Vivre avec le VIH, mourir de la tuberculose Même si elle est évitable et traitable,
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- Éloïse Laviolette
- il y a 8 ans
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1 «Nous ne pouvons pas gagner la lutte contre le SIDA si nous ne luttons pas également contre la tuberculose.» - Nelson Mandela Vivre avec le VIH, mourir de la tuberculose Même si elle est évitable et traitable, la tuberculose est l un des PRINCIPAUX FACTEURS DE MORTALITÉ chez les personnes aux prises avec le VIH/SIDA Introduction La tuberculose est une maladie infectieuse traitable et guérissable et pourtant, elle représente l un des principaux facteurs de mortalité chez les personnes aux prises avec le virus de l immunodéficience humaine (VIH) dans le monde entier. La tuberculose s attaque aux systèmes immunitaires affaiblis et sur les 1,8 millions de personnes décédées de la tuberculose en 2007, près du tiers de ces personnes ( ) étaient aux prises avec le VIH/ SIDA. En afrique, cette statistique augmente de façon spectaculaire à la moitié. Sans traitement adéquat, environ 90 p. 100 des personnes aux prises avec le VIH/SIDA meurent quelques mois après avoir développé une tuberculose active. Et pourtant, un régime complet de médicaments visant à traiter la tuberculose peut coûter aussi peu que 20 dollars et, dans 95 p. 100 des cas, la maladie est tout à fait guérissable....moins de 2 p. 100 des personnes aux prises avec le VIH/SIDA dans le monde entier ont été soumises à un test de dépistage de la tuberculose... Un tiers des personnes aux prises avec le VIH/SIDA montrent des signes de tuberculose latente (non active), mais les personnes aux prises avec le VIH/SIDA également atteintes de tuberculose latente ont 50 fois plus de probabilités de développer une tuberculose active au cours de leur existence. Malgré ces faits qui portent à réfléchir, les dernières données mises à la disposition du public par l Organisation mondiale de la santé (OMS) montrent que moins de 2 p. 100 des personnes aux prises avec le VIH/SIDA dans le monde entier ont été soumises à un test de dépistage de la tuberculose. En juin 2008, les dirigeants mondiaux se sont réunis au siège social de l Organisation des Nations Unies afin de participer à un forum sur la co-infection VIH/SIDA. Le Forum des dirigeants mondiaux a lancé le défi au monde entier d assurer l accès universel à des services de santé de qualité pour les personnes atteintes de tuberculose-vih et de diminuer le nombre de décès de moitié d ici Des centaines de milliers de vies pourraient être sauvées si le nombre de décès attribuables à la co-infection tuberculose-vih était réduit de 50 p Le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/SIDA (ONUSIDA) a fait de la réduction du nombre de décès attribuables à la tuberculose chez les gens aux prises avec le VIH l une de ses neuf priorités relativement au Programme mondial de lutte contre le SIDA. L Organisation mondiale de la santé recommande la tenue d activités de lutte contre la co-infection tuberculose-vih axées sur la collaboration. Malheureusement, malgré les faits probants, les priorités et les lignes directrices énoncées dans le but de mener une lutte contre la tuberculose et le VIH axée sur la collaboration dans les pays dans lesquels le fardeau causé par ces deux maladies est lourd, à venir jusqu ici, peu de progrès ont été réalisés pour lutter concrètement contre la co-infection en matière de politiques, de financement, de l élaboration et de la mise en œuvre de programmes et de la surveillance et de l évaluation. Des gens aux prises avec le VIH meurent encore de la tuberculose de nos jours.
