bilan des réalisations du Programme spécial de Protection de la Ville de Nouakchott et du Programme de reboisement

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "bilan des réalisations du Programme spécial de Protection de la Ville de Nouakchott et du Programme de reboisement"

Transcription

1 110 Numéro vert pour signaler tout cas suspect d Ebola HORIZONS Pluviométrie: Précipitations sur plusieurs endroits du territoire national Lire page 5 QUOTIDIEN NATIONAL D INFORMATIONS - ÉDITÉ PAR L AGENCE MAURITANIENNE D INFORMATION - N 6342 DU DIMANCHE 14 SEPTEMBRE 2014 PRIX : 100 UM Au conseil des ministres: Création du comité de suivi de la mise en œuvre de la Stratégie Nationale de Lutte contre la Corruption Fixation du repos hebdomadaire et des horaires de travaill Le conseil des Ministres s'est réuni, Jeudi au Palais présidentiel à Nouakchott, sous la présidence de Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, Président de la République. Le conseil a adopté un projet de décret portant création du comité de suivi de la mise en œuvre de la Stratégie Nationale de Lutte contre la Corruption. Ce comité a pour mission d'assurer le suivi de la Stratégie Nationale de Lutte contre la Corruption et de prendre les décisions nécessaires à sa mise en œuvre. Le conseil a également adopté un projet de décret fixant le repos hebdomadaire et les horaires de travail sur l'ensemble du territoire national. Ce projet de décret introduit une répartition du temps de travail se traduisant par quatre journées de 9h du lundi au jeudi de 8h à 17h, vendredi de 8 à 12h et ce pour compter du 1er Octobre Le Conseil a adopté une communication relative à l'état d'avancement des activités du Programme spécial de Protection de la Ville de Nouakchott et la préparation de la campagne annuelle de Reboisement La communication dresse un bilan des réalisations du Programme spécial de Protection de la Ville de Nouakchott et du Programme de reboisement pour l'année Elle propose également un certain nombre de recommandations en vue d'améliorer l'efficacité de ces programmes. Lire page 3 Le Premier ministre reçoit le coordinateur régional de l'onu pour les Affaires humanitaires au Sahel Le Premier ministre, Monsieur Yahya Ould Hademine, a reçu en audience, jeudi, M. Robert Piper, sous secrétaire général de l'onu et coordinateur régional pour les Affaires humanitaires au Sahel. L'audience s'est déroulée en présence du directeur de cabinet du Premier ministre, M. Mohamed Ould Jibril et de Mme Coumba Mar Gadio, représentante résidente du PNUD en Mauritanie. Journée de concertation sur les services de l ANAPEJ Les travaux d'une journée de concertation sur les services de l'agence Nationale pour la Promotion de l'emploi des Jeunes (ANAPEJ), organisée par cette Agence avec la collaboration de l'union Nationale du Patronat de Mauritanie, ont débuté jeudi à Nouakchott. La journée visait à exposer les nouveaux services offerts par l'anapej aux acteurs dans le domaine de l'emploi pour en profiter en cas de besoin et pour réduire le chômage dans les rangs des jeunes. Lire page 5 Clôture de la rencontre régionale sur la transhumance transfrontalière entre la Mauritanie et le Sénégal Les travaux sur la rencontre régionale sur la transhumance transfrontalière entre la Mauritanie et le Sénégal ont pris fin vendredi soir à Rosso. Les participants à cette réunion de deux jours ont rendu publiques des recommandations qui ont loué le climat dans lequel la rencontre s'est déroulée. Ils ont demandé de proroger la durée de la transhumance au 31 décembre de chaque année, d'examiner une demande supplémentaire autorisant quelque 7000 camelins mauritaniens à faire la transhumance en terre sénégalaise et proposé de nouveaux points de passage pour rapprocher les services des bénéficiaires. Ils ont également sollicité l'application, à la lettre, des dispositions des lois sur le vol de bétail au Sénégal et de faciliter les opérations d'approvisionnement du marché sénégalais en moutons de sacrifice pour l'aid Al Kébir (Tabaski) et d'œuvrer à traduire sur le terrain les recommandations issues des réunions de Nouakchott, de Saint Louis et de Dakar sur le sujet. Lire page 5 Pour se prémunir contre Ebola, éviter le contact avec la personne atteinte et se laver régulièrement les mains au savon

2 SERVICE Page 2 ADRESSES UTILES Police Secours 17 Sapeurs Pompiers 18 Brigade Maritime Brigade Mixte SOMELEC (Dépannage) SNDE Météo LA CNSS AU SERVICE DES ASSURES SOCIAUX COMMISSARIATS DE POLICE Commissariat TZ Commissariat TZ Commissariat Ksar Commissariat Ksar Commissariat El Mina Commissariat El Mina Commissariat Sebkha Commissariat Sebkha Commissariat Riadh Commissariat Riadh Commissariat Arafat Commissariat Toujounine Commissariat Dar Naïm Commissariat Dar Naïm Commissariat Teyarett Commissariat Teyarett Commissariat Spécial Aéroport Commissariat Voie publique Direction Régionale de la Sûreté Police Judiciaire HÔPITAUX Centre Hospitalier National Hôpital Cheikh Zayed Polyclinique PMI Pilote PMI Ksar PMI Teyarett CLINIQUES - Assurez-vous que vos employeurs vous déclarent à la CNSS - Employeurs, s acquitter de ses cotisations est un acte civique - Assurez-vous que vos pièces d Etat Civil sont issues de l enrôlement actuel des populations Clinique Moulaty Clinique Najar Clinique Kissi Clinique Dr. Moumine Clinique Makam Ibrahim Clinique Ben Sina Clinique Tisram Clinique Clinique El Qods Clinique Adama Diani Clinique Bien-être Clinique Chiva BANQUES BAMIS BADH BMCI BNM BCI BACIM BANK CHINGUETTI BANK GBM SOCIETE GENERALE MAURITANIE ATTIJARIBANK MAURITANIE HÔTELS Novetel Tfeïla Mercure Halima Monotel Dar El Barka Park El Houda Oasis Amane Chinguetti Sabah Koumbi Saleh Casablanca El Khater AL KHAIMA - APPART-HOTELS COURRIER EXPRESS DHL EMS Saga Express Universal Express UPS HORIZONS QUOTIDIEN NATIONAL D INFORMATION ÉDITÉ PAR L AGENCE MAURITANIENNE D INFORMATION DIRECTEUR DE PUBLICATION : Yarba Ould Sghaïr DIRECTEUR DE LA RÉDACTION : RÉDACTEUR EN CHEF : SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE LA RÉDACTION : Mohamed Saleh Ould Chighaly Diagana Babouna Baba Dianfa Traoré RESPONSABLE DE LA MAQUETTE : Tijani Diop dit Sidi Mohamed MISE EN PAGES ET TIRAGE : IMPRIMERIE NATIONALE

3 ACTUALITE Page 3 Au conseil des ministres Création du comité de suivi de la mise en œuvre de la Stratégie Nationale de Lutte contre la Corruption Le conseil des ministres s'est réuni, Jeudi au Palais présidentiel à Nouakchott, sous la présidence de Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, Président de la République. Fixation du repos hebdomadaire et des horaires de travail ment Présidente de la Commission des Marchés à la Société ISKAN. Ministère du Commerce de l'industrie et du Tourisme Le conseil a examiné et adopté les projets de décrets suivants : -Projet de décret portant création du comité de suivi de la mise en œuvre de la Stratégie Nationale de Lutte contre la Corruption. Ce comité a pour mission d'assurer le suivi de la Stratégie Nationale de Lutte contre la Corruption et de prendre les décisions nécessaires à sa mise en œuvre. -Projet de décret fixant le repos hebdomadaire et les horaires de travail sur l'ensemble du territoire national. Ce projet de décret introduit une répartition du temps de travail se traduisant par quatre journées de 9h du Lundi au Jeudi de 8h a 17h, Vendredi de 8 à 12h et ce pour compter du 1er Octobre Projet de décret portant nomination du Président et des membres du Conseil d'administration du Marché au Poisson de Nouakchott (MPN). -Projet de décret portant nomination des membres du Conseil d'administration de l'agence Nationale de la Grande Muraille Verte (ANGMV). Le ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération a présenté une communication relative à la situation internationale. Le Ministre de l'intérieur et de la Décentralisation a présenté une communication relative à la situation intérieure. La Ministre du Commerce, de l'industrie et du Tourisme a présenté une communication sur les procédures d'importation. Cette communication porte sur la nécessité de réviser le régime des procédures relatives aux opérations commerciales d'importation et d'exportation en vigueur en vue de le mettre à jour et de permettre au département d'assurer un meilleur suivi du Commerce extérieur. Le ministre de l'environnement et du Développement Durable a présenté une communication relative à l'etat d'avancement des activités du programme spécial de protection de la Ville de Nouakchott et la préparation de la Campagne annuelle de Reboisement La communication dresse un bilan des réalisations du Programme spécial de Protection de la Ville de Nouakchott et du Programme de reboisement pour l'année Elle propose également un certain nombre de recommandations en vue d'améliorer l'efficacité de ces programmes. Enfin le conseil a pris les mesures individuelles suivantes : Présidence de la République Autorité de Régulation de la Zone Franche de Nouadhibou Port Autonome de Nouadhibou Directeur Général: Mohamed Ould Haïba Ministère de la Défense Nationale Etat Major Général des Armées Commandant Académie Navale: Capitaine de Vaisseau Ahmed Ould Saïd Benaouf Ministère des Affaires Economiques et du Développement Secrétaire Général: Mariem Mint El Mouvide, Titulaire d'un Doctorat précédemment Directrice de la Planification au Ministère du Développent Rural Ministère des Finances Secrétaire Général: Mohamed Ould Ahmed Aïde, précédemment Secrétaire Général Ministère du Développement Rural Ministère du Pétrole de l'energie et des Mines Etablissements Publics Société Mauritanienne d'electricité (SOMELEC) Directeur Général: Ahmed Salem Ould El Arbi, précédemment Directeur Général du Port Autonome de Nouadhibou. Ministère de la Santé Secrétaire Général: Ahmed Ould Sid'Amed Ould Dié, précédemment Secrétaire Général du Ministère des Affaires Economiques et du Développement Ministère de la Pêche et de l'economie Maritime Secrétaire Général: Khadjettou Mint Bouka, Tiulaire d'un MAESTER en management de projets, précédem- Etablissements Publics Société Mauritanienne d'import Export (SONIMEX) Directrice Générale Adjointe: Emmate Mint Ewnen, professeur Ministère de l'enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Secrétaire Général: El Khelil Ould El mehdi Ould Jeyed, précédemment Secrétaire Général du Ministère de la Culture Ministère de la Culture et de l'artisanat Secrétaire Général: Meyem Mint Dhehbi, Titulaire d'une Maîtrise, précédemment Directrice Adjointe à la Direction du Tourisme au Ministère Chargé du Commerce.1 Ministère de la Jeunesse et des Sports Secrétaire Général: Moctar Ould Handé, précédemment Secrétaire Général du Ministère de la Santé Ministère de l'agriculture Secrétaire Général: Maïziza Mint Kerbally précédemment Secrétaire Général au Ministère des Finances Ministère Délégué chargé des Affaires Maghrébines Africaines et des Mauritaniens de l'etranger Cabinet du Ministre Directrice de Cabinet: Aida Niang, Titulaire dune Maîtrise, précédemment directrice Adjointe à la Direction des Femmes et du Genre. Des membres du gouvernement commentent les résultats du conseil des ministres Les ministres des Affaires économiques et du Développement, M. Sidi Ould Tah, de la Fonction publique et de la Modernisation de l'administration, M. Seyidna Ali Ould Mohamed Khouna, des Affaires islamiques et de l'enseignement originel, M. Ahmed Ould Ahel Daoud et des Relations avec le Parlement et la Société civile porte parole du gouvernement, M. Izidbih Ould Mohamed Mahmoud, ont commenté, jeudi, les principaux décrets et communications pris en conseil des ministres. Intervenant en premier lieu, le ministre des Relations avec le Parlement et la Société civile porte parole du gouvernement, a expliqué que le conseil a pris un certain nombre de décrets et de communications dont le plus important est le décret qui porte sur la création d'un comité de suivi de la lutte contre la corruption et un autre fixant le repos hebdomadaire sur l'ensemble du territoire national. Il a répondu aux questions des journalistes sur ces deux sujets, soulignant l'importance et la pertinence du changement du repos hebdomadaire en harmonie avec les relations de la Mauritanie avec la communauté internationale. A son tour, le ministre des Affaires économiques et du Développement a souligné que la création d'un Comité de Lutte contre la Corruption et la gabegie a pour objet de veiller au suivi de la Stratégie nationale de lutte contre ce fléau et à prendre les mesures propres à son application. Il a noté, à cet égard, que le nouveau comité dispose de larges pouvoirs dans le domaine de ses compétences pour lui permettre de mener sa mission dans les meilleures conditions. Il a ajouté que ce comité se compose de 15 membres dont 5 représentent l'etat, les autres la société civile et le secteur privé.le ministre a répondu aux questions liées au domaine d'intervention du comité et son rôle dans la lutte contre la corruption et le détournement des deniers publics. De son côté, le ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l'administration a précisé que le décret fixant le repos hebdomadaire qui s'appliquera à compter du 1er octobre prochain, introduit une répartition du temps de travail se traduisant par quatre journées de 9h du lundi au jeudi de 8h a 17h, vendredi de 8h à 12h. Il s'agit, a-t-il dit, d'améliorer la compétitivité des directions et de nos acteurs économiques avec l'étranger. Le ministre des Affaires islamiques et de l'enseignement originel a levé l'équivoque sur la question du repos le vendredi soulignant que la Chariaa recommande le travail tous les jours en particulier le vendredi, citant Cheikh Khalil à cet effet. Il a ajouté que les compagnons du Prophète (Paix et Salut sur Lui) travaillaient le vendredi sans faire la différence avec les autres jours. Il a ajouté que vendredi férié fait rater à beaucoup de gens la prière du "Dhohr" car la plupart d'entre eux sortent de la ville. Le ministre a enfin répondu aux questions liées à la jurisprudence sur le sujet et sur le pèlerinage.

