Le projet Équi T-É : le lancement de la phase deux est prévu en novembre.

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1 Par l'info RALI Regroupement Affaires Lachine Inc., juillet/août 2010 Le projet Équi T-É : le lancement de la phase deux est prévu en novembre. Le 19 novembre prochain, à l école secondaire LaSalle Community Comprehensive High School, aura lieu un événement soulignant le déploiement des interventions Équi T-É dans les écoles secondaires de la région. Au cours de l année scolaire, 140 rencontres individuelles, visant à sensibiliser les jeunes à l importance de la conciliation travailétudes, seront effectuées auprès des élèves. Rappelons que plus de 50 employeurs sont maintenant certifiés Équi T-É et s engagent à respecter, dans leurs entreprises, des mesures visant à favoriser la conciliation travail-études de leurs jeunes employés-élèves. Pour plus d information ou pour adhérer au projet, veuillez contacter Myriam Bernier au m.bernier@cjemarquette.qc.ca

2 Le journal de la Chambre de commerce et d'industrie du sud-ouest de Montréal Sud-OuestAffaires, Édition de juin 2010, Volume 7, Numéro 3 Le décrochage scolaire au cœur des préoccupations Le 25 mai dernier a eu lieu le lancement officiel du projet Équi T-É (ÉQUIlibre Travail- Études) dans la région. Équi T-É, une initiative des commissions scolaires Marguerite-Bourgeoys et Lester B.-Pearson et de cinq carrefours jeunesse-emploi (Lachine, LaSalle, Verdun, Ouest-de-l Île et St-Laurent), vise à maximiser l impact de la communauté des gens d affaires sur la persévérance scolaire en offrant aux élèves des emplois conciliables avec leurs études. C est une approche concrète, gagnante et éprouvée pour soutenir les jeunes dans leur réussite éducative. L équilibre travail-études De nombreuses études démontrent que l atteinte des objectifs de formation scolaire peut être remise en cause lorsqu un élève consacre un nombre d heures significatif à son emploi étudiant. Il importe donc d instaurer un bon équilibre entre le travail et les études. Le projet Équi T-É vise essentiellement à rassembler la communauté autour des valeurs liées à la persévérance scolaire et la réussite éducative. Équi T-É propose aux entreprises l adoption de mesures très simples qui ne supposent qu une implication minime de la part des employeurs et n engendrent aucun coût supplémentaire (être à l écoute des employés, s informer régulièrement de leurs résultats scolaires, proposer des horaires flexibles, diminuer les heures de travail, etc.) Concrètement, le projet cherche à mobiliser les gens d affaires et élèves par la signature d engagements à la réussite éducative. À terme, professionnels et employeurs adopteront des pratiques respectueuses du statut d élève des jeunes. (Suite à la page suivante)

3 Sur la photo: M. Richard Guillemette, directeur général adjoint de la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys (CSMB); Mme Viviane Croubalian, directrice générale adjointe de lacommission scolaire Lester-B.-Pearson (LBPSB); M. Yves Picard, directeur des Carrefours jeunesse emploi Marquette et Ouest-de-l île; Mme Julie Lavigne, directrice de l école secondaire Cavelier-De LaSalle; Mme Diane Lamarche-Venne, présidente de la CSMB; M. Michael Dossous, employé-élève de l école secondaire Cavelier-De LaSalle; Mme Myriam Bernier, agente de liaison, projet Équi T-É; et M. Jacques Gendron pharmacien-propriétaire du Jean-Coutu Île-des-Sœurs, une entreprise certifiée Équi T-É. Un partenariat grandissant Mme Bernier, agente de liaison aux entreprises du projet Équi T-É, est confiante que l initiative fera des vagues dans la région : «Le projet va bon train. Nous avons déjà une liste impressionnante de partenaires confirmés, dont Service Canada, le Fonds régional d investissement jeunesse et Réseau réussite Montréal.» Pour l instant, une quinzaine d employeurs sont déjà certifiés Équi T-É et ce, avant même le début de la période de recrutement qui se fera en septembre. L objectif est d obtenir la signature de 500 employeurs en un an. Quelques employeurs Équi T-É À Verdun, notons St-Hubert Express, Énergie Cardio, SuperClub Vidéotron, Métro Bellemare, Rona de la promenade, Cora Déjeuner et la Pharmacie Jean-Coutu de L Île-des-Sœurs. Quatre restaurants McDonald s (Verdun, Lachine, Vieux- Montréal et Saint-Henri) ont aussi signé l engagement. Pour plus d information ou pour adhérer au projet Équi T-É, joindre Myriam Bernier, agente de liaison aux entreprises, au /m.bernier@cjemarquette.qc.ca

