LES DÉFIS ACTUELS ILLUSTRES PAR DES EXEMPLES EN AFRIQUE, ASIE ET AMÉRIQUE DU SUD 1. INTRODUCTION
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- Edgar Monette
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1 SÉMINAIRE SUR LA GESTION DES RESSOURCES EN EAU PAR 3.3. PETERS LES DÉFIS ACTUELS ILLUSTRES PAR DES EXEMPLES EN AFRIQUE, ASIE ET AMÉRIQUE DU SUD 1. INTRODUCTION La pression démographique, la mauvaise gestion des ressources naturelles en général et des ressources hydriques en particulier, la pollution, la variabilité climatique sont autant d éléments cités, parmi d autres, pour expliquer la nécessité d une approche intégrée dans la gestion des ressources hydriques. Il faut se féliciter de nombreuses initiatives au niveau local, national, régional et mondial, mais il est notoire que des actions concrètes ne sont souvent lancées que suite à des catastrophes naturelles: sécheresses prolongées, crues catastrophiques, pollutions dramatiques. Mentionnons aussi que le partage des ressources hydriques est à la base de nombreux conflits internationaux. Les problèmes socio économiques, politiques et institutionnels de la gestion des ressources en eau ne peuvent être négligés. Des plans ambitieux ont été lancés suite à la pénurie d eau dans certaines régions, comme le projet de détournement d une partie des eaux du bassin du Zaïre vers le Lac Tchad et certains pays du Golfe de Guinée. Le Bangladesh souffre d une pénurie d eau en hiver et de crues catastrophiques en été mais ces phénomènes sont aggravés par l action humaine dans les pays limitrophes par suite de construction de barrages ou de la déforestation. Des projets de transfert d eau prévus depuis le bassin du Lac Titicaca vers la région côtière du Pacifique pourraient avoir un impact peu prévisible sur la dynamique de ce lac. Bien sur, un certain nombre d études scientifiques débouchent sur des solutions acceptables, mais il faut bien concéder que dans de nombreux cas les experts ne disposent pas de tous les éléments pour juger des impacts, et jouent en fait les apprentis-sorciers. Le meilleur exemple est sans nul doute la diminution rapide des ressources des barrages, suite à la sédimentation dans les bassins de retenue à des rythmes beaucoup plus rapides que ceux indiqués dans les études. Le séminaire comporte dans une première partie une présentation et une discussion des conclusions et recommandations contenues dans des études récentes d organismes internationaux (UNESCO, OMM, OMS, DTCDNU, PNUD, PNUE, CE etc.). Ensuite, les différents aspects de la gestion des ressources hydriques sont commentés à l occasion d études de cas. Ceux-ci couvrent une grande variété de situations géographiques, orographiques, hydrologiques et climatologiques. Dans chaque cas, l accent est mis sur les lacunes dans notre connaissance des systèmes hydriques, mais aussi sur les méthodologies qui devraient permettre de traiter les différents cas de façon pragmatique sans attendre les résultats d études scientifiques en cours. En effet, trop souvent les rapports d études se terminent par la petite phrase:... il est nécessaire d effectuer les études supplémentaires suivantes La dernière partie du séminaire devrait permettre aux étudiants de présenter leurs problèmes particuliers, de poser les questions, de rechercher ensemble des réponses satisfaisantes, au moins une orientation pour des études et recherches futures. J.). Peters; Séminaire Gestion des Ressources en Eau Page 1
2 - il - notre - le - malgré Les pays en développement disposent souvent de systèmes hydriques complexes dont les mécanismes sont, pour beaucoup, à la limite de nos connaissances. Ils requièrent aussi des solutions originales pour lesquelles nos connaissances scientifiques sont insuffisantes. L expérience est alors un outil fondamental. Dans le domaine de la gestion des ressources hydriques, le transfert de technologie est nécessaire, tout comme l éducation. Mais le plus important sans doute est de réaliser d une part un transfert de technologie appropriée, et d autre part de faire un transfert d expérience appropriée. Cette technologie et cette expérience existent au moins partiellement dans certains pays en développement. Il faudrait donc tendre vers un transfert Sud/Sud, avec l appui du Nord. 2. DEFINITIONS Avant de commencer à traiter de la gestion de La ressource hydrique, il est bon de la définir. Cette définition diffère selon le spécialiste ou l utilisateur. La définition est devenue plus globale au fur et à mesure que les spécialistes ont réalisé la nécessité d une approche intégrée et multidisciplinaire. On parle de plus en plus de (éco)système hydrique, sans qu une définition unique ne puisse en être donnée. Dans de nombreux documents (voir plus loin) le bassin hydrographique est pris comme unité. Sans vouloir prendre une position définitive, on peut affirmer que chaque cas doit être étudié séparément, mais que les limites du système considéré doivent être bien connues, tout comme les conditions qui y prévalent. Ce point sera commenté lors de l étude de cas et fera l objet d un échange de vues dans la dernière partie du séminaire. 