Fiche complémentaire sur les Chiffres clés CC de l'arc Mosellan. 1. Consommation énergétique finale. Information préalable 1/6

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1 CC de l'arc Mosellan Information préalable Les fiches complémentaires sur les Chiffres clés 2016 ont été établies sur la base des données issues de Invent Air V2018. Les données de consommations énergétiques sont estimées à partir des données régionales disponibles et des données communales mises à disposition dans le cadre de l article 179 de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte. Ce document a été produit de façon partiellement automatisé sur la base d un traitement numérique, ceci explique le caractère stéréotypé des analyses. 1. Consommation énergétique finale En 2016, les secteurs les plus énergivores sont les secteurs Résidentiel (42%), Industrie manufacturière (26%) et Transport routier (20%). Entre 2005 et 2016, la consommation énergétique diminue de 13%. Ceci s'explique principalement par une baisse de la consommation des secteurs Industrie manufacturière(-33%) et Tertiaire (-26%) en partie compensée par une hausse de la consommation du secteur Résidentiel (+2%). En 2016, les véhicules particuliers (VP) représentent 53% de la consommation énergétique du secteur Transport routier, les véhicules utilitaires légers (VUL) 19% et les poids lourds (PL) 27%. La part des véhicules diesel dans le parc roulant est passée de 68% en 2005 à 78% en Entre 2005 et 2016, la consommation est en hausse de 17%. Cette évolution s'explique principalement par une hausse de la consommation des VP (+20,6% entre 2005 et 2016), des VUL (+27,3% entre 2005 et 2016) et des PL (+4% entre 2005 et 2016). Ces évolutions peuvent s'expliquer pour les VP par la hausse des distances parcourues (+23,5%), pour les VUL par la hausse des distances parcourues (+27,8%). L'évolution des distances parcourues pour chaque catégorie de véhicules peut dépendre de plusieurs facteurs (évolutions des infrastructures (aménagement de routes, ), de l'attractivité du territoire, des changements de comportements, etc.). L'évolution des distances parcourues en VP entre 2005 et 2016 pourrait en partie s'expliquer par l'évolution de la population (+15,4%). En 2016, l'électricité représente 33% de la consommation énergétique du secteur Résidentiel, le gaz 28%, les produits pétroliers 17% et le bois-énergie 17%. Entre 2005 et 2016, la consommation est en baisse de 4%. Dans le détail, la consommation augmente entre 2005 et 2010 (+4%), alors que la consommation par habitant est en baisse (-5%). Or l'année 2010 a été une année particulièrement froide et l'année 2005 une année avec des températures dans les normales de ces dernières années (augmentation de la rigueur climatique de +12% entre 2005 et 2010). Ainsi l'augmentation de la population et la rigueur climatique expliquent une partie de la hausse de la consommation. De plus, ceci pourrait traduire une amélioration de l'efficacité énergétique par habitant (à climat normal). Entre 2010 et 2012, la consommation diminue (-9%), ainsi que la consommation par habitant (-11%). Ceci peut en partie s'expliquer par le fait que l'année 2012 a été une année avec des températures dans les normales de ces dernières années (diminution de la rigueur climatique de -13% entre 2010 et 2012). Entre 2012 et 2016, la consommation augmente (+1%), alors que la consommation par habitant est en baisse (-1%). L'année 2016 a été une année moins chaude que les années précédentes (augmentant ainsi la rigueur climatique de 5% entre 2012 et 2016). La baisse de la consommation par habitant s'explique en partie par la hausse de la population. Entre 2005 et 2012 (deux années avec des températures similaires), la consommation par habitant a diminué de 16%. En 2016, l'électricité représente 41% de la consommation énergétique du secteur Tertiaire, le gaz naturel 4% et les produits pétroliers 37%. Entre 2005 et 2016, la consommation est en hausse de 2%. Dans le détail, la consommation augmente entre 2005 et 2010 (+36%). Ceci peut en partie s'expliquer par l'augmentation de la rigueur climatique entre 2005 et 2010 (+12%) : 2010 a été une année particulièrement froide et l'année 2005 une année avec des températures dans les normales de ces dernières années. Entre 2010 et 2012, la consommation diminue (-25%). Ceci peut en partie s'expliquer par le fait que l'année 2012 a été une année avec des températures dans les normales 1/6