4 Par le Centre local de développement de Verdun AFFAIRES EXPRESS, Infolettre bimensuelle n 14, juin 2010 Lancement du Projet Équi T-É Le 25 mai dernier s est tenu le lancement du projet Équi T-É (Équilibre Travail-Études) visant à contrer le décrochage scolaire dans l ouest de Montréal. Plus d une soixantaine de personnalités d affaires furent présentes. Équi T-É vise à sensibiliser les employeurs à l importance de la conciliation travail-études chez leurs jeunes employés. Pour plus d informations, contactez Myriam Bernier au

5 Par Robert Leduc Le Messager Lachine Dorval, publié le 3 juin 2010 Une initiative pour maximiser l impact des gens d affaires sur la persévérance scolaire Dans un local orné de graffitis aux couleurs vives, s est déroulé le lancement officiel du projet Équi T-É (Équilibre Travail-Études). Le Café Graf de l école secondaire Cavelier-De- LaSalle a accueilli une soixantaine de personnalités de la communauté d affaires. Équi T-É, une initiative des commissions scolaires Marguerite-Bourgeoys et Lester B.-Pearson, en collaboration avec cinq Carrefours jeunesse-emploi (CJE Lachine, LaSalle, Verdun, Ouest-de-l'Île et Saint- Laurent), vise à maximiser l impact de la communauté des gens d affaires sur la persévérance scolaire en offrant aux élèves des emplois conciliables avec leurs études. «Nous voulons sensibiliser les employeurs à adopter des comportements en faveur de la réussite éducative de leurs jeunes employés encore aux études», affirme Myriam Bernier, agente de liaison du projet Équi T-É. À cette occasion, Jacques Gendron, pharmacien-propriétaire du Jean-Coutu de L Île-des-Sœurs, a livré un témoignage dynamique et inspirant sur la persévérance scolaire. Présent dès les premiers balbutiements de l initiative en 2008, M. Gendron a louangé le projet et a exprimé sa fierté d être au nombre des employeurs «certifiés Équi T-É». L attachant et touchant témoignage d un élève de Cavelier-De-LaSalle, illustrant bien la situation des jeunes déchirés entre l appât du gain et l importance des études, a suivi. La période de signature de la déclaration Équi T-É, qui a clôturé l événement, a permis d ores et déjà de mobiliser les gens d affaires de la région au projet et de les engager à adopter des pratiques respectueuses autour des enjeux de la conciliation travail-études. Le pharmacien-propriétaire du Jean Coutu de L Île-des- Sœurs, Jacques Gendron, a livré un témoignage sur la persévérance scolaire. (Suite à la page suivante)