4 ACTUALITE Page 4 Nomination de chargés de mission et de conseillers au Premier ministère Le Premier ministère a rendu public jeudi un arrêté nommant plusieurs chargés de mission et de conseillers. Il s'agit de: - Mme Mariem Mint Tourad, chargée de mission; - Mohamed Mahmoud Ould Bouasriya, chargé de mission; - Ahmed Salem Ould Mayabe, conseiller chargé des Affaires islamiques; - Nagi Ould Khattry, conseiller chargé des Affaires sociales; - Mme Aima Mint Salem Vall, conseiller chargée des Affaires culturelles et de l'enseignement; - Cheikhna Ould Idoumou, conseiller chargé des Affaires administratives; - Mohamed Yahya Ould Ahmed El Ghadhi, conseiller chargé des ressources de l'énergie et du développement industriel; - Hasni Ould F'Ghih, conseiller chargé de la communication; - Isselmou Ould Meinouh, conseiller chargé de la justice, des droits de l'homme et de la société civile; - Ebaba Mint Abbad, conseiller chargée des infrastructures; - Ahmed Ould Khteira, conseiller aux Affaires politiques. Le ministre des Affaires étrangères achève une visite de travail en Pologne Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Ahmed Ould Teguedi, a achevé, jeudi, une visite de travail de trois jours en Pologne. Cette visite a permis de promouvoir la coopération bilatérale et d'encourager les opérateurs polonais à investir en Mauritanie afin d'instaurer un partenariat économique gagnant-gagnant entre les deux pays amis. Au cours de ses entretiens avec son homologue polonais, le vice-ministre de l'agriculture et les opérateurs économiques de ce pays, le ministre a examiné l'état des relations entre les deux pays ainsi que les moyens de les renforcer. Il a, dans ce cadre, présenté un exposé sur le potentiel agricole, halieutique et animal pour mettre en valeur la diversité et l'importance des domaines d'investissement dans notre pays. Le ministre a également plaidé pour l'instauration d'un partenariat d'affaires entre les secteurs privés des deux pays. De nombreux investisseurs polonais ont exprimé leur intérêt pour la Mauritanie ainsi que leur intention de s'y rendre, notamment, lors du Forum des affaires qui sera organisé en marge de la visite attendue en Mauritanie du Président du Sénat polonais. Notons que des opérateurs économiques mauritaniens ont assisté à cette rencontre durant laquelle le ministre a souligné l'importance de ce Forum, appelé à donner le coup d'envoi d' un solide partenariat économique entre les deux pays amis. La Mauritanie remet la présidence du Conseil économique et social au Yémen La Mauritanie a remis, jeudi, à la République du Yémen, la présidence du Conseil économique et social arabe au niveau ministériel lors de la 94è session de ce Conseil tenue au Caire. La délégation mauritanienne à cette session était dirigée par M. Brahim Ould M'Bareck Ould Mohamed El Moctar, ministre de l'agriculture. Il est à noter que notre pays a présidé les travaux de la 93ème session du Conseil économique et social arabe, où un certain nombre de décisions importantes ont été prises notamment sur la grande zone arabe de libre-échange, l'union douanière arabe ainsi que la préparation de la tenue des sommets arabes à venir pour le développement économique, comme moyen de promouvoir et de développer le fonctionnement de l'action commune arabe dans le domaine économique, social et de développement. La délégation mauritanienne comprenait, outre le ministre de l'agriculture, MM Weddadi Ould Sidi Haïba, ambassadeur, Représentant permanent de la Mauritanie auprès de la Ligue arabe et Mohamed Ould Ahmed Eny, conseiller auprès du ministre des Affaires économiques et de Développement. La Mauritanie préside les délégations arabes participantes au forum sino-arabe des ministres de la Culture Le Musée national chinois de Pékin a abrité, mercredi dernier, une réunion regroupant le ministre chinois de la Culture, les présidents des 19 délégations arabes participantes à la 3ème édition du Festival arabe et au Forum des ministres de la Culture sino-arabes, ainsi qu'un représentant de la ligue arabe. La ministre de la Culture et de l'artisanat, Mme Vatma Vall Mint Soueinae, qui présidait les délégations participantes, a dans un mot pour l'occasion, mis en exergue l'importance de cette manifestation qui constitue une importante opportunité pour ouvrir des nouvelles perspectives en vue d'accélérer le rythme de l'action culturelle exemplaire entre la Chine et les pays arabes. La ministre a indiqué que la Chine et les pays arabes sont liés par des relations spéciales et distingués, par des civilisations anciennes et croisées dans plusieurs domaines culturels et économiques. Elle a appelé à la renaissance de la ''Route de la Soie'', qui fut un espace d'échange culturel entre les peuples arabe et chinois. La ministre a précisé que les relations mauritano-chinoises, qui remontent à plus de 5 décennies, évoluent et se renforcent par la volonté mutuelle de développer la coopération dans l'ensemble des domaines de l'économie, de l'urbanisme, de la pêche et de la culture. De son côté, le ministre chinois de la Culture, Cai WU, a apprécié le développement progressif de l'échange culturel entre la Chine et la Mauritanie et estimé que le présent forum constituera un ajout qualitatif à la coopération entre les deux parties. Il a rappelé que le Président chinois, Xi Jinping, avait lancé en 2013 une initiative pour construire une ceinture économique, tout le long de la Route de Soie du 21ème siècle. Les ministres arabes de la Culture ont participé à la cérémonie d'ouverture de l'exposition d'anthologie des œuvres des artistes arabes, organisé dans le Musée chinois des beauxarts. En marge de cette cérémonie, un programme exécutif dans le domaine de la culture entre le ministère mauritanien de la Culture et son homologue chinois a été signé. Il est attendu que ce programme contribue à booster la coopération culturelle entre la Mauritanie et la Chine. Départ pour l'egypte du ministre de la Fonction publique Le ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l'administration, M. Seyidna Ali Ould Mohamed Khouna, a quitté Nouakchott vendredi matin pour le Caire. Dans la capitale égyptienne, le ministre prendra part aux travaux de la 41ème session de la Conférence Arabe du Travail qui se tiendra du 14 au 21 septembre Le ministre est accompagné, au cours de ce voyage, par M. Koréra Mohamed, secrétaire général du Conseil économique et social et M. Mohamed Ould Baba, chargé de mission au ministère de la Fonction publique et de la Modernisation de l'administration. Le ministre des Pêches reçoit une délégation de l'agence allemande de Coopération internationale Le ministre des Pêches et de l'economie maritime, M. Nany Ould Chrougha, a reçu en audience, jeudi, à Nouakchott, une délégation de l'agence allemande de Coopération internationale, dirigée par M. Bruno Shown, chargé des projets fondamentaux au département hydraulique en Afrique du Nord. La rencontre entre les deux parties a porté sur les relations de coopération entre la Mauritanie et l'agence, particulièrement dans le domaine des pêches et de l'économie maritime. La cérémonie s'est déroulée en présence du directeur de la Coopération et de la Programmation au ministère des Pêches et de l'economie maritime, du représentant de l'agence en Mauritanie et du conseiller à l'ambassade d Allemagne en Mauritanie. Le Gouverneur de la BCM reçoit le secrétaire général de l'union des Autorités arabes des Marchés financiers Le Gouverneur de la Banque Centrale de Mauritanie (BCM), M. Sid'Ahmed Ould Raïss, a reçu en audience, jeudi à Nouakchott, M. Jelil Dharif, secrétaire général de l'union des Autorités arabes des Marchés financiers. L'entrevue a porté sur l'importance des marchés financiers dans les économies contemporaines et le projet de la bourse de valeurs mobilières qui verra le jour bientôt en Mauritanie. L'audience s'est déroulée en présence du conseiller du Gouverneur, chargé de la promotion des marchés financiers et du chef section marchés financiers au Fonds monétaire arabe. Organisation à Aioun d'un atelier sur l'environnement La délégation régionale de l'environnement au Hodh El Gharbi a organisé, jeudi à Aioun, avec la collaboration du Programme allemand de gestion des ressources naturelles, un atelier de sensibilisation au profit de certains responsables administratifs et municipaux. La rencontre a porté sur les droits et les obligations en matière de gestion des ressources naturelles et d'exécution des stratégies et des politiques étatiques dans ce domaine. Le wali du Hodh El Gharbi M. Brahim Ould Moulaye Brahim, a souligné à cette occasion, l'importance de la sensibilisation des partenaires parmi les associations et les regroupements de la société civile sur l'importance de ces sujets. Il a appelé les participants à protéger l'environnement pour renforcer les orientations gouvernementales allant dans ce sens. Il a loué également la coopération entre la Mauritanie et l'allemagne dans tous les domaines de développement. Pour sa part, M. Chérif N'Diaye, délégué régional de l'environnement, a présenté un exposé sur la décentralisation de la gestion des ressources naturelles, l'état des lieux forestier et environnemental de la wilaya, les lois se rapportant à l'environnement, au plan du Programme national environnemental et au rôle des associations dans la gestion participative.

5 ACTUALITE Journée de concertation sur les services de l ANAPEJ Les travaux d'une journée de concertation sur les services de l'agence Nationale pour la Promotion de l'emploi des Jeunes (ANAPEJ), organisée par cette Agence avec la collaboration de l'union Nationale du Patronat de Mauritanie, ont débuté jeudi à Nouakchott. La journée visait à exposer les nouveaux services offerts par l'anapej aux acteurs dans le domaine de l'emploi pour en profiter en cas de besoin et pour réduire le chômage dans les rangs des jeunes. Dans son allocution d'ouverture, le secrétaire général du ministère de l'emploi, de la Formation Professionnelle et des Technologies de l'information et de la Communication, M. Baba Ould Boumeiss, a souligné l'importance de la rencontre en tant qu'opportunité de coordination entre les responsables du secteur de l'emploi et les acteurs économiques dans le pays pour accroitre les opportunités offertes dans ce domaine. Il a ajouté que le secteur de l'emploi a connu une évolution sans précédent en matière d'actualisation et de rationalisation des politiques, d'adaptation de la formation aux besoins du marché, de mobilisation des moyens nécessaires pour la mise en place de programmes capables de créer des emploi et de respect des principes de justice et de transparence pour l'accès à la vie active. M. Baba Ould Boumeiss a noté que la prochaine étape sera consacrée à la consolidation et l'amélioration des acquis en application de l ambitieux programme du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz. Le Directeur général de l'anapej, M. Beitoullah Ould Ahmed Lessoued, a indiqué que cette rencontre vise à consolider le partenariat entre les secteurs public et privé, qui constituent l'un des piliers des politiques et stratégies nationales visant à promouvoir l'emploi. Il a ajouté que la Mauritanie a déployé, ces dernières années, d énormes efforts dans le domaine de la promotion de l'emploi, en général, et l'emploi des jeunes, en particulier, efforts qui ont permis la création de dizaines de milliers d'emplois dans tous les secteurs économiques, réduisant ainsi le taux de chômage. Le secrétaire général de l'union Nationale du Patronat de Mauritanie, M. Seyid Ould Abdallahi, a noté que le traitement de la problématique du chômage nécessite la coordination des efforts de tous les acteurs nationaux concernés. Il a souligné, dans ce sens, que l'union restera toujours un partenaire des autorités nationales pour la création de plus d'opportunités d'emploi. Pour sa part, le chef du projet TEAM, M. Jelil Arc Sadighi, a loué l'organisation de cette journée devant contribuer aux efforts entrepris par son projet avec la collaboration de l'anapej dans le domaine de la promotion de l'emploi. Il a mis en exergue l'importance de la participation du patronat dans cette journée car il constitue un pilier fondamental pour l'emploi, a-til souligné. Clôture de la rencontre régionale sur la transhumance transfrontalière entre la Mauritanie et le Sénégal Les travaux sur la rencontre régionale sur la transhumance transfrontalière entre la Mauritanie et le Sénégal ont pris fin vendredi soir à Rosso. Les participants à cette réunion de deux jours ont rendu publiques des recommandations qui ont loué le climat dans lequel la rencontre s'est déroulée. Ils ont demandé de proroger la durée de la transhumance au 31 décembre de chaque année, d'examiner une demande supplémentaire autorisant quelque 7000 camelins mauritaniens à faire la transhumance en terre sénégalaise et proposé de nouveaux points de passage pour rapprocher les services des bénéficiaires. Ils ont également sollicité l'application, à la lettre, des dispositions des lois sur le vol de bétail au Sénégal et de faciliter les opérations d'approvisionnement du marché sénégalais en moutons de sacrifice pour l'aid Al Kebir (Tabaski) et d'œuvrer à traduire sur le terrain les recommandations issues des réunions de Nouakchott, de Saint Louis et de Dakar sur le sujet. Au cours de la réunion de clôture, le conseiller technique de la ministre de l'elevage, Dr. Lemrabott Ould Mekehallé, qui conduisait la délégation mauritanienne et M. Ibrahim Sakho, gouverneur de Saint Louis qui présidait la délégation sénégalaise, ont mis en exergue les dispositions pratiques prises par le wali du Trarza pour garantir le succès de cette rencontre. Ils ont passé en revue les étapes franchies dans le domaine de la transhumance à travers les frontières entre les deux pays et la place centrale qu'occupent les ressources animales en Mauritanie comme au Sénégal, en particulier au niveau des régions frontalières. Les deux parties ont exprimé leur disponibilité d'œuvrer ensemble à lever tous les obstacles qui se dressent sur la voie de la transhumance et de s'atteler à régler les problèmes posés en la matière. Par ailleurs, il a été décidé de tenir la prochaine rencontre du comité régional sur la transhumance transfrontalière en août 2015 en République du Sénégal. Il est à noter que les travaux de la rencontre des wali mauritaniens et gouverneurs sénégalais sur la transhumance transfrontalière ont débuté jeudi à Rosso. Organisée par le ministère de l'elevage avec la collaboration de la wilaya du Trarza, la rencontre de deux jours a réuni les walis du Gorgol, du Brakna, du Guidimagha et du Trarza et les gouverneurs de Saint Louis du Sénégal, de Matam et de Louga en plus des autorités administratives et sécuritaires frontalières mauritaniennes et sénégalaises. A l'ouverture de la réunion, M. Lemrabott Ould Mekehallé, conseiller technique du ministre de l'elevage, avait indiqué que le secteur des ressources animales bénéficie d'un intérêt particulier de la part du Président de la République, comme en témoigne l'extension de la couverture sanitaire du cheptel et de l'exécution de nombreux programmes et projets, notamment dans le domaine de l'amélioration des espèces bovines et du renforcement des infrastructures de base et de la production animale. M. Brahim Sakho, gouverneur de Saint Louis, avait auparavant loué les relations mauritano- sénégalaises concrétisant la vision des chefs d'etat des deux pays en vue de la création d'un espace favorable sur la base de la compréhension et de la complémentarité. Les travaux de la rencontre ont porté sur la traversée des frontières par le bétail, du règlement de la situation de la transhumance, de la fixation des points de passage entre les deux pays, de la nécessité de rendre disponibles les documents administratifs qui établissent l'identité des éleveurs mauritaniens, du renforcement de l'échange d'informations en rapport avec la transhumance et l'examen de son bilan pour l'année écoulée. La rencontre s'est déroulée en présence du directeur général de l'administration territoriale au ministère de l'intérieur et de la Décentralisation. Page 5 Pluviométrie: Précipitations sur plusieurs endroits du territoire national Des quantités de pluie ont été enregistrées dans plusieurs villes et localités du pays, selon les sources du Réseau Administratif de Commandement (RAC) relevant du ministère de l'intérieur et de la Décentralisation: Hodh Charghi - Adel Bagrou...26 mm - Bassiknou...03 mm - Djigueni mm - Fassala Nere mm Hodh El Gharbi - Bedr mm - Galeb Nema...25 mm - Kobéni mm - Medbougou...13 mm - Ould Agueila...30 mm - Sava...04 mm - Talli...12 mm - Tamchakett mm - Touil mm - El Voulaniya mm - Lenoir mm - Ain Farba.. 02 mm Assaba: - Barkéol mm - Boumdeid mm - El Ghaïra mm - Gueler mm - Hamoud mm - Hsey Tine mm - Kamour mm - Kankossa mm - Legleib mm - Nouamleine mm - Rag mm - Zire mm Brakna: - Aghchorguitt mm - Aleg mm - Amreichatt mm - Azrag Ainou mm - Bagodine mm - Boughbeira mm - Bouhdida mm - Cham mm - Chegar mm - Dar El Barka mm - Elb Jmel mm - Leboudou mm - Lemden mm - Lerdi mm - M'Bagne mm - M'Bahe mm - M'Botou mm - Magatalehjar mm - Male mm - Niabina mm - Sangrava mm - Toueidima mm - Zeghlane mm Trarza : -Ajouer mm -Awleigatt mm -Bir Selam mm -Jidr El Mohguène mm -Levreiwa mm -Lexeiba mm -Mederdra mm -N'Djago mm -N'Doumri mm -Naïm mm -Nebaguiya mm -Ouad Naga mm -R Kiz mm -Rosso mm -Tenghadej mm -Tiguint mm Adrar : -N'Terguint mm Tagant : -Achram mm -Ghoudia mm -Khoumess Teidoum...15 mm -Moudjéria mm -Oudeiye Mejbour..18 mm Guidimakha : -Ajar mm -Amag Boubacar mm -Leweinatt mm -Ould Yengé mm Nouakchott: -Arafat mm -Dar Naïm mm -El Mina mm -Ksar... 06,7mm -Sebkha mm -Tevragh Zeina mm -Teyaret mm -Toujounine mm -Wilaya mm

