Rapport d étude septembre 2008
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- Alexis Tassé
- il y a 8 ans
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1 Maître d ouvrage : Préfecture de la Région Centre / Direction Régionale de l Équipement du Centre Service Aménagement Transport Étude : Étude sociologique des nouveau arrivants dans les franges franciliennes Rapport d étude septembre 2008 Étude réalisée avec le soutien de la Délégation interministérielle pour l aménagement et la compétitivité des territoires (DIACT) 1
2 Coordonnées BUREAU D ÉTUDE : Repérage Urbain (Eric Hamelin Repérage Urbain, Sarl) Urbanisme, Sociologie, Aménagement 210, rue Saint Maur Paris Tel / contact@reperageurbain.com 2
3 SOMMAIRE A. Objet, méthode et contete géographique de l enquête sociologique... 5 I. Thèmes de l étude et population enquêtée Thèmes de l enquête : arrivée et adaptation des e-franciliens Population ciblée : 300 «e-franciliens» arrivés depuis Secteurs d étude : 6 EPCI en «franges» dans trois départements «Complément d enquête» : 30 interviews d acteurs locau....9 II. Rappel méthode et objectifs de l enquête par entretiens Le choi de l entretien semi-directif : authenticité et compréhension Elaboration progressive d une «grille d entretien» adaptée au questionnement et au réalités du terrain Traitement : analyse de contenu et codage a posteriori Objectif : Comprendre le phénomène (sans objectif «statistique»)...13 III. Mode d échantillonnage et répartition géographique Un échantillonnage représentatif sur le plan géographique Répartition géographique finale des entretiens...16 IV. Éléments de cadrage géographique et statistique...19 IV. Éléments de cadrage géographique et statistique D abord une question de proportions Des migrations interrégionales conditionnées, par l urbanisme, les infrastructures et l effet des limites administratives Sur nos secteurs d étude : Des nouveau arrivants nombreu surtout près de la bordure En 1999, des nouveau arrivants plutôt d «âge moyen» et de «classe moyenne»...29 V. Éléments de vision des acteurs locau...31 B. Réponses au questionnements initiau (du cahier des charges) I. Profils socio-démo-géographiques des «nouveau arrivants» dans les franges franciliennes L essentiel des profils / aperçu synthétique Sees : Plus de femmes (mais par effet d échantillonnage) Dates de départ de l Ile-de-France : plus d arrivées «récentes» Des arrivants plutôt «moyennement jeunes» Types de ménages : une petite domination des «familles» Des interviewés «moyennement» actifs et de catégories sociales variées Provenances et origines géographiques : «retours en province» et proimité relative dominent Des types d habitat et situations résidentielles qui «ressemblent» au territoire de départ et d accueil...51 II. Raisons de l implantation : multiples et imbriquées L essentiel des résultats Synthèse détaillée et quantifiée des raisons du déménagement La connaissance du territoire et les «vecteurs d informations»...67 III. Permanence des liens avec l IDF : une fréquentation d abord «de proimité» L essentiel des résultats Un travail en IDF «pas si fréquent» et un certain rapprochement dans le temps Les déplacements en IDF hors travail : la famille et les amis d abord Les modes de transports utilisés : la voiture d abord, par nécessité et par plaisir
4 IV.Conséquences et perceptions en termes de mode de vie L essentiel des résultats Synthése détaillée des principau sujets d insatisfaction Synthèse détaillée des principales sources de satisfaction Une intégration généralement réussie, malgré le maintien d un certain nombre de préjugés (réciproques)...96 V. conflits d'usage ou de voisinage : quelques conflits peu spécifiques VI. Intentions ou perspectives de mobilité résidentielle C. Analyse typologique des nouveau arrivants I. Analyse des différences selon les profils socio-éco-géographiques L essentiel des résultats de l analyse Analyse selon les caractéristiques socio-démographiques Analyse selon les provenances et trajectoires géographiques Analyse selon les profils résidentiels (parcours immobiliers et types d habitat ) II. Analyse des différences selon les secteurs d étude Portraits rapides des nouveau-arrivants par secteurs d études (départements) Raisons de départ selon les secteurs d étude Parcours géographiques selon les secteurs d étude Type d habitat et parcours résidentiels selon les secteurs d étude profils socio-démographiques et professionels par secteurs d études Modes de vie et perceptions selon les secteurs d étude III. Quelques