Liste des collaborateurs... Note au lecteur... Correspondance des numéros d'items traités dans cet ouvrage... Abbréviations...
|
|
- Flavie Monette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 I Liste des collaborateurs.... Note au lecteur... Correspondance des numéros d'items traités dans cet ouvrage... Abbréviations... Hématologie cellulaire Oncohématologie 1 Introduction à l'hématologie I. Anatomie de la moelle osseuse II. Anatomie des organes lymphoïdes A. Organes lymphoïdes centraux : moelle et thymus B. Organes lymphoïdes périphériques III. Hématopoïèse : cellules souches... 6 IV. Régulation de l'hématopoïèse A. Facteurs de différenciation terminale... 7 B. Facteurs actifs en amont V. Physiologie des éléments figurés du sang A. Globules rouges, ou hématies ou érythrocytes... 8 B. Leucocytes C. Plaquettes sanguines VI. Exploration du sang et des organes hématopoïétiques A. Hémogramme, ou numération-formule sanguine (NFS) B. Exploration morphologique de la moelle osseuse C. Immunophénotypage par cytométrie en flux D. Cultures de progéniteurs hématopoïétiques E. Étude cytogénétique et biologie moléculaire F. Ponction et biopsie ganglionnaire VII. Présentation schématique des principales hémopathies A. Anomalies par excès de production intramédullaire ou au sein d'un organe lymphoïde B. Anomalies par défaut de production intramédullaire C. Anomalies constitutionnelles et acquises des hématies Item 208 UE 7 Hémogramme chez l'adulte et l'enfant : indications et interprétation I. Indications II. Valeurs normales A. Hémoglobine et hématies B. Leucocytes sanguins : numération C. Leucocytes sanguins : formule D. Plaquettes sanguines : numération III. Principales anomalies de l'hémogramme A. Anémies B. Polyglobulies C. Polynucléoses neutrophiles D. Myélémies E. Neutropénies F. Hyperéosinophilies G. Hyperbasophilies H. Hyperlymphocytoses I. Lymphopénies J. Hypermonocytoses K. Thrombopénies L. Hyperplaquettoses ou thrombocytoses V VI XV XIX VII
2 VIII 3 Item 209 UE 7 Anémie chez l'adulte et l'enfant I. Définition II. Syndrome anémique clinique A. Interrogatoire B. Signes liés à la baisse de l'hémoglobine circulante C. Autres signes à rechercher D. Examens biologiques d'orientation devant une symptomatologie anémique III. Mécanismes des anémies IV. Anémies microcytaires A. Anémie par carence martiale B. Anémie inflammatoire, ou anémie des maladies chroniques C. Syndromes thalassémiques et hémoglobinoses microcytaires D. Autres causes d'anémie microcytaire V. Anémies normocytaires non régénératives A. Anémies multifactorielles B. La ponction médullaire est souvent nécessaire VI. Anémies normocytaires régénératives A. Anémie posthémorragie aiguë et régénération médullaire B. Anémies hémolytiques VII. Anémies macrocytaires A. Anémies par carence en vitamine B B. Carences en folates C. Traitement des anémies par carence en vitamine B12 ou en folates Item 312 UE 9 Leucémies aiguës I. Facteurs étiologiques II. Signes cliniques III. Signes biologiques et diagnostic A. Hémogramme B. Ponction médullaire C. Autres examens IV. Diagnostic différentiel V. Formes cliniques A. LA myéloïdes B. LA lymphoblastiques VI. Évolution et traitement A. Évolution générale et pronostic B. Moyens C. Conduite du traitement D. Résultats E. Rechutes VII. Conclusion Item 313 UE 9 Syndromes myélodysplasiques I. Définition, physiopathologie II. Facteurs étiologiques III. Signes cliniques A. Circonstances de découverte B. Examen clinique IV. Examens complémentaires à visée diagnostique A. Hémogramme B. Myélogramme C. Examen cytogénétique D. Biopsie médullaire E. Autres examens biologiques V. Diagnostic différentiel VI. Évolution et facteurs pronostiques VII. Traitement A. Traitements des cytopénies des syndromes myélodysplasiques de faible risque B. Traitement spécifique des syndromes myélodysplasiques de haut risque Item 314 UE 9 Syndromes myéloprolifératifs I. Syndromes myéloprolifératifs : généralités A. Définition et classification
