Eléments et pistes de réflexion à partir de la programmation 2009 et 2010 de 104 salles de spectacles de jauge inférieure à places

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1 DOSSIER LA DIFFUSION DANS LES LIEUX DE musiques ACTUELLES DE PETITE ET MOYENNE JauGES EN france Eléments et pistes de réflexion à partir de la programmation 2009 et 2010 de 104 salles de spectacles de jauge inférieure à places A partir des informations transmises au travers des dossiers de la commission «Aide à la diffusion», le cnv a mené en collaboration avec des professionnels du spectacle, une étude sur l économie d un concert de musiques actuelles dans 104 lieux de petite ou de moyenne jauge. Il en ressort une forte disparité entre les salles en termes de volume et d économie de la diffusion. Des évolutions de 2009 à 2010 sont présentées, indiquant globalement une baisse de fréquentation mais un maintien des recettes de billetterie du fait d une hausse du prix moyen du billet. Quelle est l économie d une représentation dans les lieux de diffusion de petites et moyennes jauges et spécialisés en musiques actuelles? Existe-t-il des différences entre ces lieux? Quels sont le montant des recettes de billetterie générées, la fréquentation et le coût des contrats artistiques? Quelles tendances pour ces indicateurs selon les lieux? Quel est le rapport entre le coût d achat d un spectacle et les recettes de billetterie qu il génère? Existe-il une diversité dans les genres musicaux diffusés par ces lieux de musiques actuelles? Une concentration des dépenses artistiques au niveau des artistes ou des producteurs vendeurs des spectacles est-elle perceptible? Cette étude réalisée à partir des données de diffusion de 104 lieux pour les années 2009 et 2010 vise à apporter des éléments objectifs offrant une réponse à ces différents questionnements. EN BREF Carte d identité de l échantillon Les 104 lieux étudiés sont répartis sur l ensemble du territoire métropolitain hormis Paris 1. Ce sont des salles de spectacles spécialisées dans la diffusion des musiques actuelles et de variétés. Certaines sont dédiées à un genre musical comme les «Clubs de Jazz». Ces lieux présentent une très grande diversité notamment dans leur capacité d accueil avec des jauges maximales allant de 90 à places. 86% des structures exploitantes sont sous statut associatif. En termes de mode d exploitation 56% des exploitants sont en convention d objectifs avec le propriétaire de la salle, 19% louent le lieu à une structure privée, 1 sont en régie avec une collectivité territoriale et 12% sont en délégation de service public (dsp). Seulement 6% des structures sont propriétaires du lieu qu elles gèrent. Répartition des 104 lieux en fonction de leur jauge maximale utilisée (jauge, nombre de lieux, part en %) Les structures exploitantes des lieux détiennent toutes une licence 1 d entrepreneur de spectacles et sont organisées professionnellement : 88% sont membres d une fédération nationale (FEDUROK, FSJ ) et/ ou d un réseau régional ou départemental et 65% sont adhérents à un syndicat (SMA, PRODISS, SYNdeaC, SNSP, CSCAD ). Pratiquement l intégralité des exploitants étudiés appliquent une convention collective et en grande majorité (76%) celle des entreprises artistiques et culturelles (CCNEAC) 2. 1 Le nombre de lieux parisiens (8) pour lesquels des données étaient disponibles n était pas suffisant pour être représentatif. 2 Les autres conventions sont pour 1 celle de l animation et entre 1% et 5% celles de la «fonction publique», de «la chanson, variétés et jazz», des «hôtels, cafés et restaurants». 3 «Les chiffres de la diffusion 2010 du cnv» Répartition des 104 lieux en fonction de leur jauge maximale utilisée ( part en %) Répartition d (nombre de l Le Poids DES 104 LIEUx étudiés DANS LA DIffUSION TOTALE EN france en représentations soit 11% de la diffusion nationale identifiée par le CNV 3 Plus de 11 millions d de recettes de billetterie soit 2% des recettes totales 8 CNV Près Info de N 29 1 million - Juin 2012 d entrées soit 5% de la fréquentation totale 16% 10% 41% 16% 17% Jauges et nombre de lieux : inférieure ou égale à 150 (17 lieux) de 151 à 300 ( 18 lieux) de 301 à 600 ( 42 lieux ) de 601 à 900 ( 17 lieux ) de 901 à ( 10 lieux )

