PARTIES COMMUNES La boîte à outils des écopropriétés
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- Marc Doré
- il y a 2 ans
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1 Les éco-bilans en Copropriété 3 Bilan «Électricité» PARTIES COMMUNES La boîte à outils des écopropriétés
2 Les éco-bilans en Copropriété 1 Bilan Énergétique Simplifié - chauffage collectif 2 Bilan «Eau» 3 Bilan «Électricité»
3 Des éco-bilans : POURQUOI? COMMENT? 1 DES «ÉCO-BILANS» POUR COMMENCER À AGIR SIMPLEMENT ET EFFICACEMENT Comme on le sait, la France s'est engagée à diviser par 4 ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050, ce qui passe par un programme ambitieux d économies d énergie dans le secteur du logement, puisque l ensemble du parc de logements représente en France 32 % de l énergie finale consommée. Au cœur des bâtiments existants, on dénombre copropriétés totalisant 8 millions de logements, c est-à-dire un immense gisement d économies d énergies (et donc de réduction des émissions de gaz à effet de serre), mais aussi de réduction des charges de copropriété et d amélioration du confort des habitants. Mais nous devons aller encore plus loin. En effet, à côté des problèmes liés au chauffage et à l eau chaude, nous devons aussi nous consacrer : à la maîtrise des consommations d eau ; à la maîtrise des consommations d électricité liées aux parties communes et aux équipements collectifs. Bref, nos copropriétés doivent absolument devenir le plus vite possible des ÉCOPROPRIÉTÉS, c est-àdire des copropriétés économes et écologiques. Mais comment devenir une «écopropriété»? Par où commencer? Que faire? Comment faire? La réponse est toute simple : il suffit de faire - en ce qui concerne le chauffage, l eau chaude, l eau froide et l électricité - un premier bilan (ou «éco-bilan») de la situation de sa copropriété, en utilisant pour cela les cahiers pratiques mis au point à cet effet, comme on va le voir. Les éco-bilans en Copropriété - 3
4 2 QUE SONT LES «ÉCO-BILANS»? Les éco-bilans se décomposent en trois parties : 1 - Analyse de la situation existante : quelles consommations? quelles évolutions? etc. 2 - Repérage des problèmes et anomalies : surchauffes, surconsommations ; fuites ; problèmes de comptage ; évolutions anormales, etc. 3 - Recherche des causes de ces anomalies et engagement des premières actions SIMPLES et déjà efficaces visant à mieux maîtriser la situation. L intérêt de ces bilans qui, pour être efficaces, doivent être réalisés conjointement par le conseil syndical et le syndic, est : de permettre de savoir OÙ en est chaque copropriété en ce qui concerne le chauffage, l eau chaude, l eau froide et l électricité ; de commencer à se former sur ces sujets difficiles et d engager des premières mesures d économie ou de gestion plus rationnelle ; d engager - dans chaque copropriété - un dialogue constructif avec les autres copropriétaires et le syndic mais aussi avec les professionnels qui interviennent (les chauffagistes, par exemple). Une fois réalisés ces bilans, il sera possible d aller plus loin rapidement en particulier : de mobiliser efficacement les autres copropriétaires sur un projet plus ambitieux ; d approfondir - avec l aide de professionnels - les études nécessaires ; d élaborer un programme de travaux contrôlés (portant sur les installations et le bâti). 3 COMMENT FAIRE CES «ÉCO-BILANS»? Pour réaliser ces bilans, on peut procéder ainsi : a) Il suffit dans un premier temps d utiliser les différents cahiers mis au point pour aider les copropriétés, à savoir : le «Bilan Énergétique Simplifié» appelé B.É.S ; le Bilan «Eau» ; le Bilan «Électricité» ; Ces cahiers sont téléchargeables sur le site de l Unarc : unarc.asso.fr, dans la rubrique «guides» b) Puis, dans un deuxième temps, les adhérents collectifs à l ARC qui le souhaitent pourront se faire aider par un de nos conseillers «chauffage et eau». Comme nous le disions : c est simple. Il ne vous reste plus qu à découvrir ces cahiers et à vous mettre à l ouvrage. Nous vous souhaitons enthousiasme et efficacité. Bon travail. Fernand Champavier Le Président. 4 - Bilan «Électricité»
