Une demande de psychothérapie individuelle est souvent posée par la personne concernée.
|
|
- Gaspard Raymond
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La Boulimie : L hospitalisation est exceptionnelle. L approche thérapeutique de la boulimie n est pas univoque, elle peut passer par l association de plusieurs techniques : - la psychanalyse - la psychothérapie psychanalytique - les groupes de parole - les thérapies cognitivo-comportementales Une demande de psychothérapie individuelle est souvent posée par la personne concernée. Mais cet abord psychothérapique (qu il soit de soutien ou analytique) confronte la boulimique à une situation en tête à tête avec le thérapeute. C est quelquefois difficile à supporter dans le cas de la boulimie. Aussi peut-on parfois préférer, au moins dans un premier temps, une approche groupale dans les divers groupes de parole animés par un psychothérapeute. Bien sûr la rééducation alimentaire avec les diététiciens et l amélioration de l image du corps ne doivent pas être oubliées. L approche psychanalytique, dont l importance capitale n est plus à démontrer, se fera parallèlement et très progressivement.
2 Boulimie Vider un sac de croustilles en regardant la télévision, avoir une rage de sucreries parce qu on vit une petite déception et être en mesure d arrêter lorsqu on en a assez Est-ce qu on peut qualifier cela de boulimie? Certainement pas! Appelons cela plutôt de la gourmandise qui peut vous arrondir un peu et puis après? La boulimie quant à elle, réfère à un besoin impérieux d avaler une grande quantité de nourriture sans nécessairement avoir faim, sans plaisir. On pourrait qualifier la boulimie comme étant une impulsion qui pousse la personne a le sentiment de perdre le contrôle sur son comportement alimentaire : elle a l impression de ne pas pouvoir s arrêter de manger ou de ne pas avoir le contrôle sur ce qu elle mange ou sur la quantité d aliments absorbés. Elle répond à un manque, un malaise intérieur. La nourriture sert de refuge. La personne boulimique mange souvent seule et en cachette, se sent terriblement honteuse et coupable à la suite d une crise de boulimie, d où l utilisation de méthodes compensatoires visant à contrôler le poids, telles que les vomissements provoqués, l emploi abusif de laxatifs, de diurétiques, de lavements ainsi que le recours à des jeûnes ou à de l exercice physique pratiqué de façon excessive. Les personnes boulimiques croient que leur problème relève des orgies alimentaires mais ces dernières sont dues entre autres aux trop grandes restrictions alimentaires imposées au corps et aux séances de purgation, cela devient donc un véritable cercle vicieux. Les décès causés par la boulimie sont plutôt rares, par contre, ces jeunes femmes hypothèquent leur santé car plusieurs conséquences apparaissent : déchaussement des dents, rétention d eau, lésions du cœur et des reins, débalancement du système hydoélectrolytique pour n en nommer que quelques-unes. Une note positive à ce tableau : les personnes boulimiques sont beaucoup plus enclines à demander de l aide que les personnes anorexiques.
3 En résumé, la boulimie est un désordre alimentaire qui allie une insatisfaction de son image corporelle et une faible estime de soi à un trouble du «moi» profond, un problème d identité aigu. De la boulimie, plusieurs vont s en sortir, à la condition d être patientes et d accepter de regarder ses émotions et ses comportements et d essayer de les comprendre. Conséquences : Physiques - Déchaussement des dents - Fatigue - Trouble du sommeil - Œdème - Perte de potassium et magnésium - Débalancement du système hydroélectrolytique Sociales - Isolement-retrait social - Perte du cercle social - Relation difficile avec sexe opposé Psychologiques - Dépression - Dévalorisation, dépréciation - Fausse perception de l image corporelle et des événements - Anxiété, angoisse - Changement dans les humeurs Économiques - Coût élevé pour la nourriture (crise de boulimie) - Coût associé à l achat de laxatifs, diurétiques Faible estime de soi Dépression Insécurité Isolement Anxiété Irritabilité Sentiment de culpabilité Perfectionnisme accru
4 Comment reconnaître la boulimie - Il est beaucoup plus difficile d identifier une personne boulimique parce que : Son poids est généralement «normal» Elle s isole lorsque les crises surviennent -Par contre, certains indices peuvent être révélateurs comme : Mains couvertes de gerçures Œdème aux joues Dentition détériorée Le besoin soudain d aller à la salle de bain à la fin des repas Nourriture cachée Facteurs prédisposant à la boulimie - Sensiblement les mêmes que l anorexie cependant, les personnes qui vivent de la boulimie ont vécu des situations d abus sexuels dans plus de 30% des cas. Attitudes de la personne boulimique Changements de l humeur (dépression, tristesse, culpabilité) Autocritique sévère Besoin d être approuvée par les autres pour se sentir bien Estime de soi influencé par le poids Isolement Pensées suicidaires Impulsivité
5 Profil des personnes ayant un trouble des conduites alimentaires Plus concentré entre ans 5% après 25 ans 90% sont des femmes 10% sont des hommes 1/3 des personnes vont retourner à des habitudes de vie saines 1/3 vont demeurer avec certains comportements problématiques 1/3 vont malheureusement demeurer prisonnières de cet enfer et 5% à 20% vont décéder soit de complications graves ou de suicide
6 Parents Proches Comme parents, vous souhaitez sans aucun doute le meilleur pour l avenir de votre enfant. Alors lorsque vous découvrez que ce dernier vit des difficultés pouvant être associées à un trouble des conduites alimentaires, il est tout à fait compréhensible que vous ressentiez de la colère, de la tristesse, de l incompréhension. Sachez que c est normal que vous viviez ces sentiments douloureux. En effet, vous êtes plusieurs à ressentir beaucoup d impuissance face à la souffrance de votre enfant et à être également démunis devant une assiette presque vite ou ne sachant plus quoi dire quand les aliments disparaissent subitement. Nous avons voulu transmettre quelques pistes de solutions pouvant vous guider quant aux attitudes pouvant être aidantes au quotidien et à celles qui sont à éviter, ne faisant bien souvent qu augmenter le niveau de tension et d anxiété. Mais comme nous savons pertinemment que c est souvent «plus facile à dire qu à faire», n hésitez surtout pas à contacter une intervenante qui saura vous écouter et vous supporter dans vos démarches. Ce que l on doit savoir afin de mieux aider Être un parent et assister impuissant à la souffrance de son enfant est la pire des tortures. Être le conjoint, l ami, un proche d une personne anorexique ou boulimique et la voir se détruire ainsi n est guère plus facile. Dans l une ou l autre des situations, les même questions reviennent : Qu est-ce que je dois faire? Qu est ce que je dois dire? Etc. Voici quelques attitudes qui sauront vous guider dans l approche et les actions à poser envers une personne vivant un trouble des conduites alimentaires.