6 Équilibre travail-études «Avec le projet Équi T-É, nous voulons que les employeurs adoptent des comportements favorables à la réussite de leurs jeunes employés» Un partenariat grandissant Selon Myriam Bernier, «le projet Équi T-É fera des vagues dans la région. Nous avons déjà une douzaine de partenaires confirmés, dont Service Canada, le Fonds régional d investissement jeunesse et Réseau réussite Montréal». Pour l instant, une quinzaine d employeurs sont déjà certifiés Équi T-É, avant même le début de la période de recrutement qui se fera en septembre. Au nombre de ces employeurs responsables soulignons, à Verdun, St-Hubert Express, Énergie Cardio, Superclub Vidéotron, Métro Bellemare et Rona. Notons également Cora Déjeuner et Pharmacie Jean- Coutu à L Île-des-Sœurs, en plus de quatre restaurants McDonald s (Verdun, Lachine, Vieux-Montréal et Saint- Henri). L objectif est d obtenir la signature de 500 employeurs. De nombreuses études démontrent que l atteinte des objectifs de formation scolaire peut être remise en cause lorsqu un élève consacre un nombre d heures significatif à son emploi. Il importe donc d instaurer un bon équilibre entre le travail et les études afin de prévenir l abandon scolaire. Le projet Équi T-É vise essentiellement à rassembler la communauté: élèves du secondaire et parents, personnel des commissions scolaires, équipes des centres jeunesse emploi et entreprises locales, autour des valeurs liées à la persévérance scolaire et la réussite éducative en vue de l obtention des diplômes des employés-élèves. Le projet Équi T-É (Équilibre Travail-Études) est une initiative qui émane d un projet pilote expérimenté en dans l arrondissement de Verdun avec les entreprises du secteur et les élèves de l école secondaire Monseigneur-Richard. C est une approche concrète, gagnante et éprouvée pour soutenir les jeunes dans leur réussite éducative. Équi T-É sensibilise les employeurs, les jeunes et la communauté en diffusant de l information liée aux enjeux de la conciliation travail-études; mobilise les gens d affaires et les élèves en leur proposant, lors d interventions ciblées, de signer et de respecter des engagements pour la réussite éducative; offre un soutien adapté aux jeunes qui occupent un emploi pendant leurs études; défini et appui le rôle d influence des employeurs; et valorise la contribution positive des différents intervenants. À terme, professionnels et employeurs adopteront des pratiques respectueuses du statut d élève des jeunes. «Nous voulons sensibiliser les employeurs à adopter des comportements en faveur de la réussite éducative de leurs jeunes employés» - Myriam Bernier, agente de liaison

7 Par Julie Lavigne, directrice, École secondaire Cavelier-De LaSalle INFO-PARENTS CDL MAI 2010, publié le 1 er juin 2010 Cavelier-De LaSalle à l honneur LE LANCEMENT D ÉQUI T-É : Une cinquantaine de personnes étaient présentes, lors du lancement, pour venir entendre les objectifs du projet Équi T-É, un projet mis sur pied pour sensibiliser, mobiliser et obtenir l engagement des entreprises, des élèves, des écoles et des partenaires autour des enjeux de la conciliation travail-études. Sur la photo : M. Richard Guillemette, directeur général adjoint de la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys (CSMB); Mme Viviane Croubalian, directrice générale adjointe de la Commission scolaire Lester-B.-Pearson (LBPSB); M. Yves Picard, directeur du Carrefour jeunesse emploi Marquette et Ouest-de-l île; Mme Julie Lavigne, directrice de l école secondaire Cavelier-De LaSalle; Mme Diane Lamarche-Venne, présidente de la CSMB; M. Michael Dossou, employé-élève de l école secondaire Cavelier-De LaSalle; Mme Myriam Bernier, agente de liaison, projet Équi T-É; et M. Jacques Gendron pharmacien-propriétaire du Jean Coutu Île-des-Sœurs, une entreprise certifiée Équi T-É.

8 Lancement officiel ÉQUI T-É Le 25 mai 2010 Près de 75 personnes étaient présentes, lors du lancement, pour venir entendre les objectifs du projet Équi T-É, un projet mis sur pied pour sensibiliser, mobiliser et obtenir l engagement des entreprises, des élèves, des écoles et des partenaires autour des enjeux de la conciliation travail-études. Sur la photo : M. Richard Guillemette, directeur général adjoint de la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys (CSMB); Mme Viviane Croubalian, directrice générale adjointe de la Commission scolaire Lester-B.-Pearson (LBPSB); M. Yves Picard, directeur du Carrefour jeunesse emploi Marquette et Ouest-del île; Mme Julie Lavigne, directrice de l école secondaire Cavelier-De LaSalle; Mme Diane Lamarche-Venne, présidente de la CSMB; M. Michael Dossous, employé-élève de l école secondaire Cavelier-De LaSalle; Mme Myriam Bernier, agente de liaison, projet Équi T-É; et M. Jacques Gendron pharmacien-propriétaire du Jean-Coutu Île-des- Soeurs, une entreprise certifiée Équi T-É. À la fin du lancement, près de 75 convives alors présents ont été invités à signer la déclaration en faveur du projet Équi T-É.

