Cours n 17 : Physique quantique
|
|
- César Grégoire
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Cours n 17 : Physique quantique 1) Dualité onde corpuscule 1.1) Energie transportée par un photon La lumière peut être vue sous deux aspects : ondulatoire et corpusculaire. C est ce que l on appelle la dualité onde corpuscule. Dans ce chapitre nous allons étudier l aspect corpusculaire. La lumière peut donc être décrite comme une onde de fréquence ν, qui se propage comme un ensemble de corpuscules de masse nulle en mouvement appelés photons. Un photon porte le quantum d énergie E tel que : E = h ν E s exprime en Joules, ν en Hertz. h est la constante de Planck de valeur h = 6, J s. De plus ν = c E = h c λ λ avec c = m/s la célérité de la lumière dans le vide et λ en m la longueur d onde de la radiation. Formule pratique E (ev) = 1240 λ (nm) Un photon va donc transporter une énergie correspondant à sa fréquence. 1.2) Relation de De Broglie Le physicien Louis de Broglie (prononcer «de Breuil») postule en 1923 l extension de la dualité onde corpuscule à la matière. A toute particule de quantité de mouvement p est associée une «onde de matière» de longueur d onde λ telle que : λ = h p p en kg m s 1 λ en m Dans le cas d une particule de masse m et de vitesse v petite devant la célérité de la lumière c, la quantité de mouvement est p = mv. La quantité de mouvement du photon ainsi que de particules de vitesse proche de c pourra être prise égale à : p = E c où E est l énergie transportée par la particule ou le photon. Une particule peut être utilisée pour son onde associée. Effectivement, il est possible d exploiter des ondes de matière présentant les mêmes phénomènes ondulatoires (interférences, diffraction, ) que Dr A. Sicard CapeSup Grenoble Page 1
2 les ondes électromagnétiques. Il est possible aussi de réaliser des interférences avec des particules, de la même façon qu avec la lumière. Le microscope électronique utilise une onde de matière associée aux électrons. Cette onde a une longueur d onde bien plus faible que les longueurs d onde du domaine visible : c est pourquoi le microscope électronique permet d observer des détails plus petits que dans le cas du microscope optique. 2) Comportement quantique de l atome 2.1) Quantification des états d énergie 2.1.1) Principe de base de la physique quantique L atome ne peut exister que dans certains états d énergie bien définis. Ces états sont caractérisés par un niveau d énergie correspondant aux orbites sur lesquelles peuvent graviter des électrons. Ces orbites sont quantifiées. L énergie d un atome ne peut prendre que certaines valeurs discrètes appelées niveaux d énergie de l atome et notées E 1, E 2,, E n, Par définition, on appelle état fondamental, l état d énergie E 1 correspondant au niveau d énergie le plus bas que peut prendre l atome. C est un état stable. Les autres états d énergie sont appelés états excités et sont instables. Lorsqu un atome est excité, l énergie de l ensemble de l atome augmente. Si l énergie reçue par l atome est suffisante, il est possible d arracher un électron au cortège électronique. L atome est alors ionisé. Par définition, on appelle énergie de première ionisation d un atome, l énergie à fournir à un atome initialement dans son état fondamental pour lui arracher un électron. Convention de signe pour les niveaux d énergie Par convention, l énergie de l atome ionisé est considérée comme nulle (lim n + E n = 0). Les états d énergie de l atome sont négatifs (E n < 0, n ϵ N) ) Niveaux d énergie de l atome d hydrogène L énergie de l atome d hydrogène ne peut avoir que des valeurs discrètes. Lorsqu un électron décrit une orbite de rayon r n, il occupe le niveau d énergie correspondant E n. On a pour l hydrogène : r n = n 2 r 0 où r 0 est le rayon de Bohr de valeur r 0 = 0,53 A (1 A = m). Les niveaux d énergie de l atome d hydrogène sont donnés par la relation suivante uniquement valable et utilisable pour l atome d hydrogène : E n = E 0 n 2 avec n 1 et E 0 = 13,6 ev Dr A. Sicard CapeSup Grenoble Page 2