7 Attitudes à éviter, dans la «mesure du possible» 1. Éviter de servir de la nourriture comme moyen de communication, comme récompense ou punition. Par exemple, il est préférable de lui demander «comment ça va?», plutôt que de toujours parler du contenu de son assiette. 2. Éviter de feindre l indifférence ou ignorer le problème, à long terme, cela ne règle rien. Bien sûr, si pour une période, c est le moyen de vous protéger, de mettre vos limites, c est correct 3. Éviter de faire du chantage émotif en vous servant de la nourriture; c'est-à-dire obliger la personne à augmenter ou à restreindre son apport alimentaire ne ferait qu augmenter l anxiété. 4. Éviter de croire à des solutions miracles. Par exemple : croire que si la personne mange plus ou moins, le problème sera réglé. Malheureusement, il n existe pas de solutions magiques qui font disparaître le problème instantanément. 5. Éviter de contrôler ce que la personne fait et/ou mange. Il ne faut pas oublier que la personne défend son territoire, en l occurrence son assiette et son corps. 6. Éviter d imposer ses idées. Il vaut mieux tendre vers une négociation plutôt qu une imposition. 7. Ne jamais oublier que l excès d insistance appelle l excès de résistance. Attitudes à adopter 1. Avoir une attitude de non-jugement face à ce que la personne nous dit. C est sûr, parfois c est difficile comme parent ou proche, car ce que l on voudrait, c est qu il n y ait pas d anorexie ou de boulimie, mais dans le moment, cela fait partie de la vie de la personne. 2. Exprimer clairement à l autre ce que la situation nous fait vivre (je me sens, j ai l impression que, etc.) lui donne également la liberté de le faire à son tour. À ce titre, le message dit en «je» est plus approprié que le «tu» qui est plutôt accusateur.
8 3. Vérifier avec la personne comment elle se sent physiquement et psychologiquement plutôt que de demander si elle a mangé ou non. 4. Axer la communication sur la responsabilité de la personne : la voir comme quelqu un de capable. 5. Encourager les réussites personnelles de la personne. L anorexie ou la boulimie n est qu un aspect de la personne. Au-delà du problème, elle possède toujours ses qualités, ses talents, ses forces 6. Maintenir un discours cohérent de la part de tous les membres de la famille. 7. Être à l écoute tout simplement. Et surtout, ne pas oublier d être aussi à l écoute de soi, donc se réserver des zones de plaisir, du temps pour soi
9 Planning Familial La Boulimie Qu est-ce que la boulimie? Vivre des crises de boulimie, c est perdre le contrôle de ce que l on mange et de la quantité avalée. C est, par exemple, entamer un cake ou un paquet de biscuits et ne pas pouvoir s arrêter de manger tant qu il en reste. Si cela arrive de façon espacée, ce n est pas forcément de la boulimie, on peut alors parler de troubles alimentaires, mais c est à surveiller. D où vient ce besoin de manger, souvent sans faim? C est une histoire ancienne. Le bébé qui a connu, dans le ventre de sa mère, une ambiance feutrée, une température agréable, a aussi été nourri de façon régulière sans jamais ressentir ni faim ni frustration. Lorsqu il naît, il se trouve confronté au bruit, au froid, aux manques. C est avec un biberon que ses besoins seront calmés (provisoirement). Devenu grand, il aura à vivre des soucis quotidiens qui vont réveiller des angoisses anciennes. Manger est un mécanisme de défense pour tenter de faire taire nos angoisses. Comment se vit la boulimie? La préoccupation constante de leur poids amène certaines personnes à éliminer par tous les moyens possibles l excès de calories ingérées. Certaines se font systématiquement vomir après chaque épisode de compulsion alimentaire, d autres utilisent des laxatifs ou des diurétiques; à cela s ajoute souvent l utilisation de coupe-faim et la pratique d exercices physiques compulsifs, sans oublier les différents régimes successifs et souvent anarchiques.
10 Ces comportements sont souvent vécus dans une grande solitude à laquelle s ajoute une anxiété d être découverte et d avoir à affronter le jugement des autres. Un sentiment de honte empêche souvent ces personnes de parler de leurs difficultés à qui que ce soit et ce, souvent pendant des années, ce qui les amène parfois à un retrait ou à un isolement des activités normales. La peur de prendre du poids peut devenir alors une obsession mais, quoi qu il en soit, leur image corporelle est généralement très perturbée, voire inexistante. Quels traitements? On ne peut pas parler d un traitement efficace dans tous les cas de boulimie. Il est important d adapter à chaque individu, selon sa personnalité et en fonction de l historique de son trouble, un traitement qui lui correspond. D autre part, il est indispensable que la demande soit claire et que l on puisse sentir un vrai désir d entreprendre une démarche qui peut s avérer longue et difficile. Tout traitement en psychothérapie peut alors être entrepris sous forme individuelle ou en groupe. Il s agit alors de comprendre puis d apprendre à gérer les causes fondamentales. Un suivi nutritionnel donnera des repères indispensables à une progression de la psychothérapie; à l inverse, l avancée dans la compréhension de ce qui se vit permettra à la personne de trouver des ressources pour mieux gérer sa nourriture au quotidien.
11 La Boulimie : C est un trouble du comportement alimentaire qui peut apparaître au cours de l adolescence mais qui peut se prolonger bien au-delà de cette période. La boulimie se manifeste par des crises, des accès qui ne peuvent être contrôlés et qui se répètent avec une fréquence variable : plusieurs par jours à quelques uns par mois. Ces accès sont précédés d une période de tension, d une angoisse qui peut être déclenchée par des événements extérieurs. La personne concernée n a plus qu une idée en tête : se remplir de nourriture le plus vite possible et le plus possible. L après-crise est marquée par des phénomènes physiques très désagréables : nausées, douleurs abdominales, gonflement, fatigue mais aussi par un profond malaise psychique : sentiment de culpabilité d avoir perdu le contrôle de soi-même. La boulimie ne s accompagne pas toujours de prises de poids; dans certains cas, les crises se terminent par des vomissements provoqués et des périodes de restriction alimentaire de type anorexique peuvent alterner avec des périodes de boulimie. C est pourquoi l entourage de la personne concernée peut tarder à prendre conscience du phénomène. Le boulimique a souvent conscience du caractère pathologique de son comportement alimentaire mais a beaucoup de difficulté à en parler. La boulimie en France, quelques chiffres. La boulimie se vit dans la honte et dans le secret.
12 Crises de Boulimie : - Rythme des crises : de plusieurs par semaine à quelques unes par mois. - La pré-crise : excitation, angoisse, lutte contre le désir de manger et échec. - La crise proprement dite : ingestion gloutonne, souvent sans mastication, de nourriture variable en grande quantité. Suivie ou non de vomissements provoqués avec parfois un certain rituel. - La post-crise : fatigue et malaises divers en particulier intense remords et sentiment de honte. Les comportements alimentaires en dehors des crises boulimiques sont eux-mêmes perturbés : anorexie, restriction alimentaire, alimentation déséquilibrée.