3. ETUDES ET RAPPORTS D ORGANISMES INTERNATIONAUX a. Projet SAST N 6 sur la Recherche et le Développement Technologique pour l Approvisionnement et l Utilisation des Ressources d Eau Douce Ce projet a été financé par la Commission des Communautés Européennes, Direction Générale XII, section SAST (évaluation stratégique des besoins en science et technologie en Europe). Il comportait plusieurs rapports d experts sur: - les nouvelles ressources et une meilleure utilisation des ressources existantes - le traitement, le stockage et la distribution - la demande et l utilisation - données de base et modélisation Le problème des ressources était traité dans le premier rapport d experts. Quelques points marquants des conclusions, intéressants pour le séminaire: manque une définition claire d un système hydrique connaissance du fonctionnement des systèmes hydriques est souvent déficiente ou parcellaire caractère dynamique des systèmes hydriques n est pas assez reconnu les recommandations faites par la conférence des Nations Unies à Mar del Plata en 1977, peu de progrès ont été réalisés dans le domaine de l évaluation des ressources en eau, tant du point de vue de la quantité que de la qualité; la situation est dramatique dans certaines régions, comme en Afrique - la gestion des ressources en eau est trop sectorielle et compartimentée: il y a un besoin urgent d intégration et surtout d une politique de gestion en période de crise J.J. Peters; Séminaire Gestion des Ressources en Eau Page 2
3 - le - la - une - le - plutôt caractère multidisciplinaire de la gestion des eaux doit être reconnu, mais les ressources financières sont alloués plus sur base de critères à court terme que sur le long terme (1 aspect pollution a été privilégiée au cours des années 70 et 80, avec en corollaire une diminution des actions dans l évaluation quantitative des ressources) protection et la réhabilitation des ressources souterraines doit être une priorité meilleure connaissance des relations entre l eau et le milieu naturel est indispensable rôle des sédiments, notamment en rapport avec la pollution, doit être l objet de recherche et de développement technologique que de disperser ses efforts dans une multitude de projets de recherche, il faudrait mener des projets pilotes sur le développement synergétique des systèmes d eau douce b. Rapport OMM/UNESCO/PNUD/PNUE/DCTDNU (Nations Unies) sur l Evaluation des Ressources en Eau Ce rapport fait le point sur les réalisation des objectifs définis lors de la Conférence Mondiale sur l eau tenue en 1977 à Mar del Plata. Il a été préparé en vue des conférences de Dublin et de Rio de Janeiro et comporte des rapports spécifiques pour chacune des associations régionales. Une brochure de synthèse a été publiée en Il est possible de la consulter auprès du représentant national auprès de 1 OMM ou de se la procurer par le canal de l UNESCO ou de 1 OMM. Des recommandations sont formulées dans les domaines suivants: i. cadre institutionnel ii. acquisition, traitement et recherche de l information iii. évaluation par zone des paramètres hydrologiques iv. besoins de données/information hydrologiques pour la planification y. recherche et développement vi. ressources humaines, éducation et formation Certaines sont spécifiques, comme celle concernant l utilisation les ressources fossiles dans la région du Moyen Orient, d autres sont générales, telles l évaluation des effets du changement de climat ou de l utilisation des terres, ou l évaluation des ressources dans des conditions extrêmes. Pour l Afrique, par exemple, la détérioration des systèmes d acquisition des données et informations est considéré comme critique. Aussi une mauvaise utilisation des ressources a été mise en exergue, due à une planification déficiente, au manque de compétences au niveau de la gestion, à des conseils inadéquats, à l instabilité politique, aux guerres ou autres sources de tension. Les différents aspects d une bonne gestion des ressources en eau devrait être discutée lors de dernière partie du séminaire. Il est évident que les problèmes peuvent être ressentis de façon fort variable selon les cas. c. Rapport OMS/PNUD/PNUE/DCTDNU/... (Nations Unies) sur la Qualité des Eaux Ce rapport aussi a été préparé en vue des conférences de Dublin et de Rio de Janeiro. Il formule dix éléments clé: J.J. Peters; Séminaire Gestion des Ressources en Eau Page 3
