Dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche

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1 PRÉFET DU FINISTÈRE CABINET DU PRÉFET SERVICE INTERMINISTÉRIEL DE LA DÉFENSE ET DE LA PROTECTION CIVILE PLAN PARTICULIER D'INTERVENTION Dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche BREST Approuvé par arrêté préfectoral n du 31 mai 2010

2 Sommaire Arrêté... Erreur! Signet non défini. Préambule... 5 CHAPITRE 1 Le dépôt 6 Présentation du dépôt... 7 Implantation...7 Description du dépôt principal...7 Description du dépôt annexe...7 Présentation du dépôt... 8 Environnement...8 Voies d'accès...8 Activités du dépôt... 9 Réception, stockage et distribution de carburants...9 Reprise et traitement des carburants (remise) pour réutilisation ou élimination...9 Stockage de produits dispersants pour la lutte contre les pollutions marines...9 Traitement des résidus produits par le dépôt...9 Réception, stockage et expédition des eaux contenant des hydrocarbures provenant des navires de la marine nationale...9 Trafic induit par l'activité du dépôt...10 Capacités de stockage...10 Personnel...10 Horaires de fonctionnement...10 Procédure administrative Les scenarii d'accident le feu de bac et le feu de cuvette l'explosion de la phase gazeuse d'un bac Le boil-over sur réservoirs aériens l'éclatement par montée en pression lente d un réservoir pris dans un feu enveloppant CHAPITRE 2 LA ZONE D'INTERVENTION 18 Population - enjeux Population...19 Activités artisanales, industrielles et de loisirs...19 Etablissements recevant du public...19 Les réseaux : EAU, ErDF-GrDF et France télécom CHAPITRE 3 L'ORGANISATION DES SECOURS 21 Articulation du POI et du PPI L'alerte La fin d'alerte Schéma d'alerte Modèle de message d alerte des populations destiné aux radios Les moyens de secours internes du dépôt Ressources en eau...27 Réserves émulseurs...27 Matériels fixes...27 Moyens mobiles...28 Personnel de lutte incendie...28 Appel aux moyens externes...28 Les moyens de secours du SDIS Les secours médicaux L'organisation du commandement Les contre-mesures Emplacement des différentes structures Régulation de la circulation routière Gestion de la circulation Plan d'évacuation Gestion de la circulation maritime CHAPITRE 4 LES FICHES D'AIDE A LA DECISION 38 Chef du centre opérationnel départemental (COD)...39 Chef du poste de commandement opérationnel (PCO)...39 Commandant des opérations de secours...39 S.I.D.P.C...39 S.D.S.I.C...39 Communication...39 DREAL...39 D.D.T.M D.D.S.P S.A.M.U...40 A.R.S. D.D.C.S Maire...40 Brest métropole océane...40 Dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche...40 CHAPITRE 5 LES EXERCICES 41 1

3 Sommaire Les essais de sirènes Les exercices d'évaluation du PPI CARTOGRAPHIE 44 Le dépôt principales capacités de stockage Zone enveloppe des effets thermiques à cinétique rapide Zone enveloppe des effets de surpression a cinétique rapide Phénomènes dangereux à cinétique rapide Phénomènes dangereux à cinétique lente Zone enveloppe des effets à cinétique rapide et des effets à cinétique lente Localisation des carrefours d'intervention DDSP Implantation des structures Extrait du PER du SDIS Projet de plaquette d'information du public ANNEXES 60 Message d'activation du plan ORSEC Message de levée du plan ORSEC Fiches Météo-France Lexique Mises à jour Liste des destinataires

4 ARRÊTÉ n du 31 mai 2010 du Préfet du Finistère portant approbation du plan particulier d'intervention (P.P.I.) du dépôt d'hydrocarbures de la Maison-Blanche à BREST Le PREFET du FINISTERE, Chevalier de la Légion d'honneur, Officier de l Ordre National du Mérite, VU la directive n 96/82/CE du 9 décembre 1996 concernant la maîtrise des dangers liés aux accidents majeurs impliquant des substances ou des préparations dangereuses ; VU le code de l'environnement et notamment le livre V, titre 1 er ; VU la loi n du 13 août 2004 de modernisation de la sécurité civile ; VU le décret n du 13 septembre 2005 relatif aux plans particuliers d'intervention ; VU le décret n du 12 octobre 2005 relatif au code d'alerte national ; VU l'arrêté ministériel du 10 mai 2000, relatif à la prévention des accidents majeurs impliquant des substances ou des préparations dangereuses présentes dans certaines catégories d'installations classées pour la protection de l'environnement soumises à autorisation ; Vu la circulaire ministérielle du 23 juillet 2007 relative à l'évaluation des risques et des distances d'effets autour des dépôts de liquides inflammables et des dépôts de gaz inflammables liquéfiés ; VU l'étude de dangers et le plan d'opération interne (POI) du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche ; VU le rapport du contrôle général des armées (inspection des installations classées de la défense) transmis par courrier en date du 24 septembre 2009 ; VU l'avis du maire de BREST en date du 13 janvier 2010 sur le projet de plan particulier d'intervention ; VU l'avis du 28 mai 2010 du service du matériel du commissariat de la marine de BREST, exploitant du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche sur le projet de plan particulier d'intervention ; 3

5 VU les observations formulées durant la consultation du public du 26 mars 2010 au 26 avril 2010 inclus sur le projet de plan particulier d'intervention ; SUR proposition du sous-préfet, directeur de cabinet ; - ARRÊTE - ARTICLE 1er : le plan particulier d'intervention (PPI) du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche est approuvé et entre en vigueur à compter de la date du présent arrêté. ARTICLE 2 : le sous-préfet, directeur de cabinet ; le sous-préfet de BREST ; le maire de BREST le président de la communauté urbaine de BREST métropole océane ; le chef du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche ; le directeur départemental des services d'incendie et de secours ; le directeur départemental des territoires et de la mer ; le directeur départemental de la sécurité publique ; sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au recueil des actes administratifs de l'etat dans le Finistère. 4