2 Vivre avec le VIH, mourir de la tuberculose Tuberculose-VIH : Que fait-on et que devrait-on faire? Les partenaires qui participent au Projet ACTION (Promotion de la lutte contre la tuberculose au plan international) ont cherché à examiner et analyser de quelle façon et dans quelle mesure les plus importants donateurs internationaux dans la lutte contre le VIH/SIDA s attaqueront à la co-infection tuberculose-vih au moyen de leurs politiques, leurs programmes et leurs choix en matière de financement, de même que des mesures de surveillance et d évaluation qu ils prônent. Le présent rapport repose sur cet ensemble de connaissances dans sa présentation de ce que fait le Canada dans le contexte international....pour répondre aux espoirs de sauver des milliers de vies, des pays comme le Canada et des organismes multilatéraux comme la Banque mondiale et le Fonds mondial devront prendre des mesures immédiates visant à lutter contre la co-infection tuberculose-vih dans leurs politiques et programmes... En examinant les activités des donateurs importants dans la lutte mondiale contre le VIH/SIDA, le projet ACTION a permis de cerner les obstacles suivants à la lutte contre la co-infection TB- tuberculose-vih : :. Les ressources des pays donateurs et des institutions multilatérales sont insuffisantes; :. Les politiques liées à la co-infection tuberculose-vih varient considérablement de claires à ambitieuses à incohérentes ou inexistantes; :. Les programmes entourant la prestation de services liés à la co-infection tuberculose-vih sont inadéquats; :. Les mesures de surveillance et d évaluation des activités liées à la co-infection tuberculose-vih sont inexistantes, non uniformes ou inadéquates. Le présent rapport met en relief ce que fait le Canada pour répondre à l urgence de la situation par l entremise de l Agence canadienne de développement international (ACDI). Il pose également un regard sur ce que peuvent faire deux des plus importants organismes multilatéraux qui collaborent sur ces deux épidémies, soit la Banque mondiale et le Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme (tous les deux étant d importants bénéficiaires de l aide publique au développement officielle du Canada). Pour répondre aux espoirs de sauver des milliers de vies, des pays comme le Canada et des organismes multilatéraux comme la Banque mondiale et le Fonds mondial devront prendre des mesures immédiates visant à lutter contre la co-infection tuberculose-vih dans leurs politiques et programmes. Les programmes doivent également faire régulièrement l objet de surveillance et d évaluation afin de suivre les progrès réalisés en vue de l allégement du fardeau causé par la co-infection tuberculose-vih. Prendre appui sur les investissements du Canada Le cas de la direction de la lutte contre la co-infection tuberculose-vih. L Agence canadienne de développement international L Agence canadienne de développement international (ACDI) dirige les efforts du Canada en matière de développement international et est l organisme gouvernemental responsable de l établissement des priorités et de l affectation de la majorité de l aide publique au développement (APD) officielle du Canada. Le Canada a été l un des chefs de file reconnus dans la lutte mondiale contre la tuberculose. Le Canada a été le premier pays à financer le Dispositif mondial de financement des médicaments anti-tuberculeux, une fonction innovatrice hébergée à l Organisation mondiale de la santé (OMS) qui veille à ce que les médicaments anti-tuberculeux soient disponibles et abordables dans les pays à faible et moyen revenu dans le monde entier. Le Plan mondial Halte à la tuberculose, un partenariat entre l OMS et la Stratégie du Partenariat Halte à la tuberculose visant à réduire le nombre de décès attribuables à la tuberculose, a obtenu de l appui de haut niveau lorsque le président de l ACDI à l époque, Robert Greenhill, a diffusé le rapport au Canada en Plus récemment, le Canada a versé une aide de 100 millions de dollars sur cinq ans au Fonds pour l extension des services de lutte antituberculeuse. Ce dernier est hébergé par le Partenariat Halte à la tuberculose et il financera des initiatives innovatrices qui visent à «rejoindre» les 40 p. 100 estimés des personnes atteintes de tuberculose qui n ont actuellement pas accès à un diagnostic, aux soins et au traitement de la tuberculose. Le Canada et l ACDI se sont récemment lancés sur une nouvelle plateforme favorisant l efficacité de l aide appelée «Le développement axé sur les résultats». En lançant le nouveau Plan d action pour accroître l efficacité de l aide du Canada en juin 2009, la ministre responsable de l ACDI a pris l engagement suivant : «Le Canada cible son aide internationale pour obtenir de plus grandes retombées. L aide peut et doit mieux fonctionner. La nouvelle approche de notre gouvernement, plus efficace, plus ciblée et plus responsable, donnera des résultats encore meilleurs. C est ce dont les pauvres de la planète ont besoin et c est ce que les Canadiens nous demandent.» 2
