TDAH: du comportement au fonctionnement cognitif

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "TDAH: du comportement au fonctionnement cognitif"

Transcription

1 TDAH: du comportement au fonctionnement cognitif Journée de formation continue en logopédie 27 avril 2007 Pascal Zesiger Plan Quelques problèmes Critères diagnostiques Quelques données Evolution et conséquences Déficits sous-jacents Substrat biologique Prise en charge Lien avec le langage oral et écrit 1 2 Quelques problèmes Quelques problèmes Vieux problème, vu de manière assez différente à travers le temps et les cultures «syndrome hyperkinétique», «réaction hyperkinétique», «minimal brain damage», «minimal brain dysfunction», «instabilité psychomotrice», «enfant turbulent», etc. Fait actuellement l objet d un intérêt particulier problème de société En 2006, 790 articles recensés dans PsychInfo avec ADHD dans les «index terms» = plus de 15 nouveaux articles par semaine Les images véhiculées dans la presse à large public et dans la littérature scientifique sont assez différentes P.ex. fréquence des traitements médicamenteux 3 L hyperactivité et l inattention sont des signes non spécifiques qui peuvent être observés dans de multiples contextes aux origines très différentes Déficiences mentales, lésion cérébrale, anxiété, dépression, schizophrénie, autisme, tics, épilepsie, maltraitance, contexte familial déstructurant, etc Le TDAH est souvent associé à d autres signes cliniques affectant la sphère de la personnalité, de l affectivité ainsi que celles de la communication, des apprentissages et de la motricité (co-morbidité) Facteur de confusion dans les études 4

2 Quelques problèmes Malgré cela Les signes ne sont pas en eux-mêmes pathologiques tous les enfants sont susceptibles d être inattentifs, impatients, impulsifs, (hyper)actifs problème du seuil normal-pathologique (excès) Les signes sont interprétés différemment en fonction du contexte Seuils de tolérance différents selon le milieu Consensus statement on ADHD (Barkley et al., 2002) Ne pas reconnaître cette entité «équivaut à déclarer que la terre est plate, les lois de la gravité contestables et le tableau périodique des éléments une fraude» (p. 97, notre traduction). 5 6 Les critères diagnostiques actuels (DSM-IV) Les critères diagnostiques actuels (DSM-IV) A. Présence de (1) ou (2) 1. 6 (ou plus) symptômes d inattention ayant persisté pendant plus de 6 mois à un degré inadapté 2. 6 (ou plus) symptômes d hyperactivité-impulsivité ayant persisté plus de 6 mois à un degré inadapté B. Certains de ces symptômes ayant provoqué une gêne fonctionnelle étaient présents avant 7 ans C. Gêne fonctionnelle dans 2 (ou plus) environnements différents (école, travail, maison, etc.) D. Altération cliniquement significative du fonctionnement social, scolaire ou professionnel E. Exclusion: TED, schizophrénie ou autre trouble psychotique, autre trouble mental (trouble thymique, trouble anxieux, trouble dissociatif ou trouble de la 7 personnalité) Symptômes d inattention Ne pas prêter attention aux détails, fautes d étourderie Avoir du mal à soutenir son attention au travail ou dans les jeux Ne pas sembler écouter quand on parle Ne pas se conformer aux consignes, ne pas parvenir à mener à terme les devoirs scolaires, les tâches domestiques, etc. Avoir du mal à organiser ses travaux ou activités Eviter, avoir en aversion les tâches qui nécessitent un effort mental soutenu Perdre ses objects (jouets, cahiers, outils, etc.) Se laisser facilement distraire par des stimuli externes 8 Avoir des oublis fréquents dans la vie quotidienne

3 Les critères diagnostiques actuels (DSM-IV) Les sous-types Symptômes d hyperactivité Remuer souvent (mains, pieds), se tortiller sur son siège Se lever lorsqu on est supposé rester assis Courir et grimper partout dans des situations inappropriées (impatience motrice chez ado. & adu.) Avoir du mal à se tenir tranquille dans les jeux et les loisirs Etre «sur la brèche», «monté sur ressorts» Trop parler Symptômes d impulsivité Répondre à une question pas encore entièrement posée Avoir du mal à attendre son tour Sous-type mixte: critères A1 et A2 remplis pour les 6 derniers mois (le + fréquent) Sous-type inattention prédominante: critère A1 rempli mais pas le A2 moins fréquent, mais plus sévère? Difficultés plus globales dans certaines études, avec vitesse de traitement ralentie Sous-type hyperactivité-impulsivité prédominante: critère A2 rempli mais pas le A1 assez rare, sauf dans la petite enfance; précurseur développemental du type mixte pour certains Interrompre les autres ou imposer sa présence 9 10 CIM-10 (OMS) TDAH: quelques données troubles hyperkinétiques une activité excessive et désorganisée inattention marquée et manque de persévérance dans les tâches seuls les enfants présentant le sous-type mixte tel qu il est décrit dans le DSM-IV devraient être inclus troubles hyperkinétiques (F90) incluent les perturbations de l activité et de l attention (F90.0) les troubles hyperkinétiques et trouble des conduites (F90.1) les autres troubles hyperkinétiques (F90.8) le trouble hyperkinétique sans précision (F90.9) 11 Prévalence: 3-5%, mais dépend des critères (1% avec CIM-10) S observe dans toutes les cultures et dans toutes les strates socio-économiques Trouble plus fréquent chez les garçons que chez les filles (rapport entre 3:1 et 9:1) Expressions différentes entre filles et garçons? Facteur d aggrégation familiale (1er degré) 12