6 ESPACE-AFRIQUE Page 6 L Agroalimentaire en Afrique : mythe ou réalité? En incluant les îles, l Afrique est un continent de km² et peuplé d'un milliard d'habitants. Elle est bordée par la Mer Méditerranée au nord, le canal de Suez et la Mer Rouge au nord-est, l Océan Indien au sud-est et l Océan Atlantique à l ouest. L Afrique comprend 49 pays en incluant Madagascar, et 54 en incluant tous les archipels. Au cours du mandat du Président de la République Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz à la tête de l Union Africaine nous revisitons, dans une série d articles, les performances et le potentiel des différents Etats membres de l Union et ses organisations affiliées. Dans l article ci-après, c est de l agroalimentaire dont il est question. L agroalimentaire en Afrique pèse actuellement quelque 313 milliards de dollars et emploie 70% des personnes les plus pauvres du continent. Un triplement de la valeur du secteur créerait des emplois supplémentaires et sortirait de la pauvreté des millions de personnes ; les exportations agricoles africaines domineraient le marché mondial et les agriculteurs du continent qui ont subi de plein fouet les conditions économiques difficiles de ces dernières années pourraient envisager un nouveau départ grâce à leur compétitivité nouvelle sur le marché mondial. Ce scénario n est pas qu un rêve : dans un rapport publié en mars 2013, la Banque mondiale assure qu une telle perspective pourrait bientôt devenir réalité. Intitulé Growing Africa: Unlocking the Potential of Agribusiness, le document assure que l agroalimentaire africain a les moyens de peser mille milliards de dollars d ici Une fois encore, un rapport met en lumière les perspectives positives pour le développement socio-économique du continent, en dépit de l instabilité politique que connaissent certains pays. Pas de solution miracle Il n existe cependant pas de solution miracle capable de transformer un secteur agroalimentaire de 313 milliards en un mastodonte de mille milliards de dollars. La Banque adresse d ailleurs cette mise en garde : chacun devra travailler dur, qu il s agisse des gouvernements, du secteur privé ou des agriculteurs eux-mêmes. Mais les facteurs sont en place : ressources en eau inexploitées et l Afrique possède 50% du total des terres fertiles encore inutilisées au monde; soit pas moins de 450 millions d hectares. Le continent n utilise que 2% de ses ressources hydriques renouvelables alors que la moyenne mondiale oscille autour de 5%. L intérêt grandissant du secteur privé pour l agroalimentaire en Afrique n est que la cerise sur cet énorme gâteau. Signalons aussi qu alors que les prix des matières premières agricoles augmentent du fait d une demande croissante, l offre est en baisse, à cause, notamment de la dégradation des sols et des pénuries en eau de plusieurs pays, surtout en Asie. «La pénurie en eau est devenue une contrainte majeure du fait de la concurrence des secteurs industriels et d une population urbaine en pleine expansion», souligne la Banque mondiale. L Afrique, justement, dispose à la fois d eau et de terres en abondance. Mais le rapport reste mesuré et souligne aussi les obstacles récurrents au développement. Il affirme ainsi que pour «créer emplois, revenus et ressources alimentaires nécessaires aux besoins de la population africaine des vingt prochaines années, les industries agroalimentaires devront subir des transformations structurelles». Le rapport préconise une politique d investissement concertée pour l ensemble du secteur. Besoins d infrastructure Le rapport indique que, «l infrastructure est une priorité pour relancer l agroalimentaire à travers toute l Afrique. Il s agit de miser avant tout sur l irrigation, les routes et les marchés». Ainsi en 2010, l Afrique a, selon la Banque mondiale, produit kilogrammes de céréales par hectare de terre arable, la moitié seulement de la production pour une surface comparable en Asie du Sud. L une des principales raisons de cette faiblesse de la production réside dans le faible taux de terres arables irriguées dans les pays africains 3% en moyenne, contre 47% dans les pays asiatiques selon l Organisation des Nations unies pour l alimentation et l agriculture (FAO). À ceci s ajoute le manque de routes rurales qui limite l accès aux marchés des agriculteurs et accroît les pertes après les récoltes. S il ne fait pas de doute que le secteur agroalimentaire doit être mieux financé, le rapport note que des améliorations ont récemment vu le jour. Mais en dépit de ces progrès, l agriculture africaine ne s appuie sur l investissement direct étranger qu à hauteur de 7%, contre 78% pour l Asie. Le rapport souligne toutefois l aspect positif de l augmentation du prix des matières premières agricoles qui ne peut qu attiser «l appétit des investisseurs, des sociétés de capital d investissement, des fonds d investissement et des fonds souverains pour l agriculture et les marchés de l agroalimentaire». L Afrique, qui dispose pourtant de la moitié des terres fertiles de la planète, ne dépense pas moins de 33 milliards de dollars par an en importations de produits alimentaires, dont 3,5 milliards de dollars uniquement pour le riz. Au début des années 90, l Afrique subsaharienne était exportatrice nette de produits agricoles. Actuellement, le niveau des importations de ces produits est de 30% supérieur à celui des exportations. Le rapport s étonne aussi que des pays en développement comme le Brésil, l Indonésie et la Thaïlande exportent plus de produits alimentaires que l ensemble des pays d Afrique subsaharienne. «La valeur des exportations agricoles de la Thaïlande (qui compte 66 millions d habitants) dépasse désormais celle de l Afrique subsaharienne (800 millions d habitants).» Une situation qui pour Gaiv Tata, directeur du secteur Finances et Développement du secteur privé au sein de la Région Afrique de la Banque mondiale n est pas durable. Les dirigeants africains face au défi agricole Les dirigeants africains sont déjà convaincus de la nécessité d investir dans le secteur agricole mais ils doivent le démontrer concrètement. En 2003, le Nouveau Partenariat pour le développement de l Afrique (NEPAD), qui est le cadre choisi par l Union africaine pour soutenir le développement socio-économique du continent, a lancé le Programme détaillé de développement de l agriculture africaine (PDDAA) dans le but «d éliminer la faim et de réduire la pauvreté grâce à l agriculture». En signant le PDDAA, la plupart des dirigeants africains ont accepté d investir 10% au moins de leurs budgets dans l agriculture et d augmenter la productivité agricole d au moins 6%. Grâce au PDDAA l Afrique avance, lentement certes, mais sûrement. Des pays comme le Ghana, l Éthiopie et le Rwanda, entre autres, ont placé l agriculture en tête de leurs priorités de développement. Martin Bwalya, qui dirige le PDDAA, souligne que ces dernières années, 9 à 15 pays ont réalisé des investissements significatifs dans l agriculture, et 23 autres ont finalisé leurs plans d investissement. Le rapport du NEPAD pour l année 2011 indique toutefois que seuls 8 des 54 pays du continent ont atteint l objectif affiché de consacrer 10% de leur budget à l agriculture, et que seulement 10 de ces pays ont dépassé l objectif de 6% de croissance de la productivité. Pour fêter les 10 ans du PDDAA, les dirigeants africains ont déclaré 2014 «l Année de l agriculture et de la sécurité alimentaire en Afrique». Pour de nombreux analystes, ces gains, même modestes, sont tout à fait louables. Ils «tranchent avec les stratégies nationales que beaucoup considèrent comme inadaptées, voire inexistantes et qui jusqu à présent gouvernaient le secteur agricole en Afrique», explique la Brookings Institution, un groupe de réflexion basé à Washington. Hennie van der Merwe, PDG de l entreprise de développement agroalimentaire Agribusiness Development Corporation, ajoute que «l Afrique traverse actuellement une phase de renaissance agroalimentaire; le secteur est redevenu une priorité, non seulement en vue d améliorer l autosuffisance alimentaire, mais aussi de créer des emplois et de favoriser l activité économique, notamment dans les zones rurales.» La Banque mondiale est du même avis : «La Côte d Ivoire, le Kenya et le Zimbabwe ont tous été des exportateurs importants en termes de parts de marché... Au niveau du continent, l Éthiopie, le Ghana, le Mozambique et la Zambie ont à leur tour réussi, du fait de l augmentation significative, depuis 1991, de leurs parts de marché à l exportation.» Le problème foncier L autre problème persistant est celui de l acquisition et de la distribution des terres. Les agriculteurs de nombreux pays ne peuvent développer leurs exploitations du fait d un accès limité à la terre et parce que dans certains cas les lois empêchent les femmes de devenir propriétaires. Le rapport de la Banque mondiale juge essentiel d assurer une distribution juste et équitable des terres, et souligne que les modes de distribution ne doivent en aucun cas menacer le mode de vie de la population. Les achats de terres doivent aussi respecter certaines règles éthiques; les taux du marché pratiqués par les acheteurs doivent par exemple être fixés après consultation des communautés locales. En 2011, l Oakland Institute, un groupe de réflexion basé aux États- Unis, a révélé des transactions foncières déloyales au Sud-Soudan, aux termes desquelles des compagnies étrangères achetaient des terres fertiles et pour la plupart non cultivées. Ces transactions ne précisaient ni le régime foncier, ni le mode d exploitation future de ces terres. Pire encore, elles menaçaient les droits fonciers des communautés rurales. «Les pouvoirs publics et les investisseurs doivent mettre en place des clauses de sauvegarde environnementales et sociales afin de réduire les risques liés aux investissements dans l agroalimentaire, en particulier ceux qui découlent de l acquisition de terres à grande échelle», note cet institut. Le rôle décisif des TIC Dans un rapport intitulé ICT for Agriculture in Africa, la Banque mondiale énumère les moyens par lesquels les TIC peuvent contribuer au développement de l agriculture, et ce à chaque stade clé du processus : avant-culture (semences et sélection des terres, accès au crédit, etc.); culture et récolte (préparation des terres, gestion de l eau, engrais, lutte contre les nuisibles...); après-récolte (commercialisation, transport, emballage, transformation des aliments, etc.). La Banque explique que les systèmes d information géographique (SIG) peuvent par exemple servir à planifier l utilisation des sols et faciliter l adaptation au changement climatique. Au Kenya et au Zimbabwe, les agriculteurs se servent déjà des TIC qui leur ont permis d améliorer leurs revenus et leur productivité. En 2012, le Zimbabwéen Charles Dhewa, spécialiste des télécommunications, a lancé emkambo, un marché virtuel intégré où agriculteurs et acheteurs partagent des connaissances et effectuent leurs transactions par l intermédiaire de téléphones portables. (Afrique Renouveau, décembre 2013). Les agriculteurs utilisent les TIC de manière très diverse : pour partager de nouvelles formes de production et de commercialisation au Burkina Faso; pour le traçage des mangues par le biais d un système mettant en relation les exploitants maliens et leurs consommateurs; pour rassembler des informations importantes en vue d améliorer la gouvernance forestière au Libéria; ou pour offrir des service SMS au Syndicat national des agriculteurs en Zambie. Pour la Banque mondiale, la réussite de telles initiatives s explique en partie par «la réelle valeur ajoutée de l utilisation des TIC, soit parce qu elles entraînent des économies substantielles, soit parce qu elles permettent d augmenter les revenus ou la rentabilité.» L importance des TIC pour l agriculture est telle qu en 2011, le Fonds international de développement agricole (FIDA), l agence des Nations Unies chargée d éradiquer la pauvreté dans les pays en développement, a lancé un appel à l innovation politique dans le but de faire des technologies le principal moteur de l agriculture africaine. Il reste du chemin à faire mais plusieurs atouts sont déjà là. Le Ghana et le Sénégal s emploient à développer leur production rizicole; les 88 millions d hectares de terres disponibles en Zambie se prêteraient bien à la culture du maïs; de leur côté la Côte d Ivoire, le Ghana et le Nigéria se partagent déjà à eux trois les deux tiers de la production mondiale de cacao. Sidi Moustapha Ould BELLALI Source : Kingsley Ighobor and Aissata Haidara bellalisidi@yahoo.fr