5 Sommaire Des éco-bilans : pourquoi? comment? 3 Présentation 6 PARTIE 1 7 Comment faire son éco-bilan «électricité». PARTIE 2 11 Combien consommez-vous? PARTIE 3 14 Combien devriez-vous consommer? PARTIE 4 19 Faire baisser les consommations et les charges. ANNEXES 22 Les éco-bilans en Copropriété - 5
6 Présentation I L ÉLECTRICITÉ EN COPROPRIÉTÉ Dans les copropriétés, l électricité est utilisée pour de nombreux usages communs : éclairage, ascenseur, pompes de chauffage, ventilation mécanique contrôlée, extracteurs en parkings, etc. La première préoccupation d une copropriété est d assurer la sécurité contre les risques induits par l électricité : incendie, électrocution, etc. Depuis peu, un autre objectif est apparu : faire des économies d électricité. Différentes raisons expliquent cette nouvelle préoccupation : une volonté de «respect de l environnement» le contexte à la hausse des prix de l énergie et les inquiétudes concernant les évolutions futures du prix de l électricité ; l existence d offres plus variées du fait de l apparition de différents fournisseurs. II À QUOI BON ÉCONOMISER L ÉLECTRICITÉ? Malheureusement, de trop nombreux acteurs, souvent de bonne foi, font croire aux copropriétés qu il est inutile de faire des économies d électricité en France, sous prétexte qu elle est produite à partir de centrales nucléaires Il faut donc rappeler que l électricité consommée en France ne provient pas uniquement de l énergie nucléaire, mais aussi de centrales thermiques qui fonctionnent au gaz, au fioul ou au charbon et qui émettent de très importantes quantités de gaz à effet de serre (jusqu à 800 g/kwh). Pour lutter contre le changement climatique, il est donc nécessaire aussi de réduire les consommations électriques. Cela devrait également limiter le nombre de centrales nucléaires, et donc les risques et les «inconvénients» (gestion des déchets nucléaires, exploitation du minerai) liés à leur exploitation. III CONSOMMATIONS ET COPROPRIÉTÉS La question des consommations collectives électriques, primordiale comme on vient de le voir, doit donc être abordée en copropriété. Pour arriver à faire baisser ses consommations électriques, repérer les dérives ou vérifier l impact de mesures d économies d énergie, il est essentiel de connaître : quelle est la consommation annuelle, si elle est en hausse ou en baisse par rapport aux années précédentes, si le niveau moyen de consommation est normal La méthode que nous vous proposons vous permettra d atteindre, dans votre copropriété, ces objectifs. IV PAR OÙ COMMENCER POUR FAIRE DES ÉCONOMIES D ÉLECTRICITÉ Dans ce livret, nous proposons une démarche simple, en quatre étapes : 1) Faire l état des lieux 2) Savoir combien on consomme 3) Savoir si cette consommation est normale 4) Mettre fin aux anomalies et faire baisser la consommation 6 - Bilan «Électricité»
7 Partie 1 Comment faire son éco-bilan «électricité» Faire l état des lieux est important. Cela va permettre : de bien connaître le matériel installé ; d obtenir les informations nécessaires pour déterminer les consommations réelles de l immeuble et savoir si celles-ci sont «normales» ; de mettre rapidement fin aux anomalies évidentes. Pour établir l état des lieux, on va rechercher les factures d électricité et visiter les installations de la copropriété.
