Problème 1 THERMODYNAMIQUE. DM 9 pour le 31 mai
|
|
- Franck Lépine
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DM 9 pour le 3 mai THERMODYNAMIQUE Problème L objectif de ce problème est l étude de différentes détentes d un gaz réel et d un gaz parfait. Les parties B et C d une part, D et E d autre part ne sont pas indépendantes. La partie A, l ensemble (B + C) et l ensemble (D + E) peuvent être traités séparément. A - Fonctions d état d un système fermé A.. On peut écrire les expressions des différentielles du et d H des fonctions d état énergie interne U (T,V ) et enthalpie H(T, p) d un système fermé sous la forme générale suivante : du = C v dt + (l p)dv ;d H = C p dt + (k+v )d p A... Définir les capacités thermiques à volume constant C v, et à pression constante C p à partir des fonctions U (T,V ) et H(T, p). A..2. Etablir les valeurs des coefficients calorimétriques l et k pour un système dont l énergie interne et l enthalpie ne sont fonctions que de la température. A.2. Dans le cas général, on peut démontrer que : l=t relation dans le cas d un gaz parfait. ( ) p T. Vérifier cette V B - Détente de Joule et Gay Lussac d un gaz réel Dans un certain domaine de température et de pression, l équation d état d une mole de gaz réel s écrit : (p+ a/t V 2 )(V b)=rt dans laquelle a, b et R sont des constantes (R = constante des gaz parfaits). ( B.. On admettra la relation générale : = T 2 p. Vérifier son exactitude dans le cas d un gaz parfait monoatomique. T V B.2 Etablir l expression de la capacité thermique à volume constant C v (T,V ) du gaz sachant qu elle tend vers une valeur C 0, indépendante de T, lorsque V tend vers l infini. B.3 Etablir l expression de l énergie interne U de ce gaz en fonction de T, de V et de constantes. B.4. On fait subir à ce gaz une détente de Joule et Gay Lussac qui fait passer son volume de V à V 2 = 2V. B.4.. Préciser les conditions expérimentales qui permettent de réaliser cette détente. En déduire la variation d énergie interne U du fluide. ( Cv V ) T 2 ) B.4.2. On note T la température initiale du gaz et T la variation de température qu il subit au cours de cette détente. Sachant que l on peut considérer T T exprimer T en fonction de T, V et de constantes. B.4.3. Que peut-on dire, a priori, de la variation d entropie du gaz? Justifier votre réponse. B.4.4. Application numérique : a = 00 SI ; R = 8,3 J.mol l.k ; T = 300 K ; C 0 = 29, J.mol l.k l ; V = 0 L. B Calculer T. B Quelle valeur de T aurait-on obtenu avec un gaz parfait? Justifier votre réponse. C - Détente de Joule Thomson (Joule Kelvin) d un gaz réel Aux faibles pressions, l équation d état du gaz réel défini ci-dessus peut se mettre sous la forme suivante : pv = RT + B(T )p avec B(T )=b a/rt 2 C.. Compte-tenu d une approximation que l on peut faire aux basses pressions, montrer que l enthalpie H du gaz peut s écrire, en fonction des variables T et p : H = (C 0 + R)T + (b 3a/RT 2 )p C.2.Le gaz subit une détente de Joule Thomson au cours de laquelle il passe d une zone où il se trouve à la température T sous la pression p dans une zone où la pression est p 2 = p /2. C.2.. Préciser la caractéristique énergétique de la détente de Joule Thomson. C.2.2. Exprimer la variation de température T du gaz dans le cadre des hypothèses ci-dessus en fonction de T, p et de constantes. On considèrera encore T T. C.2.3. Application numérique : a = 00 SI ; R = 8,3 J.mol l.k ; T = 300 K ; C 0 = 29, J.mol l.k l ; b= 22,8.0 6 m 3.mol ; p = 2 bar. Calculer T. D - Application des principes de la thermodynamique à un système fermé en mouvement
2 Page 2 DM 9 pour le 3 mai Lycée Clemenceau Nantes MPSI 3 L objectif de cette étude est d établir une expression générale permettant de calculer les variations des grandeurs thermodynamiques caractéristiques d un gaz qui s écoule dans un élément mécanique : conduite, tuyère, échangeur thermique, turbine, compresseur, etc. L évolution d un fluide gazeux dans une installation industrielle est schématisée par la Figure ci-dessous. Le fluide gazeux s écoule dans la direction et le sens de l axe horizontal x x. Le volume v délimité par les plans A B et CD constitue un volume de contrôle qui peut, éventuellement, contenir une machine : compresseur, turbine, etc. Le fluide entre dans v par une conduite cylindrique dont l aire de la section droite est notée Σ et dont l axe, parallèle à x x, est situé à l altitude z dans le champ de pesanteur. Il en ressort par une conduite cylindrique, dont la section droite a une aire Σ 2 et dont l axe, parallèle à x x, est situé à l altitude z 2 dans le champ de pesanteur. On désigne par w le vecteur vitesse