9 Lavoixpop.com, publié le 21 mai 2010 Lancement du projet Équi T-É À l école secondaire Cavelier-De LaSalle L événement vise à maximiser l impact de la communauté des gens d affaires sur la persévérance scolaire des jeunes élèves de la région. «Nous tentons à sensibiliser les employeurs à adopter des comportements en faveur de la réussite éducative de leurs jeunes employés encore aux études», affirme Myriam Bernier, agente de liaison du projet Équi T-É. À l occasion du lancement, M. Jacques Gendron, pharmacien-propriétaire du Jean-Coutu de l Île-des-Soeurs, livrera un témoignage sur son expérience en tant qu employeur certifié Équi T-É. Une période de signature estégalement prévue à l horaire pour les employeurs désirant s engager sur place. Équilibre travail-études Sachant que de consacrer plus de 20 h par semaine au travail à temps partiel peut affecter les résultats scolaires des élèves du secondaire, il importe d instaurer un bon équilibre entre le travail et les études. En 2008, le taux de diplomation des élèves de la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys (CSMB) après sept ans de scolarité s élevait à 73 % alors que celui de la Commission scolaire Lester- B.-Pearson (LBPSB) se chiffrait à 82,5 %. Le projet Équi T-É vise essentiellement à rassembler la communauté, soit les élèves du secondaire et leurs parents, le personnel des commissions scolaires, les équipes des centres jeunesse emploi et les entreprises locales, autour des valeurs liées à la persévérance scolaire et la réussite éducative en vue de l obtention des diplômes des employés-élèves. «Il importe d instaurer un bon équilibre entre le travail et les études». Ensemble, changeons l avenir de nos jeunes étudiants Le projet Équi T-É (ÉQUIlibre Travail-Études) est une initiative qui émane d un projet pilote expérimenté en dans l arrondissement Verdun avec les entreprises du secteur et les élèves de l école secondaire Monseigneur-Richard. C est une approche concrète, gagnante et éprouvée pour soutenir les jeunes dans leur réussite éducative. Équi T-É sensibilise les employeurs, les jeunes et la communauté en diffusant de l information liée aux enjeux de la conciliation travailétudes; mobilise les gens d affaires et les élèves en leur proposant, lors d interventions ciblées, de signer et de respecter des engagements pour la réussite éducative; offre un soutien adapté aux jeunes qui occupent un emploi pendant leurs études; défini et appui le rôle d influence des employeurs; et valorise la contribution positive des différents intervenants. À terme, professionnels et employeurs adopteront des pratiques respectueuses du statut d élève des jeunes.