3 Energie de première ionisation E i = E 0. Les niveaux d énergie forment une suite discontinue d états possibles pour l atome représentés par une série de traits horizontaux E(eV) E = 0 E 5 = 0,544 E 4 = 0,850 E 3 = 1,51 E 2 = 3,4 E 7 = 0,228 E 6 = 0,378 états excités n > 1 E 1 = 13,6 état fondamental n = Echanges d énergie Un atome peut échanger de l énergie avec l extérieur sous forme de rayonnement, par bombardement électronique, par décharge électrique Ces échanges d énergie ne peuvent prendre que certaines valeurs particulières. Un atome transitant d un niveau d énergie E n à un niveau d énergie E p échange une quantité d énergie qui correspond à la variation d énergie au cours de la transition. La quantification des états d énergie entraine une quantification de l échange d énergie. Les échanges d énergie se font ainsi par quanta d énergie ) Emission spontanée ou désexcitation E n > E p La désexcitation ou émission spontanée est la transition d un niveau d énergie E n vers un niveau d énergie inférieur E p. Ce processus s accompagne de l émission du quantum d énergie : ΔE n p = E p E n < 0 Ce quantum d énergie est émis sous la forme d un photon d énergie ΔE n p, soit de longueur d onde : λ n p = h c ΔE n p et de fréquence ν n p = ΔE n p h Dr A. Sicard CapeSup Grenoble Page 3
4 photon d énergie ΔE n p E n E p atome excité à l état E n atome à l état E p après émission d un photon E n photon h ν n p E p 2.2.2) Excitation E p > E n L excitation ou absorption est la transition d un niveau d énergie E n vers un niveau d énergie supérieur E p. Ce processus s accompagne de l absorption du quantum d énergie : ΔE n p = E p E n > 0 Ce quantum d énergie peut être absorbé sous deux formes : - Interaction avec un photon d énergie ΔE n p λ n p = h c ΔE n p Les seuls photons pouvant interagir avec l atome ont une énergie correspondant à la transition entre deux niveaux énergétiques de l atome. Ils auront une longueur d onde λ n p. L atome passera après absorption d un photon à l état d énergie E p. photon d énergie ΔE n p E n E p E p E n photon h ν n p Dr A. Sicard CapeSup Grenoble Page 4
5 Si un photon se présente avec une énergie différente de celle de la transition, il n interagira pas. Toutefois par effet photoélectrique, un photon se présentant avec une énergie E supérieure à la transition n pourra être absorbé et entraîner l ionisation de l atome. L électron émis emportera l énergie résiduelle E ΔE n sous forme d énergie cinétique. Dans un certain nombre de métaux dits photoélectriques, les électrons de la couche périphérique sont très peu liés au noyau. Il suffit alors de fournir un peu d énergie (quelques ev) pour arracher ces électrons périphériques de leur atome d origine. Soit W 0 l énergie minimale pour arracher un tel électron. W 0 est appelé le travail d extraction d un électron de ce métal. L énergie E du photon incident sert alors d une part à extraire l électron, d autre part à communiquer à l électron extrait une énergie cinétique 1 mv 2 e 2. D où la formule connue sous le nom de relation d Einstein : E = W mv e 2 Ce phénomène a reçu le nom de photoélectricité et valut le prix Nobel de Physique à Albert Einstein en Interaction avec un électron Par collision, un électron d énergie cinétique suffisante pourra céder une partie de son énergie et exciter l atome vers un état d énergie E p. Il sera alors diffusé en emportant l énergie cinétique restante E c e E c e E c = E c ΔE n p E c = E c E p E n E n E p 2.2.3) Emission stimulée On envoie sur un atome préalablement excité à l état E n un photon excitateur h ν n p = E p E n pour stimuler l émission. Le photon incident entre en collision avec l atome sans être absorbé. Cette interaction photon atome entraine la désexcitation de l atome vers l état d énergie E p ainsi que l émission par l atome d un photon jumeau du photon incident. Effectivement, le photon émis par émission stimulée a exactement la même fréquence ν n p que le photon incident. Les deux photons sont également parfaitement en phase. Photon incident h ν n p E n Photon h ν n p E p Photon jumeau h ν n p Dr A. Sicard CapeSup Grenoble Page 5