3 B. Une physiopathologie commune C. Circonstances de diagnostic D. Évolution II. Leucémie myéloïde chronique A. Définition B. Physiopathologie C. Circonstances du diagnostic D. Diagnostic positif E. Diagnostic différentiel F. Complications et pronostic G. Principes du traitement III. Maladie de Vaquez A. Définition B. Physiopathologie C. Circonstances du diagnostic D. Diagnostic positif E. Diagnostic différentiel F. Complications et pronostic G. Principes du traitement IV. Thrombocytémie essentielle A. Définition B. Physiopathologie C. Circonstances du diagnostic D. Diagnostic positif E. Diagnostic différentiel F. Complications et pronostic G. Principes du traitement Item 293 UE 9 Agranulocytose médicamenteuse I. Définition et mécanismes II. Diagnostic positif A. Diagnostic clinique B. Diagnostic biologique C. Enquête étiologique en cas d'agranulocytose aiguë médicamenteuse III. Diagnostic différentiel IV. Prise en charge d'une agranulocytose fébrile V. Évolution A. Agranulocytose dans le cadre d'une aplasie médullaire postchimiothérapique B. Agranulocytose dans le cadre d'une aplasie médullaire médicamenteuse accidentelle C. Agranulocytose aiguë médicamenteuse (cf. encadré) IX 8 Item 315 UE 9 Leucémie lymphoïde chronique I. Diagnostic positif A. Circonstances de découverte B. Éléments du diagnostic II. Diagnostic différentiel III. Pronostic et évolution A. Classification clinicobiologique de Binet B. Autres marqueurs pronostiques IV. Complications A. Infections : les complications majeures B. Insuffisance médullaire C. Anémie hémolytique auto-immune, thrombopénie auto-immune D. Lymphome de haut grade et cancers secondaires V. Notions sur le traitement Item 317 UE 9 Myélome multiple I. Diagnostic positif A. Principaux signes cliniques B. Principaux signes biologiques C. Signes radiologiques D. Formes cliniques II. Diagnostic différentiel III. Facteurs pronostiques du myélome
4 X IV. Principales complications V. Traitement A. Traitement antitumoral B. Traitement symptomatique C. Évolution sous traitement VI. Conclusion Item 217 UE 7 Amyloses I. Épidémiologie II. Diagnostic A. Quand suspecter une amylose? B. Diagnostic positif d'amylose C. Diagnostic du type d'amylose III. Diagnostic différentiel IV. Pathologies associées et examens complémentaires A. Amylose AL B. Amylose AA V. Manifestations cliniques A. Amylose AL B. Amylose AA VI. Traitement A. Traitement spécifique B. Traitements symptomatiques des différentes atteintes Item 216 UE 7 Adénopathie superficielle I. Diagnostic d'adénopathie A. Circonstances de découverte B. Diagnostic positif II. Démarche étiologique A. Éléments de cette démarche B. Démarche étiologique en présence d'une adénopathie isolée C. Démarche étiologique en présence d'une polyadénopathie III. Adénopathies chez l'enfant Item 316 UE 9 Lymphomes malins I. Quand suspecter une maladie lymphomateuse? II. Conduite à tenir en présence d'adénopathie(s) suspecte(s) d'être lymphomateuse(s) A. En présence d'une ou plusieurs adénopathie(s) superficielle(s) B. En présence d'une ou plusieurs adénopathies profondes C. Étude du ganglion prélevé III. Examens nécessaires pour évaluer l'extension, l'évolutivité, le terrain voire l'étiologie A. Bilan d'extension topographique B. Bilan d'évolutivité C. Bilan du terrain et bilan préthérapeutique IV. Facteurs pronostiques A. Facteurs pronostiques initiaux liés à la maladie B. Facteurs pronostiques initiaux liés au malade C. Facteurs pronostiques liés à