4 TDAH: évolution (I) TDAH: évolution (II) Âge moyen d apparition des signes: 3 ans (mais dans la plupart des cas, ne dépassent pas 6 mois) Beaucoup de cliniciens hésitent à poser un diagnostic avant l âge de 4 ans A 3-4 ans, activité bourdonnante et non compliance A 6 ans, enfant plus obéissant mais impulsivité, incapacité à rester en place et faibles capacités d attention soutenue Emergence possible de comportements d agression et de défiance Scolarité: difficultés à suivre les exigences (terminer les travaux), perturbation de la classe, mauvaises relations avec les pairs, etc. Echec et difficultés scolaires sont très fréquents (même si TA exclus) Les signes persisent en général au cours de l adolescence (env. 20% de normalisation après la puberté) Ils se doublent de difficultés familiales et d ajustement social Il existe, dans une proportion difficile à déterminer actuellement (jusqu à 50% selon la littérature), des cas dans lesquels les symptômes persistent à l âge adulte («type résiduel») et se traduisent par impatience, agitation, faibles capacités attentionnelles et exécutives, instabilité dans les sphères professionnelles et privées Certains travaux suggèrent que ces personnes auraient plus de difficultés sur le plan social et professionnel, angoisses, troubles de l humeur, comportements d addiction, comportements à risque (conduite automobile, sexualité, etc.), TDAH: conséquences Consensus statement (Barkley et al., 2002) Différentes selon les sous-types Mauvaise intégration sociale: l individu est mal accepté, marginalisé Sentiments d autodépréciation qui peuvent mener à un effondrement dépressif ou toute autre forme de psychopathologie secondaire (trouble des conduites, trouble oppositionnel, etc.) 15 abandon de l école: 32-40% proportion d études supérieures terminées: 5-10% isolement social: 50 à 70% des individus disent ne pas ou peu avoir d amis rendement professionnel inférieur au potentiel de l individu: 70-80% probabilité accrue d implication dans des conduites anti-sociales: 40-50% utilisation de tabac ou de drogues illicites plus élevée que la moyenne (non chiffré) 16

5 Consensus statement (Barkley et al., 2002) TDAH: quel déficit sous-jacent? fréquence de grossesse à l adolescence chez les filles: 40% maladies sexuellement transmissibles: 16% implication dans des excès de vitesse et des accidents de voiture multiples dépression: 20-30% troubles de la personnalité: 18-25% 17 Littérature avec diverses sources potentielles de biais Dans les études > 15 ans, définitions du TDAH varient En général, les sous-types ne sont pas mentionnés Le QI n est pas contrôlé La variable «traitement» n est pas contrôlée Pas de groupe contrôle apparié en niveau de la composante cognitive ciblée 18 TDAH: déficit de l attention? TDAH: déficit des fonctions exécutives? Les travaux portant sur un déficit de nature attentionnelle sont relativement inconsistants Grande variabilité entre études et entre sujets N explique pas le pôle hyperactivité/impulsivité Il existe différentes formes d attention (orientée, partagée, soutenue, vigilance, etc.) qui reposent sur des circuits cérébraux différents De quelle attention s agit-il? Attention soutenue et contrôle attentionnel Les données de la littérature indiquent que les épreuves les plus sensibles au TDAH sont celles qui incluent des processus non attentionnels (exécutifs) P.ex. tests de performance continue attention soutenue 19 + inhibition Les travaux des 15 dernières années suggèrent que le TDAH est lié à un déficit des fonctions exécutives, qui incluent notamment: La formulation d objectifs, la planification, l élaboration de stratégies, la prise de décision Le maintien et la manipulation d informations en mémoire à court terme (mémoire de travail) Le contrôle attentionnel et l auto-régulation des comportements, en particulier dans des situations nouvelles, difficiles ou dangereuses La résistance aux interférences, l inhibition La correction d erreurs et la flexibilité 20