2 Répartition Répartition géographique géogrpahique des 104 des lieux 104 lieux étudiés étudiés Mention Mention : cartographie : Arctique Artique Typologie des lieux Les salles de jauge moyenne Nombre de représentations payantes annuelles Une typologie des lieux Devant la diversité et les spécificités de ces lieux, une typologie a été définie pour construire des indicateurs plus significatifs. Les critères retenus sont la jauge maximale utilisée, le montant des recettes annuelles de billetterie et le contexte géographique des lieux. Le croisement de ces trois critères a permis d identifier quatre catégories de lieux. : 19 lieux Elles possèdent une jauge comprise entre 600 et places et ont des recettes de billetterie annuelles supérieures à et pouvant atteindre Elles se situent dans des grandes ou moyennes agglomérations de province (plus de habitants). 74% de ces lieux disposent de deux espaces scéniques : une grande salle et un club. Les salles de jauge moyenne : 42 lieux C est la catégorie qui a l effectif de salles le plus important. Elle correspond aux lieux dont la jauge est comprise entre 300 et 600 places (84% des lieux) et à ceux dont la jauge est située entre 600 et 900 places mais qui ont des recettes annuelles de billetterie inférieures à Le contexte géographique de ces salles de spectacles est très varié allant, de la petite ville de moins de habitants à une grande agglomération de plus de habitants. Les lieux situés en banlieue parisienne sont présents pour 6 d entre eux dans cette catégorie. 17% des lieux sont exploités par des structures organisant également un festival et 31% sont composés de deux unités scéniques. : 29 lieux ont des jauges inférieures à 300 places. Ils se trouvent soit dans des villes moyennes soit dans des agglomérations importantes. Leurs recettes annuelles de billetterie ne dépassent pas les Ils disposent d une seule unité scénique et pratiquent plus régulièrement les représentations «hors les murs». C est dans cette catégorie que l on retrouve les clubs de jazz qui représentent la moitié des petits lieux identifiés dans cet échantillon. : 14 lieux Le critère exclusif retenu pour cette catégorie est l identification de la ruralité du contexte géographique du lieu. Ils possèdent tous, hormis un lieu plus atypique, une jauge inférieure à 600 places et des recettes annuelles de billetterie inférieures à Répartition Répartition des des lieux lieux selon selon la la typologie typologie (nombre (nombre de lieux, de lieux, part part en en % et % et poids poids sur sur le le nombre nombre total total de de représentations) 14 lieux 14% des lieux pour 8% des représentations 19 lieux 18% des lieux pour 22% des représentations Lieux en Les salles de jauge moyenne 29 lieux 28% des lieux pour 3 des représentations 42 lieux 40% des lieux pour 37% des représentations CNV Info N 29 - Juin

3 Caractéristiques principales des lieux Les budgets des lieux Les charges et les produits considérés ici sont exclusivement attachés à l activité de diffusion des exploitants des lieux. Les subventions ne sont pas prises en compte dans cette approche du fait de la difficulté de les flécher sur la diffusion. Cette analyse budgétaire permet, dans un premier temps, de faire ressortir des grandes caractéristiques économiques selon la typologie des lieux. En termes de charges, de grandes différences sont observables entre les plus élevées, celles des grandes scènes, avec un peu plus de en moyenne, par an, celles des salles de jauge moyenne aux environs de , celles des petits lieux à et des lieux en aux alentours de La répartition en fonction des types de charges fait apparaitre la prédominance des charges artistiques, qui comprennent les salaires des artistes, les achats de cession, la part reversée dans le cadre des coréalisations, les frais de transport et d hébergement et d autres charges telles que les droits d auteurs. L ensemble de ces charges représente plus de 60% des charges totales dédiées à la diffusion quelle que soit la catégorie. En valeur globale pour 2010 sur l ensemble des 104 lieux étudiés, les charges artistiques représentent plus de 17 millions d euros dont environ 10,6 millions d achat de cession de spectacles. Les charges de communication varient elles entre 8% et 12% du budget selon le type de lieu. La grande différence se situe sur les charges techniques des grandes scènes qui sont plus importantes en volume et en proportion que dans les autres catégories, soit 28% des charges quand elles représentent entre 18% et 21% dans les autres catégories. Ces charges techniques comprennent les salaires des techniciens, la location de matériel et le backline, les achats de prestations techniques et d autres charges comme celles des assurances. Comme pour les charges, les produits (hors subventions) sont corrélés à l importance du lieu, variant de en moyenne par an pour les grandes scènes à pour les lieux en. Les recettes de bar pèsent entre 2 et 32% des produits liés à la diffusion selon les catégories de lieux, avec les parts les plus fortes pour les petits lieux et les lieux ruraux. Les recettes de billetterie sont logiquement prépondérantes dans l ensemble des produits liés à la diffusion. Elles représentent 66% des produits des salles de jauge moyenne et 60% pour les lieux ruraux. Cette prépondérance est moindre pour les deux autres catégories : du fait pour les grandes scènes de recettes de location plus importantes, 1 de recettes de location contre pour les autres types de lieux ; du fait pour les petits lieux de la vente d abonnements plus répandue notamment dans les clubs de jazz qui vient augmenter