8 1 Recherche des factures A POURQUOI RECHERCHER CES DOCUMENTS? Tout d abord cela permettra de savoir combien il y a de compteurs, de connaître leur numéro, et ensuite, lors de la visite, d identifier les compteurs sans en oublier aucun. On pourra alors vérifier qu à chaque compteur de la copropriété correspond une facture et vice versa! Puis, une fois effectué ce premier travail, cela permettra de connaître les consommations réelles de la copropriété. B QUE TROUVE-T-ON D INTÉRESSANT SUR CES FACTURES? LESQUELLES GARDER, LESQUELLES ÉCARTER? Avant toute chose, il faut commencer par les obtenir. Elles doivent se trouver chez le syndic. En cas de difficulté pour y avoir accès, vous pouvez vous adresser à votre fournisseur d énergie. Dans l idéal, il faut recueillir les factures des trois à cinq dernières années. Les informations à relever sont les suivantes : Au recto : - N Client - N de compte Au verso : - N de compteur - Nature de l index : estimé ou réel. Attention : toutes les factures sur index estimé sont à écarter, car elles ne donnent pas d information sur la consommation réelle. - Dates des index - Index de début et de fin de période - Consommation (exprimée en kwh) - Puissance souscrite Ces informations vont être très utiles pour la suite (visite des installations, comptage ) ATTENTION : toutes les factures sur estimation sont à écarter, car elles ne donnent pas d information sur la consommation réelle. 8 - Bilan «Électricité»
9 2 Visite des installations Le but de la visite est de repérer les problèmes les plus évidents, préparer le décompte des consommations et connaître ses installations. A PRÉPARATION DE LA VISITE B LES POINTS À CONTRÔLER LORS DE LA VISITE Il faut, au préalable, dresser la liste des équipements collectifs qui consomment de l électricité. Pour vous aider à dresser ce bilan, voici une liste des usages que l on rencontre souvent en copropriété : éclairage : halls, couloirs, cages d escaliers, parkings, blocs de secours ; VMC ; ascenseur ; chaufferie ; portails électriques ; extracteurs. a) Objectif 1 : préparer le comptage Pour préparer le comptage, il faut : repérer les compteurs ; repérer quels sont les usages attachés à chaque compteur : soit cet usage est indiqué sur le compteur ; soit il faut faire des tests : - arrêter tous les équipements (si cela est techniquement possible) ; - les mettre en route un par un et observer si le compteur se met à compter au même moment ; soit il faut faire intervenir un électricien. Pourquoi établir cette liste? Lors de la visite on va essayer d identifier quel équipement est branché sur quel compteur : grâce à la liste des équipements de sa copropriété, on sera sûr de penser à rechercher le compteur associé à chaque équipement. On réutilisera également cette liste pour établir le niveau de consommation théorique, que l on comparera à la consommation réelle. Pour vous aider dans cette tâche, voici un exemple de tableau à compléter : Numéro Emplacement Puissance Equipements de compteur du compteur souscrite raccordés au compteur Les éco-bilans en Copropriété - 9
10 3 Les investigations complémentaires b) Objectif 2 : repérer les problèmes les plus flagrants Voici une liste des problèmes que l on peut facilement détecter : éclairage des circulations : - minuteries bloquées ; - nombre trop élevé d étages commandé par une même minuterie ; - durée trop longue des minuteries ; - éclairage trop puissant ; bouches d aération obstruées (d où hausse de la sollicitation du moteur de VMC, d où surconsommation électrique) ; éclairage de parkings aériens en journée ; fonctionnement de pompes de chauffage en été ; compteurs pour lesquels vous n avez pas de facture ; etc. Pour compléter l état des lieux, il peut être très pertinent de faire réaliser un audit de mise en sécurité de l installation, tel que le diagnostic Confiance Sécurité de Promotelec. Cela vous permettra d évaluer le niveau de sécurité des installations et de connaître, le cas échéant, les travaux de mise en sécurité recommandés. Enfin, certains dysfonctionnements que vous aurez constatés lors de la visite nécessiteront de prendre contact avec le professionnel concerné (chauffagiste, ascensoriste, fournisseur d électricité, etc.) pour résoudre le problème. Pour continuer à repérer les dysfonctionnements, on va maintenant étudier l évolution des consommations sur plusieurs années et comparer les consommations électriques réelles de votre bâtiment avec des ratios Bilan «Électricité»
11 Partie 2 Combien consommez-vous? Dans cette partie, nous allons commencer par expliquer comment déterminer les consommations réelles de votre copropriété. On procédera en deux étapes : chiffrage des consommations ; analyse de l évolution des consommations. Dans la partie 3, on expliquera comment comparer les consommations réelles avec des ratios.