6 Le modèle de Barkley (1997) TDAH et fonctions exécutives Mém. de travail Maintien, manipulation organ. temporelle Inhibition comp. Inhib. réponse prédom., arrêt d une rép. en cours, contrôle des interférences Auto-régulation affects/motivation/éveil Internalisation du langage Contrôle moteur/fluence/syntaxe Inhiber les réponses non pert., exécuter des réponses vers le but, des séquences motrices nouv./compl., persévérance, sensibilité au feedback, ré-engagement après interruption Reconstitution Analyse/synthèse créativité 21 Déficit d inhibition: une des caractéristiques les plus robustes un déficit durable (de 3 ans à l âge adulte) semble être lié à l impulsivité motrice et non à l analyse perceptive ou au traitement des entrées tâches: go/no go, stop, Stroop, séquences de mouvements MAIS qu est-ce que l inhibition? Pas d accord sur les mécanismes sous-jacents à cette notion (Nigg, 2001) 22 TDAH et fonctions exécutives TDAH et fonctions exécutives Déficit de mémoire de travail Affecte l aspect de gestion de ressources (administrateur central), pas les systèmes esclaves Ex. jeu de pilotage d une voiture avec contrôle du niveau d essence (Kerns & Price, 2001) Les enfants avec TDAH consultent aussi souvent que les contrôles la jauge d essence Ils n utilisent pas cette information de manière adéquate, car ils tombent plus souvent en panne d essence Déficit de la gestion du temps Difficulté à évaluer et reproduire des durées (encore assez peu de travaux) 23 Auto-régulation Les facteurs motivationnels affectent clairement les performances des enfants avec ADHD dans des tâches d inhibition ou de reproduction de durées Avec haute motivation (cadeau proportionnel aux performances), les résultats des ADHD s améliorent sensiblement, contrairement à des enfants avec TCC 24

7 TDAH et fonctions exécutives TDAH et fonctions exécutives «Internalisation» du langage Pas encore de données Quelle tâche? Résolution de problème, mais c est aussi le cas pour la reconstitution Reconstitution Tâches de résolution de problèmes, planification, flexibilité, créativité Globalement, les résultats ne sont pas consistants, ni pour des tâches comme la Tour de Londres ou de Hanoi, ni pour la figure de Rey, ni pour les tâches de fluence verbale (littérale, sémantique), un peu mieux pour la fluence non verbale 25 Au total Les FE semblent être affectées chez les enfants avec TDAH (au moins un sous-ensemble) Différentiellement selon le sous-type? Pas toujours une bonne corrélation entre FE et intensité des symptômes TDAH La corrélation est parfois plus forte entre FE et troubles associés (dépression, symptomatologie autistique, etc.) Certains travaux montrent que les performances de langage constituent un meilleur prédicteur de l inattention que les FE 26 Autre perspective théorique Circuits de contrôle méso-corticaux Circuits de récompense méso-limbiques Normes et valeurs culturelles Sonuga-Barke (2002): modèle à 2 voies Déficit du contrôle inhibiteur dysrégulation comportementale et cognitive (= exécutive) modulée par l implication dans la tâche Style motivationnel aversion des délais qui émanerait de l interaction entre une altération des mécanismes de récompense et les propriétés de l environnement précoce Dysrégulation cognitive qualité Dysfonction inhibitrice quantité Dysrégulation comportementale Gradient de délai raccourci Aversion généralisée des délais (acquise) Symptômes TDAH Exigences impliquant un délai 27 Implication dans la tâche 28

8 Arguments empiriques TDAH et neuroimagerie Slonato et al, 2001: 2 tâches avec enfants avec TDAH combiné et contrôles Stop Délai: choix répété entre délai court et faible récompense ou délai plus long et forte récompense Résultats Pas de corrélation entre les 2 tâches indépendance des 2 voies TDAH < contrôles dans les 2 tâches Les 2 mesures combinées sont fortement diagnostiques puisqu elles permettent de classer correctement 90% des enfants 29 Imagerie structurale: anomalies dans différentes structures noyau caudé, globus pallidus (G), corps calleux, cervelet Imagerie fonctionnelle: hypo-fonctionnement frontal + noyau caudé + globus pallidus par rapport à des sujets contrôle dans des tâches avec inhibition; cet hypofonctionnement disparaît avec la prise de Méthylphénidate Compatible avec un retard de maturation des lobes frontaux, qui pourrait être lié à un déficit du système dopaminergique 30 TDAH: génétique TDAH: prise en charge Les études de jumeaux montrent une forte héritabilité du TDAH Monozygotes: corrélations entre.69 à.92 Dizyotes: corrélations entre.30 à.57 Des variations de deux gènes (polymorphismes) sont le plus souvent évoquées: SLC3A6 transporteur de dopamine DRD4 récepteur dopaminergique D4 Ces variations génétiques changent l'efficacité des protéines transporteuses et réceptrices de pour beaucoup, doit être plurimodale et multidisciplinaire prendre l enfant dans sa globalité, pas comme une série de sympômes à supprimer traitement médicamenteux possible si bonne indication (MPH, effet direct, efficacité à long terme non démontrée) psychothérapie individuelle ou familiale aide à la famille (soutien pédagogique) psychomotricité, ergothérapie traitements spécifiques si trouble d apprentissage associé (logopédie p.ex.) traitement «cognitif» dopamine 31 32