10 Le Messager LaSalle - Actualités, publié le 21 mai 2010 Lancement du projet Équi T-É À l école secondaire Cavelier-De LaSalle L événement vise à maximiser l impact de la communauté des gens d affaires sur la persévérance scolaire des jeunes élèves de la région. «Nous tentons à sensibiliser les employeurs à adopter des comportements en faveur de la réussite éducative de leurs jeunes employés encore aux études», affirme Myriam Bernier, agente de liaison du projet Équi T-É. À l occasion du lancement, M. Jacques Gendron, pharmacien-propriétaire du Jean-Coutu de l Île-des-Soeurs, livrera un témoignage sur son expérience en tant qu employeur certifié Équi T-É. Une période de signature estégalement prévue à l horaire pour les employeurs désirant s engager sur place. Équilibre travail-études Sachant que de consacrer plus de 20 h par semaine au travail à temps partiel peut affecter les résultats scolaires des élèves du secondaire, il importe d instaurer un bon équilibre entre le travail et les études. En 2008, le taux de diplomation des élèves de la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys (CSMB) après sept ans de scolarité s élevait à 73 % alors que celui de la Commission scolaire Lester- B.-Pearson (LBPSB) se chiffrait à 82,5 %. Le projet Équi T-É vise essentiellement à rassembler la communauté, soit les élèves du secondaire et leurs parents, le personnel des commissions scolaires, les équipes des centres jeunesse emploi et les entreprises locales, autour des valeurs liées à la persévérance scolaire et la réussite éducative en vue de l obtention des diplômes des employés-élèves. «Il importe d instaurer un bon équilibre entre le travail et les études». Ensemble, changeons l avenir de nos jeunes étudiants Le projet Équi T-É (ÉQUIlibre Travail-Études) est une initiative qui émane d un projet pilote expérimenté en dans l arrondissement Verdun avec les entreprises du secteur et les élèves de l école secondaire Monseigneur-Richard. C est une approche concrète, gagnante et éprouvée pour soutenir les jeunes dans leur réussite éducative. Équi T-É sensibilise les employeurs, les jeunes et la communauté en diffusant de l information liée aux enjeux de la conciliation travailétudes; mobilise les gens d affaires et les élèves en leur proposant, lors d interventions ciblées, de signer et de respecter des engagements pour la réussite éducative; offre un soutien adapté aux jeunes qui occupent un emploi pendant leurs études; défini et appui le rôle d influence des employeurs; et valorise la contribution positive des différents intervenants. À terme, professionnels et employeurs adopteront des pratiques respectueuses du statut d élève des jeunes.

11 Par Mélanie Després, élève de 4 e secondaire à l'école Monseigneur-Richard Le Messager Verdun, publié le 23 juin 2009 Des commerçants ont à cœur la réussite scolaire Le projet Équi T-É (Équi T-É signifiant équilibre travail-étude) veille au bon déroulement des études des jeunes travailleurs. Ce projet est tenu en charge par le Carrefour Jeunesse-Emploi de Verdun, ainsi que par l école secondaire Monseigneur- Richard. L un des buts premiers de ce projet est bien sûr de favoriser la réussite scolaire des élèves-employés, en les sensibilisant aux enjeux de la conciliation travail-étude, qui n est pas toujours facile! Mais il y va aussi de l engagement des jeunes et des employeurs au projet Équi T-É, en signant et respectant l engagement pour la réussite éducative. Lorsque les jeunes s engagent, ils doivent accepter de travailler moins de 15 heures par semaine, car au-delà de 15 heures, cela peut nuire sérieusement à leurs études, les incitant ainsi à décrocher plus facilement de l école. De plus, ils doivent refuser le quart de travail de nuit, car ils doivent avoir un temps de repos suffisant. Ils peuvent également accepter un maximum de 2 quarts de travail, finissant au plus tard à 21 heures. Bien entendu, les employeurs se doivent de respecter ces multiples conditions tout en tenant compte des études du jeune, en le soutenant dans sa réussite scolaire. Par ailleurs, les employeurs qui participent à ce projet s affichent ouvertement en apposant une vignette sur la vitrine de leur commerce, ainsi ils sont facilement identifiables pour les jeunes travailleurs. Pour conclure, le projet Équi T-É est une excellente initiative, qui aide à contrer l échec et le décrochage scolaire, et qui est bénéfique à tout jeune désirant concilier le travail avec les études, sans faire d abus. Si tu es un étudiant et que tu désires adhérer au projet Équi T-É, contacte le Carrefour jeunesse-emploi de Verdun au (514) , poste 201