13 La Boulimie en France : Pour des raisons notamment culturelles, l image du corps et l estime de soi sont des préoccupations primordiales chez les femmes très jeunes, et dans diverses couches socio-économiques. Elles sont donc particulièrement concernées par des conduites alimentaires pathologiques. Il existe même des groupes à risque : danseuses, mannequin, etc. La prédominance féminine est donc très importante : sur dix boulimiques, neuf sont des femmes. 2% de la population féminine générale et 4 à 8% de la population féminine étudiante (soit environ femmes jeunes) souffrent de boulimie active dans notre pays. Dans 70% des cas les boulimiques gardent un poids normal. L âge de début se situe soit à l adolescence soit vers 18-20ans. Mais n oublions pas cependant que 1 cas de boulimie sur 10 est masculin.
14 L hyperphagie : Il existe d autres désordres alimentaires moins graves que l anorexie et la boulimie, comme l hyperphagie qui est une prise excessive d aliments. Celle-ci peut être d origine familiale ou résulter de mauvaises habitudes alimentaires, en particulier elle peut être la conséquence de régimes trop restrictifs. Elle peut prendre la forme d agapes transitoires et occasionnelles ou se présenter comme un grignotage permanent. L Hyperphagie et la Boulimie présentent des tableaux assez différents. Contrairement à la boulimie, l hyperphagie ne se présente pas sous forme de crises aiguës suivies de vomissements et ne comporte pas de comportements compensatoires comme la prise de purgatif, le jeûne, ou l exercice physique excessif. C est plutôt une forme de grignotage permanent ou une prise de quantité d aliments largement supérieure à la moyenne alimentaire avec total déséquilibre nutritionnel qui amène bien évidemment une prise de poids plus ou moins importante. Ce type de comportement alimentaire est souvent causé par une dépression réelle exprimée ou non. Cette frénésie alimentaire sert justement de consolation, de compensation à un état dépressif qui fait que l on se sent anxieux, seul, fatigué ou que l on s ennuie. La mise en place de régimes restrictifs dans ce contexte dépressif est inefficace et aggrave souvent le syndrome. Seules les psychothérapies (psychanalytiques) et éventuellement un traitement antidépresseur ont fait preuve d une efficacité.
15 Troubles des conduites alimentaires L anorexie mentale prépubertaire Atmedica L anorexie mentale prépubertaire E. Olivry, M. Corcos Service du Pr. Ph. Jeammet, Institut Mutualiste Montsouris, 42, boulevard Jourdan, F Paris. La survenue de l anorexie mentale avant la puberté est rare. Chaque étude, malgré souvent de nombreuses années de recrutement ou par le biais d études rétrospectives, ne présente en général qu une vingtaine de cas, soit globalement un nombre de cas annuel de 1. Cette forme touche davantage les garçons qui représentent entre 20 et 30% des patients atteints. Généralement, l âge moyen de début des troubles se situe autour de 11 ans et la symptomatologie est globalement identique à celle observée dans la forme classique de l adolescence. Certaines différences ont pu être notées sur lesquelles les avis restent contradictoires. Assez logiquement, S.G. Gowers [1] observe que les anorexiques prépubères sont significativement plus jeunes, plus minces et plus petites au moment du démarrage de l anorexie. Généralement, l amaigrissement est considéré comme rapide et important, supérieur à 25% du poids initial, et si, pour certains, ce n est pas le cas, la cachexie est de toute façon toujours plus marquée, peut-être en raison d une répartition différente du tissu adipeux avant la puberté. Dysmorphophobie et méconnaissance de la maigreur seraient par contre moins importantes. L élargissement de la conduite de restriction alimentaire à l absorption de boissons a été signalé, concernant principalement des enfants ayant débuté précocement la maladie, pour lesquels une certaine gravité pourrait être envisagée.
16 Parmi les comportements de contrôle du poids inappropriés, on note la rareté de l utilisation de laxatifs ou de médicaments ainsi que l association avec des signes boulimiques. Outre la dépression B. Jacobs et S. Isaacs [2] remarquent la fréquence élevée des actes auto-agressifs parmi les jeunes anorexiques qui vont de scarifications à des intoxications médicamenteuses, qui frappe par rapport au taux habituellement faible de passages à l acte dans cette tranche d âge. Retentissement sur la croissance Ph. Jeammet et al. [3] ont publié 8 observations d anorexie associée à un retard de croissance. Pour eux, il s agit d une particularité liée à la survenue avant la puberté, qui ne serait pas directement en lien avec les troubles nutritionnels, mais, sur certains points, plus proche du «nanisme de détresse» décrit par L. Kreisler. Le retard de croissance signe l existence d un démarrage précoce de l anorexie et est associé à une gravité potentielle liée aux troubles narcissiques et aux perturbations de la relation d objet plus marqués chez ces patients. G. Russel [4] qui note également la fréquence d un retard de croissance, observe que la reprise de la croissance est possible et le gain de taille peut se situer entre 2 et 5 cm dans quelques cas, à condition de survenir avant l âge de 17 ans. L importance des antécédents L existence d antécédents personnels de troubles alimentaires a été notée par plusieurs auteurs allant de 20% (M.C. Mouren-Simeoni et al. [5]) à 42% pour B. Jacobs et S. Issacs [2] comparé à 2 groupes contrôles, anorexiques pubères (15%) et névrosés prépubères (13%). Sont aussi repérés des troubles du comportement ou des troubles du comportement ou des troubles relationnels par B. Jacobs et S. Isaacs [2] plus fréquents chez les prépubères quelle que soit leur pathologie. On peut imaginer que ces antécédents de troubles du comportement peuvent être liés aussi à des difficultés à résoudre les conflits psychiques, que la période de latence n a pas réussi à se mettre en place correctement et que refoulement et symbolisation n ont pu fonctionner normalement.
17 Enfin, W. Warren [6] signale la plus grande fréquence des traits obsessionnels (50% contre 25%), ce qui n est pas sans être lié à la forte représentation masculine de l anorexie mentale prépubertaire. Une symptomatologie prémorbide phobo-obsessionnelle présente dans 37% des cas est également retrouvée par M.C. Mouren-Simeoni et al. [5] et G. Walford et N. McCune [7]. Une légère élévation de l anxiété (50% de patients anxieux contre 17% dans un groupe contrôle d anorexiques pubères) a été également remarquée. L environnement Il ne semble pas exister d antécédent familial spécifique ou plus fréquemment retrouvé dans la forme prépubertaire de l anorexie, même si des difficultés alimentaires antérieures chez un membre de la famille semblent plus fréquentes, entre 20 et 30%. Par contre, les antécédents d obésité ou de régime sont identiques entre les deux formes d anorexie. Une tendance à observer une plus grande fréquence d événements majeurs se dégage pouvant expliquer en partie la précocité du déclenchement de l anorexie, ces événements étant considérés comme une alternative au stress représenté par la puberté. Néanmoins, même si le déclenchement de l anorexie reste à distance de la puberté, celle-ci peut garder son pouvoir événementiel propre. Globalement, les anorexiques prépubères expriment davantage et plus ouvertement une anxiété autour de la sexualité [1, 2] tandis que la possibilité d une relation sexuelle comme facteur déclenchant semble beaucoup moins fréquente. Principalement abordé par A. Fosson et al. [8], B. Jacobs et S. Isaacs [2] et Ph. Jeammet et al. [3], le fonctionnement familial des anorexiques prépubères ne semble pas différer fondamentalement de celui des familles dans lesquelles se trouve une adolescente anorexique. La composition familiale est identique, les patientes vivent le plus souvent chez leurs parents, plus que les anorexiques adolescentes, en raison probablement de leur tranche d âge.