7 MAGAZINE Page 7 Sante : L incontinence urinaire : qu est-ce que c est? L incontinence urinaire donne lieu à des pertes incontrôlables et involontaires d urine, qui se produisent le jour ou la nuit. Il ne s agit pas d une maladie, mais d un symptôme le plus souvent lié à un trouble physique. L incontinence urinaire est plus fréquente avec l âge. Cependant, il n y a pas que les personnes âgées qui en souffrent. En Amérique du Nord, on estime qu elle touche globalement 1 femme sur 4 (et à partir de 60 ans, au moins 1 sur 3). Les hommes sont 2 fois moins nombreux à en être atteints, pour des raisons d anatomie. Encore trop peu de gens osent en parler à leur médecin. Or, dans la plupart des cas, il existe des solutions pour régler le problème ou pour le contrôler avec succès, même si l incontinence dure depuis des mois ou même quelques années. Causes Voici les principales causes d incontinence urinaire. Elles varient selon le type d incontinence. Un affaiblissement des muscles du plancher pelvien (périnée). Ces muscles sont situés au bas du bassin. Ils servent notamment à maintenir la vessie en place et à contrôler l évacuation des selles et de l urine. Des grossesses et des accouchements vaginaux peuvent les affaiblir. La musculature peut aussi se relâcher avec le vieillissement et la perte de forme physique. La «descente de vessie». Elle ne touche que les femmes et survient lorsque les tissus situés entre la vessie et le vagin sont si faibles ou étirés qu'ils ne peuvent plus soutenir le poids de la vessie. Elle devient alors plus difficile à contrôler. Le renforcement musculaire suffit souvent à remettre la vessie en place, mais parfois une chirurgie est nécessaire. Un trouble de la prostate ou une chirurgie à la prostate. Un problème de santé chronique qui atteint le contrôle des muscles de la vessie par l intermédiaire des nerfs. Pour cette raison, même si l on veut se retenir d uriner, il est difficile ou impossible d y arriver. La neuropathie liée au diabète, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques ou une lésion de la moelle épinière peuvent avoir cet effet. La prise de certains médicaments (par exemple, des antidépresseurs, des décongestionnants nasaux, des relaxants musculaires). Une difficulté à marcher, empêchant de se rendre aux toilettes à temps. De la constipation avec fécalome (des selles compressées et durcies dans le rectum). Personnes à risque et facteurs de risque Les personnes à risque Les femmes courent 2 fois plus de risque de souffrir d incontinence que les hommes en raison de leurs caractéristiques anatomiques, de la grossesse, de l accouchement et de la ménopause. Les personnes âgées risquent de devenir graduellement incontinentes, car les muscles du plancher pelvien perdent de leur tonus. À cela s ajoute le fait qu elles sont de plus en plus exposées à des troubles neurologiques. Les personnes souffrant de diabète. Les facteurs de risque La sédentarité. L obésité. Le surplus de poids entraîne une pression constante sur la vessie et sur les muscles du plancher pelvien, ce qui les affaiblit. Le tabagisme. Une toux chronique peut causer de l incontinence urinaire ou encore l aggraver. L anxiété Mesures préventives de base Garder ou retrouver un poids santé Cela permet d éviter la pression constante que le surplus de poids exerce sur la vessie et les muscles qui l entourent. Pour connaître votre indice de masse corporelle, faites notre test : Indice de masse corporelle (IMC) et tour de taille. Renforcer les muscles du plancher pelvien Les femmes enceintes ont intérêt à pratiquer les exercices de Kegel pour prévenir l affaiblissement des muscles du plancher pelvien. À la suite de l accouchement, celles qui ont des problèmes urinaires devraient aussi faire ces exercices et, si nécessaire, entreprendre une rééducation du plancher pelvien (aussi appelé périnée) chez un physiothérapeute ou un kinésithérapeute spécialisé. Prévenir et soigner les troubles de la prostate La prostatite (inflammation de la prostate), l hypertrophie bénigne de la prostate ou le cancer de la prostate peuvent occasionner de l incontinence. On peut prévenir la prostatite en utilisant le préservatif (ou condom) et en soignant rapidement toute infection urinaire ou génitale. Dès que l on note des difficultés à uriner (par exemple, une difficulté à amorcer la miction ou une réduction du jet urinaire) ou, au contraire, des besoins urgents et fréquents d uriner (par exemple, se lever la nuit pour uriner), il faut se faire examiner afin de vérifier si on souffre d une hypertrophie bénigne de la prostate. On peut recourir à divers traitements (médicaments et plantes). Dans le cas du cancer de la prostate, l incontinence peut résulter directement de la maladie. Cependant, le plus souvent, c est un effet indésirable des traitements, comme la chirurgie ou la radiothérapie. Ne pas fumer Une toux chronique peut entraîner une incontinence occasionnelle ou aggraver une incontinence existante liée à d autres causes. Prévenir la constipation Tant chez l homme que chez la femme, la constipation peut causer de l incontinence. Le rectum étant situé derrière la vessie, des selles bloquées risquent d exercer une pression sur la vessie, donc de provoquer des pertes d urine. Surveiller sa médication Des médicaments appartenant aux catégories suivantes peuvent, selon le cas, causer ou aggraver l incontinence : les médicaments contre l hypertension, les antidépresseurs, les médicaments pour soigner le cœur et le rhume, les relaxants musculaires, les somnifères. En discuter avec son médecin. Mesures pour prévenir l aggravationboire adéquatement Réduire la quantité de liquides que l on consomme n élimine pas l incontinence. Il est important de boire suffisamment, sinon l urine devient très concentrée. Cela risque d irriter la vessie et de déclencher une incontinence par impériosité (incontinence d urgence). Voici quelques conseils. Éviter de boire beaucoup en peu de temps. En cas d incontinence nocturne, réduire sa consommation de liquide le soir. Ne pas trop boire dans des circonstances risquées (en dehors de chez soi, loin des toilettes, etc.). Attention aux aliments irritants Cette mesure concerne les gens atteints d incontinence urinaire d urgence. Réduire la consommation d agrumes et de jus d agrumes (orange, pamplemousse, tangerine, par exemple), de chocolat, de boissons contenant des substituts de sucre (boissons «diète»), de tomates et de mets épicés, qui figurent parmi les produits irritants pour la vessie. Ils stimulent donc sa contraction. Réduire ou éviter la consommation de café et d autres boissons contenant de la caféine (thé, cola), car ils irritent la vessie. Prévenir les infections urinaires Une infection urinaire chez une personne atteinte d incontinence urinaire d urgence ou sur le point de l être peut provoquer des pertes d urine. Mieux vaut veiller à prévenir les infections urinaires ou à les traiter rapidement. Types d incontinence urinaire Incontinence urinaire à l effort. Il s agit de la forme d incontinence urinaire la plus fréquente chez les femmes. C est la fuite d une petite quantité d urine en raison d une pression accrue dans l abdomen, donc sur la vessie, causée par un effort physique, un accès de toux, un éternuement, un éclat de rire, etc. Les muscles du plancher pelvien doivent être affaiblis pour que ces situations provoquent des fuites d urine. La fuite n est pas nécessairement précédée d une envie d uriner. Chez les hommes, ce type d incontinence peut apparaître à la suite d une ablation partielle ou totale de la prostate (prostatectomie) si la chirurgie atteint accidentellement le sphincter situé au bas de la vessie et le rend moins efficace. Incontinence urinaire d urgence. Cette incontinence représente le quart des incontinences féminines, mais elle peut toucher l enfant et l homme âgé. Elle est aussi appelée «vessie hyperactive» ou «vessie non inhibée». Le simple fait de marcher, de penser à uriner (en déverrouillant la porte de la maison, par exemple) ou encore d entendre de l eau couler peut déclencher des pertes d urine parfois importantes. Les personnes atteintes urinent donc fréquemment. Ce type d incontinence résulte souvent d un problème de santé chronique qui se répercute sur le contrôle nerveux de la vessie. Normalement, le centre de contrôle de la miction, situé dans le lobe frontal du cerveau, permet de se retenir d uriner même si l envie est présente. Il envoie des signaux aux muscles de la vessie afin d empêcher les contractions. Les personnes chez lesquelles cette région du cerveau est affectée (par exemple, à la suite d un accident vasculaire cérébral, de la maladie d Alzheimer ou de la maladie de Parkinson) ne contrôlent plus bien leurs envies. Les pertes d urine peuvent aussi être déclenchées par les situations suivantes : la consommation de café, une infection urinaire, etc. Incontinence urinaire mixte. Cette forme d incontinence urinaire associe aux moins 2 formes de ce trouble. La combinaison la plus fréquente est celle de l incontinence à l effort et de l incontinence d urgence. Elle représente environ le quart des incontinences urinaires féminines. Incontinence urinaire par regorgement (ou par trop-plein). Elle résulte d un trop-plein d urine dans la vessie. Celle-ci peut alors laisser s échapper de l urine de façon incontrôlée. Ce trop-plein peut s expliquer par un obstacle à la vidange de la vessie, par exemple, en conséquence d un trouble de la prostate, la principale cause de ce type d incontinence chez l homme. Il peut aussi être dû à une incapacité de la vessie à se vider en raison d une faiblesse du muscle de la vessie, qui a alors du mal à se contracter (par exemple, en raison du diabète ou d une maladie neurologique). Incontinence fonctionnelle. Certains troubles physiques ou mentaux peuvent empêcher une personne de se rendre à temps aux toilettes. Cette incontinence est fréquente chez les personnes âgées en raison de multiples problèmes de mobilité, comme l arthrose de la hanche ou du genou, une fracture de la hanche, des séquelles d un accident vasculaire cérébral, etc. Incontinence totale. Il s agit d une incontinence caractérisée par un écoulement continu d urine, jour et nuit. Les personnes touchées n ont aucun contrôle volontaire de leur vessie, qui n est plus capable de jouer son rôle de réservoir d urine. L incontinence urinaire totale est le plus souvent la conséquence de lésions physiques survenant, en particulier, en raison d un accident ou d une maladie qui atteint la moelle épinière, ou par destruction totale ou partielle du sphincter qui contrôle la sortie de l urine, à la suite d une chirurgie de la prostate, par exemple. Conséquences et complications possibles En raison du tabou qui règne autour de l incontinence urinaire, beaucoup de personnes hésitent à consulter. Elles se privent donc de l aide et des traitements offerts. Pourtant, lorsqu elle n est pas traitée, l incontinence peut limiter considérablement les activités physiques et perturber la vie sociale, sexuelle et professionnelle. L incontinence urinaire chronique accroît le risque d infections urinaires à répétition. Elle peut aussi causer des rougeurs de la peau qui entoure les parties génitales (allant jusqu à des infections et des ulcères), étant donné qu elle crée de l humidité. L opinion de notre médecin L incontinence urinaire est un sujet tabou. Les personnes qui en souffrent n en parlent pas, même à leur médecin. Il s agit pourtant d un problème très fréquent, presque toujours traitable, qui n est pas l apanage des personnes âgées (on peut en souffrir à tout âge) et qui n est pas non plus inéluctable avec le vieillissement. Il n y a donc aucune raison de vivre avec de l incontinence et d accepter ce fait comme faisant partie de l évolution normale de la vie. La plupart du temps, les causes de l incontinence sont multiples chez une même personne. Si vous avez des symptômes, je vous suggère fortement de consulter votre médecin pour obtenir un diagnostic précis. Dans certains cas, ce dernier pourra aussi faire appel à un spécialiste en urologie ou en gynécologie pour approfondir l analyse ou procéder à une chirurgie. Dans la grande majorité des situations, on peut guérir ou du moins améliorer grandement l état. Sidi Moustapha Ould BELLALI bellalisidi@yahoo.fr