la réponse au traitement V. Principes thérapeutiques Annexe Principes de la classification des lymphomes non hodgkiniens Développement et maturation du système lymphoïde Transformation maligne des cellules lymphoïdes Classifications Item 213 UE 7 Syndrome mononucléosique I. Hémogramme et examen du frottis sanguin définissent le syndrome mononucléosique A. Hémogramme B. Examen du frottis sanguin II. Étiologie du syndrome mononucléosique A. Mononucléose infectieuse B. Infection à CMV C. Toxoplasmose D. Autres causes moins fréquentes de syndromes mononucléosiques III. Évolution des syndromes mononucléosiques
5 14 Item 272 UE 8 Splénomégalie I. Rappel anatomofonctionnel II. Circonstances de découverte III. Diagnostic de la splénomégalie A. Comment palper la rate B. Diagnostic différentiel à la palpation C. Confirmation de la splénomégalie par l'imagerie IV. Diagnostic étiologique A. Démarche clinique initiale B. Prescription d'examens complémentaires C. Ce que l'hémogramme peut apporter D. Autres examens à prescrire dans un second temps, et séquentiellement V. Splénomégalie isolée sans signe d'orientation A. Examen de la moelle osseuse B. Si toutes les investigations sont négatives VI. Splénectomie à visée diagnostique VII. Prévention et prise en charge des complications infectieuses des splénectomisés A. Prophylaxie B. Traitement de la fièvre du patient splénectomisé Item 214 UE 7 Éosinophilie I. Diagnostic d'une hyperéosinophilie A. Circonstances de découverte B. Diagnostic positif II. Démarche étiologique A. Éléments de cette démarche B. Démarche étiologique en présence d'une HE «réactionnelle» C. Démarche étiologique en présence d'une HE «primitive» XI 16 Item 210 UE 7 Thrombopénie I. Circonstances de découverte de la thrombopénie A. Lors d'un syndrome hémorragique B. En l'absence de syndrome hémorragique II. Diagnostic positif III. Diagnostic différentiel IV. Diagnostic de gravité V. Diagnostic étiologique A. Thrombopénies périphériques B. Thrombopénies centrales C. Thrombopénies constitutionnelles VI. Quelques situations particulières A. Thrombopénies chez la femme enceinte B. Thrombopénies chez le nouveau-né C. Thrombopénies dans un contexte de transfusions sanguines Item 211 UE 7 Purpuras I. Diagnostic A. Diagnostic de gravité B. Diagnostic différentiel C. Nuances sémiologiques II. Purpuras plaquettaires A. Purpuras par thrombopénie B. Purpuras par thrombopathies constitutionnelles ou acquises III. Purpuras vasculaires A. Purpura par anomalies constitutionnelles du vaisseau B. Purpura par atrophie des tissus de soutien des vaisseaux cutanés C. Purpura du scorbut D. Purpura infectieux E. Purpuras par vascularite et par un mécanisme immunologique avec complexes immuns
6 . 18 Item 198 UE 7 Biothérapies et thérapies ciblées I. Biothérapies A. Cellules souches hématopoïétiques B. Autogreffe de cellules souches hématopoïétiques C. Allogreffe de cellules souches hématopoïétiques II. Thérapies ciblées A. Agents différenciants (acide tout trans-rétinoïque, ATRA) B. Anticorps monoclonaux C. Inhibiteurs de tyrosine kinases (ITK) D. Inhibiteurs de mtor E. Inhibiteurs du protéasome F. Immunomodulateurs de la famille des IMiD (thalidomide, lenalidomide et pomalidomide) G. Agents ciblant la régulation épigénétique XII. II Hémostase 19 Hémostase : physiologie et exploration en pratique courante I. Hémostase primaire A. Cellules et facteurs impliqués B. Déroulement du processus II. Coagulation A. Cellules et facteurs impliqués B. Activation de la coagulation C. Inhibition de la coagulation III. Fibrinolyse IV. Exploration de l'hémostase A. Tests explorant l'hémostase primaire B. Tests explorant la coagulation C. Tests explorant la fibrinolyse Item 212 UE 7 Syndrome