3 Le simple fait qu un tiers des morts du tuberculose est en personnes aux prises avec le VIH montre à quel point c est devenu crucial de lutter contre la co-infection tuberculose-vih dans toute stratégie visant à accroître l aide et assurera que l on sauvera un plus grand nombre de vies lorsque l on adoptera des approches axées sur la collaboration. De plus, les millions de dollars investis pour lutter contre le VIH sont gaspillés si les patients suivent un traitement contre le VIH/SIDA (ARV) et qu ils meurent en bout de ligne uniquement parce qu il y a un manque de médicaments contre la tuberculose à 20 dollars! L absence de lien continue entre les politiques et les programmes de lutte contre la tuberculose et le VIH est inefficace, improductive et dans l erreur d un point de vue financier. L ACDI estime qu au cours de la période de cinq ans allant de l exercice à l exercice , elle a dépensé plus de 220 millions de dollars sur des initiatives portant expressément sur la tuberculose (excluant l engagement de 100 millions de dollars sur cinq ans envers le Fonds pour l extension des services de lutte antituberculeuse). Au cours de la même période, l ACDI estime qu elle a dépensé 840 millions de dollars sur des efforts contre le VIH/SIDA. Ces dépenses se chiffrent à plus d un milliard de dollars en investissements. Une recherche du Projet ACTION n a toutefois permis de trouver que six projets courants (totalisant environ 44 millions de dollars soit environ 4 p. 100 de la somme totale) qui luttent contre le VIH/SIDA et la tuberculose. En général, le but des six projets courants consiste à soutenir et à renforcer les services et les institutions de santé et d éducation des pays partenaires. Chacun de ces six projets cherche à régler plusieurs questions d ordre général, à savoir l hygiène, le renforcement de la capacité, les maladies infectieuses, le perfectionnement du personnel, les soins de santé de base, la lutte contre les MTS, etc., ce qui veut dire que seule une petite portion de tout près de 44 millions de dollars est dépensée expressément en vue de lutter contre le VIH/SIDA et la tuberculose. La plupart de ces projets cherchent simplement à lutter contre le VIH/SIDA et la tuberculose; généralement parlant, ils ne visent ou n adoptent pas une approche axée sur la collaboration pour lutter contre les deux maladies. Une exception importante et exemple de pratique exemplaire est le soutien de l ACDI du Programme national de lutte contre la tuberculose en Afghanistan. La prestation de ce programme est assurée par l entremise de l OMS, qui veille à ce que des approches en matière de lutte contre la co-infection tuberculose-vih axées sur la collaboration soient incorporées dans tous les projets soutenus par l OMS visant des régions dans lesquelles le fardeau causé par les deux maladies est très lourd. Notre recherche n a permis de trouver qu un seul projet parmi tous ceux qui ont été entrepris depuis un certain nombre d années qui a incorporé une approche axée sur la collaboration : un volet de sensibilisation au VIH/SIDA incorporé à un programme de détection et de lutte contre la tuberculose. Même si c est une bonne chose que l on ait adopté une approche axée sur la collaboration dans ce cas particulier, cette activité à elle seule est loin d être suffisante pour avoir un effet concret démontrable sur la co-infection. C est difficile de commenter longuement sur les politiques, les programmes et les indicateurs particuliers de l ACDI concernant les activités visant à lutter contre la co-infection tuberculose-vih axées sur la collaboration parce qu il n existe aucune politique cohésive et officielle et qu on semble hésiter à mettre en œuvre les exigences liées à l adoption de programmes axés sur la collaboration. En réponse à l information demandée sur ce sujet, l ACDI a souligné quelques excellentes initiatives, mais a reconnu qu étant donné que le Comité d aide au développement de l Organisation de coopération et de développement économiques (CAD de l OCDE) n exige aucun dépistage de la co-infection tuberculose-vih, elle ne fait aucun suivi à ce niveau. L ACDI a également indiqué que selon son interprétation des obligations du Canada en vertu de la Déclaration de Paris, aller de l avant avec des approches sectorielles en matière de santé plutôt que de mettre en œuvre des projets ciblés et discrets signifie que le Canada n oblige pas les pays à mettre en œuvre des initiatives particulières. Il ne s agit pas là des mesures audacieuses qui