8 ENVIRONNEMENT Page 8 Eau potable : La demande mondiale, de plus en plus, cruciale Recouvrant 71% de la surface du globe, l eau est une source vitale pour chacun d entre nous (la proportion d eau douce ne représente que 2,8%). Malgré cette évidence, l accès à l eau potable n est pas une réalité quotidienne pour des milliards d êtres humains. Alors que certains en manquent désespérément, il ne se passe justement pas un jour sans qu elle ne soit polluée et gaspillée. Pour remédier à cette situation alarmante, des efforts constants doivent être réalisés. Dans ce cadre, l Assemblée générale de l ONU a adopté une résolution dans laquelle elle déclare que le droit à l eau potable, salubre et propre est «un droit fondamental, essentiel au plein exercice du droit à la vie et de tous les droits de l homme». Des organisations humanitaires partagent cette vision et mènent des projets d accès à l eau, d assainissement et d hygiène, convaincues qu un simple traitement de l eau et la mise en place d installations sanitaires de base peuvent en effet sauver des vies, avec un accompagnement adéquat aux changements de comportements. Il est une réalité que le monde change : à cause des changements climatiques, selon les structures de consommation actuelles, On a estimé, depuis 2001, qu entre trois et cinq milliards de personnes pour lesquelles, l accès à l eau sera problématique (en disposant de moins de m3 par personne et par an), explique le Groupe intergouvernemental d experts sur l évolution du climat de l ONU (GIEC). Mais ce concept de rareté de l eau renvoie à celui de son partage, à l intérieur d une même société comme entre États. Ainsi, la difficulté de l accès à l eau, à l eau potable devrait-on souligner, est un élément crucial car elle est, rapporte l Organisation Mondiale pour la Santé (OMS), l une des causes de nombreuses maladies et de mortalité dans le monde : en 2003, environ 5 millions de décès étaient imputables à une eau non potable qui transmet choléra, typhoïde et diarrhées notamment. Entre 1995 et 2000, les problèmes de santé et la mortalité associés à la qualité de l eau ont crû quatre fois plus vite que la population ; une situation aggravée par la désertification, la dégradation des sols et des sources d approvisionnement en eau, les mouvements de population et l urbanisation massive. 20 % de la population mondiale n a pas accès à une eau potable Selon le Rapport mondial des Nations Unies sur l eau de 2006, 1,1 milliard de personnes, soit 20 % de la population mondiale, n a pas accès à une eau potable, et 40 % ne disposent pas de services d assainissement. Le scandale de l absence d accès à de l eau potable et à des services de collecte des eaux usées pour une part si importante de l humanité, souligné à l envi par le PNUD et les ONG lors des Forums mondiaux de l eau notamment, va revenir hanter les gouvernants tout au long du XXIè siècle, tandis que les solutions globales continueront de se heurter, non pas tant, en général, à la question de la disponibilité de l eau, mais bien au financement des réseaux d aqueducs et d égouts. En effet, si la question de l eau des villes se pose parfois en des termes géopolitiques selon une dialectique d opposition entre ville et campagne, comme à Las Vegas (Nevada), Los Angeles, Mexico ou Beijing, c est bien plus souvent une question d argent qui est à la base de la question de l accès à l eau potable : c est faute des milliards que coûtent ces réseaux que les «porteurs d eau» continuent de vendre leur eau fort cher, une difficulté incontournable que les mirages de la privatisation des services de l eau n ont bien évidemment pas su résoudre, mirages qui ne devraient pas pour autant servir de prétexte à l exclusion dogmatique de solutions pragmatiques, ad hoc, en coopération avec le secteur privé. L eau pour nourrir l humanité La population mondiale, qui atteint aujourd hui plus de six milliards d habitants, a triplé en cent ans, mais, dans le même temps, les prélèvements globaux en eau ont été multipliés par six. La démographie n explique donc pas à elle seule l accroissement de la consommation en eau : la consommation par habitant a crû bien plus vite que la population, particulièrement chez les Occidentaux. Avec le niveau de vie, les besoins augmentent en effet : pour s en convaincre, il suffit de comparer le mode de vie d un citadin occidental avec celui d un éleveur du Sahel. Alimentation, hygiène de base puis confort de la vie moderne (lave-linge, lave-vaisselle), mais aussi loisirs, jardins, piscines, automobile rutilante, expliquent cet accroissement de la demande avec le niveau de vie, ce qui n est pas sans poser de graves problèmes dans certaines régions d Inde, de Thaïlande, par exemple, avec l émergence d une classe moyenne nombreuse et légitimement soucieuse de son confort récemment acquis. Mais la consommation domestique n est pas seule en cause : en effet, la question de la gestion et du partage de l eau ne se résume pas à l accès à l eau potable, pour dramatique que puisse devenir sa rareté. L accroissement démographique et les modifications du niveau de vie induisent de très fortes pressions sur le secteur agricole. Il faut produire plus pour nourrir l humanité ; il faut aussi produire plus en quantités industrielles pour satisfaire les besoins d une société plus riche qui consomme des produits qui réclament plus d intrants pour assurer leur production. En Asie, il fallait, en 1989, environ 925 m3/personne/an pour assurer la production du régime alimentaire moyen ; on monte à en Océanie, à en Europe occidentale, à en Amérique du Nord : plus de céréales gourmandes en eau, plus de fruits, plus de viande, en particulier du bœuf, expliquent cette intensification de la demande en eau pour nourrir des populations plus riches. L agriculture demande une grande quantité d eau L avènement de l agriculture de rente a bouleversé la structure des prélèvements en eau pour l agriculture : l agriculteur a cédé la place à un exploitant dont l objectif est la rentabilisation maximale de son investissement. À une préoccupation exprimée en termes de quantités produites, s est substituée une logique financière dont l impact sur les quantités demandées est énorme, car l exploitant cherche à augmenter sa production et à éliminer tout aléa climatique en ayant recours à une irrigation autrefois inconnue sous des latitudes tempérées, comme dans l Ouest français, au Danemark, en Norvège, au Québec. En réponse à ces pressions du marché, la production agricole a augmenté considérablement depuis le début des années La Révolution verte a permis alors à la production alimentaire de surpasser la croissance de la population mondiale. L utilisation de nouvelles semences, de fertilisants, de pesticides, et surtout le recours systématique à l irrigation ont permis de réaliser cet exploit. Ainsi, la croissance annuelle de la production céréalière dans le monde, depuis 1961, a été en moyenne de 3 %. Le rendement mondial moyen est passé de 1,06 tonne par hectare en 1950 à 2,7 tonnes par hectare en 1997, soit une augmentation de 155 %. Mais il semble que l on assiste à un ralentissement des hausses de productivité, le maïs parvenant mieux à conserver des hausses significatives de ses rendements. Conséquence: la production céréalière mondiale par personne, loin de poursuivre sa croissance, a entamé un déclin inquiétant, passant de 250 kg en 1950, à 376 kg en 1985, mais à 363,5 kg en 1990 puis 345,4 kg en Huit cent quarante millions de personnes souffrent actuellement de la faim dans le monde et l Organisation pour l alimentation et l agriculture (FAO) estime que la production alimentaire mondiale devra être multipliée par deux d ici l an 2050 pour satisfaire les besoins d une population grandissante. La production alimentaire devra même être triplée dans les pays en développement et quintuplée en Afrique et au Moyen-Orient, deux régions où la rareté des ressources en eau douce constitue déjà une sérieuse contrainte à la production agricole. (A SUIVRE) Baba D. Traoré dianfatraor@yahoo.fr

9 ANNONCES Page 9 Ministère de l'habitat, de l'urbanisme et de l'aménagement du Territoire Société Nationale ISKAN Adresse: 28 Immeuble Brakna, Avenue de l'indépendence - NOUAKCHOTT- Téléphone AVIS D'ATTRIBUTION PROVISOIRE APPEL D'OFFRES N : 003/CPMP-ISKAN sn/2014 DENOMINATION DU MARCHE: Lot 1 : Construction de dix huit (18) logements type F4 à Teyarett (Ain Taleh) NOMBRE D'OFFRES REÇUES: Vingt six (26) DATE D'OUVERTURE DES OFFRES : 20 Juillet 2014 NOM ET ADRESSE DE L'A 'ITRIBUT AIRE: Groupements d'entreprises 5MBE/Ets CA BP 3287 Nouakchott -Téléphone: MONTANT DE L'OFFRE RETENUE PROVISOIREMENT: Deux Cents Treize Millions Neuf Cents Seize Mille Sept Cents Quatre Vingt Quinze Ouguiyas toutes taxes comprises ( MRO TTC) DELAI D'EXECUTION: Quatorze (14) mois La publication du présent avis ouvre le délai de recours gracieux auprès de la PRMP, en vertu des articles 41 et 42 du Code des Marchés Publics, puis d'un recours au Comité de Règlement des Différents en matière de passation des marchés publics, placé auprès de l'autorité de régulation des Marchés Publics, en vertu de l'article 53 dudit Code. L'autorité contractante doit procéder à la publication de cet avis immédiatement après l'approbation de l'attribution. Le Président par intérim de la Commission de Passation des Marchés de la Société Nationale ISKAN Mohmed Brahim Oudeika Nouakchott, le 11 Septembre 2014 Ministère de l'habitat, de l'urbanisme et de l'aménagement du Territoire Société Nationale ISKAN Adresse: 28 Immeuble Brakna, Avenue de l'indépendence - NOUAKCHOTT- Téléphone AVIS D'ATTRIBUTION PROVISOIRE APPEL D'OFFRES N : 003/CPMP-ISKAN sn/2014 DENOMINATION DU MARCHE: Lot 2 : Construction de dix huit (18) logements type F4 à Teyarett (Ain Taleh) NOMBRE D'OFFRES REÇUES: Vingt six (26) DATE D'OUVERTURE DES OFFRES: 20 Juillet 2014 NOM ET ADRESSE DE L'ATTRIBUTAIRE: SNGC/RA Lot 705/D/TZ/Nord BP 5735 Nouakchott - Téléphone: MONTANT DE L'OFFRE RETENUE PROVISOIREMENT: Deux Cents Seize Millions Soixante Six Mille Cinq Cents Trente Sept Ouguiyas toutes taxes comprises ( MRO TTC) DELAI D'EXECUTION: Quatorze (14) mois La publication du présent avis ouvre le délai de recours gracieux auprès de la PRMP, en vertu des articles 41 et 42 du Code des Marchés Publics, puis d'un recours au Comité de Règlement des Différents en matière de passation des marchés publics, placé auprès de l'autorité de régulation des Marchés Publics, en vertu de l'article 53 dudit Code. L'autorité contractante doit procéder à la publication de cet avis immédiatement après l'approbation de l'attribution. Nouakchott, le 11 Septembre 2014 Le Président par intérim de la Commission de Passation des Marchés de la Société Nationale ISKAN Mohmed Brahim Oudeika Ministère de l'habitat,de l'urbanisme et de l'aménagement du Territoire Société Nationale ISKAN Adresse: 28 Immeuble Brakna, Avenue de l'indépendence - NOUAKCHOTT- Téléphone AVIS D'ATTRIBUTION PROVISOIRE APPEL D'OFFRES N : 003/CPMP-ISKAN sn/2014 DENOMINA non DU MARCHE : Lot 3 : Construction de dix huit (18) logements type F4 à Teyarett (Ain Taleh) NOMBRE D'OFFRES REÇUES: Vingt sept (27) DATE D'OUVERTURE DES OFFRES: 20 Juillet 2014 NOM ET ADRESSE DE L'ATIRIBUTAIRE: Ets Mohamed Ould Mohamed Cheikh BP 6380 Nouakchott - Téléphone: MONTANT DE L'OFFRE RETENUE PROVISOIREMENT: Deux Cents Dix Millions Six Cents Onze Mille Cent Trente Six Ouguiyas toutes taxes comprises ( MRO TTC) DELAI D'EXECUTION: Quatorze (14) mois La publication du présent avis ouvre le délai de recours gracieux auprès de la PRMP, en vertu des articles 41 et 42 du Code des Marchés Publics, puis d'un recours au Comité de Règlement des Différents en matière de passation des marchés publics, placé auprès de l'autorité de régulation des Marchés Publics, en vertu de l'article 53 dudit Code. L'autorité contractante doit procéder à la publication de cet avis immédiatement après l'approbation de l'attribution. Le Président par intérim de la Commission de Passation des Marchés de la Société Nationale ISKAN Mohmed Brahim Oudeika Nouakchott, le 11 Septembre 2014 Ministère de l'habitat,de l'urbanisme et de l'aménagement du Territoire Société Nationale ISKAN Adresse: 28 Immeuble Brakna, Avenue de l'indépendence - NOUAKCHOTT- Téléphone AVIS D'ATTRIBUTION PROVISOIRE APPEL D'OFFRES N : 003/CPMP-ISKAN sn/2014 DENOMINATION DU MARCHE : Lot 4 : Construction de dix huit (18) logements type F4 à Teyarett (Ain Taleh) NOMBRE D'OFFRES REÇUES: Vingt Sept (27) DATE D'OUVERTURE DES OFFRES: 20 Juillet 2014 NOM ET ADRESSE DE L'ATTRIBUTAIRE : HBSTP BP 778 Nouakchott - Téléphone: MONTANT DE L'OFFRE RETENUE PROVISOIREMENT : Deux Cents Vingt Cinq Millions Deux Cents Quatre Vingt Douze Mille Cinq Cents Soixante Dix Neuf Ouguiyas toutes taxes comprises ( MROTTC) DELAI D'EXECUTION: Quatorze (14) mois La publication du présent avis ouvre le délai de recours gracieux auprès de la PRMP, en vertu des articles 41 et 42 du Code des Marchés Publics, puis d'un recours au Comité de Règlement des Différents en matière de passation des marchés publics, placé auprès de l'autorité de régulation des Marchés Publics, en vertu de l'article 53 dudit Code. L'autorité contractante doit procéder à la publication de cet avis immédiatement après l'approbation de l'attribution. Le Président par intérim de la Commission de Passation des Marchés de la Société Nationale ISKAN Mohmed Brahim Oudeika Nouakchott, le 11 Septembre 2014