grandes oppositions qui différencient les enquêtés Ceu qui mettent en avant des motivations financières / ceu qui ne le font pas Ceu qui ont des «liens préalables» avec le territoire d accueil / ceu qui n en ont aucun Ceu qui «rejettent» l Ile de France / ceu qui n évoquent pas de rejet IV. Typologie simplifiée des nouveau arrivants en cinq «portraits types» Les (plus ou moins) «contraints» Les «fuyards» : Les «voisins» Les «retournants» Les «e-parisiens» ou «purs citadins», un type à part? D. Quelques problématiques qui intéressent l aménagement de l espace Le poids symbolique de la «frontière» francilienne Un «effet frontière» sur les pri immobiliers, ou d abord sur le type d habitat? Le «mythe» du pavillon en lotissement? «Fuir l Île-de-France», des motivations négatives qui reflètent l hétérogénéité du territoire francilien Difficultés de transports ou de garde d enfants : des «problématiques de territoires», ne se limitant pas au «e-franciliens» L attrait du «cadre de vie», une motivation souvent secondaire et une notion à signification variable E. Synthèse sélective des enseignements ANNEXES
5 A. Objet, méthode et contete géographique de l enquête sociologique 5
6 I. Thèmes de l étude et population enquêtée 1. Thèmes de l enquête : arrivée et adaptation des e-franciliens L'objectif général de l'étude, fié par le cahier des charges initial, était d'aborder les points suivants, soulevant un certain nombre de questions : 1. Les profils sociodémographiques des nouveau arrivants dans les franges franciliennes : s'agit-il principalement d'accédants qui réalisent leur projet dans les franges franciliennes, faute de pouvoir le faire en Ile-de-France? de catégories modestes lasses d'attendre un logement social? de ménages aisés qui préparent leur retraite?... ; 2. Les raisons de leur implantation (économiques, familiales,...) et leurs attentes (en matière d'habitat, de services...), en regard de leur lieu de résidence précédent en Ile-de-France ; 3. La persistance de la fréquentation de l Ile-de-France, par eemple pour l activité professionnelle, et les moyens de transport utilisés : la localisation des nouveau arrivants est-elle en corrélation avec les aes de transport, en particulier ceu qui desservent l'ile-de-france? 4. Les conséquences en termes de mode de vie, la perception de leur cadre de vie par les nouveau arrivants, le niveau de satisfaction qu ils en retirent, l intégration dans le territoire d accueil ; 5. Les éventuelles intentions ou perspectives de mobilité résidentielle ; 6. Les conflits d'usage ou de voisinage éventuels. 2. Population ciblée : 300 «e-franciliens» arrivés depuis 1990 L étude ici présentée est principalement basée sur une enquête par entretiens, réalisée auprès de 300 «nouveau arrivants» dans les «franges franciliennes». L intention principale du maître d ouvrage était de mieu connaître un phénomène, fortement ressenti par un certain nombre d acteurs locau : l arrivée importante de franciliens ; dans des territoires etérieurs mais contigus à la région Île-de-France. La délimitation temporelle des «nouveau arrivants» a été fiée, après hésitations, à une «arrivée depuis 1990», à la fois pour : coïncider avec une précédente étude sur le même thème réalisée dans l Yonne 6
7 coïncider avec une date de recensement rendre simplement l étude réalisable, au regard du «tau de présence» d e-franciliens sur les territoires étudiés et des difficultés rencontrées quant à l obtention de rendez-vous téléphoniques avec des personnes correspondant au profil recherché (e-franciliens) La «population cible» de l enquête est donc eclusivement constituée de personnes ayant eu une epérience de vie plus ou moins longue en Île-de-France, mais l ayant quittée entre 1990 et aujourd hui, et habitant aujourd hui l un des trois secteurs d étude définis avec la maîtrise d ouvrage. 3. Secteurs d étude : 6 EPCI en «franges» dans trois départements Trois départements frontaliers de l Île-de-France appartenant à trois régions différentes - devaient être visés par l étude : l Eureet-Loir (28) dans la Région Centre, l Eure (27) en Haute Normandie, l Oise (60) en Picardie. Les contraintes de l étude (temps, budget) semblaient imposer la délimitation de secteurs d enquête restreints, qui puissent être étudiés de façon plus ou moins «eemplaire» mais suffisamment approfondie. Trois secteurs d étude en «frange» de la région capitale ont donc été déterminés en concertation entre les différentes DDE et DRE concernées, de façon à constituer des territoires suffisamment «représentatifs» de l influence ressentie et de l impact sociodémographique des nouveau arrivants e-franciliens, tout en restant relativement cohérents et compacts sur le plan géographique. Ces secteurs ne sont pas homogènes en termes de poids démographique et de superficie, mais ont pour caractéristique commune : D être tous trois constitués de deu EPCI (Etablissements Publics de Coopération Intercommunale) Dont l un est directement limitrophe de l Ile-de-France et l autre contigu au premier dans sa continuité. Ces 6 EPCI sont : Pour l Eure-et-Loir (28) - La Communauté de Communes «du Val Drouette» (autour d Epernon), habitants en La Communauté de Communes «Terrasses et Vallées de Maintenon», habitants en 1999 Pour l Eure (27) - la Communauté d Agglomération des «Portes de l Eure» (autour de Vernon et de Pacy-Sur-Eure), habitants en
8 - et la Communauté de Communes «Eure Madrie Seine» (autour de Gaillon), habitants en 1999 Pour l Oise (60) : - la Communauté de Communes du «Pays de Thelle» (Chambly, Neuilly-en-Thelle, Noailles), habitants en la Communauté de Commune du «Pays du Clermontois» (autour de Clermont), habitants en
9 4. «Complément d enquête» : 30 interviews d acteurs locau. Complémentairement au 300 entretiens avec des particuliers, une trentaine d entretiens devaient être consacrés : À des «acteurs locau» Intervenant dans des domaines affectés par le phénomène (des nouveau arrivants) Localisés ou actifs dans les territoires d étude Cette approche avait pour intérêt : D offrir un regard «en contraste» au résultats de l enquête, c est à dire de pouvoir confronter d éventuelles «visions» ou stéréotypes locau avec des faits parfois divergents ou du moins plus nuancés De permettre d apporter certains compléments à la «grille d entretien», en enrichissant les problématiques initiales de quelques interrogations émises par les acteurs ou tirées de leurs hypothèses sur le phénomène des nouveau arrivants. Suite à un dialogue en comité technique et après quelques tentatives infructueuses avec certains types d acteurs finalement peu touchés par la problématique de l étude (notamment : opérateurs du logement social), la liste des acteurs interviewés est constituée de : 6 élus locau (un pour chaque EPCI) 6 administratifs (un pour chaque EPCI) 13 agents immobiliers (2 minimums par EPCI) 5 promoteurs et aménageurs (ayant une ou plusieurs opérations sur un ou plusieurs EPCI) Ces entretiens étant naturellement basés sur une grille d interview spécifique et adaptée (voir en annee), leur analyse a fait l objet d un traitement particulier, présenté un peu plus loin en «élément de cadrage» de l enquête. 9
10 II. Rappel méthode et objectifs de l enquête par entretiens 1. Le choi de l entretien semi-directif : authenticité et compréhension Entretiens en face à face, enregistrés Les personnes interrogées ont été initialement sollicitées par téléphone, puis rencontrées et interrogées en face-à-face, à leur domicile (sauf quelques rares cas rencontrés sur leur lieu de travail). Les entretiens, enregistrés, ont été menés par une équipe restreinte de 4 socio-urbanistes, sans division géographique des secteurs d étude, de façon à ce que les différents secteurs d études soient en partie couverts par chacun. Ils ont fait l objet d une prise de note sur «grille d entretien» (voir plus bas), en même temps que l enregistrement, qui a un double but de traitement affiné des réponses et de contrôle de qualité des entretiens de la part du responsable d étude (Eric HAMELIN). Entretiens à dominante «semi-directive» L enquête était essentiellement basée sur le principe de l entretien semi-directif : Au travers de questionnements «ouverts», complétés de «relances» (formules orales stimulant l approfondissement des réponses), les personnes interrogées sont invitées à s eprimer librement, pas obligatoirement dans l ordre suggéré par la grille (ce qui autorise à compléter «l inspiration» des interviewés au fur et à mesure de l entretien), et en ayant tout loisir d insister plus ou moins sur l un ou l autre de leurs sujets de motivations, de biographie,de préoccupations ou de satisfactions en rapport avec les thématiques d étude. Ce questionnement ouvert améliore la compréhension et l authenticité des réponses, en évitant les «effets d imposition» (des questions à réponses pré-établies sont toujours restrictives et souvent inadaptées au réalités des individus). Il permet l accès à des éléments de compréhension non anticipés par les enquêteurs et des détails eplicatifs des démarches et itinéraires individuels souvent inaccessibles par d autres techniques de sondage, cela d autant plus si la grille d entretien fait l objet d une élaboration progressive testée sur le terrain (voir plus loin). Un nombre limité de questions «fermées» pour relever des informations «objectives» Une petite série de questions relevaient tout de même de la question de type «fermée», uniquement pour le recueil d informations «objectives» (socio-démographie, informations professionnelles, habitat) 10