contribueront de façon importante à réduire le nombre de décès attribuables à la co-infection tuberculose-vih de 50 p Des mesures audacieuses exigent que des pays comme le Canada mettent en œuvre des politiques concrètes sur la co-infection tuberculose-vih, engagent des ressources en vue de la tenue d activités axées sur la collaboration et surveillent et évaluent leurs résultats. L absence de lien continue entre les politiques et les programmes de lutte contre la tuberculose et le VIH est inefficace, improductive et dans l erreur d un point de vue financier. C est difficile de commenter longuement sur les politiques, les programmes et les indicateurs particuliers de l ACDI concernant les activités visant à lutter contre la coinfection tuberculose-vih axées sur la collaboration parce qu il n existe aucune politique cohésive et officielle et qu on semble hésiter à mettre en œuvre les exigences liées à l adoption de programmes axés sur la collaboration. 3
4 Vivre avec le VIH, mourir de la tuberculose Recommandations : L ACDI devrait adopter une approche axée sur la collaboration pour lutter contre la tuberculose et le VIH en : :. Engageant explicitement des ressources de l ACDI dans le but de lutter contre les problèmes liés à la co-infection dans le cadre de son programme plus général d accroissement de l aide; :. Prenant les dispositions nécessaires pour atteindre l objectif du Forum des dirigeants mondiaux qui consiste à assurer l accès universel aux services liés à la co-infection tuberculose-vih d ici 2015; :. Accélérant la création de politiques et de programmes visant à lutter contre la coinfection tuberculose et VIH/SIDA clairs, ambitieux et axés sur la collaboration au sein de la communauté plus générale de la santé internationale particulièrement à la Banque mondiale et au Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme en vue de veiller à ce que toutes les personnes aux prises avec VIH/SIDA soient soumises à un test de dépistage de la tuberculose et que l on donne à tous les patients atteints de tuberculose et à tous ceux que l on présume atteints de tuberculose de la consultation et des examens concernant le VIH, suivis par l accès à un traitement adéquat. En 2008, le conseil d administration du Fonds mondial a adopté un point de prise de décision à l effet que s il était mis en œuvre de façon efficace, il pourrait donner lieu à une intégration considérablement améliorée de la lutte contre la co-infection tuberculose- VIH dans les propositions qui seront présentées dans les rondes de financement ultérieures. Tirer profit des sommes destinées à l aide internationale versées par le Canada pour lutter contre la co-infection tuberculose-vih : Implantation du changement dans les institutions multilatérales Le Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme Le Fonds mondial a été mis sur pied en 2001 afin de mobiliser de nouvelles ressources en vue de lutter contre le VIH/SIDA, la tuberculose et le paludisme dans les régions qui ont le plus besoin d aide. Financé au moyen de contributions volontaires de pays donateurs, de fondations et du secteur privé, le Fonds mondial est un organisme de financement seulement, qui octroie des fonds en réponse aux propositions rigoureuses d un point de vue technique présentées par les intervenants dans les pays à faible et moyen revenu. Le Canada s est engagé à verser tout près d un milliard de dollars (980 millions de dollars) en contributions au Fonds mondial. Le Fonds mondial est une source essentielle de financement de la lutte contre le VIH/SIDA et la tuberculose : dans le cas de la tuberculose, il représente près de 70 p. 100 de l ensemble du financement octroyé en vue de lutter contre la tuberculose. Veiller à ce que cette importante source mondiale de financement de la lutte contre les deux maladies favorise activement la collaboration dans la lutte contre la co-infection tuberculose-vih sur le terrain au moyen de politiques intégrées et de cadres de surveillance et d évaluation est un élément crucial pour atteindre l objectif mondial de réduction du nombre de décès attribuables à la co-infection tuberculose-vih de 50 p Le Fonds mondial a pris quelques mesures positives concernant le financement des activités liées à la lutte contre la co-infection tuberculose-vih, mais il faudrait qu on l incite à aller plus loin. La recherche effectuée dans le cadre du Projet ACTION indique qu avant la neuvième ronde de financement du Fonds mondial, la seule directive qui recommandait l intégration de la co-infection tuberculose-vih dans les programmes de subventions du Fonds mondial en vue de la lutte contre la tuberculose et le VIH/SIDA a été ajoutée comme note de bas de page sur la demande de subvention, donnant ainsi lieu à une attention limitée portée à la