1 ère partie : Bilan de la situation actuelle... 3 La pêche et l aquaculture en chiffres... 3 Les productions de pêche et d aquaculture...
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- Franck Caron
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1 MAYOTTE PECHE ET AQUACULTURE Bilan de la situation actuelle & Orientations stratégiques envisagées pour
2 Sommaire 1 ère partie : Bilan de la situation actuelle... 3 La pêche et l aquaculture en chiffres... 3 Les productions de pêche et d aquaculture... 3 La pêche et l aquaculture, des activités complémentaires... 3 Une flottille très artisanale et des pêcheurs sous équipés... 3 Une main d œuvre salariée d origine étrangère... 4 Des conditions de commercialisation inadaptées... 5 Des infrastructures très insuffisantes... 5 Un manque d organisation institutionnelle... 6 Des aides limitées et pas toujours adaptées au contexte local... 6 Des pêcheurs et des aquaculteurs insuffisamment formés... 6 les enjeux... 7 Protéger le patrimoine naturel exceptionnel... 7 Satisfaire la consommation locale (notamment sur le marché du frais)... 7 Créer de l emploi par l exploitation des ressources pélagiques... 7 Améliorer la qualité et la sécurité alimentaire des consommateurs... 8 Réguler la production et créer de la valeur ajoutée ème partie : les orientations proposées pour La modernisation de l outil de production pour pêcher à l extérieur du lagon... 9 La subvention à l exportation et la détaxation des produits nécessaires à la production 10 L obtention de licences de pêches auprès des pays voisins La construction des infrastructures portuaires manquantes Axe 1 : Mesures en faveur de l adaptation de la flotte de pêche La modernisation de l outil de production pour pêcher à l extérieur du lagon Proposer des actions de formation aux pêcheurs embarqués Axe 2 : Aquaculture, Transformation et Commercialisation Axe 2 : Aquaculture, Transformation et Commercialisation La construction des infrastructures portuaires manquantes Structurer le réseau de commercialisation Permettre une montée en puissance de l aquaculture Axe 3 : Actions collectives Fédérer les organisations professionnelles Recherche scientifique Renforcer le suivi sanitaire Axe 4 : Développement durable des zones côtières de pêche Renforcer le parc de DCP Aide à la diversification des pêcheurs Axe 5 : Assistance technique Apporter une expertise/conseil aux porteurs de projets Expertises Enquêtes au débarquement
3 1 ère partie : Bilan de la situation actuelle La pêche et l aquaculture en chiffres Les productions de pêche et d aquaculture Au total, la production débarquée par la pêche (95 espèces différentes) est estimé à 2300 tonnes/an. L essentiel est consommé à Mayotte. La diminution des ressources récifales se traduit principalement par l évolution de la composition des captures et un déplacement de l effort de pêche à l extérieur du lagon. La part des poissons pélagiques ne cesse d augmenter. Les scombridés (bonites notamment) représentent à eux seuls 25 % du total des captures. La production annuelle de l aquaculture (3 espèces) est proche de 200 tonnes/an ; 80% est destinée à l exportation. Bonite à ventre rayé La pêche et l aquaculture, des activités complémentaires D après la dernière enquête statistique réalisée en 2003, 4341 ménages déclarent avoir une activité de pêche (embarquée ou à pied) et environ la moitié pratique cette activité uniquement pour l autoconsommation. La pêche est une activité vivrière et complémentaire pour la majorité des ménages ; ainsi, seulement 14% des ménages de pêche sortent plus de 3 fois par semaine. Ce sont surtout ces derniers qui commercialisent leurs captures (pour un prix moyen de 3 /kg). L aquaculture à Mayotte est une activité récente et centrée pour le moment sur l exploitation de l ombrine avec des perspectives intéressantes sur d autres espèces (cobia, vivaneau des mangroves, dorade gueule pavée). Une entreprise industrielle et 4 petits éleveurs installés sur la pépinière d entreprises aquacoles coexistent (3 producteurs d ombrine et un producteur de produits nacrés). Une flottille très artisanale et des pêcheurs sous équipés Si on se recentre sur la pêche embarquée, on comptabilise un peu plus de 1100 embarcations. La flottille de pêche mahoraise est principalement composée de pirogues (70%) traditionnelle à balancier et de barques polyester (30%). Ces barques sont généralement faiblement motorisées ; 72% des embarcations motorisées ont une puissance inférieure ou égale à 15 CV. Les pirogues sont des embarcations construites localement, constituées d un tronc d arbre creusé et d un balancier, la plupart sont propulsées à la rame. Ces embarcations traditionnelles sont dangereuses, même Pirogue traditionnelle 3
