimées multicolores et les pièces délicates.
SOINS GENERAUX Lisez attentivement les étiquettes des vêtements Respectez toujours les recommandations des fabricants des machines à laver. Dissolvez bien les détergents pour que ceux-ci ne forment pas
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailBACTÉRIE PARTICULE D ARGENT
Tissu High-tech BACTÉRIE FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE PARTICULE D ARGENT FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE La partie interne des tissus Medical Style contient des particules d argent à l action biocide
Plus en détailRésumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives
Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,
Plus en détailPROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES
PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES Destinés essentiellement à protéger contre les salissures, les vêtements de travail permettent également de valoriser l image des entreprises (personnalisation
Plus en détailNETTOYAGE À L EAU ÉCOLOGIQUE CLEAN
NETTOYAGE À L EAU ÉCOLOGIQUE CLEAN L utilisation et la mise au rebut des produits chimiques étant de plus en plus réglementées, l industrie de la blanchisserie doit utiliser des méthodes de nettoyage plus
Plus en détailRecommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation
Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailBOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes
1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon
Plus en détailLa gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais
14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais
Plus en détailLa réglementation quelques incontournables
Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements
Plus en détailDécrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.
DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser
Plus en détailPaquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires
Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Applicable au 1 er janvier 2006 Objectif : Etablit les règles générales en matière d hygiène, est directement applicable
Plus en détailNotre ligne de produits lessive et nettoyants de Suisse
Notre ligne de produits lessive et nettoyants de Suisse Page Lessives poudres 4 Lessives liquides 5 Lessives spéciales 6 7 Aides au lavage 8 Adoucissants 9 Nettoyants ménagers 10 11 Nettoyants vaisselle
Plus en détail1.2.1 Enlever et disposer, en tant que déchets de fientes de pigeon, tous les matériaux et les débris des surfaces situées dans la zone des travaux.
TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON TABLE DES MATIÈRES PAGE TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON... 1 1 GÉNÉRALITÉS... 1 1.1 CONDITIONS GÉNÉRALES ET TRAVAUX CONNEXES... 1 1.2 DESCRIPTION DES
Plus en détailENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES
1 ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES A. NETTOYAGE COURANT Il est effectué: en dernier lieu, Idéalement ½ heure minimum après la réfection du lit. en
Plus en détail4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES
PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailHygiene. Wet-Clean L entretien des textiles pour les professionnels
Hygiene Wet-Clean L entretien des textiles pour les professionnels Wet-Clean La solution idéale pour le nettoyage au mouillé dans votre établissement > La solution tout-en-un au sein de votre établissement:
Plus en détailHygiène des véhicules de transport sanitaire
2 0 0 4 Hygiène des véhicules 2 0 0 4 de transport sanitaire Sommaire Les fiches d enregistrement sont insérées dans le rabat en 3 ème de couverture. Préambule... 3 Étude préliminaire, objectifs... 3 Recommandations
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailPrécautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux
Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Ivana Novakova, Arlin IDF ivana.novakova@sap.aphp.fr arlin.idf@sap.aphp.fr La vie en EHPAD: modèle de tous les paradoxes et
Plus en détailFOURNITURE LIVRAISON DE PRODUITS D ENTRETIEN ET D ARTICLES DE NETTOYAGE POUR LA VILLE DE CYSOING
Ville de Cysoing Hôtel de Ville 2, place de la République BP 67 59830 CYSOING Tél : 03.20.79.44.70. Fax : 03.20.79.57.59. N Cys FOURNITURE LIVRAISON DE PRODUITS D ENTRETIEN ET D ARTICLES DE NETTOYAGE POUR
Plus en détailCONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE RECOMMANDATIONS EN MATIERE DE STERILISATION. <---- Cliquez. Table des matières
CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE RECOMMANDATIONS EN MATIERE DE STERILISATION Table des matières
Plus en détailProtection du personnel
PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects
Plus en détailPREPARATION (NETTOYAGE, DESINFECTION ET STERILISATION) D AIGUILLES MEDICALES, DE RACCORDS, DE ROBINETS ET D AIGUILLES CHIRURGICALES A SUTURE UNIMED
U N I M E D S.A. CM/07.12.04 NETSTERIL.SPN Approuvé par/le: Claude Borgeaud / 08.10.13 PREPARATION (NETTOYAGE, DESINFECTION ET STERILISATION) D AIGUILLES MEDICALES, DE RACCORDS, DE ROBINETS ET D AIGUILLES
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailRincez à l'eau froide. Ensuite, lavez immédiatement avec une lessive.