12 Par Pierre Lussier Le Messager Verdun, publié le 24 mars 2009 Des commerçants ont à cœur la réussite scolaire Deux mois après le lancement du projet Équit-é, une douzaine d entreprises ont déjà adhéré en acceptant le principe de limiter le nombre d heures de travail de jeunes aux études afin de ne pas nuire à leur rendement scolaire. «Nous poursuivons nos démarches auprès des employeurs pour obtenir leur engagement envers le projet, et nous ciblons particulièrement les entreprises susceptibles d engager des élèves à temps partiel durant l année scolaire, comme les entreprise des secteurs du commerce de détail ou de la restauration», explique Simon Van Vliet, agent de développement du projet parrainé par le Carrefour jeunesse-emploi de Verdun (CJE). Au total, plus de soixante employeurs ont déjà été approchés. La liste exhaustive des employeurs : les restaurants McDonalds, St-Hubert-Express et Cora Déjeuner Île-des-Sœurs, la pharmacie Jean Coutu de l Île-des-Sœurs, la Libraire de Verdun, le Superclub Vidéotron situé au 5000 rue Wellington, le Blockbuster Vidéo, la Quincaillerie de la Promenade, le Nu Art Café, le centre Énergie Cardio de Verdun et le marché d alimentation Métro Bellemare, le premier marché d alimentation à adhérer au projet.. Pour adhérer en tant qu employeur Équit-É, contactez Simon Van Vliet au , poste 224. Marc Bernier, directeur de l épicerie Métro Bellemare et Simon Van Vliet du projet Équi T-É.

13 Par Pierre Lussier Le Messager Verdun, publié le 24 mars 2009 Opinions contradictoires sur la conciliation travail-études Résultats d un sondage du projet Équi T-É Une enquête réalisée auprès des élèves de l école secondaire Monseigneur Richard (ÉSMR), a permis de recueillir des données sur le nombre de jeunes qui ont un petit boulot après l école, sur les heures consacrées à ce travail et les conséquences sur les études. La conciliation travail-études chez les jeunes est au cœur du projet Équit-é, dont l objectif est de s assurer que le travail rémunéré des élèves du secondaire ne nuise pas à leurs études. Sur 440 jeunes de secondaire III, IV et V, l enquête révèle qu environ un élève sur quatre, soit 24,5 %, occupe actuellement un travail durant l année scolaire, soit 13% des répondants en secondaire III, 24,3 % en secondaire IV, et 42,9 % en secondaire V. Parmi ces élèves, 40,7 % travaillent plus de 15 heures par semaine, et 16,5 % de ces derniers travaillent plus de 20 heures. D après le sondage mené par Simon Van Vliet, agent de développement du projet, 69,4 % des jeunes se disent assez d accord avec l idée d un emploi de 15 heures par semaine maximum, même si 17,9 % ne partagent pas cet avis. Un quart des jeunes considèrent que l employeur ne se préoccupe «pas du tout» des résultats scolaires, alors qu une proportion semblable des élèves (27,4 %) soutient le contraire. Fait significatif, 15,1 % des jeunes affirment se sentir mieux au travail qu à l école, contre environ trois sur dix qui ne sont pas du tout d accord. Plusieurs élèves se sont déjà engagés à limiter leurs heures de travail rémunéré, mais il reste beaucoup de recrutement et de sensibilisation à faire auprès des jeunes et des employeurs. «Les parents, les employeurs et le personnel de l ÉSMR sont donc invités à encourager les élèves à contacter le Carrefour Jeunesse Emploi de Verdun pour adhérer au projet», souligne Nicole Lemire, directrice générale de l organisme qui parraine le projet Équit-é. Pour information, composez le , poste 201. Le site Web du CJE Verdun est : sous la rubrique Projet Équi T-É.