la part des recettes «autres» à la hauteur de 20%. In fine, le poids des recettes issues de la vente des billets est de 56% pour les grandes scènes et de 47% pour les petits lieux. Une analyse du volume des recettes annuelles de billetterie par lieu permet d identifier une dispersion plus forte dans la catégorie des grandes scènes et des salles de jauge moyenne que dans les petits lieux et les lieux ruraux dont les montants annuels de recettes de billetterie sont plus proches. Par exemple, 25% des grandes scènes ont des recettes annuelles de billetterie inférieures à et 25% ont des recettes supérieures à EN BREF Les DIfféRENCES budgétaires SELON la typologie Part des charges techniques plus élevée dans les grandes scènes, soit 28% du budget en moyenne contre 18% à 21% pour les autres types de lieux. Part des produits de location de salle plus importante dans les grandes scènes, soit 1 contre dans les autres types de lieux Dispersion plus forte du volume des recettes annuelles de billetterie dans les grandes scènes et les salles de jauge moyenne. Répartition des produits liés à la diffusion en 2010 Répartition des charges liés à la diffusion en 2010 Répartition des produits liés à la diffusion en % 28% 10% 21% 12% 8% 18% 21% 7% 1 7% 2 20% 29% 5% 32% 6 69% 69% 70% 70% 72% 56% 66% 47% 60% Les grandes scènes Les salles de jauge moyenne Les grandes scènes Les salles de jauge moyenne Charges Communication Charges Techniques Charges Artistiques Produits Autres Produits Recette de bar Produits Recette de location Produits Recettes de billeterie 10 CNV Info N 29 - Juin 2012

4 L activité de diffusion La réalisation d un spectacle dans une salle peut prendre différentes formes. Soit par la location du lieu directement à un producteur de spectacles, soit par une mise à disposition gracieuse à une association par exemple, soit par l organisation de la date directement par la structure exploitante du lieu. C est ce dernier type de diffusion, où le lieu est détenteur de la billetterie, qui est étudié plus précisément dans la suite de cette étude et qui représente une grande majorité des dates 4, entre 71% et 89% selon la typologie des lieux. Pour la location et la mise à disposition, les grandes scènes ont la part la plus importante soit 28% de dates, louées ou mises à disposition. 74% des grandes scènes sont utilisées en location, 3 des salles de jauge moyenne, 28% des petits lieux et 14% des lieux ruraux. La taille de la jauge et le contexte géographique semblent jouer un rôle prépondérant dans l utilisation ou non en location des salles. Une approche plus spécifique sur les lieux situés en banlieue parisienne le vérifie. Pour des jauges similaires comprises entre 300 et 900 places, la part de nombre de dates louées passe de 7% pour la province à 1% pour la banlieue parisienne. En observant uniquement les dates organisées par les structures exploitantes pour lesquelles l ensemble des informations est disponible (nombre de représentations payantes ou gratuites, recettes de billetterie, fréquentation et montant des coûts artistiques), les volumes d activité de diffusion sont différents en fonction de la typologie des lieux. et les petits lieux ont le nombre moyen de représentations par an le plus élevé, avec 58 représentations. On observe chez les petits lieux une grande disparité du volume de diffusion. 25% d entre eux ont moins de 28 représentations et 25% en ont plus de 57 avec un maximum de 163 représentations. Quatre lieux, situés dans de grandes agglomérations, ont un nombre de représentations payantes supérieures à 100, ce qui tire vers le haut la moyenne de représentations par an pour la catégorie des petits lieux. Pour les autres types de salles, le volume de diffusion est relativement homogène avec une moyenne proche de la médiane. Les lieux ruraux ont l activité la plus faible avec une moyenne de 29 représentations par an et les salles de jauge moyenne atteignent 46 représentations par an. La part des représentations gratuites est sensiblement identique selon les catégories entre 12% et 14%, hormis pour la catégorie des salles de jauge moyenne avec une part plus forte de 20%. Economie d une représentation payante intra-muros Les indicateurs présentés ci-après concernent les seules représentations payantes intra-muros (représentation ayant eu lieu dans les murs de la salle de spectacle) et organisées par l exploitant du lieu (en tant que détenteur de la billetterie). Cette approche permet d obtenir des données sur l économie de la diffusion représentation par représentation concernant les recettes de billetterie et le coût total des contrats artistiques. L échantillon est de représentations soit 86% des représentations payantes organisées en 2010 dans les 104 lieux étudiés. Les indicateurs de la diffusion selon la typologie des lieux Pour les grandes scènes, les indicateurs sont établis en fonction des unités scéniques utilisées, le club et la grande