Levés bathymétriques

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1 Non protégé SHOM Norme Etat : Approuvé (à contrôler) Version : Dernière modification le 2011/12/13 07:09 Editeur david.moreau@shom.fr Chef du PS CHATDHOC le 2009/05/27 18:48 Vérificateur ronan.creach@shom.fr Correspondant qualité de R1 Acquisition le 2009/05/28 09:17 Approbateur henri.dolou@shom.fr Directeur de la DQMN le 2009/05/28 09:51

2 Liste des documents gérés dans le référentiel documentaire et cités en référence dans le présent document N Identifiant Titre Etat Type 1 NR Norme de l'ohi pour les levés hydrographiques (S-44) Approuvé applicable 2 NR Format PIVOT Approuvé (en cours de remplacement) applicable 3 RP Fiche clients / exigences Approuvé applicable 4 LR Arrêté du 27 juin 2007 portant organisation des groupes hydrographiques et océanographiques du service hydrographique et océanographique de la marine Approuvé applicable 5 PS Gestion du thème Epaves Approuvé (en cours de remplacement) applicable 6 DO Informations hydro-océanographiques protégées 7 NR Instruction CCPCM (conception, confection, présentation des cartes marines) normes INTernationales - Sommaire 8 GU Transmission des données bathymétriques 9 LR Recueil et diffusion de l'information nautique. Approuvé Approuvé (à contrôler) Approuvé (à contrôler) Approuvé applicable applicable applicable applicable 10 DO Information nautique Approuvé applicable 11 DP Dossier de processus R1 Approuvé applicable 12 DO Concours apportés par le service hydrographique et océanographique de la marine en matière d'information et d'étude 13 GU Adaptation de l'avertissement 'Ne pas utiliser pour la navigation' 14 PG Enregistrement à conserver dans les Volumes 500 et archivage des données brutes dites bathymétriques Approuvé (à contrôler) Approuvé Approuvé applicable applicable applicable 15 NR Mesure des hauteurs d'eau Approuvé applicable 16 NR Abrogé version extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 2/46

3 N Identifiant Titre Etat Type ancienne Liste des documents non gérés dans le référentiel documentaire et cités en référence dans le présent document extrait le 2012/06/11 09:32 par 3/46

4 Table des matières 1 OBJET DE LA NORME DOMAINE D APPLICATION MODALITES D APPLICATION REFERENCES DOCUMENTS APPLICABLES DOCUMENTS A CONSULTER DOCUMENTS ABROGES DOCUMENTS ASSOCIES DEFINITIONS ABREVIATIONS...7 PREMIÈRE PARTIE LEVES BATHYMETRIQUES PRESENTATION LES LEVÉS BATHYMETRIQUES CLIENTS DU SHOM SECURITE DE LA NAVIGATION INSTRUCTIONS TECHNIQUES NORME OHI S NORMES MINIMALES POUR LES LEVES HYDROGRAPHIQUES DU SHOM RECHERCHE DES RELEVEMENTS METHODOLOGIE DES LEVES BATHYMETRIQUES REFERENCES : POSITION, ALTITUDE TRAITEMENT DES DONNÉES NIVEAUX DE TRAITEMENT DES DONNEES DONNEES A FOURNIR A LA DIRECTION DES OPERATIONS PRINCIPES DE TRAITEMENT CARACTERISATION DES LEVES CRITERES DE CARACTERISATION ET DE QUALIFICATION CARACTERISATION DES DONNEES DE BATHYMETRIE APPLICATION DE LA CARACTERISATION RESPONSABILITÉS DU DIRECTEUR TECHNIQUE...33 DEUXIÈME PARTIE TRANSMISSION DES INFORMATIONS NUMÉRIQUES DONNÉES DE NIVEAU MODELE CONCEPTUEL LES METADONNEES LES DONNEES CONSERVATION DES DONNÉES DE NIVEAU AUTRES DONNÉES...37 TROISIÈME PARTIE INFORMATIONS ANALOGIQUES ET DE SYNTHÈSE INFORMATIONS DE SYNTHESE MINUTES ET CARTES RENSEIGNEES...39 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 4/46

5 17.2. FICHE DE LEVE FICHE D EPAVE RAPPORT PARTICULIER AUTRES DOCUMENTS DE SYNTHESE DIFFUSION D INFORMATIONS DE SYNTHESE PROVISOIRES INFORMATIONS ANALOGIQUES ET DONNEES COMPLEMENTAIRES...41 ANNEXE A : EXPLOITATION DE L INFORMATION NAUTIQUE URGENTE PRINCIPE GENERAL DONNEES DEVANT FAIRE L OBJET DE SIGNALEMENT PROCEDURE DE SIGNALEMENT ENLEVEMENT D OBSTRUCTION...43 SHOM/DO/MIP 2 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 5/46

6 1 OBJET DE LA NORME Ce document définit les normes de levés bathymétriques à respecter lors des travaux hydrographiques réalisés pour le SHOM. Il présente également les données numériques relatives à la bathymétrie à fournir à l issue d un levé, ainsi que les principes d organisation de ces données numériques. Ce document est destiné aux responsables de levés bathymétriques, producteurs de données destinées à être intégrées dans les bases de données du SHOM ou exploitées dans les documents produits par le SHOM. 2 DOMAINE D APPLICATION Cette procédure s applique aux levés hydrographiques réalisés pour le SHOM. Elle est appliquée par le personnel chargé de préparer et réaliser ces levés, ainsi que le personnel chargé de traiter et de qualifier les données qui en sont issues. 3 MODALITES D APPLICATION Les instructions techniques des levés rédigées par la direction des opérations du SHOM, le sont en conformité avec la présente norme. Les directeurs techniques des levés réalisés pour le SHOM sont chargés de faire appliquer la présente norme au cours de ces levés. 4 REFERENCES 4.1 Documents applicables [1] S-44 5 ème édition - OHI (Organisation Hydrographique Internationale) - IHO Standards for Hydrographic Surveys - Février 2008 [2] Norme sur le format Pivot de bathymétrie [3] Fiche clients/exigences [4] Arrêté portant organisation des groupes hydrographiques et océanographiques du SHOM [5] Procédure de gestion du thème épaves de la base de données générale du SHOM [6] Instruction sur les informations hydro-océanographiques protégées, n 489/SHOM/EM/-- du 30 mai 1984 [7] Conception, confection, présentation des cartes marines (CCPCM) Normes INTernationales 300 et 301-ZIQ. [8] Norme sur la mesure des hauteurs d eau [9] Transmission des données bathymétriques [10] Norme sur le recueil d information de sédimentologie marine [11] Instruction du premier ministre sur le recueil et la diffusion de l information nautique [12] Circulaire n 129 DEF/EMM/PL/AEM/NP du 8 juillet 2005 [13] Dossier du processus R1 [14] Directive sur le concours du SHOM en matière d information et d étude : n 452/SHOM/EM/-- du 27 mai 1981, à jour de son modificatif du 8 juin 1984 [15] Adaptation de l avertissement ne pas utiliser pour la navigation [16] Enregistrement à conserver dans les volumes 500 et archivage des données brutes dites bathymétriques SHOM/DO/MIP 3 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 6/46