14 Par Pierre Lussier Le Messager Verdun, publié le 19 janvier 2009 L équilibre travail-études est essentiel à la réussite scolaire Le travail rémunéré ne doit pas compromettre les études. Le projet «Équi T-É» a été développé d abord dans les Laurentides. Puis, de fil en aiguille d autres milieux, dont l école secondaire Mgr-Richard (ÉSMR), l ont adopté. Il s agit en fait de réduire les impacts négatifs du travail rémunéré des jeunes pendant leurs études afin d assurer leur réussite scolaire. On voit partout des jeunes, derrière le comptoir d un dépanneur, aux caisses dans une épicerie ou une pharmacie, et parfois au guichet d un établissement de restauration rapide. «Face à la présence croissante des jeunes au travail, nous nous préoccupons des impacts sur la réussite éducative de nos élèves», a expliqué Richard Guillemette, directeur de l ÉSMR, lors du lancement du projet mardi dernier. C'est dans ce contexte qu'est né le projet «Équi T-É» à Verdun. En fait, cette démarche a pour objectif de promouvoir les attitudes et les comportements favorables à la réussite éducative et à la persévérance scolaire chez les jeunes qui ont un emploi pendant leurs études. Le spectre de l abandon scolaire n est pas étranger à cette initiative menée par le Carrefour jeunesse-emploi de Verdun (CJE) et l ÉSMR. Loin d'empêcher les élèves d'occuper un emploi à temps partiel, le projet souhaite simplement arriver à une meilleure conciliation travail-études. «Ensemble, nous nous devons de veiller à ce que le travail pendant les études contribue à leur réussite», précise Nicole Lemire, directrice générale du CJE. Simon Van Vliet, agent de développement du projet au CJE Verdun, a énuméré les différentes raisons qui incitent les étudiants à se trouver un emploi rémunéré. Chez quelques élèves, il y a un argument de nécessité pour aider la famille. Pour d'autres c'est une volonté d'acquérir de l' autonomie, d'aller chercher de l'expérience ou carrément dans le but de se procurer des biens quand l'argent de poche reçu des parents, ne suffit pas pour des achats de I Pod, d'ordinateurs ou de voyages. Pour Simon Van Vliet, le nombre raisonnable d'heures de travail se situe entre 10 et 15 heures, au-delà on perçoit une propension à décrocher. Alain Laroche, commissaire au développement local a signé son engagement comme plusieurs gens d affaires soucieux de la réussite scolaire des jeunes. (Suite à la page suivante)

15 Deux élèves ont témoigné de leur expérience. Ariane Villemaire a 17 ans, elle travaille depuis l'âge de 15 ans pour se payer des loisirs, un téléphone cellulaire, et pour son projet de voyage en Europe. Ariane est en Secondaire V. Pour sa part, Yves Daniel Vasquez 19 ans, a commencé à travailler à l'âge de 15 ans, il consacre 25 heures et il affirme aider sa mère et son frère et il n'a pas nié que son travail avait pu nuire à ses études. ancement du projet, le pharmacien a expliqué qu'il faisait remplir des feuilles de disponibilité aux jeunes en tenant compte des exigences du calendrier scolaire. Pour lui, «le travail bien dosé fait le pont entre l'école et le monde du travail». La sensibilisation des jeunes et du milieu verdunois aux enjeux de la conciliation travail-études, est au coeur du projet «Équi T-É». On souhaite amener les employeurs qui embauchent des jeunes, à signer un engagement, les invitant à se préoccuper davantage de la réussite scolaire de leurs jeunes employés. Le projet veut aussi rejoindre les professionnels de la santé et des services sociaux qui donnent des rendez-vous aux jeunes sans tenir compte de leur horaire de cours. On parle des médecins, des dentistes, des optométristes, psychologues et autres. La mobilisation est donc amorcée et la conciliation travail-études constitue plus que jamais une priorité dans Verdun. Mobilisation dans la communauté «L'équité, j'en fais depuis des années», a confié le pharmacien Jacques Gendron, propriétaire de la Pharmacie Jean-Coutu de L'Île-des-Soeurs. Témoignant de son expérience lors du lancement du projet, le pharmacien a expliqué qu'il faisait remplir des feuilles de disponibilité aux jeunes en tenant compte des exigences du calendrier scolaire. Pour lui, «le travail bien dosé fait le pont entre l'école et le monde du travail». La sensibilisation des jeunes et du milieu verdunois aux enjeux de la conciliation travail-études, est au coeur du projet «Équi T-É». On souhaite amener les employeurs qui embauchent des jeunes, à signer un engagement, les invitant à se préoccuper davantage de la réussite scolaire de leurs jeunes employés. Le projet veut aussi rejoindre les professionnels de la santé et des services sociaux qui donnent des rendez-vous aux jeunes sans tenir compte de leur horaire de cours. On parle des médecins, des dentistes, des optométristes, psychologues et autres. La mobilisation est donc amorcée et la conciliation travail-études constitue plus que jamais une priorité dans Verdun. L équilibre travail-études est essentiel à la réussite scolaire - Quelques-uns des adhérents au projet étaient présents au lancement du projet.

16 INVESTIR DANS LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE