Opérations «Chercheurs d Eau» Printemps des Sciences ULB
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- Jean Bonin
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1 Institut des Filles de Marie Rue Théodore Verhaegen, Saint-Gilles Opérations «Chercheurs d Eau» Printemps des Sciences ULB LA CLASSE DE 5TQb
2 Table des Matières p.2 Table des matières p.3 Introduction et remerciements p.4 et 5 Définitions L'eau de distribution L'eau en bouteille p. 6 et 7 Composition L'eau de distribution L'eau en bouteille p.8 Tableau comparatif de quelques eaux de source et eaux minérales Eaux de source non gazeuses Eaux minérales non gazeuses Eaux gazeuses p. 9 à 15 La qualité de l'eau L'eau et la santé Qualité de l eau de distribution Qualité de l eau en bouteille p. 16 et 17 Le prix de l'eau L'eau de distribution L'eau en bouteille p.18 Prix moyen de quelques eaux en bouteilles Eaux non gazeuses Eaux gazeuses p.19 à 21 Comment choisir Avantages et inconvénients L'eau en bouteille, pas facile de faire un choix p.22 Enquête sur la consommation d'eau de distribution et d'eau en bouteille p.23 et 24 Résultats de l enquête p.25 Conclusion p.26 Bibliographie p.27 Annexe 2
3 INTRODUCTION Le sujet que nous avons choisi d aborder dans ce dossier est la comparaison entre l eau en bouteille et l eau de distribution. Après avoir défini ces types d eau, nous nous sommes intéressés à leur composition, leurs prix respectifs et enfin aux avantages et aux inconvénients que chaque type présente. Il nous a aussi semblé intéressant de mener une enquête au sein de l école auprès des élèves et des professeurs afin de cerner quelles sont leurs habitudes face à l eau de boisson. Conscients du fait que l eau représente un bien inestimable, et que contrairement à la majorité des gens sur terre, nous avons la chance d y avoir accès sans restriction, notre objectif premier a été de mieux connaître ce sujet, afin de pouvoir faire un choix réfléchi. Les élèves de 5 ème TQB et leur professeur madame Vander Steichel remercient vivement mesdames Cuvelier et Stevens (IFM), le professeur Walter Hecq, du Centre d études économiques et sociales de l environnement (CEESE) ULB, ainsi que madame Puttevils (Inforsciences - ULB) pour leur précieuse collaboration à la réalisation de ce dossier. 3
4 On distingue 2 grandes sortes d eau : DEFINITIONS L eau de distribution (robinet) L eau en bouteille L EAU DE DISTRIBUTION L eau de distribution est une eau potable, c est-à-dire une eau qui ne doit pas nuire à la santé du consommateur. Elle doit avoir les qualités organoleptiques, physicochimiques et microbiologiques requises pour la rendre agréable à l œil (limpidité, absence de coloration) et au goût (saveur et odeur agréables). L eau potable doit rester aussi inerte que possible vis-à-vis des matériaux qui la véhiculent (canalisations, bouteilles, ). Elle vient soit des eaux de surface soit des eaux souterraines. Les eaux de surface La qualité des eaux de surface varie fortement suivant leur origine. Selon le cas, elles sont naturellement riches en matières en suspension et en matières organiques naturelles, acides, peu minéralisées, Elles sont également vulnérables aux pollutions. De ce fait, les eaux de surface nécessitent des installations de traitement conséquentes comprenant généralement des opérations de filtration, minéralisation, neutralisation de l acidité. L eau de surface peut aussi être filtrée sur du charbon actif. L ozonisation est une technique utilisée pour éliminer les micro- polluants, les germes, les virus, les mauvais goûts, les couleurs et les odeurs. Les eaux souterraines Les eaux souterraines sont mieux protégées contre les agressions naturelles et humaines. Leurs caractéristiques sont plus constantes et elles ne nécessitent généralement que des opérations de traitement ciblées sur l une ou l autre caractéristique suivant leur origine : généralement une légère chloration destinée surtout a prévenir le développement de micro-organismes durant le transfert au consommateur. Les eaux souterraines, principales sources d eau potable, sont naturellement très pures, sauf en cas de pollution de la nappe phréatique. 4
