ANGINES. DAUMAS Aurélie HIA LAVERAN COURS IFSI
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- Clotilde Dufour
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1 ANGINES DAUMAS Aurélie HIA LAVERAN COURS IFSI
2 ANATOMIE Le pharynx est un conduit musculo-membraneux comprenant de haut en bas *Le nasopharynx ou rhinopharynx en regard des fosses nasales *L oropharynx en regard de la cavité buccale *L hypopharynx en regard du larynx se poursuivant par l oesophage
3 PHYSIOLOGIE Rôle de défense de l organisme vis à vis des agressions provenant du milieu extérieur avec *les amygdales pharyngées dans le nasopharynx *les amygdales palatines dans l oropharynx *les amygdales linguales dans l hypopharynx
4 L ANGINE INFECTION TOUCHANT L OROPHARYNX PREDOMINANT AU NIVEAU DES AMYGDALES PALATINES La majorité des angines est d origine virale Le streptocoque béta-hémolytique du groupe A (SGA) est le premier agent bactérien responsable d angine
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6 DIAGNOSTIC Il n existe pas de corrélation parfaite entre la présentation clinique et l agent pathogène en cause (virus ou bactérie)
7 DIAGNOSTIC Douleur constrictive spontanée majorée par la déglutition Fièvre Modification de l aspect de l oropharynx Adénopathies cervicales satellites
8 FORMES CLINIQUES Angines érythémateuses et érythématopultacées (virales +++, streptocoque béta-hémolytique du groupe A +++) Angines pseudomembraneuses dues à l EBV et corynebacterium diphteriae
9 Angines vésiculeuses toujours virales Angines ulcéreuses ou ulcéronécrotiques dues soit à l association fusospirillaire, soit à treponema pallidum ou secondaires à des hémopathies, des néoplasies
10 ANGINES ERYTHEMATEUSES ET ERYTHEMATO-PULTACEES Angine érythémateuse : muqueuse rouge, amygdales augmentées de volume Angine érythémato-pultacée : muqueuse rouge avec des taches blanchâtres au niveau des amygdales qui sont tuméfiées ADP(S) sous angulo-maxillaire(s) satellite(s) habituellement retrouvée(s) fièvre
11 Cause virale dans 60 à 80% des cas ++++ Cause bactérienne Streptocoque Bétahémolytique du groupe A ++++ à partir de 3 ans Seule l étiologie streptococcique nécessite une antibiothérapie techniques permettent de confirmer la présence de streptocoque : le test de diagnostic rapide et la mise en culture d un prélèvement pharyngé
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13 CULTURE Peu pratiquée en France Délai 2 jours
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21 ANTIBIOTHERAPIE La prescription d antibiotiques dans les angines à streptocoque à pour but : d accélérer la disparition des symptômes diminuer la dissémination à l entourage prévenir les complications poststreptococciques
22 COMPLICATIONS Les complications suppuratives locorégionales sont représentées par le phlegmon amygdalien, l abcès rétropharyngé, préstylien et rétrostylien, l adénite cervicale suppurative Le rhumatisme articulaire aigu rare La glomérulonéphrite aiguë poststreptococcique point de départ cutané ou pharyngé Erythème noueux post-streptococcique
23 SCARLATINE Rare en France Due à un streptocoque béta-hémolytique du groupe A qui produit une toxine érythrogène Début brutal, fièvre, douleurs abdominales, vomissements Angine érythémateuse Modifications de l aspect de la langue, au début saburrale puis desquame de la périphérie vers le centre pour devenir uniformément rouge Érythème diffus sur le corps Antibiothérapie
24 ANGINES PSEUDOMEMBRANEUSES
25 MONONUCLEOSE INFECTIEUSE Primo-infection à EBV Epstein Barr Virus Peu contagieuse, transmission par la salive Souvent asymptomatique
26 Asthénie profonde, fièvre Angine caractérisée par l apparition de fausses membranes, respect de la luette Adénopathies cervicales, occipitales, parfois diffuses à toutes les aires ganglionnaires Splénomégalie dans la moitié des cas Érythème sur le tronc et la racine des membres évocateur si survient après prise d amoxicilline
27 Syndrome mononucléosique (hyperlymphocytose > 4000 avec au frottis de grands lymphocytes hyperbasophiles) Cytolyse (augmentation ASAT/ALAT) fréquente Pour confirmer le diagnostic : tests sérologiques MNI-test Réaction de Paul Bunnell Davidson IgM anti-vca technique la plus sensible et la plus spécifique d une infection récente
28 Evolution vers la guérison en 3-4 semaines de façon spontanée mais l asthénie peut persister plusieurs mois Traitement symptomatique CONTRE-INDICATION SPORT risque de rupture de rate Si syndrome obstructif, anémie hémolytique ou autres complications hématologiques, neurologiques ou cardiaques rares : indication corticothérapie
29 DIPHTERIE Toxi-infection à corynebacterium diphteriae Grâce à la vaccination rare en France Très contagieuse, transmission par gouttelettes de salive Isolement respiratoire et cutané du patient dès suspicion (résistance du germe dans le milieu extérieur) Déclaration obligatoire