7 4.2 Documents à consulter [a] Dictionnaire hydrographique de l OHI, S32, 5 ème édition, 1998 [b] Concept national des opérations amphibies : n 644/DEF/EMA/EMP.1/NP du 10 juin Documents abrogés Norme sur les levés bathymétriques Version précédente 5 DOCUMENTS ASSOCIES SHOM/DO/MIP 4 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 7/46

8 6 DEFINITIONS Certaines définitions sont tirées des références [1] ou [a]. S y reporter pour de plus amples informations. antenne : Pour un sondeur : ensemble de transducteurs utilisé(s) pour l émission et la réception des ondes acoustiques. Une antenne de sondeur est également appelée base. On parle également d antenne pour un système de radiolocalisation (GPS en particulier) : il s agit alors du dispositif de réception des données de localisation, et dont la position est la position brute déterminée par le système de radiolocalisation. base : antenne d émission et/ou de réception d un sondeur. bathymétrie : mesure de la profondeur d une surface immergée. brassiage : valeur de la sonde la plus faible trouvée sur une remontée de fond. cap : angle formé par la direction du nord géographique et la ligne de foi du navire. condensation : échantillonnage spatial des données de bathymétrie destiné à limiter le volume de données archivées en base, tout en préservant l information nécessaire à une description optimale du relief sous-marin, et en respectant les impératifs liés à la sécurité de la navigation. correction : quantité dont il faut augmenter ou diminuer un résultat d observation ou un résultat qui en découle pour en améliorer la valeur en diminuant ou en annulant l effet des erreurs. Son signe est opposé à celui de l erreur. couverture : surface explorée. Pour un système acoustique, surface insonifiée. cycle : ensemble des mesures acquises lors d une émission-réception du sondeur. écho fixe : détail du fond fournissant un écho net au sonar et signalé à ce titre par un bâtiment de la Marine. Sa nature peut ne pas toujours être élucidée : relèvement du fond, fosse, fond rocheux affleurant, objet de petite dimension posé sur le fond, engraissement : diminution de la hauteur d eau sur une zone donnée. Cet engraissement peut être naturel (déplacement d un banc de vase ou de sable) ou artificiel (remblai). erreur : écart entre le résultat d un processus (par exemple une mesure) et la donnée théoriquement correcte correspondante. exploration : on parle d exploration du fond lorsqu un moyen (sondeur, sonar, plongeur, ou même à vue sur l estran, ) est mis en œuvre au cours d un levé pour déterminer la profondeur et/ou la présence d éventuelles remontées en tout point du fond. On précise alors le moyen d exploration (exemples : la zone a été explorée par plongeurs, la zone a été explorée par double insonification au sonar latéral, ). exploration totale : l exploration est dite totale lorsque les moyens d exploration ont été mis en œuvre sur tout le levé (ou le lot de données) de manière à détecter tous les relèvements de fonds devant l être selon l ordre du levé. fauchée : aire insonifiée par un sondeur multifaisceau le long de la route du navire. formation des voies : technique permettant d orienter un faisceau acoustique dans une direction donnée par combinaison des signaux des transducteurs élémentaires. incertitude : voir précision. incidence : angle défini entre la verticale et la direction initiale du faisceau. insonification : exploration par mise en œuvre d un moyen acoustique. insonification totale : exploration totale acoustique. lacet : mouvement de rotation autour de la verticale du bâtiment. largeur de fauchée : largeur du couloir exploré ("insonifié") par le sondeur, parallèlement à la route du navire. levé surfacique : levé réalisé au sondeur multifaisceau, assurant une couverture totale de la zone sondée par recouvrement longitudinal et latéral des mesures effectuées. lot de données (réf. [2]) : ensemble de données homogènes en termes de qualification hydrographique. SHOM/DO/MIP 5 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 8/46