6 3) Spectroscopie 3.1) Spectre d énergie Il est possible en étudiant la lumière émise ou absorbée par un corps, de connaître la composition de ce corps. C est la technique dite de spectroscopie. Par décomposition spectrale de cette lumière, il est possible de mettre en évidence les différentes raies caractéristiques de l élément composant le corps étudié. Ces différentes raies prouvent expérimentalement la quantification des états d énergie et donc celle des niveaux d énergie euxmêmes. L ensemble des radiations que peut émettre ou absorber un atome constitue son spectre. Chaque type d atome possède un spectre qui permet de l identifier. Le spectre d un atome constitue sa «carte d identité». Il existe deux types de spectres : les spectres d émission et les spectres d absorption. 3.2 Spectre d émission énergie apportée (flamme, décharge électrique) source lumineuse prisme ou réseau spectre d émission Un gaz chauffé va émettre une radiation lumineuse complexe dont le spectre est discontinu. Seules certaines longueurs d onde sont présentes. On a le schéma suivant : Le spectre d émission comporte des raies colorées sur fond noir. Lorsque le composé reçoit de l énergie, ses atomes gagnent de l énergie et passent d un état stable à un état excité. Les états excités étant instables, les atomes vont se désexciter et retourner vers leur état fondamental en émettant un photon. Il n y a pas de transition préférentielle, aussi toutes les transitions sont présentes dans la lumière émise mais seules une partie d entres elles seront dans le domaine du visible ( 400 nm < λ < 800 nm ). 3.3) Spectre d absorption source lumineuse substance prisme ou réseau spectre d absorption Lorsqu un gaz est soumis à un rayonnement à large spectre, il va absorber certaines radiations et laisser passer le reste. Le résultat est un spectre d absorption, constitué de toutes les longueurs d ondes incidentes privées des longueurs d onde absorbées. Le spectre d absorption comporte des raies noires sur fond coloré. Dr A. Sicard CapeSup Grenoble Page 6
7 Dr A. Sicard CapeSup Grenoble Page 7
8 4) Le LASER Le mot L.A.S.E.R. est un acronyme signifiant «Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation» soit en français «Amplification de Lumière par Emission Stimulée de Radiation». Il a été découvert dans les années Il a connu un fulgurant développement à cause de ses innombrables applications dans beaucoup de domaines, à savoir : - Loisir : Compact Disc - Industrie : alignement, mesure de distance, découpage et soudure, télécommunication, refroidissement d un gaz, recherche - Médecine : microchirurgie, cancérologie, ophtalmologie, acupuncture en kinésithérapie, etc 4.1) Caractéristiques du laser Les principales caractéristiques d un faisceau laser sont : sa très grande directivité, sa lumière monochromatique, sa cohérence, et surtout sa très grande puissance ) Grande directivité On caractérise la directivité du faisceau par l angle ε de divergence à la sortie du laser. ε est typiquement de l ordre de 10 3 rad. Mais pour les lasers performants, ε peut descendre jusqu'à 10 4 rad. LASER ε ε 4.1.2) Monochromaticité Selon la longueur de sa cavité résonnante, un laser peut fonctionner en monomode ou multimode, c est-à-dire qu il peut émettre des ondes lumineuses d une seule fréquence ou de plusieurs fréquences. A chacune de ces fréquences sélectionnées, la lumière est émise extrêmement pure, d où une très grande monochromaticité. Par exemple, pour un laser He-Ne émettant un faisceau de longueur d onde λ = 632,8 nm dans le rouge, on observe un écart relatif Δλ de l ordre de ) Puissance λ L énergie transportée par les ondes lumineuses est concentrée dans un faisceau très fin, d où un flux d énergie intense. L ordre de grandeur de la puissance d un laser fonctionnant en continu est de quelques Watt. Mais lorsqu il fonctionne en mode pulsé, ce flux d énergie est envoyé dans un temps très bref, d où une puissance souvent énorme. Par exemple, pour un laser au néodyme en mode pulsé, avec une énergie transportée W = 10 J et avec une durée de pulse Δt = 1 ns, la puissance est de l ordre de : Dr A. Sicard CapeSup Grenoble Page 8