2 de ces dernières années (diminution de la rigueur climatique de -13% entre 2010 et 2012). Entre 2012 et 2016, la consommation augmente (+1%). Or l'année 2016 a été une année particulièrement chaude (diminution de la rigueur climatique de 5% entre 2012 et 2016). Ceci pourrait indiquer une augmentation de la consommation à climat normal encore plus importante, qui pourrait être due à une augmentation d'activité. Entre 2005 et 2012 (deux années avec des températures similaires), la consommation énergétique a augmenté de 1%, ce qui pourrait être due à une augmentation d'activités. Zoom sur l'éclairage public : La consommation énergétique de l'éclairage public sur ce territoire est estimée à 913 MWh en 2005, 972 MWh en 2010, 950 MWh en 2012 et 961 MWh en 2016, ce qui représente 0,4% de la consommation énergétique finale du territoire en Ces données sont estimées à partir d'une consommation régionale provenant d'enedis et RTE et des populations communales. Retrouvez la note sur l'éclairage public sur le lien suivant : Note éclairage public. 2. Emissions directes de GES En 2016, les secteurs les plus émetteurs sont les secteurs Transport routier (31%), Résidentiel (27%) et Industrie manufacturière (24%). Entre 2005 et 2016, les émissions de GES diminuent de 22%. Ceci s'explique principalement par une baisse des émissions des secteurs Industrie manufacturière (-38%), Tertiaire (-42%) et Résidentiel (-20%). En 2016, les émissions de GES du secteur des Déchets sont principalement dues aux émissions de méthane des décharges compactées (93%). Entre 2005 et 2016, les émissions de GES sont en baisse de 41%, ce qui s'explique principalement par la diminution des émissions de GES dues aux décharges compactés (-41% entre 2005 et 2016). Cela peut probablement s'expliquer par la mise-en-place de systèmes de captage du méthane dans les installations de stockage des déchets. En 2016, les produits pétroliers représentent 42% des émissions de GES du secteur Résidentiel et le gaz naturel 52%. Les émissions liées au bois-énergie représentent 4% du PRG de ce secteur. Pour rappel, les émissions de CO2 liées au bois-énergie (CO2 biomasse) ne sont pas comptabilisées dans ce total par convention. Entre 2005 et 2016, les émissions de GES sont en baisse de 31%, ce qui s'explique principalement par la diminution des émissions de GES liées à la combustion de produits pétroliers et de gaz naturel. Ceci est dû à l'évolution entre ces deux années de la consommation énergétique de ces combustibles, notamment pour les besoins de chauffage. En 2016, les véhicules particuliers (VP) représentent 52% des émissions de GES (PRG 2013) du secteur Transport routier, les véhicules utilitaires légers (VUL) 18% et les poids lourds (PL) 26%. La part des véhicules diesel dans le parc roulant est passée de 68% en 2005 à 78% en Entre 2005 et 2016, les émissions de GES sont en hausse de 12%. Cette évolution s'explique principalement par une hausse des émissions des VP (+15,3% entre 2005 et 2016) et des VUL (+21,3% entre 2005 et 2016) en partie compensée par une baisse des émissions des PL (-0,5% entre 2005 et 2016). Ces évolutions peuvent s'expliquer pour les VP par l'augmentation des distances parcourues (+23,5%), pour les VUL par l'augmentation des distances parcourues (+27,8%) et pour les PL par la baisse des distances parcourues (-3,9%). L'évolution des distances parcourues pour chaque catégorie de véhicules peut dépendre de plusieurs facteurs (évolutions des infrastructures (aménagement de routes, ), de l'attractivité du territoire, des changements de comportements, etc.). L'évolution des distances parcourues en VP entre 2005 et 2016 pourrait en partie s'expliquer par l'évolution de la population (+15,4%). 3. Emissions de GES liées aux installations de production d électricité, de chaleur et de froid En 2016, les secteurs les plus émetteurs (de manière indirecte de par leurs consommations d'électricité et de 2/6