18 Particularités Néanmoins, pour Ph. Jeammet et al. [3], les formes avec retard de croissance présentent en plus quelques caractéristiques : un climat émotionnel «chargé de tension et d affects violents, ni parlé, ni même agi au niveau d une expressivité comportementale. Les mères luttent par la rigidité contre une dépression ancienne, peu élaborée psychiquement [ ] les pères oscillent entre la fuite, l indifférence feinte, ou une violence qu ils craignent également de ne pas contenir» ; la difficulté de mobiliser cette situation ; l existence d un fonctionnement psychotique prévalent chez les pères tandis que les mères restent dans le registre névrotique ; la difficulté pour les pères d assumer leur rôle œdipien avec des mouvements de retrait ou de positon contre-œdipienne incestueuse ; une grande difficulté familiale à gérer le conflit et l agressivité. Au point de vue évolutif Il est possible de distinguer 3 groupes : une évolution favorable dans 28% des cas, c est-àdire, normalisation de la conduite alimentaire et adaptation psycho-affective satisfaisante ; défavorable dans 36% des cas avec la persistance du comportement anorexique, une vie émotionnelle restreinte et la récidive d épisodes dépressifs ; intermédiaire dans 37% des cas, comprenant soit la persistance de manies alimentaires soit des difficultés relationnelles ou des troubles psychopathologiques.
19 Des critères corrélés avec l existence d un mauvais pronostic sont : le jeune âge au moment de la prise en charge et du début des troubles, le nombre et la durée de l hospitalisation, l existence de symptômes dépressifs au début des troubles, les familles monoparentales, ou celles où l un des parents a été marié précédemment, ou celles où cohabitent plusieurs générations ensemble, un niveau social défavorisé, l association avec un retard de croissance. Les formes prépubertaires avec retard de croissance individualisées par Ph. Jeammet et al. [3] ont, selon eux, un pronostic défavorable en raison de «la difficulté à mobiliser le symptôme et à obtenir une reprise pondérale et staturale» et de «la massivité des modalités de fonctionnement mental et relationnel du type anorexique et de la discrétion des modalités défensives appartenant à d autres niveaux». Enfin, si dans l anorexie de l adolescent, la mortalité est estimée aux alentours de 7 à 10%, dans la forme prépubertaire, W.J. Swift [9], dans sa revue de la littérature, obtient un taux de mortalité en moyenne de 3,2% entre 0 et 18%. Il semble que ni le stade pubertaire ni l âge ne semblent particulièrement modifier ces résultats. Conduite thérapeutique Le traitement est le même que celui de l anorexie de l adolescence, avec ses intervenants pluridisciplinaires. La fermeté à l égard du maintien d un contrat de poids minimal et la persévérance dans la cohérence et la continuité du traitement sont les deux atouts majeurs de ce dernier. Ph. Jeammet et al. [3] mettent en relief certains points plus spécifiques à ce tableau, en particulier lors de l association avec un retard de croissance. Le fonctionnement psychique souvent plus massif entraîne souvent des attitudes de refus ou de déni de la part de la patiente qui rendent l alliance thérapeutique souvent difficile. Étant donné le jeune âge et le mode de fonctionnement, l alliance avec les parents se révèle absolument nécessaire et parfois très efficace. Le mode de relation et l investissement massif du cadre soignant rend la séparation souvent difficile avec des rechutes, par exemple à la sortie de l hôpital. La nécessité du maintien du contrat thérapeutique tel qu il a été défini au départ est le gage pour la patiente de la fiabilité des soignants. La prescription par les soignants du maintien des investissements leur facilite la méconnaissance et leur évite d être contrainte de les dénier, ceci tant
20 qu elles ne peuvent assumer la reconnaissance et l expression de leur désirs, ce qui demande un long travail psychothérapique préalable. Une réponse au symptôme présenté s impose dans la réalité et amène donc souvent la thérapie en second lieu, en association avec un suivi par un psychiatre. Conclusion Si certaines formes peuvent se rapprocher de l anorexie de l adolescence par leur début, en fait, très proche des premières modifications pubertaires, pour les autres, on peut y voir un signe de gravité dans la mesure où elles témoignent alors d un échec de la période de latence à tenir à distance les conflits. La plus grande fragilité narcissique de ces patientes et leur dépendance plus étroite à l égard du milieu familial ne rendent même pas nécessaire, pour remettre en cause leur équilibre, l impact traumatique de la puberté. Il suffit de sa seule perspective, du premier événement traumatique, du moindre conflit pour les décompenser. Le fonctionnement psychique de ces patientes n est pas sans évoquer les personnalités dites à risque de désorganisation psychosomatique qui présentent également une fragilité narcissique importante, une carence du préconscient et des capacités de représentation. On peut s interroger sur l existence de troubles des interrelations précoces, notamment, de l existence d une «dépression essentielle primaire» lorsque la «fonction maternelle primaire» a pu être défaillante.
21 Bibliographie : [1] GOWERS S.G. Premenarcheal anorexia nervosa. J Child Psychol Psychiat 1991; 32 : [2] JACOBS B., ISAACS S. Pre-pubertal anorexia nervosa : a retrospective controlled study. J Child Psychol Psychiat 1986; 27: [3] JEAMMET Ph., HURVY D., RABREAU J.P., PIQUARD-GAUVA A., FLAVIGNY H. Anorexie mentale et retard de croissance. Neuropsychiat Enf 1984; 32 : [4] RUSSEL G. Premenarchal anorexia nervosa and its sequelae. J Psychiat Res 1985; 19 : [5] MOUREN-SIMEONI M.C., BOUVARD M.P. Anorexie mentale chez l enfant prépubère : particularités cliniques et évolutives. Neuropsychiat Enf 1993; 41 : [6] WARREN W. A study of anorexia nervosa in young girls. J Child Psychol Psychiat 1968; 9 : [7] WALFORD G., McCUNE N. Long-term outcome in early-onset anorexia nervosa. Br J Child Psychiatry 1991; 9 : [8] FOSSON A., KNIBBS J., BRYANT-WAUGH R., LASK B. Early onset anorexia nervosa. Arch Dis Childhood 1987; 62 : [9] SWIFT W.J. The long-term outcome of early onset anorexia nervosa. A critical review. J Am Acad Child psychiatry 1982; 21 :
22 L anorexie mentale : La boulimie et l anorexie sont deux troubles que l on peut associer et qui peuvent alterner chez certaines personnes mais qui sont fondamentalement différents. C est également un trouble du comportement alimentaire survenant principalement chez les adolescentes plus jeunes que les boulimiques (entre 12 et 20 ans) qui se traduit par : - un amaigrissement - une perte d appétit, un refus de manger - une aménorrhée (interruption des règles). La jeune fille manifeste, malgré un état de dénutrition, une grande activité physique et intellectuelle, un refus de la fatigue, un certain état d excitation. Certes l anorexique a des problèmes avec la nourriture mais elle en a surtout avec son corps. Comme si sa devise secrète était : «moins de corps et plus d esprit». La sérénité qu affiche l adolescente anorexique est toujours frappante. Elle mène un véritable combat pour faire diminuer ce corps qui prend trop de place et qu elle perçoit comme une menace. En ne mangeant pas, l anorexique organise et contrôle un vide qu elle situe au niveau corporel afin de se défendre d un vide au niveau psychique. Malgré une perte de poids importante (qui peut aller jusqu à 50% du poids normal pour l âge) l anorexique se trouve toujours trop grosse et son désir éperdu de minceur la pousse à un comportement mettant en danger sa propre existence (restriction alimentaire, jeûne, prise de diurétique, de laxatif, vomissements).