hémorragique d'origine hématologique I. Conduite de l'interrogatoire et de l'examen clinique en présence d'un syndrome hémorragique A. Interrogatoire B. Examen clinique II. Examens biologiques d'orientation : comment les interpréter? A. Temps de céphaline + activateur (TCA) B. Temps de Quick (TQ) C. Temps de saignement (TS) III. Diagnostic d'un syndrome hémorragique acquis ou constitutionnel dû a une pathologie de l'hémostase primaire A. Thrombopathies B. Maladie de Willebrand C. Saignements secondaires à une anomalie vasculaire IV. Diagnostic d'un syndrome hémorragique dû à une anomalie acquise de la coagulation A. Insuffisance hépatocellulaire B. Coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) C. Hypovitaminose K D. Inhibiteurs anti-viii acquis V. Diagnostic d'un syndrome hémorragique dû à une pathologie constitutionnelle de la coagulation A. Hémophilie B. Autres déficits constitutionnels de la coagulation, en dehors de l'hémophilie Item 224 Place du laboratoire dans le diagnostic et la prise en charge de la thrombose veineuse profonde et de l'embolie pulmonaire I. Apport du dosage des D-dimères pour le diagnostic de la thrombose veineuse profonde et/ou de l'embolie pulmonaire II. Indications et limites du bilan de «thrombophilie» A. Facteurs biologiques de risque acquis B. Facteurs de risque constitutionnels de thrombose
7 22 Item 326 UE 10 Prescription et surveillance d'un traitement antithrombotique I. Héparines A. Pharmacocinétique et mode d'administration B. Surveillance biologique C. Prescrire et surveiller un traitement héparinique à visée prophylactique antithrombotique chez un sujet à risque D. Prescrire et surveiller un traitement héparinique d'une thrombose constituée II. Antivitamine K A. Mécanisme d'action B. Formes pharmaceutiques C. Pharmacocinétique et pharmacodynamie D. Surveillance biologique d'un traitement par AVK E. Interactions alimentaires, médicamenteuses et génétiques F. Prescrire et surveiller un traitement par antivitamine K III. Anticoagulants oraux directs A. Pharmacocinétique B. Indications C. Posologie d'administration D. Surveillance biologique Item 326 UE 10 Accidents des anticoagulants I. Syndrome hémorragique sous anticoagulant A. Diagnostiquer un accident des anticoagulants B. Conduite à tenir en cas de surdosage aux AVK C. Conduite à tenir en cas de saignement par ou sous héparine D. Anticoagulants oraux directs II. Autres complications des héparines A. Thrombopénie induite par l'héparine B. Ostéporose XIII III Hémobiologie Transfusion 24 Transfusion sanguine I. Contexte II. Question de la nécessité du sang et des substituts possibles III. Chaîne transfusionnelle IV. Circuit du don du sang (du donneur au receveur) A. Promotion pour le don de sang B. Prélèvement C. Préparation des PSL et du plasma de fractionnement D. Qualification biologique des dons E. Contrôle de la qualité des produits F. Immunohématologie chez les receveurs de PSL G. Dépôt d'urgence vitale H. Différents PSL I. Principaux MDS J. Délivrance et conseil transfusionnel K. Acte transfusionnel V. Hémovigilance VI. Coût des produits sanguins labiles et des médicaments dérivés du sang, analyse risque/bénéfice VII. Systèmes de sécurité et surveillance Annexe Notions de base sur les systèmes de groupes sanguins et tissulaires et les anticorps dirigés contre ces groupes Systèmes de groupes sanguins érythrocytaires Systèmes de groupes sanguins plaquettaires Systèmes de groupes sanguins leucocytaires
8 25 Item 325 UE 10 Transfusion sanguine et produits dérivés du sang : indication, complications, hémovigilance I. Risques transfusionnels, règles de prévention, principes de traçabilité et d'hémovigilance A. Principaux accidents immunologiques de la transfusion B. Principaux accidents non immunologiques de la transfusion C. Principes de traçabilité et d'hémovigilance II. Prescrire une transfusion des dérivés du sang A. En préalable : connaître les indications des transfusions de PSL B. Prescrire la transfusion C. Délivrance de la prescription D. Réalisation de l'acte transfusionnel III. Appliquer les mesures immédiates en cas de transfusion mal tolérée A. En préalable : gestes qui s'imposent après toute transfusion B. Signes d'intolérance Entraînement Cas cliniques Énoncés et questions Réponses QCM Questions Réponses XIV QROC Questions Réponses Index
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailL HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros
L HEMOGRAMME un examen pas cher et qui peut rapporter gros Joël X. CORBERAND Service d Hématologie Biologique Hôpital Rangueil CHU de Toulouse L hémogramme est en tête des demandes d examens biologiques
Plus en détailModule Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2
Module Biologie Humaine S5 Cours d Hématologie du Pr Nouzha Bouamoud TD2 Hémoglobinopathies Drépanocytose, Thalassémie Anomalies du nombre de cellules sanguines Augmentation du nombre de cellules Maladie
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailUniversité Pierre et Marie Curie. Hématologie. Niveau DCEM3. Polycopié National. Mise à jour : 22 juin 2006
Université Pierre et Marie Curie Hématologie Niveau DCEM3 2006 Polycopié National Mise à jour : 22 juin 2006 2/120 Hématologie - Polycopié National 2006 Sommaire Sommaire 3 Sommaire 11 Chapitre 1 : Agranulocytose
Plus en détailINFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE
Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailDossier de presse. Le don de sang sur les lieux fixes de collecte. Juin 2013. Contact presse :
Dossier de presse Le don de sang sur les lieux fixes de collecte Juin 2013 Contact presse : EFS Île-de-France Pôle Relations institutionnelles et communication d image Audrey Larquier : audrey.larquier@efs.sante.fr
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailI- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE
I- L ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG ÎLE-DE- FRANCE, ACTEUR MAJEUR DE SANTÉ PUBLIQUE L Établissement Français du Sang, est l unique opérateur civil de la transfusion sanguine en France. Sa mission première
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLes greffes de cellules souches
A qui en parler? Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailL EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE
L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailMYELOFIBROSE PRIMITIVE (MP)
MYELOFIBROSE PRIMITIVE (MP) La myélofibrose primitive (MP) est le plus rare des syndromes myéloprolifératifs (600à 800 patients en France, de 3 à 7 nouveaux cas/million d habitants/an) ; elle touche habituellement
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailGuide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille
Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN
Plus en détail3 - Les SMD, notamment les SMD débutants, présentent souvent des difficultés de diagnostic pour le biologiste (cytologie).
1 Myélodysplasies (ou dysmyélopoïèses) Item n 161 :diagnostiquer une dysmyélopoïèse Les syndromes myélodysplasiques (SMD) sont des affections clonales des cellules souches hématopoïétiques, caractérisées
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur
Plus en détailLeucémie Lymphoïde Chronique
Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Coordination : Pierre Feugier, Nancy Avec le soutien de Sur la Leucémie Lymphoïde Chronique Sommaire Qu est-ce que la leucémie lymphoïde chronique?..........................