4 pour l activité de pêche vivrière à l intérieur du lagon qui est leur vocation. Les barques polyester, généralement de marque «Yamaha» sont fabriquées sous licence japonaise à Dubai ou Djedda aux Emirats Arabes Unis et ont été importées par les pêcheurs au début des années Sur le plan de la sécurité, elles ne répondent pas aux normes définies par la réglementation française en terme de stabilité et de franc-bord, et ne présentent aucune garantie de qualité de construction. Afin d améliorer la sécurité en mer en rejoignant les standards nationaux, l importation de ces barques est désormais interdite (arrêté n 108/04/AM du 1 er octobre 2004). Les barques encore existantes doivent désormais, pour solder le passif, faire l objet d une visite annuelle de sécurité organisée par le service des affaires maritimes. L état de la barque et la détention à bord du matériel de sécurité sont vérifiés. Les pêcheurs qui souhaitent aujourd hui acquérir de nouvelles embarcations doivent s adresser aux chantiers locaux ou recourir à l importation. Les prix d acquisition sont par contre beaucoup plus élevés. Une quinzaine de demandes de subventions ont été déposées depuis septembre Ces bateaux seront inscrits en 4 ème catégorie professionnelle. Sur le plan sanitaire et même technique, les barques sont encore très rudimentaires. Moins de 6% sont équipées de compartiments à glace et quasiment aucune n est dotée d équipements de pêche (vire ligne, vire filet, vire casier). La ligne à main est la technique de pêche la plus répandue. Enfin, les trois petits palangriers de 9 mètres mis en service en 2002 montrent leurs limites en terme de rentabilité après 4 ans d exploitation à la pêche. A défaut d une maîtrise de la filière aval, il est très difficile de Barque YAMAHA rentabiliser des bateaux de Une main d œuvre salariée d origine étrangère La majorité des propriétaires de barques de peche sont pluri-actifs. Ce sont eux qui disposent des capacités d investissement. L activité de pêche est souvent une source de revenu complémentaire pour le propriétaire de l embarcation qui est rarement embarqué ; dans de nombreux cas, il laisse ainsi l exploitation de son bateau à une équipe de pêcheurs salariés. Dans un contexte connaissant une forte immigration clandestine, on constate ainsi que plus de 60% des pêcheurs embarqués en pêche côtière sont d origine étrangère (Anjouan, Grande Comores). Pour la pêche au large, c est le cas de la majorité des pêcheurs embarqués. Dans le cadre de la démarche de professionnalisation de la filière pêche engagée depuis octobre 2003, 173 pêcheurs ont obtenu un titre de séjour. Parallèlement, 4
5 plus de 8000 personnes en situation irrégulière ont été expulsées du territoire en 2004, dont un certain nombre de pêcheurs. Des conditions de commercialisation inadaptées Il n existe pour le moment aucun point de vente réunissant les conditions minimales d hygiène. En zone urbaine et dans les villages, les poissons sont vendus sur la plage, le bord des routes, souvent à même le sol, dans des brouettes ou sur des étals de palettes sommairement aménagés. Quelques travaux et Retour de pêche des pistes de réflexions sont cependant en cours pour améliorer cette situation. Il faut relever notamment un grand projet de marché alimentaire à Mamoudzou dans lequel des stands sont prévus pour la vente du poisson et le projet d atelier semi-industriel de transformation des produits de la mer qui verra le jour sous réserve de réunir les crédits nécessaires (1,7 m ). Le prévisionnel d exploitation table sur le développement de la demande intérieure pour des produits de qualité notamment