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1 . Paul MBA ABESSOLE Libreville, le 3:0/03/20 I 3

2 -Table des matières O. INTRODUCTION 01. Le contenu du changement 0.2. Lanécessité d'une cohérence idéologique 1. La définition du changement L.L. l'initiation. '1..2. La rupture totale 1.3. Le toilettage 2. Les niveaux du changement 2.'l.,. Au niveau des choses 2.2. Aaniveau des hommes 2.3. Au niveau des intelligences 3. Les résistances du changement 3.1- L'inertie 3.2. Les thèmes à discussions sans fins Le sabotage Le Tribalisme La révolte 4. Les conditions du changement 4.1,.La formation 4.2.Les informations 3 J T t4 t4 16 t6 t7

3 I 4.4.La valorisation du principe.< réussir ensemble,, 4.5. Ladisponibilité des promoteurs du changement T7 18 I rl I I 5. Comment conduire un changement 5.L. Les hommes et les femmes du changement 5.2. Les ignorants 5.3. Les sceptiques 5.4. Les actants éclairés? 6. Quelle méthode? 6.'l,La mauvaise expérience de la conférence nationale 6.2La méthode de Jésus 7.La stratégie et la tactique? 7 l.la stratégie 7.2La tactique 8. Le RPG et le changement 8.1 Le RPG, un parti du changement 8.2Le RPG, parti d'avenir 18 t9 T T

4 O. lntroduction Le contenu du changement. De quelque bord politique que I'on soif tout le monde aspire au changement. Mais on ne lui donne pas le même contenu, soit à cause du niveau où on I'envisage, soit à cause de I'idéologie dont on se réclame. En ce qui concerrre le Rassemblement Pour le Gabon, le changement n'est pas une simple idée que I'on agite pour attirer les gens, mais une volonté de faire sortir le Gabon et ses habitants du sous-développemen! Ie plus rapidement possible, une ambition permanente. Cæ, dans I'oppositiorç hier, conune dans la Majorité Républicaine pour I'Emergence, aujourd'hui, nous parlons du changement en termes identiques, depuis plus de vingt ans.

5 0. 2. La nécessité d'une cohérence idéologique. On sait qu'un menteur ne se souvient jamais de ce qu'il a dit. ]'en ai fait I'expérience à maintes reprises. I'ai eu I'occasion de discuter avec nombre de personnalités politiques, religieuses et autres. ]'avais toujours pris soin de noter par écrit ce qu'elles me disaient sur différents sujets que nous avions abordés ensemble. I'ai eu I'occasion de discuter avec certaines de ces personnalités plusieurs fois. En relisant mes notes, je me suis rendu compte que leurs différentes positions étaient en contradiction. C'est ainsi que j'ai découvert qu'elles n'avaient pas dit la vêrité, car la vérité est nécessairement cohérente. Ce qui vaut pour les hommes vaut aussi, à mon sens/ pour les partis politiques. Tout le monde, au Gabory peut reconnaître que le RPG, depuis 1990, tient toujours le même discours. Combien de partis politiques peuvent en dire autant dans notre pays?,'l Li

6 0.2. Le plan de notre exposé. Notre exposé comporte huit parties: 1.La définition du changement. 2.Les niveaux du changement. 3. Les résistances au changement. 4. Les conditions du changement. 5. Les hommes et les femmes du changement. 6. Quelle méthode pour le changement? 7. Quelle stratégie et quelle tactique? 8. Le RPG et le changement. 1. La définition du changement. Le changement, à quelque niveau que I'on se place, est le fait de passer d'un état à un autre, en bien ou en mal. Ce passage se fait se de trois manières.

