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1 Subscribe Share Past Issues Translate RS Les nouvelles de la Centrafrique, en ce Jeudi 3 avril 2014 Voir ce courriel dans votre navigateur Facebook Tw itter DÉPÊCHES DU JOUR Jeudi, 3 avril 2014 LES GRANDS TITRES : Bangui : Le Tchad décide du retrait de ses troupes de la Misca Kaga-Bandoro: 7 personnes tuées dans un affrontement entre des éléments de la Misca et des Anti-Balaka Sam-Ouandja : 17 personnes prises en otage par la LRA Bossangoa : Environ déplacés attendent une réhabilitation de leurs maisons Bangui: Les déplacés des sites de la commune de Bimbo exposent leurs difficultés Sam-Ouandja : Psychose au sein de la population après des rumeurs d attaque d hommes armés Mbaïki : Les activités reprennent progressivement dans la ville Bangui : Des déplacés du site de l aéroport reçoivent des postes récepteurs Berberati : Reprise des activités après une altercation entre des Anti-Balaka et des éléments de la Misca

2 Bangui : Le Tchad décide du retrait de ses troupes de la Misca Bangui, 3 avril 2014 (RJDH) - Le Tchad a décidé ce jeudi 3 avril du retrait de ses troupes du sein de la Mission Internationale de Soutien à la Centrafrique (Misca). La décision a été prise en marge du sommet Union Européenne Afrique, tenue depuis hier à Bruxelles. Le contingent tchadien de la Misca a été mis en cause dans plusieurs cas d abus, dont des tueries en Centrafrique. «Face à ces accusations répétées, le Tchad, après avoir informé la présidente de la transition centrafricaine, la président de la C ommission de l Union africaine et le secrétaire général des Nations unies décide du retrait du contingent tchadien de la Misca. Les modalités pratiques de ce retrait seront arrêtées de commun accord entre le Tchad et l'union africaine», a déclaré dans un communiqué publié ce jeudi, le ministre tchadien des Affaires étrangères, Moussa Faki Mahamat. D après le diplomate tchadien, «ce retrait sera progressif ( ), en attendant, le Tchad assumera sans faille sa mission de paix dans les zones relevant de sa responsabilité». Les éléments tchadiens de la Misca ont été accusés par plusieurs C entrafricains de prendre cause et partie pour les ex rebelles de la Séléka. Le contingent a été plusieurs fois pris pour cible par les miliciens Anti-Balaka. «Les Tchadiens ont beaucoup payé. C ent dix mille ressortissants ont été rapatriés, dont les biens ont été pillés, et des centaines, voire des milliers, ont été tués. Quand vous apportez votre concours et que celui-ci est considéré comme un problème plutôt qu'une solution, la sagesse est de retirer ses troupes pour se concentrer sur le volet politique», a mentionné le ministre des Affaires étrangères du Tchad, Moussa Faki Mahamat, lors d une entrevue accordée à JeuneAfrique.com. Le Tchad participe à la Mission Internationale de Soutien à la C entrafrique avec un effectif officiel de 850 hommes. Joint par le RJDH, le chargé des communications de la Misca, Francis Che, a indiqué prendre acte de la déclaration du gouvernement tchadien et attendre les instructions de l Union Africaine. C e retrait intervient à la suite d un incident meurtrier impliquant des soldats tchadiens de la Misca survenu samedi le 29 mars au PK12. La présidente de la transition, C atherine Samba-Panza, avait annoncé plus tôt cette semaine à Paris la tenue d une enquête sur cet évènement qui avait fait 24 morts, selon le dernier bilan. Bangui : Un groupe de la société civile exige la démission du général Tumenta, commandant de la Misca