9 TDAH: prise en charge TDAH et troubles du langage Multimodal treatment study (Jensen et al., 2002; Owens et al., 2003) Plusieurs centaines d enfants TDAH +/- trouble des conduites (TC) +/- anxieux (anx) Traitements Psychostimulants, TC ou les 2 Résultats Si TDAH seul ou TDAH+TC, médicament et combiné sont plus efficaces Si TDAH+anx, tous les traitements sont également efficaces Si TDAH+TC+anx, combiné plus efficace traitements combinés résistent mieux dans le temps (rémissions plus longues, moindre taux de rechute) 33 Le diagnostic psychiatrique le plus fréquent chez les enfants avec troubles du langage est le TDAH (10-59%) Snowling et al. (2006): suivi d une cohorte d enfants avec TSDL de 4 à 15 ans Enfants avec TSDL-R ne présentent généralement pas de troubles «psycho-sociaux» (8%) Enfants avec TSDL-P ont une fréquence plus élevée (55%) que les contrôles de troubles Troubles attentionnels associés aux difficultés de langage expressif Troubles sociaux (phobies) associés aux difficultés réceptives et expressives Troubles attentionnels et sociaux associés à QI faible et des difficultés globales de langage 34 TDAH et troubles du langage TDAH et troubles d apprentissage du langage écrit Divers travaux ont mis en évidence un lien entre les difficultés pragmatiques et discursives présentées par les enfants TDAH et l intensité des troubles d inattention et d impulsivité (p.ex. McInnes et al., 2003; Bruce et al., 2006) Difficultés de conversation Difficultés de narration Difficultés de compréhension (explications, consignes, etc.), en particulier compréhension des inférences De nombreux travaux indiquent que l association entre troubles de la lecture et de l orthographe et le TDAH est médiatisée par l inattention (Carroll et al., 2005) 35 36

10 TDAH et troubles d apprentissage du langage écrit TDAH et troubles d apprentissage du langage écrit lecture mathématiques orthographe Toutefois, la comparaison entre enfants TDAH TDAH + dyslexie Dyslexie Contrôle Suggère l existence d un simple phénomène additif entre les 2 conditions pas de déficits sous-jacents communs en dehors d une vitesse de traitement réduite (Ghelani et al., 2004; Willcutt et al., 2005) Conclusions Les recherches actuelles sur le TDAH révèlent une image complexe mais cohérente entre Comportements Fonctions cognitives sous-jacentes Structures cérébrales et bases génétiques De nombreux travaux seront encore nécessaires pour compléter/affiner cette image La comorbidité avec les TSDL et la dyslexie reste encore relativement mystérieuse Inattention? Vitesse de traitement? Autres facteurs? 39

Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009

Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif

Plus en détail

Questionnaire pour les enseignant(e)s

Questionnaire pour les enseignant(e)s info@educatout123.fr www.educatout123.fr +31 614303399 L enfant qui bouge beaucoup! C est un fait, un enfant bouge beaucoup, il a besoin de se dépenser. Il arrive même parfois qu on n arrive plus à tenir

Plus en détail

La chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation.

La chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation. 1 La chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation. Édition d avril 2009 Thème : Le trouble déficitaire de l attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) Références : www.comportement.net

Plus en détail

Les troubles spécifiques des apprentissages

Les troubles spécifiques des apprentissages Les troubles spécifiques des apprentissages www.apedys78-meabilis.fr En collaboration avec L. Denariaz, psychologue cognitiviste Points clefs Définitions et repérage Quelle est l origine du trouble? Vers

Plus en détail

Association Suisse romande de Parents d Enfants et d adultes concernés par le trouble du Déficit d Attention / Hyperactivité

Association Suisse romande de Parents d Enfants et d adultes concernés par le trouble du Déficit d Attention / Hyperactivité accompagner Association Suisse romande de Parents d Enfants et d adultes concernés par le trouble du Déficit d Attention / Hyperactivité préface table des matières 1 / Définition P. 4 2 / Manifestations

Plus en détail

«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»

«Les jeux en ligne, quelle influence en France?» Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent

Plus en détail

TDAH et adaptations scolaires - niveau primaire et secondaire-

TDAH et adaptations scolaires - niveau primaire et secondaire- Le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est un problème neurologique qui peut entraîner des difficultés à moduler les idées (inattention), les gestes (bougeotte physique),

Plus en détail

Traumatisme crânien léger (TCL) et scolarité

Traumatisme crânien léger (TCL) et scolarité Document destiné aux enseignants, aux médecins et aux infirmières scolaires H.Touré pour l'équipe du CSI (Centre de Suivi et d Insertion pour enfant et adolescent après atteinte cérébrale acquise), M.Chevignard,

Plus en détail

SNAP-IV Instructions pour la cotation

SNAP-IV Instructions pour la cotation SNAP-IV Instructions pour la cotation La SNAP-IV est une version modifiée du questionnaire de Swanson, Nolan & Pelham (SNAP ; Swanson et al., 1983). Les items du DSM-IV (1994) du Trouble Déficitaire de