4 1) Les aspects de quantité et de qualité des eaux sont liés de façon intrinsèque. Une utilisation rationnelle ne peut se faire sans reconnaître les besoins des utilisateurs pour une eau en quantité et de qualité données. 2) Les ressources d eau douce doivent être considérées comme un seul écosystème aquatique. Rivières, réservoirs, lacs et eaux souterraines doivent être gérées de façon intégrée, en tenant compte des influences climatiques, hydrologiques et socio-économiques 3) L eau devrait être gérée au niveau du bassin versant. Celui-ci représente l unité hydro-géographique la plus pratique au sein de laquelle la qualité des eaux de rivière, lacs, réservoirs et aquifères peuvent être mieux contrôlée 4) L approvisionnement en eau potable de bonne qualité est prioritaire par rapport à toutes les autres utilisations. Le droit de l homme d avoir accès à des ressources d eau potable en quantité et de qualité pour satisfaire ses besoins de base est reconnu par la conférence 5) Les maladies liées à l eau restent un problème majeur de santé. Dans les pays en développement, les maladies causées par la contamination micro-biologique des réseaux de distribution ou transmises par des vecteurs associés au milieu aquatique restent un problème de santé majeur 6) Les produits chimiques de synthèse représentent le danger le plus omniprésent et persistant pour les écosystème aquatiques. Les produits chimiques, en particulier les pesticides, et les déchets peuvent mettre en danger une utilisation bénéfique des eaux. Ces substances sont souvent très toxiques, non-biodégradables et bio accumulables 7) Les eaux souterraines sont des ressources aquatiques cruciales. Elles sont un support vital pour la vie de populations importantes, mais elles sont mises en danger de façon croissante par la surexploitation, la salinisation et la contamination cumulative à long terme 8) Des mécanismes de régulation effective par des lois et règlements sont des préréquisites pour la gestion des ressources hydriques. La pollution des eaux ne peut être contrôlée que sur base d une législation complète et par une mise en oeuvre à travers des institutions compétentes 9) La participation du public est essentielle pour une mise en oeuvre d une politique de l eau. L importance d une ressource en eau de bonne qualité pour la santé humaine et pour le développement économique devrait être un concept commun et les politiques supportées par un consensus public large et par une volonté politique 10) Des bases de données fiables de qualité des eaux sont indispensables. L évaluation de la qualité des eaux et la prévision de l impact global sur les écosystème requière des réseaux d observation et des systèmes d information de haute qualité et adaptés en permanence J.J. Peters; Séminaire Gestion des Ressources en Eau Page 4
5 4. ETUDEDE CAS a. Afrique j. Le périmètre irrigué de Kaedi: confluence des fleuves Sénégal et Gorgol L ambitieux projet lancé dans les années 70 pour la gestion intégrée des eaux du fleuve Sénégal et matérialisé par l organisation de la Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS) a déjà fait l objet de nombreuses critiques, notamment sur le bienfondé de la construction du grand barrage de Manantali, et de son corollaire: le barrage de Diama. La régulation des flots du fleuve devait permettre le développement harmonieux de tout le bassin et permettre de gérer la ressource hydrique de façon optimale au bénéfice d un grand nombre d utilisateurs: la population, l agriculture et l élevage, les producteurs d énergie, la navigation etc. Comme la construction d une grande retenue à l amont devait réduire et même quasiment éliminer les crues, certains projets de gestion de l eau ont vu le jour, notamment la réserve d eau dans la vallée du Gorgol. L idée était de créer une retenue derrière un pont-vanne (barrage mobile) permettant d emmagasiner dans la vallée du Gorgol soit les eaux de cette rivière quand elle débite, soit les eaux du fleuve Sénégal lorsque celui-ci est en crue (cette dernière façon devenant impossible dans la phase finale de régulation complète). Un périmètre irrigué a été construit dans la plaine d inondation à l abri de digues. L eau d irrigation est pompée à partir de la retenue dans le Gorgol, ou dans le fleuve Sénégal en cas de pénurie. Les digues entre le périmètre et la retenue dans le Gorgol se sont effondrées suite à l action des vagues provoquées par les vents violents qui soufflent la plupart du temps dans cette partie du Sahel. Le fonctionnement des vannes à l aval de la retenue a créé des courants de vidange ou de remplissage accompagnés de phénomènes d érosion des rives dans le dernier méandre du Gorgol. De ce fait, une coupure risquait de se produire entre les deux rivières, rendant inutilisable l ensemble du projet par court-circuitage du barrage-vanne. Certains aspects hydrauliques liés à des projets de mise en valeur des ressources en eau sont souvent ignorés lors de la conception. Une formation minimum d hydraulique fluviale devrait être intégrée dans le curriculum des spécialistes chargés de problèmes de ressource en eau, notamment les hydrologues et les ingénieurs agronomes. ii. Le delta intérieur du fleuve Niger Donnée du problème: Le fleuve Niger, qui prend sa source en Guinée, dans ce qui s appelle le chateau d eau de cette partie d Afrique, fait une grande boucle vers le Nord et y touche au Sahel. Suite au régime hydraulique et aux transports de sédiments s est formé un immense delta intérieur dans lequel le fleuve se divise en de nombreux bras, delta d une superficie importante. L évaporation dramatique fait que le fleuve voit son débit diminuer au point de tomber à sec au Niger. J.J. Peters; Séminaire Gestion des Ressources en Eau Page 5
6 Le problème de l évaporation dans le delta du Niger est un avant tout de nature fluvio-morphologique. Contrôler les divagations (les avulsions ) des chenaux dans le delta nécessite une bonne compréhension des mécanismes alluvionnaires. Un aménagement correct du lit est sans doute complexe mais permettrait d épargner des ressources importantes. Il est regrettable que les projets d approvisionnement en eau du Niger ne prennent pas en considération les possibilités de contrôle de la morphologie du fleuve. Par contre, des sommes importantes sont investies dans la constructions de retenues (barrages) dont l intérêt est mis en doute par certains. iii. LeNil Le Nu est un des grands fleuves les mieux connus d Afrique. Il a été très tôt le berceau d une grande civilisation à cause du régime hydrologique et fluvio morphologique stable et prévisible. Les crues annuelles donnaient lieu à des dépôts de limons qui firent la richesse des terres cultivables. Le développement démographique et économique de la région ont donné lieu à des ouvrages d aménagement, notamment les grands barrages dont Assouan est le plus grand, dont un des effets a été de réduire les inondations annuelles. La retenue d Assouan, tout comme les autres retenues du Nil, se remplit à un rythme plus rapide que prévu. Des maladies liées à la retenue sont apparues et créent des problèmes de santé publique. Les conditions de navigation à l aval des barrages se sont détériorées suite à des modifications fluvio-morphologiques importantes. La diminution des apports de sédiments dans la plaine d inondation et dans le delta a eu des effets néfastes qui nécessitent actuellement des études et travaux pour tenter d y remédier. Les projets d irrigation programmés par les différents pays riverains du Nil dépassent les ressources du Nil. Un fleuve n est pas seulement un vecteur d eau: il transporte aussi des sédiments dont le cheminement est perturbé par les ouvrages d art en rivière tels les barrages de retenue. Les réservoirs derrière les barrages forment de grandes masses d eau peu mobiles qui peuvent favoriser le développement de certaines maladies. Des dépôts de vase se produisent dans les eaux calmes et risquent à terme de perturber l équilibre physico-chimique des eaux L interruption des transports solides dans un grand fleuve à delta risque d avoir à terme un effet néfaste sur la stabilité du delta. Les efforts méritoires des pays riverains pour résoudre en commun les problèmes rencontrés risquent de ne pas aboutir à cause des besoins dépassant les ressources. J.J. Peters; Séminaire Gestion des Ressources en Eau Page 6