des particules fluides et on admet que la viscosité du fluide est négligeable, le vecteur vitesse reste donc constant en tout point d un plan de section droite perpendiculaire à l écoulement. On désigne par m, p, T, E, E c, E p, U, H et S, respectivement, la masse, la pression, la température, l énergie totale, l énergie cinétique macroscopique, l énergie potentielle de pesanteur, l énergie interne, l enthalpie et l entropie du fluide. Les valeurs massiques des différentes grandeurs extensives seront représentées par des lettres minuscules. Ces grandeurs seront affectées de l indice ou de l indice 2 suivant qu elles caractériseront l état du gaz à l entrée ou à la sortie du volume v. D.. Définir l énergie totale E d un système thermodynamique. D.2. Ecrire le premier principe de la thermodynamique, sous sa forme générale, pour un système fermé, en mouvement dans le champ de pesanteur, qui, au cours d une transformation ouverte, reçoit les quantités d énergie Q par transfert thermique et W par transfert mécanique. D.3. A l instant t le système fermé considéré, désigné par S(t ) sur la figure, occupe le volume compris entre les plans AB et CD. Il comprend le fluide contenu dans v à cet instant et le fluide qui va entrer dans v pendant la durée d t. Son énergie totale est notée E(t ). A l instant t + d t ce même système, désigné par S(t+ d t ), occupe le volume délimité par les plans A B et C D. Il comprend le fluide contenu dans v à l instant t+ d t et le fluide qui est sorti de v pendant la durée d t. Son énergie totale est notée E(t+ d t ). Entre les instants t et t+ d t le fluide gazeux reçoit les quantités algébriques d énergie δq par transfert thermique (chaleur), δw par transfert mécanique dû au travail des forces de pression d entrée et de sortie et δw par transfert mécanique avec une machine qui se trouve dans v. On suppose que le régime stationnaire est atteint et on admet que les pressions p et p 2, respectivement en amont de l entrée dans v et en aval de la sortie de v, restent constantes au cours du transfert du fluide. Les vitesses w et w 2 du fluide, dans les conduites d entrée et de sortie, sont constantes. D.3.. ρ, w, Σ ; ρ 2, w 2, Σ 2 désignent la masse volumique, la vitesse du fluide et l aire de la section droite des conduites, respectivement, à l entrée et à la sortie de v. Montrer, à partir d un bilan de masse sur le système fermé considéré, entre les instants t et t+ d t, que l on a : ρ Σ w = ρ 2 Σ 2 w 2 L expression ρσw représente le flux de masse à travers la section droite Σ d une conduite dans laquelle le fluide s écoule avec la vitesse w, c est-à-dire le débit massique q m du fluide exprimé en kg.s. D.3.2. On désigne par δm la masse de fluide qui traverse le volume V pendant la durée d t. On note g l intensité du champ de pesanteur et on fixe l origine de l énergie potentielle de pesanteur au niveau z = 0. Par application du premier principe de la thermodynamique au fluide ga-
3 Page 3 DM 9 pour le 3 mai Lycée Clemenceau Nantes MPSI 3 zeux, entre les instants t et t + d t, établir la relation : {[ ] [ ]} δm 2 w g z 2 h 2 2 w 2 + g z h = δq+ δw D.3.3. A partir de l expression établie à la question D.3.2, définir les conditions expérimentales qui permettent de faire subir au fluide une détente de JOULE THOMSON. E - Détente d un fluide gazeux dans une tuyère Le fluide gazeux se détend, de manière adiabatique, dans une tuyère dans laquelle sa vitesse varie. La tuyère est constituée d un tube de révolution autour d un axe horizontal x x (voir Figure 2). On désigne par M la masse molaire du gaz et par ρ(x) sa masse volumique à l abscisse x. w, p, T I, H, ρ ; w 2, p 2, T 2, H 2, ρ 2 désignent, respectivement, les valeurs de : w(x), p(x), T (x), H(x), ρ(x) dans la section droite d entrée de surface Σ et dans la section droite de sortie de surface Σ 2. E..On considère l évolution d une mole de gaz entre son entrée dans la tuyère et son passage dans la tranche d abscisse x. A partir de la relation générale établie à la question D.3.2 et compte tenu des conditions de fonctionnement de la tuyère, établir la relation que vérifient M, w, w(x), H, H(x). E.2. Aucune hypothèse n est faite sur l équation d état du gaz. On admet que chaque élément de volume du gaz subit, dans la tuyère, une détente adiabatique réversible. Montrer que, dans ces conditions : 2 w 2 (x) p(x) 2 w 2 + d p p ρ(x) = 0 La section droite d abscisse x, de la tuyère à une aire Σ(x) variable le long de l axe x x. On admet que cette variation est assez lente pour que le vecteur vitesse des éléments de volume du gaz qui s écoule reste, pratiquement, parallèle à x x, de