Plus en détail

Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation

Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation DIALOGUE ESPRIT / CERVEAU : CIRCULARITE CRP -OU Santé ANTAGONISME? Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation Charles Pull Directeur du «Laboratoire

Plus en détail

9.11 Les jeux de hasard et d argent

9.11 Les jeux de hasard et d argent 9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,

Plus en détail

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % 4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif

Plus en détail

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement

Plus en détail

Programme d entrainement aux processus temporels chez des enfants présentant un trouble du déficit de l attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H)

Programme d entrainement aux processus temporels chez des enfants présentant un trouble du déficit de l attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) UNIVERSITÉ PAUL SABATIER FACULTÉ DE MÉDECINE TOULOUSE RANGUEIL INSTITUT DE FORMATION EN PSYCHOMOTRICITÉ Programme d entrainement aux processus temporels chez des enfants présentant un trouble du déficit

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de

Plus en détail

TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE

TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE DOCUMENT SUPPLÉMENTAIRE 6C TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE Points clés pour les médecins à réviser avec les adolescents et adultes atteints de TDAH: Données concernant les risques: a) Des études cliniques

Plus en détail

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement

Plus en détail

Rapport final de l étape préliminaire d évaluation du programme «La bougeotte»

Rapport final de l étape préliminaire d évaluation du programme «La bougeotte» Rapport final de l étape préliminaire d évaluation du programme «La bougeotte» Revue de la littérature sur les outils d évaluation et les meilleures pratiques d intervention auprès du trouble de Déficit

Plus en détail

DIVA 2.0. Entretien diagnostique pour le TDAH. chez l adulte (DIVA) D iagnostisch I nterview V oor A DHD bij volwassenen

DIVA 2.0. Entretien diagnostique pour le TDAH. chez l adulte (DIVA) D iagnostisch I nterview V oor A DHD bij volwassenen Français DIVA 2.0 Entretien diagnostique pour le TDAH chez l adulte (DIVA) D iagnostisch I nterview V oor A DHD bij volwassenen J.J.S. Kooij, MD, PhD & M.H. Francken, MSc 2010, DIVA Foundation, Pays-Bas

Plus en détail

LA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent)

LA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent) LA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent) Colloque Européen et International THS 10, le 14 octobre 2011 Marthylle LAGADEC Marie GRALL-BRONNEC,

Plus en détail

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.

Plus en détail

Information sur le sujet. Tests-assignés

Information sur le sujet. Tests-assignés BRIEF - Sommaire Adulte Inventaire de comportements reliés aux fonctions exécutives Robert M. Roth, Ph.D., Peter K. Isquith, Ph.D., and Gerard A. Gioia, Ph.D. Adaptation et traduction française, Institut

Plus en détail

LE SYNDROME D ASPERGER ou AUTISME DE HAUT NIVEAU TROUBLES SPÉCIFIQUES DES APPRENTISSAGES

LE SYNDROME D ASPERGER ou AUTISME DE HAUT NIVEAU TROUBLES SPÉCIFIQUES DES APPRENTISSAGES TROUBLES PSYCHOPATHOLOGIQUES ET TROUBLES SPECIFIQUES DES APPRENTISSAGES TROUBLES SPÉCIFIQUES DES APPRENTISSAGES Dyslexie Dyscalculie Dr. David Da Fonseca Pédopsychiatre, Marseille david.dafonseca@ap-hm

Plus en détail

Qu est-ce que la maladie de Huntington?

Qu est-ce que la maladie de Huntington? Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée

Plus en détail

Normes de référence. Comparaison. Commande cognitive Sentiments épistémiques Incarnés dépendants de l activité

Normes de référence. Comparaison. Commande cognitive Sentiments épistémiques Incarnés dépendants de l activité Séminaire Sciences Cognitives et Education 20 Novembre 2012 Collège de France L importance de la Métacognition: Joëlle Proust Institut Jean-Nicod, Paris jproust@ehess.fr http://joelleproust.org.fr Plan

Plus en détail

Quels sont les indices observés chez les enfants présentant un trouble de traitement auditif?

Quels sont les indices observés chez les enfants présentant un trouble de traitement auditif? Le trouble de traitement auditif _TTA Entendre n est pas comprendre. Détecter les sons représente la première étape d une série de mécanismes auditifs qui sont essentiels pour la compréhension de la parole

Plus en détail

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003

Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions

Plus en détail

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,

Plus en détail

Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs

Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs 06 NOVEMBRE 2014 Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs Roger Godbout, Ph.D. Laboratoire et Clinique du sommeil, Hôpital Rivière-des-Prairies Département de psychiatrie, Université de Montréal

Plus en détail

DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps

DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS 1. Définition 2. Spécificité des adolescents Nicolas DOMBROWSKI, Agrégé EPS, 2010 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte

Plus en détail

L'ENFANT HYPERACTIF. CANEY Marianne CRETENIER Estelle DENIAUD Jérémy ESSEUL Emmanuel

L'ENFANT HYPERACTIF. CANEY Marianne CRETENIER Estelle DENIAUD Jérémy ESSEUL Emmanuel L'ENFANT HYPERACTIF CANEY Marianne CRETENIER Estelle DENIAUD Jérémy ESSEUL Emmanuel L3 SEN 2008/2009 1 Sommaire Sommaire... 2 Introduction... 3 I. La maladie... 4 1) Petit historique... 4 2) Les causes...