11 Les questions «fermées» véritables sont celles qui appellent une réponse délimitée par essence : questions «quantitatives» (âge, distance parcourue domicile travail ), «signalétiques» («votre CSP», «votre lieu de naissance») ou «typologiques» quelconques (votre statut d habitation, votre catégorie d habitation, votre mode de transport principal pour le travail, etc ) Elles portaient dans cette enquête sur des éléments précis de datation, de localisation ou des aspects socio-démographiques : Origines / provenances géographiques (y compris antérieures au passage en Île-de-France) Situations immobilières actuelles et passées (Type de logement, avec ou sans jardin, nombre de pièces, surfaces, location ou achat ) Situation et évolution familiale / âges Situation et catégorie professionnelle de l interviewé et de son éventuel conjoint / évolution professionnelle / situation géographique de l emploi actuel (et au moment du déménagement si différent) Déplacements vers Île-de-France (fréquences, destinations, motifs) et modes de transports utilisés Enfin quelques points étaient relevés directement par l enquêteur-sociologue : Commune d habitation / type de quartier (centre, hameau, lotissement ) / caractéristiques de l habitat actuel (mitoyen ou non / avec ou sans jardin ) 2. Elaboration progressive d une «grille d entretien» adaptée au questionnement et au réalités du terrain Elaboration progressive de la «grille d entretien» La conception de la grille d entretien, pour être opérationnelle et adaptée au réalités des populations ciblées par l étude, a été constituée en plusieurs étapes successives : Une première «grille d entretien» a été élaborée, essentiellement constituée de questionnements thématiques ou questions ouvertes tirés des interrogations de la maîtrise d ouvrage, et de «relances» destinées à l approfondissement, ainsi que d une série de questions «fermées» (voir précédent). Un test de «pertinence» des questionnements et relances a été effectué sur cette base, sur le terrain, au cours des 30 premiers entretiens, dits «tests» ou «eploratoires» (plus longs en durée et moins structurés que les suivants, mais intégrés au corpus d enquête grâce au méthodes d analyse de contenu a posteriori voir plus bas) 11
12 Le dépouillement progressif de ces «tests», a donné lieu à plusieurs reprises à précision et reformulation de la grille (de façon à mieu correspondre au réalités rencontrées), ainsi qu à certains «recadrages» (suppression de certains questionnements visiblement inadaptés au populations étudiées) La grille d entretien définitive a, enfin, été arrêtée d un commun accord avec la maîtrise d ouvrage, avant de servir de base au 270 entretiens suivants Objectifsde la grille : répondre au interrogations de la maîtrise d ouvrage, tout en étant adaptée au réalités des interviewés Conçue de manière à s assurer de faire le tour des différents thèmes et interrogations soulevés par la maîtrise d ouvrage, la grille invitait à s eprimer de façon détaillée au travers de 7 grands thèmes d entretiens : L «itinéraire résidentiel» (sur le plan géographique, immobilier et des typologies d habitat) Les motivations et motifs : - du changement de région - de l éventuel choi de changement de type d habitat, de type de communes, de type de quartiers Les évolutions professionnelles parallèles ou liées au changement de région Les perceptions et jugements sur le mode de vie et le lieu de vie actuel Les conséquences objectives et subjectives en termes d «intégration», de déceptions ou de conflits éventuels Les motifs et modalités de fréquentation actuelle de l IDF, les changements dans les relations avec des franciliens et les regrets éventuels par rapport au mode de vie précédent Les intentions et perspectives, en termes de mobilité résidentielle à l avenir (Voir grille en Annee). 3. Traitement : analyse de contenu et codage a posteriori La présente étude a fait l objet d un «post-codage» arborescent assez complee, de façon à ne pas perdre la finesse et les subtilités des cas individuels etrêmement variés rencontrés, tout en permettant une saisie informatique d une importante part des informations concernant chaque interviewé, de manière à faciliter l analyse en tris croisés et par typologies. 12