7 1. 1. L'imitation. D'abord r pàr l'imitation qui est un faire semblant. On change les mots, en laissant les réalité telle. C'est conune si on peignait une vieille maison sans y ajouter une transformation. Nous excluons ce changement qui, pour nous, n'en pas un. 1,.2. La rupture totale. En suite par une rupture totale avec ce qui était avant pour entrer dans une réalité totalement différente. Il s'agit ici, d'une aliénation. On sort de sa culture pour entrer dans une autre au point qu'on ne retrouve plus une trace de la culture d'origine. Ce passage est une assimilation. Il s'agit ici d'un changement négatif. Nous rejetons ce changement qui est une révolution. L'on sait que toute révolution entraine et des traumatismes dont difficilement. des violences on se libère

8 L.3. Le toilettage. Enfin par un toilettage du modèle originel, qu'on enrichit avec de nouveaux éléments. Ce changement est une transformatiorç c'est-à-dire une mutation en une autre forme avec le reflet de celle qui existait auparavant. C'est cette dernière qui nous intéresse, c'est elle qui constitue le vrai progrès. Nous ne sonunes pas pour n'importe quel changement, mais pour un changement positif, un changement-progrès. 2. Les niveaux du changement. Autant que possible, Ie changement doit être endogène. Il doit se justifier par des causes internes. Autrement dit, it doit être le résultat d'une analyse des réalités de la vie de ceux qui sont concernés par le changement. Il en est ainsi des changements politiques dont les causes sont les injustices dans une société, injustices contre lesquelles réagissent des victimes. L'on peut accepter de joindre à ce changement des éléments exogènes, comme dans le cas de l'adoption

9 des technologies nouvelles. 2.L. Auniveau des choses. Les changements peuvent intervenir au niveau des choses. Celles-ci sont disposées d'une certaine manière et ont entre elles, un type de relations. On peut modifier cette disposition et en adopter une autre sans que les choses cessent d'être ce qu'elles sont. Quelqu'un peut décider d'organiser I'intérieur de sa maison d'une autre manière; un commerçant peut disposer son magasin autrement. Le nouvel ordre introduit un changement. On peut également transformer une forêt en une plantation de bananiers ou d'autres produits agricoles. Une maison d'habitation peut se changer en une école ou en une aire de jeu intérieur. Un bon exemple, à cet égard, dans le livre de la genèse où il est dit qu'au commencement, il y avait un tohu bohu, c'est-à-dire un désordre général. C'est dans celui-ci que Dieu intervient et imprime une organisation. il donne à chaque chose une place, une

10 Iimite afin qu'elle joue pleinement son rôle dans l'ensemble de la création (Gn '1,, 1.-29). Dieu promeut le changement par sa parole: < Dieu dit >) Dire (< amar )) ; en hébreu, veut précisément dire < prononcer un oracle o Aa niveau des hommes. Les changements peuvent aussi se produire dans la vie des hommes: soit par rapport à la gestion de leur communauté où ils exercent le pouvoir les uns après les autres avec des idéologies, des systèmes politiques différents, instituant ainsi un cycle de changements dans leur vie; soit par rapport à leur mode de vie: on peut passer d'un système traditionnel à un système industriel, à un niveau de vie plus ou moins aisée, selon les périodes historiques. On peut changer les responsables et en mettre d'autres à leur place.

11 2. 3. Au niveau des intelligences. Les changements peuvent enfin se produire au niveau des intelligences humaines. L'on sait que la plus grande maladie de f intelligence est I'ignorance. Le changement, dans ce domaine, repose essentiellement sur la lutte contre le non savoir par I'enseignement. On donne aux intelligences une formation et une flexibilité qui leur permettent de se développer positivement. Mais quel que soit le changement et à quelque niveau qu'il se situe, il comporte toujours des transformations qui passent par des étapes. On peut passer pil des toilettages, par des ruptures ou par des conflits parfois. La transformation demande de donner une autre forme ou un autre contenu aux choses existantes. Cela nécessite un travail qui demande des efforts physiques et intellectuels. Des efforts physiques par lesquels on met les corps en activité pour transformer I'environnement. Si on veut transformer une