Plus en détail

Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire

Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire Date d envoi : Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire QUESTIONNAIRE AU TITULAIRE Ce document doit être complété par le titulaire de classe et/ou par l orthopédagogue

Plus en détail

GRAMFC. TDAH et prise en charge. Pr Patrick Berquin Service de Neurologie Pédiatrique

GRAMFC. TDAH et prise en charge. Pr Patrick Berquin Service de Neurologie Pédiatrique GRAMFC TDA/H TDA/H Inserm U1105 Groupe de Recherche sur l Analyse Multimodale de la Fonction Cérébrale TDAH et prise en charge Pr Patrick Berquin Service de Neurologie Pédiatrique Centre de Référence des

Plus en détail

Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises

Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises 1 Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises Luca Fumagalli Adjoint au chef du Service des établissements spécialisés et délégué du canton au groupe d accompagnement

Plus en détail

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à :

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à : Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette

Plus en détail

Comment aider efficacement un enfant souffrant de troubles déficitaires d attention/hyperactivité (TDA/H) en classe? DEWARD Céline

Comment aider efficacement un enfant souffrant de troubles déficitaires d attention/hyperactivité (TDA/H) en classe? DEWARD Céline DEWARD Céline Année scolaire: 2010-2011 Classe : 3 ème Normal Primaire B Travail de fin d études Comment aider efficacement un enfant souffrant de troubles déficitaires d attention/hyperactivité (TDA/H)

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire»

Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire» Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire» Par le Dr Stéphane BURLOT Plan : Les chiffres de l échec scolaire La spirale de l echec Les points d appels des difficultés scolaires Les Origines «médicales»

Plus en détail

Le TDAH, c est quoi?

Le TDAH, c est quoi? Le TDAH, c est quoi? Brochure d information pour les enfants atteints du TDAH LE TDAH, C EST QUOI? L abréviation TDAH veut dire «Trouble déficitaire de l attention avec hyperactivité». On l'appelle aussi

Plus en détail

Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral

Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral Le traumatisme cranio-cérébral léger chez les personnes âgées : impact sur les processus mnésiques et exécutifs - Mise en relation avec les habitudes de vie Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique

Plus en détail

Description des résidants dans les IHP et les MSP

Description des résidants dans les IHP et les MSP I RAPPORT NATIONAL RPM 1999 Description des résidants dans les IHP et les MSP Données d admission D après le tableau 1 A (p.1), au 30 juin 1999, les initiatives d habitation protégée comptaient 2853 résidants

Plus en détail

LE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011

LE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011 LE JEU EXCESSIF Dr Christine Davidson M.Philippe Maso Décembre 2011 Qu est-ce qu un Joueur Occasionnel? Joue pour le plaisir Accepte de perdre l argent misé. Ne retourne pas pour se refaire. Joue selon

Plus en détail

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V. Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS

Plus en détail

Le trouble oppositionnel avec. provocation ou par réaction?

Le trouble oppositionnel avec. provocation ou par réaction? Le trouble oppositionnel avec provocation ou par réaction? Emmanuelle Pelletier, M.Ps., L.Psych. Psychologue scolaire Octobre 2004 Trouble oppositionnel avec provocation ou par réaction? La personne oppositionnelle

Plus en détail

LES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11

LES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11 LES ADDICTIONS Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France Du produit à l addiction Auparavant l accent était mis sur la substance alcool/drogue qui était diabolisée

Plus en détail

Troubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble

Troubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Troubles de la vigilance au travail Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Sandrine Launois-Rollinat Patrick Lévy, Jean-Louis Pépin,

Plus en détail

Stress des soignants et Douleur de l'enfant

Stress des soignants et Douleur de l'enfant 5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d

Plus en détail

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,

Plus en détail

questions/réponses sur les DYS

questions/réponses sur les DYS D Y S L E X I E, D Y S P H A S I E, D Y S P R A X I E, Les DYS, un handicap émergeant? La Dysphasie trouble du langage oral? La Dyspraxie, trouble de la coordination du geste? La Dyslexie, trouble du langage

Plus en détail

Conduite à tenir devant un enfant ou un adolescent ayant un déficit de l'attention et/ou un problème d'agitation