9 métadonnées (réf. [2]) : Informations décrivant les caractéristiques des données (précision des données hydrographiques par exemple). L ISO les définit comme étant la description d un ensemble de données et de ses aspects utilitaires. Les métadonnées sont des données implicitement liées à la collecte des données. La qualité générale, le titre de l ensemble de données, la source, la précision de la position et les droits d auteur sont des exemples de métadonnées. niveau 1A (données) : mesures brutes fournies par les sondeurs : temps de parcours, angle d incidence du faisceau et données brutes des capteurs annexes (attitude, célérité) le cas échéant. niveau 1B (données) : mesures de profondeur datées, comprenant le cas échéant (SMF) les distances de la mesure dans le repère du navire. niveau 2 (données) : mesures de bathymétrie traitées, géoréférencées et validées par le directeur technique ouverture angulaire : angle au sommet du cône formé par les faisceaux bâbord et tribord de plus grande incidence. Ce paramètre définit, avec la profondeur et la courbe de portée du sondeur, la largeur de fauchée. ouverture d un faisceau : angle au sommet du «cône» formé par le lobe de directivité à 3dB d un faisceau. Il permet de définir la résolution du sondeur. L ouverture longitudinale et l ouverture latérale peuvent être différentes. pastille insonifiée (ou empreinte du pied de faisceau) : zone du fond de la mer explorée ("insonifiée") par un faisceau acoustique en considérant son ouverture à -3dB. pilonnement : composante verticale du mouvement du porteur. portée : (pour un système acoustique) profondeur ou distance limite au-delà de laquelle les mesures ne représentent plus la réalité du fond ou sont absentes. précision : Mesure statistique de répétabilité d une valeur, exprimée habituellement en tant que variance ou écart-type de mesurages répétés. La précision est généralement associée à un niveau de confiance (probabilité). On parle de précision (incertitude) pour un niveau de confiance de 68% lorsque la valeur réelle est comprise entre la valeur moyenne des mesures et plus ou moins une fois l écart-type. On parle de précision (incertitude élargie) pour un niveau de confiance de 95% lorsque la valeur réelle est comprise entre la valeur moyenne des mesures et plus ou moins deux fois l écart-type. profil : route prédéfinie suivie par un bâtiment ou une embarcation en sondage. qualification : association d indices de qualité à une donnée. En bathymétrie, les données sont qualifiées par leurs résolution et précision horizontales et verticales, ainsi que par leur rayon de validité. recherche : opération qui aboutit à la détermination des caractéristiques d un relèvement du fond. Elle est constituée par une phase d exploration, puis par une phase d étude (cotation) du relèvement détecté au cours de l exploration. roulis : mouvement de rotation du bâtiment autour de sa ligne de foi. seuil de navigation : seuil défini par le directeur technique, tel qu il n existe pas, dans la zone de validité du seuil de navigation, de profondeur inférieure à ce seuil, même détectée et cotée, et mise en évidence avec les moyens mis en œuvre au cours du levé. Ces moyens doivent par ailleurs être compatibles avec les exigences de précision et de détection requises. Ce seuil doit être associé aux limites de la zone géographique sur laquelle il est défini. Le seuil de navigation doit être strictement inférieur au seuil de recherche. seuil de recherche : dans le cas où l exploration d un levé pour lequel une exploration totale est demandée, a été réalisée et a montré l existence d un nombre de relèvements à coter rédhibitoire (fonds coralliens par exemple), seuil défini par le directeur technique au dessous duquel toutes les obstructions détectées ou estimées doivent être cotées. Ce seuil doit être associé aux limites de la zone géographique sur laquelle il est défini. Sa définition doit prendre en compte l incertitude sur les capteurs utilisés pour effectuer l exploration. sonde : distance verticale entre le fond et le niveau de référence correspondant au zéro de réduction des sondes. sondeur : appareil permettant de mesurer la hauteur entre la surface de la mer et le fond sous marin. sondeur monofaisceau (ou vertical) : sondeur permettant de mesurer la hauteur d eau à la verticale du navire. On parlera indifféremment de sondeur vertical ou sondeur monofaisceau par la suite. sondeur multifaisceau (ou SMF) : sondeur permettant de mesurer plusieurs hauteurs d eau réparties sur une large fauchée perpendiculaire à la route suivie par le navire. SHOM/DO/MIP 6 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 9/46

10 tangage : mouvement de rotation du bâtiment autour de la ligne perpendiculaire à la ligne de foi dans le plan horizontal du bâtiment. tirant d eau : généralement la hauteur entre la quille et la ligne de flottaison. Par extension, en hydrographie, hauteur entre la base du sondeur et la ligne de flottaison réelle (surface de l eau). top de localisation : point où la position d un porteur est mesurée (entre les tops, la position est déduite par interpolation). transducteur : appareil fonctionnant généralement par effet piézo-électrique permettant d émettre et de recevoir une onde acoustique en milieu aqueux. L antenne d un sondeur est constituée de un ou plusieurs transducteurs. 7 ABREVIATIONS BDBS : base de données bathymétriques du SHOM. REA : Rapid environmental assessment évaluation rapide de l environnement en vue de la préparation d opérations, militaires principalement. SMF : sondeur multifaisceau SHOM/DO/MIP 7 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 10/46

11 PREMIÈRE PARTIE LEVES BATHYMETRIQUES SHOM/DO/MIP 8 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 11/46

12 8 PRESENTATION Cette première partie décrit les normes à respecter lors des levés bathymétriques réalisés à l aide de sondeurs acoustiques monofaisceaux ou multifaisceaux, ainsi que des capteurs annexes mis en œuvre usuellement au SHOM lors des levés bathymétriques (sonars à balayage latéral principalement). Les données de topographie acquises dans le but de compléter les levés bathymétriques ainsi que les mesures de profondeurs réalisées par des plongeurs au moyen d un profondimètre peuvent être considérées comme des sondes et entrent dans le cadre du présent document. Cette partie a pour but : de définir des types de levés bathymétriques, de définir les normes à respecter pour chaque classe sur chacun des critères qui influencent la qualité du levé, d indiquer les procédures d assurance et de contrôle de la qualité, de décrire la nature des données numériques, analogiques et de synthèse à transmettre à la direction des opérations du SHOM. 9 LES LEVÉS BATHYMETRIQUES L ensemble des processus qui permettent l aboutissement d un levé hydrographique doit être établi en fonction des besoins du client qui initie le levé. 9.1 Clients du SHOM La fiche clients/exigences en référence [3] définit les clients dont le SHOM doit satisfaire les besoins : - les navigateurs (marine marchande, pêche en excluant le remorquage d engins sur le fond, plaisance, autres usagers professionnels de la mer en tant que navigateurs de surface) ; - la marine nationale pour la navigation de surface et sous-marine, en incluant le remorquage d engins immergés au-dessus du fond, jusqu à une profondeur de 1000 mètres ; - les intermédiaires du circuit de distribution des données et informations du SHOM (UKHO, agents distributeurs, PRIMAR S, OCI, éditeurs et diffuseurs de prédictions de marée, autres services hydrographiques, coordonnateurs nationaux délégués, coordonnateurs de zone NAVAREA) ; - les organismes utilisant les documents du SHOM en tant que supports de la réglementation. Enfin, le SHOM satisfait les besoins de clients ponctuels dans le cadre de conventions ou de protocoles. Compte tenu des exigences à satisfaire et des clients identifiés, la contrainte forte qui définit les normes admissibles pour l ensemble des levés bathymétriques réalisés par ou pour le SHOM est la contrainte de sécurité de la navigation. Son respect permet de remplir actuellement les autres attributions du service dans le domaine de la bathymétrie et de satisfaire aux besoins connus des clients du service. Ces besoins peuvent être traduits en un seul type de spécifications hydrographiques, basées sur les contraintes les plus fortes. Ces spécifications font l objet de la présente norme. Certains besoins spécifiques des forces de guerre des mines (description générale de l encombrement du fond avec une très haute résolution) ne sont pas pris en compte par la présente SHOM/DO/MIP 9 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 12/46