13 Les réponses formulées librement lors des entretiens (ayant fait l objet de prises de notes et d un enregistrement), ont ainsi été traitées en «analyse de contenu» (partiellement) informatisée. Facilitée par les fonctionnalités des logiciels de traitement d enquête, la technique consiste principalement à : Relever le contenu des «questions ouvertes» par catégories et unités de sens quantifiables et structurables en «thèmes» et «notions» plus ou moins larges et ramifiés (l interprétation «linguistique» de la similarité d epressions différentes restant du ressort des sociologues) ; Dans un deuième temps, effectuer la conversion a posteriori d éléments de «discours» libres en «variables informatiques», susceptibles d être croisées et étudiées en termes de corrélation avec d autres variables, conçues de la même façon ou de façon plus «objective» (questions fermées voir précédemment). Permettre enfin l «interprétation» des discours individuels en autorisant leur mise en parallèle avec un certain nombre de déterminants sociau, économiques ou démographiques (et ici également géographiques et immobiliers). 4. Objectif : Comprendre le phénomène (sans objectif «statistique») Au-delà des interrogations initiales de la maîtrise d ouvrage (voir précédemment), les objectif générau de l étude étaient de : Comprendre les trajectoires et les processus décisionnels, Analyser l influence d un certain nombre de déterminants géographiques et sociau sur ces processus, Développer une «typologie» des nouveau arrivants, de façon à rendre plus intelligible les résultats de l enquête Ces objectifs étaient déterminants : Sur le choi méthodologique de l enquête par entretiens en face à face et en conséquence sur la taille de l échantillon (de taille plus limitée que ceu des sondages par questionnaire pré-codé) Ainsi, à l inverse, il est à retenir que : L étude ne devait pas avoir (et n a pas) d objectif proprement «statistique» À l échelle des trois départements d étude, l échantillon, d une centaine d interviewés, réduit encore les possibilités d interprétation quantitative, et les typologies de communes et les infrastructures particulières des secteurs d études retenus ne sauraient permettre une etrapolation trop large des résultats et analyses à l ensemble d un département. 13
14 III. Mode d échantillonnage et répartition géographique 1. Un échantillonnage représentatif sur le plan géographique Taille et critères d échantillonnage : une population représentative des arrivants sur un territoire donné La taille de l échantillon enquêté (300 personnes) était conditionnée à la fois au budget prévu par la maîtrise d ouvrage et à la méthode d enquête proposée. Différentes limites à la mise en place d un «échantillon représentatif» s imposaient d elles-mêmes : La représentation des tranches d âges et des différentes CSP n a fait l objet d aucun filtrage, en l absence de données statistiques de comparaison valides concernant la population ciblée (e-franciliens arrivés depuis 18 ans, durée impliquant d importantes évolutions sur ces deu plans ). Le souhait de représentation «réaliste» des actifs ou inactifs n a pas fait l objet de «filtrage», mais a entraîné la mise en place d horaires adaptés au deu catégories pour le recrutement téléphonique et l enquête (jusqu à 21h et les samedis). On constate cependant que notre échantillon, sur ces points, s approche finalement nettement des profils des «nouveau arrivants etra-régionau» constatés sur les secteurs d études au recensement de 1999 (voir plus loin) La représentation des hommes et femmes parmi les interviewés, subissant visiblement un «biais de recrutement» (meilleure volonté et/ou plus grande disponibilité à répondre des femmes), reste déséquilibrée, bien que compensée par une sollicitation plus volontaire des hommes en cours de phase téléphonique. L échantillonnage s est donc prioritairement basé sur un «filtrage» géographique (voir ci-dessous). Echantillonnage géographique pondéré par communes et par sous-secteurs Base et mode de calcul : La pondération a été calculée en fonction de la «répartition des ménages e-franciliens» sur le territoire, sur la base des migrations (source Insee recensement 1999), seules données de références disponibles suffisamment «approchantes» de notre population cible (qui, rappelons-le, est constituée des e-franciliens arrivés entre 1990 et 2008). Après définition d un «échantillon théorique» par communes et application d arrondis au plus fort reste, des regroupements par «sous-secteurs» ont été effectués, afin de rendre réalisables les objectifs de pondération géographique. 14