6 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST PRÉAMBULE En raison du développement technologique dans les domaines de la chimie et des hydrocarbures, caractérisé par l'existence d'un nombre croissant de complexes industriels à hauts risques potentiels, la prévention des accidents susceptibles d'affecter ces installations et l'organisation des secours en cas de sinistres représentent plus que jamais une mission prioritaire pour les pouvoirs publics. La réglementation adoptée en application de la directive européenne du 9 décembre 1996 dite "directive SEVESO 2", a prescrit, à cette fin, un ensemble de mesures à mettre en œuvre et notamment : pour les exploitants, l'élaboration d'une politique de prévention des accidents majeurs visant à améliorer la prévention des accidents et à en limiter les conséquences pour l'environnement et la population ; une information des personnes exposées en cas d'accident, qui se traduit par une consultation du public sur le projet de plan particulier d'intervention (PPI) et par la mise à disposition de plaquettes d'information réactualisées au moins tous les cinq ans ; la réalisation par les exploitants de plans d'urgence internes dénommés plans d'opération interne (POI) et l'établissement par les pouvoirs publics, de plans d'intervention opérationnels visant à assurer la sauvegarde des populations et la protection de l'environnement appelés plans particuliers d'intervention (PPI) Le présent document constitue le plan particulier d'intervention (PPI) du dépôt d'hydrocarbures de Maison Blanche, établissement qui est soumis au régime de l'autorisation avec servitudes d'utilité publique au titre de la rubrique n 1432 de la nomenclature des installations classées pour la protection de l'environnement, ce qui correspond au classement communément appelé SEVESO seuil haut. Il a été élaboré par les services préfectoraux au vu de l'étude de danger et du plan d'opération interne (POI) fournis par la marine, exploitant du dépôt, et des conclusions rendues sur cette étude de dangers par le contrôle général des armées, inspection des installations classées de la défense. Le plan d opération interne (POI), dont le déclenchement est de la responsabilité de l'établissement lui-même, vise à circonscrire un éventuel sinistre et à en limiter les effets à l'intérieur de l'enceinte de cet établissement. Le plan particulier d'intervention (PPI) définit l'organisation des secours et de l'intervention visant à sauvegarder les populations menacées et l'environnement pour un incident dont les conséquences peuvent s'étendre à l'extérieur de l'établissement. 5

7 CHAPITRE 1 Le dépôt 6

8 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST Implantation PRÉSENTATION DU DÉPÔT Le dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche est situé sur la commune de BREST en limite ouest de l'agglomération, adjacent au quartier de St Pierre Quilbignon, sur un éperon rocheux de forme rectangulaire de 300 m de large et 900 m de long. Il se trouve à environ 100 m de la porte des Quatre Pompes, située à l'extrémité ouest de la base navale de BREST. Il est composé d un dépôt principal et d un dépôt annexe, qui sont séparés l un de l autre par la route de la Corniche. Le présent PPI concerne l ensemble constitué par le regroupement des deux dépôts. Dans le présent PPI, il est convenu que l ensemble ainsi formé sera désigné sous le terme «dépôt d hydrocarbures de la Maison Blanche». Description du dépôt principal Le dépôt principal, créé au début des années 30, d'une superficie de m 2 et d'une capacité globale de stockage de t, est constitué de 25 réservoirs, dont 5 datent de 1932, et des moyens de pompage associés. 8 de ces réservoirs ne sont plus exploités. Les deux plus grands réservoirs exploités ont une capacité de m 3 chacun et servent au stockage du gazole de navigation (GON). Les réservoirs ont été construits dans des encuvements creusés dans le sol et, pour deux d entre eux, recouverts d'un dôme en béton. Le dépôt assure la réception, le stockage et la distribution des combustibles nécessaires à la propulsion des navires de la Marine Nationale, au ravitaillement des aéronefs embarqués à bord des navires et des véhicules terrestres diesels du dépôt. Il assure également la réception, le stockage et la distribution de produits dispersants pour la lutte contre les pollutions marines. Ce dépôt est constitué de : Description du dépôt annexe 3 réservoirs aériens pour le stockage de 1700 m 3 d eau polluée par hydrocarbures ; 1 réservoir aérien pour le stockage de 450 m 3 de gazole de navigation ; 2 réservoirs aériens pour le stockage de 600 m 3 de carburéacteur. 2 postes de chargement des camions. Les réservoirs de stockage sont du type aérien à toit fixe, fonctionnant à pression atmosphérique. Le dépôt annexe, à terme, constituera une installation indépendante soumise à déclaration. L activité de stockage d hydrocarbures, qui est actuellement exploitée dans ce dépôt annexe, devrait être déplacée à la fin de l année 2011 vers le dépôt principal. A terme, seul le stockage des eaux polluées par des hydrocarbures dans les réservoirs R18, R19 et R20 sera maintenu dans le dépôt annexe. Il est précisé que le présent plan particulier d intervention prend en compte l analyse des risques qui se déduit de la situation actuelle, qui correspond à l activité de chacun des deux dépôts (dépôt principal et dépôt annexe) du site de Maison Blanche, à la date de son approbation. Il n anticipe pas, à ce stade, sur les perspectives liées à l évolution du mode d exploitation du dépôt annexe en termes de possibles réductions des risques susceptibles d'intervenir autour de ce dépôt. 7

9 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST PRÉSENTATION DU DÉPÔT Environnement Le terrain occupé par le dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche est bordé : au nord et nord-ouest par des zones résidentielles ; à l'est par la vallée des Quatre Pompes, avec la route du même nom et une zone résidentielle (dans le fond de la vallée, en contrebas du dépôt), et avec, de l'autre côté de la vallée, le centre d'instruction navale (CIN) ; au sud-est par l'extrémité ouest de la base navale (porte des Quatre Pompes) ; au sud par route de la Corniche, le dépôt annexe, puis la mer ; au sud-ouest par le mouillage de Maison Blanche et trois maisons ; à l'ouest, dans la partie basse du site par la vallée de la Maison Blanche où se trouve la station d'épuration intercommunale et la station de dinitratation du service infrastructure de la défense (SID) ; dans la partie haute du site par une zone résidentielle. L'habitat est très présent au nord-est et au nord-ouest, où plusieurs lotissements sont adjacents au dépôt. Cependant aucun établissement recevant du public n'est présent dans la zone la plus proche du site. Au sud, un sentier de grande randonnée longeant la côte, un sentier piéton et le mouillage de la Maison Blanche peuvent être des lieux fréquentés par le public notamment les week-ends. Voies d'accès L'accès "véhicules" au dépôt principal se fait par la route des Quatre Pompes puis par la rue Yves Floc'h. Il existe également deux accès secondaires, l'un en partie nord, l'autre en partie ouest accessibles à partir du quartier du Hildy. Un portail et un portillon, en partie sud du site, permettent un accès, uniquement piéton, à la partie sud du dépôt ainsi qu'à la galerie conduisant à la station de pompage souterraine et aux réservoirs relais du dépôt. Au Sud, il existe un accès au dépôt qui ne se prête pas à la circulation des poids lourds. 8