5 L EAU EN BOUTEILLE Le consommateur ignore souvent la grande diversité des eaux en bouteille. En effet, les bouteilles se ressemblent mais les produits peuvent être très différents. Ils se repartissent en trois catégories : Les eaux de table Il s agit d eau du robinet (ou de puits), mise en bouteille. Elles sont de composition variable, souvent gazéifiées et éventuellement déchlorées. Elles doivent satisfaire aux prescriptions légales qui s appliquent à l eau de distribution. Les eaux de source L eau de source provient d une source souterraine, protégée en principe contre la pollution. Elle doit être bonne à la consommation sans avoir subi d autre traitement que la séparation des matières en suspension et des composés instables par des procédés physiques. Seule l adjonction de gaz carbonique (eau gazeuse) est autorisée. Les eaux minérales naturelles Elles proviennent également de nappes souterraines protégées des pollutions. Comme pour les eaux de source, tout traitement est interdit. L appellation «eau minérale naturelle» (EMN) est accordée par le ministère de la santé publique sur base d un dossier complet. Pour la consommation régulière, il vaut mieux choisir une eau peu minéralisée ou changer régulièrement de marque. Les eaux fortement minéralisées peuvent être contre-indiquées pour certaines personnes. Exemple : les eaux sodiques ne conviennent pas en cas d hypertension artérielle, d ulcère gastrique ou de régime «sans sel». Elles diffèrent des eaux de source par deux critères importants : Leurs caractéristiques doivent être stables dans le temps et ne subir aucune variation saisonnière. Certaines sont fortement minéralisées (concentration en sels minéraux supérieure à 2g par litre). 5
6 L EAU DE DISTRIBUTION COMPOSITION Elle doit répondre à 61 paramètres et critères de qualité définis par la loi belge, l UE et l OMS (organisation mondiale de la santé). Les compagnies de distribution veillent à rester largement en deçà des maxima autorisés pour les produits nocifs (nitrates, pesticides ). Voir en annexe le tableau de la composition moyenne de l eau (CIBE) L EAU EN BOUTEILLE Les consommateurs ignorent souvent la grande diversité des eaux en bouteille. En effet, les bouteilles se ressemblent mais les produits peuvent être très différents. Ils se repartissent en 3 catégories : Eaux de table Eaux de source Eaux minérales naturelles Eaux de table L eau de table doit satisfaire aux prescriptions légales qui s appliquent à l eau de distribution. Eaux de source et eaux minérales Il existe de l eau : non gazeuse (ou dégazéifiée) naturellement gazeuse (parfois renforcée au gaz de la source) gazéifiée (avec adjonction de gaz carbonique) éventuellement déchlorée L étiquette doit mentionner : le nom de la source le nom du lieu où est exploitée la source la mention «conforme aux résultats de l analyse du (date)», ou la teneur en éléments caractéristiques tels qu ils figurent dans le dossier introduit au ministère de la santé publique. 6
7 L étiquetage des eaux minérales naturelles (EMN) peut comporter des informations sur leur minéralisation. Exemples : EMN pauciminéralisée : résidu sec inférieur ou égal à 50mg/l EMN minéralisée : résidu sec inférieur ou égal à 500 mg/l EMN riche en sels minéraux : résidu sec supérieur ou égal à 1500mg/l Bicarbonatée : teneur en bicarbonates (HCO3 - ) supérieure à 600mg/l Calcique : teneur en calcium (Ca ++ ) supérieure à 150mg/l Fluorée : teneur en fluor (F - ) supérieure à 1mg/l Sodique : teneur en sodium (Na + ) supérieure à 200mg/l Désodée : teneur en sodium (Na + ) inférieur à 20mg/l Convient pour la préparation des aliments des nourrissons (uniquement sur l avis du Conseil supérieur d Hygiène publique) Convient pour un régime pauvre en sodium (teneur en Na inférieur à 20mg/l) Peut être laxative (démontré sur base d examens) Peut être diurétique (démontré sur base d examens) Stimule la digestion (démontré sur base d examens) 7