9 P = W Δt = = 1010 W 4.1.4) Cohérence Etant donné que les photons émis par la désexcitation des atomes d un même niveau par le processus d émission stimulée ont tous la même énergie, les ondes émises correspondantes sont toutes synchrones, d où une lumière cohérente susceptible de s interférer directement. 4.2) Principe de fonctionnement du laser La plupart des lasers sont composés d un milieu actif ou amplificateur : il s agit d atomes, d ions ou de molécules. Par exemple, le milieu amplificateur est un gaz dans le laser hélium-néon, un solide dans les diodes laser (utilisées dans les lecteurs CD) ou encore un liquide dans un laser à colorant. Dans l état naturel, les atomes se trouvent presque tous dans leur état fondamental d énergie E 1 qui est l état le plus stable. Si, pour une raison ou pour une autre, quelques atomes occupent un état excité d énergie E n avec E n > E 1, la probabilité d occuper l état n est plus faible que celle de l état fondamental. Les états excités sont instables ( durée de vie 10 ns). Ces atomes retombent donc spontanément dans l état fondamental en émettant un photon d énergie h ν = E 1 E n. Ces émissions constituent l émission spontanée. Elles ont lieu au hasard d un atome à un autre. L émission est incohérente. Pour pouvoir contrôler, stimuler et amplifier ces émissions, on procède en trois étapes ) Première étape : Le Pompage optique On choisit un état n dont la durée de vie est relativement longue (état métastable) et on excite les atomes à cet état n par décharge électrique ou flash, de sorte qu on retienne en permanence une population plus élevée dans l état n que dans l état fondamental. On dit que l on réalise une inversion de population. Ce procédé constitue le processus qu on appelle le pompage optique. Ce procédé de pompage optique valut le prix Nobel de physique à Alfred Kastler en ) Deuxième étape : Stimulation Après l inversion de population, une partie des atomes excités se désexcite provoquant un faible rayonnement de photons cohérents. Les photons recueillis peuvent, à leur tour, provoquer des interactions photon atome et ainsi de suite. C est le phénomène de réaction en chaîne. Les conséquences de ces émissions contrôlées sont que d une part, tous les photons produits par l émission stimulée ont exactement la même fréquence ν, d où une très grande monochromaticité. D autre part ils sont parfaitement en phase, d où production d une lumière cohérente. Cet effet correspond à ce qu on appelle l effet laser ) Troisième étape : Amplification par cavité résonante Pour augmenter la puissance émise, on impose aux photons de faire des allers-retours entre deux miroirs, l un des deux miroirs étant semi-réfléchissant. Grâce aux miroirs, le rayonnement est réfléchi Dr A. Sicard CapeSup Grenoble Page 9
10 et amplifié par effet cascade. Le rayonnement oscille dans le milieu actif qui constitue alors une cavité résonante optique. Une faible partie du rayonnement est émis vers l'extérieur par le miroir semi-réfléchissant sous forme de rayon laser exploitable. Le but des miroirs distants de L est de créer un système d ondes stationnaires dans la cavité. Pour que les photons interfèrent constructivement entre eux, après un aller retour, il faut que la différence de marche δ soit telle que : δ = k λ = 2L avec k entier Car δ = 2L correspond à la distance parcourue par l onde lors d un aller retour. Ainsi, pour obtenir l amplification la plus efficace, il faut que la longueur de la cavité soit un multiple entier de la demie longueur d onde. On a : L = k λ 2 avec k entier Il existe donc un grand nombre de longueurs d onde différentes sélectionnées par la cavité. La fréquence ν k du mode k est donc donnée par : ν k = kc 2L Cela ne signifie pas pour autant que le laser peut émettre toutes les fréquences ν k. Seuls les modes propres ν k de la cavité suffisamment amplifiés par l émission stimulée vont être amplifiés par la cavité et conduire au phénomène laser et donc au faisceau laser. Si plusieurs modes peuvent être amplifiés, on parle de laser multimode, autrement, le laser est dit monomode. L intervalle entre deux fréquences consécutives est : Δν = ν k+1 ν k = c 2L Par exemple, pour une cavité de 15 cm de long, Δν = 10 9 Hz. Dr A. Sicard CapeSup Grenoble Page 10