10 ANNONCES Page 10 Ministère de l'habitat, de l'urbanisme et de l'aménagement du Territoire Société Nationale ISKAN Adresse: 28 Immeuble Brakna, Avenue de l'indépendence - NOUAKCHOTT- Téléphone AVIS D'ATTRIBUTION PROVISOIRE APPEL D'OFFRES N : 003/CPMP-ISKAN sn/2014 DENOMINATlON DU MARCHE : Lot 5 : Construction de Vingt huit (28) logements type F3 à Teyarett (Ain Taleh) NOMBRE D'OFFRES REÇUES: Vingt Sept (27) DATE D'OUVERTURE DES OFFRES: 20 Juillet 2014 NOM ET ADRESSE DE L'ATTRIBUTAIRE: TBC Téléphone: /Nouakchott Mauritanie MONTANT DE L'OFFRE RETENUE PROVISOIREMENT: Deux Cents Vingt Millions Cinq Cents Quatre Vingt Mille Sept Cents et Une Ouguiyas toutes taxes comprises ( MRO TTC) DELAI D'EXECUTlON : Quatorze (14) mois La publication du présent avis ouvre le délai de recours gracieux auprès de la PRMP, en vertu des articles 41 et 42 du Code des Marchés Publics, puis d'un recours au Comité de Règlement des Différents en matière de passation des marchés publics, placé auprès de l'autorité de régulation des Marchés Publics, en vertu de l'article 53 dudit Code. L'autorité contractante doit procéder à la publication de cet avis immédiatement après l'approbation de l'attribution. Nouakchott, le 11 Septembre 2014 Le Président par intérim de la Commission de Passation des Marchés de la Société Nationale ISKAN Mohmed Brahim Oudeika MINISTERE DE L'AGRICULTURE (MA) DIRECTION DE L'AMENAGEMENT RURAL (DAR) Avis d'appel à Manifestation d'intérêt N 06/CPMP/SR/DAR/MA/ La Direction de l'aménagement Rural à travers le Ministère de l'agriculture va mobiliser sur ses ressources budgétaires pour financer le coût de la mission de contrôle des travaux de curage, de recalibrage et la construction de deux ponts sur le marigot de MBleil au Trarza en un seul lot pour effectuer les paiements prévus au titre des prestations de Maîtrise d'œuvre dans le cadre des Programmes de la DAR (PPMP 2014) : 2. Les bureaux de consultants qui désirent participer à la présente sollicitation, seuls ou en Groupement, devront fournir les informations indiquant qu'ils sont qualifiés pour exécuter la prestation. Le consultant devra être un bureau de consultants. Les candidatures seront évaluées suivant la grille d analyse -dessous: 1.Expériences générales 40 points/100 2.Expériences spécifiques 60 points/ Le bureau doit pouvoir mettre à disposition pour la mission les profils du personnel clé nécessaire à la mission: Un Ingénieur GR barragiste, un Ingénieur génie civil et un topographe. Les curriculum vitae ne sont pas demandés à cette étape du processus. 4.Une liste des candidats présentant au mieux les aptitudes requises pour exécuter les prestations sera établie par l'autorité contractante. Les candidats présélectionnés seront par la suite invités à présenter leurs propositions techniques et financières et un candidat sera sélectionné selon la méthode qualité/coût. 5.Les soumissionnaires peuvent obtenir des informations supplémentaires auprès du Ministère du Développement Rural ou de la Direction de l'aménagement Rural Nouakchott, Mauritanie, Tél: , , ou la CPMP/SR, Tél: , ou consulter le dossier de la MI au site manifestations d'intérêt doivent être adressées, en quatre (4) exemplaires dont un (1) original marqué comme tel et trois (3) copies, A Monsieur le Président de la Commission de Passation des Marchés Publics du Secteur Rural. Avenue Moctar 0/ Daddah, 2ème étage Immeuble MOUNA La date et heure limites de remise des offres sont les suivantes : 30/09/2014 à 10 H TU. Avec la mention: «Pli à n'ouvrir qu'en séance d'ouverture», Et dans le coin gauche: «Manifestation d'intérêt pour la mission de contrôle des travaux de curage, de recalibrage et la construction de deux ponts sur le marigot de MBleil au Trarza en un seul lot». 6.Les plis seront ouverts, en séance publique, par la-commission de Passation des Marchés Publics du Secteur Rural, en présence des représentants des soumissionnaires qui souhaitent assister à l'ouverture des plis le 30/09/2014 à 10 H TU. Le Secrétaire Général du Ministère de l'agriculture Mohamed OULD AHMED AIDA Communiqué La Société Nationale ISKAN informe son aimable clientèle qu elle organise une vente aux enchères publique portant sur 141 lots à usage commercial situés le long de l avenue de la résistance à Nouakchott. La 1ere séance se déroulera le mercredi 17 septembre 2014 à partir de 10H00 au siège de la société selon la procédure consacrée et qui est disponible au niveau des services de la direction commerciale tel : Les clients intéressés doivent verser un montant de UM au compte de la société N ouvert auprès de l agence principale de la BPM, comme droit d accès à la salle de vente. Etant entendu que ce montant sera déductible du prix de cession ou remboursé aux concernés. AVIS d Appel d'offres International REPUBLIQUE ISLAMIQUE DE MAURITANIE Honneur - raternité - Justice MI- NISTÈRE DES AFFAIRES ÉCONOMIQUES ET DU DÉVELOPPEMENT Ordonnateur national du FED Dossier d'appel d'offres International Fournitures, installations de stations synoptiques automatiques et d'un système d'informations météorologiques à l'office National de la Météorologie - Boutilimit, Bir Moghrein, Nema, Atar, Nouakchott- République Islamique de Mauritanie Référence de publication: EuropeAid/135719/IH/SUP/MR. UNION EUROPEENNE FONDS EUROPÉEN DE DÉVELOPPEMENT L'Ordonnateur national du FED en Mauritanie envisage d'attribuer un marché de la fourniture, la livraison et l'installation et de la formation des utilisateurs de: Deux (2) stations synoptiques automatiques d'observations météorologiques pour les aéroports de Boutilimit et de Bir Moghrein, composées de capteurs, d'une unité d'acquisition, de traitement, de stockage des données, d'un organe de communication (satellite, GSM data, GPRS et Internet etc.. ), de logiciel d'exploitations (aéronautique et environnementale, traitement et base de données), d'un système d'alimentation (panneau solaire, batterie, etc.), d'infrastructures d'installation (mat support des capteurs, support de la station, câbles, etc.) Un (1) système d'informations météorologiques comprenant: trois systèmes de télécommunication météorologique pour Nouakchott, Atar et Néma, une station de prévisionniste pour Nouakchott, deux stations de briefing des pilotes pour Néma et Atar, onduleurs d'alimentation de tout le système de télécommunication. Le dossier d'appel d'offres peut être obtenu à l'adresse suivante: Cellule d'appui à l'ordonnateur National du FED BP 3006 (Ancien Ministère des Affaires Économiques et du Développement en face de l'agence BMCI Université) Nouakchott - MAURITANIE Téléphone: (00) / Télécopie: (00) caon@economie.gov.mr Le dossier d'appel d'offres peut être téléchargé aux sites suivants: le site d'europeaid : et sur le site de la Cellule d'appui à l'ordonnateur National du FED: La date limite de remise des offres est fixée au 11 novembre 2014 à 10 heures - heure de la Mauritanie (Heure GMT). Des informations supplémentaires éventuelles ou des éclaircissements/questions au dossier d'appel d'offres seront publiés sur le site d'europeaid : et sur le site de la Cellule d'appui à l'ordonnateur National du FED:

11 HORIZONS N 6342 DU DIMANCHE 14 SEPTEMBRE 2014 ANNONCES Page 11 Autorité de Régulation Conseil National de Régulation Avis d'appel d'offres pour la délégation du service public d'électricité Ministère de la Fonction Publique, du Travail et de la Modernisation de l'administration Caisse Nationale de Sécurité Sociale COMMUNIQUE L'Autorité de Régulation (ARE) envisage de sélectionner un opérateur auquel sera attribuée une licence de délégation du service public d électricité dans la localité de Rachid. Le financement de ces infrastructures est réalisé par l'etat mauritanien. L'appel d'offres est ouvert à toute personne morale de droit privé, établie en Mauritanie. Les informations complémentaires peuvent être obtenues au siège de l'are à l'adresse suivante: 428, Rue Ksar BP 4908 Nouakchott Tél Fax Les dossiers peuvent être retirés sur présentation d'un avis de versement d'une somme forfaitaire non remboursable de UM en faveur de l'are, auprès de l'une des banques suivantes: BCM, GBM, BADH, BCI, BAMIS, BMCI, BNM, BACIM. Les offres devront parvenir à Monsieur le Président du Conseil National de Régulation au plus tard le mercredi 08 Octobre 2014 à 12 heures TU. Une réunion publique d'information sera organisée au siège de l'are le lundi 22 Septembre 2014 à 12 heures TU. La présence des soumissionnaires ou de leurs représentants est vivement recommandée. L'ouverture des plis aura lieu, en séance publique, dans les locaux de l'are, le mercredi 8 Octobre 2014 à 12 heures 15 minutes TU. L'ARE se réserve le droit de ne donner aucune suite au présent appel d'offres. Le Président du Conseil National de Régulation Mohamed Yahya OULD HORMA Le Directeur Général de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale invite les employeurs transporteurs à procéder à l'immatriculation des chauffeurs de leurs véhicules avant le 2 Octobre Passé ce délai, les véhicules conduits par des chauffeurs non immatriculés à la CNSS seront immobilisés par les autorités compétentes à partir de la date précitée conformément à la réglementation en vigueur notamment la loi n du 3 février 1967 instituant un régime de sécurité sociale et ses textes d'application. Le Directeur Général Mohamed Ali OULD DEDEW Autorité de Régulation Avis d'appel à Manifestation d'intérêt Les populations de la ville de Zouerate sont actuellement alimentées en électricité par la Société Nationale Industrielle et Minière (SNIM) à travers un réseau de distribution connecté aux centrales électriques de cette entreprise. Or, le code de l'électricité exige, pour un opérateur donné qui envisage de produire, de distribuer ou de vendre de l'électricité d'avoir à cet effet une Licence conformément aux articles 7 à 11 de la loi du 25 janvier 2001 portant code de l'électricité. Pour que le service public d'électricité soit conforme au cadre légal notamment la loi précitée, l'autorité de Régulation envisage recruter un ou deux opérateurs qui seront en mesure d'assurer les missions listées ciaprès. Les deux missions constituent un même lot indivisible. Toutefois, deux candidats peuvent s'associer dans le cadre de convention ou contrat de vente pour assurer chacun une des deux missions. Mission 1 : disponibiliser une capacité électrique de 9 MW (en pointe) pour alimenter la population de la ville de Zouerate en électricité; la consommation de la ville en 2013 est de MWh avec une augmentation annuelle estimée à 5% ; Mission 2 : assurer la distribution et la vente d'énergie électrique au niveau de la ville de Zouerate. Les opérateurs intéressés par ces missions doivent remplir les conditions suivantes: - Pour la mission 1 : l'opérateur intéressé doit: * Pouvoir garantir, dans un délai ne dépassant pas 6 mois, la capacité de production d'énergie électrique demandée et ce durant toute la période de la Licence (25 ans au moins) ; * Avoir une assise financière qui lui permet d'assurer la continuité du service pour une durée minimale d'une année. - Pour la mission 2 : l'opérateur intéressé doit avoir: * des références avérées dans le domaine de la distribution et la vente de l'électricité; * Une assise financière qui lui permet d'assurer la continuité du service pour une durée minimale d'une année. *Une convention avec la SNIM pour l'utilisation de l'actuel réseau de distribution pour la durée de la Licence, ou une solution alternative à réaliser dans un délai ne dépassant pas 6 mois. Le dossier de candidature doit comporter tous les éléments permettant à l'are de vérifier que chaque candidat remplit les conditions qui le concernent citées plus haut. Les manifestations d'intérêt doivent être déposées au plus tard le mercredi 8 octobre 2014 à 12H TU au secrétariat du Président du Conseil National de Régulation, BP : 4908, 14 Ilot Z Nouakchott ou envoyées par Fax Fax: ou par à l'adresse suivante: dee@are.mr Les demandes d'éclaircissements sont à adresser à l' susmentionné. Le Président du Conseil National de Régulation Mohamed Yahya OULD HORMA SOCIETE MAURITANIENNE DE L ELECTRICITE Avis aux clients Après avoir constaté que certaines personnes indélicates, se faisant passer pour des agents de la Somelec, parviennent à soutirer des montants à des clients en contrepartie de prétendus services, sous la menace de l interruption du courant ou tout autre prétexte, la Somelec met en garde son aimable clientèle contre ce genre d escroqueries. Elle leur rappelle qu elle ne reconnaît que les paiements effectués auprès de ses guichets et contre un reçu en bonne et due forme. En outre, les abonnés doivent s enquérir de l identité des agents qui se présentent à eux en s assurant qu ils utilisent des véhicules de la SOMELEC, qu ils sont munis d un titre d intervention et dotés d un badge SOMELEC portant leurs nom et matricule, éléments d identification dont ils peuvent prendre note à toute fin utile. Par ailleurs, les abonnés qui font appel aux services de prestataires agissant de façon irrégulière pour intervenir sur le réseau de distribution d électricité, outre les risques qu ils prennent ainsi pour leur sécurité et celle des autres, s exposent aux dispositions pénales relatives à la complicité et à la connivence avec les auteurs d usurpation de fonction. La Direction Générale