8 Tableau comparatif de quelques eaux de source et eaux minérales EAUX DE SOURCE NON GAZEUSES Composition DERBY CRISTALINE SAINT LEGER moyenne en mg/l Ca Mg ++ 3, Na + 3, K + Non indiqué SO HCO NO Cl EAUX MINERALES NON GAZEUSES mg/l SPA REINE CHAUDFON TAINE CONTREX EVIAN VICHY CELESTIN Ca ++, 4, Mg ++ 1, Na , K + 0,5 2,5 3, SO HCO NO 3 1,9 0,1 Non indiqué 3,8 2 Cl ,5 235 Remarques : Spa reine est une eau très faiblement minéralisée Contrex est une eau riche en calcium, magnésium et en sulfates Vichy Célestins est une eau très riche en bicarbonates afin de lui donner des vertus digestives, mais également riche en sodium (déconseillée en cas de tension élevée, régime sans sel ) EAUX GAZEUSES Leur composition moyenne en minéraux est fort semblable à celle des eaux non gazeuses. La différence réside dans la teneur en gaz carbonique qui les rend gazeuses. Spa : EMN avec adjonction de gaz carbonique Chaudfontaine : EMN avec adjonction de gaz carbonique Bru : naturellement et légèrement pétillante Perrier : EMN renforcée au gaz de la source 8
9 L EAU ET LA SANTE LA QUALITE DE L EAU L eau est vitale à notre organisme, constitué de plus de 60 % d eau. Chez le nourrisson, ce pourcentage est de 78 %. Près de 15 litres d eau circulent en permanence dans notre corps pour assurer, par exemple la dissolution des aliments ou l évacuation rénale. Pour que notre corps fonctionne bien, il faut compenser environ 2,5 litres perdus quotidiennement. L apport fourni par l eau des aliments étant insuffisant, il faut boire au moins 1,5 litres d eau par jour, sans oublier d augmenter les doses en période estivale, en cas de fièvre, chez le nourrisson et chez le sportif. La soif est généralement un bon indicateur de la déshydratation de l organisme. Mais il est préférable de boire avant d avoir soif car cet indicateur ne fonctionne pas de la même manière pour tout le monde. Lors d une activité physique importante, la sensation de soif est tardive et ne permet pas de combler le déficit hydrique réel. Chez les personnes âgées, la sensation de soif diminue tandis que les enfants en bas âge ne peuvent ou ne savent pas toujours exprimer leur soif alors que le besoin en eau est réel. Le mieux est donc de boire régulièrement tout au long de la journée. Certains estiment que si l eau est bonne pour la santé, c est grâce à ses apports en calcium, en sels minéraux et en oligo-éléments (fluor, calcium et magnésium, notamment). D où l importance de consommer des eaux à fortes minéralisations sauf dans des cas particuliers (personnes soumises à un régime sans sel, par exemple). D autres, à l inverse prônent la consommation d eau la plus pure possible, le rôle de l eau n étant pas d apporter des nutriments à notre organisme mais de permettre le transport de ceux-ci jusqu aux cellules et l évacuation des déchets jusqu aux organes d élimination. D où la nécessité de boire une eau faiblement minéralisée. Entre ces deux positions, les associations de consommateurs s entendent pour recommander de boire essentiellement de l eau faiblement minéralisée et de privilégier l eau du robinet, tout à fait bonne pour la santé, nettement moins chère et beaucoup plus écologique que l eau en bouteille 9
10 QUALITE DE L EAU DE DISTRIBUTION L'eau de distribution doit satisfaire à pas moins de 61 paramètres de qualité. Ceuxci sont fixés par l'union européenne, le plus souvent sur base des recommandations de l'organisation Mondiale de la Santé (OMS). L'OMS travaille avec un grand nombre d'experts venant du monde entier. Ils étudient l'influence de chaque produit et de chaque substance sur l'homme et l'animal. Ils calculent ainsi, pour une substance donnée, quelle quantité peut en être absorbée chaque jour, durant toute une vie humaine (dont la durée moyenne est actuellement estimée à 70 ans), sans risque pour la santé. L'OMS fixe ainsi la dose journalière admissible (DJA) pour les êtres humains, exprimée en milligramme par kilo de poids corporel. A partir de cette dose journalière, on calcule alors la concentration maximale admissible d'une substance dans l'eau potable en tenant compte du poids corporel moyen, du pourcentage de l'ingestion totale qui se fait via l'eau potable et de la quantité d'eau ingérée en moyenne par jour. Jusqu'à la Deuxième guerre mondiale, les sociétés de distribution d'eau ont fixé