12 forêt en une plantation de bananiers, il faut débrousser I'herbe, abattre les arbres, préparer la tene à accueillir les semences, etc... Des efforts intellectuels aussi. Il faut analyser les hommes, Ies choses et les situations afin de prendre des orientations qui permettront d'aboutir aux résultats souhaités. On fait des choix. Le changement peut exiger qu'on sorte certaines personnes du système pour y faire entrer d'autres, plus efficaces, capables d'innover afin que les choses ne soient plus conune avant. I1 ne s'agit pas d'opposer les jeunes et les anciens, mais d'utiliser autrement toutes les compétences et tous les savoir-faire. On rompt avec le passé ou avec une partie de celui-ci, afin de faire émerger de nouvelles réalités. Cela ne va pas sans peine. Car on rencontre souvent des résistances. \t

13 3. Les résistances au changement. En effet, l'abandon de certaines habitudes de faire ou de penser entraîne parfois des conflits et suscite des résistances qui prennent plusieurs formes L'inertie. La forme la plus courante est I'inertie qui est apathie, manque d'activité, indolence, manque d'énergie, manque d'initiative. Elle est souvent non dite. Dans ce cas, on parle de changement et on fait semblant d'être d'accord avec ce qui est décidé pour changer les choses, mais on ne fait rien concrètement pour faire bouger les choses. On se contente de grandes déclarations qui s'évanouissent après les réunions. La procrastination ou Ia remise de I'application des décisions au lendemain est, ici, I'arme principale. On répand I'atonie dans tous les centres d'action. L2

14 3.2. Les thèmes à discussions sans fin. Après I'inertie vient la de I'introduction des thèmes de débats qui donnent lieu à des discussions sans fin. On va d'une explication à une autre, sans arriver à prendre des décisions concrètes. Nous connaissons bien cela dans notre pays, dans nos partis politiques, dans nos familles. Finalement on tourne en rond et on se met dans I'incapacité de mener un changement à son terme. La technique est celle du dilatoire Le sabotage. Le sabotage est aussi une autre façon de résister au changement. On met tout en æuvre pour rendre les décisions inapplicables, pour empêcher d'avancer. Par exemple, oî coupe le courant pour empêcher qu'une réunion ne se tienne le soir ou on sabote le moteur d'une voiture qui doit conduire à un lieu où doit se tenir une 13

15 réunion en vue de prendre des décisions importantes pour le changement. Ou alors on qualifie le changement à engager comme une ineptie Le tribalisme. Viennent ensuite les préoccupations tribalistes de bas étage qui démobilisent une partie des gens capables de promouvoir Le changement; la géopolitique systématiquement appliquée dans tous les domaines d'action est très négative. On se cache derrière ce qu'on appelle l'équilibre ethnique, oublieux qu'une appartenance ethnique ne confère pas une compétence. La compétence, il faut le dire bien fort, est le résultat des études ou d'un apprentissage. Personne ne naît savant on le devient par un travail assidu. t4

16 3. 5. La révolte. Enfin, le moyen extrême de résister contre le changement est la révolte qui conduit aux violences et à tous les extrémismes dont le principe est le refus de tout dialogue. Les extrémismes ont pour objectif d'anéantir I'autre différenû ils occultent les raisons des choses parce qu'ils sont incapables d'analyse objective. Ils ressemblent à un homme qui, voulant enlever la mauvaise herbe de son champ, y met du feu. Le résultat il détruit et la mauvaise herbe et le bon Sain. La politique de la terre brûiée n'ouvre à un aucun changement. il y a beaucoup d'autres techniques de résistance face auxquelles peuvent se trouver les promoteurs du changement. Ces derniers, orr le devine, doivent faire partie d'une élite. Un wai changement demande des hommes et des femmes compétentes pour le mener jusqu'à son aboutissement. Il faut des hommes et des femmes qui expliquent le changement et montrent son