Betterave rouge Rincez à l'eau froide. Ensuite, lavez immédiatement avec une lessive. Bière Boue/Terre Rincez à l'eau froide puis procédez à un lavage normal avec une lessive. Epongez la tache avec du
Plus en détailprécisent les solvants pouvant être utilisés lors de l entretien Les lettres dans le cercle professionnel à l eau professionnel à sec.
TABLEAU DES SYMBOLES D ENTRETIEN DES TEXTILES LAVAGE BLANCHIMENT SECHAGE REPASSAGE ENTRETIEN PROFESSIONNEL Cycle normal Tous types de blanchiment autorisés Séchage en tambour autorisé, température normale
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailAblation de sutures. Module soins infirmiers
Ablation de sutures Module soins infirmiers Equipe enseignante de l IFSI du Centre Hospitalier de ROUBAIX Diaporama réalisé par : Stéphane Dubus, Formateur I. Définition Il s agit d ôter les sutures cutanées
Plus en détailBOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA
BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse
Plus en détailInfos matières. Coton. Lin. Laine. Soie. Viscose. Acétate. Polyamide. Acrylique. Polyester. Élasthanne. Sympatex par exemple GORE-TEX
PETITES CONNAISSANCES DES MATIÈRES POUR DE GRANDS RÉSULTATS Il existe de nombreuses matières à partir desquelles les vêtements de rêve à la mode sont réalisés, mais elles ont toutes une chose en commun
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailC.CLIN Ouest. Hygiène des structures d hébergement pour personnes âgées. 2002 2. H 2. HYGIÈNE DES LOCAUX
2. H 2. HYGIÈNE DES LOCAUX 23 C.CLIN Ouest. Hygiène des structures d hébergement pour personnes âgées. 2002 2. HYGIÈNE DES LOCAUX 2.1 Classification des locaux par zone 2.2 Fréquence du nettoyage par local
Plus en détailA LIRE IMPERATIVEMENT AVANT TOUTE UTILISATION A REMETTRE A L UTILISATEUR ET A CONSERVER
4 Le Pas du Château 85670 SAINT PAUL MONT PENIT TEL : 02-51-98-55-64 FAX : 02-51-98-59-07 EMAIL : info@medicatlantic.fr Site Internet : http//: www.winncare.fr MANUEL D UTILISATION Des Systèmes d Aide
Plus en détailSECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détail1 Organiser et gérer. son poste de travail
1 Organiser et gérer son poste de travail r é f é r e n t i e l Modes de contamination (contamination initiale) Hygiène du personnel Prévention des risques professionnels Situation Dès son arrivée dans
Plus en détailPROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31
Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :
Plus en détailFabriquer ses produits ménagers naturels. Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013
Fabriquer ses produits ménagers naturels Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013 Fabriquer ses produits ménagers naturels Programme Intérêt de fabriquer ses produits Les principaux ingrédients
Plus en détailLV51. Sunlight Professional Soft. Adoucissant professionnel pour tout type de linge. Description. Propriétés principales.
Sunlight Professional Soft Adoucissant professionnel pour tout type de linge LV51 Description Sunlight Professional Soft est un adoucissant spécialement formulé pour une utilisation en blanchisserie industrielle
Plus en détailAMIGO Désinfecteur à chargement par le dessus
AMIGO Désinfecteur à chargement par le dessus with people in mind UN APPAREIL PERFORMANT À DOUBLE FONCTION Amigo est un désinfecteur à chargement par le dessus, extrêmement facile à utiliser avec un évier
Plus en détailLagoon le nettoyage à l eau haute performance approuvé par Woolmark
Lagoon le nettoyage à l eau haute performance approuvé par Woolmark 2 Lagoon TM /Woolmark Lagoon TM est le premier et le seul système de nettoyage à l eau professionnel approuvé par la société Woolmark
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailHYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE
HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive
Plus en détailContexte réglementaire en hygiène alimentaire
Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel
Plus en détailOBJECTIFS : - LIMITER L APPORT DE MICRO-ORGANISMES PAR LE PERSONNEL ET LE MATERIEL - LIMITER L APPORT DE CORPS ETRANGERS (cheveux, bijoux, etc.