12 SP RTS Sidi - Brahim dit Dieng Association Hilal Sport Club L ambassade de la RFA fait un don de matériel L Ambassade de la République Fédérale d Allemagne en Mauritanie a fait don d un matériel de 15 ballons de football au profit du club de football, Hilal Sport Club qui évolue en 2ème division et prépare la nouvelle saison sportive Ce matériel a été donné aux jeunes de l Académie de football par M Markus l attaché des affaires Culturelles de l Ambassade de la République Fédérale d Allemagne au Complexe Sportif de Sebkha. Selon le professeur et entraineur Balla Ould Salem, également président de l association sportive sera utilisé pour la formation des jeunes de l Académie et en même temps l entrainement de l équipe senior. Le professeur Balla Ould Salem a tenu à préciser que l Ambassade d Allemagne Fédérale en Mauritanie a toujours contribué au développent de la jeunesse et des sports dans notre pays. Elle a toujours fait profiter la Mauritanie de la formation des entraineurs de haut niveau en Allemagne (à Leipzig ou à Hennef) et ce en plus de la distribution de matériel et équipements sportifs aux Associations sportives. Après avoir constaté un manque total d équipements et de matériel au niveau de l académie, le chargé des affaires culturelles a promis une aide en matériel composée de plots, d assiettes, de cerceaux, de piquets, et des équipements. «Nous remercions vivement l Ambassade d Allemagne Fédérale en Mauritanie pour l aide constante apportée au football en Mauritanie, en général et la contribution apportée au profit de notre Association, en particulier. Cette aide sportive apportée à la jeunesse de notre pays restera très bien appréciée par Etat, le peuple et la jeunesse, en particulier» a dit le professeur Balla Ould Salem. Sidy-Brahim Boghé : Fin du Festival des 72 heures Culturelles et Sportives Le Festival des 72 heures Culturelles et Sportives de Boghé Escale, organisé par l Association de Boghé Escale pour le Développement sous le thème «partager la Santé et Le Savoir», le parrainé par un notable de la ville, M Dia Alpha, a pris fin vendredi dernier. Plusieurs personnalités de la ville de Boghé ont été présentes à ce Festival des 72 heures dont la cérémonie d ouverture s est déroulée en présence du Hakem, du Maire de Boghé. Un match de génie en herbe qui a opposé les collégiens de Boghé Dow à ceux de Boghé Escale, une conférence sur les problèmes de l école mauritanienne animée par deux éminents professeurs et une pièce théâtrale sur la déperdition scolaire jouée par un groupe locale ont été au menu de la manifestation culturelle. Un tournoi de football qui a vu la participation l équipe de Boghé Dow, Thienel, de Thialgou et celle de Boghé Escale. L équipe FC Escale remporte la coupe face à celle de Thialgou Ce qui a plus marqué les esprits de Boghé et environnants et qui a donné un cachet particulier à ce Festival dont le message est avant tout un message de solidarité envers les démunis est la caravane médicale avec la participation du personnel soignant de l APSC (Association Pour la Santé Communautaire) mais aussi des fils de Boghé Escale venus pour consulter et distribuer des médicaments gratuits aux patients. Football /Tunisie George Leekens fait l'unanimité Le sélectionneur belge de l'équipe de Tunisie a vite réussi son opération charme à coup de deux victoires aux éliminatoires de la Coupe d'afrique des nations Orange, le 6 septembre à Monastir face au Botswana (2-1), et le 10 septembre au stade de La Défense aérienne du Caire dans le derby contre l'egypte (1-0). Réaliste et au triomphe modeste, il avoue pourtant ne retenir du match de la capitale égyptienne que les trois points. "On ne peut qu'être fier de ce groupe, de la qualité de son jeu et de sa rage de vaincre. Mais on ne doit pas pour autant tomber dans l'excès de confiance. Le groupe se trouve en phase de construction. Il possède une belle marge de progression s'il reste sérieux et humble dans la victoire", insiste-t-il. Son assistant, Ghazi Gherairi insiste sur la réussite tactique. "Nous avons prévu que les Egyptiens allaient attaquer d'entrée, car ils tenaient à effacer la débâcle de Dakar. Nous avons décidé de les prendre d'entrée de jeu dans leur zone, en profitant des grands boulevards qu'ils allaient laisser. Pourtant, notre bloc défensif a été parfois trop bas, nous exposant à certains risques. Ces trois points vont nous permettre de travailler dans la sérénité et la confiance", analyse-t-il. Les observateurs saluent le courage du staff technique qui a osé et pris les risques nécessaires au Caire. En rupture avec d'anciens managers techniques qui cadenassaient à l'extérieur, Leekens a joué franchement le jeu, cherchant carrément la victoire. Résultat: une domination dans les trois quarts de la partie, et un score qui aurait pu être plus large encore. Même si le staff technique appelle à la retenue et martèle que rien n'est joué, le chemin étant bien long, il n'en est pas moins vrai que la Tunisie a fait un pas important vers la qualification. Le 11 octobre, elle ira à Dakar, défier le Sénégal, pleine de confiance et de certitudes. Celles que représente un ensemble équilibré et qui peut compter sur d'immenses ressources offensives. Le 10 septembre au Caire étaient en effet alignés côte à côte Wahbi Khazri, Yassine Chikhaoui, Youssef Msakni et Fakhreddine Ben Youssef. Un quatuor de solistes qui n'a peutêtre pas son équivalent sur le continent. Et dire qu'il manquait à l'appel Issam Jemaâ et Sami Allagui en attaque, et Aymen Abdennour et Yassine Mikari en défense. Eliminatoires CAN 2015 Page 12 Les Fennecs réalisent l essentiel L'Algérie s'est imposée difficilement mercredi soir à Blida face au Mali (1-0) lors de la deuxième journée des éliminatoires de la CAN Orange 2015 (Groupe B). Pour le premier match du technicien français Christian Gourcuff à domicile, les Fennecs ont souffert avant de l'emporter grâce à un but du défenseur de Trabzonspor Carl Medjani à la 82e minute. Le défenseur reprenait d'une tête plongeante décroisée un coup franc du milieu Ryad Mahrez, le joueur le plus en vue de l'algérie. Les Maliens, en infériorité numérique depuis la 68e minute avec l'expulsion de Mamoutou N'diaye suite à un second carton jaune provoqué par une violente charge contre Sofiane Feghouli, ont empêché leurs adversaires de déployer leur jeu offensif. Pressing sur le porteur du ballon et marquage strict sur les coups de pied arrêtés se sont révélés comme un schéma efficace face à une équipe qui a affiché d'emblée ses intentions offensives. Dès la 2e minute, Mahrez ratait sa première occasion. A la 10e minute, c'est un coup franc de son coéquipier Saphir Taïder qui percutait directement le poteau gauche du gardien Malien. Le ballon s'écrasait encore sur le poteau après être revenu sur la tête de Feghouli. Réplique du Mali à la 34e. Mais Moussa Yatabaré manquait le cadre à la suite d'un joli centre detamboura. Seydou Keita et Sambou Yatabaré orchestraient les contre-attaques des Aigles. Possession et bonne circulation du ballon, les Maliens géraient bien leur match sur le plan tactique, mais l absence de Cheikh Diabaté, buteur lors du précédent match face au Malawi aura constitué un handicap. Finalement les Maliens, en infériorité numérique depuis la 68e minute avec l'expulsion de N'Diaye suite à un second carton jaune provoqué par une violente charge contre Feghouli, ont tenté de tenir le nul jusqu au bout mais Medjani, à huit minutes du coup de sifflet final, mettra un terme à leur espoir permettant aux Fennecs de remporter un deuxième succès. L Algérie a ainsi fait le plein de points, six, devant le Malawi et le Mali, trois chacun. L Ethiopie n en compte aucun. Dans un mois l Algérie rendra visite au Malawi et le Mali à l Ethiopie, puis les deux rencontres seront inversées cinq jours plus tard. Réaction de Sofiane Feghouli (attaquant algérien) «Ce fut un match vraiment difficile devant une équipe très solide. Nous avons vraiment eu du mal à mettre notre but. Le plus important, c était la victoire et les trois points. On aurait pu prendre l avantage plus tôt car nous avons eu beaucoup d occasions. Ce que je retiens, c est qu on a su rester calmes. Les joueurs étaient tous confiants». «L expulsion du joueur malien nous a facilité la tâche» «On a bien profité de cette supériorité numérique pour jouer encore plus à l aise. On s est donné à fond jusqu au dernier souffle. Heureusement, on a été récompensé «On peut aborder le reste des éliminatoires à l aise» «Après les deux victoires acquises respectivement face à l Ethiopie et au Mali, on peut désormais aborder à l aise les autres rencontres. Seulement, on doit être entreprenants car nous aurons besoin d autres victoires pour nous qualifier». Les Diables rouges du Congo Le Congo a enregistré sa deuxième victoire en autant de matches, mercredi au Complexe sportif de Pointe- Noire, grâce à des réalisations de Doré Ferebory et Prince Oniangué au début et en toute fin du match sur des coups de pieds arrêtés. Les Diables Rouges absents de la phase finale de la CAN depuis quatorze ans peuvent commencer à rêver. Les Soudanais peuvent nourrir des regrets car ils n ont pas démérité. Ils se sont mis dans une situation très inconfortable en raison d une entame de match peu rassurante. Ils ont encaissé d entrée de jeu un premier but dès la 4e minute sur la première offensive congolaise menée par Thievy Bifouma qui tirait le premier corner de la rencontre. Son centre au premier poteau trouvait la tête de Doré Férobory (1-0). Cueillis à froid, les Soudanais n ont pas eu dès lors d autre choix que d attaquer pour refaire leur handicap. Ils ont pressé la défense congolaise mais le dernier geste n était pas là. Ragi Abdalah, par exemple se montrait à son avantage à la 8e minute, s échappant sur le côté et délivrait un centre à Nazar Hamed dont la frappe était contrée grâce à un bon retour de Bissiki Magnokélé. Les Crocodiles du Nil évitaient le pire à la 21e minute. Césair Gandzé lance en profondeur Thievy Bifouma dans la surface. L attaquant congolais glisse le ballon entre le gardien et le défenseur mais le ballon n attrape pas le cadre. Dans la minute qui suivit Bissiki mettait Franci Litsingi dans la position qu il affectionne mais sa tête ne menaçait pas vraiment le gardien soudanais Elmoez Mahgoub. L entame de la seconde partie voyait les Diables Rouges entamer un véritable forcing. Coup sur coup (51e, 53e, 54e), Prince Oniangué, Thievy Bifouma et Doré Férobory se heurtaient à un Maghoub intraitable. Boukama- Kaya lui aussi manquait de réussite à la 80e minute. Bien lancé dans la surface par Douniama, il ne parvenait pas à redresser le ballon. C est alors que les Soudanais se donnaient à fond pour chercher le point du nul que Prince Oniangué délivrait le Congo sur une tête, en toute fin du match, consécutive à un coup franc exécuté par Ladislas Douniama. Dans le temps additionnel, Mohamed Tahir mettait Chansel Massa en difficulté sur une lourde frappe. Le gardien congolais s en sortait bien grâce à une claquette. Les hommes de Claude Le Roy sont bien partis pour écrire une nouvelle histoire du football congolais. Encore faudra-t-il confirmer le 10 octobre face à l Afrique du sud pour éclairer l avenir.

Incontinence urinaire : trop souvent taboue

Incontinence urinaire : trop souvent taboue Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :

Plus en détail

Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles

Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles République Islamique de Mauritanie Honneur Fraternité - Justice Secrétariat d Etat auprès du Premier Ministre chargé des Technologies Nouvelles Communication de Madame la Secrétaire d Etat Fatimetou Mint

Plus en détail

Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce

Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce Deuxième Examen global de l Aide pour le commerce Activités de la Banque africaine de développement 2008-2009 Groupe de la Banque Africaine de Développement GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT

Plus en détail

A. DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT

A. DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIERE D'AIDES D'ETAT Tableau de correspondance entre l'ancienne et la nouvelle numérotation des articles suite à l'entrée

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail

PJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni

PJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen

Plus en détail

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE 9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,

Plus en détail

CONVENTION PORTANT CREATION DE L'AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE

CONVENTION PORTANT CREATION DE L'AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE CONVENTION PORTANT CREATION DE L'AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE 1,._.1... _._~--~------ / Les Etats Africains Sahélo- sahariens soussignés, Burkina Faso; La République de Djibouti; L'Etat

Plus en détail

L incontinence au féminin : des conseils pour chacune

L incontinence au féminin : des conseils pour chacune L incontinence au féminin : des conseils pour chacune L incontinence, problème de femme O n parle d incontinence dès que l on laisse involontairement passer quelques gouttes d urine. Cela peut arriver

Plus en détail

Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie

Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à

Plus en détail

DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL

DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL Durban, Afrique du Sud 6-7 Septembre 2012 Thème «Amélioration de l infrastructure institutionnelle et humaine

Plus en détail

KEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile

KEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile L incontinence : une maladie très fréquente D après le Pr François Haab, chirurgien urologue, coordinateur du centre d explorations périnéales de l hôpital Tenon (Paris) Des solutions adaptées à chaque

Plus en détail

Republique Islamic de Mauritanie Honneur Fraternite Justice

Republique Islamic de Mauritanie Honneur Fraternite Justice Republique Islamic de Mauritanie Honneur Fraternite Justice Republique Islamique de Mauritanie Plan définitif de Mise en Œuvre Février 2015 TABLE DES MATIÈRES Partie 1: Informations d ordre géneral 3 Partie

Plus en détail

COOPÉRATION EUROPÉENNE EN MATIÈRE DE SANTÉ - VALEUR AJOUTEE POUR

COOPÉRATION EUROPÉENNE EN MATIÈRE DE SANTÉ - VALEUR AJOUTEE POUR Regio Basiliensis et ARFE COOPÉRATION EUROPÉENNE EN MATIÈRE DE SANTÉ - VALEUR AJOUTEE POUR LES POPULATIONS, L ECONOMIE ET LES REGIONS II. Forum ARFE du 22 février 2008 en coopération avec la Regio Basiliensis

Plus en détail

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie

Plus en détail

Projet. Coordination des régimes de sécurité sociale dans le cadre de la libre circulation des travailleurs

Projet. Coordination des régimes de sécurité sociale dans le cadre de la libre circulation des travailleurs Projet Coordination des régimes de sécurité sociale dans le cadre de la libre circulation des travailleurs Brève présentation des partenaires des régimes de sécurité sociale pour la Conférence européenne

Plus en détail

DU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO

DU CONSEIL DE MEDIATION ET DE SECURITE DE LA CEDEAO COMMUNIQUE DE PRESSE PRESS RELEASE "Ebola constitue une menace pour toutes les entreprises: il nous faut donc soutenir la lutte contre le virus Ebola" N 241/2014 Abuja, le 12 Decembre 2014 OUVERTURE A

Plus en détail

DECRET N 2014-288. fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère.

DECRET N 2014-288. fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère. MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE ------------- DECRET N 2014-288 fixant les attributions du Ministre de la Défense Nationale ainsi que l organisation générale de son Ministère. LE PREMIER MINISTRE, CHEF

Plus en détail

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action

Plus en détail

La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre!

La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de

Plus en détail

INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD

INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD INVESTIR DANS LA DÉMOCRATIE LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Programme des Nations Unies pour le développement LE PROGRAMME GLOBAL D APPUI AU CYCLE ÉLECTORAL DU PNUD Les élections

Plus en détail

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS. Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente

Plus en détail

Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle

Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle Déclaration de Jakarta sur la Promotion de la Santé au XXIème Siècle Préambule La quatrième conférence internationale sur la promotion de la santé : "A ère nouvelle, acteurs nouveaux : adapter la promotion

Plus en détail

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève *** Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention

Plus en détail

Inauguation du nouveau siège de la Confédération générale des entreprises de CI (CGECI)

Inauguation du nouveau siège de la Confédération générale des entreprises de CI (CGECI) AGENDA DU GOUVERNEMENT DU CENTRE D'INFORMATION ET DE COMMUNICATION GOUVERNEMENTALE Vendredi 19 septembre 2014 08:38 SEPTEMBRE 19 VENDREDI Pour assurer l efficacité et la synergie des actions du Gouvernement,

Plus en détail

Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009

Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq

Plus en détail

Dahir n 1-09-16 du 22 safar 1430 (18 février 2009) portant promulgation de la loi n 42-08 portant création de l'agence pour le développement agricole.

