Etude autour d un Gros tournois à l O annelé et Tentative de mise en correspondance avec le Gros tournois de 1303

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1 Etude autour d un Gros tournois à l O annelé et Tentative de mise en correspondance avec le Gros tournois de 1303 A M. Félicien De Saulcy qui m a donné envie de découvrir le Gros tournois de 1303 Remerciements à M. Marc Bompaire pour l ensemble des ses éclairages A lire les ouvrages de numismatique, le Gros tournois émis en 1303 par Philippe le Bel à seulement 9 deniers d aloi au lieu de 12, n a pas été retrouvé ; d aucuns doutant même qu il ait été émis malgré sa mention dans les ordonnances royales. Au regard du grand nombre de monnaies de ce règne qui nous est parvenu, et plus particulièrement de Gros tournois, déduction faite des diverses copies étrangères et imitations seigneuriales, il apparaît néanmoins étonnant qu une telle monnaie n ait pas été inventoriée. Même si sa rareté peut se révéler compréhensible eu égard à une courte période d émission et au fait que l on thésaurise généralement très peu les monnaies faibles, il est intéressant de se demander si finalement ce Gros tournois de 1303 n aurait pas déjà été examiné, mais qu il est tout simplement non référencé en tant que tel faute de connaître ses caractéristiques officielles. A ce sujet, une variété bien particulière de Gros tournois est à considérer au regard de l émission qui nous intéresse. Il possède un annelet dans le O de TVRONVS. 1- Monnaie concernée par cette étude

2 Gros Tournois (Ar, Ø th. 26 mm; pd. th. 4,21 g.) A/ PhILIPPVS REX ; Légende extérieure : BHDICTV SIT H0mЄ DHI nri D ЄI IhV XPI -Traduction : Philippe roi / Béni soit le nom de notre seigneur Jésus Christ -Description : Croix pattée. R/ TVR NVS CIVIS -Traduction : Cité de Tours -Description : Châtel tournois meublé de trois besants surmonté d'une croisette ; bordure extérieure de douze lis. -Nombre d exemplaires rencontrés : 2 -Provenance : collection privée acquisition auprès de la CGB en mars 2012 et d un collectionneur en mars Masse : 3,60 et 3,31g. -Son clair Caractéristiques de l avers : - les légendes sont écrites dans le style classique - le m de H0mЄ est oncial à l instar de la graphie apparue sous Philippe le Bel - point haut entre D et EI - le I et le h de IhV ressemble sur l un à deux I avec un triangle intermédiaire, sur l autre à un H - pas de signe séparatif entre ihv et xpi - les X de XPI et de REX ont des bras épais - pas de différent particulier Caractéristiques du revers : - le O de TVRONVS est annelé en son centre - le R est classique et consiste en un triangle - pas de différent particulier Second exemplaire rencontré.

3 2- Commentaires Distinction des Gros tournois par la lettre O : O rond ou 0 long L orsque le Gros tournois a été introduit vers 1266 comme multiple du denier simple, le O de TVRONVS était rond. C était une nouvelle monnaie, et le O n avait en conséquence aucune raison d être autrement que classique, c est-à-dire analogue à celui du denier. Lorsque Philippe le Bel s est vu dans l obligation dans les années 1290 de marquer un accroissement de valeur de la monnaie pour faire face à la montée du prix de l argent métal, une modification graphique a été adoptée sur le O en en faisant un 0 dit long. Pour autant, l aloi restait de 12/12 d. argent le roy. Seule la valeur changeait. La mutation n était que nominale. La lettre O servait désormais de point de repère sur l ensemble du territoire ; et ce quelque soit le différent utilisé localement dans les ateliers royaux. Les O ronds et 0 longs avisaient de la valeur haute ou faible selon les ordonnances en vigueur. E n 1303, le besoin de ressources extraordinaires pour la campagne destinée à réparer la défaite de Courtrai faisait abandonner tout projet de renforcement. Devant la hausse continue du prix de l argent, le manque de métal précieux pour approvisionner les ateliers, et les mutations nominales n ayant pas suffi, le pouvoir royal dut se résoudre à un affaiblissement du titre de sa monnaie. Le 22 août, toutes les monnaies du royaume furent données à bail à René et Guillaume Le Flament jusqu en 1305 où le 3 mai, des lettres patentes ont été adressées au prévôt de Paris afin de l informer de l émission prochaine de bons Gros tournois comme au temps de Saint-Louis. Lorsque la diminution de l aloi à 9 d. fut décidée, la mutation fut cette fois réelle et non plus nominale. Il était plus encore impératif de pouvoir repérer les Gros ainsi émis. Or, aucune précision n a été donnée dans l ordonnance du 22 août. Rien non plus dans les écrits de l époque qui nous sont parvenus. S elon Delombardy, l Histoire du Dauphiné rapporte que, dans les contrats de vente de l époque, on avait pris soin de stipuler si on serait payé en 0 longs ou en O ronds. Les O ronds avaient droit à des préférences. Le facteur psychologique d alors entraînait ainsi des comportements économiques parfois surprenants comme par exemple une différentiation de cours : un Gros à l O rond valant dans les échanges 16 deniers