17 bien- fondé. Pour qu'un changement soit effectif, il faut que la majorité des bénéficiaires I'acceptent. Il faut pour cela plusieurs conditions. 4. Les conditions du changement Les contacts directs La première condition à notre avis, est la proximité qui veut que les promoteurs du changement aient des contacts directs et permanents avec ceux qui sont concernés par leur démarche. Il faut présenter les choses dans un langage compréhensible, le changement doit naturellement passer par la culture de ses bénéficiaires La formation. La deuxième condition est la formation. Elle exige une initiation spécialisée ou un niveau suffisamment élevé pour faire comprendre et aimer le changement. Cette formation doit être faite dans Ie domaine relatif au 16

18 i 0 changement. Elle fait acquérir des connaissances sur I'objet du changement, et sur ses enjeux. Les connaissiltces ne srinventent pâs, on les acquiert dans des écoles ou lors des stages organisés à cet effet Les informations. La troisième condition est la diffusion des informations. Tous les concernés par un changement doivent être à un niveau d'information suffisamment élevé. Celle-ci doit circuler à l'aide d'un organe d'information. Contrairement à ce qu'on croit, cacher l'information mène à l'échec et Ia communiqu$ conduit au succès La valorisation du principe ensemble>>. La quatrième condition est la valorisation du principe: << on ne peut réussir qu'ensemble,r. Il est nécessaire d'impliquer T7

19 le maximum d'honunes et de femmes pour montrer qu'il s'agit d'une action qui profite à tout le monde. Chacun doit, à son niveau, contribuer à la réussite. \ 4.5. La disponibilité du promoteur du changement. La cinquième condition est la disponibilité. Un promoteur du changement doit être ouvert et accessible à tous. S'il ne peut pas parler à tout le monde, il doit encourager des rencontres afin que tous prennent la mesure des enjeux du moment. Toutes ces conditions relèvent du principe de la démocratie participative qui veut qu'on ne décide rien avant d'avoir pris I'avis des concernés par la décision. 5, Comment conduire un changement? Un changement ne se mène pas n'importe comment, il faut savoir en déterminer les différentes étapes, c'est-à-dire mettre en 18

20 place une stratégie, qui consiste à choisir des actions susceptibles de conduire efficacement au but fixé. Une fois que les étapes sont déterminées, on étudie la tactique qui établit la succession des actions à poser/ s uls provoquer des secousses susceptibles de retarder la réalisation de I'objectif poursuivi Les hommes et les femmes du changement. Avec qui mener un changement? L'objectif, pour être atteint, a besoin d'une équipe d'hommes et de femmes choisis avec soin. I1 faut tenir à l'écart du changement les ignorants, les naiïs, les sceptiques et methe les actants éclairés au cæur de toute activité Les ignorants? Les ignorants, ceux qui sont incapables de poser de vraies questions ou de donner des informations de quelque intérêt que ce soit pour atteindre le but. On les reconnaît par le

21 fait qu'ils sont toujours hors-sujet, dans leurs questions et dans les réponses qu'ils donnent à certaines questions Les naïfs? Les naifs croient à tout ce qu'on leur dit. Ils se fient aux apparences parce qu'ils n'ont personnelles. Ils pas de convictions rapportent tous les cancans et les.. kongossas >> des quartiers. Ils répètent comme des perroquets toutes les rumeurs des cafés et des bars de la ville. Ils récitent tout ce qu'ils entendent, colrune des perroquets, sans rien y comprendre Les sceptiques? Les sceptiques ne croient en rien, doutent de tout, même d'eux-mêmes. Leur scepticisme est propre à démobiliser ceux qui ont envie d'avancer. On les reconnaît à leurs questions: < Est-on sûr qu'en faisant cela on va avoir les résultats escomptés? A-t-on suffisamment analysé les obstacles que I'on va rencontrer >> De telles questions, sont a