co-infection tuberculose-vih dans les propositions visant à obtenir une subvention. Durant la dernière ronde de propositions, la Ronde 9, le Fonds mondial a effectivement ajouté une fiche signalétique sur la co-infection tuberculose-vih comportant une justification de la lutte contre celle-ci et a recommandé des interventions fondées sur les lignes directrices de l OMS. Une fiche signalétique et une note de bas de page ne sont toutefois tout simplement pas suffisantes pour sauver des vies. Le Fonds mondial doit modifier son processus de demande de façon à promouvoir un plus grand apport de ressources pour lutter contre la co-infection tuberculose-vih tout en veillant à ce que les programmes répondent aux normes internationales entourant les soins liés à la co-infection tuberculose-vih et suivre adéquatement la mise en œuvre et les résultats des activités liées à la lutte contre la co-infection tuberculose-vih. En 2008, le conseil d administration du Fonds mondial a adopté un point de prise de décision à l effet que s il était mis en œuvre de façon efficace, il pourrait donner lieu à une intégration considérablement améliorée de la lutte contre la co-infection tuberculose-vih dans les propositions qui seront présentées dans les rondes de financement ultérieures. Le Fonds mondial a été créé à partir du Communiqué du G8 de 2000 qui lançait un appel à l action contre les maladies infectieuses. Malgré des préoccupations à l effet qu il n avait pas réalisé des progrès suffisants en vue de la tenue d activités de lutte contre la co-infection tuberculose-vih axées sur la collaboration, le Fonds mondial a 4
5 fait les premiers pas sur lesquels il pourra s appuyer ultérieurement. À titre de pays donateur principal et hôte de la réunion 2010 du G8, le Canada peut afficher un leadership continu en demandant au Fonds mondial de s appuyer sur les mesures prises à venir jusqu ici et d accroître son soutien en vue de la tenue d activités plus importantes de lutte contre la co-infection tuberculose-vih axées sur la collaboration. Le monde entier atteindra l objectif visant à réduire le nombre de décès attribuables à la co-infection tuberculose-vih de 50 p. 100 beaucoup plus rapidement si le mécanisme multilatéral de lutte contre ces maladies le plus efficace au monde montre la voie à suivre. Recommandations : :. Le Canada devrait doubler son engagement vis-à-vis le Fonds mondial durant la prochaine campagne de reconstitution puisque le Fonds est la plus importante source externe de lutte contre la tuberculose et, en s appuyant sur les politiques portant sur la co-infection tuberculose- VIH déjà en place, le Fonds mondial peut avoir des répercussions directes et immédiates sur la capacité à sauver des vies grâce à des activités de lutte contre la co-infection tuberculose-vih axées sur la collaboration; :. Le Canada devrait veiller activement à ce que le Fonds mondial améliore son apport en matière d activités de lutte contre la co-infection tuberculose-vih axées sur la collaboration en : - Exigeant que dans les pays aux prises avec des fardeaux variant de moyens à lourds causés par la tuberculose et le VIH/SIDA, toutes les propositions de lutte contre la tuberculose ou le VIH/SIDA comportent des volets robustes, détaillés et chiffrés en termes de coûts qui se complètent mutuellement; - Poussant pour que des directives claires relativement à la façon de rendre le point de prise de décision du conseil d administration de novembre 2008 sur la co-infection tuberculose- VIH opérationnel et incorporer ces directives dans les lignes directrices concernant les propositions de toutes les rondes de financement ultérieures; - Modifiant le formulaire de proposition de subventions de façon à obliger les pays à articuler un plan (ou justifier l omission de celui-ci) visant à augmenter l échelle du dépistage universel de la tuberculose chez les personnes aux prises avec le VIH/SIDA, des examens volontaires de dépistage du VIH et de la consultation auprès de tous les patients atteints de tuberculose et d un suivi complet de la prévention et des traitements au besoin. 5