12 1 Cas général A POURQUOI RECHERCHER LES FACTURES? Sur les factures récupérées, on va relever les consommations pour chaque compteur, en veillant, comme on l a dit, à n utiliser que les relevés réels et en faisant attention aux dates de relevés. Ce relevé doit être fait, dans la mesure du possible, pour les trois à cinq dernières années. Pour chaque compteur, on va résumer les informations dans un tableau du type suivant : Compteur n Liste des équipements du compteur 1 N Client N de compte Consommation (kwh) Commentaires L intérêt de ce travail est d essayer de repérer les éventuels dysfonctionnements. Le tableau pourra faire apparaître des évolutions, que l on classe en quatre types : Stable : a priori, cela signifie un fonctionnement normal ; on pourra vérifier plus précisément ce point dans la partie suivante ; Hausse : a priori, cela signifie soit un dysfonctionnement d un des équipements raccordés au compteur, soit un usage plus intensif d un de ces équipements ; on explique dans les parties suivantes comment résoudre ces éventuels problèmes ; Baisse : cela signifie soit un dysfonctionnement, soit un usage moins intensif ; on explique aussi dans les parties suivantes comment résoudre ces problèmes ; Variable : une combinaison des différentes hypothèses précédentes Bilan «Électricité»
13 2 Analyse d un cas concret B ANALYSE D UN CAS CONCRET Nous allons prendre l exemple d une copropriété qui dispose de deux compteurs et de nombreux équipements (éclairage, ascenseur, VMC, chaufferie, blocs secours). Compteur n 1 Liste des équipements du compteur 1 N Client éclairage (couloirs, escaliers, halls d'entrée, accès parking, N de compte locaux poubelles, parkings, extérieur) Consommation (kwh) Commentaires Stable Stable Stable Brusque hausse : à expliquer Stable Compteur n 2 Liste des équipements du compteur 2 N Client N de compte Ascenseur, VMC, Chaufferie, BAES Consommation (kwh) Commentaires Stable Stable Stable Stable Stable Au niveau du compteur n 1, on voit qu il y a à partir de 2008 une importante hausse de la consommation d électricité (+ 30 %) : s agit-il d un ou de plusieurs équipements qui dysfonctionnent? y a-t-il eu un usage plus intensif d un des équipements? y a-t-il eu des travaux dans le courant de l année en question? Dans l exemple présenté ci-dessus, cette surconsommation s expliquait par la mise en place en 2008 d un éclairage continu au niveau des parkings. CONCLUSION : Le suivi des consommations annuelles permet de détecter des évolutions anormales. On va voir, dans la partie suivante, comment détecter d autres anomalies en comparant les consommations réelles aux consommations théoriques. Les éco-bilans en Copropriété - 13
14 Partie 3 Combien devriez-vous consommer? Dans cette partie, on va calculer combien la copropriété devrait consommer d électricité. Il s agit de reconstituer, à partir des consommations théoriques des équipements de la copropriété, les consommations électriques théoriques. Pour cela, on utilise des chiffres obtenus lors de campagnes de mesures des consommations électriques en habitat collectif.