30 DIAGNOSTIC L'angine diphtérique est peu fébrile Syndrome toxique : pâleur, tachycardie, sensation de malaise Fausses membranes cohérentes, très adhérentes, plus ou moins extensives dans le pharynx, reproductibles adénopathies sous-maxillaires polynucléose neutrophile
31 Diffusion de l'exotoxine du Bacille diphtérique : dans le myocarde : myocardite aiguë dans le système nerveux : polyradiculonévrite ascendante Diphtérie laryngée ou croup : toux rauque et voix éteinte, dyspnée laryngée, asphyxie possible
32 CONFIRMATION BACTERIOLOGIQUE Prélèvement de gorge (examen direct et mise en culture) Prévenir le laboratoire de la suspicion de diphtérie
33 TRAITEMENT Hospitalisation/Isolement s'assurer de la négativité de 2 prélèvements de gorge à 24 h d'intervalle après la fin de l'antibiothérapie avant de lever l'isolement / tous les objets en contact avec le patient seront désinfectés avec un détergent désinfectant ANTIBIOTHERAPIE Elle doit être débutée immédiatement après les prélèvements
34 TRAITEMENT SEROTHERAPIE : sérum antidiphtérique antitoxine effectuée dès la suspicion diagnostique car la neutralisation de la toxine doit être la plus précoce possible, une fois la toxine fixée sur ses cibles, le traitement est inefficace VACCINATION La diphtérie est une maladie peu immunisante et la vaccination antidiphtérique doit être systématique à la phase de convalescence
35 Toutes les personnes ayant été dans les 7 jours précédents en contact rapproché avec un cas de diphtérie causé par une souche de C. diphtheriae sont à risque - les membres de la famille vivant sous le même toit - les relations intimes (baisers...) - les sujets travaillant dans la même classe ou la même pièce, - les amis, visites fréquentes... - le personnel de santé exposé aux sécrétions oropharyngées - transports (voyage de plusieurs heures) : passagers occupant les places voisines - les contacts proches des sujets porteurs asymptomatiques sont également considérés à risque
36 surveillance clinique : recherche de signes de diphtérie pendant 7 jours à partir de la date du dernier contact investigation microbiologique : écouvillonnage nasal et pharyngé, permet l'identification de porteurs asymptomatiques qui seront isolés antibioprophylaxie : concerne tous les contacts proches quel que soit leur statut vaccinal et le résultat de la culture vaccination : tous les contacts proches doivent recevoir une dose de vaccin sauf si l on peut documenter une vaccination d au moins 3 doses avec une dernière injection datant de moins d un an. Les sujets non ou incomplètement vaccinés recevront ultérieurement les doses additionnelles pour compléter le calendrier vaccinal
37 VACCINATION La vaccination contre la diphtérie est obligatoire la vaccination antidiphtérique par l'anatoxine (toxine diphtérique ayant perdue son pouvoir toxique, mais ayant gardé son pouvoir antigénique) est obligatoire et doit être réalisée avant l'âge de 18 mois. Elle comprend 3 injections à un mois d'intervalle à partir de l'âge de 2 mois et un rappel entre 16 et 18 mois, à 6 ans, à 11 ans puis entre 16 et 18 ans ainsi qu'à l âge adulte tous les 10 ans avec une anatoxine à faible concentration
38 ANGINES VESICULEUSES : TOUJOURS VIRALES HERPANGINE : virus coxsackie du groupe A Fièvre Vésicules (voile du palais, amygdales) Évolution bénigne Tt symptomatique GINGIVOSTOMATITE HERPETIQUE : primo-infection à HSV1 l aciclovir a fait la preuve de son efficacité jeunes enfants
39 ANGINES ULCEREUSES ET ULCERO-NECROTIQUES ANGINE DE VINCENT association fusospirillaire (fusobacterium et spirochète examen direct++) Mauvais état bucco-dentaire Fièvre modérée, haleine fétide CHANCRE SYPHILITIQUE recherche du tréponème examen direct TPHA-VDRL Penser aussi à une hémopathie, agranulocytose, une néoplasie
40 TIAC TOXI-INFECTIONS ALIMENTAIRES COLLECTIVES DAUMAS Aurélie HIA LAVERAN COURS IFSI
41 DEFINITION
42 EPIDEMIOLOGIE
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45 PRINCIPAUX AGENTS DES TIAC Salmonelles (71%) Enteritidis : œufs et produits dérivés (mousse chocolat, patisseries, mayonnaise) Typhimurium : viandes (steack haché de bœuf congelés) et volailles Staphylocoque doré (13%) Lait et produits laitiers Plats ayant nécessité des manipulations Clostridium perfringens (5%) Plats en sauce Histamine (3.5%) Bacillus cereus (2%)
46 CLINIQUE SYNDROME DYSENTERIQUE Selles fréquentes peu abondantes Pus, glaires, sang, débris muqueux Douleurs abdominales Fievre SYNDROME CHOLERIFORME Selles profuses aqueuses Pas de pus, glaires, sang ou débris muqueux Douleurs abdominales absentes ou modérées Fièvre modérée ou absente
47 SYNDROME DYSENTERIQUE
48 SALMONELLES +++ Enteritidis : œufs et produits dérivés (mousse chocolat, patisseries, mayonnaise) Typhimurium : viandes (steack haché de bœuf congelés) et volailles Incubation longue : 12 à 36 heures Coproculture / culture de l aliment suspect Antibiothérapie formes sévères et/ou terrain fragile