3 chaleur) sont les secteurs Résidentiel (58%), Tertiaire (22%) et Industrie manufacturière (19%). Entre 2005 et 2016, les émissions indirectes de GES diminuent de 14%. Ceci s'explique principalement par une baisse des émissions des secteurs Résidentiel (-17%) et Industrie manufacturière (-33%) en partie compensée par une hausse des émissions du secteur Tertiaire (+30%). En 2016, les émissions indirectes de GES du secteur Résidentiel sont exclusivement dues à la consommation d'électricité du secteur. Entre 2005 et 2016, ces émissions sont en baisse de 4%, ce qui s'explique principalement par une baisse du contenu carbone de l'électricité consommée (valeur moyenne nationale dépendante des usages de l'électricité) (-17% entre 2005 et 2016), en partie compensée par une hausse de la consommation d'électricité (+17% sur la même période). En 2016, les émissions indirectes de GES du secteur Tertiaire sont exclusivement dues à la consommation d'électricité du secteur. Entre 2005 et 2016, ces émissions sont en hausse de 23%, ce qui s'explique principalement par une hausse de la consommation d'électricité (+61% entre 2005 et 2016) en partie compensée par une baisse du contenu carbone de l'électricité consommée (valeur moyenne nationale dépendante des usages de l'électricité) (-23% sur la même période). En 2016, les émissions indirectes de GES du secteur Industrie sont entièrement liées à la consommation d'électricité. Entre 2005 et 2016, elles sont en baisse de 26%. Cette baisse est plus rapide que celle de la consommation électrique, ce qui s'explique par la baisse du contenu carbone de l'électricité (facteur d'émission national). 4. Emissions de PM10 En 2016, les secteurs les plus émetteurs sont les secteurs Résidentiel (69%), Agriculture (12%) et Transport routier (10%). Entre 2005 et 2016, les émissions de PM10 diminuent de 10%. Ceci s'explique principalement par une baisse des émissions des secteurs Industrie manufacturière (-63%) et Transport routier (-38%) en partie compensée par une hausse des émissions du secteur Résidentiel (+15%). En 2016, les émissions de PM10 du secteur Transport routier sont dues à 56% à l'usure des routes, des pneus et des plaquettes de freins et à 44% aux échappements des moteurs des véhicules (en détail 26% aux véhicules particuliers (VP) Diesel, 11% aux véhicules utilitaires légers (VUL) Diesel et 7% aux poids lourds (PL)). La part des véhicules diesel dans le parc roulant est passée de 68% en 2005 à 78% en Entre 2005 et 2016, les émissions de PM10 sont en baisse de 33%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions moteurs des VP (-39% entre 2005 et 2016), des VUL (-63% entre 2005 et 2016) et des PL (-77% entre 2005 et 2016). Ces évolutions peuvent s'expliquer pour les VP par la diminution des émissions par kilomètre (-59% pour les VP Diesel et -24% pour les VP Essence entre 2005 et 2016) en partie compensée par une hausse des distances parcourues (+23%), pour les VUL par la diminution des émissions par kilomètre (-72% pour les VUL Diesel et -23% pour les VUL Essence entre 2005 et 2016) en partie compensée par la hausse des distances parcourues (28%), pour les PL par la diminution des émissions par kilomètre (-76% entre 2005 et 2016) et la baisse des distances parcourues (-4%). Les émissions dues à l'usure des routes, des pneus et des plaquettes de freins sont en hausse de +21% entre 2005 et 2016, en lien avec l'évolution des kilomètres parcourus (toutes catégories de véhicules confondues). La diminution des émissions par kilomètre parcouru des différentes catégories de véhicules est principalement due au renouvellement du parc routier et à l'amélioration des performances techniques (filtres à particules par exemple). L'évolution des distances parcourues pour chaque catégorie de véhicules peut dépendre de plusieurs facteurs (évolutions des infrastructures (aménagement de routes, ), de l'attractivité du territoire, des changements de comportements, etc.). L'évolution des distances parcourues en VP entre 2005 et 2016 pourrait en partie s'expliquer par l'évolution de la population (+15%). En 2016, les émissions de PM10 du secteur Autres Transports sont dues à l'usure des freins, des pneus, des rails et des caténaires dans le transport ferroviaire à 46% et dues au transport fluvial à 44%. En 2016, les émissions de PM10 du secteur agricole sont principalement dues au travail du sol (récolte, labour...) 3/6