10 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST ACTIVITÉS DU DÉPÔT Le dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche et le dépôt annexe abritent quatre activités distinctes : réception, stockage et distribution de carburants ; reprise et traitement des carburants (remise) pour réutilisation ou élimination ; réception, stockage et distribution de produits dispersants pour la lutte contre les pollutions marines ; réception, stockage et expédition des eaux contenant des hydrocarbures. Réception, stockage et distribution de carburants Le dépôt est alimenté en gazole de navigation (GON) et carburéacteur (F44) par pétroliers d'une capacité maximale de tonnes qui déchargent au niveau du quai pétrolier de la base navale. Le carburant est poussé jusqu'à des réservoirs relais par les pompes du pétrolier. Il est ensuite transféré au niveau des différents réservoirs de stockage à l'aide des pompes du dépôt. Le gazole routier (GOR) et les produits dispersants sont livrés par camions. Les carburants stockés, qui peuvent subir des traitements (filtration, séparation de l'eau, ajout d'additifs) sont : du gazole navigation (GON) ( m 3 ) pour les navires de la marine nationale du carburéacteur haut point d'éclair (F43/F44) (8 930 m 3 ) pour les aéronefs embarqués ; du gazole routier (GOR) (5 m 3 )pour l'approvisionnement de la station service du dépôt ; du fioul domestique (1 m 3 ) pour le groupe électrogène de secours du surpresseur incendie. La distribution du carburant s'effectue de plusieurs manières : par canalisation pour le GON et le F44 (écoulement par gravité ou par pompage) du stockage vers les bouches à quai qui alimentent, soit directement le navire demandeur, soit un chaland citerne qui pourra ensuite alimenter différents navires ; par camions citernes pour le gazole routier, le GON et le F44. et les produits dispersants. Reprise et traitement des carburants (remise) pour réutilisation ou élimination Les navires ne sont pas autorisés à entrer en cale sèche avec leurs carburants. Avant la mise en bassin, ils doivent donc vidanger leurs réservoirs. Cette opération, appelée "remise" se fait par l'intermédiaire de chalands citerne qui récupèrent le carburant et le déchargent au niveau du quai pétrolier de la base navale ou par bouche à quai ou directement par camion dans un réservoir. Pour les remises par bouche à quai, le carburant de navigation est acheminé vers le dépôt par une canalisation spéciale. Après analyse, il est remis dans le stock ou déclassé, voire éliminé par une filière agréée. Stockage de produits dispersants pour la lutte contre les pollutions marines Stockés dans 6 réservoirs, pour un volume de 300 m3, ces produits sont utilisés dans la lutte contre les pollutions marines. Ils sont simplement stockés sur le site et aucune utilisation n'en est faite en interne. Traitement des résidus produits par le dépôt Les résidus d'hydrocarbures produits par le dépôt (boues de fond de réservoirs, séparateur, etc ) sont directement éliminés par des sociétés agréées. Réception, stockage et expédition des eaux contenant des hydrocarbures provenant des navires de la marine nationale Les eaux contenant des hydrocarbures provenant des navires de la marine nationale sont stockés dans 3 réservoirs au dépôt annexe. 9

11 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST ACTIVITES DU DEPOT (suite) Trafic induit par l'activité du dépôt Le trafic journalier moyen actuel provenant de dépôt d'hydrocarbures est d'environ : 75 passages de véhicules du personnel et des utilitaires du dépôt ; 45 passages de véhicules d'entreprises extérieures (tous types de véhicules confondus) ; 4 passages de camions citernes. Les camions citernes sortant du dépôt empruntent la rue Yves Floch puis la route des Quatre Pompes pour aboutir à la porte du même nom de la base navale. Le trajet retour se fait dans le sens inverse. Capacités de stockage (voir photo page 45) Le site de la Maison Blanche dispose, outre les réservoirs relais souterrains (permettant le transfert du pétrolier vers les réservoirs principaux) de : 2 réservoirs métalliques sous dôme béton de stockage de gazole de navigation (R4 et R5) ; 6 réservoirs métalliques aériens de stockage de gazole de navigation (R16, R21, R24 et R25) et de F44 (R14, R15) ; 1 réservoir aérien de 5 m 3 (GOR) pour la station service interne ; 1 réservoir aérien d'1 m 3 de gazole pour l'alimentation du surpresseur incendie ; 6 réservoirs aériens horizontaux de 50 m 3 de dispersants ; 1 cuve de 5 m 3 de collecte des résidus provenant des flexibles de dépotage. A l'époque de la création du dépôt, afin de les protéger d'éventuels bombardements, les réservoirs ont été construits dans les encuvements creusés dans le sol (cote à 9 m environ) qui forment des cuvettes de rétention. Certains autres réservoirs ont été recouverts d'un dôme en béton. L'ensemble des réservoirs en activité (réservoirs relais compris) représente un volume total de stockage de : m 3 de gazole navigation (GON) ; 8930 m 3 de carburéacteur haut point d'éclair (F44) ; 5 m 3 gazole routier (GOR) 300 m 3 de dispersant. Personnel Le personnel est composé de 2 cadres militaires ; 3 cadres civils ; 2 chefs d'équipe ; 16 ouvriers ; 5 agents de sécurité ; 1 secrétaire. L'effectif peut être éventuellement renforcé par du personnel du dépôt des lubrifiants situé dans la base navale (1 chef d'équipe et 3 ouvriers). Horaires de fonctionnement Jours ouvrables : 08h00-12h00 avec des plages d'horaires variables 13h00-17h00 Le dépôt, entouré de grillages et de barbelés, est gardienné 24h/24. Les portes d'accès sont fermées en permanence. 10