salle ou la scène unique pour les lieux n ayant pas de club, afin de mieux appréhender la réalité de la diffusion dans ce type de lieu. L activité des clubs représente environ un tiers des représentations payantes pour un poids plus faible (11%) dans les recettes de billetterie. La grande salle a logiquement des moyennes par représentation supérieures à celles du club avec un prix moyen du billet 5 à 17,4 et une fréquentation moyenne de 437 entrées payantes pour une recette de billetterie moyenne d environ Le taux de fréquentation 6 payant moyen des clubs est moins élevé que celui des grandes salles, soit 4 contre 59%. Dans les grandes salles 29% des représentations ont un taux de fréquentation payant supérieur à 75%, dans les clubs 12% des représentations atteignent ce seuil. 4 Une date correspond à l ouverture du lieu pour présenter un spectacle au public. Une même date peut contenir plusieurs représentations de ce même spectacle. 5 Le prix moyen est calculé en rapportant les recettes de billetterie au nombre d entrées payantes. 6 Le taux de fréquentation est calculé à partir du nombre d entrées payantes rapporté à la jauge utilisée pour la représentation. Répartition des dates en fonction du type de diffusion EN BREF 14% 14% 9% 4% 9% 8% la location des LIEUx ET LES DATES hors LES MURS 71% Les grandes scènes 87% Les salles de jauge moyenne Mise à disposition du lieu Location du lieu Organisation du spectacle 88% 89% 37% des lieux étudiés ont des dates en location qui représentent 15% de leur activité totale de diffusion. 11% des dates organisées par les lieux sont produites «hors les murs» et pèsent pour 10% des recettes annuelles de billetterie. Pour la catégorie des petits lieux cela représente 14% des représentations et 20% des recettes annuelles de billetterie. Mise à disposition du lieu Location du lieu Organisation du spectacle CNV Info N 29 - Juin

5 Concernant la couverture par les recettes de billetterie du coût total des contrats artistiques 7 par représentation, les concerts de la grande salle affichent un ratio moyen de 137% indiquant que les recettes de billetterie couvrent la globalité des dépenses moyennes en contrats artistiques par représentation (5 552 ). Les représentations dans les clubs ont un équilibre plus difficile avec un ratio moyen de 71% et une moyenne de charges en contrats artistiques de Il faut regarder avec précaution ces ratios budgétaires en considérant qu ils n incluent pas certaines charges, comme celles des coûts techniques du lieu et certains produits, comme les recettes de bar, ces données n étant pas disponibles représentation par représentation. Les salles de jauge moyenne Pratiquement un tiers de ces lieux possèdent deux unités scéniques. L activité du club est toutefois moins soutenue que pour les grandes scènes. Elle concentre 8% des représentations payantes pour des recettes de billetterie. Selon l unité scénique, le prix moyen du billet varie entre 13,6 et 8,8, la fréquentation moyenne payante varie entre 207 entrées payantes pour la grande salle et environ deux fois moins pour les clubs. Le taux de fréquentation payant moyen est similaire sur les deux unités scéniques (aux alentours de 50%) lié probablement à des représentations pour les grandes salles plus risquées en termes de fréquentation. 28% des représentations de ces unités scéniques n atteignent pas les 25% de fréquentation contre 20% dans les clubs. Les clubs ont des recettes de billetterie moyenne qui couvrent pratiquement la moitié du montant total des dépenses en contrats artistiques par représentation, soit un peu plus de 800. L équilibre budgétaire dans les clubs est moins favorable que celui des grandes salles qui, avec des recettes de billetterie moyenne de pour un coût moyen total des contrats artistiques de 3 537, obtiennent un ratio de 80%. L économie de la diffusion de ces lieux est très proche de celle des clubs des salles de jauge moyenne avec un prix d entrée moyen de 9,1 et une fréquentation payante de 77 entrées pour une recette de billetterie de 700 par concert. Le coût moyen des contrats artistiques est d environ par représentation. 4 des représentations de ces lieux atteignent ou dépassent en recettes de billetterie le coût des contrats artistiques. Pratiquement la moitié des représentations (47%) est au-dessus des 50% de taux de fréquentation payante. atteignent pratiquement le même niveau de fréquentation que celui des grandes scènes, sans doute est-ce le Répartition des représentations payantes intra-muros en 2010 selon leur taux de fréquentation 29% 34% 1 Grande salle 12% 37% 28% Club 20% 21% 31% 28% Grande salle 75 % et plus De 50% à moins de75 % De 25% à moins de 50 % Moins de 25 % Les salles de jauge moyenne fruit d une proximité et d une fidélisation du public plus fortes dans ce type de lieu. Avec un prix moyen d entrée de 10,5, et une fréquentation payante moyenne de 139 personnes, les salles de spectacles situées dans des zones rurales obtiennent une recette moyenne de billetterie de par représentation. Le coût moyen total des contrats artistiques est de 1 893, couvert en moyenne à 77% par les recettes de billetterie. La présence dans cette catégorie d un lieu plus important a tendance à tirer vers le haut les moyennes. L analyse de la diffusion en nécessiterait d être approfondie en élargissant l échantillon à d autres lieux. Equilibre budgétaire et fréquentation payante Il apparaît très logiquement qu un taux de fréquentation important entraîne un meilleur équilibre budgétaire mais cela ne se vérifie pas systématiquement. 