6 Vivre avec le VIH, mourir de la tuberculose Banque mondiale Le Canada verse environ 10 p. 100 de son budget annuel d ADP en contribution à la Banque mondiale. En décembre 2007, le Canada a annoncé l octroi sans précédent de 1,3 milliards de dollars visant à soutenir l Association internationale de développement (IDA) du Groupe de la Banque mondiale au cours des trois prochaines années (c.-à-d. des exercices à ). Bien que certains progrès aient été réalisés, notre recherche indique que le travail de la Banque en vue de lutter contre la co-infection tuberculose- VIH reste incohérent et insuffisant. Résultats Canada et les partenaires du Projet ACTION surveillent depuis plusieurs années le travail de la Banque mondiale concernant la lutte contre la tuberculose et la co-infection tuberculose-vih, soit depuis la publication en 2006 du rapport intitulé «Supportant la NÉGLIGENCE - la réponse insatisfaisante de la banque mondiale à l urgence du TB de l Afrique» (sic). Par conséquent, les partenaires du Projet ACTION ont été consultés durant le processus de création du rapport intitulé The World Bank s Commitment to HIV/ AIDS in Africa: Our Agenda for Action, (L engagement de la Banque mondiale vis-à-vis le VIH/SIDA en Afrique : Notre programme d action, ), dans lequel la Banque reconnaissait la nécessité de coordonner l intervention face au VIH/SIDA avec les interventions face à d autres maladies, «particulièrement la tuberculose», et insistait sur l intégration du VIH/SIDA dans les efforts de lutte contre la tuberculose. Bien que certains progrès aient été réalisés, notre recherche indique que le travail de la Banque en vue de lutter contre la co-infection tuberculose-vih reste incohérent et insuffisant. Au moyen d une analyse des documents disponibles au public en mars 2009, le Partenariat du Projet ACTION a constaté que les efforts du Programme international de lutte contre le SIDA (PILCS) en Afrique visant à lutter contre la co-infection tuberculose-vih étaient irréguliers et étaient mal suivis et que le programme n était doté d aucune stratégie détaillée et d aucun cadre de surveillance et d évaluation en ce qui a trait aux activités axées sur la lutte contre la co-infection tuberculose-vih du programme. De plus, on a constaté que même si certaines activités liées à la lutte contre la co-infection tuberculose-vih étaient admissibles à du financement en vertu du PILCS, il est impossible de déterminer, à partir des documents publics, quelle quantité de financement a été fournie, le cas échéant, pour appuyer les programmes de lutte contre la co-infection tuberculose-vih. Enfin, on a également constaté que les projets liés au PILCS n ont fait l objet d aucun suivi du nombre de personnes aux prises avec le VIH/SIDA soumises à un test de dépistage de la tuberculose ou ayant reçu des services de suivi adéquats. Même si le PILCS a été aboli depuis, c est crucial que toute initiative visant à remplacer le PILCS comporte des ressources explicites et les lignes directrices des politiques connexes entourant les activités de lutte contre la co-infection tuberculose-vih axées sur la collaboration. Recommandations : Le gouverneur du Canada à la Banque mondiale, c.-à-d. le ministre des Finances, devrait chercher activement à veiller à ce que la Banque mondiale incorpore des activités de lutte contre la co-infection tuberculose-vih axées sur la collaboration en : :. Demandant à la Banque de le rassurer en confirmant qu elle élabore bel et bien une stratégie détaillée visant à lutter contre la co-infection tuberculose-vih dans les pays qui reçoivent des subventions et des prêts; :. Demandant à la Banque de veiller à ce que des ressources explicites en vue de la tenue d activités de lutte contre la co-infection tuberculose-vih axées sur collaboration soient fournies au sein de son portefeuille de la santé et dans tout successeur éventuel du PILCS ou toute autre initiative de lutte contre le VIH/SIDA ou la tuberculose à vaste échelle ou régionale semblable; :. Veillant à ce que la Banque incorpore des indicateurs de résultat de la lutte contre la coinfection tuberculose-vih dans ses cadres de surveillance et d évaluation concernant les programmes de lutte contre la tuberculose, le VIH et la co-infection tuberculose-vih. 6
7 Conclusions Des politiques sur la lutte contre la co-infection tuberculose-vih axée sur la collaboration sont nécessaires dans tous les organismes de développement pour s assurer qu en tant qu entité mondiale, nous pouvons atteindre l objectif du Forum des dirigeants mondiaux de 2008, c.-à-d. de réduire le nombre de décès attribuables à la co-infection tuberculose-vih de moitié d ici Les effets dévastateurs et la synergie mortelle de ces deux maladies sont bien connus. Des invitations à passer à l action et des recommandations stratégiques sont en place depuis plusieurs années. Cependant, le monde a été trop lent à répondre et le résultat a été des centaines de milliers de morts inutiles. L activiste auprès des patients atteints de la co-infection tuberculose-vih Winstone Zulu est la personne qui a le mieux exprimé la question lorsqu il a mentionné que les maladies ont appris à travailler de pair dans nos corps et que par conséquent, nous devons apprendre à lutter contre ces deux maladies à la fois; on ne peut permettre à ces maladies d être plus intelligentes que nous. Des politiques sur la lutte contre la co-infection tuberculose-vih axée sur la collaboration sont nécessaires dans tous les organismes de développement pour s assurer qu en tant qu entité mondiale, nous pouvons atteindre l objectif du Forum des dirigeants mondiaux de 2008, c.