23 Les restrictions alimentaires : La restriction alimentaire est la base de tous les régimes amaigrissants. S ils sont bien conduits, équilibrés, justifiés et sous surveillance médicale ils peuvent aider les personnes dont le surpoids pose un problème psychologique et physique. Mais hélas «prise de poids» puis «perte excessive» par restriction alimentaire désordonnée sont souvent à la base du fameux «Yo-Yo» qui fait passer le poids du corps d un excès à l autre. Et ce déséquilibre peut être la première étape d un trouble du comportement alimentaire. L anorexique organise sa lutte contre ce corps «qui prend trop de place» par une conduite alimentaire restrictive qui peut, dans un premier temps prendre la forme d un simple régime hypocalorique. Mais sans que l anorexique ou que sa famille n en prenne réellement conscience (sauf si la conduite alimentaire a pu être précédée de l arrêt des règles ou d une modification du comportement de la jeune fille), celle-ci va conduire son corps, par une restriction alimentaire de plus en plus importante (et tout un ensemble de mesure destiné à accélérer l amaigrissement comme les laxatifs, les diurétiques et les vomissements répétés), à un état squelettique dont elle ne perçoit pas la gravité. Déséquilibre biologique, malaise, chute de tension pourront la conduire jusqu à l hospitalisation.
24 L anorexie : Quels sont les traitements? Ils vont d une première prise de contact avec un psychothérapeute pour établir un dialogue et entamer un processus de compréhension dans certains cas, jusqu à l hospitalisation d urgence dans d autres cas. - L hospitalisation s impose lorsque le diagnostic vital est en jeu. Elle répond à trois principes : - restauration d un état physique ne mettant plus la patiente en péril. - isolement de son milieu pathogène. - établissement d une prise en charge psychothérapique. Viendront aussi une rééducation du mode d alimentation, éventuellement une approche corporelle pour réconcilier l anorexique et son corps, des groupes de paroles tant pour les parents que, pour les patient(e)s eux-mêmes. Le psychodrame psychanalytique est aussi fréquemment employé, avec de bons résultats.
25 Anorexie L anorexie ou le syndrome de la «poupée Barbie», relève principalement d un problème d identité relié à une faible estime personnelle, d une mauvaise perception de son image corporelle et une vulnérabilité face à la vie et ses changements. On estime actuellement à 1% la prévalence de l anorexie chez les jeunes femmes de 12 à 25 ans. Quant à la boulimie, la prévalence serait trois fois plus élevée. Mais ceci est sans compter celles qui refusent d admettre qu elles ont un tel problème même si leur apport calorique ne dépasse jamais 300 calories ou que la salle de bain est devenue presque un lieu de résidence. La petite fille perfectionniste, performante, qui a un souci élevé du contrôle extrême, celle qui recherche constamment l approbation d autrui et l amour à tout prix est la victime parfaite pour l anorexie et, une fois prise dans ses filets, le combat est amorcé. La lutte contre la faim donne à l anorexique un sentiment de contrôle et de toute puissance sur ce corps qui lui déplaît tant. Pour la jeune fille, arriver à contrôler sa nourriture c est arriver à contrôler sa vie. Cela se traduit par un refus de manger qui entraîne une perte de poids souvent considérable de même que l arrêt des menstruations. À ces premiers indices, s ajoutent une peur de voir des formes disgracieuses déformer son corps, une hyperactivité et une obsession pour tout ce qui concerne la nourriture et les calories. À la base du problème, on remarque une dynamique familiale où il y a absence de communication ou une communication implicite au sein de ses membres, présence d abus sexuels, de rôles et de limites mal définis. Voilà autant de caractéristiques de comportements familiaux prédisposants. À cela, s ajoute une société qui lapide l obésité et vénère la minceur, l évolution du rôle féminin, la pression sociale, la mode actuelle, etc.
26 En résumé, on ne peut convenir d une seule cause mais d un ensemble de facteurs propices au développement d un désordre alimentaire telle que l anorexie. Conséquences : Physiques - Ostéoporose précoce - Perte de densité osseuse - Débalancement hormonal - Lanugo (c'est-à-dire qu un duvet vient recouvrir le corps) - Déficience des organes (reins, cœur) Sociales - Isolement-retrait social - Perte d emploi - Perte de cercle social - Relations difficiles avec sexe opposé Psychologiques - Dépression - Dévalorisation, dépréciation - Difficulté à se concentrer - Fausse perception de son image corporelle et des événements - Anxiété, angoisse - Irritabilité - Changement dans les humeurs Économiques - Coût élevé pour l hospitalisation - Perte de revenus si elle travaille et doit être hospitalisée
27 Savais-tu que : Priver son corps de calcium, de magnésium ou de vitamines peut nuire au bon fonctionnement de ton organisme (troubles cardiaques, ostéoporose, anémie, etc.) 50 à 75% des jeunes femmes sont obsédées par la minceur, et de ce nombre, au moins 10% vont devenir anorexique ou boulimique. Utiliser des laxatifs régulièrement et en grande quantité peut te causer des troubles digestifs, de l irritation aux intestins tout en risquant de te déshydrater. Les vomissements répétés provoquent des ulcères, l inflammation de ton œsophage, la détérioration de l émail de tes dents, etc. L exercice physique pratiqué à outrance ne fait qu affaiblir ton corps et accélère son processus de détérioration. Plus tu sous-alimenteras ton corps et plus l angoisse et l anxiété augmenteront. Ton corps étant privé d un apport alimentaire adéquat et régulier, il doit abaisser son métabolisme de base afin de pallier aux carences énergétiques. Par exemples, ta capacité de te réchauffer sera diminuée, tes battements cardiaques seront ralentis, etc. Ton poids peut varier de 1 à 5 lbs dans une même journée (rétention d eau, constipation, etc.) donc, il n est vraiment pas recommandé de se peser plusieurs fois par jour car cela ne fera qu augmenter et alimenter ton obsession de la minceur.