Conduite à tenir devant un enfant ou un adolescent ayant un déficit de l'attention et/ou un problème d'agitation NOTE DE CADRAGE Conduite à tenir devant un enfant ou un adolescent ayant un déficit de l'attention et/ou un problème Recommandation de bonne pratique Décembre 2012 1/33 L équipe Ce document a été réalisé

Plus en détail

Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne

Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne Le Conseil fédéral Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne Rapport du Conseil fédéral en réponse aux postulats Forster-Vannini (09.3521) du 9.6.2009 et Schmid-Federer (09.3579) du 10.6.2009

Plus en détail

ANAMNÈSE - 1 - Création : Dre Josée Douaire, psychologue

ANAMNÈSE - 1 - Création : Dre Josée Douaire, psychologue ANAMNÈSE - 1 - (N.B. : le carnet de santé de votre enfant peut vous être utile pour remplir ce questionnaire) Nom de la personne qui complète ce questionnaire : Informations générales Nom de l enfant :

Plus en détail

Nouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie

Nouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement

Plus en détail

Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS

Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Intégration était le maître mot de la loi de 75, scolarisation est ce lui

Plus en détail

Mais qu est-ce qui l empêche de réussir?

Mais qu est-ce qui l empêche de réussir? Mais qu est-ce qui l empêche de réussir? Jeanne Siaud-Facchin Psychologue Clinicienne Sion 20 Novembre 2008 Motifs de consult s Je travaille pas bien à l école J ai des problèmes à l école Je suis nul

Plus en détail

Quelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents?

Quelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents? Quelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents? Questions courantes sur la cognition sociale et les capacités des personnes atteintes du SVCF Par le Dr

Plus en détail

3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce

3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce 3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce «Le 3 ème plan autisme vise à répondre à la faiblesse criante de la prise en charge de l autisme en France tout en laissant le choix aux familles

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire

Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Pourquoi traiter des devoirs et leçons avec les TDA/H? Parce que c est un des problèmes le plus souvent rencontrés avec les enfants hyperactifs

Plus en détail

Mention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité

Mention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,

Plus en détail

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke

Plus en détail

Permis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes

Permis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté

Plus en détail

Autisme Questions/Réponses

Autisme Questions/Réponses Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions

Plus en détail

Critères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique

Critères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique Critères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique Dépendance de la victime à une illusion, un fantasme Ces critères ont été élaborés par Goodman

Plus en détail

Spécial Praxies. Le nouveau TVneurones est enfin arrivé! Les métiers. NOUVEAUX JEUX de stimulation cognitive, orientés praxies.

Spécial Praxies. Le nouveau TVneurones est enfin arrivé! Les métiers. NOUVEAUX JEUX de stimulation cognitive, orientés praxies. Enfants Adolescents AdultesPersonnesÂgéesPlasticité NeuronalePathologiesMaintienCognitif MémoireAttentionLangage FonctionsExécutivesVisuoSpatial Les métiers Spécial Praxies Le nouveau est enfin arrivé!

Plus en détail

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les

Plus en détail

Trouble Déficit de l Attention / Hyperactivité et interventions thérapeutiques

Trouble Déficit de l Attention / Hyperactivité et interventions thérapeutiques Trouble Déficit de l Attention / Hyperactivité et interventions thérapeutiques Colloque 1 Sommaire OUVERTURE DE LA JOURNÉE Accueil Christine GETIN Introduction Christophe GENOLINI Aspects cliniques du

Plus en détail

Le s t r o u b l e s d u

Le s t r o u b l e s d u Le s t r o u b l e s d u spectre de l,autisme l,évaluation clinique Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des psychologues du Québec janvier 2012 L illustration de la couverture

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice

Plus en détail

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

P R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R»

P R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R» P R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R» Parler Apprendre Réfléchir Lire Ensemble pour Réussir Pascal BRESSOUX et Michel ZORMAN Laboratoire

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

Avertissement. La pagination du fichier PDF est ainsi demeurée en tous points conforme à celle de l original.

Avertissement. La pagination du fichier PDF est ainsi demeurée en tous points conforme à celle de l original. Avertissement Pour faciliter la consultation à l écran, les pages blanches du document imprimé (qui correspond à la page 4) ont été retirées de la version PDF. On ne s inquiétera donc pas de leur absence

Plus en détail

MODE D EMPLOI ET STRATÉGIES POUR L ENSEIGNANT

MODE D EMPLOI ET STRATÉGIES POUR L ENSEIGNANT MODE D EMPLOI ET STRATÉGIES POUR L ENSEIGNANT E: G A S S NTI E R P P D A S IEN É D T I L T U O C U QU IFFI A D E S E R I L T FA N E M COM Chers lecteurs, Le mode d emploi que nous vous proposons ici s

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

L approche de collaboration: une voie de contournement des facteurs entraînant les troubles graves de comportement.