3 Bangui, 2 avril 2014 (RJDH) - Le Groupe de Travail de la Société Civile sur la Crise Centrafricaine exige la démission du général Tumenta, commandant des forces de la MISCA. Dans une déclaration rendue publique mardi le 1 er avril, le coordonnateur de cette structure, Gervais Lakosso et signataire dudit document, accuse le chef de la force internationale de l Union Africaine d avoir "ordonné la tuerie du 29 mars dernier". Dans un point de presse tenu en début de semaine à Bangui, le général Tumenta avait affirmé avoir ordonné aux Tchadiens de tirer, avant de qualifier l embuscade dont ces derniers auraient été victimes de «non-évènement». Ces propos, repris par de nombreux médias, ont vite suscité la controverse. Le général a par la suite tenu à spécifier lors d un entretien téléphonique avec le RJDH que ses propos avaient été cités hors-contexte par plusieurs médias centrafricains, et qu il offre ses condoléances aux parents des victimes. C itées hors-contexte ou non, les déclarations du général Tumenta n ont toutefois pas plu à Gervais Lakosso, coordonnateur du Groupe de Travail de la Société C ivile sur la C rise Centrafricaine. Ce dernier a indiqué en entrevue avec le RJDH qu à ses yeux, «le plus grave est la déclaration du général Tumenta, commandant des forces de la MISC A, qui a d abord justifié cette tuerie avant de dire que ce crime est un non-événement». En attendant d ouvrir le débat sur la question, le groupe qu il coordonne «exige la démission du général Tumenta et sa traduction en justice pour avoir ordonné la tuerie du 29 mars 2014.» Monsieur Lakosso mentionne dans sa déclaration que «le Groupe de Travail de la Société C ivile sur la C rise C entrafricaine ne ménagerait aucun effort à prendre ses responsabilités dans le cas où cette déclaration resterait lettre morte». Contacté à ce sujet par le RJDH, le Général Tumenta s est voulu bref : «Je n ai aucune réaction, je n ai aucune réponse à leur donner», a-t-il commenté. Samedi dernier, 24 personnes ont été tuées à Bangui lors d une fusillade impliquant des soldats du contingent tchadien de la Misca, d après un bilan officiel établi par la C roix-rouge C entrafricaine. Une trentaine d individus ont également été blessés. Les soldats de la Misca, qui étaient de retour d une mission dans le Nord du pays, ont affirmé avoir été surpris par une embuscade tendue par des Anti-Balaka au niveau de PK12. Une embuscade qui aurait été à l origine de la fusillade. Les impacts des tirs sur les parebrises des véhicules, indiquait hier le Général Tumenta, constituent pour la Misca la preuve de l attaque sur ce contingent. «Devant cette agression», avait-il poursuivi, «ordre a donc été donné aux éléments d effectuer des tirs de dissuasion devant leur permettre d ouvrir la route. Au Pk 12, des éléments français de la Sangaris ont appuyé les éléments tchadiens de la Misca pour ouvrir le passage». Le chef militaire de la Misca avait soutenu que «les tirs n étaient pas dirigés sur les populations, même s ils avaient une intensité, un volume et une durée, sinon, le résultat serait une hécatombe, surtout que le PK 12 est un lieu très fréquenté.»

4 Carnot : Des musulmans de Djomo transférés dans la ville dans l attente d un prochain départ Carnot, 2 avril 2014 (RJDH) - Les musulmans de la commune de Djomo, réfugiés à l église catholique de la localité, ont été transférés mardi le 1 er avril dans la ville de Carnot (Ouest). Ces personnes, qui bénéficient en ce moment de la protection du contingent camerounais de la Misca dans l enceinte de l église catholique de Carnot, attendent de prochaines occasions de quitter le territoire centrafricain, fuyant les exactions des miliciens Anti-Balaka. Selon l Abbé Rigobert Ndolongo, curé la paroisse de Djomo joint ce mercredi 2 avril par le RJDH, 158 personnes ont au total été transférées. Il s agit, d après le religieux, du reste des membres de la communauté musulmane qui ont fui les exactions commises par des Anti-Balaka. «Ces déplacés sont originaires des chantiers miniers des villages de Gaga, Dombourou et de la ville de Yaloké. Arrivés à C arnot, ils ont rejoint d autres musulmans déjà basés à la paroisse Saint-Antoine-de-Padoue. Ils attendent d être transférés à la frontière camerounaise», a expliqué Abbé Rigobert Ndolongo. Au moment de leur fuite en mars dernier, une soixantaine de ces personnes ont été tuées par les miliciens Anti-Balaka, au village de Guen situé à 5 Kilomètres de Djomo, d après le constat d un journaliste du RJDH qui s était rendu dans cette localité. Mbaïki : Se faisant passer pour des Anti-Balaka, des jeunes armés commettent des exactions sur la population civile Mbaïki, 2 avril 2014 (RJDH) - Des jeunes de la commune de Bolemba, située à 65 kilomètres de la ville de Mbaïki (Sud), se font passer pour des Anti-Balaka et commettent des abus sur la population civile de cette localité. Une information confirmée au RJDH par une autorité communale, qui témoigne être l une des victimes. «C était le 27 février dernier. Ces jeunes, qui disent être des Anti-Balaka, ont investi ma maison aux environs de 3h du matin. Quand je suis sorti, ils m ont fait coucher par terre et m ont entouré de 20 personnes. Ils ont exigé que je leur remette les effets de certains musulmans. Ils présumaient que j avais gardé ces biens chez moi. Je leur ai dit que je n avais aucun bagage appartenant aux membres de la communauté musulmane. Aussitôt, ils ont commencé à fouiller la maison», a expliqué Jean Gbolo, maire de la commune de Bolemba. L autorité communale a fait savoir que pour sauver sa vie et celle de sa famille, elle a été obligée de donner une somme de FCFA et deux chèvres à ces jeunes.