15 1 Ratios : consommation moyenne des équipements (1) A ÉCLAIRAGE B VMC Les consommations d éclairage dépendent des zones. On constate en moyenne les consommations suivantes: couloirs : 20 kwh par habitant et par an ; cages d escaliers : 5 kwh/hab./an ; halls d'entrée : 9 kwh/hab./an ; accès au parking : 2,5 kwh/hab./an ; locaux destinés aux poubelles : 2,4 kwh/hab./an ; parking : 120 kwh par place de parking et par an. L électricité nécessaire pour la VMC est, en moyenne, de 233 kwh par logement et par an. Une copropriété de 100 logements devrait donc consommer en moyenne : kwh par an. (1) Source : Enertech «Connaissance et maîtrise des consommations des usages de l électricité dans le secteur résidentiel» (voir : enertech.fr). Ainsi, pour une copropriété de 100 logements et d environ 275 habitants, disposant de 80 places de parking on aurait les résultats suivants : 20 x 275 = kwh/an pour l éclairage des couloirs 5 x 275 = kwh/an pour l éclairage des cages d escaliers 9 x 275 = kwh/an pour l éclairage des halls d entrée 2,5 x 275 = 687,5 kwh/an pour l éclairage des accès aux parkings 2,4 x 275 = 660 kwh/an pour l éclairage des locaux destinés aux poubelles et 120 x 80 = kwh/an pour l éclairage des parkings. C CHAUFFERIE Pour une chaufferie, il faut compter environ 342 kwh par logement et par an pour l électricité (pompes de circulation). Donc pour 100 logements, on aura une consommation de kwh par an. Soit au total pour l éclairage : ,5 kwh par an. Les éco-bilans en Copropriété - 15
16 D ASCENSEUR La consommation dépend du nombre d habitants et du nombre d étages. Pour représenter cela, on utilise un ratio «étage.habitant» que l on obtient en multipliant l étage par le nombre de personnes qui y habitent. Reprenons l exemple précédent, les 275 habitants se répartissent en : 75 habitants au 3è étage, ce qui donne 3 x 75 = 225 étage.habitant 75 habitants au 2ème étage, ce qui donne 2 x 75 = 150 étage.habitant 75 habitants au 1er étage, ce qui donne 1 x 75 = 75 étage.habitant 50 habitants au rez-de-chaussée, ce qui donne 0 x 50 = étage.habitant Ce qui donne au total : 450 étage.habitant. E BLOCS AUTONOMES D ÉCLAIRAGE DE SÉCURITÉ (BAES) La consommation d un BAES est d en moyenne 40 kwh par an. Avec par exemple 120 blocs, on arrive à une consommation de kwh par an. Sachant qu en moyenne, un ascenseur consomme annuellement 17,9 kwh par étage.habitant, on peut s attendre à trouver pour l exemple considéré une consommation moyenne de l ordre de kwh. F TABLEAU DES RATIOS Voici tous les ratios, résumés en un seul tableau : Equipements Consommation moyenne Unités couloirs 20 escaliers 5 Éclairage halls d'entrée 9 kwh/hab/an Accès aux parkings 2,5 locaux poubelles 2,4 parkings 120 kwh / place parking / an VMC 233 kwh / logement /an Chaufferie 342 kwh / logement /an Ascenseur 17,9 kwh / étage.habitant / an BAES 40 kwh / bloc / an 16 - Bilan «Électricité»
17 2 Calculer la consommation théorique de sa copropriété On vient de voir comment calculer la consommation moyenne théorique pour chacun des équipements. On peut maintenant calculer, de manière très simple, la consommation théorique que devrait afficher chaque compteur. Il faut faire la somme des consommations théoriques des usages raccordés à chaque compteur ; pour chaque compteur, on peut remplir un tableau de ce type : Equipements TOTAL Consommation théorique Les éco-bilans en Copropriété - 17