25% des représentations de l échantillon en 2010 ayant un taux de fréquentation supérieur à 75% ne couvrent pas la totalité des charges en contrats artistiques engagées par ces lieux. Cette part varie selon la typologie des lieux, allant de 12% pour les grandes scènes à 40% pour les lieux en en passant à 3 pour les salles de jauges moyennes et à 2 pour les petits lieux. 18% 17% 45% 19% Club 34% 19% Les petits lieux EN BREF 16% 26% 35% 22% L équilibre DES RECETTES de billetterie et DES COûts DES CONTRATS ARTIStiqUES PAR REPRé- SENTATION 8 se distinguent avec un ratio moyen de 125%. La moitié des représentations ont un ratio supérieur à 100% et jusqu à 61 % pour les représentations dans l unité scénique principale. Les autres catégories ont tous des ratios moyens par représentation inférieurs à 100% qui ne leur permettent pas de couvrir les coûts des contrats artistiques. La part des représentations avec un ratio supérieur à 100%, est de 4 pour les petits lieux contre au maximum 30% pour les salles de jauges moyennes et 28% pour les lieux en. 7 Le coût total des contrats artistiques est la somme totale engagée par le lieu pour une représentation pouvant contenir plusieurs types de contrats. 8 Attention, d autres charges telles que des dépenses techniques ou d autres recettes notamment de bar ne sont pas intégrées dans ce ratio. 12 CNV Info N 29 - Juin 2012

6 Part des représentations selon leur ratio recettes de billetterie / coût total des contrats artistiques Part des représentations selon leur ratio recettes de billeterie / coût total des contrats artistiques Répartition selon les types de contrats artistiques utilisés 61% 15% Grande salle 29% 31% 40% Club 30% 3 37% Grande salle 10% 26% 64% Club Les salles de jauge moyenne 4 Les petits lieux 28% 35% 3 37% 100 % et plus De 50% à moins de 100 % 100 % et plus Contrat d engagement Moins de 50 % De 50% à moins de 100 Contrat de coréalisation Moins de 50 % Contrat Contrat de cession d engagement Contrat de coréalisation Contrat de cession 2 10% 67% Total 18% 18% 6% 6% 76% 76% Les grandes scènes Les salles de jauge moyenne 35% 2 41% 21% 4% 75% Equilibre budgétaire et coût moyen total des contrats artistiques Pour les grandes scènes et les salles de jauge moyenne, l équilibre budgétaire est le plus souvent atteint lors des représentations dont le coût des contrats artistiques est le plus élevé. 6 des représentations des grandes scènes dont les charges en contrats artistiques sont supérieures à et 37% de celles des salles de jauge moyenne ont des recettes de billetterie couvrant les dépenses en contrats artistiques. Cette part de représentations est plus faible quand les montants des contrats par représentation sont situés entre et Si l on considère le niveau du montant des contrats comme révélateur du niveau de développement des artistes diffusés, il apparaît que les représentations des artistes en début de développement permettent moins fréquemment d obtenir une balance équilibrée entre les recettes et les dépenses. Pour les petits lieux, l équilibre entre les recettes de billetterie et les coûts des contrats artistiques d une représentation est plus souvent présent dans le cas des représentations dont l économie est la plus modeste. 79% des représentations qui ont un ratio supérieur à 100% ont des coûts artistiques inférieurs à 500. Les évolutions de 2009 à Sur l échantillon de lieux commun aux deux années, on constate une croissance de du nombre de représentations payantes. Par représentation payante, on enregistre une baisse de 4% des entrées payantes et une hausse de 6% du prix moyen du billet passant de 13 à 14. Ces évolutions entraînent une stabilité des recettes de billetterie par représentation (+1%). Concernant le coût moyen total des contrats artistiques, une légère hausse de 2% est observable, et donc supérieure à celle des recettes de billetterie, entraînant ainsi un équilibre budgétaire moins favorable pour les lieux. Les évolutions rapportées à la typologie des lieux indiquent les mêmes tendances à la baisse de la fréquentation moyenne payante dans toutes les catégories hormis pour les lieux en 10, une augmentation du prix du billet pour les grandes scènes et les salles de jauges moyennes de 7% et plutôt une stabilité tarifaire pour les petits lieux. S agissant des recettes de