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailSources bibliographiques :
AP-HM LBM 00PREP01D004 Date d application: 2014-06-16 Version : 3 Rédaction : ALBANESE Brigitte, AILLAUD Marie Françoise, ARNOUX Dominique Validation : MORANGE Pierre, DIGNAT-GEORGE Françoise Approbation
Plus en détailHématologie et soins infirmiers. Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES
Hématologie et soins infirmiers Dr Stéphane MOREAU Hématologie clinique CHU LIMOGES Diaporama confectionné en collaboration avec : Pr Bordessoule, Pr Jaccard, Dr Girault, Dr Turlure Réseau Hématolim Plan
Plus en détailSTAGE À L UNITÉ DE SOINS DES GREFFÉS (5CD)
STAGE À L UNITÉ DE SOINS DES GREFFÉS (5CD) An 1 (Clinique) An 2 (Clinique et Recherche) 3 (Recherche et Clinique) An Crédits : 6 Crédits : 6 Crédits : 3 Durée : 6 périodes Durée : 4 périodes Durée : 2
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,
Plus en détailL incompatibilité immunologique érythrocytaire
Fiches techniques des Effets Indésirables Receveurs L incompatibilité immunologique érythrocytaire Qu est ce que l incompatibilité immunologique erythrocytaire et quels en sont les mécanismes physiopathologiques?
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailE03 - Héparines non fractionnées (HNF)
E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailLE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer
LE CANCER C EST QUOI? Généralement, le cancer se présente sous la forme d une tumeur, d une masse, qui se développe dans un organe. Les tumeurs solides, qui représentent 90% de tous les cancers, se distinguent
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailLes syndromes myélodysplasiques: Information aux patients
Les syndromes myélodysplasiques: Information aux patients the myelodysplastic syndromes foundation, inc. Publié par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic
Plus en détailLes syndromes myelodysplasiques
INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myelodysplasiques Publié par le Groupe Français des Myélodysplasies, la Société Française d'hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation Internationale
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailMise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France»
Mise à jour du dossier de presse du 2 février 1999 «Organisation d un réseau de sang placentaire en France» MISE AU POINT DE L ORGANISATION DU RESEAU EN FRANCE, EN 2003 : Aujourd hui, cinq établissements
Plus en détailSommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON
Sommaire de la rubrique «Faire un don du sang» Site Internet des villes région Pays de la Loire FAIRE UN DON Page d accueil de la rubrique avec un point sur les besoins en sang de la région Page 2 Pourquoi
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailTransplantation de cellules souches du sang
Transplantation de cellules souches du sang Rapport d Immersion en communauté NICOLAS BRANDT-DIT-GRIEURIN DAMIEN POLET PHILIPPE REYMOND EHTESHAM SHAMSHER Sous la supervision de : Mme L. Soguel Prof. C.
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches
ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent
Plus en détailL allogreffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
L allogreffe de Cellules Souches Hématopoïétiques L historique 1960 - Pr Jean DAUSSET Découverte des groupes HLA 1970 - Pr Georges MATHE Première greffe de moelle osseuse allogénique 1974 - Pr Donald THOMAS
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailLes syndromes myélodysplasiques
INFORMATION AUX PATIENTS Les syndromes myélodysplasiques Publiés par le Groupe Francophone des Myélodysplasies, la Société Française d Hématologie et la Myelodysplastic Syndromes Foundation (Fondation
Plus en détailSurveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM)
Hématologie biologique (Pr Marc Zandecki) Faculté de Médecine CHU 49000 Angers France Surveillance biologique d'un traitement par Héparine de Bas Poids Moléculaire (HBPM) 1. Structure et mode d'action
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailService d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages
Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES CATALOGUE DES FORMATIONS Formation continue Formation universitaire Développement Professionnel
Plus en détailLEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC)
LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE (LMC) La leucémie myéloïde chronique (LMC) est une hémopathie maligne appartenant au groupe des syndromes myéloprolifératifs. Elle est caractérisée par la présence d un marqueur
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailLES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications
ÉTABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG L Etablissement français du sang LES DIFFERENTS PSL : qualifications, transformations et leurs indications Dr Anne-Lise MARACHET DIU Cancérologie/Hématologie EFS IDF- Site
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailB08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs
B08-1 B08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs 1. I n t r o d u c t i o n La thrombose veineuse profonde (TVP) des membres inférieurs est indissociable de sa complication
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailTout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse
Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la
Plus en détailLes leucémies de l adulte. Un guide de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches
Les leucémies de l adulte Un guide de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Impressum _Editeur Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse 40 case postale 8219 3001
Plus en détailWHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5
WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la
Plus en détailStratégies pour aider les patients et leurs aidants à VIVRE avec le SMD
Édition canadienne Stratégies pour aider les patients et leurs aidants à VIVRE avec le SMD par Sandra Kurtin Initiative internationale de la MDS Foundation pour la défense des intérêts des patients en
Plus en détailAnémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.
Anémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. - Argumenter Introduction - Les anémies par carence martiale
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 1 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 1 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, Forme pharmaceutique, Dosage, Présentation - ARANESP 10 µg, Darbépoétine
Plus en détail14. TRANSPLANTATION DE CELLULES SOUCHES maj 2010 HEMATOPOIETIQUE
14. TRANSPLANTATION DE CELLULES SOUCHES maj 2010 HEMATOPOIETIQUE 14.1. INTRODUCTION. 3 14.2. INDICATIONS.. 3 14.3. SOURCES DE CSH 4 14.3.1. La moelle osseuse. 4 14.3.2. Le sang périphérique 4 14.3.3. Le
Plus en détailLes leucémies infantiles lymphoblastiques aiguës décrites de manière médicale et sociale
Les leucémies infantiles lymphoblastiques aiguës décrites de manière médicale et sociale 1. Introduction Travail de Maturité réalisé au Lycée Jean Piaget de Neuchâtel sous la direction de Mme Katia Piccolo
Plus en détailInterpréter un résultat d hémogramme
Interpréter un résultat d hémogramme Dr Albert Steffen Médecine Interne Montpellier* Dr Yves Le Noc - MG SFDRMG Montreuil* *Aucun lien d intérêt 08/10/210 JNMG- Paris 1 Pourquoi cet atelier? Dix premiers
Plus en détailQuelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique?
Quelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique? À la recherche du test «idéal» pour diagnostiquer les troubles de l hémostase C. Lecut, P. Peters, A. Gothot
Plus en détailRIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE
RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE Ce texte est une mise au point d Octobre 2012, dont le contenu sera revu en fonction de l avancement des connaissances Rédacteurs : Isabelle Gouin-Thibault 1,
Plus en détailGreffe de cellules souches hématopoïétiques
Greffe de cellules souches hématopoïétiques LIVRET D INFORMATION ET D AIDE À LA DÉCISION À L USAGE DES PATIENTS ÉDITION 2013 Responsabilités Rédaction Dominique Davous, Espace éthique AP-HP, Cent pour
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailQue sont les. inhibiteurs?
Que sont les inhibiteurs? TABLE DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2010 La FMH encourage la redistribution de ses publications à des
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailSyndromes myélodysplasiques
Syndromes myélodysplasiques LEUCÉMIE LY M P H O M E MYÉLOM E PS22 50M 3/08 Table des matières Introduction 2 Sang et moelle osseuse normaux 3 Syndromes myélodysplasiques 5 Incidence 6 Causes et facteurs
Plus en détailà Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale
à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale 25 ans de lutte contre les leucémies et l infarctus du myocarde Fondé en 1987 par le Professeur Philippe Hénon et localisé au sein de l Hôpital du Hasenrain
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailBilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.
Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad
Plus en détailTransfusion Sanguine et Produits dérivés du sang : indications, complication. Hémovigilance (178) Ph. De Micco Avril 2005
Transfusion Sanguine et Produits dérivés du sang : indications, complication. Hémovigilance (178) Ph. De Micco Avril 2005 Objectifs pédagogiques : Expliquer les risques transfusionnels, les règles de prévention,
Plus en détailComplications de la transfusion
Complications de la transfusion Traditionnellement, les accidents transfusionnels sont décrits selon leur cause, immunologique, infectieuse, autre. Il est cependant plus didactique de les étudier selon
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détail