Dans les établissements d abattage, un ensemble de mesures générales d hygiène doit être appliqué afin de prévenir l apparition de tout risque sanitaire. Ces mesures préventives qui constituent le socle
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailSTAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE
FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012
Plus en détailL hygiène alimentaire en EPHAD
L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 Introduction (1/2) Le repas est un moment «fort»de la journée des personnes
Plus en détailEntretien des DM Entretien des locaux Gestion du linge Gestion des déchets Gestion de la qualité de l eau EN EHPAD. MISSIONS de l ARLIN Bretagne
Entretien des DM Entretien des locaux Gestion du linge Gestion des déchets Gestion de la qualité de l eau EN EHPAD MISSIONS de l ARLIN Bretagne Conseils et assistance aux ES et aux EHPAD FAM MAS Animation
Plus en détailIBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire
IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire Table des matières I -Liste des laboratoires de culture cellulaire de l IBCP :... 2 II -Conditions requises pour l
Plus en détailMai Thanh LE - Pôle Hygiène
Sodexo Le Better Tomorrow Plan Nos actions de progrès en bio nettoyage Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Présentation de l entreprise Sodexo Depuis la création de l entreprise en 1966, Sodexo est le partenaire
Plus en détailGrâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE
la Grâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE Filiale du Groupe Suez Environnement et Leader en France,
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailLES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE
LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE Direction Départementale de la Protection des Populations De Seine-Saint-Denis (DDPP 93) - Immeuble l Européen - 5 et 7 promenade Jean
Plus en détailNappes et linge de table
16 LES TISSUS À IMPRIMER Nappes et linge de table N o u v e l l e c o l l e c t i o n C H R 17 Linélys disponible en 145 cm et 300 cm de large 220 g/m 2 Composez votre interieur Aspect Lin naturel 100%
Plus en détailNETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION
NETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION OBJECTIFS SPECIFIQUES : ENUMERER SANS ERREUR LES ELEMENTS QUI COMPOSENT LE MATERIEL COURANT DE SOINS EXPLIQUER CHACUNE DES TECHNIQUES
Plus en détailPREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE. Marcelle Haddad
PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE Marcelle Haddad PLUSIEURS CATEGORIES DE CHIRURGIE 1-Perte d un d organe ou d une fonction Ex: cholecystectomie,appenticectomie 2-Ablation d une tumeur,, d un d
Plus en détailLes Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire
Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire 1- Hygiène du personnel Lors de l'embauche à l entreprise, toute personne affectée au travail et à la manipulation des produits est soumise
Plus en détailEnsemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola
Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente
Plus en détailPrévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME
Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME Équipe: Dr Elise Seringe elise.seringe@sap.aphp.fr Ivana Novakova ivana.novakova@sap.aphp.fr 01 40 27 42 53 arlin.idf@sap.aphp.fr C CLINs de FRANCE
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailListe de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs
Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9
Plus en détail1 Introduction 2. 1.1 Description 2. 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2. 1.3 Caractéristiques 3. 1.4 Aspects réglementaires 3. 2 Mise en service 4
Table des matières 1 Introduction 2 1.1 Description 2 1.2 Accessoires et numéros de pièces 2 1.3 Caractéristiques 3 1.4 Aspects réglementaires 3 2 Mise en service 4 2.1 Déballage et inspection 4 2.2 Batterie
Plus en détailLes précautions «standard» sont décrites dans la circulaire
PRÉVENIR Précautions standard Les précautions «standard» sont décrites dans la circulaire DGS/DH - n 98/249 du 20 avril 1998 relative à la prévention de la transmission d agents infectieux véhiculés par
Plus en détailEvaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick)
Evaluation des risques professionnels dans les établissements de santé (dr.l.sctrick) Le danger : propriété ou capacité intrinsèque d un équipement, d une substance, d une méthode de travail, de causer
Plus en détailLe premier dispositif 4 en 1.
TETHYS H10 Le premier dispositif 4 en 1. Décontamination, nettoyage, désinfection et séchage en un seul passage pour un flux de travail plus simple, plus rapide et plus efficace. Tethys H10 est le premier
Plus en détailLes risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013
Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Principaux risques professionnels Risques liés aux manutentions /mobilisation de personnes, lombalgie, TMS Déplacements, mobilisation de personnes
Plus en détailBLANCHISSAGE ET NETTOYAGE PROFESSIONNELS DES ARTICLES TEXTILES
SPECIFICATION TECHNIQUE BLANCHISSAGE ET NETTOYAGE PROFESSIONNELS DES ARTICLES TEXTILES GROUPE D ETUDE DES MARCHES D HABILLEMENT ET DE TEXTILE (GEMHT) MAI 2010 2 Spécification technique n A23-2010 du 18
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailETUDE D UN PRODUIT, D UN PROCESSUS, D UN SERVICE OU D UNE ACTION DE MAINTENANCE
SESSION 2003 CA/PLP et CAFEP CONCOUR S EXTERNE Section : ENTRETIEN DES ARTICLES TEXTILES ETUDE D UN PRODUIT, D UN PROCESSUS, D UN SERVICE OU D UNE ACTION DE MAINTENANCE Durée : 4 heures Calculatrice autorisée
Plus en détailPeroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires
P3-oxonia active Description Peroxyacide pour l'hygiène dans les industries agroalimentaires Qualités Le P3-oxonia active est efficace à froid. Il n'est ni rémanent ni polluant. Il ne contient pas d'acide
Plus en détailrévention de la transmission infections
Pdes révention de la transmission infections Préambule Tout le matériel utilisé par l inhalothérapeute et ayant servi à la prestation des soins cardiorespiratoires doit être aseptisé et contrôlé avant
Plus en détailSOCIETE SAMSIC ECO CONCEPTION D UN SERVICE DE NETTOYAGE INDUSTRIEL BILAN APPEL A PROJET RECHERCHE EN ECO CONCEPTION 2008.
BILAN APPEL A PROJET RECHERCHE EN ECO CONCEPTION 2008 SOCIETE SAMSIC ECO CONCEPTION D UN SERVICE DE NETTOYAGE INDUSTRIEL Pourquoi agir Pour les acheteurs publics et privés, les attentes en matière d hygiène
Plus en détail«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité»
«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité» SSO-Fribourg, jeudi 12 février 2015 Dr Christine Cunier Adjointe du médecin-dentiste
Plus en détailBIONETTOYAGE EN SOINS DE SUITE 2009
PS ENS-ENT 010 V1 BIONETTOYAGE EN SOINS DE SUITE 2009 n page 1/14 OBJET Améliorer la qualité de l'environnement du patient, contribuant ainsi à diminuer le risque d'infection. En cohérence avec le manuel
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailWET CLEANING READY HS6013
WET CLEANING READY HS6013 HS6017 HS6023 RESPECTEZ L ENVIRONNEMENT AVEC LE NETTOYAGE À L EAU ED260 ED340 ED460 GIRBAU Laundry equipment un concept de nettoyage rapide, efficace, respectant la grande majorité
Plus en détailDésinfection du matériel médical et stérilisation Josée Savoie, Julie Moreau, Maroussia Groleau
La prévention des infections en cabinet privé Désinfection du matériel médical et stérilisation Josée Savoie, Julie Moreau, Maroussia Groleau 6 Vous recevez Martine à votre cabinet pour son examen annuel.
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailLes Mesures Additionnelles aux Précautions Standard
Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Guide Romand pour la prévention des infections liées aux soins 1 Préambule Ce document est destiné à tous les professionnels travaillant dans les structures
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailRapport d hygiène pour le département du service d ambulance
Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Dans le cadre des exigences de qualité posées, l on aimerait savoir dans quelle mesure le nettoyage et la désinfection des ambulances suffisent
Plus en détail