12 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST PROCÉDURE ADMINISTRATIVE Le dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche, ayant pour mission principale le stockage et la délivrance de carburant aux unités de la Marine Nationale de la région maritime Atlantique, a été mis en service en 1939 et fonctionnait jusqu'à présent sous le régime de l'antériorité. Le chef du service matériel du commissariat de la Marine (SERMACOM) à BREST a déposé un dossier de demande d'autorisation d'exploiter ces installations, en régularisation, auprès des services préfectoraux en juin La procédure d'instruction au titre des installations classées, qui a fait intervenir une enquête publique en mairie de Brest du 3 septembre au 3 octobre 2007 s'est conclue par l'arrêté ministériel en date du 12 juin 2008 autorisant le commissariat de la Marine de Brest à exploiter le dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à Brest (régularisation). 11

13 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST LES SCENARII D'ACCIDENT Dans le cadre de la régularisation administrative du site vis-à-vis de la réglementation des installations classées et pour évaluer les dangers inhérents aux activités du dépôt, l'exploitant a fait réaliser une étude de dangers. Celle-ci a fait apparaître quatre scénarios d'accidents majeurs susceptibles de provoquer en cas d'occurrence, des conséquences graves sur l'environnement, les biens et les personnes en référence à la notion d'accident majeur définie par la directive SEVESO II. Ces scénarios sont : un feu de réservoir ou de cuvette, phénomènes à effet thermique et à cinétique rapide ; une explosion de l'atmosphère gazeuse du bac, phénomène à effet de surpression et à cinétique rapide ; un boil-over en couche mince, phénomène à effet thermique et à cinétique lente ; l'éclatement par montée en pression lente d un réservoir pris dans un feu enveloppant, phénomène à effet thermique et à cinétique lente. Les distances d effets des feux de nappes et des explosions des phases gazeuses des réservoirs ont été calculées à l aide des formules de la circulaire DPPR/SEI2/AL du 31 janvier Les distances d effets du phénomène de boil over en couche mince ont été calculées à l aide des formules de la circulaire DPPR/SEI2/AL du 23 juillet

14 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST LE FEU DE BAC ET LE FEU DE CUVETTE Ces deux accidents ont été regroupés car ils sont similaires dans leurs effets. Il s'agit du feu d'une surface libre de combustibles avec émission de flux thermiques et de fumées. Cependant seul le feu de cuvette a été étudié car il est "majorant", la surface en feu, qui conditionne le flux thermique, étant plus importante. La conséquence la plus dangereuse de cet accident est l'émission d'un flux thermique. Il est à noter que les réservoirs en salle souterraine ou sous dôme (R1, R2, R3, R4 et R5) n'induisent aucune zone d'effet liée à l'émission de flux thermiques. En cas d incendie, les zones correspondant au seuil des effets thermiques "irréversibles" (autrement appelés "effets significatifs") et au seuil des effets thermiques "létaux" (autrement appelés "effets graves") induisent des zones d effet ayant les caractéristiques suivantes : bacs R24 et R25 : zones s étendant hors du site au niveau du lotissement du Hildy. Trois parcelles sont touchées, aucune habitation n est atteinte ; bacs R15 et R21 : zones s étendant hors du site au niveau de la vallée de la Maison Blanche, mais aucun effet n est à redouter pour la station d épuration, celle-ci se trouvant en contrebas du dépôt dans la vallée. (se reporter au tableau des zones d effet des phénomènes dangereux à cinétique rapide page 48 et à la carte des zones-enveloppes correspondantes page 46). 13

15 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST L'EXPLOSION DE LA PHASE GAZEUSE D'UN BAC L'explosion de la phase gazeuse d'un bac est causée par l'inflammation des vapeurs d'hydrocarbures pouvant être présentes dans les bacs. Les produits stockés dans le dépôt sont de type gazole avec un point d éclair supérieur à 55 c. Ils doivent être portés à une température supérieure à cette valeur pour que les vapeurs émises prennent feu en présence d une flamme. En situation normale, aucune atmosphère explosive n'est donc présente dans les bacs. Cependant en situation accidentelle, lors d'un incendie à proximité par exemple, une atmosphère explosive pourrait se former si le bac est chauffé. L'effet le plus pénalisant dans ce type d'explosion serait l'onde de pression qui pourrait engendrer des blessures graves pour les personnes et des dommages sur les constructions. Il est à noter que les réservoirs en salle souterraine ou sous dôme (R1,R2, R3, R4 et R5) ne sont à l'origine d'aucune zone d'effet liée à une onde de pression. L explosion de la phase gazeuse des réservoirs induirait les zones d effet suivantes : zone d "effets graves" (réservoirs R15, R21, R24 et R25) s étendant à l extérieur du dépôt touchant 3 terrains du lotissement du Hildy, cependant aucune habitation n est susceptible d être atteinte ; zone d "effets significatifs" (réservoirs R24 et R25) : - au nord-ouest : dans le lotissement du Hildy, environ 10 habitations sont concernées - à l ouest : une partie de la station d épuration. Zone d "effets indirects de bris de vitre", qualifiés d'"effets faibles", qui touche environ 40 habitations du lotissement du Hildy, 8 habitations de la vallée des Quatre Pompes ainsi qu une partie de la station d épuration. (se reporter au tableau des zones d effet des phénomènes dangereux à cinétique rapide page 48 et à la carte des zones-enveloppes correspondantes page 47). 14

16 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST LE BOIL-OVER SUR RÉSERVOIRS AÉRIENS Le scénario du "boil-over" était considéré comme le plus majorant dans l'étude de danger réalisée en février Cependant, une circulaire ministérielle du 23 juillet 2007 relative à l'évaluation des risques et des distances d'effets autour des dépôts de liquides inflammables et des dépôts de gaz inflammables liquéfiés émanant de la direction de la prévention des pollutions et des risques (MEEDDAT) a conduit à considérer ce phénomène dangereux comme techniquement peu vraisemblable et à y substituer un phénomène de moindre ampleur, le boil-over en couches minces. Suite à la parution de cette circulaire, la marine a réalisé un complément d'examen qui a conduit à exclure sur le dépôt de Maison Blanche, le scénario de boil-over au profit de celui de boil-over en couches minces. Cette étude a montré que compte tenu de la nature des produits stockés sur le site, les dispositions introduites par la notion de "boil-over en couches minces" pourraient s'appliquer au dépôt après étude complémentaire pour redéfinir des zones de danger de moindre amplitude que celles associées au boil-over classique définies dans l'étude de danger. L enveloppe des effets de boil over en couche mince affecte 6 habitations du lotissement du Hildy ainsi qu une partie de la station d épuration. (se reporter au tableau des zones d effet des phénomènes dangereux à cinétique lente page 50 et à la carte des zones-enveloppes correspondantes page 49). 15