5 «Ces malfrats ne cessent de menacer les chefs des villages. Ils exigent à ces derniers de leur donner une chèvre ou une somme de FCFA chacun. Dans le cas contraire, la personne est battue ou soumise à d autres sanctions» a-t-il dit. C ette situation a entrainé la fuite de certains habitants de ce village et des environs. «Depuis le 28 février, j ai quitté la commune à cause des exactions commises par ces jeunes armés de fusils de fabrication artisanale. Ils se comportent en justiciers et passent de maison en maison pour prendre de force des vivres», a indiqué Paul Gougnon, un chef du village. Jean Gbolo a indiqué qu il a informé le responsable des éléments de la Misca, qui sont basés à Mbaïki, les autorités de la préfecture de la Lobaye et un responsable religieux de la situation. Mais, «rien n est réglé pour le moment et les villageois sont devenus otages de ces jeunes», a- t-il déploré. Bangui: Les déplacés des sites de la commune de Bimbo exposent leurs difficultés Bangui, 3 avril (RJDH) Les 23,756 personnes vivant dans sept sites des déplacés dans la commune de Bimbo, affirment avoir des difficultés d accès à l eau potable, aux soins de santé et des difficultés alimentaires. Ces sites continuent d accueillir des personnes, à cause de la situation sécuritaire dans la capitale. Dans les sept sites de déplacés que compte la commune de Bimbo, les besoins exprimés par leurs occupants sont pour la plupart les mêmes. «C est depuis le 5 décembre dernier que nous sommes sur le site de Mont Carmel. Nous avons reçu l assistance alimentaire de la part du Comité internationale de la Croix-Rouge (CICR). Cette structure nous apporte des vivres toutes les deux semaines. Mais le problème qui se pose est que la quantité distribuée n est pas suffisante. C ompte tenu de manque de moyens nous ne pouvons pas varier les aliments. C est vraiment un grand danger pour la santé de nos enfants, car notre alimentation n est pas équilibrée», a expliqué Olga Kouingbanda l une des déplacé du site de mont C armel. Le Père Messin Dingbedi de la communauté de Mont C armel, a relevé que les déplacés ont également de sérieux problèmes à s approvisionner en eau potable. «Nous avons pour le moment dans notre communauté plus de déplacés qui sont soutenus par certaines ONG présentes dans le pays. Mais malgré les efforts fournis par ces structures humanitaires, les déplacés éprouvent toujours des difficultés en ce qui concerne l eau potable, car la quantité d eau que nous avons est insignifiante pour un si grand nombre de personnes», a-t-il dit. Selon lui, des forages ont été construits dans chaque communauté religieuse, mais pour un effectif limité. En plus, la plupart ne fonctionneraient plus. La congrégation est donc obligée de

