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1 Groupement de commandes électricité & maîtrise de l'énergie les bonnes pratiques Le marché d audit énergétique Les enjeux de l étanchéité à l air des bâtiments Les bonnes pratiques de mise en œuvre de l étanchéité à l air Les conséquences de l étanchéité à l air sur la qualité de l air intérieur Etanchéité à l'air et qualité de l'air intérieur À la veille de la Réglementation Thermique 2012, à l heure où la question de l efficacité énergétique monopolise les débats sur le bâtiment de demain, l isolation renforcée fait apparaître de nouvelles problématiques liées aux enveloppes et à la ventilation des locaux. Une rénovation énergétique efficace nécessite d intégrer des techniques innovantes et une mise en œuvre de qualité. Le 5 avril 2011, le groupement de commandes électricité et maîtrise de l énergie, coordonné par le Sipperec, a fait intervenir des experts pour aborder les bonnes pratiques liées à l étanchéité. >>>

2 2 Les bonnes pratiques du groupement de commandes Le marché d'audit énergétique Alban LAPIERRE (Directeur d'alterea) Les prestations à disposition des adhérents Le SIPPEREC met à disposition des adhérents du groupement de commandes électricité et MDE un marché d audit énergétique et des prestations complémentaires. Ce marché attribué à ALTEREA, bureau d études énergétiques, EQUATEUR, agence d architecture et WIGWAM, conseil en ingénierie environnementale, permet à ses adhérents de commander les prestations liées à la performance énergétique. L audit énergétique, mission de base du marché, a pour objectif de dresser l état des lieux, d identifier les gisements d économies d énergie et de mettre en œuvre des programmes de réhabilitation existants. ALTEREA intègre dès la réalisation de l audit énergétique les contraintes et les opportunités liées à la rénovation énergétique : architecture, accessibilité, confort, qualité de l air, etc. Atouts majeurs de l audit énergétique proposé, il respecte le cahier des charges de l ADEME et inclut une synthèse architecturale du bâtiment afin de présenter des scénarii de travaux cohérents sur le plan technique et architectural. Les adhérents peuvent également commander des missions complémentaires afin de se faire accompagner dans le déploiement de leur politique de maîtrise de l énergie de leur patrimoine : assistance à la programmation pluriannuelle des investissements, tests d étanchéité à l air, d assistance à maîtrise d ouvrage en phase travaux, etc. Le fonctionnement du marché Chaque adhérent peut utiliser le marché simplement en contactant ALTEREA pour qualifier son besoin et en lui envoyant un bon de commande. ALTEREA planifie alors la mission, affecte un interlocuteur unique afin de faciliter les échanges pendant la réalisation de la mission et assure le suivi de la qualité de l étude. Le SIPPEREC assure le pilotage général du marché et suit la qualité des prestations fournies. Le suivi du marché Le marché d audit énergétique est à disposition des adhérents du SIPPEREC depuis septembre Le premier bilan est positif : 2 Conseils Généraux, 18 Villes et EPCI et 1 OPH ont déjà tiré profit du marché. Le marché est utilisé sur des projets structurants de stratégie du patrimoine comme sur des expertises ponctuelles telles que la rédaction d un CCTP de travaux, la présence ponctuelle sur chantier ou encore la réalisation d un test d infiltrométrie.

3 Les bonnes pratiques du groupement de commandes 3 Les enjeux de l étanchéité à l air Pierre FAURE Responsable du Développement du bureau d études ALTEREA Marc BENARD Directeur de l agence d architecture EQUATEUR La conformité des constructions et des réhabilitations aux réglementations et labels Le secteur du bâtiment est le plus gros consommateur d énergie finale en France, loin devant tous les autres acteurs économiques. Le Grenelle de l Environnement a fixé un cap très ambitieux pour réduire significativement les consommations d énergie existants ou en construction. L élaboration de la nouvelle réglementation thermique dans le bâtiment neuf (RT 2012) est désormais achevée et l un de ses principaux objectifs est d encourager un très haut niveau de performance énergétique des enveloppes du bâtiment, indépendamment du choix des systèmes énergétiques. Ceci se traduit par des valeurs d étanchéité à l air élevées, comparables au label BBC-Effinergie, et des mesures obligatoires en neuf comme en rénovation. Les impacts sur la qualité, la performance énergétique et le confort du bâti Au-delà de l impact positif sur les consommations énergétiques, traiter l étanchéité à l air devient primordial pour assurer de bonnes conditions de vie et d hygiène aux occupants : qualité de l air intérieur, confort acoustique et thermique, suppression des condensations et des moisissures responsables de dégradations prématurées du bâti. Il est donc capital d accompagner l évolution des pratiques de la construction et de la rénovation énergétique et de ne pas sous-estimer les conséquences des nouvelles techniques de construction sur la qualité de l air intérieur. Dans un bâtiment, les fuites sont réparties de manière diffuse (menuiseries, liaisons façades/planchers, équipements électriques, éléments traversant les parois ) et peuvent dégrader considérablement ses performances. Il est donc quasiment impossible de juger de l étanchéité à l air d un bâtiment par simple inspection visuelle. Aussi, les mesures sur site par test d infiltrométrie sont incontournables et permettent de caractériser les infiltrations d air parasites et de quantifier la perméabilité à l air de l enveloppe.