billetterie moyennes, l évolution varie d une hausse de pour les grandes scènes à une diminution de 4% pour les petits lieux et de pour les lieux en, en passant par une stabilité du côté des salles de jauges moyennes. Les coûts moyens totaux des contrats artistiques par représentation évoluent plus fortement dans les grandes scènes et les salles de jauges moyennes, respectivement +4% et +. Les contrats artistiques Quelques caractéristiques Sur contrats étudiés, 67% sont des contrats de cession et ils sont prédominants dans l ensemble des catégories de lieux. Ils concentrent plus de 80% du total des dépenses des lieux en contrats artistiques 11. Les contrats d engagement 12 sont plus faiblement utilisés soit 2 des contrats pour un poids plus faible de 8% dans le total des dépenses en contrats artistiques des lieux. La catégorie des petits lieux a une part plus importante de ces contrats (35%) qui représentent pour 30% des dépenses. Cette différence s explique notamment par la présence des «clubs de jazz» dans cette catégorie et dont la pratique des contrats d engagement est plus habituelle. 9 Les évolutions sont réalisées sur un échantillon de 79 lieux communs aux deux années représentant représentations payantes en 2009 et en L effectif étant réduit sur cette catégorie, il est difficile de proposer une interprétation. 11 Soit 8 millions d sur la base des contrats étudiés 12 Les contrats d engagement sont entendus ici comme le cumul des cachets individuels des artistes pour une représentation. CNV Info N 29 - Juin

7 Nombre de contrat par artiste / formation en 2010 Poids des différents genres dans la diffusion en nombre de contrats en % 1 contrat 2 contrats de 3 à 5 contrats de 6 à 10 contrats Plus de 10 contrats 12% 11% 6% 16% 16% 1% 36% Les contrats de coréalisation 13 qui sont également plus fréquents dans ces petits lieux (2) représentent 10% du total des contrats pour un poids légèrement plus fort de 12% dans le montant total des dépenses en contrats artistiques des lieux. Les montants des contrats artistiques sont très variables et dépendent de plusieurs éléments, le potentiel ou le niveau de développement de l artiste diffusé, de son genre musical, du type et de la capacité de la jauge du lieu où il est programmé. Pour les contrats de cession, le montant moyen en 2010 est de 2 254, variant en moyenne selon la typologie des lieux de à La moitié des contrats de cession est en dessous de Il y a une forte dispersion des montants de ces contrats. Pour les contrats d engagement, la moyenne du montant total des contrats versés aux artistes (quel que soit le nombre d artistes) pour une représentation est de 656, allant de 459 à 760 selon la typologie des lieux. La médiane située à 543 vient confirmer une certaine homogénéité dans le montant de ces contrats. Pour les contrats de coréalisation, le montant moyen de et la médiane à 629 révèlent de grandes différences dans les montants. Pour les grandes scènes, le montant moyen est de et ce sont des contrats le plus souvent destinés à des artistes à fort potentiel public. Ce contrat combine un minimum garanti sous forme de cession avec un pourcentage des recettes de billetterie variant selon un seuil 1 contrat 2 contrats de 3 à 5 contrats de 6 à 10 contrats de fréquentation de 11 à 20 atteindre. contrats Les 6% de coréalisations réalisées dans cette catégorie plus de 20 contrats de lieu pèsent plus fortement dans le total des charges des contrats artistiques de ces lieux avec 14% des dépenses. Dans les petits lieux, les contrats de coréalisation ont une toute autre forme, avec un montant moyen beaucoup plus bas de 455 correspondant généralement à un partage des recettes générées lors de la représentation. Ils représentent 2 des contrats pour 12% du total des dépenses en contrats artistiques de ces petits lieux. Les évolutions de 2009 à L évolution de la moyenne des contrats de cession sur ces deux années est stable et se confirme au regard des indicateurs 2009 de l étude du CNV sur la production de spectacles 15 dont le montant moyen en 2009 du contrat de cession est observé à La stabilité de la médiane à et les variations très faibles selon les jauges utilisées vérifient également cette stagnation des montants des contrats de cession, quel que soit le type de lieu ou d artiste diffusé. Le montant moyen total des contrats d engagement progresse légèrement de entre les deux années. Pour les contrats de coréalisation, on constate une forte hausse de 19% du montant moyen. Cette évolution est liée aux contrats de coréalisation réalisés auprès des artistes à fort potentiel public produits dans les plus grandes jauges. Le montant moyen des coréalisations dans les grandes scènes a progressé de 37% passant de à et a donc tiré vers le haut la moyenne de ces contrats. A l inverse pour les coréalisations des petits lieux, la moyenne Rap hip a diminué hop raggoae de 6% et genres du fait assimilés probablement Musique de la baisse électronique constatée dans Musique du monde les recettes de billetterie (-4%). Autres genres Chanson La diversité Jazz et musiques la concentration improvisées Pop-Rock et genres assimilés dans la diffusion Les spectacles et les artistes La grande majorité, soit 7 des 4000 spectacles ou artistes programmés comptabilisent un seul contrat au cours de l année 2010 dans le réseau des 104 lieux étudiés 16. C est un signe de grande diversité dans la diffusion, d une programmation d artistes à dimension locale et de la présence de nouvelles formations artistiques. 