15 La grille d échantillonnage présentée en eemple, ci-dessous, permet d observer les différentes strates de calcul (de gauche à droite en colonnes) de cette opération : Eemple de «grille d échantillonnage» utilisée pour l enquête (secteur de Vernon) 15
16 Au final, des interviewés relativement «représentatifs» des nouveau arrivants sur les secteurs d études, Concernant la «représentativité» de l échantillon, on retiendra, que : - Nos interviewés ont des âges, à l arrivée, étonnamment proches de ceu des populations «cibles», selon les seules données de comparaison disponibles : nouveau arrivants etra-régionau au recensement 1999 sur secteurs d études (cf. ci-dessous), malgré une période de référence différente (jusqu à 18 ans d ancienneté dans notre échantillon, contre 9 ans au RP). Comparaison "nouveau arrivants etra régionau" RP 1999 / Vs. Échantillon 300 "e franciliens" âges population «cible» échantillon Catégories socioprofessionnelles population «cible» échantillon 25 à 39 ans 55% 56% CSP 1 24% 31% 40 à 59 ans 31% 30% CSP 2 29% 20% 60 ans et + 14% 14% CSP 3 47% 49% NB :% sur les 25 ans et plus uniquement, seules données insee dispo. pour adultes en résultats détaillés NB : % calculés sur les "actifs" uniquement / Cf. Chap. B pour catégories sociales retraités et e-actifs - La répartition par CSP (Catégories Socio- Professionnelles) «simplifiées» reste «assez proche» de la population «cible», malgré une sous représentation des CSP 2, possiblement liée à la période de référence différente, les classes «moyennes» étant classiquement les plus «mobiles» socialement. - Au niveau des sees : les femmes restent sur-représentées. Mais, une majeure partie des interrogations de l enquête concernant les «ménages», on pourra donc postuler que cet aspect a peu d impact sur la «représentativité» de l échantillon. - Au niveau géographique : Les objectifs de pondération géographique représentative des populations étudiées - dans les territoires étudiés - ont été très finement approchés (voir point 2 ci-dessous et cartes qui suivent). Rappelons par contre que la taille de l échantillon, autant d ailleurs que la méthodologie utilisée pour la majeure partie de l enquête (entretiens avec analyse de contenu quantifiée a posteriori), eclut un calcul précis d «intervalles de confiance» pour les résultats chiffrés. De façon théorique (c'est-à-dire selon une «loi normale» dont l applicabilité à des phénomènes sociau parfois très discontinus n est pas d une totale pertinence) ces intervalles sont, à 95% de chances, de l ordre de plus ou moins 2,5 à 6 % selon que les résultats sont plus ou moins «tranchés», sur la base d un tirage «aléatoire» (c'est-à-dire à pondération géographique). Retenons en conséquence que (voir également précédemment «Objectifs de l étude») : - L ensemble des données chiffrées issues de l enquête, présentées dans les pages qui suivent, peuvent être considérées comme valables pour interpréter des «tendances» et aider à l «interprétation» des parties tetuelles des entretiens - Ne doivent en aucun cas être utilisées pour «quantifier» précisement des problèmes 2. Répartition géographique finale des entretiens Les 3 cartes pages suivantes permettent de visualiser rapidement la localisation des interviewés, avec comparaison entre le «calculé» (représentation pondérée des ménages e-franciliens sur le secteur d étude) et le «réalisé». 16
17 Eure et Loir 97 entretiens effectués CC du Val Drouette 47 (sur 48 prévus) CC Terrasses et Vallées de Maintenon 6/7 6/6 27/27 5/ /30 11/12 13/13 50 (sur 52 prévus) Ronds rouges : entretiens réalisés par communes Nombres bleus : réalisés par sous-secteur Nombres verts : prévus selon calcul initial 17
18 Eure : 101 entretiens effectués 5/3 CC Eure Madrie Seine 12/12 22 sur 20 «prévus» (selon le calcul de «pondération géographique» cf. page précédente) CA des Portes de l Eure 5/5 10/9 36/ /6 79 (sur 80 «prévus») dont : 51 sur 53 pour moitié Nord (Vernon) 28 sur 27 pour moitié Sud (Pacy) 11/10 4/4 9 4/4 9/9 18
19 Oise 102 Entretiens effectués CC du Pays Clermontois 11/ /1 15 (sur 13 «prévus») 3/3 2/2 17/16 CC du Pays De Thelle 87 sur 87 prévus Dont : 38 sur 37 pour la moitié Nord (Noailles / Ully) 49 Sur 50 pour la moitié Sud (Chambly / Neuilly) 18/18 27/ /20 19