6 mettre à la disposition des déplacés, le peu de forages disponibles mais cela ne suffit pas. Les déplacés sont obligés d aller puiser de l eau de puits ou de sources, généralement impropre à la consommation, déplore le religieux. Difficile accès aux soins pour les déplacés Sur les sept sites de déplacés visités par RJDH dans la commune de Bimbo, la majorité d entre eux n ont pas de structures de santé. C est le cas du site de Saint Antoine de Padoue. «320 déplacés internes sont enregistrés dans notre site. Mais il n ya pas un centre de santé pouvant leur prendre en charge. En cas de maladie, ces personnes se soignent sur leurs propres frais dans les centres de santé les plus proches. Dans des cas graves, les malades sont transférés dans des grands hôpitaux de Bangui», a affirmé Guy-Blaise Tabeindonti secrétaire général du site Saint Antoine de Padoue. Les responsables des sites de la communauté des Pères C apucins et le site de la C aritas de Bimbo, ont aussi exprimé les mêmes difficultés. Mais dans certains sites comme celui de Mont Carmel, de la Communauté des Pères de Padre Pio, du Grand séminaire Saint Marc de Bimbo, des postes de santé ont été installés par l ONG Alima. La prise en charge des déplacés est gratuite. C omme l a constaté RJDH, certains déplacés dorment à-même-le sol, exposés à la piqûre des moustiques. D autres se plaignent de ne pas avoir reçu de nattes, de moustiquaires ou couvertures, ce qui risque d augmenter le taux de paludisme dans le site. Lorsqu il pleut, les quelques tentes construites grâce à l appui de l ONG Solidarité, ne résistent pas à la pluie, déplore le Père supérieur de la communauté de Padre Pio, Julien Nzapa. «Dans chaque site, nous avons des tentes construites par l ONG Solidarité pour abriter les déplacés. Mais sous des pluies, les tentes sont souvent détruites et les déplacés se retrouvent sous la pluie avec leurs effets. Et nous sommes obligés d ouvrir la porte de l Eglise pour les mettre à l abri». Pour soulager les souffrances des déplacés, la communauté religieuse et l ONG Solidarité, ont multiplié les tentes et renforcé celles qui existaient déjà. La commune de Bimbo située au sud de Bangui, compte sept importants sites de déplacés: Le Mont Carmel, le Grand Séminaire Saint Marc, la Communauté des Pères de Padré Pio, celui des Capucins, des Comboniens et la paroisse Saint Antoine de Padoue. Sam-Ouandja : Psychose au sein de la population après des rumeurs d attaque d hommes armés

7 Sam-Ouandja, 3 avril (RJDH) La population de la ville de Sam-Ouandja vit dans la peur depuis mercredi dernier, suite à des rumeurs d attaque des hommes armés, qui seraient venus du Tchad. Ces hommes qui ont investi le village de Votmata à 375 kilomètres de cette localité, se seraient déjà mis en route pour Sam-Ouandja, d après des autorités locales. D après des informations rapportées au RJDH, le meurtre de trois éleveurs et le vol des bœufs seraient à l origine de cette peur. «Les éléments de la Séléka venus de Bangui et qui se sont installés à Votmata ont tué des éleveurs venus du Tchad et se sont emparés de leur bétail. Les propriétaires des bœufs étaient venus revendiquer les troupeaux et ont exigé des explications sur la mort des trois éleveurs», a expliqué une autorité communale. La source a ajouté que lundi dernier à Tiringoulou, une petite ville frontalière avec le Tchad, «il était convenu que les éléments de l ex Séléka payent une somme de 20 million FC FA aux propriétaires des bœufs, en guise de dédommagement pour les pertes subies». Selon la source, les ex-seleka auraient refusé de payer la somme exigée, ce qui aurait poussé les propriétaires des bœufs à attaquer et occuper le village de Votmata. Ils auraient menacé de descendre aussi sur Sam-Ouandja. Des habitants de cette localité, joints par le RJDH ce jeudi matin, ont confirmé l information et ont ajouté que des ex Séléka basés dans cette ville, se sont dirigés vers les lieux où se trouvent les propriétaires des bœufs. Depuis que les ex-seleka ont quitté Bangui pour le nord-est de la C entrafrique, des affrontements réguliers sont rapportés dans la région. Mbaïki : Les activités reprennent progressivement dans la ville Mbaïki, 3 avril (RJDH) Les activités reprennent progressivement depuis plus de deux semaines dans la ville de Mbaïki (sud), après le lynchage le 1 er mars dernier du 2 ème adjoint au maire de ville, par des jeunes de cette ville. Les établissements scolaires tentent également de reprendre leurs activités. «La ville est de nouveau animée depuis ces derniers jours. L on peut constater la présence massive des commerçants sur le marché de la ville, les conducteurs des moto-taxis ont aussi repris leurs activités», a fait savoir le secrétaire général de la mairie de Mbaïki. Joint par RJDH, Paterne Sounga, un commerçant conseille aux jeunes de sa ville de ne pas démolir les maisons: «Au lieu de détruire les boutiques des musulmans comme le font certains