31% des contrats identifiés concernent des artistes en première partie. La répartition par genre des contrats artistiques indique une prédominance du Pop- Rock avec 36% des contrats, mais laisse également la place à d autres esthétiques musicales comme le Rap - Hip-Hop - Reggae avec 11%, les musiques électroniques avec 12% et les musiques du monde avec 6% des contrats. Le poids des genres dans le total des dépenses en contrats artistiques des lieux est sensiblement identique. On note cependant une surreprésentation pour la Chanson avec 20% des dépenses pour 16% des contrats et une sous-représentation pour le Jazz et les musiques improvisées avec 11% des dépenses pour également 16% des contrats. En termes de concentration des dépenses en contrats artistiques, les 50 premiers artistes ou formations ayant les montants de contrats cumulés les plus élevés concentrent 14 CNV Info N 29 - Juin 2012

8 Nombre de contrats de cession par producteur en contrat 2 contrats de 3 à 5 de 6 à de 11 plu Chanson Jazz et musiques improvisées Pop-Rock et genres assimilés Rap hip-hop raggae et assimilés Musique électronique Musique du monde Autres genres 59% 15% 12% 5% 4% 5% 1 contrat 2 contrats de 3 à 5 contrats de 6 à 10 contrats de 11 à 20 contrats plus de 20 contrats 21% des dépenses, soit plus de 2 millions d euros. La moitié du montant total des contrats artistiques dépensée par les 104 lieux est repartie sur 6% des artistes et formations diffusés. Les producteurs La notion de producteur est approchée ici uniquement dans le cadre des contrats de cession, c est donc le producteur au sens d employeur du plateau artistique. 59% des producteurs recensés via la programmation des lieux n ont qu un seul contrat de cession vendu auprès d une des 104 salles étudiées au cours de l année Environ 40 producteurs ont plus de 20 contrats au cours de l année 2010, soit 5% d entre eux. En termes de concentration des dépenses en contrats artistiques, elle est plus forte qu au niveau des artistes, puisque les 50 premiers producteurs ayant les montants de contrats cumulés les plus élevés concentrent 59% des dépenses et 50% des contrats de cessions étudiés. Quelques précisions C est à partir des dossiers de demande auprès de la commission 7 d aide à la diffusion du CNV qu a été réalisée cette étude. Les données de programmation date à date de 2009 à 2010 ont été collectées et analysées par le centre de ressource du CNV qui mène des observations sur l économie des projets, comme celles déjà réalisées à propos des festivals et de la production de spectacles de musiques actuelles 17. L objectif est d étudier la diffusion de spectacles de musiques actuelles et de variétés dans ces salles dédiées à ces musiques, notamment par une approche de l économie d une représentation (recettes de billetterie, fréquentation, prix moyen du billet, montants des contrats artistiques). La finalité de ce travail est la mise en place un tableau de bord annuel constitué d indicateurs pérennes permettant de répondre aux besoins de connaissance des professionnels du secteur. Leurs attentes ont été d ailleurs prises en compte lors des réunions d un groupe de travail dédié à cette étude et constitué de professionnels du secteur. Les retours et remarques liés aux expériences de chaque membre du groupe ont permis de créer la typologie des lieux et de confirmer ou infirmer des pistes d analyse. Ont participé au groupe de travail et sont sincèrement remerciés : Jean-Christophe APLINCOURT (le 106), Hyacinthe CHATAIGNE (Fedurok), Boris COLIN (Le Grand Mix), Gérard DAHAN (FO), Florent DECROIX (A Gauche de la Lune), Françoise DUpas (Le Petit Faucheux), Claude FONFRede (SFA), Geneviève GI- RARD (Azimuth), Pierre-Pascal HOUDE- BINE (Furax), Franck MICHAUT & Marion BLANCHART-LAGOEYTE (RIF), Arnaud MONNIER (EMB), Anne-Claire ROCTON (DGCA), Jean-Paul RosseLIN (la Boule Noire), Janick TILLY (le Penn ar Jazz), Rodolphe TIPY (Esquisse Prod), Michel VIE (SNAM), Jean-Pierre VIVANTE (Le Triton). Etude réalisée par Sébastien Berthe, Séverine Morin et Jean François Paux. Remerciement pour leurs travaux et contributions à Pierre-Louis Bernard et Sébastien Dilon en stage au CNV durant la période Contact : centre de ressource du cnv Sébastien Berthe Chargé d études T : E : sebastien.berthe@cnv.fr 13 Les contrats de coréalisation sont définis ici au sens large allant d un simple partage des recettes jusqu au contrat de cession comme minimum garanti assorti d un pourcentage sur la billetterie. 14 Les évolutions sur les contrats sont réalisées sur l échantillon de 79 lieux communs aux deux années contrats en 2009 et contrats en 2010 ont été étudiés. 15 Etude cnv «La production de spectacles de musiques actuelles en France de 2006 à 2009» publiée en Juin 2011 dans le cnv Infos N Les spectacles ou artistes identifiés ici ont pu également être produits en 2010 dans d autres lieux en dehors de cet échantillon. 17 Etudes publiées et disponibles sur le site du cnv et dans le cnv Info N 22 et N 25. CNV Info N 29 - Juin