elles-mêmes les critères de qualité pour l'eau. Après la guerre sont apparues des lois nationales et des recommandations internationales, notamment celles de l'organisation Mondiale de la Santé. Depuis 1980, une Directive européenne doit être respectée par les Etats membres. La Wallonie, Bruxelles et la Flandre ont basé sur elle leur propre réglementation. L eau de distribution à Bruxelles est produite par la CIBE (Compagnie Intercommunale Bruxelloise des Eaux), et distribuée par l IBDE (Intercommunale Bruxelloise de Distribution d E au ). L IBDE distribue 66 millions de m 3 par an. La CIBE possède de nombreux sites de captage (27 sites répartis dans 5 provinces, principalement en Wallonie). Ces sites présentent des eaux d origines et de compositions diverses. Les eaux souterraines sont protégées de la pollution grâce à des zones de protection entourant les nappes aquifères. Les eaux de surface sont soumises à de multiples traitements sous le contrôle de techniciens, chimistes et ingénieurs. Chaque jour, des échantillons sont prélevés pour examen : -sur les lieux de captage -dans les usines de traitement -dans les réservoirs et les conduites Tous les stades du circuit de production et de distribution sont ainsi en permanence contrôlés, ce qui permet de garantir la qualité de l eau distribuée. 10
11 CRITERES CHIMIQUES Le plomb : Origine: La teneur en plomb de l eau est directement influencée par le contact avec les canalisations (seules les anciennes canalisations sont en plomb). Heureusement, à Bruxelles, l'eau de distribution contient assez bien de calcaire qui réduit la dissolution du plomb. Les risques sont donc minimes. Une directive européenne impose qu à la date du 31 décembre 2013, la concentration en plomb de l eau de distribution à Bruxelles soit inférieure à 10 micro-grammes par litre à la sortie des robinets. De ce fait, canalisations seront remplacées sur le territoire de la région de Bruxelles- Capitale d ici L IBDE se charge du remplacement des canalisations jusqu aux compteurs, mais le propriétaire est responsable du remplacement des tuyauteries dans son habitation. Risque: Un excès de plomb peut provoquer une maladie appelée saturnisme (maladie qui touche le système nerveux et osseux). Le chlore : Origine: Il est ajouté pour désinfecter l'eau, qui, sans ce traitement, serait beaucoup plus dangereuse que ne peut l être le chlore dilué. Risque: Le chlore, sous la forme libre (Cl₂), est une substance toxique à forte concentration, elle ne l est pas dans l eau de distribution où elle est fortement diluée. Signalons qu au contraire du chlore libre, le chlorure (Cl ) est un élément essentiel aux mécanismes biochimiques vitaux. Le calcaire : Origine: Les eaux du robinet, en Belgique, sont des eaux calcaires dans lesquelles la roche s'est dissoute. S il n'y avait pas de calcaire dans l eau, les tuyaux rouilleraient. Bon nombre de consommateurs se détournent de l eau du robinet à cause de cette présence de calcaire. Risque: le calcaire n a jamais nuit à la santé, bien au contraire. Mais les gens amalgament. En effet, depuis de nombreuses années, des campagnes publicitaires nous avertissent des dangers du calcaire pour les résistances du lave-linge. D où une confusion facile: «si c est mauvais pour la santé de mon lave-linge, c est mauvais pour la mienne aussi». 11
12 Les nitrates : Origine: Les engrais utilisés dans l'agriculture contiennent des nitrates. Ceux-ci peuvent se dissoudre dans l'eau de pluie et pénétrer ainsi dans le sol et contaminer les nappes phréatiques. Risque: La nocivité des nitrates dépend de la dose quotidienne absorbée. Ils se transforment en nitrites dans notre système digestif, ce qui diminue alors la capacité du sang à transporter l oxygène nécessaire à notre corps. La norme légale européenne est de 50mg/l mais selon certains experts, elle devrait baisser à 25mg/l et même à 10mg/l pour les femmes enceintes et les nourrissons. Pour ces derniers il est donc conseillé de boire de l eau en bouteille, à faible teneur en nitrates. Le fluor : Origine: Il est ajouté à l'eau de distribution en petites doses dans la prévention des caries. Risque: En trop grande quantité, il peut amener des malformations des dents et du squelette. 12
13 CRITERES ORGANOLEPTIQUES Odeur : Du chlore est ajouté à l eau de distribution pour la désinfecter. Cette adjonction bien contrôlée, reste inoffensive pour la santé. Le chlore en s évaporant est responsable d une éventuelle odeur. On peut pallier à cet inconvénient en laissant reposer l eau (par exemple en carafe) ou en ajoutant quelques gouttes de jus de citron ou encore en utilisant une cruche filtrante. Une fois tout le chlore évaporé, l odeur aura disparu. Couleur : L eau a parfois une couleur brune ou rouge, ce phénomène est dû à la faible quantité de fer et de manganèse dans les canalisations et à la rouille qui est produite dans les conduites en acier ou en fonte. Ce phénomène n est pas nuisible pour la santé. Quant aux dépôts brunâtres, ils trahissent la présence de terre dans les canalisations lors de travaux sur le réseau et ne doivent pas persister. Il faut prendre contact avec la compagnie distributrice dans le cas contraire. Aspect : L eau a parfois un aspect blanchâtre, à cause d une baisse de pression qui cause une diminution de la solubilité de l air dans l eau, ce qui produit des bulles donnant un aspect laiteux à l eau lorsqu elle est exposée à la lumière. Ce phénomène n influence en rien la qualité de l eau. En laissant reposer l eau, l air va s évaporer. REMARQUES : L eau chaude du robinet n a plus la qualité d eau potable, car le réchauffement de l eau modifie sa composition. Elle contient moins d oxygène et certaines bactéries peuvent se multiplier dans l eau. D'autre part, au dessus de 40 C le calcaire peut précipiter. Lorsque l eau du robinet est rétablie après des travaux ou après une longue interruption de son utilisation, il faudrait rincer les canalisations en laissant couler l eau quelques minutes. 13
14 QUALITE DE L EAU EN BOUTEILLE Les eaux de sources ou minérales doivent, pour pouvoir être commercialisées, avoir introduit un dossier et reçu l autorisation du ministère de la santé publique. La réputation des firmes commercialisant les eaux en bouteille étant mise en jeu, on peut considérer que les normes de qualité sont en principe respectées. Toutefois, il ne faut pas perdre de vue les paramètres suivants : Beaucoup de gens ignorent que l eau minérale ne doit pas respecter les normes de potabilité de l eau de distribution et qu elle peut même les dépasser pour certains paramètres. Certaines sont censées avoir des vertus médicinales du fait qu elles contiennent une concentration particulière de tel ou tel élément. Le fait de boire ce type d eau requiert un avis médical, sous peine d être victime de déséquilibres ou de carences. Les captages ne sont pas à l abri de contaminations par les nitrates et les pesticides (problème également rencontré pour l eau de distribution). Certains microorganismes risquent de proliférer dans les eaux en bouteille. Ceci est dû au fait que les eaux en bouteille sont stockées pendant de plus longues périodes et à des températures plus élevées que l'eau du réseau. C'est pourquoi le contrôle des matériaux servant à la fabrication des récipients et des systèmes de fermeture des eaux en bouteille est particulièrement important. Il est également important de respecter la date de péremption indiquée sur la bouteille. On a signalé des cas de fraude qui ont consisté à remplir des bouteilles d'eau minérale vides au moyen d'eau du robinet et à vendre le produit comme de l'eau minérale. Le consommateur n'est pas toujours en mesure de constater la supercherie simplement en fonction du goût. En cas de doute, il faut donc attentivement examiner la fermeture de la bouteille avant de l'acheter ou insister qu'on l'ouvre en sa présence au restaurant. 14
15 Conservation : Pour conserver leurs qualités, les bouteilles d eau doivent être stockées dans un endroit sec, à l abri de la chaleur et de la lumière. Lorsqu une bouteille est entamée, elle doit être bue dans les 48 heures, à condition d être refermée. Boire à la bouteille nuit à la qualité de l eau car notre bouche transmet des germes. Matériaux des bouteilles : Les matériaux utilisés pour embouteiller l eau doivent répondre à 4 règles : Garantir la protection de l eau Etre inaltérables et résistants aux manipulations Etre neutre dans leur odeur et leur goût Etre hygiéniques et inoffensifs Les matériaux utilisés sont généralement le verre ou le plastique. Le verre a l avantage d être recyclable indéfiniment, mais il est plus lourd et donc moins pratique. Le plastique utilisé est généralement le PET (polyéthylène téréphtalate). Il est plus léger et moins polluant que le PVC (chlorure de polyvinyle). Il est également compressible (diminution du volume des déchets), et recyclable. 15
16 L EAU DE DISTRIBUTION LE PRIX DE L EAU Chaque commune est compétente en matière de tarification. Elle peut imposer ses propres tarifs à condition qu ils soient acceptés par le ministre des affaires économiques. Ainsi à Bruxelles, des différences de prix existent d une commune à l autre. Le prix de l eau est conditionné par : - les travaux de prospection des nappes aquifères - le pompage - le traitement - le transport de l eau - le stockage - la distribution - l évacuation - l'épuration - l entretien - l amortissement du matériel Le prix comprend donc non seulement les coûts de production et de distribution mais aussi ceux de l évacuation et de l'épuration, qui étaient jusqu'à présent négligés. Le prix de l'eau va certainement encore augmenter dans les mois et les années à venir parce que les Régions doivent investir +/- 5 milliards d euros pour répondre aux obligations européennes en matière d'épuration des eaux usées. Une station d épuration dans le nord de Bruxelles est actuellement en construction. On estime que l eau du réseau de distribution pourrait doubler voir tripler dans les prochaines années. Il faut également savoir qu il y a des pertes importantes d eau au cours de la distribution. Le rendement n est parfois que de 50%. Ainsi pour chaque m³ vendu, il faut en capter souvent deux. A propos du prix, vous pouvez consulter le dossier réalisé par notre école l'an passé pour l'opération chercheurs d'eau. 16
17 A Bruxelles, dans le prix de la consommation de l eau, il faut prendre en compte : - le prix de l eau, qui est le même pour l ensemble de la région bruxelloise à savoir : 1,4378 /m³. - la redevance annuelle d abonnement qui varie d une commune à l autre : de 14,398 /an à 28,795 /an. - La taxe régionale sur les eaux usées: 0,3471 /m³ pour l ensemble de la région bruxelloise. - La redevance d assainissement qui varie de 0 /m³ à 0,303 /m³ en fonction de la commune. Le prix de l'eau du robinet varie selon les régions et les compagnies de distribution : Il est d environ 0,0022 le litre soit 2,2 le m 3 L EAU EN BOUTEILLE L'eau en bouteille coûte entre 200 et 500 fois plus cher que l'eau du robinet!!! Qu'est ce qui entre en compte dans le calcul de ce prix? le captage de l'eau et les traitements autorisés en fonction du type d'eau (de table, de source, ou minérale) l'emballage et la mise en bouteille le transport du lieu de production (en Belgique ou à l'étranger) jusqu'au magasin la récolte et le rinçage des bouteilles consignées (seules les bouteilles en verre sont actuellement consignées) le recyclage des bouteilles en plastique la publicité : à la TV et à la radio, dans la presse écrite, au cinéma, sur affiches, lors d'événements sportifs ou culturels la TVA Le prix de l'eau en bouteille varie selon le type d'eau et la marque : entre 0,25 et 0,5 le litre soit entre 250 et 500 le m 3 17
18 Prix moyen de quelques eaux en bouteille Le prix au litre est fonction du conditionnement : il est dégressif en fonction du volume contenu par bouteille. Il est donc plus intéressant d acheter des grandes bouteilles, et de profiter de promotions (ex : 5 bouteilles + 1 gratuite). Les prix sont légèrement différents d un point de vente à l autre. Les bouteilles en verre sont le plus souvent consignées, ce qui rend le prix plus intéressant. EAUX NON GAZEUSES : Prix au litre CRISTALINE (source) 0,18 DERBY (source) 0,19 SAINT LEGER (source) 0,19 CHAUDFONTAINE (minérale) 0,42 SPA REINE (minérale) 0,42 CONTREX (minérale) 0,46 EVIAN (minérale) 0,66 Prix indicatifs de février/mars 2004 EAUX GAZEUSES : Prix au litre DERBY (bouteille en verre) 0,27 (consigne : 0,2 ) DERBY 0,21 SPA (bouteille en verre) 0,47 (consigne : 0,2 ) SPA 0,51 CHAUDFONTAINE (bouteille en verre) 0,52 (consigne : 0,2) VICHY CELESTIN 0,8 SAN PELLEGRINO 0,89 PERRIER 1,02 Prix indicatifs de février/mars
19 COMMENT CHOISIR? Les associations de consommateurs s entendent pour recommander de boire essentiellement de l eau faiblement minéralisée et de privilégier l eau du robinet, tout à fait bonne pour la santé, nettement moins chère et beaucoup plus écologique que l eau en bouteille. Peu de gens savent que l eau minérale ne doit pas respecter les normes de potabilité de l eau de distribution et qu elles peuvent même les dépasser pour certains paramètres. En effet, certaines sont censées avoir des vertus médicinales du fait qu elles contiennent une très forte concentration de tel ou tel élément. C est pour cette raison qu il est déconseillé de toujours boire la même eau minérale sous peine d être victime de déséquilibres ou de carences. Enfin, n oublions pas que les captages ne sont pas à l abri de contaminations par les nitrates et les pesticides Dans ce débat eau du robinet/eau en bouteille, il n y pas que la santé en jeu mais aussi et surtout de gros intérêts économiques et financiers. Le marché de l eau est rentable pour les producteurs et distributeurs d eau en bouteille qui sont les premiers bénéficiaires de la mauvaise image (fausse, rappelons-le) de l eau du robinet. Quelques avantages et inconvenients : Eau de distribution Avantages => Moins chère => Toujours disponible => Saine et très contrôlée => Pas de déchets d emballage et donc pas de pollution => Présence de fluor qui protège peut-être contre la carie dentaire Inconvénients : => Risque de présence de plomb dans des vieilles canalisations => Peut présenter un goût de chlore => Peut présenter un aspect laiteux => Risque potentiel de présence de nitrates déconseillés pour les nourrissons => Risque d avoir de la terre dans les canalisations lors des travaux sur les réseaux 19
20 Eau en bouteille Avantages : => Peu de chlore dans l eau => Pas d odeur, pas de couleur, goût neutre ou au contraire goût recherché => Certains effets curatifs (eaux médicinales) => Transportable (voyage, école) => Recommandée pour les nourrissons et les femmes enceintes ou allaitant, en raison du faible taux en nitrates de certaines eaux Inconvénients : => Prix plus élevé que l eau de distribution (de 200 à 500 fois plus chère) => Moins facile d accès que l eau de distribution => Lourd à transporter => Engendre une pollution (transport, récolte et évacuation des bouteilles...) Il est préférable d utiliser des bouteilles en plastique (PET) ou en verre, afin de pouvoir les recycler (l ASBL Fost plus gère le recyclage) L EAU EN BOUTEILLE : PAS FACILE DE FAIRE UN CHOIX Premier choix à faire : gazeuse ou non. A chacun sa préférence. Deuxième choix plus difficile : la marque! Si l on est attentif, on remarque facilement que le prix varie énormément pour des différences minimes au niveau de la composition, et à qualité égale. La guerre de l eau en bouteille a commencé, et partout dans le monde, les ventes explosent. Parmi les producteurs d eau, deux géants sont au coude à coude sur le marché mondial et voient leurs chiffres d affaire augmenter sans discontinuer : Nestlé (Vittel, Valvert, Perrier, Hépar ) et Danone (Volvic, Evian, St-Yorre, Cristalline ). En Belgique, Chaudfontaine et Spadel produisent respectivement 160 et 240 millions de litres par an. Les Belges sont d ailleurs les plus gros consommateurs d eau en bouteille du marché européen: 115 litres par personne et par an, en moyenne. Le marché des eaux enrichies sensées apporter un plus à la santé, au goût, au confort (mais dont le prix est souvent élevé) est en plein développement, soutenu à grand renfort par la publicité. 20