18 3 Comparer la consommation théorique avec la consommation réelle On peut à présent comparer la consommation «théorique» avec la consommation réelle ; on peut présenter cela de la façon suivante : Compteur Consommation Consommation théorique réelle N Une consommation réelle supérieure à la consommation théorique doit systématiquement vous alerter. N Poursuivons avec les exemples donnés précédemment (partie 2, point B et partie 3, point A) : 1. Consommation théorique par compteur : a. Compteur n 1 : Sur le compteur n 1, sont raccordés tous les circuits d éclairage (sauf les BAES).La consommation devrait donc être de ,5 kwh par an, à savoir : b. Compteur n 2 : Sur le compteur n 2 : Equipements Consommation théorique (kwh/an) éclairage des couloirs éclairage des cages d escaliers éclairage des halls d entrée éclairage des accès aux parkings 687,5 éclairage des locaux destinés aux poubelles 660 éclairage des parkings TOTAL ,5 Equipements Consommation théorique (kwh/an) VMC Chaufferie Ascenseurs BAES TOTAL La consommation devrait donc être de ,5 kwh par an ; 2. Comparaison entre consommation théorique et consommation réelle Compteur Consommation Consommation théorique réelle N ,5 kwh kwh N kwh kwh Pour le compteur n 1, on devrait avoir une consommation de ,5 kwh. Or la consommation réelle est de kwh. On voit qu on retrouve ici à nouveau un problème de surconsommation. La consommation réelle au compteur n 2 est de kwh. En théorie on devrait être autour de Il semble donc y avoir aussi une importante surconsommation d un des équipements raccordé à ce compteur. Il est essentiel d aller plus loin et d identifier l équipement concerné Bilan «Électricité»
19 Partie 4 Faire baisser les consommations et les charges On a vu précédemment comment on pouvait repérer certaines anomalies : état des lieux et visite des installations ; comparaison des consommations réelles avec les consommations «théoriques». Il faut maintenant : identifier la cause des écarts entre consommation réelle et théorique et y remédier (A) ; obtenir un tarif adapté à ses équipements électriques (B). Dans le cadre de la recherche d'économies, il faudra néanmoins bien prendre en compte la réglementation «handicap» et la situation des personnes âgées (déplacements). En un mot, il s agira de ne pas réduire les éclairages sans tenir compte de ces problèmes.
20 1 Identifier la cause d une surconsommation Si l on détecte un gros écart entre consommation «théorique» et consommation réelle, il faut se poser des questions : a) Peut-être y a-t-il une erreur au niveau de la consommation théorique ; vérifiez bien que vous avez pris en compte l ensemble des équipements raccordés au compteur (partie 1) ; si vous avez oublié un équipement, refaites les calculs «théoriques» ; b) Peut-être y a-t-il un problème au niveau d un des équipements. Pour cela, il faut vérifier la consommation de chaque équipement raccordé au compteur (ce travail peut être fait par un électricien). Une fois l équipement identifié, il faut faire intervenir la société responsable de l équipement qui pose problème. Celle-ci doit alors expliquer l origine de cette surconsommation (mauvais réglage, modèle mal dimensionné, équipement ancien, etc.) et proposer des solutions adéquates et détaillées au niveau technique et au niveau du coût (investissement, exploitation, temps de retour sur investissement, etc.). Voici un tableau résumant les principaux problèmes rencontrés ainsi que leurs solutions : Usage Problème rencontré Comment résoudre le problème Qui contacter Eclairage Minuteries bloquées Réparation et si nécessaire, dispositifs anti vandalisme, sensibilisation Electricien Nombre trop élevé d étages commandé par une même minuterie Changer le réglage : une commande par étage Electricien Durée trop longue des minuteries Meilleur réglage des minuteries ; Installation de détecteurs de présence Electricien Éclairage trop puissant Moins d ampoules, ampoules moins puissantes ou plus performantes Espaces Infos Energie Horloges déréglées (éclairage extérieur) Installer des détecteurs crépusculaires Electricien Ascenseur Surconsommation d éclairage Asservir l éclairage à la présence des personnes Ascensoriste Surconsommation du moteur Installer des variateurs de vitesse si le gain permet de diminuer l abonnement) Ascensoriste VMC Surconsommation Entretenir la VMC : bouches d extraction, conduits, moteur Copropriétaires Entreprise de maintenance VMC Bureau d études Chaufferie Surconsommation Vérifier le dimensionnement des pompes ; limiter le fonctionnement des pompes au nécessaire (pas de fonctionnement en été ) Chauffagiste Bureau d études thermiques BAES Surconsommation Vérifier qu ils ne sont pas surestimés ; Choisir des modèles performants Espaces Infos Energie 20 - Bilan «Électricité»