même sens et que sa composante w(x) ait la même valeur pour tous les éléments de volume situés dans une tranche de gaz, d abscisse x, perpendiculaire à x x. On suppose que le régime d écoulement stationnaire est atteint et on néglige toute perte d énergie, par frottement, le long des parois de la tuyère. On note H(x) l enthalpie d une mole de gaz sous la pression p(x), à la température T (x). E.3. On suppose, maintenant, que le gaz est un gaz parfait pour lequel le rapport γ = C p /C v est indépendant de la température et on admet que son évolution, dans la tuyère, se produit de manière adiabatique et réversible. On pose ǫ = p(x)/p et on désigne par C p la capacité thermique molaire à pression constante du gaz. E.3.. Exprimer w 2 (x) en fonction de : w, C p, T, M, γ et ǫ. E.3.2. Exprimer le débit massique q m du gaz, à l abscisse x, en fonction de : ρ, ǫ, γ, Σ(x) et w(x). E.3.3. On suppose que la section d entrée de surface Σ de la tuyère est très grande. On peut alors considérer w 0. E Montrer que, dans ces conditions, le débit massique s écrit : q m = K σ(x)f (ǫ), expression dans laquelle K ne dépend que des caractéristiques du gaz et des valeurs des paramètres relatifs à l entrée de la tuyère et f (ǫ) est une fonction de ǫ. On explicitera K et f (ǫ). E On admet que p(x) décroît de manière monotone quand x croît. Après avoir étudié les variations de la fonction f (ǫ) pour 0 < ǫ < montrer que : E Si p 2 /p est supérieur à une valeur ǫ 0 que l on précisera, la section Σ(x) de la tuyère doit être une fonction décroissante de x (tuyère convergente).
4 Page 4 DM 9 pour le 3 mai Lycée Clemenceau Nantes MPSI 3 E Si p 2 /p est inférieur à ǫ 0, la section de la tuyère doit, d abord, être une fonction décroissante de x puis devenir une fonction croissante de x (tuyère convergente - divergente). Dans ce cas on note w 0 et p 0 les valeurs de w(x) et p(x) dans la section la plus étroite de la tuyère. Exprimer p 0 en fonction de p et γ et w 0 en fonction de γ, R, T et M. E Application numérique : Le gaz parfait considéré est de l air pour lequel γ=,4 ; M = 29 g.mol. On rappelle que R = 8,3 J.mol.K. E Sachant que p = 20 bar et T = 2000 K, calculer w 0 et p 0. E Calculer, dans les mêmes conditions, la vitesse du gaz, à la sortie de la tuyère, où p 2 = bar. Problème 2 Etude du système liquide-vapeur L équilibre entre l eau liquide et sa vapeur est caractérisé, à différentes températures, par les données suivantes : θ C p s bar v L m 3.kg h L kj.kg v G m 3.kg h G kj.kg 35 0,056, ,34 25, , ,23, ,96 2, ,42 00,03, ,42, ,44 85,238, ,7 0, , ,200, , 0, ,83 θ : température en degré Celsius p s : pression de vapeur saturante v L : volume massique du liquide saturant h L : enthalpie massique du liquide saturant v G : volume massique de la vapeur saturante h G : enthalpie massique de la vapeur saturante I - Diagramme de Clapeyron (P, v) du système liquide-vapeur de l eau On désigne par P la pression du système liquide-vapeur et par v son volume massique. I.. Représenter l allure du diagramme de Clapeyron (P, v) de l eau. On prendra soin de préciser la position du point critique C, les domaines liquide (L), liquide + vapeur (L+V ), et vapeur (V ). I.2. Représenter, sur le diagramme précédent : L allure de l isotherme critique T C et préciser ses caractéristiques. L allure d une isotherme T < T C et justifier la présence d un palier sur cette isotherme. L allure d une isotherme T > T C. I.3. On désigne, respectivement par : v m et h m, le volume massique et l enthalpie massique du système liquide-vapeur. Montrer que le titre massique en vapeur x est donné par l une quelconque des relations ci- dessous : x= (v m v L )/(v G v L ) ; x = (h m h L )/(h G h L ) I.4. On désigne par l v (T ) la chaleur latente massique de vaporisation à la température T. Rappeler la relation reliant l v (T ) à h G (T ) et h L (T ). II - Détente adiabatique réversible d un système liquidevapeur On dispose d un cylindre indéformable muni d un piston. Le cylindre et le piston ont des parois calorifugées. On note c l la capacité thermique massique du liquide saturant. Le piston est, initialement, fixé dans une position qui délimite un volume V = 0 L dans le cylindre. L introduction d une masse m = 0g d eau dans le cylindre permet d obtenir un système liquide-vapeur en équilibre à la température θ= 00 C. II.. Calculer le titre massique en vapeur x de ce système. On fait subir au système liquide-vapeur défini ci-dessus une détente adiabatique réversible de la température θ à la température θ = 50 C. II.2. Sachant que c l reste constante au cours de cette détente et égale à 4,8k J.k g.k, calculer le titre massique en vapeur x? du système liquidevapeur à la fin de la détente. II.3. Quel titre massique en vapeur x" aurait-on dû avoir, à la température