17 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST L'ÉCLATEMENT PAR MONTÉE EN PRESSION LENTE D UN RÉSERVOIR PRIS DANS UN FEU ENVELOPPANT Le risque d éclatement des réservoirs atmosphériques à toits fixes pris dans un feu enveloppant peut être évité avec l installation d évents de surface adaptée. Pour éliminer ce risque, des évents ont été installés courant 2009, sur les réservoirs R14, R15, R16, R21, R24 et R25 du dépôt principal. Seuls les réservoirs du dépôt annexe présentent encore ce risque. Pour le calcul des distances d effet, la circulaire BRTCIP/ /AO dy 23 décembre 2008 préconise d adopter les distances d effets du boil over classique définies dans l instruction technique annexée à la circulaire du 9 novembre 1989 ou celles définies par la note du 7 octobre 2008 de l INERIS qui s inscrit dans le cadre de la révision du rapport Ω13 de mars Dans le cas du dépôt annexe, ce sont les distances d effet calculées avec les formules de l INERIS qui ont été retenues. La zone-enveloppe des effets d explosion par pressurisation lente d un réservoir pris dans un feu enveloppant impacte quelques bâtiments du dépôt annexe ainsi qu une partie de la route de la Corniche. (se reporter au tableau des zones d effet des phénomènes dangereux à cinétique lente page 50 et à la carte des zones-enveloppes correspondantes page 49). 16

18 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST PERIMETRE D APPLICATION DU PPI Le présent PPI prend en compte l'ensemble des phénomènes dangereux, que ceux-ci soient : à cinétique rapide : - un feu de réservoir ou de cuvette ; - une explosion de l'atmosphère gazeuse du bac ; à cinétique lente : - un "boil-over" en couche mince ; - l'éclatement par montée en pression lente d un réservoir pris dans un feu enveloppant ; dès lors que leur occurrence ne peut être totalement écartée et que ces phénomènes dangereux sont susceptibles de produire leurs effets à l'extérieur de l'enceinte militaire considérée (dépôt principal et dépôt annexe). La précision des effets potentiels dans l'espace de l'ensemble des phénomènes susceptibles, selon les cas, de trouver leur origine sur chacune des installations exploitées sur les deux dépôts, est détaillée dans les documents suivants, annexés au présent PPI : pour les scénarios à cinétique rapide : et tableau page 48 cartes pages 46 et 47 pour les scénarios à cinétique lente : et tableau page 50 carte page 49 DIMENSIONNEMENT GLOBAL DU PPI (ZONE ENVELOPPE DE REFERENCE) Le dimensionnement global du PPI, qui sert de référence pour l'organisation des mesures de secours pour les populations exposées à l'extérieur des deux dépôts et pour la gestion de la circulation en cas de crise, est la zone de synthèse ("zone-enveloppe") qui résulte de l'adjonction (par juxtaposition) de la totalité des effets "majorants" (à l'impact territorial le plus large) susceptibles d'être constatés en cas d'accident majeur. Cette zone enveloppe, qui est la synthèse : des cartes représentant les zones-enveloppes des scénarios à cinétique rapide, et de la carte représentant les zones-enveloppes des scénarios à cinétique lente, est représentée sur la carte annexée au présent plan, page

19 CHAPITRE 2 LA ZONE D'INTERVENTION 18

20 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST POPULATION - ENJEUX Population Localisation Type d'habitat Distance par rapport à la limite de propriété du dépôt Nord Maisons individuelles environ 250 m de la zone enveloppe Ouest sud ouest Est 59 maisons 6 appartements Lotissement avec maisons individuelles quelques habitations Maisons individuelles le long de la rue des Quatre Pompes Certaines maisons sont séparées du dépôt par la route de desserte du lotissement, d'autres propriétés sont directement adjacentes à la limite du site. En limite et en contrebas du site, à environ 100 m de la zone enveloppe à environ 100 m et en contrebas du site ZONE ENVELOPPE (périmètre de synthèse carte page 51 ) Nombre de logements Activités artisanales, industrielles et de loisirs Elément Position par rapport au dépôt adjacente Station d'épuration Sud ouest de la Maison Blanche Station de dénitratation du SID Port de plaisance de Maison Blanche Sud ouest Sud Nombre d'habitants Environ 210 personnes Distance à la limite de propriété du dépôt mais en bas de la falaise adjacente à la limite de propriété du dépôt mais en bas de la falaise 50 m Nombre de personnes 4 à 6 personnes Installation automatisée avec présence occasionnelle de personnel 131 mouillages 15 à 20 personnes en simultané La présence de la station d'épuration intercommunale de Maison Blanche dans ce périmètre sera à prendre en compte, s'agissant notamment des risques de contamination des plages avoisinantes, en cas d'accident affectant cette station : une interdiction de baignade pourrait être prise de la plage du Moulin Blanc à Brest jusqu'à celle de Porsmilin sur la commune de Locmaria Plouzané. En ce qui concerne les plages, le risque de pollution par des hydrocarbures doit être envisagé. Etablissements recevant du public Le Café-Tabac «La maison blanche» est situé en limite extérieure de la zone enveloppe du dépôt principal. Il peut accueillir une trentaine de personnes en simultané. Le local plongée du CSAM est situé entre les zones enveloppe des deux dépôts. Il peut accueillir une trentaine de personnes en simultané. 19