11 5) Aspect probabiliste de la physique quantique 5.1) Passage par une lame semi-réfléchissante Une lame semi-réfléchissante laisse passer 50% d une onde lumineuse et réfléchit le reste. Cependant, un photon ne peut pas être séparé en deux parties : si un photon unique est envoyé sur une telle lame, il aura une probabilité 1 2 d être transmis, et 1 2 d être réfléchi. Il y a donc une différence entre : - le comportement microscopique d un unique quantum qui est probabiliste : il ne peut pas être déterminé de façon certaine - le comportement macroscopique de très nombreux quanta qui est parfaitement déterminé dans le cadre de la loi des grands nombres. 5.2) Interférences quantum par quantum Une autre illustration de cette différence de comportement est donnée par le dispositif des fentes d Young impacté quantum par quantum. Dans le cas des électrons envoyés sur les fentes, chaque électron donne un impact localisé sur le détecteur. La multitude des impacts de très nombreux électrons permet de visualiser une figure d interférence. Formation de la figure d interférence au cours du temps électron par électron, dans le dispositif des fentes d Young. a. temps de pose le plus court ; d. temps de pose le plus long Chaque électron a une certaine probabilité de se retrouver en un point M du détecteur. Cette probabilité est grande si M se trouve sur une frange claire de la figure d interférence. A l inverse, cette probabilité est faible si M se trouve sur une frange sombre. Ainsi la figure d interférence due au comportement statistique d un grand nombre d électron révèle la probabilité du comportement d un unique électron. Cette expérience donne des résultats équivalents avec d autres ondes de matière, ou des ondes électromagnétiques. 6) Généralisation de la quantification A l échelle microscopique, le phénomène de quantification apparaît dès qu il y a contrainte. L énergie des électrons liés à l atome est quantifiée alors que celle des électrons libérés après ionisation de l atome peut prendre n importe quelle valeur. Dr A. Sicard CapeSup Grenoble Page 11
12 Du fait de l interaction forte, les nucléons sont assujettis à rester assemblés au sein du noyau, ce qui se traduit par la quantification des niveaux d énergie nucléaires. Les transitions entre niveaux d énergie nucléaires mettent en jeu des énergies de l ordre du MeV (rayonnement γ). Les liaisons intramoléculaires peuvent être modélisées par de petits ressorts maintenant les atomes assemblés, d où une quantification des niveaux d énergie moléculaires. Les transitions entre niveaux d énergie moléculaires mettent en jeu des énergies allant du millième au dixième d électronvolt (rayonnement infrarouge). Dr A. Sicard CapeSup Grenoble Page 12
DIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailMécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo.
Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE E-MAIL : dataelouardi@yahoo.fr Site Web : dataelouardi.jimdo.com La physique en deux mots
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailQu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?
exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailLes impulsions laser sont passées en quarante ans de la
Toujours plus court : des impulsions lumineuses attosecondes Les impulsions laser «femtoseconde» sont devenues routinières dans de nombreux domaines de la physique. Elles sont exploitées en particulier
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailChap 2 : Noyaux, masse, énergie.