13 norme : il s agit de données de densité d objets non positionnés et décrits par rapport au fond, et donc pas de bathymétrie au sens strict. La présente norme s applique également, sauf mention contraire des instructions techniques du levé, aux travaux réalisés dans le cadre des partenariats ponctuels entre le SHOM et des organismes demandeurs de travaux de bathymétrie. L objectif principal du levé bathymétrique est la détermination de la position, du brassiage et de la nature d un échantillon représentatif du fond, qui inclut l ensemble des points hauts (têtes isolées, bancs, ) et des objets susceptibles d encombrer le fond (épaves, obstructions, ) dans la mesure où ils représentent un danger pour la navigation. Par ailleurs, les données de bathymétrie acquises par le SHOM ou pour son compte, sont susceptibles de présenter un intérêt pour d autres clients potentiels dont le besoin est la connaissance de la morphologie des fonds marins. Les besoins en sécurité de la navigation étant satisfaits, il convient donc de conserver le maximum (compatible avec les capacités de traitement et de stockage) d informations bathymétriques pouvant être utilisée à des fins de description morphologique du fond pour d autres applications, tout en supprimant la redondance dans les données (voir ). 9.2 Sécurité de la navigation On entend par sécurité de la navigation : - la sécurité de la navigation des bâtiments de surface. Les documents nautiques classiques publiés par le SHOM visent à assurer (référence [7], 1.2.1) la sécurité de la navigation des navires de plus de 500 tonneaux de jauge brute. Cette limite est ramenée à 25 tonneaux de jauge brute pour les côtes de France métropolitaine ainsi que celles des départements et collectivités d outre-mer. Des levés spécifiques peuvent par ailleurs être spécifiés pour des applications sortant de ce cadre (levés de plage par exemple), mais elles donnent lieu à la production de documents dédiés. - la navigation de bâtiments ou d engins sous-marins militaires jusqu à une profondeur de 1000 m. Des besoins spécifiques peuvent toutefois être exprimés par les forces dans ce domaine. Les documents du SHOM ne visent pas à assurer pas la sécurité d opérations maritimes sortant de ce cadre. Par exemple, les levés bathymétriques réalisés par le SHOM ne sont pas en mesure d assurer la sécurité de mise en œuvre d engins sur le fond : exploration pétrolière, chalutage, pose de câbles, 9.3 Instructions techniques Les besoins des navigateurs et des forces pour assurer leur sécurité varient en fonction du type de navigation ou d opérations pratiquées. Les instructions techniques qui préconisent le levé, ordonnées par la direction des opérations du SHOM, doivent : - identifier le client et le type de besoin à satisfaire par les données issues du levé bathymétrique ; - traduire ce besoin en définissant un type de levé hydrographique à réaliser. Les différents types de levés sont décrits au 9.5. La présente norme est articulée sur la chronologie d un levé bathymétrique. Elle peut être résumée par le logigramme suivant : SHOM/DO/MIP 10 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 13/46

14 Définition du client du levé : navigateur, forces ( 9.1) Définition du besoin Mise au point des spécifications Traduction des spécifications en types de levé SHOM ( 9.5) : Rédaction des instructions techniques Réalisation du levé bathymétrique : Préparation et acquisition ( 9 et 10) Traitement et validation des données bathymétriques ( 11) Caractérisation des données ( 12) Transmission des informations numériques, analogiques et des documents de synthèse ( 14 et 16) Validation du levé par la direction des opérations du SHOM Définition des éventuels travaux complémentaires à mener. Intégration en base de données pour exploitation ultérieure SHOM/DO/MIP 11 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 14/46

15 9.4 Norme OHI S44 L OHI a publié en 2008 la 5 ème version de la publication spéciale S44. Le but de cette norme est de fournir des exigences minimales en terme de qualité et de précision concernant les levés hydrographiques. Elle sert par ailleurs de référentiel international de qualité aux données de bathymétrie. La norme S44 définit 4 ordres en fonction du type de la zone levée. Les exigences des ordres sont fonction du degré de sécurité nautique à assurer et de la profondeur de la zone. La présente norme reprend les spécifications de la S44 en les appliquant aux différents types de levés réalisés au SHOM. 9.5 Normes minimales pour les levés hydrographiques du SHOM Le type de levé à effectuer est défini par les instructions techniques du levé (contraintes sur les travaux à réaliser) mais peut être adapté par le directeur technique en fonction des informations sur le trafic maritime recueillies lors de la préparation des travaux ou localement et en fonction de la nature des fonds levés (connue a priori ou découverte au cours du levé), si le type de levé prescrit par les instructions techniques se révèle inadapté. Un accord préalable de l ordonnateur du levé doit alors être recherché par le directeur technique. Les exigences définies ci-dessous sont des exigences minimales : si une qualité supérieure (précision notamment) peut être obtenue sans surcoût notable, les moyens nécessaires pourront être mis en œuvre pour y parvenir. Le tableau du fournit les spécifications requises pour chaque type de levé Zones critiques : ports, chenaux d accès, zones de mouillage et voies recommandées, avec profondeur sous quille minimale ou par fonds potentiellement dangereux et par fonds inférieurs à 40 mètres On se rapportera également au de l instruction en référence [7] pour la définition d une voie recommandée. Une voie recommandée doit impérativement comprendre : - un itinéraire à suivre, - une zone autour de cet itinéraire, dans laquelle la navigation est recommandée. L itinéraire de la voie recommandée est défini ou modifié s il y a lieu par le directeur technique en charge du levé en fonction : - de la bathymétrie mesurée et des relèvements de fonds détectés ; - du résultat des recherches (voir 9.6) ; - des infrastructures existantes (voies réglementées, balisage, feux et secteurs de feux, amers, ) ; - des pratiques en vigueur et des besoins des usagers de ces voies ; - de paramètres d environnement divers (courants violents, ). Il est décrit par : - un itinéraire (suite de points de coordonnées géographiques), - d éventuels alignements sur amers, feux, secteurs de feux, détails topographiques, sur lesquels s appuie l itinéraire des voies recommandées ou servant de traversier à ces voies ; SHOM/DO/MIP 12 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 15/46