5 Page 5 DM 9 pour le 3 mai Lycée Clemenceau Nantes MPSI 3 θ = 00 C, pour qu au cours de la détente définie ci-dessus (2.) ce titre reste constant? Dans la suite du problème tous les calculs se rapporteront à une masse m= k g de fluide. La capacité thermique massique c l 4,8k J.k g.k. du liquide est constante et vaut III - Modèle de fonctionnement d une turbine à vapeur. Cycle de Rankine Le circuit secondaire d une centrale nucléaire comporte les éléments suivants : un générateur de vapeur, une turbine, un condenseur et une pompe d alimentation. Les transformations subies par l eau dans ce circuit sont modélisées par le cycle de Rankine décrit ci-dessous. AB : compression adiabatique réversible, dans la pompe d alimentation, de la pression P = 0,056bar à la pression P 2 = 69,200bar, du liquide saturant sortant du condenseur à la pression P (état A). BD : échauffement isobare du liquide dans le générateur de vapeur qui amène le liquide de l état B à l état de liquide saturant sous la pression P 2 (état D). DE : vaporisation totale, dans le générateur de vapeur, sous la pression P 2. EF : détente adiabatique réversible, dans la turbine, de P 2 à P. F A : liquéfaction totale, dans le condenseur, sous la pression P, de la vapeur présente dans l état F. III.. Représenter le cycle décrit par l eau dans le diagramme de Clapeyron (P, v). III.2. Le liquide étant supposé incompressible, montrer qu au cours de l évolution AB la température est constante, soit T B = T A = T. III.3. Calculer le titre x F et l enthalpie massique h mf du système liquidevapeur sortant de la turbine (état F). III.4. Calculer les quantités de chaleur Q et Q 2 reçues par kg d eau, respectivement, dans le condenseur et dans le générateur de vapeur. III.5. Calculer le travail W reçu, par kg de fluide, au cours du cycle. III.6. Calculer l efficacité e (ou rendement thermodynamique) du cycle. Comparer cette efficacité à celle e C d un cycle de Carnot décrit entre les mêmes températures extrêmes T et T 2. IV - Préparation du combustible nucléaire Actuellement 90% des réacteurs nucléaires utilisent l oxyde d uranium UO 2(s) comme combustible. Une des étapes du processus de sa préparation est la réduction de UO 3(s) par un flux d hydrogène provenant de la décomposition du gaz ammoniac dans un four à 500 K. IV.. Ecrire la réaction du trioxyde d uranium UO 3(s) avec l ammoniac N H 3(g ). IV.2. Calculer l enthalpie standard de la réaction à 298 K. Exprimer r H en fonction de la température pour T < 773 K (température de fusion de UO 2. IV.3. Calculer l enthalpie standard de la réaction à la température à laquelle se fait la réduction. Est-elle endo- ou exothermique? UO 2(s) UO 3(s) N H 3(g ) H 2 O (g ) N 2(g ) f H298 0 (kj.mol ) C 0 P (J.K.mol )
Premier principe : bilans d énergie
MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailPhysique : Thermodynamique
Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une
Plus en détailExercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique
Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction
Plus en détailOptimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique
Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique Année 2009-2010 2008-09 Stéphane LE PERSON Maître de Conférences Université Joseph Fourier Jean-Paul THIBAULT LEGI UMR
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel
Plus en détailCOURS DE THERMODYNAMIQUE
I.U.T. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie Thermique et énergie COURS DE THERMODYNAMIQUE eme Semestre Olivier PERROT 010-011 1 Avertissement : Ce cours de thermodynamique présente quelques applications
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailChapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES
Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES Entropie de mélange. - Evolution adiabatique. - Autres évolutions réversibles et irréversibles. L ensemble de ce chapitre
Plus en détailTHERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ
THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,
Plus en détail1 Thermodynamique: première loi
1 hermodynamique: première loi 1.1 Énoncé L énergie d un système isolé est constante, L énergie de l univers est constante, de univers = de syst + de env. = 0 1 L énergie d un système est une fonction
Plus en détailExemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf
Plus en détailChapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique
Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique 43 4.1. Evolutions réversibles et irréversibles 4.1.1. Exemples 4.1.1.1. Exemple 1 Reprenons l exemple 1 du chapitre précédent. Une masse est placée
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détail1 Mise en application
Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détailPrécis de thermodynamique
M. Hubert N. Vandewalle Précis de thermodynamique Année académique 2013-2014 PHYS2010-1 Thermodynamique 2 Ce précis a été créé dans le but d offrir à l étudiant une base solide pour l apprentissage de
Plus en détailPhysique 1 TEMPÉRATURE, CHALEUR
hysique EMÉRAURE, CHALEUR rof. André errenoud Edition mai 8 Andre.errenoud (at) heig-vd.ch HEIG-D / AD A B L E D E S M A I E R E S AGE. INRODUCION.... NOIONS DE EMÉRAURE E DE CHALEUR.... LES ÉCHANGES
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailCONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE
CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :
Plus en détailLes calculatrices sont autorisées
Les calculatrices sont autorisées Le sujet comporte quatre parties indépendantes. Les parties 1 et portent sur la mécanique (de la page à la page 7). Les parties 3 et 4 portent sur la thermodnamique (de
Plus en détailCOURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES
I.U.. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie hermique et énergie COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES Olivier ERRO 200-20 2 Avertissement : Ce cours de machines frigorifiques propose d aborder le principe
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détaildocument proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015
BT V 2015 (envoyé par Frédéric COTTI - Professeur d Electrotechnique au Lycée Régional La Floride Marseille) Document 1 - Etiquette énergie Partie 1 : Voiture à faible consommation - Une étiquette pour
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailA. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire
Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.
Plus en détailSCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures. L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. CHIMIE
Banque «Agro-Véto» Technologie et Biologie AT - 0310 SCIECES PYSIQUES Durée : 3 heures L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. Si, au cours de l épreuve, un candidat repère ce qui lui
Plus en détailLe turbo met les gaz. Les turbines en équation
Le turbo met les gaz Les turbines en équation KWOK-KAI SO, BENT PHILLIPSEN, MAGNUS FISCHER La mécanique des fluides numérique CFD (Computational Fluid Dynamics) est aujourd hui un outil abouti de conception
Plus en détailStage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale"
Stage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale" Session 2014-2015 Documents produits pendant le stage, les 06 et 07 novembre 2014 à FLERS Adapté par Christian AYMA et Vanessa YEQUEL d après
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome
PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailCours de Physique Statistique. Éric Brunet, Jérôme Beugnon
Cours de Physique Statistique Éric Brunet, Jérôme Beugnon 7 octobre 2014 On sait en quoi consiste ce mouvement brownien. Quand on observe au microscope une particule inanimée quelconque au sein d un fluide
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailhydrogène au service des énergies renouvelables
Le stockage solide de l hydrogl hydrogène au service des énergies renouvelables P. de Rango, D. Fruchart, S. Miraglia, Ph. Marty*, M. Jehan** J. Chabonnier, A. Chaise, S. Garrier, B. Delhomme, S. Nachev,
Plus en détailLes puissances 4. 4.1. La notion de puissance. 4.1.1. La puissance c est l énergie pendant une seconde CHAPITRE
4. LES PUISSANCES LA NOTION DE PUISSANCE 88 CHAPITRE 4 Rien ne se perd, rien ne se crée. Mais alors que consomme un appareil électrique si ce n est les électrons? La puissance pardi. Objectifs de ce chapitre
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailInfluence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique
SYMPOSIUM DE GENIE ELECTRIQUE (SGE 14) : EF-EPF-MGE 2014, 8-10 JUILLET 2014, ENS CACHAN, FRANCE Influence de la géométrie du conducteur sur la dans un poste sous enveloppe métallique Nesrine REBZANI 1,2,3,
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détailP17- REACTIONS NUCLEAIRES
PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules
Plus en détailTexte Agrégation limitée par diffusion interne
Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse
Plus en détailFLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles
FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles Jacques PADET Professeur Émérite à l Université de Reims Seconde édition revue et augmentée TABLE DES MATIÈRES PRÉSENTATION Préface de la 1 ère édition Prologue
Plus en détailAIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES
Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation
Plus en détailDM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION
Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détail6 CYCLES DE PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ À VAPEUR
6 CYCLES DE PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ À VAPEUR Nous présentons dans ce chapitre les principaux cycles utilisés dans les installations motrices à vapeur, qui servent aujourd'hui essentiellement à la production
Plus en détailBTS Groupement A. Mathématiques Session 2011. Spécialités CIRA, IRIS, Systèmes électroniques, TPIL
BTS Groupement A Mathématiques Session 11 Exercice 1 : 1 points Spécialités CIRA, IRIS, Systèmes électroniques, TPIL On considère un circuit composé d une résistance et d un condensateur représenté par
Plus en détailProjet de raccordement au réseau de transport de gaz naturel EXPRESSION PRELIMINAIRE DE BESOIN SITE :..
Projet de raccordement au réseau de transport de gaz naturel EXPRESSION PRELIMINAIRE DE BESOIN SITE :.. Document type : expression préliminaire de besoin client final Version / Révision Date de publication
Plus en détailINTRODUCTION A LA FUSION THERMONUCLEAIRE
INTRODUCTION A LA FUSION THERMONUCLEAIRE I) PRINCIPE Considérons l'énergie de liaison par nucléons pour différents noyaux (Fig. I.1). En examinant la figure I-1, nous constatons que deux types de réactions
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailLa Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009
La Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009 La matière L atome Les isotopes Le plasma Plan de l exposé Réactions nucléaires La fission La fusion Le Tokamak
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailSIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE
SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailTS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée
TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailT.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY
T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailpar Alain Bonnier, D.Sc.
par Alain Bonnier, D.Sc. 1. Avons-nous besoin d autres sources d énergie? 2. Qu est-ce que l énergie nucléaire? 3. La fusion nucléaire Des étoiles à la Terre... 4. Combien d énergie pourrait-on libérer
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailSaisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique
Fiche d application : Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Date Modification Version 01 décembre 2013 Précisions sur les CET grand volume et sur les CET sur air extrait 2.0
Plus en détailélectricité Pourquoi le courant, dans nos maison, est-il alternatif?
CHAPITRE 4 : Production de l él électricité Pourquoi le courant, dans nos maison, est-il alternatif? D où vient le courant? Comment arrive-t-il jusqu à nous? 1 la fabrication du courant 2 Les transformateurs
Plus en détailMesures du coefficient adiabatique γ de l air
Mesures du oeffiient adiabatique γ de l air Introdution : γ est le rapport des apaités alorifiques massiques d un gaz : γ = p v Le gaz étudié est l air. La mesure de la haleur massique à pression onstante
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailDES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES. Épreuve de Physique-Chimie. (toutes filières) Mardi 18 mai 2004 de 08h00 à 12h00
CONCOURS COMMUN 004 DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Mardi 18 mai 004 de 08h00 à 1h00 Barème indicatif : Physique environ /3 - Chimie environ
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détaila et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe le nombre ax + b
I Définition d une fonction affine Faire l activité 1 «une nouvelle fonction» 1. définition générale a et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe
Plus en détailUtilisation et challenges de la CFD pour des simulations industrielles
Utilisation et challenges de la CFD pour des simulations industrielles Nicolas Perret 25/11/2014 R&I/ARTI/DIPT - AMT SOMMAIRE 1. Contexte / Attentes autour de la CFD 2. Focus sur la simulation multiéchelle
Plus en détailFormation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau
Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailOscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté
Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détail