9 Tableaux d indicateurs 2010 Indicateurs par représentation payante - Réalisés sur représentations Type de lieu Unité Scénique Recette de billetterie Prix moyen du billet Nombre moyen d'entrées payantes Coût moyen total des contrats artistiques Taux de fréquentation payante moyen Ratio moyen Billetterie / Coût des contrats Total % 94 % Total % 125 % LES GRANDES SCÈNES Grande salle ou scène unique % 137 % Club % 71 % Total % 78 % LES SALLES DE JAUGE MOYENNE Grande salle ou scène unique % 80 % Club % 48 % LES PETITS LIEUX % 64 % LES LIEU EN MILIEU RURAL % 77 % Evolution sur 79 lieux de l échantillon Indicateurs par réprésentation payante intra muros - Réalisés sur représentations en 2009 et en 2010 Type de lieu Total Les salles de jauge moyenne Recettes de billetterie moyenne k 1% l k 1% r-4% r- Prix moyen du billet l 6% l 7% l 7% k 1% r-6% Nombre moyen d'entrées payantes Coût moyen total des contrats artistiques r-4% r- r-5% r-5% l k 2% l 4% l k 1% k 0% Les contrats artistiques Montant moyen des contrats artistiques en 2010 et leur évolution de 2009 à 2010 Réalisés sur en 2010 contrats pour les 104 lieux - Évolution sur 4171 contrats en 2009 et 4346 en 2010 sur 79 lieux Montant moyen par contrat (1 représentation peut faire l'objet de plusieurs contrats) Total Les salles de jauge moyenne Les lieux en Évolution Montant moyen d'un contrat de cession Montant moyen d'un contrat de co-réalisation Montant moyen du total des contrats d'engagement d'une représentation % % CNV Info N 29 - Juin 2012

10 Liste des lieux étudiés 6PAR4 (LAVAL) A-C AJMI (AVIGNON) AKWABA (CHATEAUNEUF DE GadaGNE) ARCADE (NOTRE dame de GRAVENCHON) ART Cade (STE CROIX VOLVESTRE) BIG BAND CAFE (HEROUVILLE ST CLAIR) CABARET ALEATOIRE (MARSEILLE) CABARET ELECTRIC (LE HAVRE) CAC GEORGES BRasseNS (MANTES LA JOLIE) CAFE CHARBON (NEVERS) CANAL 93 (BOBIGNY) CARGO de NUIT (ARLES) CARRE BLEU (POITIERS) CAVAJAZZ (VIVIERS) D-I DES LENDEMAINS QUI CHANTENT (TULLE) EL MEDIATOR (PERPIGNAN) EMB - ESPACE MICHEL BERGER (SANNOIS) FILE 7 (MAGNY LE HONGRE) FOYER GEORGES BRasseNS (BEAUCOURT) FUZZ YON (LA ROCHE SUR YON) INSTANTS CHAVIRES (MONTREUIL) LA L ABORDAGE (EVREUX) L AERONEF (LILLE) L AMPHI (AUXERRE) L ANTIpode (RENNES) L ASTROLABE (ORLEANS) L AUTRE CANAL (NANCY) LA BOBINE (GRENOBLE) LA BOUCHE D AIR (NANTES) L ECHONOVA (ST AVE/PAYS DE VANNES) L ECOUTILLE (COURTRY) L EMPREINTE (SAVIGNY LE TEMPLE) L EPICERIE ModeRNE (FEYZIN) L OLYMPIC (NANTES) L ORANGE BLEUE (VITRY LE FRANCOIS) L ouvre boîte (Beauvais) LA CARENE (BREST) LA CARTONNERIE (REIMS) LA CAVE A MUSIQUE (MACON) LA CAVE AUX poetes (ROUBAIX) LA CIGALE de NYONS (NYONS) LA CITROUILLE (ST BRIEUC) LA CLEF (ST GERMAIN EN LAYE) LA CoopeRATIVE de MAI (CLERMONT FERRAND) LA DYNAMO (PANTIN) LA GARE (COUSTELLET) LA GRANDE BOUTIQUE (LANGONNET) LA GRANGE (CAUsse de LA selle) LA LUCIOLE (ALENCON) LA LUNE des PIRATES (AMIENS) LA NEF (ANGOULEME) LA NICHE (DOMMARIEN) LA poudriere (BELFORT) LA PRESQU ILE (ANNONAY) LA TANNERIE (BOURG EN BResse) LA VapeUR (DIJON) LE LE BACARDI (CALLAC de BRETAGNE) LE BIJOU (TOULOUSE) LE BRISE GLACE (ANNECY) LE CAFE MUSIC (MONT de MARSAN) LE CAMJI (NIORT) LE CARGO (CAEN) LE CHABada (ANGERS) LE CHATO DO (BLOIS) LE CONFORT ModeRNE (POITIERS) LE COQUELICOT (FOUGERES) LE CRI DU port (MARSEILLE) LE FIL (ST ETIENNE) LE FLORIDA (AGEN) LE FORUM (VAUREAL) LE GRAND MIX (TOURCOING) LE GUINGOIS (MONTLUCON) LE KRAKATOA (MERIGNAC) LE MANDALA (TOULOUSE) LE MOULIN A JAZZ (VITROLLES) LE MOULIN de BRAINANS (BRAINANS) LE MOULIN de pontcey (PONTCEY) LE pannonica (NANTES) LE periscope (LYON) LE petit FAUCHEUX (TOURS) LE PLAN (RIS ORANGIS) LE RACK AM (BRETIGNY SUR ORGE) LE RIO GRANDE (MONTAUBAN) LE ROCHER de palmer (CENON) LE sans ReseRVE (PERIGUEUX) LE sax (ACHERES) LE SILEX (AUXERRE) LE TAMANOIR (GENNEVILLIERS) LE TRAIN THEATRE (PORTES LES VA- LENCE) LE TRITON (LES LILAS) LE VIP (ST NAZAIRE) LES passagers DU ZINC (AVIGNON) N-R NOUMATROUFF (MULHOUSE) OMEGA LIVE (TOULON) PAUL B (MassY) PENICHE CANCALE (DIJON) PENN AR JAZZ (BREST) ROCK SCHOOL BARBEY (BORdeaUX) RUN AR PUNS (CHATEAULIN) S-U SALLE NOUGARO (TOULOUSE) SALON de MUSIQUE (SALON de PROVENCE) SMAC LES ABATTOIRS (BOURGOIN JALLIEU) TRIANON TRANSATLANTIQUE (SOTTEVILLE LES ROUEN) UBU (RENNES) CNV Info N 29 - Juin

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