8 parmi nous, il serait souhaitable de les protéger, les entretenir et y vendre et plus tard les restituer aux propriétaires s ils reviennent», a-t-il relevé. Les activités scolaires ont également repris, d après le commerçant. «Les portes des écoles sont ouvertes, certains enseignants et élèves sont présents. Du côté de l administration, les agents ont ouvert les bureaux, mais ils ne peuvent pas travailler, car ils manquent de matériels didactiques. Les lieux avaient été pillés». Le secrétaire général de la mairie de Mbaïki se plaint du comportement de certains jeunes qui disent être des Anti-Balaka, et qui en profitent pour commettre des exactions sur la population. L officiel regrette que les gendarmes pourtant présents dans la ville, ne peuvent pas protéger la population parce qu ils ne sont pas armés. Les activités avaient été suspendues dans la ville de Mbaïki depuis le 1 er mars, après que des jeunes ont tué le premier adjoint au maire. La MISCA avait dû intervenir en tirant en l air. Deux personnes avaient alors perdu la vie et plusieurs autres blessées, à la suite de cet incident. Bangui : Des déplacés du site de l aéroport reçoivent des postes récepteurs Bangui 3 mars (RJDH)- Des déplacés du site de l aéroport ont reçu des postes récepteurs ce jeudi 3 mars. Un don fait par l ONG Internews en collaboration avec le bureau de coordination des affaires humanitaires (OCHA) et Première Urgence, l ONG gestionnaire du site de M Poko. C ette distribution a pour but de permettre aux déplacés des 11 zones que comptent ce site de recevoir des informations fiables au lieu de se baser sur des rumeurs. David Loquercio, de OC HA, a rappelé l importance d assurer l accès à l information chez les déplacés. «C est une forme de sécurité qui est mise à la disposition de ces personnes vulnérables», a-t-il relevé. «Ces outils mis à leur disposition, les aideront à suivre des émissions sur la cohésion sociale et la culture de la paix. L information, c est le pouvoir qu il ne faut jamais négliger», a-t-il affirmé. Jean-C laude Malabi, coordonnateur des chefs des onze zones du site de l aéroport, se dit satisfait de la donation. «Désormais, nous ne pouvons plus nous fier à des rumeurs, mais plutôt aux informations. Nous allons servir de relais entre les déplacés et le comité d écoute pour assurer la fidélité de la restitution des messages», a-t-il suggéré. De son côté Jean-C laude Yessibéré, un professeur de lycée déplacé, souligne qu un planning d auditeurs sera mis en place par les responsables des zones. C eci dans le but de permettre à tous les déplacés d être informés sur la situation du pays.

9 «L écoute de messages diffusés sur les ondes des radios permet de freiner les agitations des déplacés, qui souvent se fient aux rumeurs. C ertaines personnes veulent bien repartir chez eux, mais de fausses alertes les en empêchent souvent», a-t-il relevé. Au total douze postes récepteurs ont été distribués aux déplacés. C ette première phase sera suivie par la distribution par Internews de 1000 récepteurs radios à manivelle sur l ensemble du territoire. Berberati : Reprise des activités après une altercation entre des Anti-Balaka et des éléments de la Misca Berberati, 3 avril (RJDH) Les activités ont timidement repris aujourd hui enfin de journée dans la ville de Berberati (Sud-ouest). Elles avaient été suspendues depuis hier à la suite d une nouvelle altercation entre des Anti- Balaka et des éléments camerounais de la Misca. Selon notre source, quelques boutiques fermées à cause de l insécurité ont rouvert. Des conducteurs de taxi moto ont également repris les activités dans l après-midi de jeudi. Le bilan des affrontements de l affrontement de mercredi soir n est pas encore connu. Depuis ce matin, des personnes qui avaient quitté la zone des combats commençaient à rentrer chez elles. Selon un habitant Berberati joint aujourd hui par le RJDH, les affrontements avaient débuté au moment où des éléments de la Misca ont lancé une opération de désarmement des Anti-Balaka au quartier de Potopoto. C es derniers étaient en train de séquestrer les habitants. À propos du RJDH Commentaires et droit de réponse Le RJDH travaille avec un réseau de correspondants à travers le pays afin de fournir des informations vitales au grand public et de créer une communication bidirectionnelle entre les organisations humanitaires et la population. Le RJDH est convaincu que l'information constitue une forme d'intervention humanitaire. Le RJDH œuvre pour un véritable Etat de droit en vue de faciliter l'émergence d une société juste fondée sur les valeurs de respect des droits humains, de la démocratie et de la bonne Veuillez contacter la salle de rédaction via courriel au rjdh.car@gmail.com ou par tél au / Appui L'ONG Internews soutient financièrement et techniquement le RJDH. Internews n'est pas responsable des choix éditoriaux que le RJDH fait en termes de contenu.

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