21 Alors, comment faire un choix? Les uns achètent la moins chère D autres choisissent au contraire la plus chère, la croyant meilleure D autres encore celle qui leur a été conseillée par leur médecin, leur entourage Certains choisissent en fonction du goût Certains changent régulièrement, d autres jamais Les distraits laissent faire le hasard Les «branchés» veulent l eau à la mode (et oui! Cela existe!) Il est également possible que tous ces critères de choix (et bien d autres encore) interagissent dans les comportements de consommation de l eau en bouteille. Une chose est sure : la publicité essaye d influencer le consommateur!! Le principal thème choisi par la publicité dans ce domaine : la santé, mais aussi le bien être, la beauté, les performances physiques et sportives que l eau est censée nous apporter. Quelques exemples : Contrex : mon partenaire minceur Vittel : buvez, éliminez Vichy Célestins : l éclat du teint Evian : source de jeunesse 21
22 Enquête sur la consommation d eau en bouteille et d eau de distribution Cochez vos réponses 1. Est-ce que vous buvez de l eau : du robinet filtrée de l eau en bouteille du robinet non- filtrée je ne bois pas d eau En quelle quantité par jour? 0,5 litre 1 litre 1,5 litre plus* combien : 2. Quel genre d eau en bouteille buvez-vous? non-gazeuse gazeuse de source minérale 3. Quels sont les facteurs qui influencent votre choix? habitude goût autres : qualité prix Quelle marque d eau buvez-vous? : Pensez-vous que certaines eaux en bouteille sont meilleures pour la santé que d autres? Oui Non Si oui, lesquelles? : 6. Pensez-vous que l eau en bouteille est meilleure pour la santé que celle du robinet? Oui Non Pourquoi? : 7. Pensez-vous que le contrôle de l eau du robinet est bien fait? Oui Non Pourquoi? : Les 5 TQ comptabilité vous remercient pour votre collaboration 22
23 RESULTATS DE L ENQUETE Cette enquête a été réalisée auprès de 69 personnes (plusieurs réponses étaient acceptées à la fois). Les deux premiers graphes sont exprimés en nombres de réponses données. Marque préférée des consommateurs Spa Reine Contrex Evian Cristaline Vittel Autres L'eau en bouteille, est-elle meilleure pour la santé que l'eau du robinet? Non 19 Oui 50 23
24 Type d'eau consommée 4% Robinet filtrée 31% Robinet non filtrée 44% Eau en bouteille 21% Voie indirecte (autres sources) Nature d'eau consommée 20% 35% Non gazeuse Gazeuse 12% Source Minérale 33% Critères de choix 32% 7% 2% 19% 40% Habitude Qualité Goût Prix Autres 24
25 CONCLUSION Il nous apparaît, après cette étude, que l eau de distribution et l eau en bouteille présentent des garanties suffisantes quant à leur qualité et au contrôle qui s y rapporte. A qualité égale, l eau de distribution présente l avantage d être beaucoup plus économique, ce qui est un critère de sélection important chez les consommateurs. D autre part, l eau de distribution est plus respectueuse de l environnement, ce qui représente un avantage considérable en matière de développement durable. Toutefois l eau en bouteille prend une place de plus en plus importante sur le marché, d une part par les avantages qu elle présente (critères organoleptiques et facilité de manipulation), d autre part en raison de l énorme publicité qui l entoure, et enfin car on observe que les gens font malheureusement difficilement (et à tort) confiance à l eau de distribution. 25
26 Bibliographie Livre S Gérin, Le guide des eaux, Edition Marabout Articles C.I.B.E. La production d eau : notre métier, dans la brochure I.S.O. n 9002 C.I.B.E. Rapport d activité, 2003 I.B.D.E., brochure d information I.F.M., L eau : prix et consommation, Dans Opération chercheurs d eau, Test santé n 38, août à septembre 2000 Test santé n 42, avril à mai 2001 Internet AIDE MEMOIRE DE L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE (page consultée le 04 mars 2004). Eaux de boissons en bouteille, BELGOAQUA (page consultée le 04/mars 2004).Qu est-ce que l eau potable? ECOCONSO. (page consultée le 05 avril 2003). Les eaux en bouteilles, ECOCONSO. (page consultée le 06 mai 2003). Synthèse de l enquête quantitative 2000, /synthese2000.htm L eau en bouteille meilleure que celle du robinet? (page consultée le 04 mars 2004) Le Moniteur belge (page consultée le 04 mars 2004) ZACLOLA. (page consultée le 04 avril 2003). L eau: en savoir plus, 26
27 ANNEXE 27
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