28 Pour bien répondre aux questions, tu dois commencer chaque phrase par «généralement» 1. Je suis terrifiée à l idée d être grosse? 2. J évite de manger lorsque j ai faim? 3. Je m impose des activités physiques intenses pour brûler des calories? 4. J accorde une importance majeure à l opinion que les autres ont de moi? 5. Je fais des excès alimentaires avec le sentiment de ne pas pouvoir m arrêter? 6. Je me sens coupable après avoir mangé? 7. Je suis convaincue que je serais plus heureuse si j étais plus mince? 8. Je me pèse plusieurs fois par jour? 9. J ai l impression que la nourriture contrôle ma vie? 10. Je me fais vomir après avoir mangé? 11. J évite de manger en présence d autres personnes? 12. Je dépense la majorité de mon argent pour l achat de nourriture, laxatifs, diurétiques? 13. Je crois qu en m alimentant normalement, je deviendrai grosse? 14. Je me cache pour manger? 15. Je suis obsédée par mon poids et les calories? 16. J éprouve de la difficulté à contrôler mes impulsions? 17. Je me sens déprimée, anxieuse et mal dans ma peau? 18. J aime que mon estomac soit vide? 19. J ai une faible estime de moi? 20. Je désire être la meilleure en tout, être parfaite quoi! OUI NON
29 Comment détecter le problème Vous désirez évaluer si vos comportements alimentaires sont synonymes de préoccupations ou d obsession? Voici un questionnaire qui saura vous éclairer On se retrouve plus tard. [Questionnaire] Vous êtes un parent, un(e) ami(e), un proche et vous désirez savoir comment reconnaître les comportements associées à un trouble des conduites alimentaires? Voici quelques informations qui pourront vous renseigner. Anorexie Boulimie - Comment reconnaître l anorexie? - Facteurs précipitants ou prédisposant à l anorexie - Attitudes de la personne anorexique - Comment reconnaître la boulimie? - Facteurs prédisposant à la boulimie - Attitudes de la personne boulimique Trouble des conduites alimentaires - Profil des personnes ayant un trouble des conduites alimentaires
Aimerais-tu en connaître davantage sur les troubles alimentaires? Clique sur chacune des sections pour avoir plus de détails
LES TROUBLES ALIMENTAIRES Les troubles alimentaires se caractérisent par des croyances, des attitudes et des comportements extrêmes à l égard de la nourriture et du poids. Ce sont des troubles complexes
Plus en détailCe que vous pouvez faire et ne pouvez faire pour l aider
Ce que vous pouvez faire et ne pouvez faire pour l aider Quoi faire ou ne pas faire? Voilà souvent la question que se posent les parents et ami(e)s proches d une personne souffrant d anorexie et de boulimie.
Plus en détailPOURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS?
POURQUOI RESSENTONS-NOUS DES ÉMOTIONS? Pourquoi vivons-nous des émotions? Voilà une excellente question! Avez-vous pensé: «Les émotions nous rendent humains» ou : «Elles nous permettent de sentir ce qui
Plus en détailLe traitement en effet est, au début, une épreuve pour tout le monde : la malade d abord, les parents ensuite et même les thérapeutes.
Les troubles du comportement alimentaire (TCA) sont l expression d un mal-être et d un manque de confiance en soi. Anorexie et boulimie sont des maladies douloureuses et il faut du temps pour s en sortir.
Plus en détailDéfinition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress
Stress et enseignement Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress Recherche sur Internet Moteur de recherche: GOOGLE Mots-clés: + stress + enseignement Nombre de pages francophones
Plus en détailParent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille.
Parent avant tout Parent malgré tout Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Edition: Addiction Suisse, Lausanne 2012 Que vous soyez directement concerné-e ou que
Plus en détailUn autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU».
Le besoin de contrôler Le comportement compulsif de tout vouloir contrôler n est pas mauvais ou honteux, c est souvent un besoin d avoir plus de pouvoir. Il s agit aussi d un signe de détresse; les choses
Plus en détailL enfant sensible. Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et. d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est
L enfant sensible Qu est-ce que la sensibilité? Un enfant trop sensible vit des sentiments d impuissance et d échec. La pire attitude que son parent peut adopter avec lui est de le surprotéger car il se
Plus en détailL utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif
L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailProgramme internet de traitement du jeu excessif Partie cognitivo-comportementale
19 juin 2008 Programme internet de traitement du jeu excessif Partie cognitivo-comportementale Dr. Ariane Zermatten Dr. Christian Osiek Dr. Françoise Jermann Dr. Yasser Khazaal Dr. Guido Bondolfi Pourquoi
Plus en détailHARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer!
HARCÈLEMENT CRIMINEL Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! Qu est-ce que c est? Le harcèlement criminel est un crime. Généralement, il s agit d une conduite répétée durant une période de temps qui
Plus en détailApprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici».
1. Apprenez à votre enfant la Règle «On ne touche pas ici». Près d un enfant sur cinq est victime de violence sexuelle, y compris d abus sexuels. Vous pouvez empêcher que cela arrive à votre enfant. Apprenez
Plus en détailLa notion de besoin peut décrire : La notion de besoin peut décrire :
La notion de besoin peut décrire : une expérience vécue dont la personne est parfaitement consciente : Exemple : «J ai besoin de me divertir»; La notion de besoin peut décrire : 2. «une exigence née de
Plus en détailSOUFFREZ-VOUS D UN TROUBLE BIPOLAIRE?
SOUFFREZ-VOUS D UN TROUBLE BIPOLAIRE? Les changements de l humeur constituent un phénomène normal de la vie. Cependant, dans la maladie bipolaire, ces changements sont hors de proportion avec les énervements.
Plus en détailComportements addictifs
Comportements addictifs Les cyberdépendances Addictions comportementales, Qu est-ce que c est? L addiction, au sens général, peut se définir par une envie incontrôlable et répétée, de consommer un produit
Plus en détailQU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?
QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailDEVELOPPEMENT DES PREFERENCES ALIMENTAIRES
DEVELOPPEMENT DES PREFERENCES ALIMENTAIRES DURANT L ENFANCE ET L ADOLESCENCE PROFESSEUR N. RIGAL MAITRE DE CONFERENCES EN PSYCHOLOGIE DU DEVELOPPEMENT, UNIVERSITE DE PARIS 10, FRANCE rigal.n@free.fr Rôle
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailAvec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose
Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose Le «blues du post-partum» est FRÉQUENT chez les nouvelles mères. Quatre mères sur cinq auront le blues du post-partum. LE «BLUES DU POST-PARTUM» La
Plus en détailMa vie Mon plan. Cette brochure appartient à :
Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette
Plus en détailDifférents facteurs impliqués dans l addiction
Différents facteurs impliqués dans l addiction Facteurs génétiques Neurobiologiques Circuits, métabolisme, neuroadaptation Développement Puberté Maturation cérébrale Sexe Comportement Tempérament Personnalité
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailQuelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide?
Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Soutien après le suicide d un jeune À la mémoire de Adam Cashen Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Si une personne de votre entourage
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailLA PENSÉE. À quel point habile est votre pensée en ce moment? 1
LA PENSÉE À quel point habile est votre pensée en ce moment? 1 Il n y a rien de plus pratique qu une pensée saine. Peu importe les circonstances ou les buts, peu importe où vous vous trouvez ou les problèmes
Plus en détailStress des soignants et Douleur de l'enfant
5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d
Plus en détailA vertissement de l auteur
A vertissement de l auteur Attention, ce livre n est pas à mettre entre toutes mains ; il est strictement déconseillé aux parents sensibles. Merci à Madame Jeanne Van den Brouck 1 qui m a donné l idée
Plus en détailDEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE
Ecole d Application STURM Janvier-Février 2012 CM2 Salle 2 Mme DOUILLY DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE Sujet proposé par les élèves et choisi par la majorité. 1 ère séance : définitions et explications Réflexion
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailQuand le stress nous rend malade
Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors
Plus en détailNe vas pas en enfer!
Ne vas pas en enfer! Une artiste de Corée du Sud emmenée en enfer www.divinerevelations.info/pit En 2009, une jeune artiste de Corée du Sud qui participait à une nuit de prière a été visitée par JésusChrist.
Plus en détailJournal de la migraine
Sandoz Pharmaceuticals SA Hinterbergstrasse 24 6330 Cham 2 Tél. 041 748 85 85 Fax 041 748 85 86 www.generiques.ch a Novartis company 50001252/mars 2008 Journal de la migraine avec le questionnaire sur
Plus en détailwww.programmeaccord.org
LA DOULEUR, JE M EN OCCUPE! NUTRITION ET DOULEUR CHRONIQUE CHRONIQUE De nos jours, l importance d adopter de saines habitudes alimentaires ne fait plus aucun doute. De plus, il est très facile d obtenir
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailLA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI
LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,
Plus en détailJ ai droit, tu as droit, il/elle a droit
J ai droit, tu as droit, il/elle a droit Une introduction aux droits de l enfant Toutes les personnes ont des droits. Fille ou garçon de moins de 18 ans, tu possèdes, en plus, certains droits spécifiques.
Plus en détailL intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée
1 L intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée Dans notre compréhension actuelle du trouble d anxiété généralisée (TAG), nous estimons que l intolérance à l incertitude joue un rôle
Plus en détailwww.cyberactionjeunesse.ca
www.cyberactionjeunesse.ca CyberAction Jeunesse Canada 2011 Présentation de l organisme Projet pilote Prévention (approche en amont) Mission Objectif CyberAction Jeunesse Canada 2011 Plan de la présentation
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailPROGRAMME VI-SA-VI VIvre SAns VIolence. Justice alternative Lac-Saint-Jean
PROGRAMME VI-SA-VI VIvre SAns VIolence Justice alternative Lac-Saint-Jean Printemps 2013 OBJECTIFS Démystifier la problématique violence. Promouvoir les solutions pacifiques en matière de résolution de
Plus en détailLa politique de l entreprise (esprit et incitation au challenge) implique :
Introduction Image classique = Cadre supérieur + grande responsabilité Mais aussi le bas de l échelle Zéro défauts, l excellence a un prix = Le Stress I Définition Interaction entre un environnement et
Plus en détail4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %
4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif
Plus en détail3. Obsessionnelle 2. Possessive 1. Vigilance (Normale)
3. Obsessionnelle 2. Possessive 1. Vigilance (Normale) Deux types de trahison: sexuelle et affective Première cause de violence chez les jeunes couples Danielle Bédard, sexologue, Cégep Marie-Victorin
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailLe livret des réponses
Le livret des réponses Achat 1 Avant de dépenser tout ton argent, il faut réfléchir aux conséquences de cet achat. Auras-tu besoin d argent pour faire d autres activités dans les semaines qui viennent,
Plus en détailGuide d intervention sur. l intimidation. destiné aux intervenants - 1 -
Guide d intervention sur l intimidation destiné aux intervenants - 1 - Rédaction Linda Laliberté : Mélanie Blais : Michèle Gariépy : Joanie Charrette : Espace Bois-Francs InterVal Pacte Bois-Francs organisme
Plus en détailLES MECANISMES DE DEFENSE
LES MECANISMES DE DEFENSE Table des matières Table des matières 3 I - GENERALITES, DEFINITION 7 A. GENERALITES, DEFINITION...7 II - LES PRINCIPAUX MECANISMES DE DEFENSE 9 A. le refoulement :...9 B. la
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailAffirmation de soi, confiance en soi, estime de soi
Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Estime de soi MOI Affirmation de soi AUTRES Confiance en soi ACTION Contexte Règles fondamentales de la communication 1) On ne peut pas décider, par
Plus en détailOrigines possibles et solutions
Ne plus avoir peur de vieillir «Prends soin de ton corps comme si tu allais vivre éternellement, Prends soin de ton âme comme si tu allais mourir demain.» Introduction Ce petit document est la résultante
Plus en détailSurfer Prudent - Tchats. Un pseudo peut cacher n importe qui
Tchat Un tchat est un outil de communication sur Internet qui permet de parler en temps réel avec un ou plusieurs internautes. Un tchat est aussi appelé messagerie instantanée. Un pseudo peut cacher n
Plus en détailExpertis. Étude Stress. Stress. sur le Éléments statistiques. Dr Brigitte Lanusse-Cazalé. Production : Le Laussat.
Expertis Étude Stress Stress sur le Éléments statistiques Dr Brigitte Lanusse-Cazalé Production : Le Laussat. Les réactions au stress Les phases de stress + le stress dure, + le capital d adaptation s
Plus en détailque dois-tu savoir sur le diabète?
INVENTIV HEALTH COMMUNICATIONS - TERRE NEUVE - FRHMG00277 - Avril 2013 - Lilly - Tous droits de reproduction réservés. que dois-tu savoir sur le diabète? Lilly France 24 boulevard Vital Bouhot CS 50004-92521
Plus en détailConseils. pour les enfants, les adolescents et les adultes atteints de TDAH
Conseils pour les enfants, les adolescents et les adultes atteints de TDAH Conseils pour aider votre enfant atteint de TDAH Même si le traitement par VYVANSE peut permettre de gérer les symptômes du TDAH,
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailRepenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme. Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc.
Repenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc. Un problème de santé publique inquiétant Au Québec: 73 % des femmes veulent maigrir
Plus en détailLA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent)
LA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent) Colloque Européen et International THS 10, le 14 octobre 2011 Marthylle LAGADEC Marie GRALL-BRONNEC,
Plus en détailLE Module 04 : SOMMEIL Module 04 :
Module 04 : le sommeil Module 04 : le sommeil Ce module comprend les sections suivantes : Messages clés Problèmes de sommeil courants Les médicaments et le sommeil Conseils provenant de familles sur les
Plus en détailAujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs.