4 4 Les bonnes pratiques du groupement de commandes Les enjeux de l étanchéité à l air >>> Cette procédure est standardisée par la norme NF EN Les valeurs mesurées sont l indice de perméabilité à l air Q4 (m3/h/m 2 ), le taux de renouvellement d air n50 (vol/h) et la surface de fuite équivalente (cm 2 ). L usage du test d infiltrométrie Pour atteindre de tels niveaux d exigence, une évolution des pratiques doit être mise en œuvre grâce à une démarche qualité impliquant une adaptation de la conception et de l exécution. Tout au long d un projet de réhabilitation par exemple, l étanchéité de l enveloppe est ainsi mesurée et contrôlée de la manière suivante : Un premier test est réalisé avant travaux pour quantifier la situation initiale de l étanchéité du bâti, cartographier les défauts et préconiser des solutions d amélioration. Pendant les travaux, les entreprises d exécution sont accompagnées et formées pour assurer une mise en œuvre en adéquation avec les résultats voulus. Un test intermédiaire en cours de chantier peut également confirmer le bon avancement des travaux. A réception, un dernier test d infiltrométrie est effectué pour valider la bonne réalisation des travaux et obtenir les valeurs de références attendues. Les mesures sur site permettent de caractériser les infiltrations d air parasites et de quantifier la perméabilité à l air de l enveloppe. AVANT LES TRAVAUX PENDANT LES TRAVAUX APRÈS LES TRAVAUX A RETENIR TEST D INFILTROMÉTRIE 1 Objectifs : > Quantifier la situation initiale de l étanchéité du bâti, > Cartographier les défauts, > Préconiser des solutions. TEST D INFILTROMÉTRIE 2 Objectifs : > Sensibiliser les entreprises à la démarche qualité, > Valider la mise en œuvre de procédés innovants, > Confirmer le bon avancement des travaux. TEST D INFILTROMÉTRIE 3 Objectifs : > Valider la valeur de référence prise en compte dans le calcul thermique, > Confirmer la bonne réalisation des travaux.

5 Les bonnes pratiques du groupement de commandes 5 Les bonnes pratiques de mise en œuvre de l étanchéité à l air Les techniques constructives concourant à la mise en œuvre de l étanchéité à l air En France, la question de l étanchéité à l air a été un temps oubliée. La culture constructive de maçonnerie mettant en œuvre le béton et le béton banché qui, par définition, sont étanches à l air, explique en partie ce constat. Mais l apparition de nouveaux systèmes constructifs (ossature bois et ossature métallique) et la construction de bâtiments performants mettent en exergue la problématique de l étanchéité à l air et des questions de santé qui en découlent. L enjeu, dans les bâtiments performants et étanches à l air, est de trouver un juste équilibre entre les performances énergétiques et le renouvellement d air. Le renouvellement d air, certes responsable d une perte énergétique, est essentiel à la conservation des ouvrages et à la préservation de la santé de ses occupants. Il est particulièrement important d accompagner les usagers lors de leur entrée dans un bâtiment performant afin d expliquer l importance de la ventilation et du renouvellement d air et la nécessité de ne pas boucher les entrées d air. Bien que la question de l étanchéité à l air soit traitée différemment dans le neuf et l existant, un point commun subsiste : la phase de conception permet d anticiper les soucis de mise en œuvre et de proposer les bonnes préconisations. Ainsi, la pratique des macro-lots intégrant plusieurs lots techniques de travaux permet de limiter les risques et de simplifier les responsabilités puisque l étanchéité n a de cohérence que si elle est continue. Tout l intérêt d un macro-lot «clos-couvert», intégrant par exemple une isolation par l extérieur et le remplacement des ouvrants, résidera donc dans la diminution du nombre d interfaces à gérer entre les entreprises afin d obtenir une étanchéité globale. Marika FRENETTE Directrice du bureau d études WIGWAM Le renouvellement d air est essentiel à la conservation des ouvrages et à la préservation de la santé de ses occupants. Un macro-lot «clos-couvert» regroupe en général les lots gros œuvre, menuiserie, étanchéité, couverture et bardage