4 (91%), à l'élevage (3%) et aux engins agricoles et sylvicoles (6%). Entre 2005 et 2016, ces émissions sont en hausse de 1%. Cette évolution s'explique principalement par une hausse des émissions dues au travail du sol (+12% entre 2005 et 2016) en partie compensée par une baisse des émissions dues aux engins agricoles et sylvicoles (-59% entre 2005 et 2016). Les émissions de PM10 liées au travail du sol augmentent sur le territoire car les surfaces cultivées augmentent (+11% entre 2005 et 2016). La baisse des émissions liées aux engins agricoles et sylvicoles s'explique par le remplacement comme carburant du fioul domestique par du gazole non routier en Emissions de PM2.5 En 2016, les secteurs les plus émetteurs sont les secteurs Résidentiel (82%), Transport routier (9%) et Agriculture (4%). Entre 2005 et 2016, les émissions de PM2.5 diminuent de 8%. Ceci s'explique principalement par une baisse des émissions des secteurs Industrie manufacturière (-80%) et Transport routier (-45%) en partie compensée par une hausse des émissions du secteur Résidentiel (+14%). En 2016, les émissions de PM2.5 du secteur Transport routier sont dues à 41% à l'usure des routes, des pneus et des plaquettes de freins et à 59% aux échappements des moteurs des véhicules (en détail 34% aux véhicules particuliers (VP) Diesel, 15% aux véhicules utilitaires légers (VUL) Diesel et 9% aux poids lourds (PL)). La part des véhicules diesel dans le parc roulant est passée de 68% en 2005 à 78% en Entre 2005 et 2016, les émissions de PM2.5 sont en baisse de 42%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions moteurs des VP (-39% entre 2005 et 2016), des VUL (-63% entre 2005 et 2016) et des PL (-77% entre 2005 et 2016). Ces évolutions peuvent s'expliquer pour les VP par la diminution des émissions par kilomètre (-59% pour les VP Diesel et -24% pour les VP Essence entre 2005 et 2016) en partie compensée par une hausse des distances parcourues (+23%), pour les VUL par la diminution des émissions par kilomètre (-72% pour les VUL Diesel et -23% pour les VUL Essence entre 2005 et 2016) en partie compensée par la hausse des distances parcourues (28%), pour les PL par la diminution des émissions par kilomètre (-76% entre 2005 et 2016) et la baisse des distances parcourues (-4%). Les émissions dues à l'usure des routes, des pneus et des plaquettes de freins sont en hausse de +20% entre 2005 et 2016, en lien avec l'évolution des kilomètres parcourus (toutes catégories de véhicules confondues). La diminution des émissions par kilomètre parcouru des différentes catégories de véhicules est principalement due au renouvellement du parc routier et à l'amélioration des performances techniques (filtres à particules par exemple). L'évolution des distances parcourues pour chaque catégorie de véhicules peut dépendre de plusieurs facteurs (évolutions des infrastructures (aménagement de routes, ), de l'attractivité du territoire, des changements de comportements, etc.). L'évolution des distances parcourues en VP entre 2005 et 2016 pourrait en partie s'expliquer par l'évolution de la population (+15%). En 2016, les émissions de PM2.5 du secteur Industrie sont dues à des sources non liées à l'énergie (82%, par exemple les procédés des industries de la construction) et à la combustion de Produits Pétroliers (18%). Entre 2005 et 2016, les émissions sont en baisse de 41%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions dues à la combustion de Produits Pétroliers (-76% entre 2005 et 2016). La baisse entre 2005 et 2016 des émissions de PM2.5 liées à la combustion de Produits Pétroliers est plus rapide que celle de la consommation énergétique de ce combustible, ce qui indique probablement la mise-en-place de techniques de réduction des émissions (dépoussiéreurs par exemple). En 2016, les émissions de PM2.5 du secteur agricole sont principalement dues au travail du sol (récolte, labour...) (73%), à l'élevage (7%) et aux engins agricoles et sylvicoles (20%). Entre 2005 et 2016, ces émissions sont en baisse de 19%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions dues aux engins agricoles et sylvicoles (-61% entre 2005 et 2016) en partie compensée par une hausse des émissions dues au travail du sol (+12% entre 2005 et 2016). Les émissions de PM2.5 liées au travail du sol augmentent sur le territoire car les surfaces cultivées augmentent (+11% entre 2005 et 2016). La baisse des émissions liées aux engins agricoles et sylvicoles s'explique par le remplacement comme carburant du fioul domestique par du gazole non routier en Emissions de NOx 4/6

5 En 2016, les secteurs les plus émetteurs sont les secteurs Transport routier (55%), Résidentiel (17%) et Industrie manufacturière (15%). Entre 2005 et 2016, les émissions de NOx diminuent de 39%. Ceci s'explique principalement par une baisse des émissions des secteurs Transport routier (-34%), Industrie manufacturière (-64%) et Agriculture (-45%). En 2016, les véhicules particuliers (VP) représentent 44% des émissions de NOx du secteur Transport routier, les véhicules utilitaires légers (VUL) 21% et les poids lourds (PL) 35%. La part des véhicules diesel dans le parc roulant est passée de 68% en 2005 à 78% en Entre 2005 et 2016, les émissions de NOx sont en baisse de 30%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions des VP (-11% entre 2005 et 2016) et des PL (-53% entre 2005 et 2016) en partie compensée par une hausse des émissions des VUL (+10% entre 2005 et 2016). Ces évolutions peuvent s'expliquer pour les VP par la diminution des émissions par kilomètre (-13% pour les VP Diesel entre 2005 et 2016), pour les VUL par la hausse des distances parcourues (+28%), et pour les PL par la baisse des distances parcourues (-4%) et la diminution des émissions par kilomètre (-51% entre 2005 et 2016). La diminution des émissions par kilomètre parcouru des différentes catégories de véhicules est principalement due au renouvellement du parc routier et à l'amélioration des performances techniques impulsée par la mise-en-place des normes Euro. L'évolution des distances parcourues pour chaque catégorie de véhicules peut dépendre de plusieurs facteurs (évolutions des infrastructures (aménagement de routes, ), de l'attractivité du territoire, des changements de comportements, etc.). L'évolution des distances parcourues en VP entre 2005 et 2016 pourrait en partie s'expliquer par l'évolution de la population (+15%). En 2016, les émissions de NOx du secteur agricole sont dues à la combustion de produits pétroliers et biocarburants par les engins agricoles et sylvicoles (100%). Entre 2005 et 2016, ces émissions sont en baisse de 49%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions liées à la combustion de carburant par les engins agricoles et sylvicoles (-49%). Le remplacement depuis 2011 du fioul domestique par du gazole non routier et des biocarburants explique cette baisse, malgré une hausse de la consommation énergétique des engins agricoles et sylvicoles (+6%). En 2016, les émissions de NOx du secteur Industrie sont dues à la combustion de Produits Pétroliers (97%) et à la combustion de Gaz naturel (3%). Entre 2005 et 2016, les émissions sont en baisse de 65%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions dues à la combustion de Produits Pétroliers (-66% entre 2005 et 2016). La baisse entre 2005 et 2016 des émissions de NOx liées à la combustion de Produits Pétroliers est plus rapide que celle de la consommation énergétique de ce combustible, ce qui indique probablement la mise-enplace de techniques de réduction des émissions. 7. Emissions de SO2 En 2016, les secteurs les plus émetteurs sont les secteurs Résidentiel (77%), Tertiaire (17%) et Industrie manufacturière (4%). Entre 2005 et 2016, les émissions de SO2 diminuent de 70%. Ceci s'explique principalement par une baisse des émissions des secteurs Résidentiel (-59%), Industrie manufacturière (-93%) et Tertiaire (-68%). En 2016, les émissions de SO2 du secteur Résidentiel sont principalement dues aux produits pétroliers (78% du total) et au bois-énergie (20%). Entre 2005 et 2016, les émissions de SO2 sont en baisse de 73%, ce qui s'explique principalement par la diminution des émissions liées à la combustion de produits pétroliers. Celle-ci est due à la baisse de la teneur en soufre des produits pétroliers, ainsi qu'à la diminution de la consommation de ce type de combustibles (-53% entre 2005 et 2016, notamment en lien avec les besoins de chauffage). En 2016, les émissions de SO2 du secteur Tertiaire sont très majoritairement dues à la combustion de produits pétroliers (89% du total). Entre 2005 et 2016, elles sont en baisse de 67%, ce qui s'explique principalement par la diminution des émissions liées à la combustion de produits pétroliers. Celle-ci est due à la baisse de la teneur en soufre des produits pétroliers, ainsi qu'à la diminution de la consommation de ce type de combustibles (-41% entre 2005 et 2016, notamment en lien avec les besoins de chauffage). En 2016, les émissions de SO2 du secteur agricole sont principalement dues à la consommation énergétique des 5/6

6 exploitations agricoles (chauffage, eau chaude, procédés...) (41%) et à la combustion de carburant par les engins agricoles et sylvicoles (59%). Entre 2005 et 2016, ces émissions sont en baisse de 99%. Cette évolution s'explique principalement par une quasi-disparition des émissions des engins agricoles et sylvicoles (-99%). En effet, le remplacement depuis 2011 du fioul domestique par du gazole non routier et des biocarburants a permis de diminuer par 100 la teneur en soufre des carburants agricoles. 8. Emissions de COVNM En 2016, les secteurs les plus émetteurs sont les secteurs Résidentiel (63%), Industrie manufacturière (22%) et Transport routier (10%). Entre 2005 et 2016, les émissions de COVNM diminuent de 43%. Ceci s'explique principalement par une baisse des émissions des secteurs Industrie manufacturière (-73%), Transport routier (-58%) et Agriculture (-52%). En 2016, les émissions de COVNM du secteur Transport routier sont principalement dues à 55% à l'évaporation de lave-glaces et de dégivrants, à 29% aux échappements des moteurs des véhicules (en détail 19% aux véhicules particuliers (VP), 5% aux véhicules utilitaires légers (VUL) et 5% aux poids lourds (PL)) et à 7% à l'évaporation d'essence des réservoirs. Entre 2005 et 2016, les émissions de COVNM sont en baisse de 57%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions moteurs des VP (-77% entre 2005 et 2016), des VUL (-77% entre 2005 et 2016) et des PL (-78% entre 2005 et 2016), ainsi que la baisse des émissions liées à l'évaporation de carburant des réservoirs (-79% entre 2005 et 2016). Ces évolutions peuvent s'expliquer pour les VP par la diminution des émissions par kilomètre (-67% pour les VP Diesel et -76% pour les VP Essence entre 2005 et 2016) en partie compensée par une hausse des distances parcourues (+23%), pour les VUL par la diminution des émissions par kilomètre (-67% pour les VUL Diesel et -94% pour les VUL Essence entre 2005 et 2016) en partie compensée par la hausse des distances parcourues (28%), pour les PL par la diminution des émissions par kilomètre (-78% entre 2005 et 2016) et la baisse des distances parcourues (-4%). La diminution des émissions par kilomètre parcouru des différentes catégories de véhicules est principalement due au renouvellement du parc routier et à l'amélioration des performances techniques impulsée par la mise-en-place des normes Euro. De même, la diminution des émissions liées à l'évaporation de carburant des réservoirs est due au renouvellement du parc (disparition des vieux véhicules). L'évolution des distances parcourues pour chaque catégorie de véhicules peut dépendre de plusieurs facteurs (évolutions des infrastructures (aménagement de routes, ), de l'attractivité du territoire, des changements de comportements, etc.). L'évolution des distances parcourues en VP entre 2005 et 2016 pourrait en partie s'expliquer par l'évolution de la population (+15%). En 2016, les émissions de COVNM du secteur Industrie sont dues à des sources non liées à l'énergie (94%, par exemple l'utilisation de solvants et de peintures et les procédés de l'industrie agroalimentaire) et à la combustion de Produits Pétroliers (6%). Entre 2005 et 2016, les émissions sont en baisse de 53%. Cette évolution s'explique principalement par une baisse des émissions dues à des sources non liées à l'énergie (-52% entre 2005 et 2016). La diminution des émissions non liées à l'énergie peut s'expliquer par la diminution de la teneur en solvant des produits utilisés, la réduction des quantités de peinture utilisées et des baisses d'activités. 9. Emissions de NH3 En 2016, les secteurs les plus émetteurs sont les secteurs Agriculture (98,1%) et Transport routier (1,7%). Entre 2005 et 2016, les émissions de NH3 augmentent de 38%. Ceci s'explique principalement par une hausse des émissions du secteur Agriculture (+43%). En 2016, les émissions de NH3 du secteur agricole sont principalement dues à l'épandage d'engrais minéraux (37%), la gestion des déjections animales (hors pâturage) (24%) et l'épandage d'engrais organiques (25%). Entre 2005 et 2016, ces émissions sont en hausse de 8%. Cette évolution s'explique principalement par la hausse des émissions liées à l'utilisation d'engrais minéraux (+19% entre 2005 et 2016). 6/6 Powered by TCPDF (

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