L approche de collaboration: une voie de contournement des facteurs entraînant les troubles graves de comportement. L approche de collaboration: une voie de contournement des facteurs entraînant les troubles graves de comportement. Présenté par: Lyne Roberge, chef en réadaptation Rina Dupont, coordonnatrice clinique

Plus en détail

Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales

Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales Colloque régional de prévention des addictions Mardi 31 mars 2015 Clermont-Ferrand Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales Appels à communication Le Pôle de référence

Plus en détail

L ergonomie au service du développement de l enfant. Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog.

L ergonomie au service du développement de l enfant. Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog. L ergonomie au service du développement de l enfant Par Nicole Delvolvé Ergonome nicole.delvolve@orange.fr reussite-pour-tous.overblog.fr 1. La cadre théorique de la réflexion proposée 2. Quelles connaissances

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Sur la méthodologique et l organisation du travail. Difficultés d ordre méthodologique et d organisation

Sur la méthodologique et l organisation du travail. Difficultés d ordre méthodologique et d organisation PROFILS DES ELEVES Difficultés d ordre méthodologique et d organisation Les élèves commencent les exercices avant d avoir vu la leçon; ils ne savent pas utiliser efficacement les manuels. Ils ne se rendent

Plus en détail

Introduction. Pourquoice livre?... Comment utiliser ce livre?... Que contient ce manuel?... Chapitre 1

Introduction. Pourquoice livre?... Comment utiliser ce livre?... Que contient ce manuel?... Chapitre 1 " Table des matières Introduction Pourquoice livre?... Comment utiliser ce livre?... Que contient ce manuel?... 7 8 8 Chapitre 1 Connaître les bases de l'affirmation de soi et de la communication Les comportements

Plus en détail

TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)

TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point

Plus en détail

Écrire à la main ou à l ordinateur Telle est la question!

Écrire à la main ou à l ordinateur Telle est la question! Écrire à la main ou à l ordinateur Telle est la question! Les difficultés reliées à l écriture à la main sont presque toujours présentes chez les enfants ayant des difficultés de coordination. Écrire à

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique

Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,

Plus en détail

Les dys à haut potentiel : reconnaître, comprendre, expliquer. Michel Habib, Neurologue CHU Timone, Marseille

Les dys à haut potentiel : reconnaître, comprendre, expliquer. Michel Habib, Neurologue CHU Timone, Marseille Les dys à haut potentiel : reconnaître, comprendre, expliquer Michel Habib, Neurologue CHU Timone, Marseille We may usefully think of the language faculty, the number faculty, and others, as "mental organs,"

Plus en détail

L'ordinateur oblige à l'autonomie?

L'ordinateur oblige à l'autonomie? L'ordinateur oblige à l'autonomie?!!pas d'autonomie, pas de séance d'informatique...!!les logiciels interactifs permettent d alterner avec la liaison frontale professeur élèves!!mémoire PE2 : Debernardi,

Plus en détail

ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES

ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES référence pour les langues ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES Activités de production et stratégies PRODUCTION ORALE GÉNÉRALE MONOLOGUE SUIVI : décrire l'expérience MONOLOGUE SUIVI : argumenter

Plus en détail

Conseils. pour les enfants, les adolescents et les adultes atteints de TDAH

Conseils. pour les enfants, les adolescents et les adultes atteints de TDAH Conseils pour les enfants, les adolescents et les adultes atteints de TDAH Conseils pour aider votre enfant atteint de TDAH Même si le traitement par VYVANSE peut permettre de gérer les symptômes du TDAH,

Plus en détail

Neurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE

Neurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée

Plus en détail

Comportements addictifs

Comportements addictifs Comportements addictifs Les cyberdépendances Addictions comportementales, Qu est-ce que c est? L addiction, au sens général, peut se définir par une envie incontrôlable et répétée, de consommer un produit

Plus en détail

C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de

C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de connaissances, la pratique d habilités ou le développement d

Plus en détail

Différents facteurs impliqués dans l addiction

Différents facteurs impliqués dans l addiction Différents facteurs impliqués dans l addiction Facteurs génétiques Neurobiologiques Circuits, métabolisme, neuroadaptation Développement Puberté Maturation cérébrale Sexe Comportement Tempérament Personnalité

Plus en détail

Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE

Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants Premiers résultats Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Objectifs de l enqul enquête Mieux identifier la souffrance psychique

Plus en détail

CONCLUSION. Echanges I QU EST II - EXISTE-T-IL IL UN ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF JUSTE FAVORISANT LE DEVELOPPEMENT DE L ENFANT L L ADOLESCENT?

CONCLUSION. Echanges I QU EST II - EXISTE-T-IL IL UN ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF JUSTE FAVORISANT LE DEVELOPPEMENT DE L ENFANT L L ADOLESCENT? I QU EST EST-CE QUI NOUS ATTIRE VERS LES «ECRANS»? II - EXISTE-T-IL IL UN ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF JUSTE FAVORISANT LE DEVELOPPEMENT DE L ENFANT L ET DE L ADOLESCENT? III - QUELS SONT LES DANGERS POTENTIELS?

Plus en détail

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» «Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture

Plus en détail