Résultats du sondage. Les exercices d évacuation dans les résidences privées pour aînés. État de la situation
|
|
- Joel Lépine
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Résultats du sondage Les exercices d évacuation dans les résidences privées pour aînés État de la situation Octobre 2015
2 Table des matières Mise en contexte... 3 Faits saillants... 4 Partie 1 du sondage : l exercice d évacuation... 5 Partie 2 du sondage : Incidents et accidents Partie 3 du sondage : Relations avec les autorités Autres commentaires des répondants sur les exercices d évacuation Conclusion Page 1
3
4 Mise en contexte Le Regroupement québécois des résidences pour aînés est fréquemment interpellé par ses membres au sujet des nombreuses difficultés vécues par leurs résidents avant, pendant ou après les exercices d évacuation requis par le règlement sur la certification. L inquiétude et la colère qu ils nous expriment à ce propossont aussi l écho de l inquiétude et de la colère des familles des résidents. Les propriétaires et gestionnaires de résidences privées pour aînés (RPA) sont aux premières loges pour constater l intensité du stress et de l anxiété, voire l angoisse que ces exercices font vivre aux aînés désireux de se conformer à ce qu on attend d eux pour que leur résidence réussisse son évacuation et obtienne son certificat de conformité. Sans compter les chutes et les autres conséquences parfois graves qui peuvent résulter de ces simulations d incendie. Ce sondage avait donc pour but de colliger des informations concernant la tenue des exercices d évacuation encadrés par les services de sécurité incendie dans les RPA afin de bien identifier le problème, de le documenter et d en mesurer l ampleur. Il a été mené auprès de nos 678 membres entre le 26 mai et le 5 juin inclusivement. Les résultats obtenus démontrent hors de tout doute que tels qu ils sont actuellement pratiqués, ces exercices d évacuation posent un problème majeur. Le fait d obliger tous les résidents à y participer, sauf quelques rares exceptions, les perturbe trop souvent et est une telle source de pression, en particulier pour les résidents semi-autonomes, qu il affecte fréquemment leur équilibre et leur santé physique. Les données cidessous démontrent que près du tiers des résidents impliqués dans des incidents ou accidents provoqués par les exercices d évacuation ont dû être hospitalisés. Nous croyons qu elles illustrent éloquemment l acuité du problème et l urgence d y trouver une solution avant qu un décès ou un autre événement irrémédiable s y produise. Page 3
5 Faits saillants Nombre de répondants: % des répondants sont parvenus à évacuer leur résidence en 8 minutes ou moins Près du quart (23 %) des répondants affirment avoir vécu des accidents et/ou des incidents impliquant des résidents avant, pendant ouaprès leur dernier exercice d évacuation incendie 41 répondants ont affirmé avoir observé des chutes de leurs résidents pendant l exercice, le plus fréquemment dans les escaliers, le corridor et à l extérieur de la résidence. Ce nombre représente 14 % de l ensemble des répondants et 59 % de ceux chez qui des accidents et/ou incidents se sont produits. L anxiété et la désorientation ont été les problèmes liés au stress les plus observés pendant l exercice. 20 répondants ont signalé des hospitalisations survenues en lien direct avec l exercice d évacuation, soit 7 % de tous les répondants et 30 % de ceux qui ont vécu des accidents et /ou incidents. 143 répondants ont affirmé avoir une très bonne relation avec le service incendie de leur municipalité. 131 répondants ont dit avoir établi une très bonne collaboration avec les autorités. 73 % des répondants seraient favorables à ce que les exercices soient réservés au personnel et que des séances d information seulement soient données aux résidents. Page 4
6 Partie 1 L exercice d évacuation
7
8 1. À quelle(s) catégorie(s) appartient votre résidence? [ 299 réponses ] Réponse Nombre de résidences Pourcentage Personnes autonomes 25 8,36 % Personnes semi-autonomes ,13 % Les deux ,51 % 2. Combien d étages comporte-t-elle? Réponse Nombre de résidences Pourcentage 0 à ,15 % 4 à ,46 % 7 à ,36 % 10 à ,68 % 13 à ,34 % 16 et plus 6 2,01 % 3. Combien d unités comporte-t-elle? Réponse Nombre de résidences Pourcentage 10 et moins 12 4,01 % 11 à ,04 % 31 à ,70 % 51 à ,75 % 101 à ,76 % 201 à ,05 % 301 à ,35 % 401 à ,67 % 501 et plus 2 0,67 % Page 7
9 4. Quand votre dernier exercice d évacuation a-t-il été réalisé? [ 299 réponses ] Année Nombre de résidences Pourcentage ,33 % ,33 % % ,36 % ,01 % ,23 % ,74 % Mois de l année Réponse Pourcentage Janvier 6 2 % Février 5 1,67 % Mars 14 4,68 % Avril 13 4,34 % Mai 38 12,70 % Juin 41 13,71 % Juillet 26 8,69 % Août 27 9,03 % Septembre 49 16,38 % Octobre 50 16,72 % Novembre 25 8,36 % Décembre 5 1,67 % 5. Combien de temps vous était alloué, en minutes, pour réaliser l exercice d évacuation? [ 299 réponses ] Réponse Nombre de résidences Pourcentage % 2 1 0,33 % 3 3 2,35 % 4 4 1,34 % % % 7 9 3,01 % ,19 % ,34 % ,68 % ,76 % Page 8
10 6. En combien de minutes êtes-vous parvenus à réaliser l exercice d évacuation? [ 299 réponses ] Réponse Nombre de résidences Pourcentage 1 5 1,67 % ,34 % ,36 % ,02 % ,70 % ,38 % ,72 % ,06 % ,69 % ,01 % ,35 % Plus de 11 minutes 23 7,69 % 7. Est-ce que plusieurs tentatives ont été nécessaires pour réaliser l exercice d évacuation dans le temps alloué à votre résidence? [ 299 réponses ] Réponse Nombre de résidences Pourcentage Oui 69 23,08 % Non ,92 % 8. Combien de tentatives ont dû être faites avant de réaliser l exercice d évacuation dans le temps alloué à votre résidence? [ 57 réponses ] Réponse Nombre de résidences Pourcentage 0 3 5,26 % ,04 % ,60 % ,58 % 4 2 3,51 % 5 2 3,51 % 8 1 1,75 % 9 1 1,75 % Page 9
11
12 Partie 2 Incidents et accidents
13
14 9. Y a-t-il eu des accidents et/ou des incidents impliquant des résidents avant, pendant ou après votre dernier exercice d évacuation incendie? [ 297 réponses ] Réponse Nombre de résidences Pourcentage Oui 69 23,23 % Non ,77 % 10. Combien de résidents ont chuté pendant l exercice? [ 68 réponses ] Réponse Nombre de résidences Pourcentage ,71 % % ,12 % ,29 % 4 2 2,94 % 5 1 1,47 % 6 1 1,47 % 11. Le cas échéant, où sont survenues les chutes? [ (65 réponses fournies par 43 répondants) ] Réponse Nombre d incidents Pourcentage Appartement du résident 7 10,77 % Corridor 20 30,77 % Escalier 21 32,31 % Salle à manger 1 1,54 % Salle de loisirs 0 0 % Extérieur de la résidence 15 23,07 % Ne sait pas 1 1,54 % Page 13
15 Commentaires sur les chutes On a prévenu des chutes. Un résident a frappé une préposée. Corridor Dégâts d eau au 4e étage Plusieurs résidents désorientés Escalier de secours 12. Y a-t-il eu des problèmes liés au stress chez vos résidents en lien direct avec l exercice d évacuation? [ 68 réponses ] Désorientation Panique Insomnie Anxiété Aucun cas observé 14,71 % 10 14,71 % 10 26,47 % 18 2,94 % 2 Peu répandu 29,41 % 20 41,18 % 28 33,82 % 23 7,35 % 5 Assez répandu 39,71 % 27 30,88 % 21 25,00 % 17 33,82 % 23 Très répandu 16,18 % 11 13,24 % 9 14,71 % 10 55,88 % 38 Commentaires sur les problèmes liés au stress Refus de participation et crise de larmes, panique. Haute pression et deux personnesque nous avons envoyées à l hôpital. Un monsieur ne voulait plus se laver, il avait peur que ça sonne. Unité des soins. Nous avons 52 résidents atteints de la maladie d Alzheimer. Les pompiers ne comprennent pas la maladie. Ils me disent qu avec l alarme, les résidents ne réagissaient même pas! Et ce sont des pompiers expérimentés. L horreur. Ils veulent que j équipe ma résidence d un système à $ pour ajouter des Page 14
16 alarmes. Ce qui, de toute évidence, n est pas nécessaire. Avant de faire l exercice, je les ai avisés, mais ils ne m ont pas cru. Douleur à la poitrine et transpiration. Beaucoup de résidents quittent avant l exercice pour faire leurs commissions ou... Trois de nos résidents refusent catégoriquement de sortir. Trouvent des prétextes pour ne pas être sur place. Occasionne des rhumes dus aux conditions météo : journée froide et très venteuse. Un monsieur stressé a fait une chute. Entêtement face aux consignes. Malaise cardiaque. Agressivité. Personne avec léger déficit cognitif qui refuse de sortir. 13. Y a-t-il eu des problèmes d ordre physique chez vos résidents en lien direct avec l exercice d évacuation? [ 66 réponses ] Diarrhée Fracture Entorse (ou foulure) Ecchymoses Douleurs à la poitrine Difficultés respiratoires Aucun cas observé 63,64 % 42 84,85 % 56 78,46 % 51 52,31 % 34 52,31 % 34 31,25 % 30 Peu répandu 27,27 % 18 15,15 % 10 18,46 % 12 38,46 % 25 33,85 % 22 39,06 % 25 Assez répandu 7,58 % 5 0,00 % % 2 9,23 % 6 10,77 % 7 21,88 % 14 Très répandu 1,52 % 1 0,00 % 0 0,00 % 0 0,00 % 0 3,08 % 2 7,81 % 5 Page 15
17 Anxiété. Commentaires sur les problèmes d ordre physique Hausse de pression et évanouissement. Infarctus. Probablement des problèmes de santé non divulgués. Il y a eu des gens qui ont souffert de diarrhées et d autres ont eu des difficultés respiratoires. Les personnes étaient tellement anxieuses qu il devenait difficile de gérer la situation. Beaucoup de stress. Hypertension artérielle. Anxiété importante chez certains résidents. Saisie d épilepsie [sic]. Les résidents ont eu très froid à l extérieur. Plaies dues à des chutes. 14. Avez-vous observé les conséquences extrêmes suivantes chez certains de vos résidents directement en lien avec l exercice d évacuation de votre résidence? [ 66 réponses ] Choix Réponse Nombre Hospitalisation(s) 30,30 % 20 Décès 0,0 % 0 Aucune de ces réponses 69,70 % 46 Commentaires d ordre général Clientèle en perte d autonomie physique, cognitive et soins de confort. Aucun apprentissage possible. Beaucoup de stress, hyperventilation. Dans l escalier extérieur, un résident a chuté et s est fracturé une côte. Fracture à la hanche à la suite d une chute lors de l évacuation. Page 16
18 Plusieurs résidents atteints de troubles cognitifs ne comprennent pas la situation et ne collaborent pas. Dans les jours qui ont suivi l exercice d évacuation, le taux d hospitalisation a augmenté de façon significative. Lors des chutes survenues pendant l exercice d évacuation, des résidents se sont retrouvés à l urgence et ont même dû être hospitalisés. Exercice très négatif sur la santé des aînés. Une dame a fait un AVC. Crise de panique. Nous avons une résidence de 52 personnes atteintes de la maladie d Alzheimer et une autre de 50 résidents semi-autonomes. Dans les deux cas, les exercices d évacuation se sont avérés désastreux. Beaucoup de résidents ne veulent «rien savoir des exercices d évacuation». Nous voyons des aînés quitter avant l exercice pour ne pas y participer et éviter la cohue. Ils se promènent avec leur déambulateur dans nos stationnements, descendre au salon du rez-de-chaussée, etc. Nous ne sommes pas d accord d énerver nos gens de la sorte. Détresse respiratoire. Fracture de la jambe survenue lors de l exercice d évacuation. Un homme a dû être transporté à l hôpital par ambulance pour vérification. Plusieurs de nos résidents ont des problèmes de mémoire à court terme, donc de la confusion, de la désorientation et de l anxiété. Pour ces genslà, ça ne donne rien, ils ne s en souviennent plus le lendemain... Crise cardiaque. 15. Avez-vous d autres commentaires sur les accidents, incidents et conséquences en lien avec l exercice d évacuation de votre résidence? Beaucoup de personnes étaient très anxieuses et avaient peur de ne pas réussir l exercice. Surveillance accrue pour éviter que les résidents sortent avant le son de cloche d alarme. Certains médecins refusent que leurs patients participent aux exercices. Augmentation de l anxiété, de la colère et de la peur. Des ateliers parlant de la conduite à tenir sont beaucoup plus utiles. Les résidents qui se déplacent avec un déambulateur sont fâchés de faire un exercice parce qu ils doivent descendre les escaliers sur les fesses. On Page 17
19 sait très bien qu en cas d évacuation, ils procèderont sans problème. Mais c est beaucoup de désagréments pour un exercice. On constate beaucoup de stress relié à l exercice, que ce soit avant ou après. On doit prendre beaucoup de temps ensuite pour les rassurer. Heureusement que nous avons une bonne collaboration du service des incendies! Si le ministre de la Santé pouvait venir faire l exercice et voir la réaction des personnes âgées, je pense qu il comprendrait ce que nous vivons. Un stress inutile. On devrait les informer au lieu de les faire sortir comme des animaux au printemps. Le bruit strident des cloches d alarme a aussi augmenté de façon significative le stress des personnes âgées. Un stress énorme pour les résidents en perte d autonomie. Certains résidents sont capables de descendre, mais cela prend un effort surhumain, et ils ont beaucoup de difficulté à s en remettre. Est-ce si nécessaire de les obliger? Les services incendie déplorent aussi ces accidents, mais sont toujours très professionnels et réactifs quand ceux-ci arrivent et, malheureusement, ce sont eux qui sont blâmés par les familles présentes. Le stress de cette pratique est devenu une situation dangereuse pour les résidents surtout lorsque nous devons la refaire plus d une fois pour tenter d atteindre l objectif du service d incendie. Malgré la formation et la préparation pour l exercice d incendie, c est un processus assez stressant pour l ensemble des résidents. Les résidents ont peur de ne pas entendre l alarme si c est la nuit parce que la plupart enlèvent leurs prothèses auditives. Avec du recul, je trouve très dommage que les normes ne soient pas généralisées à travers le Québec. Pourquoi pour nous, à Sorel, le délai doit être de 8 minutes tandis qu à Beloeil, le délai est de 11 minutes? Et ce, pour le même type de clientèle? C est sur cette note que nous sommes déçus. Quand on le vit, sur le coup, c est très frustrant. J ai fait mes deux derniers exercices sans prévenir les résidents et j ai été très surprise de voir la réaction de certains qui ne savaient plus quoi faire ou ne réagissaient même pas au son de la cloche et terminaient leur tâche en cours... Cela m a vraiment permis de voir la vraie réalité d une situation d urgence que je ne voudrais vraiment pas avoir à vivre! Ces exercices de feu nous donnent une fausse impression de réussite d évacuation en temps ou d une bonne collaboration et compréhension des résidents. Quand ce n est pas planifié à l avance, ils sont laissés à eux-mêmes; tandis que lorsque c est prévu et annoncé, ils se préparent ensemble et ils ont tous le temps Page 18
20 de se préparer avec manteau, bourse, et se rendre au point de ralliement ou tout près même avant l exercice. Donc, je ne trouve pas pertinent de faire des exercices, de mettre la santé physique ou psychologique en danger, mais on devrait plutôt en parler plus souvent et fournir des informations écrites pour créer des visuels, car l image vaut vraiment mille mots pour les aînés avec de légères pertes cognitives en raison de leur âge avancé. Certains nous répondent qu ils ne veulent pas descendre, que ce n est pas un vrai feu. Nous avons dû insister et nous avons perdu des points. Dégât d eau. Une résidente du 4 e étage a laissé son robinet de cuisine ouvert, qui a coulé aux autres étages. Des frais en réclamation d assurances! Cela produit un stress incroyable chez nos résidents. Plusieurs dormaient avec leurs vêtements pendant des jours. L ensemble de nos résidents subit un stress extrême durant cet exercice. Les pertes d équilibre sont nombreuses et les suivis médicaux nombreux à la suite de l évènement. Errance la nuit dans les escaliers de secours croyant que la résidence est en feu. Une dame a été retrouvée sur son balcon voulant sauter croyant qu il y avait le feu. Après l exercice, les résidents étaient épuisés. Je déplore le fait de sortir les personnes dehors à la course avec peu ou pas d explications. Il y a sûrement plus de chances de bien réussir en utilisant des gros toutous, des oreillers, des objets comme les formations de RCR. Même trois semaines plus tard, certains résidents demeurent très anxieux. Les résidents sont très stressés plusieurs jours à l avance, car il faut les prévenir. Ils posent beaucoup de questions. Plusieurs sont réticents à quitter leur chambre. Nous avons tenu un premier exercice en 29 ans. Nous avons fait en sorte que les résidents qui étaient plus vulnérables ne soient pas présents lors de l exercice. Lors de la formation incendie, les pompiers ont mentionné aux résidents qu ils étaient en sécurité une fois sur les balcons extérieurs. Par contre, lors de l exercice de feu, ils nous ont fait perdre des points, car les résidents qui vivaient de l anxiété n ont pas voulu descendre en se défendant que les pompiers aient dit que c était correct. Difficile à défendre comme point surtout quand il s agit de gens atteints de troubles cognitifs et en état de panique... Page 19
21 Les résidents n ont rien appris de ces exercices. Ils ont été stressés de la façon dont les services incendie ont débarqué sans prévenir. Nous avons été approchés par le service de façon punitive et non en collaboration. Les résidents de notre ressource intermédiaire (10) sont difficiles à mobiliser lors d une évacuation et sont beaucoup plus vulnérables au stress et autres conséquences plus graves. Il est inutile de stresser les résidents avec ces évacuations. Leur demander de se rendre dans les escaliers est déjà un effort pour plusieurs. Dans un bâtiment giclé et sécuritaire, il faut y aller plus modérément. Il n y a pas eu d incident, malgré le stress engendré par l exercice. Page 20
22 Partie 3 Relations avec les autorités
23
24 16. Comment qualifiez-vous la relation entretenue entre votre résidence et le service incendie de votre municipalité? Choix Réponse Nombre Très bonne 50,71 % 143 Bonne 34,40 % 97 Moyenne 12,77 % 36 Mauvaise 1,06 % 3 Très mauvaise 1,06 % Comment qualifiez-vous la collaboration entretenue entre votre résidence et les autorités? Choix Réponse Nombre Très bonne 46,45 % 131 Bonne 39,72 % 112 Moyenne 11,35 % 32 Mauvaise 1,42 % 4 Très mauvaise 1,06 % Seriez-vous favorable à ce que les exercices soient réservés au personnel et que des séances d information seulement soient données aux résidents? Choix Réponse Nombre Oui 72,70 % 205 Non 27,30 % 77 Page 23
25 Autres commentaires des répondants sur les exercices d évacuation 19. Avez-vous d autres commentaires à formuler concernant les exercices d évacuation dans les résidences pour aînés? [ 141 répondants ont commenté ] 1) 100 % favorable à ne pas évacuer les résidents. Problèmes majeurs d anxiété et de risques de blessures. 2) À la question 18, je trouve cela adéquat qu il y ait des séances d information pour les résidents; en plus, je pense qu une formation avec le service des incendies serait bénéfique. 3) Une pratique annuelle est utile afin que les résidents puissent savoir comment réagir et où aller en cas de vrai feu. Mais en même temps, c est tellement dangereux! 4) Un résident avisé vaut mieux qu un résident stressé. Je suggère de faire plusieurs séances d information dans un environnement calme. On peut faire des exercices dynamiques près des portes de chambre. 5) Un exercice incendie doit être bien préparé, et ce, à l avance avec le personnel et les résidents. L exercice est un instrument nécessaire et positif qui permet aux résidents d être vigilants et prêts en tout temps et d assurer la meilleure évacuation possible en nous permettant de mesurer nos besoins réels. Les résidents qui étaient moins en forme cette journée-là se sont rendus à la cage d escalier, mais n ont pas eu à descendre. Cependant, ils ont été rencontrés et avisés qu ils devaient descendre s il y avait une alarme incendie. 6) Très stressant pour les résidents, même que certains résidents demandent à leurs familles de venir les chercher avant l exercice. 7) Très stressant pour les exploitants, le personnel et les résidents. 8) Très important que des séances d information soient données aux résidents. 9) Tout s est très bien déroulé, aucune panique. L exercice a été fait avec le seuil minimum, soit une seule employée. Nous avons toujours eu une très bonne relation avec le service d incendie. 10) Selon le type de clientèle, il ne devrait pas y avoir d exercice avec les résidents. 11) Questions 9 et 10 : la relation entretenue et la collaboration sont bonnes, car nous n avons pas le choix. Elles pourraient facilement être très mauvaises, à la suite de certains désaccords. Malheureusement, on doit se plier à des lois et règlements ridicules et non logiques qui sont écrits par des gens qui n ont jamais été en contact avec une personne âgée en perte d autonomie, car je déteste le mot semi-autonome. Selon les statistiques, à part l Isle-Verte il y a eu 7 décès dans les résidences pour aînés depuis 1993 à aujourd hui. Combien y a-t-il eu Page 24
26 de décès ou des familles qui périssent à leur domicile parce qu elles n avaient pas de détecteurs? 12) Que les services incendie visitent plus souvent nos établissements. Ils viennent une fois par année faire l exercice. Souvent, ils ne prennent pas le temps de faire une visite avec le proprio. 13) Je suis contre le fait de faire un exercice d évacuation et de chronométrer le temps requis avec les résidents. Les aînés sont très stressés de ne pas réussir dans les 8 minutes à respecter. 14) Plusieurs résidents sont très anxieux; d ailleurs, nous en avons exempté quelques-uns, soit qu ils revenaient de l hôpital ou qu ils ne se sentaient pas bien. Plusieurs résidents plus autonomes avaient choisi de sortir et de ne pas participer à l exercice. J avais rencontré individuellement chaque résident afin de m assurer de leur capacité à participer. J aimerais avoir plus d appui du département incendie en ce qui a trait à la formation des employés. 15) Plusieurs ont peur de ces exercices. 16) Pour le personnel, plus on pratique, mieux on est préparés! 17) Oui, on a réussi, mais avec deux échecs... L agence a donc exigé de hausser le seuil minimal... Et pourquoi le service incendie ne participet-il pas avec le personnel? Que vont-ils faire lors d un vrai incendie? Vont-ils aider à l évacuation? Toute une réalité lors de ces pratiques. 18) Nous tentons de toujours sensibiliser les résidents à participer aux exercices d incendie. Cependant, certains sont réfractaires, et la résidence peut se voir refuser la certification si l exercice d évacuation n est pas réussi à cause d un résident qui ne suit pas les règles. Il faudrait pouvoir obtenir du pouvoir via un billet d infraction ou une contravention pour refus d obtempérer, par exemple, pour donner du pouvoir au sérieux de la démarche. 19) Nous sentons une certaine nervosité lors de la pratique : ils veulent bien faire, mais le stress de cette pratique l emporte. 20) Nous pourrions faire l exercice sans les obliger à descendre les escaliers extérieurs (souvent, ils ne prennent pas leur aide à la marche pour l exercice). 21) Nous n avons pas évacué à l extérieur de la résidence, mais nous avons évacué les gens sur les balcons du même étage. Ex. : étage 4, balcon du 4 e étage. 22) Nous n avons pas eu d accident ni d incident, mais les résidents sont très angoissés, et certains crient après l exercice [sic]. Une dame ne Page 25
27 voulait pas descendre, elle avait peur, la préposée est intervenue en l aidant, et la famille n était pas contente de cela, car elle a dû la soulever pour lui venir en aide. Le temps n est pas réel pour le temps d évacuation. Exemple : les résidents sont assis sur leur déambulateur à côté des escaliers, d autres vont s asseoir dehors, etc. 23) Nous le faisons déjà : session d info, etc. 24) Nous croyons que le seul vrai test passe par l exercice d évacuation des résidents en prenant en contexte qu un ou peu de résidents peuvent ne pas participer. Dans notre secteur géographique, le préventionniste sait faire la part des choses. Contrairement à l opinion du président du RQRA et peut-être du C.A., nous ne croyons pas aux mesures de sécurité de type gicleurs. Les pompiers ont été dépêchés (à trois reprises) à notre centre pour cause de rôtie oubliée, ce qui actionnait le système incendie et, 5 minutes plus tard, les pompiers étaient présents. Nous croyons que le danger d appuyer la non-pratique d évacuation fera en sorte de renforcir le besoin de méthodes telles que les gicleurs, faute d avoir la preuve que l évacuation est réalisée et dans les temps. 25) Nous comprenons que la sécurité des résidents est importante. Nous prenons cela très au sérieux, mais le stress qu un exercice d évacuation procure à ceux-ci est plus important que les bienfaits. Qu est-ce que ça change de faire une pratique avec des gens qui ont de légers troubles cognitifs? Ils vont oublier de toute façon. De plus, les gens autonomes ne sont pas des enfants, et ils descendront dehors en cas d alarme, tout comme des résidents de condos ou des travailleurs dans un bureau. Dernier point : je trouve les services incendie complètement déconnectés de la réalité des résidences et des impacts économiques de certaines de leurs demandes. 26) Nous avons réussi l exercice, mais non sans stress de la part des résidents et sans risque de blessure. Il devrait y avoir une logique entre : est-ce que vous êtes capables en cas de feu et est-ce que vous savez quoi faire et ne pas risquer de le faire en exercice seulement? 27) Nous avons réussi avec trois employées, ce qui n était pas le cas l an dernier. Maintenant, nous avons toujours trois employées 24/24. 28) Nous avons remplacé les personnes à risque et les personnes à mobilité réduite par du personnel et des pompiers qui imitaient les déficiences. 29) Nous avons réalisé l évacuation en 7 minutes 30 secondes (+ou-). Nous avons 2 étages et 1 sous-sol, et l évacuation s est très bien passée. 30) Nous avons le désir de tout planifier, mais, dans les faits, toutes les situations sont différentes et, en bout de ligne, nous devrions mieux préparer nos employés. Les résidents aiment être au courant, mais n aiment pas faire l effort si ce n est pas obligatoire. Page 26
28 31) Nous avons fait donner une formation par une firme aux employés et aux résidents. Les résidents ont vraiment changé leur comportement après, et nous avons réussi l exercice en une fois. 32) Nous aimerions un peu plus de collaboration de la part des pompiers, lors des pratiques, pour inciter les clients à emprunter la sortie vers l extérieur. À la dernière pratique, les pompiers ont quitté sans nous donner leurs commentaires. Lors d une vraie évacuation, presque la totalité des pompiers est resté à l extérieur du bâtiment. Pendant l évacuation, aucun n a apporté d aide. 33) Notre résidence fait les exercices de feu deux fois par année, et tout se déroule normalement bien. Ne pas faire participer les résidents serait probablement moins stressant pour eux, effectivement. 34) Notre clientèle est atteinte d Alzheimer, et le pompier responsable a insisté pour que chaque résident participe à l exercice malgré le froid qui régnait dehors, faisant fi de leur état cognitif et du peu de pertinence pour eux de faire un tel exercice. Insister sur la formation des employés plutôt que sur celle des résidents serait pour nous une nette amélioration. 35) Non (7 répondants ont donné cette réponse). 36) Ne pas obliger les résidents à sortir. Ils pourraient rester près de la sortie. 37) À notre résidence, à l admission du résident, nous lui expliquons les consignes en cas de feu. Nous allons voir avec lui les sorties d urgence et, par la suite, des infos feu sont données à tous les mois à la salle à manger. De plus, d instaurer plutôt des rencontres et infos mensuelles pour le personnel avec un exercice sur les lieux sans alarme est beaucoup plus bénéfique. Toutefois, une visite annuelle des pompiers et une rencontre avec les employés et les résidents sans effectuer un exercice sont nécessaires. 38) Moi, j ai des personnes autonomes, et ça prend 15 secondes pour sortir; je trouve que ça ne vaut pas la peine pour 3 personnes. Merci! 39) Mettre des acteurs au lieu des résidents. 40) Malgré mes demandes annuelles, je n ai pas refait d exercice d évacuation depuis quatre ans. Aussi, pour les prochaines, je ne veux pas que les résidents soient au courant, car, la dernière fois, j avais des gens assis près de l entrée qui attendaient l alarme pour pouvoir sortir! 41) Malgré les désagréments causés aux résidents sachant qu ils n aiment pas ce genre d exercices, nous réalisons rapidement qu ils sont Page 27
29 essentiels. Lors d événements subséquents, les résidents sont beaucoup plus alertes et responsables. Ils ont été entraînés à sortir rapidement, ce qu ils font d emblée en majorité. 42) Lorsque le plan est fonctionnel et sécuritaire, cela crée un bon réflexe chez les gens et les sécurise. Chez nous, l exercice d évacuation est expliqué et nous faisons valoir ses bienfaits tant pour le personnel que pour les résidents. Il est suivi d un petit «cocus» au salon pour discuter du déroulement et parler avec les pompiers. Nous avons une très bonne collaboration. De plus, ayant un seul étage et des portes extérieures indépendantes pour chaque appartement, ici les gens sortent rapidement et collaborent en toute sécurité. 43) Lors de l exercice en 2013 (pas pour la certification, mais pour exercer nos résidents), une résidente s est disloqué un genou sans que celle-ci fasse une chute. Elle a des problèmes de genou depuis ce moment. Depuis 2012, je fais des évacuations latérales seulement pour les résidents qui utilisent une marchette, c est-à-dire 37 résidents au moment présent. Nous les obligeons à sortir de leur logement et à se rendre à la cage d escalier la plus près de leur logement, une chaise leur est attitrée avec leur nom dessus, ils n ont qu à s asseoir durant les huit minutes de l exercice. Cette façon de faire est acceptée par notre service d incendie municipal de Shawinigan. Les résidents pourraient descendre, mais nous ne voulons pas qu il y ait de blessure. La plupart du temps, le médecin nous confirme l exemption de l évacuation verticale. Ceux qui ne veulent pas, nous faisons du cas par cas avec nos résidents; l important, c est que les résidents se rendent dans les cages d escalier sécurisées avec des gicleurs. 44) Lors de formations données par les pompiers, les consignes doivent être claires, précises et cohérentes. Ne pas dire aux résidents que c est correct de rester sur les balcons en cas d incendie, mais exiger qu ils descendent lors des exercices. 45) L exercice amène un grand stress aux résidents et, avec la clientèle que nous avons, la plupart ne s en souviennent plus dans l heure suivante. Par contre, on ne m oblige pas à les sortir à l extérieur, ce qui évite les chutes et blessures. Mais, cette semaine, lors d une visite du service d incendie, on m a dit que lors de l exercice de l été prochain, nous devrons sortir tout le monde à l extérieur et s assurer avant l exercice que tout le monde est dans sa chambre! Je trouve tout cela très excessif et dangereux pour les résidents. Merci de continuer à travailler sur ce dossier! 46) L évacuation ne visait que l étage des soins, soit 27 unités. Et nous avions le droit de changer les résidents à problème cognitif par des employés. De plus, ils pouvaient rester sur le premier palier entre le deuxième étage et le rez-de-chaussée. L évacuation est un bon moyen pour les pompiers et les employés de se remémorer les procédures ainsi que les trajets de sortie du bâtiment et ainsi être prêts à aider et à assister nos résidents si cette situation devait arriver. Les points Page 28
30 négatifs pour nos résidents sont l anxiété, le stress pendant l évacuation, les risques de chutes, et les conditions météorologiques pas toujours favorables, surtout pour nos résidents âgés qui ont une santé fragile. Ce n est pas un bon moment pour eux qui, malheureusement, se termine par des conséquences plus ou moins graves pour les aînés. 47) Les résidents ont joué un rôle très important pour la réussite de l exercice. Cela nous permet d évaluer leur capacité à demeurer encore dans notre ressource. 48) Les résidents n aiment pas les exercices, même si ce n est qu une fois par année. Par contre, les informations et petits groupes pour miniexercice sans actionner le système d alarme sont moins stressants pour eux. 49) Les résidents doivent continuer à le faire aussi. 50) Les résidents deviennent très nerveux avant et après : crises de stress ou angine plus fréquentes. 51) Les résidents à risques de blessures doivent être remplacés par des figurants (membres du personnel). Les résidents doivent participer, car on remarque qu ils oublient. On doit bien leur expliquer les consignes. 52) Les préventionnistes du service d incendie devraient être eux-mêmes mieux formés. Lors de notre premier exercice, notre préventionniste nous disait que tous les résidents avaient 8 minutes pour se diriger au point de rencontre à l extérieur, ce qui est faux et il s en est excusé. Nous avons dû refaire un second exercice pour rien, ce qui cause toujours du stress en trop pour les aînés. 53) Les pompiers de Sorel nous avaient déjà offert de venir parler à notre clientèle semi-autonome avant l exercice. Ils ont été clairs et gentils. 54) Les pertes de mémoire des résidents font en sorte que malgré le bon vouloir des services d incendie, il va toujours y avoir des lacunes lors des évacuations. Nous sommes toujours ouverts aux pompiers qui désirent visiter nos installations pour être mieux préparés. 55) Les gens à mobilité réduite devraient avoir le droit de signer un document leur permettant de ne pas faire l exercice et ne nous obligeant pas à leur imposer la situation. 56) Les exercices sont très importants afin de préparer les résidents en cas de vrai feu. Les résidents collaborent tous avec plaisir. Je ne pense pas qu il puisse en être autrement. 57) Les exercices d incendie énervent beaucoup les résidents et peuvent les rendre malades, car ils deviennent très anxieux. Alors, il y a risque Page 29
31 de chute pendant l exercice et cela peut apporter d autres problèmes de santé à la suite des exercices. 58) Les exercices devraient tenir compte de la structure du bâtiment, de ses équipements, et non seulement recourir à une évacuation aveugle (non circonstanciée) et totale. 59) Les exercices d évacuation rendent nos résidents très anxieux. Lorsqu ils savent que nous allons procéder à l évacuation, ils descendent tous au grand salon du rez-de-chaussée parce qu ils ont peur de faire une chute ou bien d avoir un malaise. Ça les rend très nerveux. 60) Les exercices créent beaucoup d anxiété chez les personnes âgées. Nous faisons, à chaque année, avec le préventionniste incendie, une conférence avec les résidents. Je crois que c est beaucoup plus constructif, car il n y a pas de stress. 61) Les exercices apportent un stress dont ils n ont pas besoin à leur âge. Des séances d information seraient suffisantes. 62) Le temps qui nous est donné pour réussir notre évacuation est trop juste. 63) Il nous a fallu 4 minutes 45 secondes pour que les résidents soient dans les cages d escalier et non à l extérieur du bâtiment. Il est utopique de croire que nous pouvons évacuer 55 personnes par les escaliers à l intérieur de 8 minutes, surtout si une seule personne participe à l évacuation, sans compter le stress subi par les résidents qui ne collaborent absolument pas aux consignes. Ces exercices sont inutiles et très stressants pour les résidents et le personnel impliqué. 64) Le service des incendies de la Ville de Laval n a pas voulu signer l annexe même si nous avons évacué les gens en lieu sûr dans un temps de 5 minutes, disant que la clientèle avait de la difficulté et que certains avaient besoin de consignes. Ils vont voir avec leur supérieur et la Régie du bâtiment et nous revenir. Nous avons mis les gens en lieu sûr dans un temps de 5 minutes, et cela, avec un personnel minimum. Je crois que nous avons respecté et atteint l objectif. On dirait que le service des incendies veut nous mettre des bâtons dans les roues. Je trouve dommage que nous ayons tous à payer pour certaines tragédies, alors que nous sommes dans des installations modernes, avec de bons soins, et en plus avons réussi en 5 minutes. 65) Le service de prévention, la Régie du bâtiment et les pompiers en caserne devraient tous être des collaborateurs aux milieux de vie, plutôt que des agents perturbateurs par manque de cohésion entre eux. 66) Le représentant du service d incendie nous comprend, mais il a des contraintes de la réglementation. Comment se fait-il que le personnel ne puisse pas aider à escorter les personnes âgées si un seul membre du personnel est en service? On nous a dit que les pompiers ne sont pas là pour aider à évacuer les personnes âgées, mais seulement pour éteindre les flammes. Page 30
32 67) Le manque de disponibilité des autorités lorsque l on veut procéder à un exercice. Il nous faut plusieurs mois pour obtenir la présence d un préventionniste du service d incendie. 68) Le gouvernement s acharne politiquement pour plaire aux différents groupes de pression sans penser que ce sont les résidents qui paieront. 69) L an dernier, nous n avons pas eu d accident. Par contre, il y a trois ans, un résident a fait une chute qui a nécessité une hospitalisation et ce résident a dû être relocalisé puisqu il a subi une opération avec anesthésie complète, intervention à la suite de laquelle des complications sont survenues. 70) L action est complètement inutile, tout est oublié dans un jour. 71) La suggestion au point 11 est plus qu excellente. Nos résidents ne devraient pas avoir à subir de tels exercices, surtout pour les personnes atteintes de la maladie d Alzheimer et celles ayant des problèmes de mobilité qui risquent, pour un simple exercice, des blessures très graves. 72) La plupart des résidents s organisent pour être ailleurs. 73) Je trouve que c est exagéré. 74) Je trouve important que les résidents pratiquent. 75) Je suis tout à fait d accord de miser sur la formation des employés plutôt que sur nos résidents. Pour ma part, un exercice de feu rendrait tous mes résidents anxieux et, le lendemain, personne ne se souviendrait des consignes et procédures. Tout à fait inutile! C est le personnel qui doit être vigilant et à l affût! Merci pour votre initiative et vos démarches! 76) Je pense qu il est important que les résidents fassent un exercice physique, mais pas minuté. Les pompiers pourraient venir accompagner et ensuite donner certains conseils. 77) Je ne suis pas d accord avec la procédure d évacuation. Le chrono s arrête lorsque l étage du feu est complètement évacué à l extérieur et non à la cage d escalier comme les autres étages, ce qui provoque un énorme bouchon de circulation, car l étage du feu doit passer devant tous les autres rapidement. Ce n est pas logique. 78) Je dois refaire un exercice sous peu afin de respecter le délai demandé. Avant, nous allons tenir une rencontre entre le service incendie et les résidents. 79) Je crois qu il est important que les résidents participent à ces évacuations, mais une seule par année serait suffisante. Page 31
33 80) Je crois qu il est important de faire participer nos résidents à ces exercices d évacuation pour assurer leur sécurité. 81) Je crois que des exercices avec les résidents peuvent être faits une fois par an, mais avec la collaboration de ceux-ci seulement. Chez nous, ce sont les locataires qui demandent de l information et veulent faire un exercice par an (2-3 étages par année, mais pas tout le monde). Par contre, avec les cas plus lourds, on ne devrait pas faire d exercices avec eux, mais seulement avec le personnel. 82) Je crois que deux séances d information par année (printemps et automne) avec les résidents et un exercice réservé avec les employés seront tout aussi efficaces et moins dangereux pour la santé des résidents. 83) Je crois qu il est important de faire les exercices avec les résidents, mais qu on puisse les avertir d avance pour ainsi minimiser les risques de blessures et ainsi éviter le stress que cela peut occasionner aux résidents. 84) J appuie le point no 11 fortement, car ces exercices sont très ardus pour les aînés. 85) J aimerais que nous ayons des séances de formation en petits groupes et rappel pour les résidents. Des formations régulières pour les employés. 86) J aimerais que le service d incendie nous rencontre plus souvent. 87) Il y a un assez gros pourcentage de personnes âgées avec problèmes cognitifs et Alzheimer dans des grosses résidences de personnes âgées, et c est seulement avec les exercices incendie qu ils sont détectés. Si on ne veut pas de norme encore plus sévère, il faut les sortir de ces endroits avant un autre Isle-Verte... 88) Il y a eu entente entre tous les professionnels d incendie au Québec pour déterminer les délais d évacuation lors d un exercice d évacuation. Il y a même un livre existant donnant toute l information sur la façon d évacuer selon la catégorie de l immeuble. Malheureusement, nous avons un nouveau préventionniste et il conteste ces règles provinciales. Donc, notre exercice d incendie en octobre 2014 a été modifié à la dernière minute pour satisfaire notre préventionniste et cela n a pas été un succès. Depuis, plus aucune nouvelle de sa part. Nous nous préparons actuellement pour notre prochain exercice en novembre 2015, comme nous le faisions avant. Nous sommes en attente d une future rencontre avec le préventionniste. 89) Il serait préférable de faire plusieurs sessions d information, en faisant entendre la cloche d urgence aux résidents sans créer de panique et en leur expliquant plusieurs fois ce qu ils doivent faire. 90) Selon moi, il faut sensibiliser et impliquer les résidents. 91) Il faut que ce soit fait à la façon du pompier en prévention, même s il y a des contradictions à la certification. Certes, un tel exercice stresse des résidents, est pris à la légère par d autres tandis que d autres s absentent volontairement le temps de l exercice. Page 32
34 92) Il est quand même important que les exercices soient faits avec les pompiers et les résidents. Nous n avons pas eu de problème à le faire, mais nos résidents sont prévenus dans la journée qu il y aura un exercice. Ceci neutralise le stress et nous permet une meilleure relation avec chacun. 93) Il est primordial d être accompagné soit par un préventionniste ou un professionnel interne ou externe, afin de donner la formation tant aux employés qu aux résidents et atteindre les objectifs visés de conformité, bien comprendre et saisir l importance de la sécurité, les responsabilités de chacun, démystifier, rassurer, etc. 94) Il est important que les résidents soient impliqués dans les exercices afin de leur faire comprendre que leur collaboration est essentielle. 95) Il est important de prendre en considération que lors d une véritable alarme d incendie, il serait logique d évacuer rapidement même s il y a risque de blessures. Toutefois, pour une pratique, je trouve inutile d impliquer les personnes âgées qui d abord sont très inquiètes et risquent de se blesser à la suite d une chute. De toute façon, lors d une situation réelle, la plupart ne se souviendront probablement pas des procédures qu elles auront apprises. 96) Il est important de mentionner que nos résidents les moins autonomes devaient seulement avoir à se rendre à la cage d escalier, contribuant ainsi à atteindre l objectif. 97) Il est important de le faire une fois par année et, à la suite de cette évacuation, il est important de donner une formation aux résidents et au personnel. 98) Il est impératif d exclure de l exercice d évacuation les résidents qui ne peuvent évacuer seuls et les résidents avec problèmes cognitifs. Au déclenchement de l alarme, ces personnes doivent être bien encadrées afin de comprendre que ce n est qu une pratique et souvent ils nécessiteront par la suite, une aide médicale pour diminuer le stress engendré par l événement. De réaliser un exercice d évacuation avec le personnel est beaucoup utile pour tous. D informer les résidents et d enseigner les consignes quelques fois par année seraient mieux indiquées. 99) Grande source de stress pour les résidents et grand risque de chutes dans les cages d escaliers. 100) Une formation de la part du service des incendies destinée aux employés serait appréciée (Blainville non disponible, Saint-Jérôme pas beaucoup d ouverture). Page 33
35 101) Faire une fiche personnalisée d évacuation à remettre à chaque résident lors de l admission afin de fournir des informations, de répondre aux questions et de voir la compréhension du résident à ce moment-là. Puis, on pourrait à l occasion leur rappeler ces consignes. 102) Faire participer les résidents à un exercice de feu n est pas souhaitable, car la santé physique des résidents peut changer rapidement. 103) Évacuation horizontale seulement. 104) Étant donné que la clientèle est de plus en plus lourde en RPA, il nous sera de plus en plus difficile de réaliser les exercices avec les résidents. 105) En fait, nous faisons des exercices régulièrement, mais phase par phase. Nous gardons nos aînés alertes et leur donnons ainsi le réflexe de sortir par la bonne porte. Pour les exercices, nous utilisons une «cloche à vache». De cette façon, nous nous assurons que lorsque la cloche sonnera réellement, les résidents sauront quoi faire, ce qui nous facilitera la tâche. Quelques-uns seulement sont réfractaires, mais, en général, ils sortent tous en un temps record. Un réel exercice est prévu avec la Ville de Lévis le 25 juin prochain, et nous n aurons que 8 minutes pour évacuer les 3 phases à 2 employés. 106) En effet, les exercices sont stressants et exigeants pour les résidents. Aussi, il ne faut pas oublier qu en cours d année, il y a quelques évacuations non prévues, dues à des feux de cuisson ou autres, qui nécessitent une évacuation et qui résultent en une pratique sans le vouloir... Est-il donc vraiment nécessaire de faire une pratique régulière? Je ne suis pas convaincue. Je miserais davantage sur de l information et de la sensibilisation obligatoires pour tous! 107) En 2013, nous avons réussi notre exercice, mais cela faisait un mois que chaque semaine nous en parlions ou faisions des ateliers, passions dans les appartements. Nous avons même visionné un film. UN MOIS de sensibilisation et de répétition. En 2014, je me suis dit que je n aurai pas à tout refaire. Erreur! Car nous n avons pas réussi; nous avons évacué en 12 minutes. Une petite minute de trop. C est presque ridicule. Aussi, plusieurs personnes ne voulaient pas le faire et sont restées dans leur appartement. De plus, nous n avons jamais eu d accident, mais des incidents sans trop grandes conséquences. Des gens tellement stressés qu ils en ont presque perdu conscience, des gens qui sont restés plus d une heure dans les cages d escaliers, etc. Beaucoup de mécontentement, autant des familles que des gens. De plus, un manque flagrant d uniformité d un préventionniste à l autre, d une ville à l autre, concernant les critères ou notions de «lieu sécuritaire». 108) En 2012, lors de l exercice, un pompier en «power trip» a menacé de vider la résidence!!! 109) Ils ont beaucoup d importance. Page 34
36 110) Effectivement, tout le monde court, et c est dangereux. On sent que tout le monde est bousculé et anxieux. Comme l enjeu pour nous est important, on met de la pression à tous pour atteindre le résultat. 111) Effectivement, les résidents sont très stressés. 112) Des exercices pour une clientèle vulnérable sont complètement absurdes. Nous soignons nos aînés pour les garder en forme, en santé et non pour leur faire descendre quatre étages dans un escalier de secours. Le stress et l angoisse liés à cet évènement ont un impact important sur leur condition, et ce, plusieurs jours avant et après. Le risque de chutes, de blessures, de décès, d hospitalisations est trop grand pournotre clientèle. 113) Dans une résidence pour personnes semi-autonomes, je crois qu il est bien que les gens participent à l évacuation. Ça en stresse quelquesuns, mais en sécurise d autres. Il est difficile de trancher; par contre, je crois que le fait de pratiquer les rend plus autonomes lors d une possible évacuation. 114) Comme nous n avons pas reçu encore les commentaires du préventionniste en incendie de la ville de Québec, je ne peux répondre à la question 7. Nous avons identifié dans notre PSI des gens qui se rendent dans les cages d escaliers considérées comme sécuritaires (porte coupe-feu, mur de béton). Cependant, ces personnes identifiées sont à mobilité réduite, elles ne peuvent pas descendre des escaliers seules et, donc, ne peuvent se rendre jusqu au point de rassemblement. Le préventionniste nous mentionne qu il est possible qu on nous demande de déménager ces personnes à mobilité réduite au rez-dechaussée (!). Nous trouvons inadmissible de devoir relocaliser certains résidents devenus moins autonomes au cours de leur séjour dans notre résidence. On leur demande de changer d appartement et, vu leur âge, c est encore une épreuve supplémentaire à affronter. 115) Comme notre résidence est munie de gicleurs, cela est beaucoup plus facile. 116) Ceux qui ont le plus besoin d être entrainées ce sont les membres du personnel en place. 117) C est une activité qui me stresse beaucoup chaque année, car je trouve que les résidents sont à risque et comme j ai des gens avec démence, de toute façon, c est le personnel qui doit savoir quoi faire. Ça fait longtemps que j en parle. Un personnel bien formé, c est une évacuation réussie. 118) C est très stressant pour les résidents et leurs familles. Page 35
37 119) C est illogique d accorder le même temps pour 20 ou 100 logements à évacuer. Nous ne pourrons réussir (135 logements), des modifications importantes seront nécessaires au bâtiment. 120) C est en effet très stressant! Pour l ensemble du personnel ainsi que les résidents, c est toute une épreuve. 121) Bien que nécessaire, c est très stressant pour les résidents. Nous devons les préparer avant et les calmer après. Nous avons eu une vraie évacuation à la suite d un problème du système de gicleurs. Tout s est bien passé, mais il y a encore des gens qui attendent pour voir si c est un «vrai» feu pour sortir. Je pense que la prévention et des rencontres bisannuelles serviraient plus qu une seule pratique par année. 122) Bien d accord avec le point 11. L exercice d évacuation crée énormément d anxiété chez nos résidents. Nous avons eu quelques fausses alarmes, et les gens ne se sont pas déplacé tel qu ils devaient le faire. Ils ne prennent pas les alarmes au sérieux. Nous devons faire plus de prévention, c est évident. 123) Beaucoup plus important que les gicleurs. 124) Beaucoup de stress pour les résidents. 125) Beaucoup de stress, car il y a plusieurs résidents qui ne sont pas capables de descendre par les escaliers. Étant donné qu il y avait des résidents qui avaient des rendez-vous médicaux sur les étages ciblés, ce n est pas tous les résidents qui ont participé. 126) Beaucoup de stress. Après un mois, ils ne se souviennent plus de rien. 127) Avoir des chefs d étages, c est super. 128) Avant la pratique, nous avons une formation pour les employés et ensuite, pour les résidents. L inspecteur du service incendie était présent. Nous avons terminé par une activité «crème glacée» à l extérieur. Durant l évacuation, nous avons du personnel dans les cages d escaliers pour la sécurité. 129) Aucun effet bénéfique aux exercices de feu pour des aînés de 80 ans et plus. Sauf des risques importants pour leur santé. D ailleurs, plusieurs résidents refusent catégoriquement d y participer, et plusieurs familles sortent leur parent cette journée d exercice. 130) Nous avons eu plusieurs exercices et expériences avec des organismes qui sont impliqués dans les exercices comme ASSM, SIM, RBQ, etc. Ils ont des critères qui ne sont pas exactement les mêmes, et cela nous donne des messages mixtes par rapport à ce qu on doit suivre comme règles. Page 36
Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie)
Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Commentaire du film d introduction de l intervention de Garth Larcen et son fils Max, entrepreneur aux U.S.A. Garth Larcen
Plus en détailUn autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU».
Le besoin de contrôler Le comportement compulsif de tout vouloir contrôler n est pas mauvais ou honteux, c est souvent un besoin d avoir plus de pouvoir. Il s agit aussi d un signe de détresse; les choses
Plus en détailLorsqu une personne chère vit avec la SLA. Guide à l intention des enfants
Lorsqu une personne chère vit avec la SLA Guide à l intention des enfants 2 SLA Société canadienne de la SLA 3000, avenue Steeles Est, bureau 200, Markham, Ontario L3R 4T9 Sans frais : 1-800-267-4257 Téléphone
Plus en détailSUJETS DE LA FICHE-CONSEILS
SUJETS DE LA FICHE-CONSEILS 1. Lignes directrices 2. Issue extérieure au niveau du sol Accès et aire de manœuvre Sécurité fonctionnelle 3. Étages desservis par un Bâtiment protégé par des extincteurs automatiques
Plus en détailVous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire
Vous êtes visé Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Prévenir les vols ou les effets d un vol sur les employés Rôle de la direction de la succursale Désigner un
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailL enfant sensible. Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et. d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est
L enfant sensible Qu est-ce que la sensibilité? Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est de le surprotéger car il se
Plus en détailLes défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements
Résumé Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Ce texte fait partie d une banque de 50 récits de pratiques d intervention en itinérance qui ont été réalisés avec quatre Équipes
Plus en détailPolitique et Standards Santé, Sécurité et Environnement
Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu
Plus en détailTAP-PAR. Test d aptitudes physiques pour paramédics. Description du test
TAP-PAR Test d aptitudes physiques pour paramédics Description du test INTRODUCTION Le travail de paramédic nécessite une capacité physique supérieure à celle de la population moyenne. En effet, ceux-ci
Plus en détailDevoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire
Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Pourquoi traiter des devoirs et leçons avec les TDA/H? Parce que c est un des problèmes le plus souvent rencontrés avec les enfants hyperactifs
Plus en détailLa situation financière des Canadiens
La situation financière des Canadiens 1 Approche client Microsoft Advertising Hiver 2015 LA SITUATION FINANCIÈRE DES CANADIENS 2 Des décisions financières difficiles et importantes doivent être prises
Plus en détailL intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée
1 L intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée Dans notre compréhension actuelle du trouble d anxiété généralisée (TAG), nous estimons que l intolérance à l incertitude joue un rôle
Plus en détailAvec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose
Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose Le «blues du post-partum» est FRÉQUENT chez les nouvelles mères. Quatre mères sur cinq auront le blues du post-partum. LE «BLUES DU POST-PARTUM» La
Plus en détailLa déontologie, le courriel et la profession de counseling
Aide-mémoire sur la déontologie, les questions d ordre juridique, et les normes pour les conseillers Il me fait plaisir d accueillir Dan et Lawrence comme les premiers invités de la chronique Aide-mémoire.
Plus en détailLa sécurité physique et environnementale
I. Qu est ce que la sécurité physique? "Il ne sert à rien de dresser une ligne Maginot logique si n'importe qui peut entrer dans la salle serveurs par la fenêtre " (Christian Pollefoort, consultant en
Plus en détailKen Bell s Sommaire des Abréviations
Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire
Plus en détailresponsable? Qui est Sinistres «Nous tenons compte des circonstances de chaque cas»
Sinistres Qui est responsable? «Nous tenons compte des circonstances de chaque cas» Comment l expert en sinistres détermine la responsabilité L incidence de la responsabilité Possibilités d appel Mars
Plus en détailPréparer votre famille à une situation d urgence Notes de l animateur
Diapositive 1 Préparer votre famille à une situation d urgence Notes de l animateur L animateur se présente; ensuite, il présente le thème ainsi que les membres du groupe. Diapositive 2 Après les présentations,
Plus en détailJE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!
rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,
Plus en détailParent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille.
Parent avant tout Parent malgré tout Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Edition: Addiction Suisse, Lausanne 2012 Que vous soyez directement concerné-e ou que
Plus en détailLAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES
LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans
Plus en détailSECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité. Sachez où aller et quoi faire si vous êtes victime de mauvais traitements. Un guide pour les aînés
SECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité Sachez où aller et quoi faire si vous êtes victime de mauvais traitements Un guide pour les aînés 43 SECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité Les violences
Plus en détail«L amour érige des ponts là où il n y en a pas.»
«L amour érige des ponts là où il n y en a pas.» Madame, Monsieur, Je vous remercie de l intérêt que vous portez au Camp Bridges. Vous trouverez ci-joint le dossier de demande de participation. Le camp
Plus en détailGROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS
Strasbourg, 17 février 2010 [cdcj/cdcj et comités subordonnés/ documents de travail/cj-s-ch (2010) 4F final] CJ-S-CH (2010) 4F FINAL GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH)
Plus en détailLE SOMMEIL: TRAITEMENT DE L'INSOMNIE
LE SOMMEIL: TRAITEMENT DE L'INSOMNIE Avant d aborder le sujet de l amélioration du sommeil, permettez-moi de vous présenter quelques faits concernant le sommeil. Plusieurs études ont démontré qu on a besoin
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailVivre seul SUJETS DÉLICATS CONTEXTE
Vivre seul CONTEXTE Un nombre croissant de personnes âgées vivent seules. Si elles sont atteintes de la maladie d Alzheimer ou de maladies apparentées, elles sont plus susceptibles d être diagnostiquées
Plus en détailEXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE
EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE Une demande au syndicat de copropriété pour entreprendre les démarches nécessaires afin de réduire ou d'éliminer le problème d'infiltration de fumée de tabac secondaire. Cette
Plus en détailGestion de la prévention Planifier les mesures d urgence. étapes
Gestion de la prévention Planifier les mesures d urgence Des flammes s échappent du moteur d un camion. De l essence coule sous une automobile. La fourche d un chariot élévateur perce un contenant d électrolyte
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailPolitique de location de salles
Politique de location de salles Municipalité d Upton Adoptée le 1 avril 2014 Résolution numéro 094-04-2014 POLITIQUE DE LOCATION DE SALLES DE LA MUNICIPALITÉ D UPTON Préambule Nos salles municipales servent
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailE-mail : gagnez du temps sans rien manquer d important
E-mail : gagnez du temps sans rien manquer d important 1 Etes-vous accro aux mails? Consultez-vous vos mails régulièrement sur votre smartphone, juste pour savoir (et vous les traitez plus tard)? Vous
Plus en détailTrouver sa façon de flotter : quelle est la mienne?
Trouver sa façon de flotter : quelle est la mienne? Le bain flottant est un espace libre de toute stimulation et contrainte au corps et à l esprit. À l intérieur, il n y a que vous sans les distractions
Plus en détailL'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique
L'aidant familial face à Alzheimer: la tablette un outil simple et pratique Vous trouverez ici notre guide d utilisation et d accompagnement pour l'aidant familial utilisant la tablette et nos jeux de
Plus en détailSERVICE DE TRANSPORT ADAPTÉ GUIDE DE L USAGER
SERVICE DE TRANSPORT ADAPTÉ GUIDE DE L USAGER BIENVENUE À BORD! Vous trouverez dans le présent Guide de l usager tous les renseignements que vous devez connaître sur l utilisation du service de transport
Plus en détailProgramme Transit. Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle
Programme Transit Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle Développé par l Association des personnes handicapées de la rive-sud
Plus en détailService Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire
Service Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire Pour adultes handicapés mentaux de la Meuse serésienne rue Hainchamps 77 siège social: a.s.b.l. Cesahm 4100 Seraing rue du Sewage 9 à 4100
Plus en détailManque de reconnaissance. Manque de contrôle
CONTRE-VALEURS 7 octobre 2014 Les contre-valeurs représentent ce que l on cherche à fuir. Elles nous motivent négativement en ce sens où elles incarnent des situations que nous évitons ou que nous cherchons
Plus en détailSÉCURITÉ INCENDIE. Détecteurs de fumée : bientôt obligatoires I L S C O N S E P R É V E N I O N. www.groupama.fr
SÉCURITÉ INCENDIE C O N S E I L S P R É V E N T I O N Détecteurs de fumée : bientôt obligatoires www.groupama.fr SÉCURITÉ INCENDIE Pourquoi équiper son logem Une mesure obligatoire et préventive Devant
Plus en détailRentrée 2015. Charte du restaurant scolaire
Rentrée 2015 Charte du restaurant scolaire Délibération du conseil municipal du 22 mai 2014 Mairie de Marcy L étoile Préambule Merci de bien vouloir prendre connaissance en famille, avec vos enfants, du
Plus en détailLa responsabilitié civile... vous connaissez?
Fiche d activité FA La responsabilitié civile... vous connaissez? Lorsqu on parle d assurance habitation, le feu et le vol sont les deux sortes de sinistres qui viennent d abord à l esprit. Mais il y en
Plus en détailAVERTISSEMENT. Ce texte a été téléchargé depuis le site. http://www.leproscenium.com. Ce texte est protégé par les droits d auteur.
AVERTISSEMENT Ce texte a été téléchargé depuis le site http://www.leproscenium.com Ce texte est protégé par les droits d auteur. En conséquence avant son exploitation vous devez obtenir l autorisation
Plus en détailGUIDE D ACCUEIL SANTÉ ET SÉCURITÉ À L ATTENTION D UN NOUVEL EMPLOYÉ INFORMATION DE BASE
Secteur Santé et Sécurité École Polytechnique Février 2014 GUIDE D ACCUEIL SANTÉ ET SÉCURITÉ À L ATTENTION D UN NOUVEL EMPLOYÉ INFORMATION DE BASE 1 LA GESTION DE LA SANTÉ ET SÉCURITÉ À POLYTECHNIQUE MONTRÉAL
Plus en détailDocument de travail Ne pas reproduire Pour toute interprétation ou copie officielle contacter le greffe
Document de travail Ne pas reproduire Pour toute interprétation ou copie officielle contacter le greffe PROVINCE DE QUÉBEC M.R.C. DE L ÉRABLE VILLE DE PLESSISVILLE RÈGLEMENT 1420 SUR LES SYSTÈMES D ALARMES
Plus en détailLa rue. > La feuille de l élève disponible à la fin de ce document
La rue Grandir, qu est-ce que cela signifie vraiment? Un jeune qui a vécu isolé dans les rues de Paris témoigne. Cette fiche pédagogique propose de découvrir une réalité peu connue de la France d aujourd
Plus en détailMon boss ne délègue pas
Situation 3 Mon boss ne délègue pas L importance d une rhétorique soignée Les situations de pur rapport de force Autonomie et contrôle La délégation Explication/justification La situation Pierre, notre
Plus en détailD où viennent nos émotions
D où viennent nos émotions Il y a des émotions qui sont vraiment désagréables : l anxiété, la culpabilité, la colère, les grosses rages qui nous réveillent la nuit, la dépression, la tristesse, la peur,
Plus en détailMieux vivre avec votre asthme
Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.
Plus en détailTest - Quel type de voisin êtes-vous?
Test - Quel type de voisin êtes-vous? Être un voisin solidaire, c est d abord et avant tout un état d esprit. Chacun fait à sa façon, selon sa disponibilité et sa personnalité. Répondez au questionnaire
Plus en détailEn direct de la salle de presse du Journal virtuel
Français En direct de la salle de presse du Journal virtuel Écrire des textes variés Guide En direct de notre salle de presse Guide R ENSEIGNEMENTS GÉNÉRA UX EN DIRECT DE NOTRE SA LLE DE PRESSE MISE À
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailQuestion Qu est-ce qu est qu une preuve de protection? Devrais-je voir un document quelconque?
Qu est-ce qu est qu une preuve de protection? Devrais-je voir un document quelconque? Votre entrepreneur devrait avoir, ou peut facilement obtenir, un document de Travail sécuritaire NB qui indique qu
Plus en détailPlanification des soins de longue durée Lorsqu il n est plus possible de recevoir des soins à domicile
Planification des soins de longue durée Lorsqu il n est plus possible de recevoir des soins à domicile COMMENT NOUS POUVONS AIDER Le Centre d accès aux soins communautaires (CASC) de Champlain vous procure
Plus en détail«Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA
ID: «Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA Swiss children s objectively measured physical activity Questionnaire pour les parents sur
Plus en détailInformations complémentaires au communiqué de presse conducteur-d-elit.ch
Le 29 janvier 2015 Informations complémentaires au communiqué de presse conducteur-d-elit.ch Campagne conducteur-d-elite.ch: suivre des cours, c est avoir une conduite plus sûre. L objectif de la campagne
Plus en détailLe trouble oppositionnel avec. provocation ou par réaction?
Le trouble oppositionnel avec provocation ou par réaction? Emmanuelle Pelletier, M.Ps., L.Psych. Psychologue scolaire Octobre 2004 Trouble oppositionnel avec provocation ou par réaction? La personne oppositionnelle
Plus en détailDroits et obligations des travailleurs et des employeurs
Droits et obligations des travailleurs et des employeurs La Loi sur la santé et la sécurité du travail (LSST) vise à assurer des conditions de santé et de sécurité minimales dans les entreprises québécoises.
Plus en détailAllocution de Mme Françoise Bertrand Présidente directrice générale Fédération des chambres de commerce du Québec
Allocution de Mme Françoise Bertrand Présidente directrice générale Fédération des chambres de commerce du Québec Comment les entreprises devraient-elles entrevoir l avenir en matière de régime de retraite
Plus en détailConsultation sur le référencement entre assureurs de dommages et carrossiers. Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers
entre assureurs de dommages et carrossiers Commentaires présentés à L Autorité des marchés financiers Novembre 2006 entre assureurs de dommages et carrossiers 2 PRÉAMBULE Le Groupement des assureurs automobiles
Plus en détailL art de trouver le logement de ses rêves
L art de trouver le logement de ses rêves Introduction Etudes obligent, il n est pas toujours aisé de trouver un logement décent à prix réduit d autant plus que les villes étudiantes sont des villes où
Plus en détailSOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES
AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements
Plus en détailMÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART. première partie
MÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART première partie Alessandra Guerra En France il y a des jugements sur la question psychothérapiepsychanalyse J ai entendu
Plus en détailCHUTES DE LA PERSONNE AGEE. «Protection Escaliers motorisée»
CHUTES DE LA PERSONNE AGEE «Protection Escaliers motorisée» Ehpad «Les Magnans» St Martin de Valgagues Dr Sylvie Andre Allheilig Médecin coordonnateur La Chute n est pas une «Fatalité» L âge, la poly morbidité
Plus en détailDans le présent document, le genre masculin est utilisé sans discrimination et uniquement afin d alléger le texte.
Pour obtenir de l information sur ce document : Service de la sécurité incendie Ministère de la Sécurité publique 2525, boul. Laurier Tour du Saint Laurent, 6 e étage Québec (Québec) G1V 2L2 Téléphone
Plus en détailChez soi avant tout : De l hôpital à la maison
Chez soi avant tout : De l hôpital à la maison Après un séjour à l hôpital, vous pouvez continuer de vous rétablir dans le confort et la sécurité de votre propre domicile si vous recevez des services améliorés
Plus en détailCanada. Bulletin d information. Réfugiés pris en charge par le gouvernement. Réinstallation des réfugiés au
Réfugiés pris en charge par le gouvernement Canada Réinstallation des réfugiés au Bulletin d information Vous souhaitez vous réinstaller au Canada et votre demande a fait l objet d un examen initial par
Plus en détailS ickness Impact Profile (SIP)
Nom : Prénom : Date de naissance : Service : Hôpital/Centre MPR : Examinateur : Date du jour : Étiquettes du patient S ickness Impact Profile (SIP) Il présente le même problème de droit d auteur (pour
Plus en détailAffirmation de soi, confiance en soi, estime de soi
Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Estime de soi MOI Affirmation de soi AUTRES Confiance en soi ACTION Contexte Règles fondamentales de la communication 1) On ne peut pas décider, par
Plus en détailLe Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales
Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP est une évaluation qui se déroule à travers un parcours comprenant différentes stations qui simulent les tâches que le technicien ambulancier-paramédic
Plus en détailUnité d enseignement
Unité d enseignement Volet : Titre : Matière d enseignement recommandée : Autre(s) matière(s) pertinente(s) : Autre matière pertinente : Protéger l argent et les biens Se protéger soi-même, sa famille
Plus en détailComprendre le financement des placements par emprunt. Prêts placement
Comprendre le financement des placements par emprunt Prêts placement Comprendre le financement des placements par emprunt Le financement des placements par emprunt consiste simplement à emprunter pour
Plus en détailContenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008
Page 1 / 5 Rapport technique / domaine du bâtiment Contenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008 Introduction Dans
Plus en détailLe système de détection d intrusion
.com Le système de détection d intrusion Protégez vos proches Sécurisez vos biens Gardez un oeil sur votre habitation La solution de sécurisation... pour votre habitat Une installation réalisée par un
Plus en détailComprendre les différentes formes de communication
Chapitre 2 Communiquer de façon professionnelle 2. Lisez la mise en situation ci-dessous. Ensuite, nommez les attitudes favorisant la communication qui n ont pas été mises en pratique et expliquez votre
Plus en détailOLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL
OLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL «Oliver l enfant qui entendait mal» est dédié à mon frère, Patrick, qui est malentendant, à la famille, aux amis, et aux professionnels, qui s impliquèrent pour l aider.
Plus en détailPROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE SAINTE-CÉCILE-DE-WHITTON RÈGLEMENT NO 2012-03 SUR LES SYSTÈMES D ALARME
PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE SAINTE-CÉCILE-DE-WHITTON RÈGLEMENT NO 2012-03 SUR LES SYSTÈMES D ALARME ATTENDU QUE le conseil désire réglementer l installation et le fonctionnement des systèmes d alarme
Plus en détailGuide de procédures. Situations d urgence au Nunavik
Guide de procédures Situations d urgence au Nunavik 3 septembre 2014 0 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 2 1. RÔLES ET RESPONSABILITÉS DES INTERVENANTS... 3 1.1 Le Directeur général ou son représentant,
Plus en détailMonsieur le Préfet, j ai porté une grande attention sur le chapitre relatif à la sauvegarde de l emploi et au développement économique.
Question de M. Michel PETIT, Conseiller Général du canton de Beaumetz-les-Loges, Président du groupe Union@ction.62, à M. Denis ROBIN, Préfet du Pas-de-Calais, sur les mesures en matière de soutien à l
Plus en détailPrévention des chutes
Notre mission Dispensateur de services de première ligne et de services spécialisés, le CSSS du Suroît a la responsabilité de maintenir et d améliorer la santé et le bien-être de la population de son territoire
Plus en détailque ce conseil ordonne et statue par le présent règlement portant le numéro 2003-04-7775 ce qui suit, à savoir:
CANADA Province de Québec Ville de Fossambault-sur-le-Lac RÈGLEMENT NO: 2003-04-7775 Sur les alarmes et systèmes d alarme Séance spéciale du conseil municipal de la Ville de Fossambault-sur-le-Lac, tenue
Plus en détailPrévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION. Infos INTRODUCTION : SOMMAIRE :
Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de la Dordogne - Infos Prévention n 15 Octobre 2010 Infos Prévention LES ENJEUX DE LA PREVENTION SOMMAIRE : LES ENJEUX DE LA PREVENTION Introduction
Plus en détailAvertisseur de monoxyde de carbone
Avertisseur de monoxyde de carbone À quoi sert l avertisseur de monoxyde de carbone? L avertisseur de monoxyde de carbone est un petit appareil conçu pour mesurer, sur une base continue, la concentration
Plus en détailOrigines possibles et solutions
Ne plus avoir peur de vieillir «Prends soin de ton corps comme si tu allais vivre éternellement, Prends soin de ton âme comme si tu allais mourir demain.» Introduction Ce petit document est la résultante
Plus en détailL expérience patient : lorsque le rationnel rencontre l émotion Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska
Le cas du CSSS Richelieu-Yamaska Écrit par Jocelyn Théoret, directeur en gestion de l expérience client, Groupe-conseil en stratégie et performance de Raymond Chabot Grant Thornton, en collaboration avec
Plus en détailLOUER À DES PROPRIÉTAIRES D ANIMAUX DE COMPAGNIE
LOUER À DES PROPRIÉTAIRES D ANIMAUX DE COMPAGNIE Guide à l intention des locateurs Cette brochure contient des suggestions pour les locateurs qui souhaitent louer leurs unités locatives à des personnes
Plus en détailQuestionnaire pour les enseignant(e)s
info@educatout123.fr www.educatout123.fr +31 614303399 L enfant qui bouge beaucoup! C est un fait, un enfant bouge beaucoup, il a besoin de se dépenser. Il arrive même parfois qu on n arrive plus à tenir
Plus en détailDocument d information n o 1 sur les pensions
Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que
Plus en détailVie Autonome Péninsule Acadienne inc. Voir au-delà du handicap. L accessibilité Une responsabilité sociale
Vie Autonome Péninsule Acadienne inc. Voir au-delà du handicap L accessibilité Une responsabilité sociale Présentation aux familles du CMA 2009 Table des matières 1. Introduction...1 2. CRVA-PA...1 3.
Plus en détail«Le Leadership en Suisse»
«Le Leadership en Suisse» Table des matières «Le Leadership en Suisse» Une étude sur les valeurs, les devoirs et l efficacité de la direction 03 04 05 06 07 08 09 11 12 13 14 «Le Leadership en Suisse»
Plus en détailIntroduction par effraction
Introduction par effraction Les gens qui sont victimes d une introduction par effraction peuvent être affectés pour d autres raisons que la perte de leurs biens. Ils peuvent ressentir de fortes émotions
Plus en détail2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques
2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Canada. Bien que leur incidence ait diminué au cours des dernières
Plus en détailNUMÉRIQUE VALLÉE. Atelier n 2 : avis clients et e-réputation. Les ateliers numériques de l Office de Tourisme. Mardi 03 mars 2015
NUMÉRIQUE VALLÉE Les ateliers numériques de l Office de Tourisme Atelier n 2 : avis clients et e-réputation Mardi 03 mars 2015 Présentation Anaïs VERGER Agent d Accueil Numérique Elise CORRE-POYET Apprentie
Plus en détailLe risque inondation : comment s en protéger?
Franck Boston PRÉVENTION ET SÉCURITÉ Le risque inondation : comment s en protéger? RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Liberté Égalité Fraternité Le principal risque naturel susceptible d affecter l Île-de-France est
Plus en détailETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX?
ETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX? Projet formulé à partir de ma pratique de terrain: Constats Public défavorisé Plus le niveau d instruction est bas plus plus le risque est grand de développer des troubles
Plus en détailSécurité limitée QUAND LES CLIENTS SONT PEU INFORMÉS ET LES SYSTÈMES MAL INSTALLÉS, PEUT-ON VRAIMENT PARLER DE SÉCURITÉ?
EN COUVERTURE Sécurité limitée QUAND LES CLIENTS SONT PEU INFORMÉS ET LES SYSTÈMES MAL INSTALLÉS, PEUT-ON VRAIMENT PARLER DE SÉCURITÉ? par Chantal Gagnon Photo: Getty Images Du mois d avril 2004 au mois
Plus en détailCe sondage est un outil qui cherche à inciter une réflexion individuelle ou de groupe à propos des priorités futures du RLISS de Mississauga Halton.
INTRODUCTION Le RLISS de Mississauga Halton s engage à recevoir l opinion de ses résidents. Vos commentaires seront utilisés par le RLISS de Mississauga Halton pour mettre à jour le plan d intégration
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58
REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58 Préambule La Commune de Linxe, organise un service de restauration pour son groupe scolaire. Ce service est ouvert à tous
Plus en détailBanque aurait dû travailler seule et prendre des mesures beaucoup plus drastiques pour contrer cette poussée inflationniste.
Propos tenus par M. Rundheersing Bheenick, Gouverneur de la Banque de Maurice, lors de la conférence de presse, au lendemain de la réunion du Comité de Politique Monétaire du 28 mars 2011 Le but de cette
Plus en détail