20 IV. Éléments de cadrage géographique et statistique 1. D abord une question de proportions Une pression démographique «naturelle» de la région la plus dense de France vers ses franges D un côté habitants en Ile-de-France (estimation Insee 1 er janvier 2006) sur km² (soit 956 habitants par km²), de l autre, sur une superficie 4 fois et demi plus importante, 4,15 millions d habitants dans l ensemble des 8 départements limitrophes (Insee 2005) : le phénomène des «nouveau arrivants» dans les franges franciliennes est, de prime abord, d abord une question de proportion. On pourrait donc dire que l immense réservoir de population de l Ile de France, eerce «naturellement» une pression démographique non négligeable dans ses environs immédiats : particulièrement en provenance de ses zones les plus denses et particulièrement en direction des franges les plus proches de cette densité, donc notamment dans nos secteurs d étude. Avant toute analyse motivationnelle, sociale, économique et territoriale, on peut donc en premier lieu poser ce cadre de réfleion générale, d ordre géodémographique, qui impose à Évolution de la population de 1968 à 1999, par couronnes concentriques autour de Paris l esprit une forme d inéluctabilité du «déversement» démographique Années de recensement : estim progressif d une part des Paris populations franciliennes vers Tau d'évolution annuel, -1,2% -0,1% 0,2% moyenne période ses franges et même au-delà, comme on le sait. Le solde naturel ecédentaire de l agglomération parisienne et son solde migratoire négatif, entraîne en effet des mouvements de population de longue date vers Petite couronne Tau d'évolution annuel, moyenne période Grande couronne Tau d'évolution annuel, moyenne période Départem. limitrophes IDF à l'ouest (27, 28, 60, 45) Tau d'évolution annuel, moyenne période ,1% 2,5% 1,4% ,2% 1,1% 0,8% ,9% 0,7% 0,5% Source : RGP Insee 1968, 82, 99,
21 la grande couronne et vers la province. Les recensements successifs ont montré que le solde migratoire global de la région capitale est en faveur de la province, depuis le milieu des années 70. Ce qui a pu contribuer au renforcement de la pression démographique sur les franges dans les 30 ou 40 dernières années. Même un ralentissement de l urbanisation n empêcherait pas un important «tau de présence» des e-franciliens On remarque ainsi que les départements limitrophes de l Ile-de-France à l Ouest (les plus proches des zones denses) ont connu une période de croissance élevée de leur population plus ou moins parallèle à celle de la grande couronne (bien qu en moindre proportion ; voir tableau ci-dessus), alors que la croissance de Paris et petite couronne était déjà stabilisée. Pour cette raison et pour d autres, on imagine donc que ces départements ont accueilli, sur le long terme, une proportion importante de personnes ayant eu «au moins une epérience de vie en IDF», par effet de proimité, bien que les données statistiques manquent pour quantifier toute perspective de «longue durée». Rappelons quoi qu il en soit que les migrations intercommunales et interrégionales sont naturellement importantes en France. Par eemple, en 2005, sur l ensemble de la France : environ 8% des ménages français ont au moins changé de région (voire de pays) dans les cinq années précédentes 25% ont au moins changé de commune Ainsi, même si les échanges démographiques devenaient défavorables au franges (solde migratoire négatif), et/ou si l urbanisation y était «contenue» : cela n empêcherait pas pour autant, par «échanges de population», la poursuite d une arrivée régulière et importante de «franciliens», du simple fait du «rapport de proportion» évoqué plus haut. On le devine d ailleurs, en observant (cartes pages suivantes) les tau de «nouveau-arrivants» récents, majoritairement constitués d «e-franciliens» dans les départements proches de l agglomération parisienne. Ainsi, quelles que soient les évolutions de la «pression démographique», il n en restera pas moins à observer et à surveiller, au niveau local, les évolutions du «profil de peuplement», avec l arrivée de population : Qui ont fréquemment une epérience très «urbaine» (de zone urbaine dense), Qui ont parfois (bien que rarement, voir plus loin) un «pouvoir d achat immobilier» très élevé par rapport au normes locales (surtout pour ceu étaient déjà propriétaires et arrivent de communes «cotées» de l IDF) Qui subissent, mais sont aussi porteurs, de préjugés réciproques, de part et d autre de la «frontière» interrégionale 21
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