22 propres à amener ceux qui des entendent à << se décourager > Les actants éclairés. Les actants éclairés sont choisis parmi les hommes et les femmes, capables de promouvoir le changement. Ils savent analyser objectivement les sifuations, les choses et les personnes. Ils peuvent lire à I'intérieur des choses et voir leurs relations de cause à effets avec d'autres choses. Ils savent mesurer et affronter les difficultés pendant longtemps. Ils sont endurants et fidèles. Et parce que fidèies à une idée, ils sont incomrptibles. 6. Quelle méthode? I ne suffit pas d'avoir les ressources humaines pour promouvoir efficacement un changement, il faut avoir aussi une méthode. Car la plupart des changements n'aboutissent pas à cause de leur mauvais management. Tel fut le cas de notre fameuse Conférence Nationale, en t

23 6.7. La mauvaise Conférence Nationale. experrence de la Je considère que la Conférence Nationale de 1990 (23 mars-l9 avril) dont on parle, aujourd'hui, comme d'un succès a êtê, certes, une expérience, mais une mauvaise expérience. Elle aurait pu être bénéfique pour notre pays s'il ne s'y était trouvé une bande de saboteurs. je rappelle que j'avais émis l'idée de cette rencontre nationale, dès le 8 août!983, lors de ma première conférence de presse, en tant de Présidant du Mouvement de Redressement National (MORENA), à I'hôtel WAGRAM, à Paris. J'avais lancé un appel à la réconciliation nationale; en ces termes: compte immédiate du profond désir de changement du peuple gabonais. Et par conséquent, la CONVOCATION, dès le lendemain de la fête nationale, d'une TABLE RONDE entre le MORENA et le PDG, sur la démocratisation du pays ". C'est dans le prolongement de cette idée de

24 t réconciliation nationale, que jravais préconisé, au cours de la Conférence Nationale, le Rassemblement Social Démocrate Gabonais (RSDG). Dans ma compréhension, c'était non pas un pafti politique comme ont voulu faire croire des gens de mauvaise foi dont l'objectif était de me barrer la route, mais un laboratoire où, après Vingt-trois ans de monopartisme, pil conséquent de pensée unique, nous devions apprendre à discuter ensemble des graves sujets concernant I'avenir de notre pays. Il fallait absolument éviter d'improviser et'de se lancer dans des aventures. Nous pouvions nous donner trois ans pour cet apprentissage. Mais j'ai été traité de tous les norns par nos prétendus intellectuels. C'est ainsi que nous nous sonunes engagés dans laventure du multipartisme où nous nous trouvons enlisés, aujourd'hui. On fait de I'opposition par coquetterie, on exerce le pouvoir par volonté de puissance et non par amour pour le pays. Qui a raison? Qui a tort? Qu'on me dise lequel des deux

25 hommes, perdus dans une forêt et qui marchent chacury dans une direction opposée du village, a raison ou tort! Il faut bien reconnaître que nous n'avons atteint aucun des objectifs que nous avions visés à la Conférence Nationale, à cause des extrémistes dont, du reste, certains étaient complices secrets du pouvoir en place. De mon point de vue, il nous fatft une méthode efficace pour réussir. Avant tout, une précision de vocabulaire: on confond souvent méthode et méthodologie. La méthode, (dr grec < méta = selorl suivant > et de.. odos = voie, route ") est Ie chemin à suivre pour atteindre un objectif, c'est une sorte de balisage du chemin. Par contre, la méthodologie est le discours sur I'art de baliser rationnellement un chemin ou un cheminement, en vue de découvrir la vétitê, un trésor ou un objectif. je redonne, plus de vingt ans après, la méthode que j'ui toujours prônée pour arriver à un vrai changement au Gabon. Ma 24

26 méthode est fondée sur celle de Jésus, personnage historique auquel même les non-croyants peuvent se référer, car c'était un Maître, <( un Rabbi ". 6.2.La méthode de Jésus. La méthode de Jésus pour le changement était homéopathique. L'homéopathie est un système de soins médicaux qui consiste à traiter la maladie par des re-mèdes qu'on suppose avoir la propriété de produire des symptômes semblables à cette maladie et qu'on administre à dose infiniment petite. ii Comment a-t-il procédé? Face à un système religieux corrompu, pourri, avec les prêtres, les scribes, les pharisiens et les docteurs de la loi, il l'a pris en compte sans s'y identifier. il y a produit un discours invitant au dépassement de I'existanÇ il y a proposé des valeurs nouvelles qu'on pourrait qualifier de modernes. Il a donné son programme, dans l'évangile de lean, résumé par cette phrase:.,

27 ]e suis le chemin (odos) et la vérité (alêthéia) et la vie (Zôe) " 0t'1.4,6).Il ne s'est opposé à personne directement, mais ses déclarations situaient chacun de ceux qui l'écoutaient. Nous sommes face à une politique des petits pas. On avance à la manière de I'eau qui inonde sans faire de bruit. Il faut donner à chacury pffi une sorte de maïeutique, un pouvoir de distanciation vis-à-vis de ce qu'ii est et de ce qu'il pense. Un être humain ne peut changer que s'il a appris d'abord à se dédoubler, c'est-à-dire à être capable de se mettre en cause. Et se metile en cause, c'es.t reconnaître que ce qu'on est et ce qu'on a n'a pas de valeur éternelle, qu'il y a toujours possibilité de bien ou de mieux viwe que maintenant. Pour avancer d'un pas sûr, il faut avoir une stratégie et une tactique. 7.La stratégie et la tactique? 7.1. La stratégie. i - Le mot stratégie, pour les hellérristes, est dérivé du grec 26

28 armée> et (< ageirt conduire>>. Ce dernier terme est relatif à I'habileté à diriger, à coordonner des actions pour atteindre un objectif. Il s'agit d'une analyse des situations, des différents éléments dont celles-ci sont faites, de leur corrélation. C'est à partir de cette analyse que I'on détermine les différentes étapes à parcourir La tactique. La tactique est déterminée par I'ordre et par la manière dont les actes doivent être engagés. Elle exige la présence sur Ie terrain des acteurs les plus qualifiés qui doivent sradapter en permanence aux différentes situations, sans dévier de I'objectif à atteindre. 8. Le RPG et le changement. I1 faut dire que, pt rapport à la conception du changement, le Rassemblement Pour le Gabon reste un Parti Spécial. I1 voit le 27

29 changement corrune un ensemble de choses propres à produire le bien-être à I'homme dans son intégralité. Pour ce Parti, le changement ne doit êffe considéré conune tel, chez un peuple, que s'il assume la culture de celui-ci, son mode d'être dans un environnement spécifique Le RPG, un parti du changement. Le RPG est le seul Partt, au Gaboru aujourd'hui, à proposer le même projet de société depuis plus de Vingt-deux ans. C'est dire gu'il se situe bien au-delà des visions partisanes et politiciennes. Le changement, selon lui, a conune fondement: I'homme éduqué, sain, ayant un emploi et un toit. En dehors de cela, le changement n'est qu'illusoire. Voilà pouquoi nous invitons tous les Gabonais à se rassembler pour la réalisation de cette ambition 28

30 8.2.Le RPG, parti d'avenir. Le RPG est passé par bien des difficultés: les sabotages orchestrés par ses adversaires, les brimades, les humiliations, les trahisons, I'achat de certains de ses militants, le vol de ses victoires. A aucun moment, il n'a fait appel à la violence. Au contraire, il s'est toujours efforcé d'éviter les positions extrémistes. Pour lui, il faut, avant tout, sauvegarder I'unité des Gabonais. Il a toujours défendu la paix en invitant les uns et les autres à dépasser les clivages. politiques. I1 est toujours resté sur cette position. Voilà pourquoi on peut dire que le RPG est un parti d'avenir aussi bien pour les jeunes que pour les anciens. Fait à Libreville, le 30 Mars Paul MBA-ABESSOLE. 29

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