16 - les limites de la voie recommandée à l intérieur de laquelle le directeur technique recommande la navigation en fonction de la bathymétrie et des autres paramètres d environnement. Ces limites sont constituées par un ensemble de points en coordonnées géographiques ou par une représentation sur un document graphique ; - les seuils de recherche et de navigation dans le cas d une voie recommandée avec seuil (voir 9.6). Toutes ces informations doivent être contenues dans le rapport particulier associé au levé (voir 17.4). Elles doivent le cas échéant être complétées par une description de l environnement (en dehors de la bathymétrie) nécessaire à la définition de la voie recommandée et par une critique des instructions nautiques en vigueur. La profondeur des zones avec hauteur d eau sous quille minimale sera limitée aux fonds inférieurs à 40 mètres Zones d intérêt particulier : autres Ports chenaux d accès voies recommandées zones de mouillage Dans certaines zones (jusqu à des profondeurs pouvant comporter des relèvements de profondeur inférieure à 40 mètres) où les conditions de navigabilité sont moins critiques, les contraintes du levé peuvent être moins fortes. La définition des voies recommandées donnée ci-dessus reste valable Levés avant dragage L objectif de ce type de levé n est pas d assurer directement la sécurité de la navigation mais de fournir une estimation correcte de la quantité de matériaux à enlever lors d un dragage. Il ne donne pas lieu à une rédaction aussi poussée que les autres levés puisque les informations recueillies sont amenées à devenir rapidement caduques. Ce type de levé n entre pas dans les attributions du SHOM. Cependant, comme il est parfois pratiqué au profit d organismes de la défense, une description standard en est donnée dans la présente norme. Dans la mesure où les relèvements dangereux doivent disparaître au cours du dragage, les travaux de détection et de cotation systématique de l ensemble des relèvements ne sont pas requis. Les spécifications du peuvent être ajustées au besoin réel du client Levés de contrôle de dragage Dans ce cas l objectif du levé est de contrôler la qualité du dragage, d une part pour assurer la sécurité de la navigation, et d autre part éventuellement pour contrôler que les obstructions ont bien été supprimées et calculer ultérieurement le volume dragué. Les normes d un levé avec hauteur d eau sous quille minimale ( 9.5.1) devront être respectées Levés côtiers et du plateau continental Les levés côtiers sont les levés de la côte jusqu à l isobathe des 50 mètres, ou en deçà de l isobathe des 50 mètres (levés au large par petits fonds), ne rentrant pas dans les catégories précédentes. Les levés du plateau continental sont les levés bathymétriques au delà de l isobathe des 50 mètres jusqu à l isobathe des 200 mètres, ne rentrant pas dans les catégories précédentes. SHOM/DO/MIP 13 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 16/46

17 Levés de plage Ce paragraphe traite des levés destinés aux opérations amphibies (référence [b]) : échouage de navires et d embarcations sur une plage en vue de débarquer ou embarquer du personnel ou du matériel. On considère dans ce paragraphe que le levé de plage est réalisé en mettant en œuvre une embarcation équipée de systèmes de mesures acoustiques de la bathymétrie : échosondeurs, sonars. La détermination de gradients et profils de plage par des moyens autres qu acoustiques sort du cadre de cette norme. De même, la présente norme ne traite ni de la détermination de l axe médian de la zone d exécution des relevés bathymétriques, ni de leur étendue, ni de la définition des travaux sur le domaine terrestre, ni de la détermination des facteurs environnementaux autres que bathymétriques nécessaires à la rédaction d un dossier de plage. Les levés bathymétriques nécessaires : - au transport par voie maritimes des forces vers l aire des objectifs de l opération amphibie, - à la définition de zones de mouillage d attente, et de routes de présentation recommandées, sont du ressort des autres levés décrits par la présente norme. Les levés de plage dérogent aux limitations habituelles des levés destinés à assurer la sécurité de surface (voir 9.2) : la continuité avec le levé topographique de la plage doit être assurée. Dans le cas où les accès à la plage se situent dans une zone non ou mal hydrographiée, le levé de plage doit être précédé au minimum d un levé de reconnaissance des abords par la mer de la plage, permettant de garantir que les navires pourront accéder à celle-ci. Ce levé doit également permettre d appréhender la menace mines sur l accès au couloir de plage. Ce levé de reconnaissance sera donc réalisé en mettant en œuvre un système permettant d appréhender la rugosité et la nature du fond. Dans le couloir d approche de la zone de débarquement, le levé sera réalisé en respectant les exigences des levés côtiers (voir 9.5.5) pour les profondeurs inférieures à un seuil qui sera fixé par le directeur technique en fonction des caractéristiques des navires devant naviguer dans le couloir. Pour les profondeurs supérieures à ce seuil, le couloir sera levé avec des précisions horizontales et verticales conformes à l ordre 1b, sans contrainte d exploration totale ni de recherche. Le levé de plage doit être associé à un relevé topographique de l estran à basse mer (densité de mesures 10 m minimum) réalisé avec une précision verticale et horizontale cohérentes avec celle du levé bathymétrique. Les mesures de topographie devront pouvoir être rapportées à la même référence verticale que le levé bathymétrique afin de pouvoir produire des profils de plage continus. L exploitation de ces données (réalisation de gradients et/ou de profils de plage, détermination des axes de présentation, compilation de toutes les sources d information et de données, ) sort du cadre de la norme Levés par fonds supérieurs à 200 m ou destinés à assurer la navigation sousmarine Les instructions techniques doivent préciser quels sont les objectifs précis du levé : Pour les levés réalisés par fonds inférieurs à 200 m, et en fonction de la hauteur par rapport au fond à laquelle le système sous-marin sera mis en œuvre, on se rapportera aux exigences prévues dans les paragraphes 9.5.1, 9.5.2, Par défaut, on appliquera les normes du paragraphe SHOM/DO/MIP 14 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 17/46