21 2 Choisir un contrat adapté à ses besoins pour faire baisser les charges A DÉTERMINER LA PUISSANCE NÉCESSAIRE Les puissances souscrites sont souvent surdimensionnées : il est donc intéressant de faire vérifier l adéquation entre la puissance souscrite et la puissance nécessaire au fonctionnement de vos installations. Pour ce travail, vous pouvez faire appel soit à un fournisseur d énergie, soit à un électricien que vous connaissez. S il s avère que la puissance souscrite dépasse largement les besoins, il y aura lieu de changer d abonnement, ce qui peut entraîner des économies significatives. Par exemple, pour un tarif «bleu» de base, entre un contrat de 9 kva et un contrat de 12 kva on a une différence du prix d abonnement de 43 %. Quand vos besoins électriques changent, pensez toujours à vérifier que la puissance souscrite est adaptée à vos installations. En tarif réglementé, il existe trois grandes familles de tarifs : le tarif «bleu» de 3 à 36 kva ; le tarif «jaune» de 42 à 250 kva ; le tarif «vert» au-dessus de 250 kva. En contrepartie, plus la puissance souscrite est importante, plus les tarifs unitaires du kwh peuvent être intéressants pour les tarifs «jaune» et «vert». Ainsi, en «heures creuses d été», le prix du kwh en tarif jaune peut être inférieur de 263 % à celui du tarif bleu Il faut faire des «simulations» en fonction de vos consommations, équipements et plages horaires d utilisation. B CHOISIR LE NOMBRE OPTIMAL DE COMPTEURS En copropriété, il peut parfois y avoir un foisonnement de compteurs avec des puissances fantaisistes. Ce foisonnement peut s expliquer par un souci aigu de suivi détaillé des consommations ou de répartition équitable entre copropriétaires (minuteries, chauffage, ascenseurs, VMC, etc.). Mais cela peut, en contrepartie, faire augmenter la facture de manière importante. S il y a plusieurs compteurs, renseignez-vous auprès de votre fournisseur ou de votre électricien sur la faisabilité d un possible regroupement sous un seul compteur (avec, éventuellement, des «sous-compteurs» de répartition) et étudiez l incidence financière d une telle opération On peut avoir de bonnes surprises. Alors? Avez-vous repéré des problèmes? Avez-vous identifié des pistes ou des solutions? Sans doute. En fait il suffit, comme toujours, de se lancer. Comme on dit, l appétit vient en mangeant. Donc bon appétit! Les éco-bilans en Copropriété - 21
22 Annexes I. La disparition des ampoules à incandescence II. Tarifs réglementés ou offres de marché III. Les compteurs «intelligents»
23 Annexe 1 La disparition des ampoules à incandescence A FIN DES AMPOULES CLASSIQUES (À INCANDESCENCE) Les ampoules «classiques» disparaissent progressivement des rayons. En effet, la commercialisation de ce type d ampoules, grosses consommatrices d énergie, est progressivement interdite. On les remplace en général par des lampes basse consommation, qui coûtent plus cher que les ampoules classiques. Néanmoins comme ces ampoules consomment moins (4 à 5 fois moins d électricité) et durent plus longtemps (durée de vie 6 à 10 fois supérieure), l investissement est rapidement rentabilisé. DATES DE FIN DE COMMERCIALISATION 30 JUIN 2009 Lampes à incandescence de 100 W et au-delà 1ER SEPTEMBRE 2009 Lampes à incandescence non claires (opales, blanches, dépolies...) 1ER SEPTEMBRE 2010 Lampes à incandescence de 75 W B LE PROBLÈME DES LAMPES BASSE CONSOMMATION SUR MINUTERIES 1ER SEPTEMBRE 2011 Lampes à incandescence de 60 W 1ER SEPTEMBRE 2012 Lampes à incandescence de 25 et 40 W Les ampoules fluo-compactes sont capables de supporter un nombre limité d allumages avant de tomber en panne. C est cela qui explique qu elles ne «tiennent» pas longtemps sur les minuteries. Certaines ampoules s autoproclament «pour minuteries», mais en réalité, on se rend compte que, pour préserver leur durée de vie, il faut attendre deux minutes après chaque allumage avant de pouvoir les réutiliser à nouveau, ce qui est ingérable en copropriété À l heure actuelle, il n existe pas, sur le marché, de solution satisfaisante pour les minuteries. Les éco-bilans en Copropriété - 23