-à-d. de réduire le nombre de décès attribuables à la coinfection tuberculose-vih de moitié d ici Le Canada a fait preuve de leadership important en ce qui a trait à la lutte contre la tuberculose au fil des ans et a contribué à l atteinte des objectifs d accès mondial aux ARV afin de traiter le VIH/SIDA, mais sans des politiques et lignes directrices de programme claires visant à lutter contre la co-infection tuberculose-vih, le progrès des démarches visant à réduire les ravages des deux maladies est compromis. Chaque mesure doit être prise conjointement et lutter complètement contre la co-infection partout où elle existe. Il n y a aucune excuse justifiant la poursuite d une intervention axée sur la collaboration plutôt superficielle face à la tuberculose et au VIH/SIDA. Nous devons prendre des mesures immédiates pour lutter contre la coinfection tuberculose-vih en augmentant le financement et en améliorant les politiques, les programmes et l évaluation pour s assurer d obtenir des résultats. Par l entremise de l ACDI et en exerçant son rôle de chef de file au sein de la Banque mondiale et du Fonds mondial, le Canada peut réduire le nombre de décès chez les personnes aux prises avec le VIH et contribuer à l atteinte de l objectif visant à offrir des services universels de lutte contre la co-infection tuberculose-vih. Ne plus voir de personnes aux prises avec le VIH mourir de la tuberculose tel devrait être l objectif du Canada et le Canada devrait le promouvoir sur la scène internationale. 7
8 Un mot sur la méthodologie Pour souligner la Journée mondiale de la tuberculose cette année (le 24 mars 2009), les partenaires du Projet ACTION ont diffusé un rapport critiquant la réponse des donateurs mondiaux dans la lutte contre l épidémie de tuberculose-vih. Le rapport du Projet ACTION a analysé de quelle façon et dans quelle mesure les quatre plus importants donateurs internationaux dans la lutte contre le VIH/SIDA luttent contre la co-infection tuberculose-vih au moyen de leurs politiques, leurs programmes, leur financement et leur surveillance et évaluation. En suivant la méthodologie du rapport du Projet ACTION, RÉSULTATS Canada a analysé de quelle façon et dans quelle mesure l ACDI (l Agence canadienne de développement international) lutte contre la co-infection tuberculose-vih au moyen de ses politiques, ses programmes, son financement et sa surveillance et son évaluation. La recherche sur l ACDI effectuée par Résultats Canada a été menée en utilisant les documents disponibles au public sur le site Web de l ACDI et les réponses de l ACDI aux questions portant sur leur travail dans la lutte contre la co-infection tuberculose-vih. Sources : Vivre avec le VIH/mourir de la tuberculose (rapport du Projet ACTION, mars 2009), la Banque de projets en ligne de l ACDI ( esclientlocale=frfr&appid=cpofr), le Forum des dirigeants mondiaux de la lutte contre la co-infection VIHtuberculose ( et la réponse que nous avons reçue de l ACDI à nos questions, réponses aux questions du 7 juillet 2008, reçu le 26 novembre Rédigé et préparé par : Katy Kydd Wright et Chris Dendys Remerciements : Résultats Canada tient à remercier Karine Tardif, Paul Jensen et Robbie Johnson pour leurs précieuses contributions dans la rédaction de ce rapport et la recherche nécessaire pour y parvenir. RÉSULTATS Canada est un réseau national de bénévoles. Nous sommes engagés à créer la volonté politique nécessaire à l élimination de la faim et des aspects les plus néfastes de la pauvreté au Canada et dans le monde. Nous voulons aussi démontrer qu un simple citoyen peut influencer l avenir du monde. Résultats Canada est le partenaire canadien dans le Projet ACTION. ACTION Le Projet de Promotion de la lutte contre la tuberculose au plan international (ACTION) est un partenariat international de défenseurs qui collaborent dans le but de mobiliser des ressources afin de traiter et de prévenir la propagation de la tuberculose. La prémisse sous-jacente du Projet ACTION contre la tuberculose est que des progrès plus rapides peuvent être faits dans la lutte contre l épidémie mondiale de tuberculose en créant du soutien accru destiné aux ressources visant à lutter efficacement contre la tuberculose parmi les principaux responsables de l élaboration des politiques et autres leaders d opinion dans les pays dans lesquels le fardeau causé par la tuberculose est lourd, tout comme dans les pays donateurs. Bureau de RÉSULTATS Canada : 153, rue Chapel Ottawa (Ontario) Canada K1N 1H5 N o tél. : (613) N o téléc. : (613) office@results-resultats.ca
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