18 Pour les levés par fonds supérieurs à 200 m, et destinés à des applications de navigation de surface, les spécifications requises sont fournies par le tableau du (colonne «Levés grands fonds pour hydrographie générale»). Pour les levés destinés à la navigation sous-marine par grands fonds, les spécifications requises sont fournies par le tableau du (colonne «Levés grands fonds pour navigation sous-marine») Levés en transit Les systèmes de mesure bathymétrique des navires hydrographiques opérés par le SHOM doivent être mis de manière systématique en fonction sur les transits de ces navires s ils peuvent améliorer la connaissance de la bathymétrie le long de la route suivie. Les routes doivent être par ailleurs choisies en fonction de la connaissance bathymétrique des zones traversées. Les transits doivent donc être préparés en fonction des données contenues dans la BDBS, et ce, quelle que soit la profondeur. Les données acquises en transit seront traitées de manière similaire aux données acquises au cours des autres levés hydrographiques. Si la bathymétrie est connue de manière complète dans une zone traversée en transit par un navire hydrographique opérant pour le SHOM, l acquisition bathymétrique est facultative Levés de reconnaissance Dans certaines régions incomplètement ou non hydrographiées, des levés de reconnaissance peuvent être réalisés afin de déterminer si la zone sondée est potentiellement navigable (et nécessitera éventuellement des travaux hydrographiques ultérieurs) ou au contraire si elle présente des dangers qui justifient de sa définition comme zone non navigable. Les spécifications à adopter pour la réalisation des levés sont fonction de l objectif final du levé (définition d une voie recommandée, levé côtier ou du plateau continental, spatiopréparation ). Elles seront donc définies dans les instructions techniques en se rapportant à l un des cas décrits ci-dessus, ou dans la documentation relative à l objectif poursuivi (guide technique sur les spatiopréparations par exemple) Levés de contrôle L objectif d un levé de contrôle est de vérifier, sur un échantillonnage réduit, que la bathymétrie n a pas évolué dans un sens défavorable pour la navigation par rapport aux informations connues et portées à la connaissance des usagers. Le levé de contrôle peut alors conduire à devoir programmer un nouveau levé si besoin. Pour pouvoir comparer une nouvelle profondeur avec la profondeur ancienne, il faut s assurer qu elle corresponde à la même position (à la précision horizontale près) et qu elle soit déterminée avec une précision verticale du même ordre ou meilleure. Un levé de contrôle est donc réalisé avec les mêmes critères de précision horizontale et verticale que le levé de référence. Comme n est contrôlé qu un échantillon réduit de sondes, les autres critères (espacement des profils, recherches, ) ne sont pas spécifiés par la présente norme et sont laissés à l appréciation du directeur technique, sauf mention contraire dans les instructions techniques du levé, et sauf dans les zones où le levé de contrôle conduit à annuler les sondes anciennes (suite à l enlèvement d obstructions, par exemple, à la disparition naturelle d un banc, ) SHOM/DO/MIP 15 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 18/46

19 La zone contrôlée est qualifiée d «incomplètement hydrographiée», le levé complète les levés anciens, et, le cas échéant, peut annuler certaines sondes anciennes. La découverte de relèvements de fonds nouveaux au cours d un levé de contrôle est traitée selon la procédure définie en annexe A. Ces nouveaux relèvements sont alors cotés selon la procédure définie au paragraphe 9.6. SHOM/DO/MIP 16 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 19/46

20 Synthèse des spécifications Les incertitudes verticales sont considérées pour les données validées, ramenées au zéro de réduction des sondes. Les critères constituent des minimaux à respecter. Le directeur technique peut décider de respecter des critères plus restrictifs tant que le surcoût engendré reste en rapport avec le gain. Il mentionne alors dans les résultats (rapport particulier, métadonnées, ) le niveau de qualité réellement obtenu. Nota : Les incertitudes horizontales et verticales maximales se réfèrent à la norme S44. Il s agit des incertitudes propagées totales. Ces deux critères ne suffisent pas à eux seuls à qualifier un levé en conformité avec cette norme, ni avec les exigences du SHOM. Zone Incertitude horizontale maximale Incertitude verticale maximale Ecartement entre profils de bathymétrie «Zones critiques» (Ports, voies d accès, zones de mouillage et voies recommandées - Hauteur d eau minimale sous quille ( 9.5.1)) Celle préconisée par l ordre spécial S44 Celle préconisée par l ordre spécial S44 Choisi de sorte à obtenir l exploration totale, et inférieur à la plus grande des deux valeurs : soit 3 fois la profondeur moyenne, soit 25 m. Cet écartement pourra être augmenté si une couverture bathymétrique totale est assurée ** «Zones d intérêt particulier» (Autres ports, chenaux d accès, voies recommandées et zones de mouillage Fonds pouvant comporter des profondeurs inférieures à 40 mètres) ( 9.5.2) Celle préconisée par l ordre 1a S44 Celle préconisée par l ordre 1a S44 Choisi de sorte à obtenir l exploration totale, et inférieur à la plus grande des deux valeurs : soit 3 fois la profondeur moyenne, soit 25 m. Cet écartement pourra être augmenté si une couverture bathymétrique totale est assurée ** Zone côtière ( 9.5.5) Celle préconisée par l ordre 1b S44 Celle préconisée par l ordre 1b S44 Ordre 1b S44 ou plus si couverture bathymétrique totale ** Plateau continental ( 9.5.5) Celle préconisée par l ordre 2 S44 Celle préconisée par l ordre 2 S44 Ordre 2 S44 ou plus si couverture bathymétrique totale ** Levés grands fonds Hydrographie générale ( 9.5.7) Celle préconisée par l ordre 2 S44 Celle préconisée par l ordre 2 S44 Ordre 2 S44 ou plus si couverture bathymétrique totale **. Exploration totale Requise Double insonification totale si acoustique Requise Double insonification totale si acoustique Non requise Non requise Non requise Densité de prélèvements de sédiments Capacité de détection du système d exploration Celle préconisée pour les levés sédimentologiques systématiques Détection de toutes les formes cubiques de côtés supérieurs ou égaux à 1 m Celle préconisée pour les levés sédimentologiques systématiques Détection de toutes les formes cubiques de côtés supérieurs ou égaux à 2 m jusqu à 40 m, et à 10% de la profondeur au-delà. Celle préconisée pour les levés Celle préconisée pour les levés Non requis sédimentologiques systématiques sédimentologiques systématiques Ne s applique pas Ne s applique pas Ne s applique pas SHOM/DO/MIP 17 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 20/46