24 Annexe 2 Tarifs réglementés ou offres de marché A PRÉSENTATION Les prix en tarif réglementé sont fixés par les ministères en charge de l Économie et des Finances. Les prix en offre de marché sont fixés librement par un contrat entre le fournisseur et le client. Depuis juin 2010, les copropriétés peuvent librement choisir entre tarif réglementé et offre de marché, quel que soit leur contrat actuel (réglementé ou offre de marché), ce qui n était pas le cas auparavant. B COMPARER LES OFFRES Pour comparer les offres entre elles, il faut prendre en compte l ensemble des principaux critères : prix (TTC) : - abonnement, - part variable (consommation d électricité, de gaz) ; prestations annexes : gestion (service client, moyens de paiement, etc.), services techniques, résiliation ; évolution des prix : fixes, indexés sur les tarifs réglementés, dates de révision, etc. ; durée du contrat. Si vous êtes adhérents collectifs à l ARC, nous pourrons vous orienter et vous aider Bilan «Électricité»
25 Annexe 3 Les compteurs «intelligents» En principe le compteur «intelligent» (en fait communiquant) devrait pouvoir permettre de mieux suivre ses consommations et de mieux gérer celles-ci. Voilà pourquoi nous en parlons. Dans les faits et à ce jour (fin 2010), les problèmes sont encore nombreux. Il faut donc avancer avec prudence tout en étant informés des évolutions prochaines. A GRENELLE! Extrait : «Les objectifs d'efficacité et de sobriété énergétiques exigent la mise en place de mécanismes d'ajustement et d'effacement de consommation d'énergie de pointe. La mise en place de ces mécanismes passera notamment par la pose de compteurs intelligents pour les particuliers, d'abonnement avec effacement des heures de pointe. Cela implique également la généralisation des compteurs intelligents afin de permettre aux occupants de logements de mieux connaître leur consommation d'énergie en temps réel et ainsi de la maîtriser.» B QU EST-CE QU UN COMPTEUR INTELLIGENT? C est un compteur qui communique en temps réel la consommation de chaque appareil à la fois à l abonné et au fournisseur d électricité. Les éco-bilans en Copropriété - 25
26 C A QUOI ÇA SERT? Pour le client : - Connaître en temps réel ses consommations - Mettre en marche ses équipements en fonction des données du réseau et du prix du kwh - Gérer les installations à distance Pour le fournisseur - Adapter en temps réel la production à la demande - Mieux gérer l intermittence (productions d énergie diffuses : panneaux solaires, éoliennes ) - Gérer les pics de consommation : puiser dans ces mêmes batteries, arrêter les appareils non indispensables - Gérer les pics de production : stocker l énergie dans les batteries (des futures voitures électriques par exemple) - Limiter la production de gaz à effet de serre et de polluants - Traitement à distance des problèmes (gain financier) D UNE KYRIELLE DE PROBLÈMES À RÉSOUDRE AVANT LA MISE EN PLACE DES COMPTEURS «INTELLIGENTS» Telle qu elle est actuellement envisagée, la mise en œuvre du comptage intelligent en France soulève de nombreux problèmes : injustice : le principal bénéfice est pour les gestionnaires de réseau, le financement est payé par les consommateurs ; atteinte à la vie privée (voir les avis de la CNIL) ; expérimentation bâclée et mise en œuvre précipitée ; pour de nombreux particuliers, impossibilité concrète d avoir accès à ces compteurs et donc de gérer leurs consommations Bilan «Électricité»
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