21 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST LES RÉSEAUX : EAU, ERDF-GRDF ET FRANCE TÉLÉCOM Eau En cas de dommages sur les conduites de distribution d'eau, la possible rupture d'alimentation en eau potable déterminera les mesures à prendre par l ARS : - pour les habitants du secteur concerné, notamment dans le cas où des mesures de confinement seraient préconisées ; - pour le SDIS qui devra prévoir un approvisionnement alternatif en eau d'extinction si besoin. Electricité - Gaz En cas d événement impliquant les réservoirs R24 et R25, une ligne HT (63 KV) d ErDf qui surplombe ces bacs, peut être mise hors service. Joindre le numéro de permanence de direction (cf Mémento ORSEC) France-Télécom La majorité des réseaux France-Télécom présents dans le périmètre étant des réseaux souterrains, l'impact d'un éventuel événement de nature à porter atteinte aux installations serait en principe limité. En cas de destruction des équipements de téléphonie du réseau fixe et/ou mobile, le remplacement de ces équipements serait opérationnel sous 36h à condition que les sites soient physiquement accessibles 20

22 CHAPITRE 3 L'ORGANISATION DES SECOURS 21

23 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST ARTICULATION DU POI ET DU PPI Plan d'opération Interne (POI) Scénario Incident circonscrit à l'intérieur de l'établissement et qui ne risque donc pas de compromettre l'intégrité de l'environnement. Responsabilité l'organisation des secours à l'intérieur de l'établissement relève du directeur de l'établissement et la mise en œuvre du POI, du directeur des opérations internes (DOI) désigné par l exploitant. Plan Particulier d'intervention (PPI) Scénario Incident qui a ou peut avoir des conséquences à l'extérieur de l'établissement et met en danger le voisinage et l'environnement. Responsabilité Le préfet est le seul responsable du déclenchement et de la mise en œuvre du PPI. Le préfet ou son représentant prend alors la direction des opérations de secours (DOS) à l extérieur et à l intérieur de l établissement. Le PPI peut également être déclenché sur suggestion de l'exploitant dès que survient un incident suffisamment grave susceptible d'engendrer une montée en pression lente d'un réservoir pris dans un incendie enveloppant. 22

24 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST L'ALERTE Il revient à l exploitant d alerter le préfet dès que la situation dans son établissement devient critique. Il peut suggérer la mise en œuvre du PPI et il lui incombe d alerter sur décision du préfet les populations voisines avec les sirènes PPI. Cependant, en cas de danger grave et imminent pour la population, l exploitant est autorisé à déclencher la sirène en mode réflexe, c'est à dire avant la demande de mise en application du PPI au préfet. Il rend toutefois compte de cette initiative à ce dernier le plus rapidement possible. Le dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche est appelé à se doter d'une sirène permettant de répondre à ses obligations vis à vis de l'information des populations environnantes. Signal d'alerte Ce signal consiste en trois cycles successifs d'une durée de 1 minute et 41 secondes chacune et séparés par un intervalle de 5 secondes, d'un son modulé en amplitude ou en fréquence : chaque cycle comporte 5 périodes de fonctionnement au régime nominal. La fréquence fondamentale du son émis au régime nominal est de 380 Hz (± 10 Hz) ; la première période a une durée de 10 secondes, les 4 suivantes ont une durée de 7 secondes ; chaque période est séparée de la suivante par une durée de 5 secondes comprenant une descente en régime de 4 secondes suivie d'une montée en régime de 1 seconde ; la première période est précédée d'une montée en régime d'une durée de 3 secondes ; la dernière période est suivie d'une descente du régime d'une durée de 40 secondes. LE SIGNAL D'ALERTE REPÉTÉ PAR LA SIRÈNE un cycle trois cycles successifs d'une durée de 1 minute et 41 secondes chacun et séparés par un intervalle de 5 secondes L'audition du signal d'alerte doit entraîner, au niveau des populations concernées, le confinement (mise à l'abri) immédiat et la mise à l'écoute des radios locales. La décision d'une éventuelle évacuation, si elle est décidée par le directeur des opérations de secours, sera portée à la connaissance des habitants par la police et le SDIS à l'aide de matériels sonores. Lorsque la décision de déclencher le PPI a été prise ou que la sirène a été déclenchée, le préfet adresse un message d'information des populations par l'intermédiaire de la radio France Bleu Breiz Izel et, le cas échéant, des autres radios desservant le secteur. Un modèle indicatif de message d'information des populations figure page

25 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST LA FIN D'ALERTE Signal de fin d'alerte La décision de fin d'alerte est prise par le COD sur proposition du PCO. Elle se traduit par la diffusion d'un message de fin d'alerte déclenché par l'exploitant. Le signal national de fin d'alerte comporte un cycle unique consistant en une seule période de fonctionnement au régime nominal (380 Hz ±10 Hz) d'une durée de 30 secondes. LE SIGNAL DE FIN D'ALERTE un cycle unique d'une durée de 30 s 24

26 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST SCHÉMA D'ALERTE Témoin (alerte sur 18, 15, 112, 17 ou dépôt) dépôt d'hydrocarbures de Maison Blanche population Préfecture Maritime radios CODIS (18 ou 112) Préfecture Marinspompiers SOUS- PREFECTURE BREST SAMU 29 POLICE DDSP DDTM Mairie de BREST Brest Métropole Océane CODIS SAMU ARS - DDCS DREAL - UT 29 (expert) Bibus DMD ErDF-GrDF France Télécom station d'épuration de Maison Blanche Météo France Base Hélico Associations de secourisme et caritatives COZ-Rennes Autorités judiciaires COGIC Ministères intérieur et écologie 25

27 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST MODÈLE DE MESSAGE D ALERTE DES POPULATIONS DESTINÉ AUX RADIOS Modèle de message d information aux populations à adresser à France Bleu Breiz Izel et aux autres radios locales en cas de déclenchement du PPI Le Préfet du Finistère communique : Un accident vient de se produire dans le dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche situé route des Quatre Pompes à BREST. Vous devez vous mettre à l'abri dans le bâtiment dans lequel vous vous trouvez actuellement (ou dans le bâtiment le plus proche) si vous habitez ou si vous travaillez dans la zone de dangers comprise dans les limites géographiques suivantes : A l intérieur du quartier du Hildy ; Rue des Quatre Pompes, entre la rue Yves Floc h et la route de la Corniche. Pour votre sécurité, dans cette zone il est impératif de respecter les consignes suivantes : Mettez-vous à l abri d un bâtiment stable et fermez les portes et les fenêtres ; Ne fumez pas ; Ne téléphonez pas, sauf urgence vitale, afin de laisser le réseau libre pour les secours ; Coupez les ventilations mécaniques et la climatisation ; Ecoutez France Bleu Breizh Izel. De plus amples informations ou consignes vous seront données sur France Bleu Breizh Izel (fréquence de Brest 99.3 MHz ou fréquence générale 93 MHz) 26