Physique. Partie 2 : Transformations nucléaires. Dans le chapitre précédent, nous avons étudié les réactions nucléaires spontanées (radioactivité). Dans ce nouveau chapitre, après avoir abordé le problème
Plus en détailL histoire de la Physique, d Aristote à nos jours: Evolution, Révolutions
L histoire de la Physique, d Aristote à nos jours: Evolution, Révolutions Martial Ducloy Président Société Française de Physique & Laboratoire de Physique des Lasers Institut Galilée & CNRS Université
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailPanorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques
Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailEtrangeté et paradoxe du monde quantique
Etrangeté et paradoxe du monde quantique Serge Haroche La physique quantique nous a donné les clés du monde microscopique des atomes et a conduit au développement de la technologie moderne qui a révolutionné
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailPuissance et étrangeté du quantique Serge Haroche Collège de France et Ecole Normale Supérieure (Paris)
Puissance et étrangeté du quantique Serge Haroche Collège de France et Ecole Normale Supérieure (Paris) La physique quantique nous a donné les clés du monde microscopique des atomes et a conduit au développement
Plus en détailLE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND
LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détail1STI2D - Les ondes au service de la santé
1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie
Plus en détailChapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information
Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailLa spectrophotométrie
Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 16 Y a-t-il quelqu un pour sauver le principe de conservation de l énergie?
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 16 Y a-t-il quelqu un pour sauver le principe de conservation de l énergie? Type d'activité Activité avec démarche d investigation, étude documentaire (synthèse
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailDM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION
Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)
Plus en détailMicroscopie de fluorescence Etat de l art
Etat de l art Bibliométrie (Web of sciences) CLSM GFP & TPE EPI-FLUORESCENCE 1 Fluorescence Diagramme de JABLONSKI S2 S1 10-12 s Excitation Eex Eem 10-9 s Émission Courtoisie de C. Spriet
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailPhotons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique
Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailChapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle
Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,
Plus en détail5 >L énergie nucléaire: fusion et fission
LA COLLECTION > 1 > L atome 2 > La radioactivité 3 > L homme et les rayonnements 4 > L énergie 6 > Le fonctionnement d un réacteur nucléaire 7 > Le cycle du combustible nucléaire 8 > La microélectronique
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailInterférences et applications
Interférences et applications Exoplanète : 1ère image Image de la naine brune 2M1207, au centre, et de l'objet faible et froid, à gauche, qui pourrait être une planète extrasolaire Interférences Corpuscule
Plus en détailLa physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur!
La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur! 10-35 Mètre Super cordes (constituants élémentaires hypothétiques de l univers) 10 +26 Mètre Carte des fluctuations du rayonnement thermique
Plus en détailNouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours. www.physagreg.fr
Nouveau programme de première S (2011) : l essentiel du cours www.physagreg.fr 22 avril 2012 Table des matières 1 Couleur, vision et image 3 1.1 Oeil réel et oeil réduit...................... 3 1.2 Lentille
Plus en détailPrincipe et fonctionnement des bombes atomiques
Principe et fonctionnement des bombes atomiques Ouvrage collectif Aurélien Croc Fabien Salicis Loïc Bleibel http ://www.groupe-apc.fr.fm/sciences/bombe_atomique/ Avril 2001 Table des matières Introduction
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailPHY113 : Cours de Radioactivité 2009-2010
Cours de Radioactivité Le but de ce cours est de permettre aux étudiants qui seront amenés à utiliser des sources radioactives d acquérir les bases de la radioactivité. Aussi bien au niveau du vocabulaire
Plus en détailStage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale"
Stage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale" Session 2014-2015 Documents produits pendant le stage, les 06 et 07 novembre 2014 à FLERS Adapté par Christian AYMA et Vanessa YEQUEL d après
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailNouvelles techniques d imagerie laser
Nouvelles techniques d imagerie laser Les chimistes utilisent depuis longtemps les interactions avec la lumière pour observer et caractériser les milieux organiques ou inorganiques. La présence, dans la
Plus en détailChapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION. f AB = mc 2 e 2. β 1 k(υ)dυ N
1 Chapitre II PHÉNOMÈNES RADIATIFS: PROPRIÉTÉS D EMISSION Compte tenu des règles de sélection une émission peut être observée si un gap d énergie important existe entre l état fondamental et un des états
Plus en détailETUDE QUANTITATIVE D UN LASER PULSE A LIQUIDE APROTIQUE POLAIRE
ETUDE QUANTITATIVE D UN LASER PULSE A LIQUIDE APROTIQUE POLAIRE Abstract. It is first demonstrated how it is possible to calculate the amplification coefficient of a laser medium from the efficiency slopes
Plus en détailQuelleestlavaleurdel intensitéiaupointm?