7 b. Amérique du Sud L. Aménagements hydro-électrique à buts multiples dans la rivière Apure au Venezuela Un plan ambitieux d aménagement hydro-électrique dans le bassin amont de l Apure, rivière affluente principale de l Orenoque, prévoit un système de barrages permettant de régulariser les débits des rivières par des transferts et stockages d eau dans et entre les bassins. Parmi les objectifs il y a celui, prioritaire, d améliorer le transport fluvial. Le projet a été bien conçu et ne donne pas lieu à des problèmes à court terme. On peut cependant prévoir des difficultés à cause des changements de régime hydraulique et sédimentologique. Cet exemple montre comment un projet intégré peut bien réussir à condition d avoir des institutions établies sur des bases logiques. Il montre cependant aussi la nécessité d analyser les raisons des changements passés pour prédire l avenir. Un système fluvial n est jamais en équilibre stable. ii. Gestion du bassin du Piraï en Bolivie La rivière Piraï est un affluent du fleuve Mamoré, lui-même affluent de l Amazone. Ce bassin comporte, comme beaucoup de fleuves Amazoniens qui prennent leur source dans les Andes, un bassin supérieur à haute altitude avec un changement brutal de pente du bassin et de la rivière au pied de la montagne. La pluviosité est forte sur les contreforts et au pied des Andes, provoquant des crues brutales. Une de ces crues a causé des dégâts graves à la première ville économique du pays (Santa Cruz de la Sierra) mais aussi dans la région agricole située en aval dans le cône alluvial (delta intérieur). Suite à la pression économique, ce delta est exploité de plus en plus, créant des risques de dommages lorsque les rivières poursuivent leur mécanismes d avulsion (déplacement du chenal principal). La construction d ouvrages tels routes, chemin de fer, ponts et autres ont eu des effets néfastes non prévus. Les spécialistes n ont pas bien fait la distinction entre les deux risques majeurs: l inondation et l avulsion. Chaque risque demande une approche distincte, mais on ne peut les dissocier. La fertilité d une région peut être liée aux processus sédimentaires des crues. La protection contre celles-ci peut avoir des effets néfastes. Une nouvelle approche de crues contrôlées permettrait de maintenir les effets bénéfiques tout en évitant les dégâts. J.). Peters; Séminaire Gestion des Ressources en Eau Page 7
8 il. Gestion du bassin du Lac Titicaca. Bolivie et Pérou Les crues du lac Titicaca (altitude m) ont provoqué des dégâts importants dans tout le bassin. Les variations du niveau du lac sont le résultat de mécanismes peu connus, mais provenant d un équilibre délicat entre l évaporation et la pluie, les deux étant liés. Un projet de mise sur pied d un plan binational de gestion de la ressource hydrique a permis d en mieux saisir le fonctionnement. Les projets de mise en valeur des ressources en eau ont montré que les besoins sont grands comparés au terme de fermeture du bilan et risquent donc d avoir des conséquences peu prévisibles. Les problèmes rencontrés sont multiples et seront discutés dans l exposé; ils sont liés, notamment: - au contrôle du niveau du lac et influence sur l écosystème du lac - à l effet d une régularisation des apports au lac (affluents) - au maintien de certains écosystèmes délicats (bofedales) - au contrôle des débits de l effluent du lac - à l effet des pollutions des eaux de surface et souterraines dans la partie basse du bassin, notamment par les métaux lourds Des systèmes hydriques complexes doivent être étudiés par des équipes multidisciplinaires, incluant dans ce cas des climatologues, agro-météorologues, agronomes, économistes, hydrologues, hydrauliciens, fluvio-morphologues, biologistes, écologistes, chimistes etc. c. Asie L Le delta du Ganges. Brahmaputre-Tamuna et Meghna: Bangladesh Le delta du Ganges, Brahmaputre-Jamuna et Meghna au Bangladesh est un des systèmes hydriques les plus dynamiques au monde. Lors des crues fortes, de 30 à 70 % du territoire sont inondés. Les rivières sont dynamiques, déplaçant régulièrement leurs cours. Suite aux inondation de 1987 et 1988, une aide massive a été fournie à un des pays les plus pauvres du monde. Un plan ambitieux de protection contre les inondations est à l étude, mais critiqué par d aucun. Les détails seront donnés lors de l exposé, mais les problèmes majeurs peuvent être résumés comme suit: - les populations vivent depuis des temps immémoriaux avec l inondation et s y sont adaptés par la construction de leurs maisons sur des parties rehaussées - le problème posé par les inondations est devenu critique du fait de la surpopulation (125 millions d habitants, une des plus denses du monde) - le problème de la redistribution des terres est plus grave que le problème des crues et fait qu un grand nombre de personnes meurent chaque année parce qu elles s établissent sur des terres soumises à l érosion des rivières J.J. Peters; Séminaire Gestion des Ressources en Eau Page 8