28 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST LES MOYENS DE SECOURS INTERNES DU DÉPÔT 1) ressources propres au dépôt : Ressources en eau un bassin aérien d'une capacité de m 3 alimenté à partir de la réserve d'eau du service infrastructures de la défense (SID). L'eau de ce bassin est injectée dans le réseau de lutte incendie par l'intermédiaire d'une station de pompage (surpresseur). En cas de panne du surpresseur, les marins pompiers peuvent pomper l'eau directement dans la réserve. En cas d'indisponibilité de la station de pompage, le réseau incendie peut être alimenté par le réseau public d'eau potable dont le débit est de 200m 3 /h à 4 bars ; deux réservoirs d'eau enterrés de 1000 m 3 chacun, exploités par le SID qui assurent l'alimentation en eau potable de la base navale et qui sont équipés de prise d'eau de 110 mm permettant aux moyens mobiles des marins pompiers d'y aspirer directement de l'eau. 2) Réseau Incendie : Le réseau incendie est composé de canalisations en matière composite de diamètre 250 mm. Il est entièrement maillé, constitué de 22 vannes de sectionnement, ce qui permet d'isoler un tronçon en cas d'avarie, et de 17 poteaux incendie à 3 sorties (deux de 110 mm et une de 65 mm) répartis sur l'ensemble du site. Le débit de ce réseau est de 600 m 3 /h à 12 bars. Réserves émulseurs Le site dispose d'un stock de produits émulseurs synthétiques AFFF, disposés en différents points de regroupement (plate-formes pour émulseurs). La quantité totale d'émulseur présent sur le site est de litres d'afff et de litres de haut foisonnement pour éteindre un éventuel sinistre en partie souterraine. Par ailleurs, sont stockés près des produits dispersants litres d'émulseurs pour liquides polaires, spécifiques pour ces produits anti-pollution. Matériels fixes Les installations situées au sud du dépôt sont protégées par des moyens fixes de lutte contre les incendies, comprenant un manifold situé près du réservoir R4, raccordé d'une part au réseau incendie et d'autre part à une réserve d'émulseur. De ce manifold partent des canalisations d'eau dopée destinées à alimenter : un réseau de production de mousse dans l'encuvement de la salle des relais ; une boite à mousse pour chacun des réservoirs relais R1, R2 et R3 ; un réseau de production de mousse pour l'encuvement du réservoir R4 ; quatre boîtes à mousse sur le réservoir R5 ; trois boîtes à mousse sur le réservoir R4 ; un réseau de production de mousse pour l'encuvement du réservoir R5 ; un réseau de production de mousse pour la station de pompage. 27

29 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST LES MOYENS DE SECOURS INTERNES DU DEPOT (suite) type de matériel Moyens mobiles quantité Extincteur eau diffusé avec additif moussant 9 litres 31 Extincteur eau diffusé avec additif moussant 90 litres 1 Extincteur poudre ABC 6 kg 15 Extincteur poudre ABC 9 kg 14 Extincteur poudre ABC 45 kg 2 Extincteur CO 2 2 kg 26 Extincteur CO 2 5 kg 9 RIA 2 Générateur de mousse (mini alpha) de 140 m 3 /mn 6 Pré-mélangeur pour générateur de mousse, DN l/mn 6 Canon Vector 4500 l/mn 1 Canon Partner 2000 l/mn 1 Lances à mousse 400 l/mn (deux lances à poste fixe en station de pompage) 5 Lances à débit variable DN l/mn 14 Lances à débit variable DN l/mn 13 Pré-mélangeur DN l/mn 13 Pré-mélangeur DN l/mn 5 Queues de paon (rideau d'eau) 5 Moto pompe sur remorque incendie 1 Dévidoir gréé avec 200 m de tuyaux DN 45 3 Personnel de lutte incendie L'équipe sécurité incendie du dépôt dispose : d'un véhicule léger équipé de matériel de secourisme dédié au traitement d'éventuelles victimes de brûlures ; d'une remorque équipée de tuyaux et d'une motopompe pour produire de la mousse pour alimenter un canon de débit maximum de 4500 l/mn ; une remorque de 1200 l d'émulseur bas, moyen foisonnement ; Appel aux moyens externes Les marins-pompiers interviendront en priorité sur le site en cas d'accident ne pouvant être contrôlé dans les premiers instants par les équipes du dépôt. En vertu de la convention d'entraide mutuelle n P/139/CECLANT/ADM/2005 du 6 février 2006, les marins pompiers pourront faire appel au service département d'incendie et de secours en tant que de besoin. 28

30 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST LES MOYENS DE SECOURS DU SDIS Ces documents sont communiqués à titre indicatif. En cas d'accident majeur sur le site, le service départemental d'incendie et de secours (SDIS) active et met en œuvre les moyens mentionnés au plan d'établissement répertorié (PER) élaboré par ses soins pour le site du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche. 29