au profit de la restauration collective (cantines scolaires notamment) qui ont recours aujourd hui aux produits d importation pour satisfaire les critères d hygiène, de quantité, et de régularité des approvisionnements. Les produits d aquaculture destinés à être exportés sont aujourd hui travaillés dans le seul atelier de l île répondant aux normes Européennes. Des infrastructures très insuffisantes Mayotte connaît un retard structurel important en matière d équipements portuaires. Le problème s amplifie avec l augmentation des échanges commerciaux, l intensification du trafic de passagers, le développement du tourisme nautique, l augmentation de la taille moyenne des bateaux. Ces évolutions nécessitent des aménagements et des services qui sont seulement en phase de réflexion dans le cadre du schéma de développement portuaire de Longoni et celui de Dzaoudzi-Mamoudzou. Les échéances de réalisation de ces projets restent cependant encore lointaines. Le développement de la pêche hauturière et l installation à Mayotte de petits palangriers est conditionné par la mise en place d un minimum d aménagements. Dans l immédiat et pour la flottille actuelle, un ponton dédié uniquement aux professionnels de la pêche (pour le débarquement du poisson et le stockage de matériel) ainsi qu un emplacement réservé pour la distribution de carburant aux professionnels (notamment pour le carburant détaxé) sont les points prioritaires. Pour les barques de pêche et de loisir localisées hors agglomération de Mamoudzou, l installation de cale de mise à l eau est nécessaire. Celles ci et d autres à envisager sur de nouveaux sites seraient également utiles aux aquaculteurs à la recherche d infrastructures d embarquement 5
6 et de débarquement pour exercer leur activité. Des bâtiments de stockage et de maintenance du matériel et des installations sont également nécessaires. Un manque d organisation institutionnelle Même s il existe plusieurs comités villageois de pêcheurs et une coopérative de pêcheurs qui rassemble la majorité des producteurs et le service des pêches qui intervient en soutien (administratif notamment), les pêcheurs ont du mal à s organiser et à construire ensemble tandis que la chambre d agriculture, de la pêche et de l aquaculture est toujours en gestation. Au niveau de la filière aquacole, l association COVIPEM de M Tsahara AQUAMAY regroupe l ensemble des producteurs et joue un rôle actif dans le soutien et le développement de la filière. Des aides limitées et pas toujours adaptées au contexte local Les aides aux pêcheurs et aux aquaculteurs sont exclusivement dédiées à l investissement et n ont pu bénéficier qu à un nombre relativement restreint de pêcheurs et d aquaculteurs (moins de 50 au cours des 5 dernières années). Cet impact limité est principalement dû aux capacités de financement très limitées des pêcheurs (peu ou pas de capital et de fond de roulement) et aux exigences réglementaires en matière de diplôme. Depuis l année dernière (arrêté n 33/DGS/CG du 2/8/2004), la politique d aide a été modifiée pour toucher un éventail plus large de bénéficiaires. Davantage de projets sont désormais subventionnés mais peu de projets réellement novateurs et structurants. Les enveloppes financières globales sont insuffisantes pour répondre à la Cage pour l aquaculture demande et impulser un réel changement. Des pêcheurs et des aquaculteurs insuffisamment formés Les pêcheurs dont plus de 60 % ont moins de 40 ans, non francophone et analphabètes pour la plupart, ne disposent en majorité d aucune formation initiale et s avèrent le plus souvent dans l incapacité de suivre les formations continues diplômante de longue durée (charge de famille, absence ou faiblesse de la formation générale initiale). Ainsi moins de 1% des pêcheurs ont suivi un stage ou une formation diplômante dans le domaine maritime. Seuls 49 pêcheurs en détiennent 1 dont 35 possèdent le certificat d initiation nautique qui est le diplôme minimum pour obtenir un livret maritime. 6
7 les enjeux Protéger le patrimoine naturel exceptionnel Mayotte bénéficie d un patrimoine naturel, marin notamment, exceptionnel. Ce territoire possède en effet l un des plus grands lagons du monde (1000 km2) et une biodiversité remarquable relativement bien conservée avec notamment ses habitats de récifs coralliens et la présence d espèces remarquables protégées (tortues, cétacés, etc). Les techniques de production «traditionnelles» et extensives qui étaient bien adaptées au milieu dans le contexte Poissons papillon autour du récif d une population peu nombreuse, moins de habitants en 1975, se révèlent inadaptées au contexte actuel et pourraient devenir dangereuses pour l environnement. Il apparaît donc urgent de faire évoluer les techniques de pêche et les zones exploitées et proposer pour les usagers du lagon des alternatives à la pêche (tourisme nautique, aquaculture). Satisfaire la consommation locale (notamment sur le marché du frais) La production halieutique a dû quadrupler depuis 1970 pour répondre aux besoins de la population. L effort de pêche dans le lagon a été considérablement accru, aboutissant à une surexploitation et à une diminution forte des ressources halieutiques récifales. D autres ressources de pêche existent cependant à l extérieur du lagon et les bons rendements enregistrer par les palangriers permettent d envisager un accroissement de l effort de pêche par la flottille artisanale locale sur les ressources pélagiques. L aquaculture avec un potentiel de production estimé de plus de 5000 tonnes par an et la possibilité de produire un large panel d espèces (différentes espèces de poissons marins mais aussi crustacés...) peut également fortement contribuer à satisfaire la demande locale en produits de la mer. Créer de l emploi par l exploitation des ressources pélagiques La population doit encore doublée au cours des 15 prochaines années. La modernisation de la flottille de pêche artisanale permettrait de satisfaire les besoins alimentaires croissants de l île, tout en créant de l emploi et en évitant d accentuer le déséquilibre (déjà très Thon albacore important) de la balance commerciale de l île. A terme, en complément de l exportation des produits aquacoles, l exportation de certaines espèces de poissons de pêche très bien valorisées sur des marchés de niche pourraient également être envisagée (thon sashimi, vivaneau, ). Des complémentarités entre les acteurs des filières pêche et aquaculture peuvent être envisagées dans cette perspectives. 7
8 Améliorer la qualité et la sécurité alimentaire des consommateurs Les besoins des consommateurs évoluent vers la recherche de produits alimentaires dont la qualité est garantie, l usage facilité tout en maintenant des prix accessibles. Les producteurs (pêcheurs et aquaculteurs) devront adapter leurs pratiques et mode d exploitation (notamment en terme de conditionnement des produits et de respect de la chaîne du froid) pour répondre à ces demandes. C est d ailleurs des évolutions à tous les échelons de la filière qui sont nécessaires pour répondre à ces objectifs. Conditionnement du poissons dans de la glace Réguler la production et créer de la valeur ajoutée L exploitation des espèces pélagiques est marquée par une forte saisonnalité des captures. Des équipements pour le stockage et le conditionnement des produits de la mer sont nécessaires à la fois pour lisser le marché, en évitant les à-coups de production, et mieux Dorade Coryphène valoriser les produits auprès des consommateurs tout en créant de la valeur ajoutée. La transformation (éviscération, découpe, conditionnement longue conservation, ) des produits de pêches et d aquaculture destinés à l exportation permettrait également de générer localement une valeur ajoutée appréciable. Sur le marché local, des produits élaborés (poissons fumés, poissons découpés préemballés, ) trouveraient également certainement leur place sur le plan commercial et généreraient une activité complémentaire à la production. 8
9 2 ème partie : les orientations proposées pour Comparativement à la métropole et même à certains DOM, la flotte mahoraise est artisanale et sous équipée, aucun bateau de plus de plus de 7 mètres et seulement 3 bateau de 9,2 qui ont déjà à ce stade des problèmes de place faute d infrastructures portuaires suffisantes pour l activité pêche. Il paraît donc important d obtenir une dérogation permettant de construire les infrastructures nécessaires et de financer la modernisation de la flottille et en particulier l achat de bateaux neufs de plus grand taille aux normes de sécurité. Par ailleurs, l évolution actuelle des pêcheurs vers une pêche plus au large, en dehors du lagon sur-exploitée nécessiterait l obtention de licence de pêche auprès des autorités malgaches. Ces points importants qui suppose une dérogation au cadre actuel de la politique européenne ou qui ne figurent pas explicitement dans les objectifs du FEP sont donc : La modernisation de l outil de production pour pêcher à l extérieur du lagon Considérant la diminution des ressources récifales dans le lagon et sur les hauts fonds, l effort de pêche doit être en partie déplacé et se développer sur les ressources pélagiques. Ceci implique une modernisation et une adaptation de la flottille côtière, afin d augmenter leur rentabilité et assurer les conditions de sécurité et d ergonomie. Cet axe nécessite le maintien et le renforcement Bateau immatriculé en deuxième catégorie d une politique d aide publique à la construction et la modernisation des exploitations de pêche et d aquaculture (relèvement des plafonds de subvention, emprunt à taux bonifiés). Il conviendrait notamment d appuyer le développement à Mayotte d une flottille de canots aux normes de sécurité pour la pêche côtière et équipés pour l exploitation des ressources pélagiques présentes autour de Mayotte. A plus long terme, il existe un réel potentiel de développement de la pêche hauturière à Mayotte avec des bateaux de mètres qui immatriculés en deuxième catégorie professionnel pourraient travailler toute l année dans le canal du Mozambique. Le développement de ce type de flottille est conditionné à la possibilité d apporter des aides pour ce type d unités de pêche (0,5 à 1M ) et au développement concomitant des infrastructures portuaires et de la structuration de réseau de commercialisation. 9
10 La subvention à l exportation et la détaxation des produits nécessaires à la production Pour pouvoir proposer à la vente à un prix compétitif des poissons produits à Mayotte, des mesures d aide visant limiter les charges des entreprises et à gommer les surcoûts liés à l insularité et à la mauvaise desserte aérienne s imposent. La mise en œuvre du fond POSEI permettrait de prendre le relais des subventions qui Carangue bleue sont actuellement attribuées par la collectivité départementale de Mayotte et qui sont essentielles au développement de l activité aquacole. A l inverse, dans le contexte d isolement géographique de l île, il conviendrait de faire bénéficier les producteurs (pêcheurs et aquaculteurs) d une fiscalité allégée pour le matériel importé destiné à la production. L obtention de licences de pêches auprès des pays voisins Dès le passage au statut de RUP, il conviendrait que l UE appuie la mise en place d accords de pêche avec Madagascar, les Comores et le Mozambique pour permettre l'exploitation de leurs zones de pêche par les flottilles françaises basées à Mayotte. La construction des infrastructures portuaires manquantes Les besoins spécifiques des pêcheurs et des aquaculteurs doivent être pris en compte dans le cadre des projets d aménagements portuaires. Il s agit notamment de prévoir des pontons de débarquement spécifiques, des points de distribution de carburant détaxé près des appontements, des espaces pour le matériel de pêche et d élevage, la possibilité de garder les bateaux à l eau sur De retour sur la plage des endroits sécurisés (problème récurrent des vols de moteurs). Toutes les autres mesures proposées figurent explicitement dans les objectifs du FEP qui sont repris et déclinés ci-dessous. Les objectifs principaux sont la modernisation de l outil de production et de commercialisation à destination du marché local et la sauvegarde des emplois. 10
11 Axe 1 : Mesures en faveur de l adaptation de la flotte de pêche La modernisation de l outil de production pour pêcher à l extérieur du lagon (cf supra) Proposer des actions de formation aux pêcheurs embarqués La formation initiale des jeunes se destinant aux métiers de la pêche doit être poursuivie et accentuée. Elle doit se traduire par la délivrance de diplômes reconnus et nécessaires pour embarquer sur des navires de pêche professionnelle inscrits au registre national. Pour tenir compte de l état actuel de la flottille, il convient cependant de proposer des formations techniques sous forme de modules courts et en langage vernaculaire Pêche d un thon local (shimaore, shibushi). Ces formations (ex : utilisation et entretien du matériel de sécurité, utilisation de nouvelles techniques de pêche, formations à la transformation et à la commercialisation des produits de la mer) doivent éventuellement être décentralisées dans les communes pour éviter les problèmes de transport. Ces formations doivent concerner en priorité les personnels réellement embarqués. La réalisation de cet objectif nécessite en particulier le réaménagement et la modernisation du Centre de Formation Maritime installé à Dzaoudzi et le déblocage de fonds pour financer la formation des pêcheurs adultes. Les fonds pour la formation initiale sont déjà existants. 11
12 Axe 2 : Aquaculture, Transformation et Commercialisation La construction des infrastructures portuaires manquantes (cf supra) Structurer le réseau de commercialisation La structuration de la filière aval doit se poursuivre avec pour priorités les aspects sanitaires de la vente et de la transformation et une plus grande régularité des approvisionnements. La création d un véritable marché agro-alimentaire (projet en cours) et la construction d un atelier de traitement des produits de la mer doivent être soutenus à cet Poissons sélectionnés pour l exportation égard. Cet objectif implique également la poursuite du regroupement des producteurs sous forme de coopératives afin de construire un réseau harmonisé de points de débarquement et de points de vente répondant aux normes sanitaires à l échelle de l'île. Permettre une montée en puissance de l aquaculture La filière aquacole mahoraise est jeune et en phase de structuration. Les priorités pour les prochaines années sont de pérenniser les entreprises en activité et d accompagner le développement de la filière dans une double perspective de développement durable et de retombées socio-économiques optimisées (développement des entreprises en place et création de nouvelles entreprises). Compte tenu de l étroitesse du marché local, la multiplication du volume de production repose essentiellement sur la réussite commerciale sur les marchés à l export, aujourd hui fortement pénalisée par le coût du transport aérien. En complément de l ombrine, les essais en cours sur de Vivaneau raies bleues nouvelles espèces laissent entrevoir des perspectives particulièrement prometteuses (Le cobia qui semble être un candidat idéal pour une production de type industrielle visant des marchés à l exportation ; les vivaneaux et la dorade à Vivaneau pagaie priori plus adaptés à une production artisanale visant le marché local). L élevage de coquillages pour la production de produits nacrés (mabés, perles) vient d être initié et doit être soutenu. Cette activité présente l intérêt de nécessiter de faibles investissements et de générer une activité artisanale complémentaire (travail de la nacre). De réelles perspectives existent également sur d autres filières de production telles que l élevage de poissons d ornement (marché de l aquariophilie), l élevage de crevettes en cages ou le grossissement de thons. Des études de faisabilités technico-économiques sont toutefois nécessaires sur ces filières afin de confirmer leur intérêt dans les conditions spécifiques Mahoraises. 12
13 Pour permettre cette montée en puissance, la mise en place d un dispositif pérenne d aide aux investissements, de réduction des charges et de soutien aux exportations est indispensable. Afin de faciliter l installation des producteurs artisanaux, la «Pépinière d Entreprises Aquacoles» doit être confortée dans son fonctionnement et au niveau de ses équipements. Par ailleurs pour la filière poissons, l achèvement du projet d écloserie conduit par AQUAMAY est vital pour sécuriser et fiabiliser les approvisionnements en juvéniles des éleveurs et des actions de promotion et de communication sont nécessaires pour imposer les produits sur leurs marchés respectifs et développer les ventes. Axe 3 : Actions collectives Ferme aquacole Fédérer les organisations professionnelles Une des actions de la future Chambre d Agriculture, de la Pêche et de l Aquaculture visera à faire apparaître les synergies et les complémentarités avec les associations de producteurs qui existent actuellement à l échelle villageoise. Le fonctionnement de ces associations est fortement handicapé par l absence de fonds propres, l absence de comptabilité certifiée et le manque de formation des cadres. La chambre devra par conséquent être en mesure de développer et mieux structurer l offre de vulgarisation au travers d actions de formations des représentants professionnels. Recherche scientifique L île de Mayotte est isolée géographiquement mais aussi scientifiquement. La coopération régionale doit se renforcer avec les îles voisines (Comores, Madagascar) et les territoires Français (La Réunion) qui exploitent les mêmes ressources et utilisent des modes d exploitation similaires. Cette collaboration doit permettre d'échanger les informations et de trouver ensemble des solutions de développement harmonisées. Ces actions doivent en priorité considérer les stocks chevauchants (pélagiques), les ressources profondes et bien évidemment l aquaculture. A cet égard, il est nécessaire de pérenniser à Mayotte la création d un correspondant scientifique sur la thématique halieutique et donner les moyens de poursuivre localement des programmes de recherche appliquée dans les domaines pêche et aquaculture. Renforcer le suivi sanitaire Le suivi sanitaire des produits halieutiques doit être poursuivi en routine notamment pour prévenir les risques d intoxication par la ciguatera et l histamine. Au niveau de l aquaculture, le suivi des élevages par un vétérinaire spécialisé mis en place par AQUAMAY doit être pérennisé afin de permettre une gestion préventive des risques pathologiques et sanitaires. 13
14 Axe 4 : Développement durable des zones côtières de pêche Renforcer le parc de DCP Externaliser l effort de pêche à l extérieur du lagon passe par le renforcement du parc actuel des dispositifs de concentrations de poisson (DCP) placés autour de l île (actuellement entre 9 et 12 DCP en permanence). Le maintien de ce parc nécessite de l entretien et un renouvellement régulier du stock. Aide à la diversification des pêcheurs Le potentiel touristique de Mayotte est important. Les projets hôteliers se multiplient et nécessiteront le développement d un tourisme nautique auquel prennent DCP en mer déjà part les pêcheurs. La modernisation des embarcations et la professionnalisation des pilotes est cependant nécessaire pour permettre une véritable diversification voire de réelles reconversions tout en assurant la sécurité des passagers. Axe 5 : Assistance technique Apporter une expertise/conseil aux porteurs de projets Faciliter l installation des porteurs de projet, les aider dans la gestion courante de leur entreprise (suivi comptable et fiscal), aider au montage des dossiers de demandes de subvention est absolument nécessaire dans une perspective de développement des activités halieutiques. A ce titre, il conviendrait d appuyer les associations et coopératives existantes (COPEMAY pour la filière pêche, AQUAMAY Coopérative de pêche : COPEMAY pour la filière aquacole) qui jouent déjà des rôles centraux et fédérateurs pour le développement de ces filières et permettre le renforcement du centre de gestion existant (ex : GECOPAM). Expertises Le recours a des missions d expertises par des bureaux d études spécialisés ou des organismes de recherche doit être facilité afin d aider les professionnels, l administration et les élus à orienter leurs choix stratégiques et leurs politiques de développement. Enquêtes au débarquement Le suivi statistique de l effort de pêche et des débarquements doit être poursuivi et étendu au suivi des indicateurs sociaux et environnementaux. Ceci implique le maintien d agents enquêteurs sur le terrain et d un statisticien chargé de collecter, analyser et vulgariser l information recueillie. 14
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