MANAGERS : COMMENT PRENEZ-VOUS EN CHARGE LES CONFLITS? AUTO-EVALUEZ-VOUS! Dans un contexte économique morose et qui perdure, nous sommes confrontés à un grand nombre de difficultés et de frustrations.
Plus en détailManque de reconnaissance. Manque de contrôle
CONTRE-VALEURS 7 octobre 2014 Les contre-valeurs représentent ce que l on cherche à fuir. Elles nous motivent négativement en ce sens où elles incarnent des situations que nous évitons ou que nous cherchons
Plus en détailETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX?
ETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX? Projet formulé à partir de ma pratique de terrain: Constats Public défavorisé Plus le niveau d instruction est bas plus plus le risque est grand de développer des troubles
Plus en détailBlessure : LA TRAHISON - Masque : de contrôlant Structure de caractère : Psychopathe
Po/Gi Blessure : LA TRAHISON - Masque : de contrôlant Structure de caractère : Psychopathe 1. Trahison Cesser d être fidèle à quelqu un ou à une cause ; livrer quelqu un. 2. Réveil de la blessure Entre
Plus en détailDécouvrir et apprécier sa valeur
présentent Partenaires : Centre Berthiaume-Du Tremblay www.berthiaume-du-tremblay.com Association québécoise des centres communautaires pour aînés www.aqcca.org Découvrir et apprécier sa valeur Pour s
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détail«La capacité à être seul», WINNICOTT
«La capacité à être seul», WINNICOTT La capacité d être seul est un signe des plus importants de la maturité du développement affectif. On repère chez le sujet ce qu il éprouve dans des situations de solitude,
Plus en détailAttirez-vous les Manipulateurs? 5 Indices
Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent 1 Attirez-vous les Manipulateurs? Claire Parent Mini livre gratuit Sherpa Consult Bruxelles, Mai 2012 Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailEntre mal-être et bien être : comment vont les étudiants. Premiers résultats. Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE
Entre mal-être et bien être : comment vont les étudiants Premiers résultats Damien BERTHILIER Président La Mutuelle des Étudiants LMDE-EPSE Objectifs de l enqul enquête Mieux identifier la souffrance psychique
Plus en détailSECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité. Sachez où aller et quoi faire si vous êtes victime de mauvais traitements. Un guide pour les aînés
SECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité Sachez où aller et quoi faire si vous êtes victime de mauvais traitements Un guide pour les aînés 43 SECTION 5. Élaboration d un plan de sécurité Les violences
Plus en détailLa santé mentale et les maladies mentales chez les enfants et les adolescents Renseignements à l intention des parents et des aidants
La santé mentale et les maladies mentales chez les enfants et les adolescents Renseignements à l intention des parents et des aidants Qu est-ce que la santé mentale? La santé mentale (comme la santé physique)
Plus en détailLe guide s articule autour de quatre thèmes, qui sont incontournables pour bien documenter une situation d aliénation parentale ou de risque:
GUIDE D ENTREVUE TROUSSE DE SOUTIEN À L ÉVALUATION DU RISQUE D ALIÉNATION PARENTALE Véronique Lachance Marie-Hélène Gagné Ce guide d entrevue a été conçu pour vous aider à documenter les situations familiales
Plus en détailLe risque TMS chez les intervenants à domicile
Le risque TMS chez les intervenants à domicile Quelques chiffres accident est dû aux manutentions manuelles Quelques chiffres + de 85% des maladies professionnelles sont des T.M.S. 5 tableaux de maladies
Plus en détailCONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin
CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité
Plus en détailY A-T-IL COUPLE? Introduction. Pour qu il y ait couple, il faut du temps
Introduction Y A-T-IL COUPLE? Au fil des siècles et au fil des années, la société se transforme et avec elle, la valeur accordée à la réussite sociale, à la famille mais surtout à l amour. Dans le monde
Plus en détailQuand le corps devient objet de l autre
Quand le corps devient objet de l autre (Hypersexualisation, pornographie, prostitution à l heure des technologies de l information et de la communication) Robert Courtois Clinique Psychiatrique Universitaire
Plus en détailUn besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat)
Un besoin identifié : les jeunes et leur santé (état des lieux et constat) «Si, globalement, les adolescents se disent en meilleure santé que les adultes, il convient, au regard des résultats qui suivent
Plus en détailGuide Confiance en soi
Guide Confiance en soi Phase Être en relation avec soi Guide.Confiance-juillet 2014.doc 27-07-14 Ce document, créé par ÉCOUTE TON CORPS, est destiné pour votre usage personnel seulement. Seuls nos diplômés
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailGuide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant
Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant Guide d accompagnement pour la prise en charge des troubles anxieux chez l enfant MYLÈNE GINCHEREAU M.SC. PSYCHOÉDUCATION
Plus en détailBibliothèque de questions Questions spécifiques aux organismes
Bibliothèque de questions Questions spécifiques aux organismes Dans le cadre du baromètre social institutionnel, vous avez la possibilité de poser quelques questions spécifiques à votre organisme et à
Plus en détailSanté et relations humaines au travail Sommes-nous prêts à être plus performants?
Santé et relations humaines au Sommes-nous prêts à être plus performants? Principaux enseignements de l enquête Mesure Management Santé chez les entrepreneurs de CroissancePlus Les traits d'identité constitutifs
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détailC R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques
C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants
Plus en détailQuestionnaire pour les enseignant(e)s
info@educatout123.fr www.educatout123.fr +31 614303399 L enfant qui bouge beaucoup! C est un fait, un enfant bouge beaucoup, il a besoin de se dépenser. Il arrive même parfois qu on n arrive plus à tenir
Plus en détailLE SOMMEIL: TRAITEMENT DE L'INSOMNIE
LE SOMMEIL: TRAITEMENT DE L'INSOMNIE Avant d aborder le sujet de l amélioration du sommeil, permettez-moi de vous présenter quelques faits concernant le sommeil. Plusieurs études ont démontré qu on a besoin
Plus en détailSondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire -
Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Juin 2009 1 Objectifs Réalisée par CROP pour le compte de l Association québécoise d établissements
Plus en détailGROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS
Strasbourg, 17 février 2010 [cdcj/cdcj et comités subordonnés/ documents de travail/cj-s-ch (2010) 4F final] CJ-S-CH (2010) 4F FINAL GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH)
Plus en détailJE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!
rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailLe trouble oppositionnel avec. provocation ou par réaction?
Le trouble oppositionnel avec provocation ou par réaction? Emmanuelle Pelletier, M.Ps., L.Psych. Psychologue scolaire Octobre 2004 Trouble oppositionnel avec provocation ou par réaction? La personne oppositionnelle
Plus en détailLa gestion des situations d urgence et de crise. module GSC BJOP 2008 (CESG)
La gestion des situations d urgence Objectif de la sensibilisation Gestion des situations d urgence Comprendre des notions de crise et d urgence Typologie et phases de l agression Mieux connaître les différentes
Plus en détail