6 6 Les bonnes pratiques du groupement de commandes... mise en œuvre de l étanchéité à l air >>> L air Les impacts sur la gestion des projets et changement des pratiques DANS LE BÂTIMENT NEUF Dans le neuf, l objectif est de construire un plan d étanchéité à l air pérenne. Ainsi, lorsque le bâtiment est bien conçu, le second œuvre n a pas besoin (ou très peu) de percer l étanchéité et agit uniquement au sein du volume chauffé. Le choix du système constructif a une influence dans l étanchéité à l air future du bâtiment. Ainsi, les systèmes constructifs à ossatures légères (bois, métallique ) sont plus complexes à rendre étanches. Les éléments maçonnés de type brique ou pierre sont quant à eux extrêmement poreux. Le traitement de l intérieur comme de l extérieur par l application d un enduit est le moyen le plus simple d assurer la continuité de l étanchéité. Enfin, le béton banché avec une dalle béton permet d avoir un bâtiment performant et étanche plus simplement. DANS LE BÂTIMENT EXISTANT Pour la réhabilitation existants, deux cas de figure peuvent se présenter. L intervention va toucher soit à l isolation extérieure (le plus souvent par ajout d éléments préfabriqués), soit à l isolation intérieure et extérieure. La réalisation d un état des lieux de l existant lors de l audit énergétique initial déterminera si l étanchéité est suffisante ou s il est nécessaire de l améliorer. Dans ce cas, plusieurs points de vigilance doivent être identifiés dès la phase de conception et intégrés dans les cahiers des charges de travaux : >> Le traitement des détails techniques empêchant potentiellement la mise en œuvre de l étanchéité lors du chantier (espace entre la paroi et un poteau, création de réservations suffisantes entre des conduits ). >> Le risque de création de nouvelles pathologies. Ainsi, l ajout d isolant déplace le point de rosée avec le risque de créer des problèmes d humidité. >> La validation d un local témoin afin de vérifier la qualité des menuiseries et de s assurer du respect du classement AEV (perméabilité à l Air, étanchéité à l Eau, résistance au Vent) avant d étendre la pose des menuiseries à l ensemble du bâtiment. En cas de problème, l entreprise peut ainsi modifier son process de fabrication et de pose. Le suivi de la mise en œuvre de l étanchéité à l air se joue pendant la phase travaux avec la mise en place d une procédure qualité. Il est recommandé d organiser en début de chantier une réunion avec les entreprises et les ouvriers afin de les sensibiliser à l étanchéité à l air et de leur expliquer l intérêt du intérieur est souvent plus pollué que l air extérieur. test d infiltrométrie. Le test d infiltrométrie réalisé à la réception du clos-couvert est un outil de correction permettant de peaufiner la performance des ouvrages. La réalisation d un test en fin de chantier est obligatoire pour les bâtiments labellisés ou pour ceux dont la valeur du calcul thermique a été modifiée. Dans le cas du logement, le test est réalisé sur un échantillon de 3 logements par tranche de 30. Pour les bâtiments tertiaires, l ensemble du volume doit être testé. Les problématiques liées à la santé et à la qualité de l air sont des éléments majeurs à prendre en compte Un premier constat s impose : l air intérieur est souvent plus pollué que l air extérieur. Les occupants sont confrontés à plusieurs types de polluants : les polluants physiques (acoustique, champ électromagnétique, radon ), les polluants chimiques (composés organiques volatils [COV], particules fines, métaux lourds ) et les polluants biologiques (moisissures, bactéries...). Dans un projet de rénovation, les problématiques liées à la santé et à la qualité de l air sont des éléments majeurs à prendre en compte. La première étape est d identifier les problèmes grâce à des outils de mesure (humidité, CO 2, COV, moisissure, débit de ventilation...) puis de prioriser les actions et, enfin, de mettre en œuvre les actions améliorant la qualité de l air. La santé dans le bâtiment n est toutefois pas une économie mesurable comme peut l être la thermique. Elle réside dans une diminution des risques pour les occupants, sans pour autant garantir qu ils ne seront atteints d aucune pathologie. Le Plan National Santé Environnement 2 (PNSE 2) qui est décliné en plans régionaux focalisés sur les priorités propres à chaque région, constitue la feuille de route de la France en matière de santé environnementale. L une des mesures adoptées concerne l accès aux informations concernant les matériaux neufs. À partir du 1 er janvier 2012, les produits de construction et de décoration porteront obligatoirement un étiquetage environnemental et sanitaire ce qui facilitera le choix des matériaux lors d une opération de réhabilitation ou de construction (décret du 23 mars 2011).

7 Les bonnes pratiques du groupement de commandes 7 Les conséquences de l étanchéité à l air sur la qualité de l air intérieur Les risques sanitaires posés par la détérioration de la qualité de l air intérieur Selon l OMS, l environnement constitue l un des quatre facteursclés de santé, avec la génétique, les systèmes de soins et les comportements individuels. Les pays en voie de développement sont frappés par les maladies infectieuses, alors que les allergies sont une caractéristique des pays industrialisés. Aujourd hui, les risques sanitaires posés par la détérioration de la qualité de l air intérieur sont unanimement soulignés par les médecins et les scientifiques. Ils nous alertent sur le fait que le développement des moisissures dans les logements (40 % des logements en France en sont contaminés selon une étude de l Observatoire de la Qualité de l Air Intérieur), est l une des principales causes de la pollution intérieure et favorise diverses pathologies, principalement respiratoires. Chaque jour, environ 15 m 3 d air, soit près de 20 kg transite par nos voies respiratoires (nez, sinus, pharynx, trachée, poumons, bronches ). Ces organes internes sont en contact permanent avec l air et sont donc soumis à une pollution quotidienne qui les fragilise. Les polluants intérieurs sont nombreux Si certains d entre eux sont de nature chimique (COV, radon, formaldéhyde ) d autres, tout aussi redoutables, sont d origine biologique (allergènes d animaux, blattes, acariens, moisissures ) et sont responsables de nombreuses pathologies pour l homme et le bâtiment. Le développement de micro organismes, tels que les moisissures, est favorisé lorsque les conditions «température, humidité et substrat adéquat» sont réunies. Plus de 120 espèces ont été recensées dans l habitat parmi lesquelles : Aspergillus versicolor (espèce la plus fréquemment rencontrée dans les bâtiments humides). Alternaria alternata (3 ème cause de sensibilisation respiratoire, présente toute l année dans l air). Stachybotrys chartarum (espèce considérée comme très dangereuse pour la santé). Chaetomium globosum (espèce associée à des asthmes bronchiques sévères). Penicillium spp. Docteur GERMAUD Service pneumologie au CHU de Nantes Le développement des moisissures dans les logements est l une des principales causes de la pollution intérieure. Ces champignons microscopiques ont diverses incidences sur la santé selon les souches, l importance de leur développement et la fragilité des personnes exposées.

8 8 Les bonnes pratiques du groupement de commandes Les conséquences de l étanchéité à l air sur la qualité de l air intérieur >> Les problèmes de santé qui en découlent peuvent être nombreux: rhinite, dermatite, eczéma, asthme, augmentation de la sensibilité aux infections, aspergilloses ou hémorragies pulmonaires. Ainsi, les moisissures sont des agents qui peuvent avoir un rôle néfaste sur la santé respiratoire des habitants. Sachant que 30% de nos concitoyens sont allergiques, le nombre de personnes présentant un risque de développer une pathologie en rapport avec les moisissures est important. On comprend alors que la prise en charge contenant des moisissures est impérative. La lutte contre l humidité passe d abord par une ventilation correcte de toutes les parties du bâtiment La ventilation doit être efficace, bien contrôlée et entretenue. De faibles variations de l humidité de l air peuvent ensuite être amorties par des matériaux de construction hygroscopiques dont il faudra s assurer de leur résistance aux moisissures (Essai CSTB EN ISO 846 et NF V ). Sans oublier les gestes quotidiens importants pour maintenir un taux d humidité relative entre 40 et 50% (hottes aspirantes, séchage du linge à l extérieur le plus possible, couvercles sur une casserole pour diminuer la vapeur d eau ). La prise en charge contenant des moisissures est impérative. A RETENIR LES SOLUTIONS : Une ventilation correcte Des matériaux de construction résistant aux moisissures Les gestes quotidiens DÉTÉRIORATION DE LA QUALITÉ DE L AIR INTÉRIEUR DÉVELOPPEMENT DE MOISISSURES POLLUTION INTÉRIEURE RISQUES SANITAIRES RHINITE DERMATITE ECZEMA ASTHME INFECTIONS HÉMORRAGIES PULMONAIRES 40% DE LOGEMENTS FRANÇAIS VOTRE CONTACT AU SIPPEREC : Christian PONCELET, Responsable du groupement de commandes électricité et maîtrise de l énergie cponcelet@sipperec.fr. Retrouvez tous les documents sur l espace adhérents du Sipperec : SIPPEREC Tour Gamma B rue de Bercy Paris cedex 12 Tél. : Fax : sipperec@sipperec.fr Internet : Directeur de la publication : Catherine Peyge Comité de rédaction : C. Dumas, E. Derouen, A. Rogé, A. Lapierre, S. Pages Réalisation : Parimage Imprimé par CARACTÈRE sur du papier issu de forêts gérées durablement. PEFC/

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