49 SYNDROME CHOLERIFORME
50 STAPHYLOCOQUE DORE Lait et produits laitiers Plats ayant nécessité des manipulations Incubation courte : 2 à 4 heures Culture de l aliment suspect / possibilité de rechercher la toxine dans les vomissements ou la diarrhée Evolution spontanément favorable, pas d indication antibiothérapie
51 CLOSTRIDIUM PERFRINGENS Plats en sauce Incubation moyenne : 9 à 15 heures Culture de l aliment suspect Evolution favorable en 24H sans antibiothérapie
52 BACILLUS CEREUS Viandes, volailles, riz frit Incubation variable : 1 à 16 heures Isolement de B. cereus dans l aliment responsable Evolution spontanément favorable
53 HISTAMINE Poissons : thon, maquereau mal conservés Incubation très courte : 15 min Manifestations extra-digestives prédominantes Céphalées Flush du visage et du cou Dosage de l histamine dans le poisson Évolution favorable avec corticoïdes et antihistaminiques
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55 TRAITEMENT Hospitalisation à discuter si intolérance digestive marquée, terrain fragile Réhydratation +++ (apports sodés et sucrés) Ré-alimentation précoce : yaourts, riz, carottes cuites, pâtes, bananes - Eviter légumes verts, crudités, fruits, laitages Lutter contre les vomissements (apports hydriques frais en petites quantités, coca-cola, antiémétiques) si besoin Traitement antipyrétique si besoin
56 TRAITEMENT Anti-diarrhéiques (ralentisseurs du transit) inutiles et dangereux ++ Antispasmodiques et antisécrétoires (Tiorfan / Smecta) Antibiotiques inutiles dans la plupart des cas même si fièvre
57 PREVENTION DES TIAC En restauration collective Respect des bonnes pratiques de transport, stockage et préparation des aliments Respect strict de la chaine du froid et du chaud Utilisation de mayonnaise industrielle (œufs en poudre) En restauration familiale Limiter les risque liés à la consommation d œufs crus ou peu cuits Ne pas garder les œufs plus de 15j à 4 C Pas d œufs non cuits pour les personnes âgées et malades Les préparations à base d œufs non cuits (mayonnaises, crèmes, mousse au chocolat, pâtisseries) à consommer rapidement et à maintenir au froid. Viandes hachées et de volaille cuites à coeur
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59 LISTERIOSE La listériose est une infection causée par la bactérie : Listeria monocytogenes Elle touche préférentiellement : les immunodéprimés, les femmes enceintes et les nouveau-nés, et les personnes âgées Mode de transmission La listériose se transmet essentiellement par ingestion d'aliments contaminés Il existe une transmission de la mère au fœtus ou au nouveau-né qui se fait soit, par passage de la bactérie du sang de la mère au placenta, soit lors du passage dans la filière génitale au moment de l'accouchement
60 SYMPTOMES méningite : fort maux de tête, fièvre élevée, nausées et vomissements; méningo-encéphalite : méningite avec des signes déficitaires fièvre isolée due au passage des bactéries dans le sang (bactériémie) Chez la femme enceinte, la listériose ressemble à une grippe (fièvre accompagnée ou non de courbature et de maux de tête). Pendant le premier semestre de la grossesse, la listériose peut provoquer des avortements spontanés. Entre le 6ème et le 8ème mois de grossesse, le nouveau-né peut naître prématurément et parfois est mort-né Chez le nouveau-né, fièvre isolée
61 TRAITEMENT Un traitement antibiotique adapté permet de guérir l'infection
62 PREVENTION éviter la consommation des aliments les plus fréquemment contaminés et à respecter certaines règles lors de la manipulation et la préparation des aliments - éviter de consommer des fromages au lait cru (ainsi que le fromage vendu râpé) - éviter la consommation de poissons fumés, de coquillages crus, de surimi, de tarama, etc - éviter de consommer crues des graines germées telles que les graines de soja - éviter les produits de charcuterie cuite tels que les rillettes, pâtés, foie gras, produits en gelée, etc. - pour les produits de charcuterie type jambon, préférer les produits préemballés qui présentent moins de risque d'être contaminés
63 PREVENTION - laver soigneusement les légumes crus et les herbes aromatiques - cuire les aliments crus d'origine animale (viande, poissons, charcuterie crue telle que les lardons) - conserver les aliments crus (viande, légumes, etc.) séparément des aliments cuits ou prêts à être consommés - après la manipulation d'aliments non cuits, se laver les mains et nettoyer les ustensiles de cuisine qui ont été en contact avec ces aliments - nettoyer fréquemment et désinfecter ensuite avec de l'eau javellisée son réfrigérateur - s assurer que la température du réfrigérateur est suffisamment basse (4 C) - respecter les dates limites de consommation
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