Dahir n 1-09-16 du 22 safar 1430 (18 février 2009) portant promulgation de la loi n 42-08 portant création de l'agence pour le développement agricole. Dahir n 1-09-16 du 22 safar 1430 (18 février 2009) portant promulgation de la loi n 42-08 portant création de l'agence pour le développement agricole. LOUANGE A DIEU SEUL! (Grand Sceau de Sa Majesté Mohammed

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse

Plus en détail

INCONTINENCE URINAIRE

INCONTINENCE URINAIRE INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour

Plus en détail

LOI du 4 FEVRIER 2000 relative à la création de l'agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (Mon. 18.II.2000) (1)

LOI du 4 FEVRIER 2000 relative à la création de l'agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (Mon. 18.II.2000) (1) LOI du 4 FEVRIER 2000 relative à la création de l'agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (Mon. 18.II.2000) (1) Modifications: L. 13 juillet 2001 (Mon. 4.VIII.2001) L. 24 décembre 2002

Plus en détail

La loi NRE. Article 116

La loi NRE. Article 116 La loi NRE La loi sur les nouvelles régulations économiques fixe (art.116) l'obligation pour les sociétés française cotées sur un marché réglementé l'obligation de rendre compte dans leur rapport annuel

Plus en détail

Le système de protection sociale en santé en RDC

Le système de protection sociale en santé en RDC REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection

Plus en détail

Redressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance

Redressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance Avant - Économie congolaise caractérisée par un tissu industriel délabré - Infrastructures socio-économiques de base détruites - Inflation galopante - Monnaie chancelante Après - Ambitieux programme de

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale

Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale

Plus en détail

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat

Plus en détail

L'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) et le Gouvernement des États-Unis d'amérique, ci-après dénommés les "Parties",

L'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) et le Gouvernement des États-Unis d'amérique, ci-après dénommés les Parties, ACCORD CONCLU ENTRE LE GOUVERNEMENT DES ÉTATS-UNIS D'AMÉRIQUE ET L'UNION ÉCONOMIQUE ET MONÉTAIRE OUEST AFRICAINE RELATIF AU DÉVELOPPEMENT DES RELATIONS DE COMMERCE ET D'INVESTISSEMENT L'Union économique

Plus en détail

Burundi. Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo. Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga

Burundi. Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo. Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga Burundi Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga Organisation : Ministère de l'intérieur et de la Sécurite Publique

Plus en détail

Le FMI et son rôle en Afrique

Le FMI et son rôle en Afrique Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

Note de Présentation Contacts : Avril 2007

Note de Présentation Contacts :   Avril 2007 Note de Présentation Contacts : Adresse: Socogim TVZ N 20 / BP 41 74 Tel : (222) 529 30 54 / GSM : (222) 631 46 09 Fax : (222) 529 04 12 E-mail: ecoqualite@toptechnology.mr Site Web: www.ecoqualite.com

Plus en détail

Décision n 2014-246 L. Dossier documentaire

Décision n 2014-246 L. Dossier documentaire Décision n 2014-246 L Nature juridique de l article L. 723-23 du code rural et de la pêche maritime Dossier documentaire Source : services du Conseil constitutionnel 2014 Sommaire I. Normes de référence...

Plus en détail

La culture : quatrième pilier du développement durable

La culture : quatrième pilier du développement durable La culture : quatrième pilier du développement durable S'appuyant sur le travail mené de longue date par la Commission de culture de CGLU, sur la Déclaration universelle de l'unesco sur la diversité culturelle

Plus en détail

DUXTON ASSET MANAGEMENT

DUXTON ASSET MANAGEMENT DUXTON ASSET MANAGEMENT Afrique : Un élément clef dans un (ou environnement) agricole global et diversifié Point de vue des investisseurs sur les potentialités de l agriculture africaine et problèmes à

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

Réforme du crédit à la consommation. Statut des enseignants chercheurs. Point sur les États généraux de l outre-mer

Réforme du crédit à la consommation. Statut des enseignants chercheurs. Point sur les États généraux de l outre-mer LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSÉE LE MERCREDI 22 AVRIL 2009 A L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE A DIFFUSÉ LE

Plus en détail

Banque Africaine de Développement

Banque Africaine de Développement The Next 50 Years: The Africa We Want Banque Africaine de Développement Programme Provisoire Côte d Ivoire, Abidjan, 25 29 mai 2015 Samedi 23 et dimanche 24 mai 2015, de 9 h à 17 h : Enregistrement des

Plus en détail

Alliance Public-Privé des Nations Unies pour le Développement Rural

Alliance Public-Privé des Nations Unies pour le Développement Rural Alliance Public-Privé des Nations Unies pour le Développement Rural Rapport d activités en 2004 Nous avons le plaisir de vous faire parvenir, à titre de compte-rendu, le rapport d activités de l Alliance

Plus en détail

L affacturage en Afrique : Opportunités et défis

L affacturage en Afrique : Opportunités et défis L affacturage en Afrique : Opportunités et défis Par B.O. Oramah Vice président (développement commercial et financement de projet d'entreprise) Banque Africaine d'import-export Présenté au séminaire 2014

Plus en détail

Connaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.

Connaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique. Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :

Plus en détail

Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau

Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences

Plus en détail

* Les personnalités scientifiques : - Mabrouk El Mannai, - El Mouldi Lahmer, - Farouk El Omrani.

* Les personnalités scientifiques : - Mabrouk El Mannai, - El Mouldi Lahmer, - Farouk El Omrani. * Les personnalités scientifiques : - Mabrouk El Mannai, - El Mouldi Lahmer, - Farouk El Omrani. MINISTERE DE L'AGRICULTURE Par décret n 2013-4505 du 6 novembre 2013. Messieurs Ahmed Dhaoui et Khaled Gannouni,

Plus en détail

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les

Plus en détail

PLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE

PLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE 1 PLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE 1. LE RENFORCEMENT DE LA COMPLEMENTARITE DES ACTIVITES AGRICOLES ET D'ELEVAGE, UN LEVIER VITAL POUR

Plus en détail

Le Président de la République reçoit la Fédération des Banques de Mauritanie

Le Président de la République reçoit la Fédération des Banques de Mauritanie Clôture de la 2 ème session parlementaire ordinaire 2014-2015 Les présidents du Sénat et de l'assemblée Nationale ont rendu public, mercredi, un communiqué dans lequel ils précisent que la deuxième session

Plus en détail

Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores

Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores La pauvreté rurale aux Comores Depuis leur indépendance en 1975, les Comoriens ont souffert de l instabilité politique

Plus en détail

Réunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010

Réunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010 CEA-AN/AH/FD/10/3 Nations Unies Commission économique pour l Afrique Bureau pour l Afrique du Nord Réunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010 LE

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable

Conclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable COSEIL DE L'UIO EUROPÉEE Conclusions du Conseil sur la dimension stratégique du patrimoine culturel pour une Europe durable Conseil ÉDUCATIO, JEUESSE, CULTURE ET SPORT Bruxelles, 21 mai 2014 Le Conseil

Plus en détail

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour

Plus en détail

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE

Plus en détail

Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili. RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET

Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili. RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE MINISTRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DE LA REFORME DE L'ETAT ET DE LA SIMPLIFICATION

Plus en détail

Etude : «Identification des IMF partenaires pour la mise en place de la ligne de crédit pour le financement des AGR (Activité 37)».

Etude : «Identification des IMF partenaires pour la mise en place de la ligne de crédit pour le financement des AGR (Activité 37)». Ministère du Commerce, de l Artisanat et du Tourisme (MCAT). Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). UNDAF 2009-2010 Programme conjoint «Patrimoine, tradition et créativité au service

Plus en détail

REVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA

REVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA REVENDICATIONS PARTICULIÈRES : NÉGOCIER L ACQUITTEMENT DE LA DETTE NATIONALE DU CANADA Chef Maureen Chapman Comité des Chefs sur les revendications Mémoire prébudgétaire au Comité permanent des finances

Plus en détail

diffusion externe les services d'orange pour l agriculture en Afrique

diffusion externe les services d'orange pour l agriculture en Afrique les services d'orange pour l agriculture en Afrique ce catalogue a pour objectif d éclairer sur les méthodes développées par Orange pour améliorer la productivité dans le monde rural 2 sommaire 1 2 3 l'apport

Plus en détail

INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.

INVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur. INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES

Plus en détail

http://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr Situation générale

http://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr - http://www.societeoffshore.fr Situation générale République des Seychelles Situation générale 1. Géographie La Républiques des Seychelles est un archipel composé de 115 îles, situé au nord-est de Madagascar. L île la plus importante est l île de Mahé.

Plus en détail

Protocole d Accord de Coopération. Entre. Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS)

Protocole d Accord de Coopération. Entre. Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) COMITE PERMANENT INTER-ETATS DE LUTTE CONTRE LA SECHERESSE DANS LE SAHEL AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE Protocole d Accord de Coopération Entre Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte

Plus en détail

FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PROGRAMME TACC

FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PROGRAMME TACC République du Sénégal Un Peuple Un But Une Foi Ministère de la Décentralisation et des Collectivités locales Direction de la Coopération Décentralisée Programme des Nations Unies pour le Développement

Plus en détail

COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet

COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération

Plus en détail

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir

Plus en détail

ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST

ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST CONFERENCE REGIONALE SUR LA RATIFICATION DES INSTRUMENTS INTERNATIONAUX

Plus en détail

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation

Plus en détail

CLUB DE REFLEXION SUR LE MALI (CRM)

CLUB DE REFLEXION SUR LE MALI (CRM) Club de Réflexion sur le Mali (CRM) En collaboration avec Enda Tiers Monde et Institut Panafricain de Stratégies (IPS) Organise le Forum sur la crise malienne et ses répercussions sur la stabilité, la

Plus en détail

2. Bailleurs de fonds internationaux majeurs, coordination et possibilité de division du travail, exercices d évaluation conjointe (harmonization)

2. Bailleurs de fonds internationaux majeurs, coordination et possibilité de division du travail, exercices d évaluation conjointe (harmonization) DIREZIONE GENERALE PER LA COOPERAZIONE ALLO SVILUPPO Ufficio IV Cadre Pays Stream 2013-2015 BURKINA FASO 1. Contexte et finalités de la présence de la coopération italienne Le Burkina Faso est l'un des

Plus en détail

Bien vivre, dans les limites de notre planète

Bien vivre, dans les limites de notre planète isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale

Plus en détail

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations

Plus en détail

3 ème CONFERENCE MONDIALE DES PRESIDENTS DE PARLEMENT

3 ème CONFERENCE MONDIALE DES PRESIDENTS DE PARLEMENT 3 ème CONFERENCE MONDIALE DES PRESIDENTS DE PARLEMENT Nations Unies, Genève, 19-21 juillet 2010 SP-CONF/2010/1-Inf.3 10 juillet 2010 INFORMATION A L INTENTION DES DELEGUES ET DES MISSIONS PERMANENTES A

Plus en détail

L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)

L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE

Plus en détail

Brûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager

Brûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Définition et causes Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Vous arrive-t-il de ressentir une douleur à l estomac

Plus en détail

PROJET DE LOI. NOR : MAEJ1123829L/Bleue-1 ------ ÉTUDE D IMPACT

PROJET DE LOI. NOR : MAEJ1123829L/Bleue-1 ------ ÉTUDE D IMPACT RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère des affaires étrangères et européennes PROJET DE LOI autorisant l approbation de l avenant à la convention entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement

Plus en détail

BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ----------------------

BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ---------------------- BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L'AFRIQUE DE L'OUEST ---------------------- DEPARTEMENT DES ETUDES ECONOMIQUES ET DE LA MONNAIE ---------------------- Direction de la Recherche et de la Statistique APPUIS

Plus en détail

Un monde sans faim Brève présentation de l'initiative spéciale

Un monde sans faim Brève présentation de l'initiative spéciale 1 Un monde sans faim Brève présentation de l'initiative spéciale Version de mars 2015 Les enjeux En lançant l'initiative spéciale «Un seul monde sans faim», le ministère fédéral allemand de la Coopération

Plus en détail

ALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L

ALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L ALLOCUTION DE LA 2 ème PROMOTION MBA-IP / SENEGAL «SOUMAÏLA CISSE, PRESIDENT DE LA COMMISSION DE L UNION ECONOMIQUE MONETAIRE OUEST AFRICAINE» A L OCCASION DE LA CEREMONIE DE REMISE DE DIPLÔMES Dakar,

Plus en détail

Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement

Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement Pendant la grossesse, les muscles du ventre, appelés abdominaux, s étirent beaucoup et perdent souvent de la force. Il est important

Plus en détail

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015

Plus en détail

HORIZONS. Le Sénat a tenu mardi, sous la présidence de son

HORIZONS. Le Sénat a tenu mardi, sous la présidence de son Validation du Plan pluri annuel de couverture vaccinale Lire page 4 HORIZONS Imsakiya Mercredi 21 Ramadan Ftour :...19 h 44 Imsak:...4 h 57 Jeudi 22 Ramadan Ftour :...19 h 44 Imsak:... 4 h 58 QUOTIDIEN

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union

Plus en détail

résumé un développement riche en emplois

résumé un développement riche en emplois ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE

Plus en détail

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans

Plus en détail

Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD

Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Plan 1. Offre et demande potentielle dans la zone ECOWAS 2. Offre potentielle au Mali 3. Marché au nord du Mali (Gao Algérie) 4. Estimation

Plus en détail

Pourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.

Pourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé. Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour

Plus en détail

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme

Plus en détail

Pour toutes questions supplémentaires, veuillez communiquer avec nous au 514 340-3540 poste 4129.

Pour toutes questions supplémentaires, veuillez communiquer avec nous au 514 340-3540 poste 4129. Journal urinaire À quoi sert un journal urinaire? Nous vous demanderons de remplir ce journal à deux reprises : avant et après les classes d exercices. Les données recueillies nous permettront de mieux

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail

Elaboration participative des programmes communaux

Elaboration participative des programmes communaux Séminaire Elaboration participative des programmes communaux 29-29 Mars 2014 à Ain Draham Hôtel «Nour El Ain» Première journée : Vendredi 28 Mars Ain Draham Contexte général et objectifs : L Association

Plus en détail

Stratégie de la Banque africaine de développement pour l intégration de l Afrique australe

Stratégie de la Banque africaine de développement pour l intégration de l Afrique australe Page 1 NOTE DE SYNTHESE N 24 Réalisée par Djenno Ngoua Melissa Stratégie de la Banque africaine de développement pour l intégration de l Afrique australe Le Traité d Abuja instituant en 1991 la Communauté

Plus en détail