21 Critère de recherche (voir 9.6) Relèvements détectés dépassant le fond environnant* d au moins 0,5m et d au moins 5% de sa profondeur et relèvements de dimensions supérieures ou égales à 1x1x1 m. Dans le cas d un levé avec seuil, les recherches peuvent être limités aux seuls relèvements susceptibles de dépasser le seuil de recherche fixé par le directeur technique. Relèvements détectés dépassant le fond environnant* d au moins 0,5m et d au moins 5% de sa profondeur et relèvements de dimensions supérieures ou égales à 2x2x2 m jusqu à 40 m et à 10% de la profondeur au-delà. Dans le cas d un levé avec seuil, les recherches peuvent être limités aux seuls relèvements susceptibles de dépasser le seuil de recherche fixé par le directeur technique Relèvements détectés dépassant le fond environnant* d au moins 0,5m et d au moins 5% de sa profondeur et relèvements détectés de dimensions supérieures ou égales à 2x2x2 m jusqu à 40 m, et à 10% de la profondeur au-delà. Relèvements détectés dépassant le fond environnant* d au moins 0,5m et d au moins 5% de sa profondeur et relèvements détectés de dimensions supérieures ou égales à 2x2x2 m jusqu à 40 m, et à 10% de la profondeur au-delà. Relèvements détectés dépassant le fond environnant* d au moins 10% de sa profondeur et susceptible de s élever au-dessus de 1000 mètres. * L environnement en question est à considérer dans un rayon égal à la profondeur moyenne du lieu. ** L espacement peut être élargi dans le cas d un levé au sondeur multifaisceau lorsque la fauchée est plus large que l espacement préconisé, tant que le recouvrement entre deux fauchées consécutives reste assuré. La double insonification totale signifie que tout point du fond doit avoir été insonifié 2 fois sous des angles différents à l aide d un capteur acoustique de résolution suffisante pour assurer la détection des relèvements spécifiés par l ordre du levé. SHOM/DO/MIP 18 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 21/46

22 Levés grands fonds Zone Pour navigation sous-marine ( 9.5.7) Précision horizontale Celle préconisée par l ordre 2 S44 Précision verticale Celle préconisée par l ordre 2 S44 Levés avant dragage ( 9.5.3) Celle préconisée par l ordre 1a S44 Celle préconisée par l ordre spécial S44 Levés de contrôle après dragage ( 9.5.4) Celle préconisée par l ordre spécial S44 Celle préconisée par l ordre spécial S44 Levés de plage ( 9.5.6) Celle préconisée par l ordre 1a S44. Celle préconisée par l ordre 1a S44. Levés en transit ( 9.5.8) Celle préconisée par l ordre 2 S44 Celle préconisée par l ordre 2 S44 Ecartement entre profils de bathymétrie Couverture bathymétrique totale avec recouvrement de 10% Choisi de sorte à obtenir la couverture bathymétrique totale, ou inférieur à la plus grande des deux valeurs : soit 3 fois la profondeur moyenne, soit 25 m. Choisi de sorte à obtenir l exploration totale, et inférieur à la plus grande des deux valeurs : soit 3 fois la profondeur moyenne, soit 25 m. Cet écartement pourra être augmenté si une couverture bathymétrique totale est assurée ** 10 m maximum. Peut être contraint par la double insonification totale Non spécifié. Routes à choisir en fonction de la connaissance bathymétrique de la zone traversée. Exploration totale Non requise (des surfaces non explorées pour lesquelles il existe pour tout point une sonde mesurée située à une distance inférieure à 5% de la profondeur peuvent exister). Non requise Requise Double insonification totale si acoustique Requise dans la limite d emploi des moyens, avec double insonification des relèvements si acoustique. Non requise Densité de prélèvements de sédiments Capacité de détection du système d exploration Celle préconisée pour les levés sédimentologiques systématiques 40 mètres (maximum) ou 4 fois l écartement des profils de bathymétrie ou 2 par faciès si imagerie Celle préconisée pour les levés sédimentologiques systématiques Ne s applique pas Ne s applique pas Détection de toutes les formes cubiques de côtés supérieurs ou égaux à 1 m 4 fois l écartement des profils de bathymétrie ou 2 par faciès si imagerie. Détection de toutes les formes cubiques de côtés supérieurs ou égaux à 1 m Pas de prélèvements Non spécifié Critère de recherche (voir 9.6) Relèvements détectés dépassant le fond environnant* d au moins 10% de sa profondeur et susceptibles de s élever audessus de 1000 m Pas de recherche Relèvements détectés dépassant le fond environnant* d au moins 0,5m et d au moins 5% de sa profondeur et relèvements de dimensions supérieures ou Relèvements détectés dépassant le fond environnant* d au moins 0,5m et d au moins 5% de sa profondeur et relèvements de dimensions supérieures ou Pas de recherche SHOM/DO/MIP 19 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 22/46

23 égales à 1x1x1 m égales à 1x1x1 m Connaissant les bâtiments qui pourraient utiliser le site, le directeur technique peut fixer un seuil de recherche. Dans ce cas, seuls les relèvements susceptibles de dépasser le seuil de recherche fixé par le directeur technique seront recherchés. SHOM/DO/MIP 20 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 23/46

24 9.6 Recherche des relèvements La détermination de la position, du brassiage, et de la nature des points hauts du fond, têtes isolées ou bancs plus ou moins étendus, ou des objets qui l encombrent, épaves, obstructions artificielles, constitue l objectif principal d un levé hydrographique, dans la mesure où ces éléments constituent des dangers pour la navigation de surface ou sous-marine telle qu elle est définie dans le 9.2. La recherche des relèvements, lorsqu elle est prescrite (voir 9.5), se divise en 2 phases : l exploration : phase destinée à détecter l existence (ou le cas échéant l inexistence) du relèvement ainsi que sa position le plus précisément possible en fonction du système d exploration mis en œuvre. L exploration peut être réalisée par diverses méthodes. Pour les relèvements découvrants, une exploration photographique (photogrammétrie aérienne) ou topographique (profils topographiques en GPS cinématique ou nivellement avec cotation des relèvements) peut être réalisée. Pour les relèvements immergés et si tous les relèvements de fonds doivent être détectés, la phase d exploration doit être effectuée en mettant en œuvre un système acoustique (sondeur et/ou un sonar latéral) de résolution suffisante pour détecter avec certitude les relèvements recherchés. Dans ce cas, chaque point du terrain devra être insonifié 2 fois sous des angles différents par le capteur acoustique de résolution suffisante mis en œuvre. Cependant, pour des zones d extension réduite et lorsque les conditions (notamment de visibilité) le permettent, l exploration peut être réalisée par plongeurs. L exploitation du sonar latéral permet d estimer la hauteur d un relèvement et donc sa profondeur. On parle alors de sonde interprétée. Ces sondes interprétées ne constituent qu une aide pour le choix des relèvements devant faire l objet d une cotation et ne doivent pas apparaître dans le ou les lots des données du levé. L exploration peut également être complétée par un levé au magnétomètre remorqué (recherche et identification d obstructions métalliques) ainsi que par une mise en œuvre d un sonar hydrographique, Dans le cas d une exploration destinée à rechercher des relèvements anciennement signalés, le rayon de recherche à adopter est défini au paragraphe Toujours dans ce cas, si les dimensions du relèvement à rechercher sont connues et que le système acoustique de détection mis en œuvre est suffisamment performant pour garantir par une insonification unique la détection ou l inexistence du relèvement dans la zone recherchée, la phase d exploration peut être constituée par cette insonification simple. Dans ce cas, le directeur technique décide des contraintes à appliquer à l exploration en fonction des caractéristiques du levé (type de relèvement, renseignements disponibles, zone concernée par l exploration, ). Le rapport particulier du levé mentionne dans tous les cas la méthode d exploration retenue et justifie le cas échéant de l insonification simple. la cotation : phase d étude du relèvement, destinée à déterminer précisément son brassiage et sa position, en respectant les normes imposées par le 9.5. Cette phase d étude comporte la vérification des données issues de l exploration (les mesures correspondantes peuvent le cas échéant être incomplètes) ainsi que la détermination précise de la position et de la cote d un ou de plusieurs points hauts du relèvement considéré. Conformément à la S44, pour les épaves et obstructions dont le brassiage est inférieur à 40 mètres et qui représentent un danger pour la navigation de surface, le brassiage minimal de la structure devrait être déterminé par examen physique ou mise en œuvre d un sonar à haute résolution : Si la cotation par plongeur est possible dans des conditions matérielles et de sécurité acceptables, cette solution sera privilégiée. Dans le cas contraire, l ensemble des équipements acoustiques, répondant aux critères de résolution nécessaires pour le levé, sera mis en œuvre afin d estimer la cotation de l épave. La sonde la plus courte obtenue sera conservée, et une estimation de sa précision sera fournie. Dans ce cas, en fonction des équipements disponibles, la cotation pourra être effectuée par : - sondage au sondeur vertical avec insonification totale de la structure, SHOM/DO/MIP 21 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 24/46

25 - sondage au SMF, avec une résolution optimale et une insonification totale de la structure. Dans ce cas, le ou les points hauts de la structure devront être cotés par les voies les plus précises du SMF. On déterminera dans la mesure du possible la nature physique du relèvement, qu il soit artificiel ou non. Dans le cas d une épave ou d une obstruction artificielle, la profondeur et la nature du fond environnant devront être déterminés et tous les éléments permettant de suivre l évolution du relèvement devront être archivés. La procédure d archivage des caractéristiques des relèvements artificiels fait l objet de la procédure en référence [5]. On s efforcera de ne pas attribuer au relèvement une cotation provenant de la présence d objets ne présentant pas de danger et dont la présence est saisonnière ou temporaire : végétation sous-marine (sauf si elle peut présenter un danger : prise dans les hélices), bancs de poissons,. Si l étude individuelle de chaque relèvement n a pas été assurée alors qu elle était spécifiée, la mention de cette omission devra apparaître clairement dans les documents de synthèse associés au levé (minute et rapport particulier) et dans les métadonnées du levé (voir ). Si la raison de cette omission est la trop grande quantité de relèvements à coter, le directeur technique doit faire apparaître dans le rapport particulier et les métadonnées du levé, les orientations ultérieures à donner au levé sur cette zone : abandon des travaux car zone dangereuse pour la navigation, définition d un seuil de navigation, ou nécessité de compléments au levé. a) Sondes interprétées Lorsqu il n est pas possible de coter certains relèvements susceptibles de présenter un danger pour la navigation de surface ou sous-marine telle que définie au 9.2, le directeur technique peut décider de signaler cet éventuel danger par une sonde dont la valeur est déterminée en interprétant les informations disponibles (par exemple, en soustrayant aux fonds avoisinants la taille du relèvement estimée d après l écho mesuré au sonar latéral). On parle alors de sonde interprétée. Cette possibilité doit rester exceptionnelle (par exemple dans le cas d un levé inachevé qui ne pourrait être complété dans des délais raisonnables). Le traitement des sondes interprétées est identique à celui des autres sondes ; elles doivent notamment être qualifiées (voir 11.2). Cependant : - compte tenu de leur spécificité, elles sont fournies dans un lot (voir 14) distinct des autres sondes (éventuellement dans plusieurs lots si par exemple plusieurs méthodes d interprétation ont été utilisées) ; - elles ne peuvent être utilisées avec les autres sondes lors des phases d échantillonnage ( ). b) Levés avec seuil Par ailleurs, dans le cas où la quantité de relèvements à coter est trop élevée, le directeur technique peut décider de réaliser un levé avec seuil. Lorsque l exploration d un levé pour lequel une exploration totale est demandée et a été réalisée a montré l existence d un nombre de relèvements à coter rédhibitoire (fonds coralliens par exemple), le directeur technique peut décider de ne pas réaliser l ensemble des cotations telles qu elles sont prescrites par la norme. Dans ce cas, le directeur technique décide de la cote (profondeur) minimale des relèvements à rechercher et à coter : il définit un seuil de recherche, au-dessous duquel toutes les obstructions détectées ou estimées doivent être cotées. La définition de ce seuil ne dispense pas de la réalisation d une exploration totale telle qu elle a été prescrite par les instructions techniques. Ce seuil doit être associé aux limites de la zone géographique sur laquelle il est défini. La définition du seuil de recherche doit prendre en compte l incertitude sur les capteurs utilisés pour effectuer l exploration. A l issue des cotations réalisées et de leur traitement, le directeur technique doit alors définir un seuil de profondeur minimal : seuil de navigation. Ce seuil doit être associé aux limites de la zone géographique sur laquelle il est défini. Il doit être défini tel qu il n existe pas, dans la zone de validité du seuil de navigation, de profondeur inférieure à ce seuil, même détectée et cotée, et mise en évidence avec les SHOM/DO/MIP 22 extrait le 2012/06/11 09:32 par gael.morvan@shom.fr 25/46

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