9 - Les - le - la - les déforestations dans les pays limitrophes, notamment au Népal, provoquent des apports croissants de sédiments qui aggravent les risques d inondation par rehaussement du lit des rivières construction de barrages en Inde, juste à l amont de la frontière, ne diminue en rien le risque d inondation mais provoquent la sécheresse nouvelles idées de gestion de l eau et en particulier des crues risquent d avoir des effets néfastes sur l écosystème développement de grands centres urbains (mégapoles) crée des risques de contamination des eaux, dramatiques pour l homme et son environnement Un pays potentiellement riche par ses ressources agricoles (trois récoltes de riz par an) est confronté à des problèmes extrêmement graves par suite de la surpopulation. Un pays se trouvant presqu entièrement sur un immense delta alluvionnaire doit trouver des solutions à deux problèmes majeurs: la protection contre les inondations et la protection contre les déplacements de cours de rivières. La répartition des eaux dans de grands bassins partagés doit se faire par des accords équitables. Une utilisation rationnelle des eaux souterraine peut être une solution en cas de pénurie d eau de surface; des systèmes de pompage efficaces peuvent être conçus à moindre coût avec des matériaux locaux ii. Le Lac/Lagune Bolgoda: Sri Lanka Un bassin côtier près de la Capitale Colombo est convoité par des promoteurs immobiliers. Ce bassin forme un écosystème très intéressant, entre le lac, la lagune et l estuaire, avec des bassins affluents formés de terres basses propices à la culture du riz. L interaction entre les eaux de surface et les eaux souterraines, d une part, et les eaux douces et océaniques d autre part ne sont pas bien comprises. Un remblaiement des terres basses pourrait avoir des conséquences importantes sur la recharge des eaux souterraines et donc sur l intrusion d eaux saumâtres. Ce phénomène a déjà été partiellement provoqué par la création d une brèche permanente dans la barre de sable à l entrée de la lagune, ouverture permettant l accès aux pécheurs. Le développement non coordonné d un bassin par plusieurs utilisateurs ou groupes intéressés risque d avoir des conséquences dramatiques pour l écosystème en général et les ressources hydriques en particulier. J.J. Peters; Séminaire Gestion des Ressources en Eau Page 9
10 5. CONCLUSIONS La gestion des ressources en eau ne peut se traiter avec des recettes. La complexité des systèmes hydriques, aussi la complexité dans leur relation avec l environnement naturel et humain, font que l approche doit être multidisciplinaire et intégrée. Ce séminaire n a pas la prétention de traiter de tous les aspects de la gestion, seulement de montrer à l aide de cas quels peuvent être les aspects trop souvent négligés dans les approches traditionnelles. La gestion des eaux doit avant tout tendre vers une utilisation durable de la ressource, mais il faut s entendre sur le concept de durabilité. Les systèmes naturels sont en perpétuelle évolution, ne fut-ce que par l histoire climatique récente. Si l homme a un impact certain sur notre écosystème, celui-ci a par ailleurs connu des évolutions rapides au cours des derniers millénaires. Qui pense au fait que la dernière glaciation ne date que de ans, lorsque le niveau des océans était à 120 m en dessous du niveau actuel. De ce point de vue, le changement global (global change en anglais, avec l effet de serre bien connu), même s il ne faut pas sous-estimer son importance, doit être relativisée par rapport à d autres impacts qui sont la surexploitation des ressources hydriques ou la contamination. La gestion des eaux doit devenir une science qui donne à l eau une valeur, non seulement la valeur économique traditionnelle liée à coût de l exploitation, mais une valeur liée à son importance dans notre écosystème. De ce point de vue, il n est sans doute plus acceptable de considérer l eau comme une ressource qui doit être disponible avec la quantité et la qualité demandée par l homme. Ce point mérite que l on s y attarde au cours de la discussion en fin de séminaire. J.). Peters; Séminaire Gestion des Ressources en Eau Page 10
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