tournois (dt), tandis que les autres Gros en valait 15,5. Une prime était ainsi donnée à celui qui réglait en Gros à l O rond, considérés comme étant soit plus dignes d intérêt (on pouvait récupérer plus de monnaies courantes si on les rapportait à l atelier qui les refondait pour refrappe actualisée) ou plus sûrs. Il existait une distinction réelle entre le cours légal crié de par le roi, et celui commercial pratiqué dans les échanges. Selon De Saulcy, le fait qu en Dauphiné on ne fasse état que d une distinction entre O rond et 0 long ne prouverait qu une chose : que le Gros tournois de 1303 ne se différenciait pas de ceux à l 0 long. Cependant, une telle affirmation entraînerait une identité de traitement entre les Gros à l 0 long de 12 deniers d aloi et ceux émis à hauteur de 9. Ce qui est inconcevable en soi. Sauf à avoir un 0 long se cumulant avec une marque systématiquement commune (ce qui n a pas été trouvé), la question n est donc pas in fine de savoir si le Gros de 1303 est un Gros à l O rond ou à l 0 long. O n sait que l ordonnance de 1303 ne mentionne rien de précis. Il y fut juste demandé à ce que les fermiers frappent des Gros tournois d argent ( ) de poids accoutumé, et courant pour 26 tournois petits chacun. Il y est donc seulement fait mention de Gros tournois de masse identique toujours donc taillés à 58 pièces au

4 marc. Seuls l aloi et la valeur sont mis en exergue comme variables d ajustement par rapport aux Gros tournois frappés antérieurement. Pour rappel, le Gros de 1285 était pour l essentiel analogue au standard de Louis IX: une valeur de 12 dt pour un aloi de 12 d. ; un titre de 958 /oo soit 4,04 grammes de fin pour un poids théorique de 4,2. En 1295, sa valeur était passée à 15 dt (après 13 ⅛ en 1290) pour des références identiques. En 1303, sa valeur passa à 26 dt (21 parisis) pour un aloi de 9 d. et un titre de 718 /oo soit 3,03 grammes de fin toujours pour un même poids théorique. A noter que cet abaissement n'était nullement dissimulé et comme le précise De Saulcy «n'impliquait en aucune façon un acte digne d'être qualifié de faux monnayage. Leur cours était fixé à 26 deniers tournois, et là était l'abus véritable, puisqu'au temps de Saint Louis le Gros tournois de même taille et à 12 den. arg. le roy, soit 23/24 de fin, ne valait que 12 den. tournois». C'est donc moins la diminution du titre, que l'élévation arbitraire du cours légal de la pièce qui constitue la véritable altération de la monnaie. Une marque spécifique s imposait donc indubitablement. Il est par ailleurs utile de préciser ici que le Gros tournois de 1303 a bien existé et circulé. D aucuns en doutant. Les textes à son sujet sont nombreux et explicites à commencer par le livre de Raison de Guillaume d Ercuis. (1) Le O annelé : continuité de la distinction O rond / 0 long? N otre hypothèse est que ceux qui avaient à trier les Gros tournois royaux commençaient par regarder le O et que c est au niveau de cette lettre qu il convenait de pouvoir identifier l émission de O rond, 0 long, O annelé. Ceux qui leur paraissaient suspects étaient ensuite pesés. Avant toute analyse numismatique, il est essentiel de se remettre dans la situation d un individu de l époque. En effet, si à la fin de l année 1303 un marchand ou un particulier de Toulouse se voyait présenter pour paiement trois Gros tournois du règne de Philippe le Bel, à savoir un de 1285 frappé par exemple à Montreuil-Bonin, un de 1295 frappé à Tournai et un de 1303 frappé à Paris, il devait pouvoir les identifier au premier coup d œil qu il sache lire ou non. Ce qui évacue d emblée toutes les insertions de différents dans les légendes. Il faut aussi se mettre en tête que ce n est pas parce que par principe les monnaies précédentes étaient décriées - lorsque des nouvelles étaient adoptées - que celles-ci ne circulaient plus ou n étaient pas thésaurisées. Les distinctions entre les types devaient se comprendre et se reconnaître durablement dans le temps. De même, il est important de ne pas effectuer cette analyse en nous positionnant à rebours de l Histoire. Il faut au contraire se placer dans le sens normal de son déploiement et dans l état d esprit au moment où les faits se produisent. Ainsi, la marque du Gros de 1295 ou de celui de 1303 ne s inscrit pas dans un projet d ensemble de distinction des monnaies selon leur valeur et leur titre ; projet qui aurait été déterminé à l avance. (1) Notaire royal, aumônier du roi Philippe III de France et précepteur et familier du futur roi Philippe le Bel, il consigne dans son ouvrage des notes datées relatives à ses dépenses pour l'achat de domaines, de biens meubles, d'objets divers dont des livres. Un certain nombre de notices relatent aussi des événements de sa vie familiale, et des événements relatifs à la vie à la cour et du royaume de 1280 à 1315 date de son décès. Il donne aussi des renseignements précieux sur la circulation monétaire à cette époque. Le Livre de raison de Guillaume d'ercuis a été publié par J. Petit. L'original est conservé à la bibliothèque Sainte-Geneviève.

5 Au vu du tableau supra, le changement entre les Gros de 1285, 1295 et 1303 devait donc être absolument visible; et ce au premier coup d œil. La différence de valeur entre eux était trop importante ; qui plus est entre celui de 1295 et celui de A cet égard, il est utile de rapporter que sur l analyse d un trésor de 900 Gros tournois (comportant des monnaies remontant jusqu à Charles IV le Bel et Philippe VI de Valois), M. Bompaire constate que le thésauriseur avait éliminé les exemplaires à l 0 long sauf un, et qu aucun ne comportait de O annelé. Idem en ce qui concerne le trésor de Mirepoix. L es premiers Gros tournois se sont logiquement calqués sur la graphie des deniers courants. De même, en 1285, personne ne savait qu il allait falloir les différencier pour cause d affaiblissement de valeur et de mutation réelle. On sait aujourd hui que la marque choisie en 1290 pour identifier la baisse de valeur fut située au niveau du O par une transformation en 0 long. Peut-être à la vue des Gros de Charles 1 er et 2 d Anjou frappés à Avignon (territoire revenu au domaine royal suite à la mort sans héritier d Alphonse de Poitiers de 1271 jusqu en 1290) pour lesquels des O longs ainsi que des O ronds sont avérés. Quoiqu il en soit, cette différentiation de s est décidée sur le moment et pour des raisons qui ne nous sont pas connues. En , et sur la base de tous les Gros tournois qui nous sont aujourd hui connus, les seules marques visuelles pour opérer une différenciation de type catégorielle tout en conservant l identité de la monnaie sont les suivantes ; celles-ci pouvant être ou non cumulatives. *Pour l avers - un réaménagement du texte des légendes, mais peu parlant pour ceux qui ne savent pas lire - une insertion quelconque dans un des cantons de la croix centrale à l instar du double tournois, mais pas de cas avéré pour les Gros (hormis le Gros au lis de Philippe VI) - des insertions dans les cantons du X de REX telles que quatre points, mais ce signe n existe que pour les Gros, deniers et mailles tierces à l O rond. Les autres cas relèvent d un règne différent ayant pour titulature LVDOVICVS REX - un autre changement de graphie comme un E capital à nome, mais une étude récente a relégué cette spécificité aux Gros tournois de Philippe VI de Valois émis en une marque séparative entre IhV et XPI telle qu un annelet, une absence de marque, ou la présence d un ou de trois points superposés ; mais la répartition des Gros selon cette classification ne donne à ce jour aucun résultat concluant. *Pour le revers : - un réaménagement du texte des légendes par exemple avec des polices de caractère différentes, mais peu parlant au premier coup d œil pour ceux qui ne savent pas lire - un châtel surmonté d un lis en lieu et place d une croisette, mais plusieurs variétés avec différents sont recensées pour ce type ; ce qui est incompatible sur le plan théorique avec un bail de ferme unique - des annelets au lieu des besants dans le châtel tel que vu pour ce même Gros avec lis - une étoile dans le second V de TVRONVS au-dessus du septième lis, ou un point dans ce même V. Mais dans le premier cas, ce Gros est référencé à l émission de 1329 pour Philippe VI, et dans le second, des variétés existent selon les monnaies repérées ou relèvent d un règne différent ayant pour titulature LVDOVICVS REX - un nombre de lis différent selon l aloi à considérer - une intervention sur les lettres telles qu un τ oncial ou un T annelé pour TVRONVS, mais à l instar du Gros au châtel fleurdelisé, il existe plusieurs variétés de ces Gros avec plusieurs différents - l encadrement du premier lis de la couronne extérieure par un, deux ou quatre points - une intervention au niveau d autres lettres comme le O Histoire d étayer notre propos, rappelons nous que MM. Félicien De Saulcy et Eugène Péligot avaient fait analyser à la Monnaie de Paris en 1875 neuf Gros tournois dans la continuité de ce qu avait fait M. Delombardy au sujet d un Gros au L fleudelisé qu il croyait être de Il est ressorti que ni l exemplaire de ce dernier, ni les leurs (L tridenté et O rond, L bidenté et O rond, L ordinaire et O rond, L fleurdelisé et 0 long, L avec croissant et 0 long) n ont une composition équivalente à 718 /oo. Toutes ces monnaies ont été émises à plus de 11 deniers et 12 grains. L a pièce de monnaie n'est pas un objet anodin et elle revêt une importance particulière dans l'economie ; quelque soit le fonctionnement de cette dernière. Le particularisme de l émission de 1303 ne pouvait, en revanche, être établi sans être une solution de continuité. La marque créée pour l occasion devait être le résultat d une logique de liaison compréhensible par tout un chacun avec ce qui avait été fixé par le passé pour pouvoir être dûment identifiée et comprise.

6 Si on part du même système ayant prévalu dans le passage du Gros à l O rond à celui d après 1290, la modification fondamentale que constitue l abaissement du titre ne pouvait s opérer que sous deux formes pour permettre à chacun de se repérer ; que l on sache lire ou non. Soit on diminuait le nombre de lis du pourtour, soit on intervenait à nouveau sur le O. Si le graveur intervenait sur le nombre de lis en les diminuant à neuf au lieu de douze, cela ne pouvait qu être malheureux pour l esthétique de la pièce et donc son insertion dans le circuit économique. Il aurait fallu soit écarter les espaces entre les oves dans lesquels étaient enchâssés les fleurs, soit augmenter l espace les séparant, soit augmenter la taille des lis, accroissant la taille du cercle extérieur, créant une différence par rapport à celui de l avers et entraînant une obligation de réduire par ailleurs la taille du châtel ainsi que celle des lettres l entourant. Qui plus est, si cette solution était retenue alors que l ordonnance de 1303 n en fait pas mention, pourquoi les mailles émises avec seulement 10 lis pour s adapter à la taille de la couronne extérieure n ont pas été émises sur la base d un aloi de 10 d? Une intervention sur le nombre de fleurs de lis pour marquer la diminution de titre des Gros de 1303 ne peut donc être retenue. Si les fermiers ne sont pas intervenus à ce niveau, ils ont dû en conséquence intervenir sur le O ; à l instar de ce qui s était passé en Autres argumentaires en faveur de la correspondance entre le Gros tournois de 1303 et celui à l O annelé T entons de trouver sur nos deux exemplaires d autres indices permettant d étayer nos allégations. * le O annelé (suite) Dans l exemple développé supra, notre quidam face aux trois Gros qui lui étaient présentés pouvait donc aisément différencier les deux types de 1285 et 1290 en regardant le O du revers. L identification de celui de 1303 devait logiquement se situer au même niveau ; dans le droit fil de ce qui avait opté précédemment (tant au niveau du revers et qu à hauteur de la lettre). Dans le prolongement direct de ce qui vient d être développé, un autre détail attire notre attention. Le O annelé pourrait ne pas être sans rappeler la lettre Θ (thêta) qui en terme d unités grecques de calcul et de numérotation a une valeur de 9. Pour mémoire, A (alpha) = 1, B (beta) = 2, Γ(gamma) = 3, etc Si comme on le suppute, c est au niveau du O de TVRONVS que la mention de l émission de 1303 a dû se situer, la correspondance entre le Θ thêta et le O annelé est quelque peu troublante. Θ = 9 ~ = 9 deniers d aloi Néanmoins, pourquoi dans ce cas, le choix d un annelet et non d un point ou d un tiret comme dans le thêta grec si justement un tel rapprochement était à faire? La raison du choix de l annelet n est pas connue. Peut être pour ne pas reprendre une marque déjà utilisée telle que le O pointé, ou pour plus de visibilité. Mais, cette incertitude n est pas en mesure de remettre fondamentalement en cause notre propos. * les légendes sans différent La titulature PhILIPPVS REX et le m oncial de H0mЄ permettent légitimement d attribuer notre Gros au règne de Philippe le Bel. En outre, le reste des légendes des exemplaires étudiés est de facture classique; tant à l avers qu au revers. Elles sont par ailleurs dénuées de tout différent en dehors du O annelé et du point entre le D et le E de DEI. Aucun des différents habituels apparus à l occasion de changement de système d exploitation des ateliers en gros milliers à celui du brassage nécessitant par voie de conséquence des modalités de contrôle.

7 Aucune intervention sur la graphie n est à dénoter comme cela peut être constaté sur certains Gros tournois : T oncial, L pointé, L virgulé, L fleurdelisé etc. Aucune intervention non plus sur les autres éléments tels que le châtel surmonté d un lis au lieu d une croisette, ou une étoile au-dessus du septième lis. Cette absence de légendes autres que simples va dans le sens non seulement d une émission exceptionnelle et temporaire ; mais surtout d une émission commune à tous les ateliers assurée par un bail unique. * le point entre le D et le E de DEI Les deux exemplaires recensés montrent qu ils sortent de coins différents tant à l avers qu au revers. Or ils présentent tous deux ce point distinctif. Aussi, est-il légitime de se poser la question du pourquoi de l ajout d un point dans cette séquence? Une marque d atelier? cette considération serait erronée puisque le Gros de 1303 est frappé de la même manière dans tous les ateliers du royaume. Un point secret? l intérêt est a priori nul puisque le O est distingué d un annelet, et que cette marque du point serait alors apposée du même côté. Le point est vraisemblablement une marque secrète afin d authentifier les Gros officiels à 9 d. contre les contrefacteurs tentés d émettre des Gros à un aloi encore inférieur profitant de cet affaiblissement. Le O annelé du revers serait la marque de l émission. Le point de l avers celle des fermiers. * la rareté La rareté de notre type est constatée si on en juge par le recensement actuel de seulement deux exemplaires. Selon De Saulcy, le peuple ayant pris en aversion le fermier des monnaies Guillaume le Flament, «ces Gros de faible titre furent bien vite retirés de la circulation». En effet, même si le 30 juin 1306, des lettres patentes étaient par exemple adressées au sénéchal de Beaucaire pour lui mander de faire publier le décri des Gros tournois émis le 22 août 1303, et de ne les plus prendre que pour billon, c est dès le 1 er décembre 1303, selon Leblanc, qu une «ordonnance royale invita chacun à porter aux ateliers monétaires les monnaies courantes, afin que leur afflux permît de frapper des monnaies nouvelles, comme au temps de Monsieur Saint Loys». Néanmoins, ce mandement fait au bailli de Chaumont est non daté. De fait, il est à situer plus en juillet 1303 qu à l hiver ; ce qui apparait cohérent avec le projet de retour à la bonne monnaie du printemps précédent : ordonné et fait faire plusieurs novelles monoies, cest assavoir, mailles blanches et Parisis, et tournois[à] florins d or, grans et petiz, en l estat ou quel elles estoient au temps de saincte mémoire Mons, saint Loys. Si on le date de décembre, soit les Gros tournois à 9 d. d aloi sont apparentés en l espèce aux mailles blanches - ce qui ne se peut -, soit il est arrêté de production voir n a pas été frappé. Or des textes le mentionne. Si le mandement est de juin-juillet, le mandement se trouve alors avorté par le bail confié aux Le Flament un mois après ; bail qui mentionne pour sa part la création de notre Gros. Enfin, il est notoire qu on ne thésaurise que rarement les monnaies faibles. Seules les monnaies fortes en bon métal sont généralement mises de côté. Ce qui n est pas le cas en revanche des pièces se trouvant dans les trésors de circonstances ou les abandons. La rareté de notre pièce est donc aussi avérée dans les faits Objections éventuelles à la mise en correspondance entre le Gros tournois de 1303 et celui à l O annelé * métrologie Nos exemplaires ne pèsent que 3,60 et 3,31grammes. Cela pourrait renvoyer a priori à une imitation anonyme, ou par des instances étrangère ou seigneuriale contemporaine ou tardive. En effet, même en tenant compte d un poids de tolérance et du frais, la masse resterait encore trop faible pour un monnayage officiel royal français qui se voulait de poids accoutumé aux standards antérieurs.

8 On pourrait bien sûr arguer d une possible défectuosité pondérale ; même si les manques de poids des espèces ne devaient en pratique pas exister du fait des contrôles opérés par les maîtres des monnaies, on rappellera que le poids théorique qui sert de base à toute comparaison est en réalité une moyenne des exemplaires frappés pour chaque marc de métal œuvré. Plus concrètement et à bien y regarder, il appert que les deux pièces sont rognées. Le diamètre standard des Gros est de 26 mm. Or celui de notre premier exemplaire pesant 3,60 g. est de 24 mm. Le second est de 23,5 mm. Vu que les coins de l avers et du revers apparaissent avoir été bien centrés, et vu que non seulement le grenetis extérieur est absent mais aussi que les pointes des douze lis du pourtour du revers sont légèrement entamées, un léger rognage est à constater. A quel poids perdu correspond ce rognage? Pour le calculer, rappelons nous que la surface d un cercle est égale à son rayon mis au carré auquel on multiplie le rapport π. Surface = πr². Ce qui nous donne pour un Gros de 26 mm une aire de 531 mm². Celle de notre exemplaire n 1 (si l on tient compte du diamètre de 24 mm) est conséquemment de 460 mm². Le rognage de la couronne extérieure correspond à une perte de 13,37 % de surface et donc de matière par rapport au standard officiel. Si on augmente les 3,61 g. de notre exemplaire de cette différence, on obtient une masse de 4,17 g. Idem pour le second exemplaire qui présente un rognage plus important. La perte avoisine les 18,3 %, soit un module initial de 4,05 g. Le faible poids de ces pièces n est donc plus un obstacle à notre hypothèse. * tinte Quel son serait censé émettre une monnaie à 718 /oo de fin en comparaison d une monnaie à 958? aussi clair, semi clair, mat? Il peut être difficile de se faire une idée réelle sur ce point, et même risqué de se fonder sur ce critère pour valider ou rejeter une monnaie comme étant ou non véritable, tant certaines monnaies royales ont parfois des sonorités qui ont de quoi rendre dubitatif et faire douter de leur authenticité. Le tintement d une pièce, même à 958 /oo, peut en effet fortement varié selon la qualité du mélange des métaux entrant dans la composition de l alliage, selon que l argent s est recristallisé ou non, et selon sa régularité de forme. Il suffit pour s en convaincre de faire une comparaison avec une cloche pour laquelle une mauvaise coulée ou des fêlures peuvent mettre à mal toute son harmonie. Néanmoins au regard des Gros à la couronne et Gros au lis de Philippe VI de Valois émis à 6 deniers d aloi et qui possèdent un son clair, il convient de reconnaître que celui du Gros tournois de 1303 le serait tout autant. Une tinte différente serait assurément dû à un changement dans la structure moléculaire du métal et à une cristallisation de l alliage d argent. * cas des autres monnaies possédant un O avec une marque en son centre Nous évacuerons d emblée toutes les monnaies tardives, étrangères ou d imitations. En effet, la masse de nos exemplaires est à reconsidérer autour des 4g. dans leur facture initiale. Qui plus est, la rareté du type ne plaide pas non plus pour une frappe d envergure et donc utile. De même, les monnayages parallèles à ceux du roi de France étaient soit de faible masse, soit faisaient mention d un territoire ou d une personnalité, soit se contenter de reprendre la graphie simple des Gros de la fin du XIIIème siècle. Enfin, on pourrait se demander quelle aurait été l utilité pour l autorité émettrice de diffuser un monnayage reprenant 100% du type royal et de prendre la peine d y ajouter un annelet dans le O au lieu de ne rien mettre. Des monnaies avec la lettre O pointée : **Cas des monnaies féodales Le O pointé a été utilisé à toutes les époques et dans bien des territoires royaux, épiscopaux ou seigneuriaux. Ainsi des deniers de Viviers, d Arles, de Riom, de Provins pour n en citer que quelques uns - portent cette

9 particularité. Certains de ces monnayages sont contemporains de 1303 tels que celui de Rodez pour Henri II puis pour son héritière, la comtesse Cécile. D aucuns pourraient voir dans ce O pointé un parallèle avec le O annelé. Denier Henri II de Rodez (monnaie d Antan vso n 8 de novembre 2010) Obole de Cécile de Rodez (OGN) Si tel devait être le cas, cela reviendrait à considérer que les Gros étudiés ici seraient frauduleux. Pour Rodez, des tensions existaient. Le pouvoir royal s'ingérait un peu plus chaque jour dans l'exercice des prérogatives monétaires du comte, en conditionnant notamment toute nouvelle frappe à une autorisation préalable du souverain. De même, comme le relève Jérome Belmont, «des protestations répétées contre les impositions royales décidées pour faire face aux dépenses des guerres de Gascogne et de Flandre se succédèrent au fil des années, jusqu'à la mort du comte». Parallèlement, en Rouergue, terre où d'importants gisements argentifères étaient en exploitation, Philippe le Bel imposa en 1295 et en 1303 (comme ailleurs) l'obligation faite aux détenteurs d'argent non monnayé de le porter aux ateliers royaux les plus proches, ceux de Toulouse et de Sommières. L atelier local dut fermer entre 1295 et La perte de son indépendance monétaire et les différents politiques auraient donc pu porter le comte à avoir des velléités de frappes parallèles et à émettre des monnaies imitant le monnayage royal. Cependant, le monnayage du comté était surveillé de près par le Sénéchal du Rouergue suite à la demande du comte Henri II d intervention et d arbitrage royal à l encontre les spéculateurs et changeurs locaux. Il aurait donc été téméraire voir hasardeux de prendre un tel risque. La reprise de l'activité monétaire à Rodez n'est attestée formellement qu'à l'automne 1305 par le successeur d'henri II, à savoir sa fille Cécile. Comme le signale encore Jérome Belmont, «plusieurs considérations locales et nationales expliquent cette décision. Au plan local, la nouvelle comtesse devait entre autre assumer une succession rendue difficile par des dissensions familiales et grevée de dettes». Mais là encore, la comtesse avait plus intérêt à hâter la frappe d'une monnaie à son nom, et à affirmer ainsi son autorité, que de copier un monnayage royal au risque de s attirer les foudres du souverain capétien. L étude de la graphie des monnaies locales ne laissent pas en outre apparaitre de ressemblances avec celle des Gros au O annelé. Le Gros étudié aurait enfin pu être le résultat du travail de faux-monnayeurs. Des cas avaient à cet égard été constatés en 1299 à Beaulieu-en-Rouergue et à Fons (près de Figeac). Mais aucune mention d imitation de grosses monnaies d argent ne nous a été remontée à cette occasion. ** Cas des monnaies royales Pour ce qui concerne le monnayage royal officiel, seules deux variétés de monnaies émises sous les règnes des rois de France allant de Louis IX à Charles IV le Bel possèdent un O marqué : le denier toulousain et le Gros

10 tournois au châtel à fleur de lis. Ces O ou plutôt ces annelets pointés sont à ranger dans la catégorie des différents. A noter que les monnaies bourgeoises créées en janvier 1311 (bourgeois forts, simples et oboles bourgeoises) ne relèvent pas de cette catégorie car le point central du O est en réalité une marque de centrage et non distinctive. Au final, il ressort de ces propos que les O pointés ne peuvent être mis sur le même plan que notre O annelé, et qu ils ne peuvent être assimilés à une même logique d emploi. En dehors de ce Gros tournois qui fait l objet de la présente étude, force est de constater qu aucune autre monnaie de cette époque n est estampillée de la sorte. Ce qui accroit d autant plus sa singularité. * cas des autres monnaies émises en août 1303 Si notre Gros à l O annelé est d aout 1303, qu en est-il des autres monnaies émises pour l occasion? L'émission du Gros de bas aloi s'accompagna de celle de la chaise d'or, de même poids (taille : 34 ½ au marc) que la masse (7,094 g), mais au titre de 24 carats. «Son cours fixé à 50 s. par. ou 62 s. 6 d.t. entraîna celui de la masse à 41 s. par. ou 51 s. 3 d.t. Dans la chaise, le d.t. s'exprime par 0,0094 g d'or et, dans le Gros par 0,115 g d'argent». Son titre d or fin n a pas à donné lieu à une quelconque précision à l instar du Gros tournois. Son type à la chaise suffit pour l attribuer à l émission et donc à sa valeur. Vente Vinchon du 29 octobre 2002 Les monnaies noires furent plus maltraitées. Comme le rapportent MM Blanchet et Dieudonné, «l'émission du Gros de 9 d. de loi à 26 1/4 d. t. (21 d. p.) comportait pour les Doubles une réduction intrinsèque de 2 1/3 par rapport aux conditions de 1298, et cette réduction alla pour quelques-uns jusqu'à 3, comme le prouve l'analyse pratiquée par Gariel. On observera que les poids de fin que nous en déduisons pour ces Doubles (0 gr. 546 en 1295 ; gr. 230 en 1303 ; gr. 182 dans la trouvaille de Sierck) suivent une progression assez voisine de celle des prix du marc (61 s.,120 s., 170 s.) ; plus le roi en avait besoin, plus l'argent montait; le roi, pour se dédommager, altérait davantage sa monnaie noire, ce qui, dès que l'altération était connue, l'obligeait à élever le prix du marc en fonction de l'unité monnayée, et ainsi de suite. La situation était pire que jamais». Quant aux doubles royaux, parisis et tournois, il est fort possible qu'ils aient subi des altérations d aloi (entre les titres bien assurés de 1295 et les titres nouveaux), mais surtout des hausses très sensibles de valeur courante. Le surhaussernent du billon fut tel qu il en résulta que le nouveau double parisis valait intrinsèquement moins que l'ancien petit parisis. Néanmoins, il n est pas à ce jour possible de les distinguer clairement les uns des autres par une marque précise. CONCLUSION Notre hypothèse était que les Gros de 1303 présentaient une marque au niveau du O dans le prolongement de l évolution qui avait eu lieu à l occasion de l affaiblissement en valeur de cette monnaie une dizaine d année auparavant.

11 * l absence d analyse physico-chimique La seule et unique remise en cause recevable de cette mise en correspondance du Gros à l O annelé avec celui de l émission de 1303 est tout simplement l absence actuelle de preuve concrète de la composition de l alliage ayant servi à produire nos exemplaires. En effet, du fait du défaut de précision officielle quant à la description de la pièce dans les documents d époque qui nous sont parvenus, notre hypothèse de mise en correspondance n en restera qu à ce stade quelle que soit la foi qu on y accordera et sa vraisemblance. 9 deniers d aloi pour une taille de 58 au marc font un titre à 718,5 millièmes de fin, et seule une analyse de la composition physico-chimique tiendra lieu de réalité scientifiquement prouvée. Quand bien même un titre faible venait à être officialisé, d aucuns pourraient vouloir ranger nos exemplaires parmi les imitations tardives. Mais comme le fait remarquer M. Bompaire, il pourrait leur être objecté que l analyse de certains Gros classés comme imitation dans le trésor de Lyon les Terreaux révélait des titres de 95, 92 et 82% ; et ce pour des exemplaires aux noms de Philippe de Rouvre et Ferry de Lorraine. Grâce à l entremise de M. Bompaire, nos deux exemplaires sont actuellement inscrits à une séquence d analyse par l IRAMAT d Orléans - Centre Ernest-Babelon. Les résultats qui en découleront seront assurément déterminants pour valider ou invalider la présente étude. Lille, le 15 novembre 2015 Yannick DIEVAL

12 SOURCE DOCUMENTAIRE: -Jean LAFAURIE les monnaies des rois de France tome 1 -Louis CIANI les monnaies royales françaises -Jean DUPLESSY les monnaies françaises royales tome 1 -Arthur ENGEL et Raymond SERRURE traité de numismatique du Moyen-âge -Nicholas MAYHEW the Gros tournois -Adrien BLANCHET et Adolphe DIEUDONNE manuel de numismatique française -Jean DUPLESSY les trésors monétaires médiévaux et modernes découverts en France ( ) tome 2 -Philippe CONTAMINE, Marc BOMPAIRE, Stéphane LEBECQ et Jean-Luc SARRAZIN l économie médiévale -Benoit SANTIANO les problèmes monétaires au Moyen-âge mémoire de DEA Ordonnances royales -Adolphe VUITRY les monnaies sous Philippe le Bel et ses trois fils ( ) -Adolphe DIEUDONNE le livre de Raison de Guillaume d Ercuis -Henry COUSTANT D YANVILLE Notice sur Guillaume d'ercuis, précepteur de Philippe-Le-Bel Guillaume de NANGIS Chronique -Peter ILISCH Gros tournois d imitation frappés en Allemagne du Nord Revue numismatique 1987 tome 29 -Albert D HEANENS les mutations monétaires du XIV ème siècle et leur incidence sur les finances des abbayes bénédictines : le budget de Saint-Martin de Tournai de 1331 à 1348 Revue belge de philologie et d Histoire 1959 tome 37 -Marc BOMPAIRE les mutations monétaires de Philippe Le Bel -M. PROU, Bail des monnaies royales en 1303, dans Revue numismatique, 1897, Comptes de Guillaume d'ercuis, Revue numismatique, 1906, 62. -Félicien de SAULCY Philippe le Bel a-t-il mérité le surnom de roi faux-monnayeurs Bibliothèque de l école des Chartres 1876 Tome 37 -Jérôme BELMON La monnaie de Rodez (Ière partie) : la mort d'un monnayage seigneurial (vers ) Revue numismatique 2003

13 ANNEXE 1 : bail du 22 août 1303 Le bail exclusif attribué aux frères Le Flament mentionne un versement au roi de 8000 livres tournois (lt) jour pour l ensemble de la production à tenir à savoir monnayage tant en or qu en argent. Que représente concrètement cette somme? Le marc d argent classique avait pour caractéristique une composition de 12 deniers d aloi, un titre de 958, et pesait pour celui de Paris 244,75 g. L émission de Gros se faisait en théorie via une taille de 58 pièces au marc pesant ainsi chacune 4,22 g. Une taille de 60 Gros au marc devait vraisemblablement être pratiquée par les ateliers (4,08 g. par Gros) ; ce qui permettrait à l atelier de gagner quelques 2 pièces par marc. Pour obtenir un abaissement à 9 deniers d aloi de l alliage d argent (soit un titre de 718 ), l atelier doit ajouter au marc d argent le roi acquis 81,81 g. de cuivre. L atelier se met alors à travailler 326,56 g. d alliage. Il en sort 77 Gros en considération d une masse théorique de chaque gros 4,22 g, et 80 si cette dernière est de 4,08 g. Le Gros affaibli valant 26 deniers tournois, le marc - converti en espèces - valait à présent 2021 deniers tournois (ou 168,41 sous tournois) si on en tirait 77 ¾ Gros, ou 2077 dt. (ou 173,08 st) sur une base de 80. En août 1303, le marc d argent est admis au change sur un pied de 120 st au lieu de 104. Il en résulte de ce fait une marge de 48,41 et 53,08 st. de marge. Marge dont il faut déduire, l achat supplémentaire de cuivre pour diminuer le titre, la main d œuvre d atelier, les coûts de gravure des coins, de transports, la part du roi, avant d obtenir le bénéfice des Le Flament. Si le cours des monnaies fluctuait, les équivalences comptables restaient inchangées : ainsi 1 lt vaut 20 st ou 240 dt ; 1 st valant 12 dt lt de 1303 correspondent donc à une valeur de st ou dt. Si le Gros de 1303 a une valeur de 26 dt, il faut donc verser au roi l équivalant soit de Gros (ou 923 marcs d argent et donc 225,9 kg sur une base 80 Gros par marc). Il pouvait également être effectuer ce paiement avec chaises d or ou 18,9 kg d or fin.

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