31 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST LES SECOURS MÉDICAUX Le Centre 15 est contacté par le CODIS et/ou la DDSP 1 ère équipe : Le CRRA/Centre 15 demande au SMUR de BREST d intervenir. La première équipe de SMUR est composée de : un médecin spécialisé dans l urgence ; un infirmier diplômé d état (IDE) ou infirmier spécialisé (IADE) ; un ambulancier. Le véhicule du SMUR transporte du matériel médical suffisant pour traiter dans l urgence 4 à 5 victimes graves. Le temps de route est estimé à 20 minutes. Renforts rapides : Après un bilan d ambiance de l équipe SMUR sur place, ou plus rapidement selon les informations obtenues, le CRRA/Centre 15, sur avis du pré DSM déclenche des renforts médicaux : Une ou deux équipes SMUR de BREST L équipe SMUR de QUIMPER L équipe SMUR de MORLAIX Une de ces équipes peut être transportée par hélicoptère. Ces différentes équipes SMUR ont la même composition que la première équipe SMUR et transportent le même matériel médical suffisant pour traiter chacune 4 à 5 blessés graves. Le lot roulant du PSM2, permettant le traitement de 25 blessés, basé au CHU de BREST peut arriver, si besoin, sur les lieux avec une des équipes SMUR de BREST. La couverture SMUR de la partie sud du département reste assurée par les SMUR de CONCARNEAU et QUIMPERLÉ. La couverture de la partie nord du département reste assurée par les SMUR de CARHAIX et DOUARNENEZ. Renforts suivants : Selon les besoins, le CRRA/Centre 15 effectue un rappel de personnel pour renforcer les équipes médicales déjà engagées. Le PSM2 peut être transporté sur place en partie ou en totalité. Une demande de renfort peut également être sollicitée auprès des médecins libéraux du secteur et du service de santé des armées. Les personnels médicaux du Service de Santé Secours Médical (SSSM) du SDIS, déclenchés par le CODIS, s intègrent dans les moyens de secours du SAMU. Les entreprises de transport sanitaire sont informées. CUMP (cellule d urgence médicopsychologique) : Dès l alerte, le SAMU appelle le médecin référent départemental de l'urgence médicopsychologique en cas de catastrophe. 30

32 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST L'ORGANISATION DU COMMANDEMENT Dès le déclenchement du PPI par le préfet, directeur des opérations de secours, le COD se met en place à la préfecture dans la salle de crise. Le COD est composé d'un membre : du SIDPC du SDSIC du service communication de la préfecture du SDIS de l'ars (UT 29) de la DDSP de la DDTM de la DREAL (UT 29) de la DMD Cependant dans le cas d'un déclenchement de PPI sur la commune de BREST, pour que la gestion de crise se fasse au plus près du lieu de l'événement, le COD pourra être allégé au profit du PCO qui peut être mis en place sous l'autorité du préfet à la sous-préfecture de Brest. Tous les services dont la présence est nécessaire à la gestion de la crise seront représentés au PCO ainsi que le représentant du maire de Brest et de la communauté urbaine de Brest métropole océane. Les moyens de transport sanitaires sont mobilisés par le centre 15, par l'intermédiaire de la l ARS présente au COD, à la demande du chef du PCO. 31

33 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST LES CONTRE-MESURES 1 ) Evacuation et confinement Dès le déclenchement de la sirène, le dépôt d'hydrocarbures de Maison Blanche prend en charge la sécurité des personnes présentes sur le site. La population située dans la zone de dangers doit se confiner (se mettre à l'abri). Cependant, si le risque d'explosion n'est pas imminent et sur décision du préfet, la DDSP peut être amenée à demander à la population d'évacuer les lieux et de se rendre au point de rassemblement qui sera désigné parmi les points suivants : Population Lieu de rassemblement Adresse Habitants des quartiers Gymnase Quilbignon Rue de la résistance - Brest Dès la levée du PPI, la préfecture maritime (SSE) concourt avec l'autorité préfectorale à la détermination des conditions de retour de la population évacuée. 2 ) Régulation de la circulation routière et bouclage de la zone de la zone de référence du PPI Son efficacité nécessite une mise en oeuvre rapide à partir du déclenchement de la sirène et la demande du chef d'établissement ; les déviations et les barrages filtrants seront mis en place par les services techniques de Brest Métropole Océane ; la DDSP procédera au bouclage de la zone et à sa sécurisation ; 3 ) Pré-alerte des gestionnaires de réseaux La préfecture mettra en pré-alerte les opérateurs suivants : ErDF-GrDF France Télécom 32

34 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST EMPLACEMENT DES DIFFÉRENTES STRUCTURES Le Centre Opérationnel Départemental (COD) est situé en préfecture du Finistère à Quimper (salle de gestion de crises). Le Poste de Commandement Opérationnel (PCO) est situé à la sous-préfecture de Brest. Au Poste Médical Avancé (PMA) seront évacuées les personnes blessées lors de l'accident. Il pourrait se situer dans le stade Raymond Chapel, rue de Kerarbleis à BREST. Si nécessaire, une Drop Zone (accueil d'hélicoptères) est mise en place sur le terrain des sports du stade Raymond Chapel, rue de Kerarbleis à BREST. Une chapelle ardente pourrait, le cas échéant, être mise en place par la ville de Brest dans la salle A 250 de la Maison pour tous de Saint-Pierre (accès par la rue de la Résistance) à Brest. Dans cette perspective la chapelle ardente est placée sous la responsabilité de la police. L'accueil des familles sera organisé par le maire de Brest qui pourra le cas échéant solliciter par l'intermédiaire du PCO, le COD pour obtenir le concours d'associations de secourisme, d'associations caritatives ou d'une cellule de soutien psychologique. Le centre de regroupement des moyens de secours se situe sur le terrain de sports du stade Raymond Chapel, rue de Kerarbleis à BREST. Le point de transit se situe sur le terrain de sports du stade Raymond Chapel, rue de Kerarbleis à BREST. (Voir carte page 53) 33

35 P.P.I. du dépôt d'hydrocarbures de la Maison Blanche à BREST RÉGULATION DE LA CIRCULATION ROUTIÈRE Le déclenchement du PPI emporte interdiction de circulation dans le périmètre enveloppe de référence. (pas de nécessité de prendre un arrêté de circulation spécifique). Dès le déclenchement du PPI, la direction départementale des territoires et de la mer (DDTM) est chargée de coordonner les opérations ayant trait à la circulation en liaison avec les gestionnaires de voirie. Dans ce cadre, elle désigne au sein de son service le responsable des opérations qui prend l'attache des services de la mairie de Brest, de Brest métropole océane et de la DDSP afin que ceux-ci : assurent le balisage des obstacles et dangers ; mettent en place la signalisation de bouclage de la zone de dangers ; mettent en place, à la demande de la DDSP, les itinéraires de déviation ; remettent sommairement en état les infrastructures et la signalisation. préviennent le CRICR des restrictions de circulation (DRO, CG). La DDTM prévient et assure l'information du centre régional d'information et de coordination routières (CRICR), au sujet des restrictions de circulation. Elle collecte, fournit au représentant du préfet et tient à jour l'information de synthèse correspondante. (voir carte page 52) 34

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