Optique Ondulatoire Plan du cours [1] Aspect ondulatoire de la lumière [2] Interférences à deux ondes [3] Division du front d onde [4] Division d amplitude [5] Diffraction [6] Polarisation [7] Interférences
Plus en détailUniversité de Nice Sophia Antipolis Licence de physique
Université de Nice Sophia Antipolis Licence de physique Projet tutoré en laboratoire : Année 2009/2010 Miradji Faoulat Barnaoui Serine Ben Abdeljellil Wael Encadrant : Mr. Anders Kastberg 1 Remerciement
Plus en détailDidier Pietquin. Timbre et fréquence : fondamentale et harmoniques
Didier Pietquin Timbre et fréquence : fondamentale et harmoniques Que sont les notions de fréquence fondamentale et d harmoniques? C est ce que nous allons voir dans cet article. 1. Fréquence Avant d entamer
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailIntroduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires
Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Nassiba Tabti A.E.S.S. Physique (A.E.S.S. Physique) 5 mai 2010 1 / 47 Plan de l exposé 1 La Radioactivité Découverte de la radioactivité
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailLa chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière?
BUTAYE Guillaume Olympiades de physique 2013 DUHAMEL Chloé SOUZA Alix La chanson lumineuse ou Peut-on faire chanter la lumière? Lycée des Flandres 1 Tout d'abord, pourquoi avoir choisi ce projet de la
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailIntroduction à la physique quantique. Juin 2014
Introduction à la physique quantique Juin 4 Table des matières Avant Propos............................................ Origine du projet......................................... Guide de lecture..........................................
Plus en détailPrésentation du programme. de physique-chimie. de Terminale S. applicable en septembre 2012
Présentation du programme de physique-chimie de Terminale S applicable en septembre 2012 Nicolas Coppens nicolas.coppens@iufm.unistra.fr Comme en Seconde et en Première, le programme mélange la physique
Plus en détailLes Prix Nobel de Physique
Revue des Questions Scientifiques, 2013, 184 (3) : 231-258 Les Prix Nobel de Physique Plongée au cœur du monde quantique Bernard Piraux et André Nauts Institut de la Matière Condensée et des Nanosciences
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailObjectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un
CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailFiche professeur. L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN
Fiche professeur L analyse spectrale : spectroscopies IR et RMN Thème : Observer, ondes et matières Analyse spectrale Type de ressource : Documents de formation en spectroscopies IR et RMN, pistes d activités
Plus en détaila. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov
V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections
Plus en détailNOYAU, MASSE ET ENERGIE
NOYAU, MASSE ET ENERGIE I - Composition et cohésion du noyau atomique Le noyau atomique est composé de nucléons (protons+neutrons). Le proton a une charge positive comparativement au neutron qui n'a pas
Plus en détailA) Les réactions de fusion nucléaire dans les étoiles comme le Soleil.
INTRODUCTION : Un enfant qui naît aujourd hui verra s éteindre une part importante de nos ressources énergétiques naturelles. Aujourd hui 87% de notre énergie provient de ressources non renouvelables (Charbon,
Plus en détailÉNERGIE : DÉFINITIONS ET PRINCIPES
DÉFINITION DE L ÉNERGIE FORMES D ÉNERGIE LES GRANDS PRINCIPES DE L ÉNERGIE DÉCLINAISONS DE L ÉNERGIE RENDEMENT ET EFFICACITÉ DÉFINITION DE L ÉNERGIE L énergie (du grec : force en action) est ce qui permet
Plus en détailPanorama de l astronomie
Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement
Plus en détail